Périple en camping-car 2 Première rencontre
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Périple en camping-car 2 Première rencontre
Ma première rencontre a lieu deux jours plus tard, dans un village de la côte landaise, à Seignosse. Je passe la nuit au pied de la dune. En général, j'évite de me retrouver isolé. Même si je n’aime pas trop m’installer dans les campings, je cherche toujours un endroit assez sécurisé, proche d’habitations. Souvent, je demanderai à un propriétaire l’autorisation de stationner sur son terrain.
Ce soir-là, j’ai trouvé un petit parking, au pied de la dune, derrière laquelle se trouve la plage des casernes que j’ai fréquentée dans ma jeunesse. Je me gare sous un lampadaire qui comporte une prise de courant, ce qui m’économise et recharge les batteries. Il y a aussi une borne de « dépotage » pour faire la vidange de ma cuve d’eaux usées. C’est un équipement assez rare en dehors des zones réservées aux campings cars.
Une fois garé, je me rends sur la plage naturiste derrière la dune. J’ai téléchargé un site qui les répertorie, comme un autre qui fait de même avec les lieux de drague, les saunas et autres clubs libertins. Je suis aussi connecté sur des sites d’information pour les camping-caristes.
A la tombée de la nuit, je retrouve mon « home » . Je dîne sur la table à l’extérieur et je rentre ensuite pour éviter les moustiques et rédiger mon journal.
Il est un peu plus de vingt-deux heures lorsqu’une voiture se gare à proximité, suivie par deux autres. Par la fenêtre, je vois que les conducteurs restent à l’intérieur. Pour un habitué comme moi, c’est le signe d’un coin de voyeurs.
Ne voyant rien se passer, je regarde un peu la télévision depuis mon lit et finalement, je dors. J’entends bien des véhicules arriver et repartir, mais ce soir, je n’ai pas d’envie coquine.
Le matin, je suis réveillé très tôt par quelqu’un qui tape à ma porte. Par la fenêtre, je vois une femme. J’ouvre et l’interpelle.
- « Bonjour madame. Que puis-je pour vous ?
- Euh… excusez-moi monsieur. Je suis en panne avec... ma voiture. Je n’arrive plus à redémarrer. Sûrement un problème de batterie.
- J’arrive. Je vous ouvre. »
J’enfile un peignoir et j’ouvre la porte à la dame. Je me rends compte qu’il fait frais dehors. Il faut dire que je n’ai rien sous mon peignoir. La femme n’est pas non plus très habillée. Une simple robe d’été. Elle a l’air frigorifiée.
- « Entrez ! Vous devez avoir froid !
- Oh merci !
- Vous allez prendre un café. Je vais préparer un petit déjeuner, vous le prendrez avec moi.
- Je ne voudrais pas vous déranger.
- Ne vous inquiétez pas.
- Vous êtes seul ?
- Oui. Je fais le tour de la France avec mon chien.
- C’est super ! Vous êtes drôlement bien installé !
- Je me suis fait plaisir. Je compte voyager longtemps.
- Vous en avez de la chance ! »
La dame se réchauffe et devient volubile. Je la détaille un peu. Sa robe dévoile des rondeurs attrayantes. De beaux yeux bleus et des cheveux blonds taillés courts..
J’ai fait cuire des croissants que j’ai toujours dans le congélateur. Ils sont vite avalés et j’en fais une deuxième fournée. Café, jus d’orange, tout y passe.
- « Bon, je vais aller m’habiller et je vais voir ce que je peux faire pour votre voiture. J’ai des câbles, cela pourrait fonctionner.
- En fait… ce n’est pas ma voiture… je suis venue avec un homme... elle est à lui…
- Ah ! Vous êtes des coquins !
- Oui.. Enfin .. non ! C’est la première fois pour moi. C’est lui qui m’a amenée ici pour voir. Je l’ai rencontré en boîte. Il est très vicieux. Il m’a convaincue de venir m’exhiber ici.
Dans la voiture, il m’a fait déshabiller pour me montrer aux voyeurs. Il avait allumé la lumière et des mecs se branlaient autour. Je me suis traitée de folle, mais j’étais excitée. Il me caressait, je le suçais, ça a duré longtemps.
A un moment, la lumière s’est éteinte. C’est la batterie qui a lâché. Il est parti chercher de quoi dépanner avec l’un des voyeurs. Il m’a laissée seule, mais il ne revient pas. J’ai eu froid, alors quand j’ai vu votre caravane ce matin, je me suis dit que vous étiez l’un des voyeurs qui était resté.
- Eh bien non. Je n’ai pas eu cette chance.
- Oh excusez-moi ! Vous devez me prendre pour une…
- Ne dites rien. Je regrette d’avoir manqué le spectacle, mais hier soir j’étais un peu fatigué. Je suis moi aussi assez… coquin.
