Quand c'est l'heure ben c'est l'heure le KARMA peut'être

- Par l'auteur HDS Giilandes -
Récit érotique écrit par Giilandes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Quand c'est l'heure ben c'est l'heure le KARMA peut'être Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Quand c'est l'heure ben c'est l'heure le KARMA peut'être
Je vais vous narrer une histoire de 1976 qui a 43 ans (pire que le vintage) Le Karma, y a pas, quand c’est l’heure, ben c’est l’heure.
A l’époque pas de tél portable, ni d’internet, et on payait en Francs (ça rajeuni personne)J’avais 19 ans et j’étais à l’armée sur la base aérienne de Saintes affecté comme assistant de gestion au Mess des officiers (en gros je n’en foutais pas une, un planqué en quelques sortes)Je mesurais 1m85 pour 87 kgs pas poilu, évidement la boule à Z Plutôt mignon, monté moyen dans les 17 / 4.5 , mais avec un complexe qui fin de compte m’a bien servi par la suite, je ne faisais pas mon âge, tout le monde s’accordait de dire que je faisais MAXI 15 – 16 ANS.
Je n’avais jamais couché avec une fille, ni un mec d’ailleurs, et j’avais juste une fois dans les chiottes, avoir branlé et m’être fait branler par un pote de chambrée.
J’avais trouvé la chose sympaFauché comme une grande partie des bidasses, je faisais comme mes potes pour partir et rentrer en et de permission je tapais le STOP.
J’étais à l’école de sous-officier de Saintes et rentrais à Bayonne 2 fois tous les quinze jours en moyenne.
Un vendredi fin d’après-midi en tenue, alors que j’étais le pouce en en l’air une voiture de marque allemande s’arrête.
Un homme d’environ la 50taine me demande ou vas-tu ?
Moi : BayonneLui : ok moi aussi, allez grimpe, moi c’est LucMoi : Gil enchantéLui : tu es en permission je suppose, tu ne prends pas le train pour renter ?
Moi : de temps en temps seulement, pas les moyens à chaque fois, la solde est maigre.
Et nous voilà parti, on papote ,me concernant pas d’ambiguïté sur mes activités actuelles, lui il me dit être directeur d’une société de vente de voitures à La rochelle, et avoir une succursale à Anglet.
Il est sympa, je le détail, la 50taine cheveux très courts un peu grisonnants les yeux clairs, apparemment de bonnes épaules et un torse puissant vu comment est remplie la chemise, de beaux avants bras et des mains, enfin plutôt des paluches également de bonnes tailles, pour sa taille c’est plus compliqué à caler vu qu’il est assis mais semble être grand.
Au cours de notre discussion on parle tout, de rien, du fait que je vais avoir la quille (être libéré) dans 1 mois et demi.
Lui est père de 2 gamins, dont un de mon âge, et divorcé depuis près d’un an.
On est entre mecs, inévitablement la discussion dérape sur les plans cul, il me dit avec ta gueule comme tu es foutu tu dois bien avoir des minettes dans tes bagages.
Moi : non rien de ça, je n’y pense pas trop encoreLui : les mecs peut-être ?
Moi : non plus Lui : tu es puceauMoi : OUILui : rassure-moi tu te branle au moins.
Moi : oui de temps en tempsLui : comme ça tout seul comme un grand ?
Moi : oui à part une fois voilà peu ou, avec un pote de la base ou on s’est branlés ensemble et mutuellement.
Lui : tu as aiméMoi : oui assez c’était existant faut dire.
Lui : tu aimerais recommencerMoi : pourquoi pas c’était assez sympa je trouve.
Puis on roule une bonne heure en silence, arrivé dans les Landes, il me dit on va s’arrêter un peu plus loin il y a un routier, j’ai envie de pisser, et on va boire un coup.
Moi : OK k ça tombe bien moi j’ai aussi l’envie de pisser, et c’était vrai.
Il s’arrête apparemment il connait les lieux on va direct aux pissotières chacun la sienne côte à côte et on sort ,nos bites pour nous soulager.
Je ne peux pas m’empêcher de mater la sienne, ma foi, un bien ben outil bien épais pour une queue qui n’est pas en bandaison.
Lui : elle te plait ?
Moi : en rougissant, heu oui, elle est pas mal, et grosse enfin plus que la mienne.
Lui : ravi qu’elle te plaise, et il remballe moi aussi et on va boire une bière.
Il m’explique tu vois les camions au fond là-bas, hé bien ce sont des chauffeurs routiers, qui s’arrêtent pour la nuit et les voitures qui tournent c’est des putes qui viennent pour les satisfaire, et là-bas plus loin vers le fond, c’est dans le même genre mais gratuit et c’est des mecs qui viennent pour sucer ou se faire sauter dans les cabines par les routiers.
J’en reste sans voix.
Nous voilà reparti, à l’approche de Bayonne il me dit si on s’arrête dans un coin ça te dirais de jouer un peu avec ma queue ?
Moi : tu aimes les mecs ou quoi ?
Lui : moi j’aime les deux mecs ou les nanasMoi : tu as déjà fait quoi avec des mecs.
