Périple en camping car 5 : Avec Sophie sur la côte atlantique
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Périple en camping car 5 : Avec Sophie sur la côte atlantique
Le lendemain matin, je vais dire au revoir à mes nouveaux amis, avec la promesse de revenir les voir.
- « Je ne sais pas quand. Mon tour de la France prend du retard. A ce rythme, j’en ai pour deux ans !
- Tu pourras faire des coupures. En tous cas, tu viens quand tu veux. Tu verras comme ça, que le chien de ton fils est bien traité.
- Ce sera le votre, mais OK ! »
Après un dernier baiser appuyé à Viviane, sous l’œil goguenard de Roger, je quitte la cabane. Rocky est tout heureux de retrouver son siège devant, pour regarder le paysage. Il ne sait pas encore qu’il devra céder sa place dans une trentaine de kilomètres.
A Lège, je retrouve Viviane sur le parking d’un centre commercial. Discrètement, Sophie monte à l’arrière avec son gros sac. Un dernier baiser - pudique celui-là – à Viviane et nous voilà partis, droit au Nord.
Sophie est enchantée de se promener dans le camping-car. La position haute permet de mieux découvrir le paysage.
Volontairement, je décide de rouler assez longtemps, pour « oublier » un peu le séjour. Je m’arrête bien sûr dans chaque village pour une photo ou une brève visite. Nous remontons vers le Médoc et la pointe de grave
Le Porge, Lacanau, Carcans, Hourtin et enfin Vendays-Montalivet, la célèbre station balnéaire, temple du naturisme de la côte atlantique.
En cette période, on trouve un emplacement au centre “hélio-marin”. Je fais découvrir à Sophie les joies de se promener nue au milieu des gens, y compris dans les commerces. Intimidée au début, elle se rend compte qu’aucun regard méprisant ne s'adresse vers elle, au contraire. Je lui fais remarquer que quelques messieurs et aussi des dames, ont l’air d’apprécier son anatomie. Ils sont plutôt curieux de voir cette jeune fille ronde au bras d’un vieux monsieur, surtout que nous ne faisons rien pour passer pour un grand-père et sa petite fille.
Le « camion » est bien calé et nous essayons tout de même d’être assez discrets lors de la nuit. Sophie a bien l’intention de profiter chaque jour - et chaque nuit – pour continuer sa « formation » de cochonne. Elle fait tout ce qu’elle peut en permanence pour m’exciter. Son plus grand jeu et de me sucer à tout moment, sans me faire jouir, mais pour me garder en érection. Au bout d’une heure ou deux, elle est tellement excitée elle aussi, qu’il faut que je la prenne dans n’importe quelle position, debout, assise ou couchée. Sur la table ou par terre.
Elle regrette de ne pouvoir le faire à l’extérieur et me déclare qu'à l’avenir, on évitera les campings ou les endroits fréquentés.
Nous restons nus toute la journée. Pour déjeuner sous l’auvent, pour nous promener avec Rocky qui fait la joie des enfants et l’admiration des parents.
Petit intermède dans la chambre, le temps d’une sieste coquine et le soir, nous dînons au restaurant du camp, la seule contrainte étant de mettre une culotte.
Dès le lendemain, nous repartons. Dernière étape à Soulac-sur-mer avant Le Verdon. Nous y prendrons le bac pour Royan. Avant, je veux faire découvrir les joies de la plage naturiste située tout au bout de la pointe de Grave. Quand nous étions sur la plage du Ferret, c’était différent. C’était la nuit et elle se trouvait avec des camarades de son âge. Là, ce sont des familles avec parfois des enfants, des vieux aussi. Intimidée au départ, Sophie prend très vite plaisir à cette situation
La traversée de l’estuaire de la Gironde est un délice. En cette période, il y a peu d’attente. A la proue du bateau, Sophie a envie de se la jouer « Titanic ». A nos côtés, sagement assis, Rocky aime se retrouver la truffe face au vent marin. Au loin, on peut voir le prestigieux phare de Cordouan, merveille d’architecture qui garde l’embouchure depuis l’époque de Henri IV ! (1611)
La visite de Royan s’impose. Je trouve un vélo pour Sophie qui pourra se faire remorquer par Rocky. Je suivrai avec mon électrique.
En circulant, nous passons devant un laboratoire d’analyse. Je propose à Sophie de faire un test HIV. Ma consommation de capotes est importante et puis j’ai envie de lui faire l’amour sans préservatif.