- Oh !
- Je vous trouve très jolie d’ailleurs.
- C'est gentil, mais je ne suis plus très jeune.
- Ne dites pas ça !
- Je voudrais vous demander…
- Oui ?
- Pourrais-je utiliser vos toilettes ?
- Je vous en prie. » Je lui montre la cabine.
- « Vous êtes bien installé !
La femme s’enferme mais j’entends bientôt la cataracte de son pipi ce qui ne fait rien pour calmer mon excitation. Sous mon peignoir, ma bite est bien raide. Quand elle sort, elle jette un coup d’œil à la chambre, dans laquelle le lit est défait.
- « C’est drôlement grand ! Je ne pensais pas que ce soit comme ça !
- Ça vous dirait d’essayer ?
- Vous êtes un coquin !
- C’est à cause de votre ami ? Je comprends, mais devant une jolie femme, je tente toujours ma chance.
- Oh mon ami… Je ne le connais pas depuis longtemps ! Je... Je l’ai rencontré dans un bar hier après-midi. Nous sommes allés en boite et c’est ensuite qu’il m’a proposé de venir ici. Il voulait m’exhiber. Je suis désolée de vous avoir réveillé aussi tôt !
- Ce n’est pas grave ! J’ai ainsi fait votre connaissance.
- C’est gentil !
- Si on reprenait là où vous en étiez ?
- Comment ça ? » J’ouvre alors mon peignoir, exhibant ma queue bien raide.
- « Votre histoire m’a excitée.
- Mmhh ! »
La femme s’agenouille et sans hésitation, avale mon chibre tout en le branlant d’une main. Elle est douée et ma verge durcit encore.
Je la relève et j’entreprends de lui ôter sa robe. Surprise ! Elle ne porte pas de culotte !
- « Cochonne ! Tu te balades à poil !
- Il m’a enlevé la culotte cette nuit et je ne l’ai pas retrouvée dans la voiture !
- Sûrement un voyeur qui l’a dérobée ! »
Je dégrafe son soutien gorge et sa grosse poitrine s’expose. « Belles outres ! Je vais me régaler ! »
La femelle est toute en rondeurs et ma foi, plutôt attrayante. Je suce ses tétons érectiles, puis n’attendant plus, je la couche sur le lit. J’attrape une capote et je l’embroche aussitôt. Ma bite clapote dans sa chatte qui ruisselle. La femelle est bien chaude. Elle relève ses jambes et j’agrippe ses genoux pour s’écarter encore plus. Je me penche et elle me donne sa bouche pour un baiser passionné.
Son corps devient brûlant et d’un coup, elle s’affale sur le lit, dans un orgasme gigantesque. Je continue ma chevauchée et à mon tour je me vide dans le préservatif et je me couche sur elle.
Après un moment, je me retire. J’enlève ma capote et vais la jeter dans la poubelle.
Je reviens sur la couche et nous nous caressons un moment.
- « Eh bien ! Tu étais bien chaude !
- Je te choque ?
- Oh non ! Tu sauras qu’il m’en faut beaucoup pour l’être ! Non, j’ai adoré que tu te lâches comme ça !
- Tu sais… C’est la première fois.
- Comment ça ?
- Depuis quinze ans j’étais fidèle à mon mari. Il m’a trompée. C’est pour ça que je suis partie quelques jours pour réfléchir et faire le point. C’est comme ça que j’ai rencontré l’autre, mais finalement, je n’ai rien fait avec lui. Tu es donc mon premier amant depuis… longtemps.
- Et j’en suis très heureux.. et flatté.
- Tu en as bien profité mon salaud !
- J’ai trouvé une bonne et belle cochonne aussi.
- Oui ! C’est ça ! Traite-moi de cochonne ! J’aime t’entendre le dire. J’aime les mots crus !
- Tu vas être servie alors, espèce de salope, de pute..
- Oui ! Je veux être une salope...une pute avec toi !
- Au fait, c’est quoi ton prénom, dis-je en riant. Moi c’est Jacques
- Monique ! Oui.. bon… je sais ce que tu vas dire.
- C’est trop facile ! Mais j’aime te baiser.
- Dis-donc ! Tu es déjà en forme à ce que je vois !
- C’est toi qui m'excite. Ton corps et tes paroles aussi.
- Je n’excite plus mon mari.
- C’est peut-être que tu n’es pas assez salope avec lui. Il s’est lassé, c’est pour ça qu’il est allé voir ailleurs. Redeviens salope, cochonne avec lui et tu verras.
- Tu crois ?
