Person of interest 2

- Par l'auteur HDS Maximus -
Récit érotique écrit par Maximus [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Person of interest 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Person of interest 2
Person of interest 2

Vos agréables commentaires m’ont beaucoup touché. Je vous en remercie chaleureusement.
Comme je vous l’avais promis, voici la suite de cette rencontre remarquable.

ooo/ooo

Quitter cette chambre d’hôtel après une telle nuit de sensations fortes n’était pas simple. J’aurais aimé pouvoir encore profiter de cet homme si troublant à bien d’égards, mais je me raisonnai du fait de ses propres obligations. Je rentrai chez moi sans me rendre à mon travail, l’esprit bien trop accaparé par d’autres pensées : faire un somme, rêver de lui, puis me préparer à le retrouver. Pour tout cela, j’avais moins de 12 heures.

ooo/ooo

Le cœur battant à tout rompre, j’espérai retrouver la même personne en toquant à la porte de sa chambre. Celle-ci s’ouvrit comme s’il me guettait, et Pierre m’accueillit avec un radieux sourire.
- Entre vite !
En une seconde, toute la pression retomba. À peine la porte refermée, il me serra fort contre lui, murmura son plaisir de me retrouver. Je lâchai mon petit sac pour répondre à cette tendre étreinte, heureux de ressentir les mêmes choses à son contact. Que m’arrivait-il ? Je ne me connaissais pas si tactile avec un homme, si désireux de le palper, de le caresser, de le désirer à en perdre la raison !
Mes réactions à son contact me rappelaient étrangement mon premier flirt avec la fille qui prit mon pucelage… Un sentiment amoureux, accompagné des attitudes en rapport avec cet état, me donnait des ailes pour la rejoindre.
Je dénouai son peignoir et me blottis contre son corps nu, le nez dans son cou pour mieux le “respirer”, heureux d’être là, et pourtant très troublé.
- La journée a été interminable ! Lui dis-je. Je craignais que tu aies changé d’avis. J’avais tellement hâte de te retrouver !
- Hummmm… Je ne sais toujours pas ce qui m’arrive, mais ta présence me fait un bien fou ! J’ai besoin de te sentir contre moi.
Nous prîmes le temps de savourer cet instant magique empreint de délicatesse et d’affection. S’il s’agissait pourtant de désir sexuel ! Pourtant, nos émotions prenaient une dimension beaucoup plus… affective.
Sur la table basse du coin salon trônait un seau à champagne avec 2 flûtes et un plateau garni de d’appétissants canapés. Mon hôte voyait les choses en grand, certainement à l’image de son très beau sexe. Malgré mon impatience de lui appartenir à corps perdu, j’appréciais qu’il ne soit pas un queutard dénué de sentiments avide de me la mettre, peu importe où.
Les bulles éclataient délicieusement dans ma bouche ; assis tous deux de 3/4 sur le petit sofa, nous parlions comme si nous ne nous étions vus depuis des jours, une douce atmosphère emplissait la pièce, nos yeux pétillaient, notre entente était évidente et notre désir… à fleur de peau.
Sur le plan physique, mon regard se trouvait irrésistiblement attiré vers son entrejambe ; de son peignoir resté dénoué, son service 3 pièces me donnait des vagues de chaleur dans le bas-ventre et du sang chaud gonflait lentement ma verge. Ma peau réclamait son contact, revivant nos étreintes, ses coups de reins, et les réminiscences du goût de sa semence étaient bien plus aphrodisiaques que les gorgées de champagne.
Sa main caressait mon dos, la mienne sa cuisse.
- Je pense être déjà ivre ! Confiais-je. Mais de désir !
- Je ne savais pas comment l’aborder… Tu permets que je t’aide à te dévêtir ?
- Avec énormément de plaisir. Je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon et pour être très honnête, je meurs d’envie d’être collé à toi.
J’ôtai mes chaussures bateau et ma chemise ; il retira complètement son peignoir et vint contre moi pour défaire ma ceinture et déboutonner mon jean. Je soulevai les fesses pour dégager le pantalon et nous étions enfin nus.