Lui : tout j’aime me faire branler et sucer, et j’ai cassé quelques culs aussi.
Moi : avec ton engin là ? çà doit pas être simple, ben moi suis loin de tout ça.
Lui : Faut un début à tout, alors ça te dit, et de sortir sa queue qui ma foi commence à prendre une belle ampleur.
Pour toute réponse j’attrape son membre et commence à faire des aller et retour sur son manche.
Lui : bon je vais me garer là dans un sous-bois du bord de la nationale c’est plus sûr.
Aussitôt dit aussitôt fait, il se soulève et descend son pantalon sur ses cuisses.
Et moi je m’applique à le caresser, sa queue est devenue énorme, son gland est proéminant, il trimballe au moins 20 cms bien épais en tout cas plus que la mienne dans les 5 cms au moins en érection elle est brulante et douce.
Il me dit : j’ai envie que tu me sucesMoi : je n’ai jamais fait je ne sais pas,Lui : je vais te guider, et de m’attraper derrière la tête et de me faire pencher sur sa queueLui : vas-y lèche le gland puis met le, entre tes lèvres et laisse-toi venir,Je fais comme il dit, je suis à la fois curieux, anxieux, et excité, il pousse un peu sur ma tête, j’ai compris le message alors j’ouvre ma bouche et avale son gland, puis il pousse encore sur ma tête, alors je fais de mon mieux pour descendre sur ce bout de viande dur comme un os, je trouve la chose agréable, puis il m’aide à faire les va et viens sur sa colonne, en me faisant descendre dessus et aller de plus en plus loin j’arrive même à mettre mon nez dans les poils de son pubis.
Je suis surpris de me retrouver à l’étroit dans mon pantalon je bande comme un âne, je défais ma ceinture et braguette pour être plus à l’aise.
Il m’a vu faire et attrape mon sexe et le branle ,aussi pendant que je le suce , j’ai trouvé le truc et la cadence.
Il s’exprime, ho la vache pour une 1ère fois tu te débrouille plutôt bien, tu aimes ça moi de sortir sa queue de ma bouche et lui dire : ho oui avant de réenfourner son manche.
Je l’entends souffler de plus en plus fort et vite, à un moment il se tend me prend par surprise, en me maintenant la tête d’une main et m’envoie une saccade de jets brulant dans la bouche, et il y en a !
Ça je n’avais pas prévu, je suffoque, j’en avale, il me relâche la tête sort sa queue et moi je lui restitue le trop plein sur le pubis et les couilles.
Il se penche à son tour sur moi engouffre ma queue et me pompe comme un malade, il pas a fallu longtemps pour que j’explose moi aussi et lui balance tout dans la bouche , pas moyen de faire autrement il a tout fait pour prendre mon jus volontairement, contrairement à moi.
Nettoyage au mouchoir en papier dans le silence.
Remise d’ordre dans nos tenues respectives, puis reprise de la route on est plus qu’à 20 minutes de l’arrivée.
Il prend la parole, alors ta 1ère Pipe, t’en penses quoi ?
Moi : j’ai bien aimé mais la fin j’ai été surpris quand même.
Lui : ouai j’y suis peut-être allé un peu fort pour une 1ère , mais ça faisait au moins 3 mois que je ne mettais pas fait sucer, en tout cas tu as assuré grave, jusqu’au bout et avaler, déjà c’est rare, chez les femmes encore plus pour la 1ère fois, en plus tu es le 1er mec qui avale quand même désolé de t’y avoir forcé.
Moi : ben écoute, je n’ai pas eu trop le choix, mais bon maintenant c’est fait, au moins je saurais ce que c’est.
Bon me dit ‘il on va arriver je te pose où ?
Je lui donne mon adresse, il dit tu rigoles ou quoi c’est à 300 mètres de chez moi.
Moi : Ha bon ?
Il se gare, me dit il est presque 22heures tu crèche chez tes parents ?
Moi : non chez ma sœur, ma mère est partie à Paris dans sa famille voilà 2 mois pour échapper à mon père qui prend mal leur divorce.
Elle t’attend ?
Non j’ai la clé je viens quand je veux ou peux.
Lui : et si tu ne rentrais que demain, tu pourrais passer la nuit chez moi je vis seul les gosses sont chez mon EX.
Moi : Je ne sais pas trop honnêtement, j’imagine ce que tu as dans la tête, et moi déjà la pipe c’est une nouveauté alors plus je ne sais pas.
Lui : écoute pas de problème on pourrait aller à un peu plus loin que tout à l’heure, et si quelque chose ne te plais pas ou si t’es pas prêt, tu parts après tout t’habite à côté, je ne suis pas là pour te violer, mais si tu veux passer le cap au fur et à mesure on avancera, et on s’arrêtera là où tu le décideras.
Je suis tenté, d’aller un peu plus loin, cette fellation m’a bien excité mais en même temps j’ai la trouille, et bon ok je prends le risque, après tout on verra bien, pourquoi mourir idiot.
Donc après avoir sucé ma 1ère bite dans la voiture de Luc.