L’employée est un peu surprise par notre couple, mais ne fait pas de remarque. Elle nous propose de repasser en fin de journée pour le résultat.
Nous profitons du temps d’attente, pour aller un peu à la plage et faire un tour dans cette ville, rasée durant la seconde guerre mondiale et qui possède donc une architecture moderne.
Nos deux tests sont négatifs et nous sommes si impatients, que toute affaire cessante, nous rentrons à notre « nid douillet » pour faire l’amour pour la première fois sans protection.
Sophie aime. Pour la première fois de sa vie, mis à part quelques pipes dans des voitures, elle peut profiter d’un sexe non protégé.
Tout y passe. Pour cette première, on commence par son vagin, car elle a envie de sentir un bite sans plastique et surtout, le sperme qui coule dans sa chatte. Plus tard, son cul aussi sera arrosé.
Sophie reste nue dans le camping-car. Elle ne consent à revêtir un large tee-shirt que lorsqu’elle est dans le siège passager, où elle prend la place de Rocky, qui doit se contenter de regarder la route, assis entre nous.
Nous remontons ainsi le long de la côte, avec des escales incontournables : Marennes, l’île d’Oléron où nous passons deux nuits, dont une près de la plage naturiste au nord de l’île.
Vient ensuite Rochefort, avec une visite à la Corderie Royale et à l’Hermione. La Rochelle et bien sûr, l’île de Ré.
Sophie va rester deux semaines avec moi. Je lui ferai découvrir l’exhibition sur un parking de routiers et même une soirée échangiste avec un couple de camping-caristes dans la cinquantaine, qui stationnait à côté de nous et se sont révélés très coquins. Comme quoi, c’est parfois bon d’avoir des voisins.
La femme et l’homme sont bissexuels. Toutes les combinaisons y sont passées. Sophie m’avait déjà vu avec des hommes, mais là, le contexte est différent. Nous faisions l’amour dans le respect de l’autre. Et dans le cul aussi bien sûr !! Ah Ah !
Ils sont bronzés intégralement et complètement épilés.
Le lendemain matin, la femme va faire l’épilation intégrale de Sophie et en profiter pour la baiser et la sodomiser au gode-ceinture.
Même si nos chemins se croisent, car ils descendent dans le Sud, nous décidons tous, de rester sur place une nuit supplémentaire pour profiter pleinement de cette rencontre.
Sophie a compris que j’aimais la voir nue. Ses gros seins et son gros cul sont des merveilles à regarder et à caresser. Dans le camion elle est nue, y compris quand elle est à la place du passager et que nous sommes sur de petites routes. Elle ne porte qu’un string minimaliste couleur chair qui donne l’impression qu’elle est nue. Quand nous mangeons à l’extérieur, si nous risquons d’être vus, c’est pareil. En revanche, si le camion est orienté de sorte que personne ne nous voit, elle reste là aussi, complètement nue.
La coquine sait bien qu’à un moment, je serai si excité, que je ne tarderai pas à la solliciter. Si ce n’est pas le cas, parfois je fais exprès de la faire languir en la voyant se trémousser, c’est elle-même qui prend l’initiative. Elle vient s’agenouiller devant moi pour me sucer. Elle ne cherche pas chaque fois à me faire jouir, mais comme elle adore faire des fellations, elle me pompe un peu, me caresse, puis s’arrête pour reprendre un peu plus tard. A ce régime, je suis souvent en érection, ce qui plaît beaucoup à la gamine.
Une fois, elle a osé me sucer alors que je conduisais sur une petite route déserte. Le premier chemin carrossable m’a permis de m’arrêter et c’est contre un arbre que je l’ai baisée, ou plutôt sodomisée, à sa demande expresse.
Elle aime maintenant que je lui « bouffe le cul » et je ne lui refuse jamais cette caresse qu’elle trouvait honteuse il y a peu.
Elle sait aussi que j’aime me faire enculer et elle me gode vaillamment, tout un me suçant « en souvenir de la première fois quand je t’ai sucé sur la plage et que les garçons te baisaient». Dans ces cas là, elle sait aussi que je suis « vidé » pour un moment, du coup, elle réserve cette pratique à la fin de nos ébats, quand elle-même a bien jouit.
Le récit de nos « frasques » serait une succession de baises, dans le camion, mais aussi à l’extérieur. Sophie s’est entièrement décomplexée et de retour au Ferret elle deviendra la maîtresse commune de ses employeurs, vivant même chez eux.