- Que tu es beau ! Siffla-t-il en saisissant mon sexe et mes bourses. Et sacrément membré ! Je n’arrive même pas à croire ce que je viens de dire.
- Tu es très beau, Pierre. Tu me plais énormément, et je m’étonne tout autant que toi de devoir l’exprimer.
- Hier encore, je t’aurais traité de fou si tu m’avais prédit ce que je suis en train de faire : caresser le sexe d’un mec et le désirer ! Tu penses que je perds la raison ?
- Certainement pas ! Vivons ce que nous ressentons, et nous verrons bien si l’on redescend de notre nuage.
Notre désir charnel n’attendit pas que nous soyons dans le lit. En plein milieu de la pièce, nous nous enlaçâmes, ventres collés, nos mains effectuant un sensuel ballet dans lequel aucune zone de notre peau était épargnée. Je l’embrassai dans le cou en lui pinçant les seins, puis les lui mordillai, caressai amoureusement sa queue magistrale. Ses mains glissaient sur moi avec gourmandise ; j’en saisis une au passage et lui suçai les doigts en l’aguichant du regard. Sa queue en sursauta, il était temps que je m’occupe d’elle, mais déjà ses doigts mouillés sondaient ma petite porte. Ils ne trouvèrent aucune résistance. Il me plaqua contre lui en me les enfonçant magnifiquement. Il avait tout compris, j’étais à lui.
- Tu as envie de moi ?
- Ooooh Pierre, comme tu n’en as pas idée.
- J’aime glisser en toi. Je te désire comme un fou !
- Je te veux de partout en moi. Hummmm… Laisse-moi déjà te goutter !
À genoux, extasier devant ce monument de chair à peine maintenu par mes doigts, je plongeai littéralement mon visage dans son entrejambe. J’y retrouvai son odeur légèrement musquée ainsi que l’exquise douceur de la peau de ses volumineuses bourses lorsque je la lui aspirai. Je gobai ses testicules, l’un après l’autre, avant de parcourir tout le dessous de son vit d’une langue excessivement baveuse. Parvenu au gland fièrement décalotté, je le léchai pour en apprécier la douceur, parcourant plusieurs fois la corolle formée par le prépuce rétracté. Le regard mutin, lui demanda s’il m’autorisait à le sucer.
Son approbation fut sans équivoque, son nœud pénétra ma bouche béante, ses mains saisirent ma tête et j’entamai une lente succion en dodelinant de gauche à droite. Seules ses couilles restaient captives de mes doigts.
- Ooooh Maxime, ce que tu suces bien. Que c’est divinement bon !
Bon ? Il n’avait pas idée du plaisir que cela me produisait. Sucer un homme que l’on désire est indescriptible et peut-être inaudible pour celui qui n’a jamais prodigué de fellation. J’en salivais, grognais de plaisir, jouissant de l’immense privilège de pouvoir lui offrir du plaisir, mais plus égoïstement du subtil goût de son puissant sexe. J’aurais tant aimé pouvoir le prendre davantage en bouche si sa grosseur ne me l’interdisait. Je tempérai cette frustration en me disant qu’une autre partie de moi s’en régalera assez vite.
J’alternai en le léchant et en revenant sur ses bourses, lui répétant que j’aimais m’occuper de sa queue, puis le pompai de nouveau. Je prenais un pied phénoménal, bandant à tout rompre, mon anus se dilatant et se contractant frénétiquement tant mon ventre entier réclamait sa quote-part de sexe.
- Je t’en prie, ne me fais pas jouir trop vite, Maxime. Laisse-moi un peu m’occuper de toi.
Affalés en 69 en travers du lit, Pierre saisit ma queue et contre toute attente, la guida… entre ses lèvres. D’abord un peu maladroitement, il cherchait le bon rythme, ce qui est loin d’être évident les premières fois tant il y a d’informations à gérer. Je l’encourageai en lui exprimant mon plaisir sincère, car rares sont les hommes actifs qui sucent ou aiment sucer !
- C’est énorme ! Je me demande comment tu fais pour me faire autant jouir avec ta bouche ? S’étonnait-il. Mais que c’est agréable à faire !