J’accepte de passer la nuit avec lui.
On est vendredi soir je suis en permission, et ne doit rejoindre la base que pour lundi 12h00.(planqué je vous ai dit)Une foule de questions foisonnent dans ma tête pendant qu’il rentre la voiture dans son jardin en redescend pour aller fermer le portail.
Mais qu’est-ce que je fais ici, pourquoi ai-je cédé à la pipe demandée, pourquoi y ai-je pris autant de plaisir, et qu’est ce qui va m’arriver maintenant, certes ses propos sont sécurisants, il est courtois, en même temps j’ai envie d’aller un, peu plus loin (en tout cas j’essaie de m’en convaincre)On rentre chez lui, joli pavillon un grand séjour avec un bar, un canapé et deux fauteuils style Club en cuir un poste de télévision sur un meuble un magnétoscope, et une chaisne hifi digne d’une boite de nuit.
Il me fait faire la visite, un couloir distribue 3 chambres une salle de bain, une salle d’eau et un WC, une petite cuisine l’ensemble très propre et entretenu.
Il me dit je ne sais pas toi, mais moi j’ai faim, je lui dis-moi aussi.
Lui : ok va te prendre une douche je suppose que tu en a besoin En effet les mouchoirs ont palier au plus gros, mais je colle de partout.
Lui :je prépare de quoi nous nourrir, tu trouveras un placard avec des serviettes dedans des mules qui devraient t’aller, et 2 peignoirs, le noir est le mien sers toi de l’autreAprès je prendrais ma douche aussi.
Je passe dans la salle de bains, me dessape et me jette sous la douche, l’eau chaude me fait un bien fou, je me savonne, j’entends du bruit me retourne il est là, me regarde, et dis tu es quand même sacrément bien foutu, avec un joli cul bien rond et ferme apparemment, je peux venir ?
Moi si tu veux, alors il se déshabille, c’est la 1ère fois que je le vois entier à poil, il est aussi grand que moi, plus épais des cuisses puissantes légèrement poilu sur le torse, un pubis bien fourni de poil d’où dépasse sa queue à moitié au repos sous laquelle est suspendue une belle paire de couilles.
Je suis parcouru d’un frisson et d’un étrange sentiment, vais-je avoir mon 1er rapport sexuel avec un homme, alors que jusqu’à présent cela ne m’avait même pas effleuré.
Il vient se coller à moi, me s’enduit les mains de savon liquide, et vient me frotter partout, ses mains se baladent sur moi, il me masse le sexe qui pour l’instant reste inactif, surement trop d’anxiété, et d’angoisse dans ma tête, il s’aventure dans la raie de mes fesses, titille mon trou du cul, et ça m’électrise.
On arrête là, on sort de la douche, on s’essui mutuellement chacun sa sortie de bain, la mienne est plutôt courte, et me descend tout juste au ras du bas des fesses.
Lui bon allez zou on va grignoter un bout.
On s’attable, un peu de charcuterie, après une salade de gésiers .
En mangeant on discute,Lui : bon si tu es là, je suppose que tu sais pourquoi.
Moi : oui et non, j’imagine tes envies, et ou tu veux en arriver, et oui j’aimerais aller plus loin, mais je sais comment m’y prendre, et jusqu’ou je suis capable d(‘aller, tout ça c’est nouveau pour moi, je ne suis pas idiot, je pense savoir à quoi tu veux arriver et aboutir, mais moi, je suis dans l’inconnu total, et suis pas très certain d’arriver à satisfaire tes envies, même si le moment passé en voiture avec toi m’a ouvert des perspectives et m’amène à en découvrir plus.
Lui : tu ne serais pas le 1er puceau à qui j’ai fait sauter le Berlingo, je sais comment ça fonctionne, je suis patient et habile, et je n’ai essuyé qu’un échec.
Moi : ce que je redoute c’est la finalité, j’ai un cul qui n’a jamais servi dans lequel je n’ai jamais rien mis, alors quand je vois ta queue, je me demande comment ça peut rentrer sans faire de dégât, et quel plaisir pourrais-je en tirer.
Lui : Alors pour le plaisir, tu risques d’être bien surpris, mes partenaires même débutants m’ont dit avoir tous pris un pied d’enfer, et ceux qui étaient soi-disant hétéros et baisaient des femmes m’ont avoué avoir vécu un truc jamais ressenti, certains même sont devenus BI et d’autres désormais ne vont voir que les mecs.
Moi : Ouai le problème c’est que je n’ai pas de valeur de comparaison, n’ayant jamais baisé avec une fille.
Lui : rien ne t’empêchera de le faire après pour vérifier.
Moi : j’entends bien, mais toi, tu y es passé à la casserole ?
Lui : Oui 2 fois, Moi : Alors ?
Lui : j’ai aimé, mais comment t’expliquer ça, dans les relations entre hommes il y a des passifs et des actifs, et moi j’aime rentrer dans un cul, j’ai sodomisé des femmes, mais je préfère mettre les mecs pour moi c’est différent, donc je suis un actif.
Moi : et qu’est ce qui me dit que je suis un passif ?