- J’en suis sûr ! Tu reviens chez toi. Tu lui dis que toi aussi tu l’as fait cocu, que tu es une salope, une pute et que tu as envie qu’il te le montre. Que tu veux faire des choses cochonnes avec lui, t’habiller en pute et baiser, pourquoi pas avec d’autres.
- Tu veux déjà me renvoyer ?
- Pas du tout ! Si tu veux rester un peu, aucun problème. Mais avec l’autre ?
- Oh lui, il ne compte pas. Il ne m’a même pas baisée.
- Il en avait l’intention.
- Peut-être, mais c’est un looser ! Tomber en panne de batterie tout de même !
- Ça peut arriver, y compris pour un homme.
- Toi en tous cas, tu n’as pas l’air de tomber en panne.
- Viens salope ! Je vais te baiser en levrette ! Avec le cul que tu as, cela va être un régal.
- Mon mari me dit toujours que j’ai un gros cul.
- C’est vrai ! C’est pour ça qu’il est beau.
- Ce n’est pas ce qu’il dit.
- Mets-le en valeur avec une petite jupe un peu serrée, tu verras.
- Salaud ! Tu veux que je ressemble à une pute ?
- N’est-ce pas ce que tu veux ?
- Je… Enfin.. le dire…
- Je suis sûr que si ton mari te voit comme ça, il va te sauter dessus.
- Tu veux déjà me laisser tomber ?
- Pas avant de t’avoir baisée par tous les trous, salope !
- Oh oui ! Baise-moi partout ! »
Je mets Monique à genoux au bord du lit et je lui donne d’abord quelques claques sur les fesses, ce qu’elle a l’air d’apprécier. « C’est vrai que tu as un beau gros cul ! » J’attrape un nouveau préservatif et je l’enfile d’un coup. - « Oh oui ! C’est bon! Vas-y ! Défonce moi salaud ! ». Agrippé à ses hanches je la besogne en faisant claquer mon ventre contre ses fesses. C’est alors que pour la deuxième fois de la journée, on frappe à ma porte.
Je sors la tête par la fenêtre. Un homme se tient à la porte.
- « Que se passe-t-il ? Dis-je
- Pardon Monsieur. Vous n’auriez pas vu une dame sur le parking ? » je pense bien que c’est le « copain » de Monique.
- Je dormais. Avec ma femme, nous nous sommes endormis tard, il y a eu du bruit une partie de la nuit. Des voitures qui ont tourné. Nous n’avons rien vu. » Je fais signe à Monique de se taire.
- Excusez-moi de vous avoir dérangés. Bonne journée à vous.
- Bonne journée. »
Monique a regardé à travers le rideau.
- « C’était ton homme ?
- Oui. Tu as bien fait. Finalement, il n’est pas si terrible que ça !
- Bien reprenons où nous en étions.
- Oui salaud ! Viens me baiser ! »
L’homme qui a manifestement réparé sa voiture, quitte le parking. Nous sommes tranquilles. Monique expose son cul et je ne résiste pas à l’envie de lui lécher le petit trou.
- « Qu’est-ce que tu fais ! Arrête !
- Tu n’aimes pas ?
- Non.. Si, mais…
- Alors, laisse-toi faire.
- Tu veux ?…
- Oui, je vais t’enculer, mais pour l’instant, c’est ta chatte qui m’intéresse. »
Monique se laisse aller. Bien regonflé maintenant après l’interruption, je la pénètre à nouveau. Très vite, elle soupire et apprécie la position. Tout en la baisant, je lui assène quelques claques sur ses grosses fesses qui rougissent.
En cadence, je la lime, alternant les pénétrations rapides ou profondes. Elle grimpe dans les tours et s’affale d’un coup sur la couche, en proie à un bel orgasme.
Après cela, nous passons à la douche prise séparément, car la cabine est malgré tout étroite et ma compagne plutôt gironde. Je reste nu. Monique voudrait se rhabiller.
- « Tu peux rester nue aussi. En général, je reste à poil dans le camping-car. J’aime être nu. Je n’enfile un caleçon que pour conduire, en cas de contrôle.
- Je ne suis pas très belle…
- Tu me plais comme ça et franchement, à poil, tu es bandante. Si tu veux après, on va aller à la plage qui est derrière la dune.
- C’est que… je n’ai pas de maillot. Le mien est resté dans ma valise à la consigne de la gare routière.
- Pas de problème ! Je n’ai pas de maillot non plus, c’est une plage « cul nu ».On ira chercher tes affaires, à moins que tu ne préfères t’en aller ?
- Non, non, ce n’est pas ça ! J’ai très envie d’aller sur une plage naturiste. Je n’y suis jamais allée.
- Très bien ! Alors passe uniquement ta robe, je mets un bermuda et on y va. »
Nous passons la matinée à paresser nus sur le sable. Monique adore être nue au soleil. On se baigne aussi, puis retour au camping-car pour les heures les plus chaudes de la journée.
