Périple en camping-car 1 Préambule
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Périple en camping-car 1 Préambule
Ayant fait un bel héritage me permettant de vivre sans souci d’argent, j’ai décidé de m’acheter un camping-car. Depuis longtemps j’en rêvais, et je rêvais aussi de découvrir de nouveaux paysages et de nouvelles contrées.
Je compulse de nombreux ouvrages et forums avant de choisir ma « merveille ». Je souhaite qu’il soit bien équipé, agréable à vivre et à conduire, mais aussi robuste et facile à entretenir.
J'ai choisi un HYMER Classe-B Modern Comfort I 690. Gris métallisé, plutôt dans le haut de gamme des 3.5 tonnes, et doté des dernières technologies et aussi équipé avec toutes les options. Équipé d’un moteur Mercedes de 170 cv et d’une boîte automatique 9 vitesses.
J’ai fait supprimer le lit du pavillon et la banquette isolée, pour rester dans le poids total limite autorisé.
A l’arrière, dans la chambre qui prend toute la largeur du véhicule, j’ai préféré un grand lit de 160 aux deux couchettes d’origine. Un coin toilette avec douche séparée et un WC. Cette zone est séparée de l’avant par une porte coulissante. La partie médiane avec cuisine toute équipée, est la pièce à vivre avec banquettes, télévision et table servant au repas et au travail.
A l’avant le poste de pilotage et ses deux sièges pivotants.
Le véhicule est très bien isolé et équipé de la télévision et Internet par antenne satellite.
Énorme soute – que l’on appelle garage dans le jargon des camping-car – Elle se trouve à l’arrière sous le lit. Sur les côtés, deux petits coffres de chaque côté.
Un chauffage autonome que j’ai fait ajouter par Webasto et qui est alimenté par le carburant du camping-car. Bien sûr il y a aussi une bonne climatisation.
Sur le toit, j’ai aussi rajouté une belle réserve d’eau au-dessus de laquelle sont posés des panneaux solaires. Je pourrai ainsi vivre en autonomie plusieurs jours sans problème.
Le camping-car est à la limite du poids, mais le gros moteur n’aura aucune difficulté et je ne suis pas pressé, n'ayant pas envie de battre des records de vitesse, surtout que j’éviterai au maximum les grands axes et autoroutes.
Enfin, J’ai deux astuces qui m’ont été données par un habitué. Un ami m’a donné une clé – disons un outil - qui me permet d’ouvrir les plaques d’égouts pour vidanger discrètement ma cuve sans passer par les endroits réservés.
En fait, ces endroits, que ce soit dans les aires de camping-car ou parfois de simples stations, font la même chose. Ce qu’ils appellent « fosse de dépotage » est ni plus ni moins qu’un branchement sur le réseau des eaux usées.
Comme j’avais participé à l’installation d’un de ces systèmes, je connaissais le principe. Le copain qui m’a filé l’outil travaillant dans une compagnie de traitement des eaux n’a eu aucune difficulté pour m’en trouver un.
La deuxième astuce consiste en une mini pompe fonctionnant sur le courant du camping-car qui permet de remplir les cuves d’eau sanitaire à partir d’un cours d’eau ou de n’importe quel endroit où je peux pomper. Avec un tuyau de quinze mètres qui s’allonge en se remplissant, je suis ainsi indépendant.
Grâce à ces deux éléments je vais aussi faire des économies conséquentes car sur la route il n’y a pas beaucoup de cadeaux pour les camping-caristes. Cela va me permettre de m’arrêter un peu n’importe où, sans avoir à payer d’emplacement.
Toutefois, j’aime aussi parfois me retrouver près d’autres camping-caristes pour le plaisir de la rencontre et la sécurité.
Bref, mon véhicule est superbe et fait des envieux quand je le gare dans mon jardin avant le départ.
J’ai loué ma maison en meublé pour un an renouvelable à un jeune couple qui assurera l’entretien.
Ils ont le projet de bâtir une maison et pourront ainsi en attendant, se loger à moindre coût. Je leur indique d’ailleurs, que le bail d’un an sera un minimum et que si je passe par là, j’aurais toujours ma “maison roulante” pour y vivre.
Pendant qu’ils aménagent dans la maison, je range mes affaires dans la mienne. J’ai fait provision de produits locaux. Par la suite, je privilégierai mes achats sur les marchés, dans la mesure du possible.
Avant de partir, je range aussi quelques-unes de mes affaires personnelles au fond du garage. Je me suis gardé cette pièce pour y stocker ce que je ne peux emporter et que je pourrais venir prendre à l’occasion d’un passage.