Lui : Je me trompe rarement dans les comportements de me contemporains, et le peu dont j’ai bénéficié avec toi, tes façons d’être et de faire dès la 1ère fois tout me dit que t’ai un passif, qui aime même si pour l’instant tu ne te l’avoue pas, la présence d’un homme masculin plus âgé que toi, en qui avoir confiance, et t’abandonner, un peu comme si tu cherchais un père qui te guide pour sortir d’une adolescence, et te trouver.
Je dois faire une drôle de tête il me dit, j’ai touché une corde sensible peut ’être ?
Moi, piteux je lui avoue effectivement m’être branlé une fois ou deux après avoir maté mon père sous la douche une fois et une autre fois alors qu’il sauté notre femme de ménage ( c’était un queutard d’où le divorce d’ailleurs)Lui : Ok mi moi je ne suis pas ton père, et je m’intéresse physiquement à ton corps et surtout à ton petit cul, en plus apparemment tu as oublié d’être con, et j’aimerai bien qu’on approfondisse nos jeux à peine ébauchés, pour uniquement pour le plaisir et peut ‘être également bénéficier de ta virginité, et te faire découvrir le plaisir physique, avec mon expérience, et en jouir aussi faut bien que je l’avoue.
Moi : Bref en gros tu veux me baiser.
Lui : Oui, on ne peut rien te cacher, mais uniquement si tu y es disposé, et ça tu ne le sauras que si tu commences, et si ça doit venir ça viendra tout seul, tu seras le 1er surpris.
Moi : mais je sais même comment faire, branler, sucer c’est une chose, et je suis d’ailleurs surpris de m’être laissé faire, mais le reste.
Lui : apparemment tu as aimé vu comment tu t’y es pris et jusqu’où tu as été, pour le reste tu me laisses faire t’aura juste à me laisser faire ce que je veux et faire ce que je te demande.
Moi : En gros tu me demandes de subir.
Lui : oui si on veut, avec la nuance que si tu dis stop hé bien j’arrêterai.
Là, je viens de me rendre compte que j’ai vieilli d’un coup d’au moins 2 ou 3 ans et que mes barrières d’adolescent tardif viennent de tomber, il m’a convaincu et donné envie d’aller plus loin avec lui.
Moi : OK je suis d’accord pour te laisser faire, si tu ne moque pas de mes maladresses, tu te rends compte que je vais sacrifier un jardin secret une virginité et épouser des idées que je n’ai ou n’avais pas particulièrement avec un homme que je ne connais pas le moins du monde.
Lui : Oui je m’en rends compte et ça me plait beaucoup, et pour ta possible maladresse ne te fais pas de souci c’est justement ce que j’aime chez les puceaux, c’est mon truc, par contre après tu auras un peu d’expérience si tu veux remettre ça, et ça je te le dirais quand on aura fini et que je t’aurai fait ton affaire, et toi aussi tu le sauras, en gros soit tu aimes, soit tu n’aimes pas, ce n’est pas plus compliqué que ça.

Et là je m’entends dire comme dans un rêve bon ok, fais ce que tu veux après tout on verra bien.
Lui : OK tombe le peignoir et alors on va sur le canapé .
J’obéis avec un peu la boule au ventre, lui en fait autant, je ne sais pas si c’est notre discussion mais il arbore une érection phénoménale, me concernant moi rien du tout.
Lui : Allez fais ce que je dis sans discuterMoi OkLui : commence par me sucer, j’obéis et retrouve son manche, j’ai l’impression qu’il est plus gros que dans la voiture, et me demande comment cela va se passer ou tout simplement passer au moment crucial, si j’arrive à l’y laisser faire.
Puis il me dit : mets-toi à genou sur le canapé le cul vers moi, tiens-toi au dossier, j’obéis , il m’écarte les fesses, me titille la rondelle, et d’un coup je sens sa langue fleurtait avec mon petit trou, il essaie de l’enfoncer dedans, je n’y crois pas j’adore ça, il me bouffe le cul, un truc que je n’imaginais même pas possible, ça m’électrise, je couine un peu de plaisir, il en profite pour me dire je vois que monsieur aime ça, moi j’étouffe un ou ide midinette,Il passe ces mains sous moi, et vient me caresser les mamelons, je réagis instinctivement, il repaire que j’en ai un apparemment plus sensible que l’autre il me le pince un peu, je gémis de plaisir de nouveau, encore un truc que je découvre, il cesse de me manger le cul, me dit reste comme ça bouge pars je reviens de suite, je bouge pas, il revient, m’écarte de nouveau les fesses, je le sens m’appliquer sur la rondelle un genre de crème en tout cas un corp gras, puis il me titille le trou avec un de ses doigts, (je vous rappelle que c’est pas des mains qu’il a mais des paluches et ses doigts son bien épais).
Il pousse un peu, là dans ma tête je me dis putain tu vas y passer, c’est le moment de l’arrêter mais en même temps j’ai envie de savoir, il me dit, c’est ok ? je peux continuer ?