Après le repas et une petite sieste coquine, nous allons à la gare reprendre la valise à la consigne. Monique a décidé de rester un peu avec moi et nous allons continuer mon voyage tous les deux.
- « Juste deux ou trois jours. Si tu en as marre de moi, tu me le dis. Tu me déposes à une gare ou un arrêt de bus, aucun problème.
- D’accord. Idem pour toi. Quand tu en as assez, tu me le dis. Ça restera un joli souvenir. »
De Seignosse où nous étions à la plage des casernes - célèbre depuis les années soixante dix-, nous remontons vers Vieux Boucau. Je profite d’un petit cours d’eau pour faire le plein d’eau avec ma pompe. Nous nous promenons dans le village et je fais quelques photos avec des commentaires pour ma page FaceBook, qui raconte mon périple.
- « Tu vas parler de… moi ?
- Pas là-dessus, je serais censuré. Non. Je réserve cette partie pour un site d’histoires coquines, voire sexuelles.
- C’est vrai ? Tu vas raconter pour nous ?
- Oui. Je te rassure, de façon anonyme. Je changerais de prénom.
- Oh pas de problème. Tu me donneras l’adresse, j’irais voir ce que tu écris. Il y en a combien ?
- Tu seras la première.
- J’y crois pas !
- Pour ce qui concerne le périple oui. Tu trouveras d’autres histoires, mais tu es vraiment la première du voyage. Il faut dire que je ne suis parti que depuis quatre jours ! »
Nous filons ensuite vers la plage des sablières. Autre plage naturiste. Ce sont celles que je fréquente en priorité.
Je fais quelques provisions sur le marché. Je privilégie ces achats locaux plutôt que les surfaces commerciales.
J’installe mon camping-car pour la nuit. Je cale les roues grâce aux vérins hydrauliques. Cela évitera de faire trop remuer l’habitacle. Je déplie l’auvent. Nous pourrons manger en dessous. Nous profitons de la plage pour la fin de journée.
Enfermés dans le camping-car à l’abri des regards, nous nous dévêtons et Monique, très demandeuse, se donne à moi. Elle va m’offrir son cul comme cadeau. « Il n’y a que mon mari qui en a profité jusque là ! »
Le lendemain matin, j’écris sur ma page FaceBook, comme tous les jours. La veille, je n’avais fait qu’un bref récit. Je lis les commentaires des amis qui me suivent depuis mon départ et de ceux qui petit à petit s’ajoutent. Après quatre jours, ce sont déjà cent trente personnes qui me suivent.
Monique a décidé de faire un peu de rangement et de ménage dans mon habitacle. Après son départ, je décidai de le faire chaque jour.
Quand elle a fini ses tâches ménagères, elle se glisse sous la table et me gratifie d’une fellation gourmande alors que je rédige mon histoire coquine. Sans recul, elle avale mon sperme.
L’après-midi, après la sieste - coquine bien sûr- nous retournons à la plage. Je montre un moment à ma compagne, les voyeurs en haut de la dune et quelques personnes passant derrière.
- « Ça te dirait d’aller y faire un tour ?
- Pour quoi faire ?
- Baiser en se faisant voir, voir éventuellement d’autres faire pareil. Il y a sûrement des voyeurs. Si tu as envie, tu pourras sucer ou te faire prendre. »
J’emporte des préservatifs au cas où, et nous nous dirigeons vers le haut de la plage. Je remarque vite des hommes qui nous ont repéré et se dirigent vers nous.
Dans un petit coin dégagé, Monique à genoux commence à me sucer. Décidément, elle n’est pas bégueule.
Autour de nous, des hommes se sont approchés et se branlent. Je leur fais signe pour leur montrer que nous sommes partageurs.
Monique va en sucer cinq ou six et même, se faire prendre en levrette avec deux bites devant elle. J’en profite pour faire quelques photos qui vont agrémenter mon récit.
La nuit venue, nous allons revenir sur la plage pour faire l’amour au bord de l’eau. Éclairé par la lune, le corps de Monique est superbe. Je me régale de lécher sa peau salée par les embruns et les gouttes.
Monique coule sous les caresses de ma langue avant de réclamer que je la prenne alors que les vagues lèchent nos pieds.
Le lendemain, départ vers le Nord pour la prochaine étape. Ce sera la dernière avec Monique. Passage par Messanges pour une photo et c’est à Moliets que nous passons notre dernière nuit ensemble. C’est de là qu’elle prend un bus en direction de Dax pour rejoindre son mari.
Je l’encourage à raconter son escapade à son mari et à lui dire que dorénavant elle veut être une salope avec lui. Elle va correspondre avec moi plus tard, en message privé sur ma page, puis par mail.