Je prends l’apéro et le dernier repas avant de partir avec mes charmants locataires, un peu envieux malgré tout de mon... "aventure".
Je passe ensuite ma première nuit dans mon nouveau logement.
Le sept août, les pleins étant faits : carburant et eau, je prends enfin la route.
Mon idée est d’arpenter d’abord la région, ses plages, sa campagne et aller au hasard de la route, mais aussi au hasard des rencontres.
Quand je parle de rencontres, il s’agit aussi de rencontres sexuelles. J’aime le changement de partenaire et libre pour le moment, je compte bien en profiter. Mon périple passera aussi par des saunas ou clubs libertins, mais ce que je préfère c’est la drague et le hasard. Les parkings, les lieux de rencontre, mais aussi les marchés, les magasins et même les bistrots.
Eh oui ! On peut faire des rencontres dans les endroits les plus banals. Il suffit de prendre son temps et j'en ai. Je reste rarement plusieurs jours dans le même lieu, mais parfois les occasions s’enchaînent.
Après quelques jours dans les Pyrénées, je me décide finalement à faire mon « tour de la France » en passant au plus près des côtes et des frontières. En m’arrêtant dans chaque village. Je retrace mon périple dans un journal sous la forme d’un blog qui permet à mes amis de me suivre. Chaque fois, une ou plusieurs photos selon l’intérêt du lieu et quelques anecdotes sur le pays visité.
Les récits et photos les plus coquins seront, eux, réservés à un site d’histoires sexuelles. Chaque jour, dans mon camping-car, je rédige mon journal.
Dans les villages je reste quelques instants, une nuit et parfois plusieurs jours, selon mon humeur… et mes rencontres.
Je pars de la frontière espagnole à Hendaye et je remonte toute la côte en évitant donc autoroutes et grandes voies de circulation.
Saint Jacques de Luz, Bidart, Biarritz, Capbreton, Hossegor… villes que je connais, mais que je parcours différemment, me mettant ainsi en condition pour la suite de mon périple. Je me gare près du centre, sur un parking, et de là, en compagnie de mon chien Rocky, je me balade en bord de plage. C’est la saison touristique et il y a beaucoup de monde. Après trois jours, j’ai déjà mes habitudes et j’ai bien mon engin en main. Il est très agréable à conduire. La boîte automatique est une merveille. Mes appréhensions du départ concernant l’encombrement et le risque de l’abîmer, disparaissent.
Je compulse de nombreux ouvrages et forums avant de choisir ma « merveille ». Je souhaite qu’il soit bien équipé, agréable à vivre et à conduire, mais aussi robuste et facile à entretenir.
J'ai choisi un HYMER Classe-B Modern Comfort I 690. Gris métallisé, plutôt dans le haut de gamme des 3.5 tonnes, et doté des dernières technologies et aussi équipé avec toutes les options. Équipé d’un moteur Mercedes de 170 cv et d’une boîte automatique 9 vitesses.
J’ai fait supprimer le lit du pavillon et la banquette isolée, pour rester dans le poids total limite autorisé.
A l’arrière, dans la chambre qui prend toute la largeur du véhicule, j’ai préféré un grand lit de 160 aux deux couchettes d’origine. Un coin toilette avec douche séparée et un WC. Cette zone est séparée de l’avant par une porte coulissante. La partie médiane avec cuisine toute équipée, est la pièce à vivre avec banquettes, télévision et table servant au repas et au travail.
A l’avant le poste de pilotage et ses deux sièges pivotants.
Le véhicule est très bien isolé et équipé de la télévision et Internet par antenne satellite.
Énorme soute – que l’on appelle garage dans le jargon des camping-car – Elle se trouve à l’arrière sous le lit. Sur les côtés, deux petits coffres de chaque côté.
Un chauffage autonome que j’ai fait ajouter par Webasto et qui est alimenté par le carburant du camping-car. Bien sûr il y a aussi une bonne climatisation.
Sur le toit, j’ai aussi rajouté une belle réserve d’eau au-dessus de laquelle sont posés des panneaux solaires. Je pourrai ainsi vivre en autonomie plusieurs jours sans problème.
Le camping-car est à la limite du poids, mais le gros moteur n’aura aucune difficulté et je ne suis pas pressé, n'ayant pas envie de battre des records de vitesse, surtout que j’éviterai au maximum les grands axes et autoroutes.
Enfin, J’ai deux astuces qui m’ont été données par un habitué. Un ami m’a donné une clé – disons un outil - qui me permet d’ouvrir les plaques d’égouts pour vidanger discrètement ma cuve sans passer par les endroits réservés.