Moi : Oui mais doucement, alors il l’enfonce son doigt un peu , le ressort et remet de la crème et me remet lentement le doigt je le sens entrer en moi, ça ne fait pas mal, c’est même agréable, je soupire il fait quelque va et viens avec son doigt puis le retire à mon grand regret je manifeste ma déception, il dit t’inquiète , c’est pas fini, puis je sens un truc plus gros que son doigt faire pression, je jette un œil il a en main un gode d’environ 15 cms épais de 2.5 environ, il l’a enduit de crème, il pousse plus fort qu’avec son doigt, et ma surprise ça rentre, fait des va et viens avec, le plaisir est intense, la sensation est inconnue pour moi, c’est agréable, il le retire, et je le vois de s’en saisir d’un autre plus important, qu’il enduit également et qu’il mets en remplacement de l’autre, je le sens passer mais sans douleur, je bouge même mon cul, et miracle je constate que je bande comme un taureau, lui aussi l’a vu il attrape ma queue et commence à me branler, en trois minutes l’affaire est pliée je jouis et éjacule d’un coup.
Il s’arrête, retire-le gode, me claque d’une bonne paire baffes sur les fesses, et me dit on arrête pour l’instant, on fait une pose tu veux boire quelque chose ?
Moi : oui si t’as un whisky ou un cognac je suis preneur.
je ne bois pas d’alcool ou si peu mais là j’en ai besoin.
Je suis tout décontenancé,Je me ré assois sur le canapé, je dois avoir l’air d’un idiot parce que ma tête le fait rire.
Il revient avec les verres, Lui : Alors ?
Moi : je ne sais pas quoi te dire Lui : je ne voudrais pas me vanter mais apparemment tu as aimé et j’ai l’impression que monsieur est un anal, rarement vu ça chez les puceaux, toi quand tu y es, t’es pas un effarouché.
Moi : je ne me reconnais pas je ne sais pas ce qui m’arrive, je regrette que cela soit fini.
Lui : mais ce n’est pas fini, on remettre ça, parce que toi tu as déjà joui c’est normal pour une 1ère fois) c’est dans la tête, l’excitation et l’interdit de voir son cul servir à autre chose qu’à la défécation.
Donc tu as aimé, moi, par conte je n’ai pas joui, mais ça va être mon tour tout à l’heure, et je vais pas me priver et je suis sûr que vas aimer.
Moi : tu crois que ça va passer, ça m’inquiète quand même.
Lui : Après ce que je viens de voir, ton comportement avec les godes tu vas adorer te faire mettre.
Moi : je te remercie de pas utiliser le mot enculer, même si c’est la même chose finalement, mais je doute quand même de mes capacités d’accueil vu ton calibre.
Lui : c’est ça qu’est bon tu vas voir.
Il met une cassette dans magnéto c’est une cassette de cul de mecsLà encore c’est une 1ère pour moi, je suis abasourdi de ce que j’y vois, particulièrement un jeune mec qui se prend une queue énorme pendant qu’il suce un autre mec, et apparemment il aime ça, ça me remet le feu au ventre.
Lui : tu vois c’est ce que tu vas prendre tout à l’heure ce coup-ci, on fera ça au lit dans la chambre.

Le film, 20 minutes et un 2ème Whisky plus tard, je suis euphorique, presqu’invulnérable (c’est l’alcool) et là c’est moi qui lui dis : on y va quand ?
Lui : apparemment tu es décidé et disposé.
Moi : si ce n’est pas maintenant cela ne sera jamais.
Lui : ok on y va.
Il prend les godes et la crème au passage en clignant de l’œil et me disant c’est pour préparer le passage.
Dans la minute qui suit je me retrouve à 4 pattes sur le lit avec un gode (le plus gros des 2) planté dans le cul, et Luc qui s’affaire à des va et viens de plus en p)lus profonds je me cambre, j’adore ça j’en ai la sueur qui me dégouline le long des reins je le dis que c’est bon je le répète et de lui dire du encore et encore, je ne me reconnais pas je suis une véritable petite pute.
Puis il retire l’objet, et je sens que ça va être le grand moment, que je redoute, mais je lui dois bien ça, et puis je voudrais savoir si ce que j’ai vu sur la vidéo est bien réelle.
Il s’enduit copieusement le gland et une partie de la verge de crème, pose son gland brulant sur mon orifice, me dit : détent toi , ça risque de piquer un peu au début mais tu verras ça passe vite, il faut en passer par là pour après prendre un pied d’enfer,Je suis embrumé par l’alcool, mais conscient quand même, il me dit on y va, t’es ok ?
Je bafouille un oui timide et craintif, j’ai peine fini ma phrase, qu’il force avec son gland ça résiste un peu, puis ça cède d’un coup, son gland et 2 bons centimètres de sa queue rentre en moi d’un coup.
J’ai gueulé un bon coup sous la douleur et la brulure, je lui, dit putain ça fait un mal de chien il s’arrête, me t me dit : on continue ou pas, mais si on arrête là, il faut que je ressorte et pour y revenir dans l’instant ça va être compliqué.