Il me dira qu’elle a montré notre histoire à son mari et qu’ils sont très heureux de leur nouvelle « vie » « Il te remercie ! »
Ce soir-là, j’ai trouvé un petit parking, au pied de la dune, derrière laquelle se trouve la plage des casernes que j’ai fréquentée dans ma jeunesse. Je me gare sous un lampadaire qui comporte une prise de courant, ce qui m’économise et recharge les batteries. Il y a aussi une borne de « dépotage » pour faire la vidange de ma cuve d’eaux usées. C’est un équipement assez rare en dehors des zones réservées aux campings cars.
Une fois garé, je me rends sur la plage naturiste derrière la dune. J’ai téléchargé un site qui les répertorie, comme un autre qui fait de même avec les lieux de drague, les saunas et autres clubs libertins. Je suis aussi connecté sur des sites d’information pour les camping-caristes.
A la tombée de la nuit, je retrouve mon « home » . Je dîne sur la table à l’extérieur et je rentre ensuite pour éviter les moustiques et rédiger mon journal.
Il est un peu plus de vingt-deux heures lorsqu’une voiture se gare à proximité, suivie par deux autres. Par la fenêtre, je vois que les conducteurs restent à l’intérieur. Pour un habitué comme moi, c’est le signe d’un coin de voyeurs.
Ne voyant rien se passer, je regarde un peu la télévision depuis mon lit et finalement, je dors. J’entends bien des véhicules arriver et repartir, mais ce soir, je n’ai pas d’envie coquine.
Le matin, je suis réveillé très tôt par quelqu’un qui tape à ma porte. Par la fenêtre, je vois une femme. J’ouvre et l’interpelle.
- « Bonjour madame. Que puis-je pour vous ?
- Euh… excusez-moi monsieur. Je suis en panne avec... ma voiture. Je n’arrive plus à redémarrer. Sûrement un problème de batterie.
- J’arrive. Je vous ouvre. »
J’enfile un peignoir et j’ouvre la porte à la dame. Je me rends compte qu’il fait frais dehors. Il faut dire que je n’ai rien sous mon peignoir. La femme n’est pas non plus très habillée. Une simple robe d’été. Elle a l’air frigorifiée.
- « Entrez ! Vous devez avoir froid !
- Oh merci !
- Vous allez prendre un café. Je vais préparer un petit déjeuner, vous le prendrez avec moi.
- Je ne voudrais pas vous déranger.
- Ne vous inquiétez pas.
- Vous êtes seul ?
- Oui. Je fais le tour de la France avec mon chien.
- C’est super ! Vous êtes drôlement bien installé !
- Je me suis fait plaisir. Je compte voyager longtemps.
- Vous en avez de la chance ! »
La dame se réchauffe et devient volubile. Je la détaille un peu. Sa robe dévoile des rondeurs attrayantes. De beaux yeux bleus et des cheveux blonds taillés courts..
J’ai fait cuire des croissants que j’ai toujours dans le congélateur. Ils sont vite avalés et j’en fais une deuxième fournée. Café, jus d’orange, tout y passe.
- « Bon, je vais aller m’habiller et je vais voir ce que je peux faire pour votre voiture. J’ai des câbles, cela pourrait fonctionner.
- En fait… ce n’est pas ma voiture… je suis venue avec un homme... elle est à lui…
- Ah ! Vous êtes des coquins !
- Oui.. Enfin .. non ! C’est la première fois pour moi. C’est lui qui m’a amenée ici pour voir. Je l’ai rencontré en boîte. Il est très vicieux. Il m’a convaincue de venir m’exhiber ici.
Dans la voiture, il m’a fait déshabiller pour me montrer aux voyeurs. Il avait allumé la lumière et des mecs se branlaient autour. Je me suis traitée de folle, mais j’étais excitée. Il me caressait, je le suçais, ça a duré longtemps.
A un moment, la lumière s’est éteinte. C’est la batterie qui a lâché. Il est parti chercher de quoi dépanner avec l’un des voyeurs. Il m’a laissée seule, mais il ne revient pas. J’ai eu froid, alors quand j’ai vu votre caravane ce matin, je me suis dit que vous étiez l’un des voyeurs qui était resté.
- Eh bien non. Je n’ai pas eu cette chance.
- Oh excusez-moi ! Vous devez me prendre pour une…
- Ne dites rien. Je regrette d’avoir manqué le spectacle, mais hier soir j’étais un peu fatigué. Je suis moi aussi assez… coquin.
- Oh !
- Je vous trouve très jolie d’ailleurs.
- C'est gentil, mais je ne suis plus très jeune.
- Ne dites pas ça !
- Je voudrais vous demander…
- Oui ?
- Pourrais-je utiliser vos toilettes ?