Il prit le temps de la découverte, j’appréciai son jeu de langue autant que cette inattendue “inversion des rôles”.
Cramponné à ses fesses, je gobai ses couilles offertes à ma gourmandise ; pour la première fois de ma vie, je pointai une langue mutine vers son œillet plissé qui se trouvait à quelques centimètres à peine. Jamais je n’avais imaginé pouvoir faire une telle chose ni même en éprouver l’envie ! Mais rien de ce que je savais de moi ne s’appliquait à lui.
J’explorai d’abord timidement cette nouvelle caresse, sentant étrangement les spasmes de son anus à chacun de mes passages. Tantôt pointue, tantôt à plat, je décrivis de petits cercles puis finis par le lécher grassement en parcourant cette zone si sensible. Une fois bien mouillé, j’osai y glisser un doigt, ce qui le fit se contracter en grognant de plaisir. Je le laissai bien en place et revins le branler et lui dévorer les bourses, tout en ayant découvert une variante supplémentaire pour lui donner du plaisir.
Nous n’étions pressés de jouir, la nuit précédente avait bien calmé notre impétuosité. Le moment était dédié à la tendresse et au plaisir mutuel, nous connaissions déjà nos corps.
Je lui demandai de ne pas me faire jouir trop vite, je brûlai d’envie qu’il me prenne.
- Hummm… Je comprends maintenant pourquoi tu aimes tant me sucer. Dit-il. J’adore !
- Fais gaffe, tu ne vas plus pouvoir t’en passer !
- Si j’assume de faire l’amour avec toi, j’ai bien envie de profiter de tout ce que tu veux bien m’offrir. Même si ça fait mal à la mâchoire.
- Je comprends, Je ferais n’importe quoi pour avoir une bouche capable de mieux te sucer.
Son sourire illumina son visage ; se redressant, il me serra contre lui, m’embrassa avec beaucoup de tendresse dans le cou.
- Tu n’es pas banal, toi. Chuchota-t-il. J’ai vraiment envie de toi.
Je récupérai un petit flacon d’huile dans mon sac. Accroupi entre ses jambes, j’en étalai sur son mât gonflé à tout rompre en lui disant que j’adorais son sexe, qu’il me rendait dingue, qu’il pourrait me sauter autant qu’il le désirerait. J’étais vraiment “dilaté comme jamais” de désir, mon corps tout entier lui était offert.
Il se redressa et je vins me placer sur lui en amazone. Je le guidai entre mes fesses, son nœud se plaça aisément sur mon anus. Il me tint les fesses écartées et les yeux dans les yeux, nous nous souriions, complices de délices, prêts à nous unir de nouveau.
J’inspirai profondément, poussai et lentement, son gland repoussa mes chairs les plus intimes. Encore quelques légères poussées, mon rectum accueillit le gros bout.
Un long frisson parcourut mon dos, l’information circulait, j’étais de nouveau et pour mon plus grand plaisir… habité. J’attirai Pierre contre ma poitrine et nous commencions de très lents mouvements de bassin. Il disait des mots tendres auxquels je répondais, mes doigts perdus dans ses cheveux, le souffle court tant l’ogive était énorme.
Le temps de m’accoutumer, sa queue me sembla étrangement plus épaisse que la nuit précédente ; pourtant, il m’assura avoir terminé sa croissance. À l’intérieur de mon ventre, une intense chaleur vint s’ajouter aux frémissements de ma peau à mesure que je m’empalai. L’extrême sensation d’être autant au bord de l’éclatement qu’au bord de l’orgasme, râlant déjà de plaisir alors qu’à peine la moitié de sa virilité me pénétrait !
- Oh Pierre, ressens-tu le même plaisir que moi ?
- Il me semble qu’on soit fait pour nous entendre.
- J’adore faire l’amour avec toi. Tu es si doux… Et si gros ! Ooooooh ouiiiii, ta queue !
- Tu es si serré que parfois, j’ai l’impression d’être dans ta bouche.
- Hummmm… te sucer. J’adore quand tu jouis entre mes lèvres.
- Gourmand !
- Ton sperme est comme toi : divin.