Je lui dis : non reste dedans je sens que la douleur est en trains de passer, effectivement elle passe pour laisser l place à une étrange sensation de plénitude très agréable.
Il ose plus bouger, alors c ‘est moi qui lui donne le top en m reculant sur son pieu, le message est passé, il me prend par les hanches et entreprend de s’enfoncer en moi, pas facile mais j’encaisse en serrant les dents, il finit par s’y mettre complètement, je le sens au fond de moi, son pubis collé à mes fesses, la sensation est indescriptible j’ai l’impression d’être rempli par un manche de béton brulant et palpitant, et que j’aime ça.
Il bloque un peu, me dit maintenant je vais te baiser et même si le mot ne te plait pas je vais t’enculer, tu vas ramasser, Moi : fais ce que tu veux te gène va s’y c’est le deal, Alors il me lime d’abord lentement, sur toute sa longueur, puis il accélère, je subis ses assauts avec bonheur, il retire sa queue complétement 2 ou 3 fois pour mieux me reprendre j’adore le passage est fait c’est que du bonheur .
Je bande pas, mais je m’en fout ce que je prends dans le cul me suffit, des sensations puissantes m e descendent dans les reins mon ventre se contracte mon anus est en feu, mes sphincters sont inopérants, je sens une boule de feu me parcourir , je couine râle souffle, et je suis pas le seul, Luc a accéléré la cadence puis la réduit et s’enfonce au plus profond, sa queue gonfle d’un coup il se plante au fond de moi violemment et décharge en plusieurs saccades puissantes de son jus brulant et gueulant comme une bête.
Je m’aplatis sur le ventre les cuisses écartées, Il reste planté comme ça au fond de moi encore un peu, je sens sa queue dégonfler un peu, il se retire, laisse son gland dans mon ouverture, puis décule d’un coup, j’expulse un vent bruyant, je me retourne sur le dos secoué de spasmes abdominaux, j’ai l’anus qui palpite, et la tête qui tourne, je sens son jus couler entre mes fesses, je ressers mes sphincters Je reste anesthésié comme ça 5 minutes , ça m’a fait désaouler.
Lui est assis au bout du lit et reprend son souffle.
On ne dit rien, je repars sous la douche, quand je sors il est accoudé au bar et s’est resservi un whisky, m’en propose un que j’accepte.
La tempête est passée.

Lui : Alors là, je ne sais pas toi, mais moi c’est la meilleure baise avec un mec que j’ai eu, et putain quel cul, accueillant et serré à la fois, sérieux pour un puceau t’as fait fort, je n’y croyais pas au début….
Moi : Ben je ne sais pas pour moi c’est une première mais putain qu’est-ce que m’as mis, et que j’ai pris et aimé prendre, et alors la jouissance je ne savais pas qu’on pouvait jouir du cul comme ça, rien a voir avec le plaisir de la branle.
Honnêtement je ne pensais pas que tu allais pouvoir me prendre comme ça, et que j’allais passer ta queue, je n’en reviens pas moi-même, oublié la douleur du début, ça valait le coup de la subir.
Lui : ben si tu remontes sur le vélo (comme on dit) de temps en temps, tu n’auras plus ce problème, et que les avantages, en clair, tu viens de te faire péter le cul.
Bon il est 1heure et demi, si on allait se coucher, on va prendre la 2ème chambre, je changerai les draps de l’autre demain.
Moi : ho oui je tiens plus deboutA peine arrivé je me mets au lit et m’écroule, l’alcool, la baise, et les émotions nouvelles ont eue raison de moi.
J’émerge le lendemain il est 11h00 je suis seul dans le lit, j’entends Luc qui s’affaire en cuisine,J’ai la tête pleine de pensées et questions sur ce qui s’est passé, Je mets le peignoir, et le rejoint, il est, tors nu en short et prépare le petit déj’ ,il me stoppe net du bras gauche au passage et sa main droite vient se glisser sous mon peignoir, glisse sur mes fesses avec un doigt qui s’insère entre mes fesses, puis, ile me retourne face à lui m’attrape les couilles, me les serre fort limite de la douleur, m’attrape le manche, me le caresse, je me rend compte que je suis en érection, Là, je me dis, mais qu’est ce qui m’arrive, ce mec me fout le feu au cul en 2 secondes, moi qui il y a encore 24 heures n’imaginais pas le 10ème de ce que je viens de vivre.
Il me plante dans les yeux, me dit, putain tu m’excites grave dans ce peignoir, effectivement, à la déformation que j’observe dans son short il n’y a pas de doute possible, et apparemment ça à l’air de te plaire vu ce que j’ai dans la main.
Je dégage gentiment, et lui dit j’ai faimLui : en rigolant, à priori pas que de nourriture terrestreJe le sens un peu frustré, Il me dit : bien dormi?
Moi : ho oui, j’en avais besoin et toi ?
Lui : aussi, mais j’ai eu un peu de mal au début, te voir endormi à plat ventre comme ça le cul à l’air les jambes écartées, m’ont remis le gourdin, mais bon, j’ai pensé que tu en avais fait déjà fait assez pour la soirée, il a fallu que je me retienne quand même, d’où mon accueil de ce matin.