- Je vous en prie. » Je lui montre la cabine.
- « Vous êtes bien installé !
La femme s’enferme mais j’entends bientôt la cataracte de son pipi ce qui ne fait rien pour calmer mon excitation. Sous mon peignoir, ma bite est bien raide. Quand elle sort, elle jette un coup d’œil à la chambre, dans laquelle le lit est défait.
- « C’est drôlement grand ! Je ne pensais pas que ce soit comme ça !
- Ça vous dirait d’essayer ?
- Vous êtes un coquin !
- C’est à cause de votre ami ? Je comprends, mais devant une jolie femme, je tente toujours ma chance.
- Oh mon ami… Je ne le connais pas depuis longtemps ! Je... Je l’ai rencontré dans un bar hier après-midi. Nous sommes allés en boite et c’est ensuite qu’il m’a proposé de venir ici. Il voulait m’exhiber. Je suis désolée de vous avoir réveillé aussi tôt !
- Ce n’est pas grave ! J’ai ainsi fait votre connaissance.
- C’est gentil !
- Si on reprenait là où vous en étiez ?
- Comment ça ? » J’ouvre alors mon peignoir, exhibant ma queue bien raide.
- « Votre histoire m’a excitée.
- Mmhh ! »
La femme s’agenouille et sans hésitation, avale mon chibre tout en le branlant d’une main. Elle est douée et ma verge durcit encore.
Je la relève et j’entreprends de lui ôter sa robe. Surprise ! Elle ne porte pas de culotte !
- « Cochonne ! Tu te balades à poil !
- Il m’a enlevé la culotte cette nuit et je ne l’ai pas retrouvée dans la voiture !
- Sûrement un voyeur qui l’a dérobée ! »
Je dégrafe son soutien gorge et sa grosse poitrine s’expose. « Belles outres ! Je vais me régaler ! »
La femelle est toute en rondeurs et ma foi, plutôt attrayante. Je suce ses tétons érectiles, puis n’attendant plus, je la couche sur le lit. J’attrape une capote et je l’embroche aussitôt. Ma bite clapote dans sa chatte qui ruisselle. La femelle est bien chaude. Elle relève ses jambes et j’agrippe ses genoux pour s’écarter encore plus. Je me penche et elle me donne sa bouche pour un baiser passionné.
Son corps devient brûlant et d’un coup, elle s’affale sur le lit, dans un orgasme gigantesque. Je continue ma chevauchée et à mon tour je me vide dans le préservatif et je me couche sur elle.
Après un moment, je me retire. J’enlève ma capote et vais la jeter dans la poubelle.
Je reviens sur la couche et nous nous caressons un moment.
- « Eh bien ! Tu étais bien chaude !
- Je te choque ?
- Oh non ! Tu sauras qu’il m’en faut beaucoup pour l’être ! Non, j’ai adoré que tu te lâches comme ça !
- Tu sais… C’est la première fois.
- Comment ça ?
- Depuis quinze ans j’étais fidèle à mon mari. Il m’a trompée. C’est pour ça que je suis partie quelques jours pour réfléchir et faire le point. C’est comme ça que j’ai rencontré l’autre, mais finalement, je n’ai rien fait avec lui. Tu es donc mon premier amant depuis… longtemps.
- Et j’en suis très heureux.. et flatté.
- Tu en as bien profité mon salaud !
- J’ai trouvé une bonne et belle cochonne aussi.
- Oui ! C’est ça ! Traite-moi de cochonne ! J’aime t’entendre le dire. J’aime les mots crus !
- Tu vas être servie alors, espèce de salope, de pute..
- Oui ! Je veux être une salope...une pute avec toi !
- Au fait, c’est quoi ton prénom, dis-je en riant. Moi c’est Jacques
- Monique ! Oui.. bon… je sais ce que tu vas dire.
- C’est trop facile ! Mais j’aime te baiser.
- Dis-donc ! Tu es déjà en forme à ce que je vois !
- C’est toi qui m'excite. Ton corps et tes paroles aussi.
- Je n’excite plus mon mari.
- C’est peut-être que tu n’es pas assez salope avec lui. Il s’est lassé, c’est pour ça qu’il est allé voir ailleurs. Redeviens salope, cochonne avec lui et tu verras.
- Tu crois ?
- J’en suis sûr ! Tu reviens chez toi. Tu lui dis que toi aussi tu l’as fait cocu, que tu es une salope, une pute et que tu as envie qu’il te le montre. Que tu veux faire des choses cochonnes avec lui, t’habiller en pute et baiser, pourquoi pas avec d’autres.
- Tu veux déjà me renvoyer ?
- Pas du tout ! Si tu veux rester un peu, aucun problème. Mais avec l’autre ?
- Oh lui, il ne compte pas. Il ne m’a même pas baisée.