En fait, ces endroits, que ce soit dans les aires de camping-car ou parfois de simples stations, font la même chose. Ce qu’ils appellent « fosse de dépotage » est ni plus ni moins qu’un branchement sur le réseau des eaux usées.
Comme j’avais participé à l’installation d’un de ces systèmes, je connaissais le principe. Le copain qui m’a filé l’outil travaillant dans une compagnie de traitement des eaux n’a eu aucune difficulté pour m’en trouver un.
La deuxième astuce consiste en une mini pompe fonctionnant sur le courant du camping-car qui permet de remplir les cuves d’eau sanitaire à partir d’un cours d’eau ou de n’importe quel endroit où je peux pomper. Avec un tuyau de quinze mètres qui s’allonge en se remplissant, je suis ainsi indépendant.
Grâce à ces deux éléments je vais aussi faire des économies conséquentes car sur la route il n’y a pas beaucoup de cadeaux pour les camping-caristes. Cela va me permettre de m’arrêter un peu n’importe où, sans avoir à payer d’emplacement.
Toutefois, j’aime aussi parfois me retrouver près d’autres camping-caristes pour le plaisir de la rencontre et la sécurité.
Bref, mon véhicule est superbe et fait des envieux quand je le gare dans mon jardin avant le départ.
J’ai loué ma maison en meublé pour un an renouvelable à un jeune couple qui assurera l’entretien.
Ils ont le projet de bâtir une maison et pourront ainsi en attendant, se loger à moindre coût. Je leur indique d’ailleurs, que le bail d’un an sera un minimum et que si je passe par là, j’aurais toujours ma “maison roulante” pour y vivre.
Pendant qu’ils aménagent dans la maison, je range mes affaires dans la mienne. J’ai fait provision de produits locaux. Par la suite, je privilégierai mes achats sur les marchés, dans la mesure du possible.
Avant de partir, je range aussi quelques-unes de mes affaires personnelles au fond du garage. Je me suis gardé cette pièce pour y stocker ce que je ne peux emporter et que je pourrais venir prendre à l’occasion d’un passage.
Je prends l’apéro et le dernier repas avant de partir avec mes charmants locataires, un peu envieux malgré tout de mon... "aventure".
Je passe ensuite ma première nuit dans mon nouveau logement.
Le sept août, les pleins étant faits : carburant et eau, je prends enfin la route.
Mon idée est d’arpenter d’abord la région, ses plages, sa campagne et aller au hasard de la route, mais aussi au hasard des rencontres.
Quand je parle de rencontres, il s’agit aussi de rencontres sexuelles. J’aime le changement de partenaire et libre pour le moment, je compte bien en profiter. Mon périple passera aussi par des saunas ou clubs libertins, mais ce que je préfère c’est la drague et le hasard. Les parkings, les lieux de rencontre, mais aussi les marchés, les magasins et même les bistrots.
Eh oui ! On peut faire des rencontres dans les endroits les plus banals. Il suffit de prendre son temps et j'en ai. Je reste rarement plusieurs jours dans le même lieu, mais parfois les occasions s’enchaînent.
Après quelques jours dans les Pyrénées, je me décide finalement à faire mon « tour de la France » en passant au plus près des côtes et des frontières. En m’arrêtant dans chaque village. Je retrace mon périple dans un journal sous la forme d’un blog qui permet à mes amis de me suivre. Chaque fois, une ou plusieurs photos selon l’intérêt du lieu et quelques anecdotes sur le pays visité.
Les récits et photos les plus coquins seront, eux, réservés à un site d’histoires sexuelles. Chaque jour, dans mon camping-car, je rédige mon journal.
Dans les villages je reste quelques instants, une nuit et parfois plusieurs jours, selon mon humeur… et mes rencontres.
Je pars de la frontière espagnole à Hendaye et je remonte toute la côte en évitant donc autoroutes et grandes voies de circulation.
Saint Jacques de Luz, Bidart, Biarritz, Capbreton, Hossegor… villes que je connais, mais que je parcours différemment, me mettant ainsi en condition pour la suite de mon périple. Je me gare près du centre, sur un parking, et de là, en compagnie de mon chien Rocky, je me balade en bord de plage. C’est la saison touristique et il y a beaucoup de monde. Après trois jours, j’ai déjà mes habitudes et j’ai bien mon engin en main. Il est très agréable à conduire. La boîte automatique est une merveille. Mes appréhensions du départ concernant l’encombrement et le risque de l’abîmer, disparaissent.
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