Le temps se figeait, nous étions dans une étreinte passionnelle, en fusion totale, pleines de caresses, de mots doux ; je ne sais combien de temps nous restâmes à nous aimer dans cette délicieuse position. Nos corps en sueur se mélangeaient inlassablement, mettant nos sens en ébullition.
Je découvrais son incroyable endurance qui n’avait d’égal que son désir de donner du plaisir. Il me fit ainsi plusieurs fois hurler de plaisir avant que nous ne changions. Sans nous désunir, nous basculâmes de manière que je me retrouve sur le dos. Instinctivement, mes jambes vinrent se refermer dans son dos pendant qu’il s’allongea sur moi. C’était totalement inédit pour moi : J’étais m’offris à lui sur le dos, les cuisses largement écartées et lui ouvrai les bras pour que nous nous collions.
Son sexe reprit ses délicieux assauts, toujours très délicatement. Dans cette position, il était énorme et me distendait à l’extrême. À chaque poussée, il gagnait du terrain et m’arracher de longs feulements. À mesure qu’il me pénétrait, j’entrai dans une autre dimension. Il variait le rythme, ressortait presque pour mieux replonger.
- Tu me rends dingue ! Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi puissant ! Lui confiais-je.
Il m’avoua le découvrir en même temps que moi, qu’il devenait accroc à “mon petit cul serré”, que de me sentir prendre autant de plaisir le motivait ! Je le serrai dans mes bras, l’embrassai dans le cou, le mordis à l’épaule tant j’en perdais la raison.
Il restait quelques centimètres de sa longue verge encore hors de moi, pourtant ses bourses venaient régulièrement au contact mes fesses. Cet homme était un Dieu au sexe titanesque. Ma tête roulait, je haletais, le cœur battant la chamade, à la limite de la perte de connaissance, jouissant en continu. Plus je le désirais, plus il plongeait aisément ; mon esprit, libéré de toute crainte, de tout préjugé, lui avait ouvert toutes les portes. Mon bassin se soulevait pour mieux l’épouser, mon sphincter le comprimait pour qu’il ne s’en aille. Ses poils pubiens contre mes bourses, ses couilles échouées contre mes fesses, Il cessa quelque instant tout mouvement. Nous étions ivres de sensations, de plaisirs, d’informations, nos peaux collées de sueur. L’orgasme était imminent, Les pieds remontés hauts dans son dos, nos bassins, en effectuant de petits mouvements, recherchaient le petit déclenchement. Tout au fond de mon ventre, nos muqueuses se tutoyaient, transigeaient, puis trouvèrent un accord.
Ma main serra plus fort sa nuque, je hurlai mon plaisir dans son cou, tout mon rectum se contracta autour de lui, déclenchant sa jouissance. Nos cris se confondaient, nous jouissions avec une intensité inimaginable. Ses coups de reins, les pulsations de son gland rythmaient son éjaculation, son foutre brûlant se déversant tout au fond de mon ventre ; le mien s’écoulait entre nos corps. Le temps aussi se dilata afin de nous permettre de nous imprégner du pacte que nous venions de conclure.
Les quelques minutes qui suivirent, nous restions immobiles, toujours l’un dans l’autre, nos peaux plaquées par la sueur et mon sperme. Néanmoins, je ne pouvais m’empêcher de caresser mon incroyable amant. En 24 heures à peine, il m’avait déjà donné autant de plaisir que l’ensemble des hommes que j’avais rencontrés en 2 années.
Nous étions si fusionnels ! Jamais je n’avais autant ressenti le plaisir d’un homme. D’ailleurs, aucun n’était allé aussi profond. J’étais fier de l’avoir entièrement reçu, mais aussi déjà fier de sa queue hors norme !
- Dis-moi que nous sommes encore vivants, s'il te plaît ? Demandais-je.
- Oh Maxime… Quelle folie ! Me répondit-il.
- Je n’ai de ma vie autant joui, Pierre.
- Moi non-plus. Je vais de découvertes en stupéfactions avec toi !
- J’aime te sentir lentement débander en moi.
- Tu n’as pas eu mal, au moins ?
- Oh non ! Je n’en reviens toujours pas, car tu es vraiment monté comme un cheval !