Moi :effectivement, je vois ça tu as le réveil ardent et gaillard apparemment.
Nous déjeunons, ce qui fait retomber un peu la pressionIl me dit, écoute si tu veux tu passes le Week End avec moi, et lundi matin en repartant à la Rochelle je te dépose à ta base, c’est sur ma route.
Moi : je ne sais pas, l’idée de passer 2 jours avec toi est séduisante, mais je suppose que tu vas vouloir me re baiser.
Lui : cette blague, d’après toi, mais là encore que si tu veux, bon, écoute je vais partir faire quelques courses aux halles, j’en ai pour une heure environ, reste ici, interroge-toi, réfléchi, et tu me dis quand je rentre, si tu veux partir je comprendrais.
Le voilà parti, je gamberge, rester ou partir, j’ai à la fois envie de rester, et crains de rester, sachant ce qui m’attend, j’analyse la situation d’abord technique, côté physique, je suis surpris de ne pas avoir mal au cul comme je l’avais imaginé, côté réflexion, l’idée de rester à sa disposition avec ce que cela comporte , m’attire également, je me dis que pour un galop d’essai, ça a été un truc incroyable, qui ne se représentera peut ‘être pas de sitôt, en même temps je me fais l’effet d’une salope dévergondée, et m’interroge sur le fait de devenir accro aux mecs et à la bite, sacré bouleversement de conditions dans ma vie, surtout quand tu as été élevé dans le culte d’un homme pour une femme par un père qui pensait qu’à baiser, et puis on est en 1976 les mœurs de l’époque n’étaient pas ce qu’elles sont aujourd’hui.
Quand il rentre je suis toujours dans l’indécision.
Lui : alors jeune homme, on a pris sa décision ?
Et moi de m’entendre lui dire : JE RESTE ! C’est sorti comme ça.
Lui : super je suis sûr qu’on va passer une Week End d’enfer tous les 2, et puis comme ça, tu prendras de l’expérience, ça pourra toujours te servir, je vais te faire une formation poussée et accélérée qui va te servir pour l’avenir.
Moi : si tu le dis !
Lui : des questions à poser ?
Moi : oui, j’ai constaté que depuis le début c’était vraiment de la baise pour la baise, à aucun moment tu n’as été du genre câlin, et, ou essayé de m’embrasser par exempleEt aussi pourquoi tes jouets, les godes ?
Lui : Alors pour les godes j’ai découvert ça il n’y a pas vieux, je trouve ça existant et pratique la preuve, ils t’ont bien servi, sans eux je n’aurais pas pu te pénétrer comme je l’ai fait, et encore tu ne les a pas tous vu, j’en ai une belle collection de toutes tailles, si t’es » pas sage et bien obéissant » on va pouvoirs s’amuser avec.
Pour les embrassages, me faire sucer la pomme, les roulages de pelles, ce n’est pas trop mon truc, quand je ne connais pas, surtout avec les mecs, puis, j’ai pensé aussi que tu es un débutant, et que cela aurait pu ne pas te plaire et te rebuter de te faire bouffer la gueule par un homme, maintenant si t’aime ça ou veut essayer, on le fera, ensuite tu as bien compris que j’étais avant tout un baiseur, mais pour la suite, on a 2 jours, je vais te faire découvrir des trucs, des caresses, des préliminaires t’amenant à l’excitation qui feront que c’est toi qui me demanderas de te prendre, d’être ma femelle ne serait-ce que de passage.
Moi : je demande à voir, et là je me dis que j’ai basculé dans un monde inconnu qui m’attire, et me donne envie d’en découvrir plus, beaucoup plus, et de savoir, jusqu’où je suis capable d’aller.
On a passé 1 Week-End bien remuant et instructif, il m’a quasiment tout fait ce qu’il était possible de faire, en tout cas pour un novice comme moi, j’ai eu droit à tout ou quasiment, j’ai eu droit au godes ‘jusqu’à une certaine limite, (il y en avaient d’impossibles à passer pour moi (je me demandais même comment cela pouvait exister) j’ai perfectionné l’art de la pipe, j’ai appris à bouffer un cul, (j’ai eu un peu de mal au début quand même) on a fini par s’embrasser (bon, c’est pas trop mon truc non plus fin de compte), j’ai appris à avaler volontairement, j’ai testé mes limites de dilatation, j’ai appris ce qu’était le plaisir prostatique, il m’a même laisser le prendre une fois (pour me faire plaisir, mais c’est vrai que c’est pas son truc) par contre cela m’a permis de trouver ma place je sais que je suis un vrai passif, qui aime se faire bourrer le cul, j’ai aussi compris que j’aimais les rapports biens physiques et que j’aimais être dominé, soft mais dominé quand même.
Il m’a réellement pénétré totalement 3 fois dans le Week end ,en plus des moments de godages j’ai eu droit à un plan long caressant dont les pratiques m’ont amené à réclamer la pénétration pour finaliser et satisfaire mes désirs et me soulager, également un plan brutal (pas violent mais très viril) et la dernière le lundi matin à mon réveil directement à froid, directement après s’être enduit la queue de crème, il m’a sorti de mon sommeil comme ça ; ( j’ai adoré).