- Il en avait l’intention.
- Peut-être, mais c’est un looser ! Tomber en panne de batterie tout de même !
- Ça peut arriver, y compris pour un homme.
- Toi en tous cas, tu n’as pas l’air de tomber en panne.
- Viens salope ! Je vais te baiser en levrette ! Avec le cul que tu as, cela va être un régal.
- Mon mari me dit toujours que j’ai un gros cul.
- C’est vrai ! C’est pour ça qu’il est beau.
- Ce n’est pas ce qu’il dit.
- Mets-le en valeur avec une petite jupe un peu serrée, tu verras.
- Salaud ! Tu veux que je ressemble à une pute ?
- N’est-ce pas ce que tu veux ?
- Je… Enfin.. le dire…
- Je suis sûr que si ton mari te voit comme ça, il va te sauter dessus.
- Tu veux déjà me laisser tomber ?
- Pas avant de t’avoir baisée par tous les trous, salope !
- Oh oui ! Baise-moi partout ! »
Je mets Monique à genoux au bord du lit et je lui donne d’abord quelques claques sur les fesses, ce qu’elle a l’air d’apprécier. « C’est vrai que tu as un beau gros cul ! » J’attrape un nouveau préservatif et je l’enfile d’un coup. - « Oh oui ! C’est bon! Vas-y ! Défonce moi salaud ! ». Agrippé à ses hanches je la besogne en faisant claquer mon ventre contre ses fesses. C’est alors que pour la deuxième fois de la journée, on frappe à ma porte.
Je sors la tête par la fenêtre. Un homme se tient à la porte.
- « Que se passe-t-il ? Dis-je
- Pardon Monsieur. Vous n’auriez pas vu une dame sur le parking ? » je pense bien que c’est le « copain » de Monique.
- Je dormais. Avec ma femme, nous nous sommes endormis tard, il y a eu du bruit une partie de la nuit. Des voitures qui ont tourné. Nous n’avons rien vu. » Je fais signe à Monique de se taire.
- Excusez-moi de vous avoir dérangés. Bonne journée à vous.
- Bonne journée. »
Monique a regardé à travers le rideau.
- « C’était ton homme ?
- Oui. Tu as bien fait. Finalement, il n’est pas si terrible que ça !
- Bien reprenons où nous en étions.
- Oui salaud ! Viens me baiser ! »
L’homme qui a manifestement réparé sa voiture, quitte le parking. Nous sommes tranquilles. Monique expose son cul et je ne résiste pas à l’envie de lui lécher le petit trou.
- « Qu’est-ce que tu fais ! Arrête !
- Tu n’aimes pas ?
- Non.. Si, mais…
- Alors, laisse-toi faire.
- Tu veux ?…
- Oui, je vais t’enculer, mais pour l’instant, c’est ta chatte qui m’intéresse. »
Monique se laisse aller. Bien regonflé maintenant après l’interruption, je la pénètre à nouveau. Très vite, elle soupire et apprécie la position. Tout en la baisant, je lui assène quelques claques sur ses grosses fesses qui rougissent.
En cadence, je la lime, alternant les pénétrations rapides ou profondes. Elle grimpe dans les tours et s’affale d’un coup sur la couche, en proie à un bel orgasme.
Après cela, nous passons à la douche prise séparément, car la cabine est malgré tout étroite et ma compagne plutôt gironde. Je reste nu. Monique voudrait se rhabiller.
- « Tu peux rester nue aussi. En général, je reste à poil dans le camping-car. J’aime être nu. Je n’enfile un caleçon que pour conduire, en cas de contrôle.
- Je ne suis pas très belle…
- Tu me plais comme ça et franchement, à poil, tu es bandante. Si tu veux après, on va aller à la plage qui est derrière la dune.
- C’est que… je n’ai pas de maillot. Le mien est resté dans ma valise à la consigne de la gare routière.
- Pas de problème ! Je n’ai pas de maillot non plus, c’est une plage « cul nu ».On ira chercher tes affaires, à moins que tu ne préfères t’en aller ?
- Non, non, ce n’est pas ça ! J’ai très envie d’aller sur une plage naturiste. Je n’y suis jamais allée.
- Très bien ! Alors passe uniquement ta robe, je mets un bermuda et on y va. »
Nous passons la matinée à paresser nus sur le sable. Monique adore être nue au soleil. On se baigne aussi, puis retour au camping-car pour les heures les plus chaudes de la journée.
Après le repas et une petite sieste coquine, nous allons à la gare reprendre la valise à la consigne. Monique a décidé de rester un peu avec moi et nous allons continuer mon voyage tous les deux.
- « Juste deux ou trois jours. Si tu en as marre de moi, tu me le dis. Tu me déposes à une gare ou un arrêt de bus, aucun problème.