- Comme quoi tous les chevaux ne désarçonnent pas leur cavalier ! Ironisa-t-il en contractant sa verge restait en moi.
Nous nous câlinions avec beaucoup de tendresse, n’hésitant pas à nous baiser le cou ou les joues ; si son sexe perdait lentement de sa superbe, il restait encore beaucoup plus gros et long que mes amants précédents, ce qui n’était pas pour me déplaire.
Pierre se retira avec beaucoup de délicatesse, laissant après lui un vide incroyable et mon anus béant. Son ventre était maculé de mon sperme, et je sentis le sien commencer à se liquéfier en moi. J’avais appris à apprécier l’indéfinissable sensation du foutre s’écoulant le long de mes cuisses. Vu la durée de nos ébats, la puissance de son orgasme, il m’avait gratifié d’une dose exceptionnelle, dont quelques traces subsistaient sur sa verge.
- Je crois qu’une bonne douche s’impose, non ? Dit-il.
- Clairement ! Tu m’as bien rempli ! Ça coule !
Je serrai les fesses jusqu’à la douche, mais mon anus toujours grand ouvert et mon rectum transformé en tunnel ne retenaient plus son sperme dégoulinant le long de mes cuisses. L’eau ruisselant sur nos corps enlacés nous redonna du dynamisme et rinça nos émotions.
Tout frais, nous revînmes sur le canapé profiter d’un verre de champagne et de déguster quelques toasts. Pierre s’intéressait à tout, me posant beaucoup de questions sur la sexualité entre hommes, sur mes expériences. Je voulus lui épargner la jalousie non justifiée et des comparaisons malsaines.
J’expliquai qu’il s’agissait initialement pour moi de pulsions. Adolescent, je rêvais simplement de sucer un homme, dans mon imaginaire très bien membré, de la laisser jouir dans ma bouche. Je fantasmais aussi sur la quantité et le goût du sperme.
- Sucer est bon ! Mais le sperme… C’est étrange comme texture, non ? S’inquiéta-t-il.
- S’il a à peu près toujours les mêmes caractéristiques, beaucoup d’hommes ont un goût différent selon qu’ils fument, ce qu’ils mangent, ce qu’ils boivent et… S’ils baisent beaucoup ou pas ! Parfois plus liquide ou plus épais. Mais sucer est avant tout d’ordre psychologique et avaler est pour moi la suite logique, l’ultime récompense.
- Je comprends. Et pour la sodomie, tu y es venu plus tard ?
- J’avais déjà essayé ado.
- Avec un adulte ?
- Non ! Comme presque tous les ados, je me branlais tous les jours en feuilletant les livres pornos de mon frère, j’étais super excité, curieux de savoir quelles sensations cela offrait… Alors j’ai essayé avec des légumes. Mais... lorsque je me suis retrouvé pour la première fois chez un homme, j’étais simplement venu dans l’idée de lui “tailler une pipe” et avaler son foutre.
- Sauf que ça ne s’est pas passé comme prévu ? Il avait quel âge ?
- Franchement, si, ça s’est super bien passé ! La quarantaine, un mec bien sur lui. Il était propre (j’ai vérifié!), on a parlé un bon moment, puis il m’a demandé ce que j’espérais de lui ! Et là, il s’est levé, s’est mis nu devant moi.
- Un bel homme ?
- Pas vraiment beau, tout ce que j’ai regardé, c’est sa queue plutôt épaisse, assez longue au bout de laquelle un gros gland se dessinait sous son prépuce. Je me suis dit “waouh”, belle découverte en perspective ! J’en rêvais, je l’avais enfin devant moi. Et il m’a emmené dans sa chambre, m’a déshabillé pendant que je me familiarisais avec une autre quéquette que la mienne... et à peine allongé sur le lit, j’ai enfin goûté à ce sexe tant attendu.
- Tu m’excites ! Raconte !
Sa queue posée à même le tissu s’allongeait, je la pris en main, le décalottai et la branlai lentement en continuant mon récit.