Le mois de septembre est passé. Les journées sont encore agréables. Je laisse Sophie à Nantes, pour qu’elle passe une semaine à Paris chez sa copine alibi, et je poursuis ma route, maintenant seul
- « Je ne sais pas quand. Mon tour de la France prend du retard. A ce rythme, j’en ai pour deux ans !
- Tu pourras faire des coupures. En tous cas, tu viens quand tu veux. Tu verras comme ça, que le chien de ton fils est bien traité.
- Ce sera le votre, mais OK ! »
Après un dernier baiser appuyé à Viviane, sous l’œil goguenard de Roger, je quitte la cabane. Rocky est tout heureux de retrouver son siège devant, pour regarder le paysage. Il ne sait pas encore qu’il devra céder sa place dans une trentaine de kilomètres.
A Lège, je retrouve Viviane sur le parking d’un centre commercial. Discrètement, Sophie monte à l’arrière avec son gros sac. Un dernier baiser - pudique celui-là – à Viviane et nous voilà partis, droit au Nord.
Sophie est enchantée de se promener dans le camping-car. La position haute permet de mieux découvrir le paysage.
Volontairement, je décide de rouler assez longtemps, pour « oublier » un peu le séjour. Je m’arrête bien sûr dans chaque village pour une photo ou une brève visite. Nous remontons vers le Médoc et la pointe de grave
Le Porge, Lacanau, Carcans, Hourtin et enfin Vendays-Montalivet, la célèbre station balnéaire, temple du naturisme de la côte atlantique.
En cette période, on trouve un emplacement au centre “hélio-marin”. Je fais découvrir à Sophie les joies de se promener nue au milieu des gens, y compris dans les commerces. Intimidée au début, elle se rend compte qu’aucun regard méprisant ne s'adresse vers elle, au contraire. Je lui fais remarquer que quelques messieurs et aussi des dames, ont l’air d’apprécier son anatomie. Ils sont plutôt curieux de voir cette jeune fille ronde au bras d’un vieux monsieur, surtout que nous ne faisons rien pour passer pour un grand-père et sa petite fille.
Le « camion » est bien calé et nous essayons tout de même d’être assez discrets lors de la nuit. Sophie a bien l’intention de profiter chaque jour - et chaque nuit – pour continuer sa « formation » de cochonne. Elle fait tout ce qu’elle peut en permanence pour m’exciter. Son plus grand jeu et de me sucer à tout moment, sans me faire jouir, mais pour me garder en érection. Au bout d’une heure ou deux, elle est tellement excitée elle aussi, qu’il faut que je la prenne dans n’importe quelle position, debout, assise ou couchée. Sur la table ou par terre.
Elle regrette de ne pouvoir le faire à l’extérieur et me déclare qu'à l’avenir, on évitera les campings ou les endroits fréquentés.
Nous restons nus toute la journée. Pour déjeuner sous l’auvent, pour nous promener avec Rocky qui fait la joie des enfants et l’admiration des parents.
Petit intermède dans la chambre, le temps d’une sieste coquine et le soir, nous dînons au restaurant du camp, la seule contrainte étant de mettre une culotte.
Dès le lendemain, nous repartons. Dernière étape à Soulac-sur-mer avant Le Verdon. Nous y prendrons le bac pour Royan. Avant, je veux faire découvrir les joies de la plage naturiste située tout au bout de la pointe de Grave. Quand nous étions sur la plage du Ferret, c’était différent. C’était la nuit et elle se trouvait avec des camarades de son âge. Là, ce sont des familles avec parfois des enfants, des vieux aussi. Intimidée au départ, Sophie prend très vite plaisir à cette situation
La traversée de l’estuaire de la Gironde est un délice. En cette période, il y a peu d’attente. A la proue du bateau, Sophie a envie de se la jouer « Titanic ». A nos côtés, sagement assis, Rocky aime se retrouver la truffe face au vent marin. Au loin, on peut voir le prestigieux phare de Cordouan, merveille d’architecture qui garde l’embouchure depuis l’époque de Henri IV ! (1611)
La visite de Royan s’impose. Je trouve un vélo pour Sophie qui pourra se faire remorquer par Rocky. Je suivrai avec mon électrique.
En circulant, nous passons devant un laboratoire d’analyse. Je propose à Sophie de faire un test HIV. Ma consommation de capotes est importante et puis j’ai envie de lui faire l’amour sans préservatif.
L’employée est un peu surprise par notre couple, mais ne fait pas de remarque. Elle nous propose de repasser en fin de journée pour le résultat.