- D’accord. Idem pour toi. Quand tu en as assez, tu me le dis. Ça restera un joli souvenir. »
De Seignosse où nous étions à la plage des casernes - célèbre depuis les années soixante dix-, nous remontons vers Vieux Boucau. Je profite d’un petit cours d’eau pour faire le plein d’eau avec ma pompe. Nous nous promenons dans le village et je fais quelques photos avec des commentaires pour ma page FaceBook, qui raconte mon périple.
- « Tu vas parler de… moi ?
- Pas là-dessus, je serais censuré. Non. Je réserve cette partie pour un site d’histoires coquines, voire sexuelles.
- C’est vrai ? Tu vas raconter pour nous ?
- Oui. Je te rassure, de façon anonyme. Je changerais de prénom.
- Oh pas de problème. Tu me donneras l’adresse, j’irais voir ce que tu écris. Il y en a combien ?
- Tu seras la première.
- J’y crois pas !
- Pour ce qui concerne le périple oui. Tu trouveras d’autres histoires, mais tu es vraiment la première du voyage. Il faut dire que je ne suis parti que depuis quatre jours ! »
Nous filons ensuite vers la plage des sablières. Autre plage naturiste. Ce sont celles que je fréquente en priorité.
Je fais quelques provisions sur le marché. Je privilégie ces achats locaux plutôt que les surfaces commerciales.
J’installe mon camping-car pour la nuit. Je cale les roues grâce aux vérins hydrauliques. Cela évitera de faire trop remuer l’habitacle. Je déplie l’auvent. Nous pourrons manger en dessous. Nous profitons de la plage pour la fin de journée.
Enfermés dans le camping-car à l’abri des regards, nous nous dévêtons et Monique, très demandeuse, se donne à moi. Elle va m’offrir son cul comme cadeau. « Il n’y a que mon mari qui en a profité jusque là ! »
Le lendemain matin, j’écris sur ma page FaceBook, comme tous les jours. La veille, je n’avais fait qu’un bref récit. Je lis les commentaires des amis qui me suivent depuis mon départ et de ceux qui petit à petit s’ajoutent. Après quatre jours, ce sont déjà cent trente personnes qui me suivent.
Monique a décidé de faire un peu de rangement et de ménage dans mon habitacle. Après son départ, je décidai de le faire chaque jour.
Quand elle a fini ses tâches ménagères, elle se glisse sous la table et me gratifie d’une fellation gourmande alors que je rédige mon histoire coquine. Sans recul, elle avale mon sperme.
L’après-midi, après la sieste - coquine bien sûr- nous retournons à la plage. Je montre un moment à ma compagne, les voyeurs en haut de la dune et quelques personnes passant derrière.
- « Ça te dirait d’aller y faire un tour ?
- Pour quoi faire ?
- Baiser en se faisant voir, voir éventuellement d’autres faire pareil. Il y a sûrement des voyeurs. Si tu as envie, tu pourras sucer ou te faire prendre. »
J’emporte des préservatifs au cas où, et nous nous dirigeons vers le haut de la plage. Je remarque vite des hommes qui nous ont repéré et se dirigent vers nous.
Dans un petit coin dégagé, Monique à genoux commence à me sucer. Décidément, elle n’est pas bégueule.
Autour de nous, des hommes se sont approchés et se branlent. Je leur fais signe pour leur montrer que nous sommes partageurs.
Monique va en sucer cinq ou six et même, se faire prendre en levrette avec deux bites devant elle. J’en profite pour faire quelques photos qui vont agrémenter mon récit.
La nuit venue, nous allons revenir sur la plage pour faire l’amour au bord de l’eau. Éclairé par la lune, le corps de Monique est superbe. Je me régale de lécher sa peau salée par les embruns et les gouttes.
Monique coule sous les caresses de ma langue avant de réclamer que je la prenne alors que les vagues lèchent nos pieds.
Le lendemain, départ vers le Nord pour la prochaine étape. Ce sera la dernière avec Monique. Passage par Messanges pour une photo et c’est à Moliets que nous passons notre dernière nuit ensemble. C’est de là qu’elle prend un bus en direction de Dax pour rejoindre son mari.
Je l’encourage à raconter son escapade à son mari et à lui dire que dorénavant elle veut être une salope avec lui. Elle va correspondre avec moi plus tard, en message privé sur ma page, puis par mail.
Il me dira qu’elle a montré notre histoire à son mari et qu’ils sont très heureux de leur nouvelle « vie » « Il te remercie ! »
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien écrire une histoire permet de s'y croire,plus longue la chute nous laisse en rute.
Top
Plutôt original et trés agéable à lire.
J'avais des doutes avec la première partie mais votre histoire est excellente, merci