Le pire dan tout ça est qu’il carburait au naturel, c’était dans son ADN.
Puis nos avons pris la route, moi vers ma base lui à son job.
Il m’a posé à 11h00 devant la base,Il m’a donné sont tél du bureau, je l’ai appelé 8 jours après pour lui dire que j’étais de nouveau en permission le Week end suivant pour 5 jours (dés récupérations avant ma libération) et que s’il avait envie de me revoir, hé bien j’étais là.
J’ai reçu un courrier à la base 3 jours après avec un billet de 100 francs de l’époque, et un mot me disant, pour ton train, et quelques bricoles si tu veux, appelle-moi au bureau pour me dire à quelle heure je dois venir te chercher à la gare, je suis bloqué sur le site de Bayonne jusqu’à vendredi soir, après on partira tous les deux, 4 jours à la montagne ou j’ai un chalet, tu vas ramasser grave, je ne cesse de penser à toi depuis la dernière fois, je n’ai même pas envie d’aller baiser ailleurs, me suis déjà branlé 4 fois en pensant à nos galipettes de la dernière fois.
Moi : de mon côté ces derniers jours à la base j’ étais une période d’intense réflexion et de remise en cause avec le constat d’être sorti d’une adolescence ignare et insouciante, pour atterrir dans un monde d’adultes particulier auquel je n’avais jamais pensé .
J’ai également appris que physiquement, techniquement parlant, le fait de se faire sodomiser n’entrainait pas de dégâts collatéraux, et que tout avait repris sa place et fonctionnait à merveille (ce qui était ma crainte 1ère) J’ai bien évidement pensé à lui, et me suis aussi branlé 4 ou 5 fois en pensant à ce qu’il mais plus à ce qu’il m’avait fait subir, aimer et partager, et je me suis rendu à l’évidence, j’avais aimé ça, et constaté que désormais j’en avais envie, mas pas nécessairement qu’avec lui, ce qui me rendait à la fois honteux et enthousiaste, ce qui me confortait dans mon intégrité de liberté et d’aventure.
Bref, je n’appartenais à personne.
Je n’ai pas fait ma vie avec Luc, on a cessé de se voir au bout d’un an et demi, mes obligations professionnelles post armée m’ayant amené à l’autre bout de la France, mais pendant cette période, il m’a tout appris, il m’a même partagé 3 fois avec d’ autres hommes actifs comme lui.
J’ai appris incidemment voilà 4 ans qu’il était décédé 4 ans plutôt, j’avoue que cela m’a peiné, et je pense régulièrement à lui.
Voilà comment j’ai découvert les hommes, j’ai essayé les femmes aussi plusieurs fois, pour voir, également quelques mecs en tant qu’actif, mais là aussi je me suis rendu à l’évidence je prenais vraiment mon pied à me faire mettre, je me suis également même marié et eu une fille, (divorcé au bout de 5 ans) rien à faire pour la baise , le sexe, et le plaisir, je préférais vraiment les hommes, les vrais Actifs, de préférence un peu murs virils, dominant un poil vicieux.
J’ai eu le bonheur de bénéficier des années sans SIDA, maintenant il faut rester prudent.
Après mon divorce, je suis resté célibataire et parfaitement satisfait de cette situation, même encore aujourd’hui à 64 ans, je ne suis pas un cœur à prendre, mais un cul OUI.
je fais toujours mon mètre 85 mes 89 kgs, grisonnant bien sûr, et ne m’amuse qu’avec des partenaires de mon âge triés correspondants à mes trips, je baise, ou plutôt ne me fais baiser que de temps en temps, de préférence avec des hommes mariés, c’est un bon moyen de NE pas avoir d’embrouille ou de mecs pots de colle.
Il y en a bien 1 (marié officier de gendarmerie) dans le genre de Luc que j’ai fréquenté épisodiquement pendant 3 ans avec qui je m’éclatais grave ( un sacré vicieux aussi celui-là) peut ’être vous raconterai-je un jour, il y a eu des ratés aussi, des plans frustrants, des plans imposés à plusieurs non voulus, mais dans l’ensemble, je me suis éclaté et m’éclate bien encore, avec des hommes de ma génération.
Les conditions de communications et facilités de déplacements ont bien changé depuis, les mœurs aussi, quand l’envie est trop forte il suffit d’aller trainer sur le net, ça grouille de possibilités, et c’est tant mieux.
Mais une chose est sure, on n’oublie jamais sa première fois et me concernant, quelle 1ère fois, j’y pense souvent.
La preuve, j’en parle 43 ans après.
Vous pouvez laisser des commentaires, ils sont les bienvenus.
Et surtout sortez couvert.
Gil.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour
J'ai 65 ans et j'ai vécu ces années 70 .
Ton histoire est superbe de vécu. Merci.
Félix.



Texte coquin : Quand c'est l'heure ben c'est l'heure le KARMA peut'être
Histoire sexe : Une rose rouge
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