Nous profitons du temps d’attente, pour aller un peu à la plage et faire un tour dans cette ville, rasée durant la seconde guerre mondiale et qui possède donc une architecture moderne.
Nos deux tests sont négatifs et nous sommes si impatients, que toute affaire cessante, nous rentrons à notre « nid douillet » pour faire l’amour pour la première fois sans protection.
Sophie aime. Pour la première fois de sa vie, mis à part quelques pipes dans des voitures, elle peut profiter d’un sexe non protégé.
Tout y passe. Pour cette première, on commence par son vagin, car elle a envie de sentir un bite sans plastique et surtout, le sperme qui coule dans sa chatte. Plus tard, son cul aussi sera arrosé.
Sophie reste nue dans le camping-car. Elle ne consent à revêtir un large tee-shirt que lorsqu’elle est dans le siège passager, où elle prend la place de Rocky, qui doit se contenter de regarder la route, assis entre nous.
Nous remontons ainsi le long de la côte, avec des escales incontournables : Marennes, l’île d’Oléron où nous passons deux nuits, dont une près de la plage naturiste au nord de l’île.
Vient ensuite Rochefort, avec une visite à la Corderie Royale et à l’Hermione. La Rochelle et bien sûr, l’île de Ré.
Sophie va rester deux semaines avec moi. Je lui ferai découvrir l’exhibition sur un parking de routiers et même une soirée échangiste avec un couple de camping-caristes dans la cinquantaine, qui stationnait à côté de nous et se sont révélés très coquins. Comme quoi, c’est parfois bon d’avoir des voisins.
La femme et l’homme sont bissexuels. Toutes les combinaisons y sont passées. Sophie m’avait déjà vu avec des hommes, mais là, le contexte est différent. Nous faisions l’amour dans le respect de l’autre. Et dans le cul aussi bien sûr !! Ah Ah !
Ils sont bronzés intégralement et complètement épilés.
Le lendemain matin, la femme va faire l’épilation intégrale de Sophie et en profiter pour la baiser et la sodomiser au gode-ceinture.
Même si nos chemins se croisent, car ils descendent dans le Sud, nous décidons tous, de rester sur place une nuit supplémentaire pour profiter pleinement de cette rencontre.
Sophie a compris que j’aimais la voir nue. Ses gros seins et son gros cul sont des merveilles à regarder et à caresser. Dans le camion elle est nue, y compris quand elle est à la place du passager et que nous sommes sur de petites routes. Elle ne porte qu’un string minimaliste couleur chair qui donne l’impression qu’elle est nue. Quand nous mangeons à l’extérieur, si nous risquons d’être vus, c’est pareil. En revanche, si le camion est orienté de sorte que personne ne nous voit, elle reste là aussi, complètement nue.
La coquine sait bien qu’à un moment, je serai si excité, que je ne tarderai pas à la solliciter. Si ce n’est pas le cas, parfois je fais exprès de la faire languir en la voyant se trémousser, c’est elle-même qui prend l’initiative. Elle vient s’agenouiller devant moi pour me sucer. Elle ne cherche pas chaque fois à me faire jouir, mais comme elle adore faire des fellations, elle me pompe un peu, me caresse, puis s’arrête pour reprendre un peu plus tard. A ce régime, je suis souvent en érection, ce qui plaît beaucoup à la gamine.
Une fois, elle a osé me sucer alors que je conduisais sur une petite route déserte. Le premier chemin carrossable m’a permis de m’arrêter et c’est contre un arbre que je l’ai baisée, ou plutôt sodomisée, à sa demande expresse.
Elle aime maintenant que je lui « bouffe le cul » et je ne lui refuse jamais cette caresse qu’elle trouvait honteuse il y a peu.
Elle sait aussi que j’aime me faire enculer et elle me gode vaillamment, tout un me suçant « en souvenir de la première fois quand je t’ai sucé sur la plage et que les garçons te baisaient». Dans ces cas là, elle sait aussi que je suis « vidé » pour un moment, du coup, elle réserve cette pratique à la fin de nos ébats, quand elle-même a bien jouit.
Le récit de nos « frasques » serait une succession de baises, dans le camion, mais aussi à l’extérieur. Sophie s’est entièrement décomplexée et de retour au Ferret elle deviendra la maîtresse commune de ses employeurs, vivant même chez eux.
Le mois de septembre est passé. Les journées sont encore agréables. Je laisse Sophie à Nantes, pour qu’elle passe une semaine à Paris chez sa copine alibi, et je poursuis ma route, maintenant seul
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