- Dès que son gros nœud est entré dans ma bouche, ça a été une révélation. Il a rapidement bandé, m’a conseillé un peu… C’était gros, chaud, très doux, je vivais mon rêve en bien mieux. Mais je n’imaginais pas que sa puisse autant remplir la bouche ! Il n’a pas tenu très longtemps, une dizaine de minutes, il a joui en grognant.
- Tu as avalé ?
- Dès la première fois, c’est ce que je voulais ! J’ai adoré, même si je m’attendais à en avoir beaucoup plus ! Donner du plaisir avec ma bouche et provoquer un orgasme, j’étais fier de ma réussite ?
Je craignais qu’il ne s’offusque de mon passé, mais sa queue était raide, droite comme un I, le gland écarlate…
- Et tu as su gérer la suite ?
- C’est là où il a été malin. Il m’avait mis à poil, histoire d’être sûr d’avoir quelques minutes au cas où je veuille tirer ma révérence. Du coup, il m’a rassuré, me disant que je l’avais bien sucé. Il m’a caressé, il parlait beaucoup, et tout le mur de sa chambre était couvert de miroirs. Je nous voyais nus, et à un moment, je reprends en bouche et lui s’occupe de mes fesses. Dans la glace, je vois sa belle queue déformant ma gueule et sa langue pointer mon petit trou.
- Hummm… C’est très bon, j’ai adoré que tu me le fasses !
- Moi aussi, j’ai adoré. Tu es le premier, je ne l’ai jamais fait avant toi. Hummmm… Tu bandes grave, là !
- J’aime que tu me racontes ta vie. Vas-y !
- Il m’a bien léché, moi je pompais, il était dur comme toi maintenant, mais beaucoup moins long et moins gros ! Avant que je ne réalise ce qu’il se passait, il était dans mon dos, son gland contre mon cul, et en me disant de respirer, de pousser fort. Et il est rentré plutôt facilement.
- Tu as dû avoir mal ?
- Non, pas réellement, je n’étais déjà plus vraiment vierge. Il est resté un long moment a me détendre, puis il a commencé.
- Tu as aimé.
- C’était très étrange. Normalement, l’anus est fait pour que ça sorte, pas pour y rentrer quelque chose ! Mais si ça dure assez longtemps, que l’on est consentant, et c’était le cas, le cerveau accepte les nouvelles infos. Et comme il venait de jouir, il a mis longtemps à décharger. C’était plutôt positif pour une bonne première fois. Ensuite, il m’a sucé, j’ai joui une sacrée dose d’ailleurs, bien plus que lui. Puis je suis rentré chez moi digérer toutes ces infos.
- Tu l’as revu ?
- Bien sûr, d’ailleurs il habite cette ville.
- Et vous vous voyez toujours ?
- Pas du tout. On se voyait une à deux fois par semaine. Il disait aimer me sauter, et moi, j’adorais le sucer. Cette relation me convenait bien jusqu’à ce que je me trompe d’un jour. Je sonne à sa porte, et il était avec 2 autres mecs à moitié à moitié à poils. J’ai compris que je n’étais qu’un coup parmi tant d’autres, alors je suis allé voir ailleurs.
- Et c’était mieux ailleurs ?
- J’ai trouvé de tout, mais surtout, j’ai compris que c’était un milieu particulièrement infidèle. Et moi qui aime la fidélité... j’apprécie de savoir où je mets les pieds, où je pose mes fesses et sur quoi je es pose. J’ai rencontré des hommes bien moins membrés, mais ils ne comblaient pas mes besoins. Je suis certainement trop exigeant, mais j’aime les gros sexes et les gros auteurs ! Et pour trouver une personne correct quand tu arpentes les lieux de drague, ce n’est pas gagné.
- Ce n’est pas de l’exigence que de savoir ce que l’on veut. Mais le plus important est de savoir ce que l’on ne veut pas, ou plus !
- Là ? Je veux te sucer !
Pierre bandait toujours entre mes doigts. Il était du genre de ces gros moteurs, longs à chauffer, mais qui ne s’arrêtent pas. Les toasts étaient terminés, et le champagne convenait bien à l’instant. Il prit le seau avec lui et nous allâmes sur le lit continuer notre discussion. Nous nous caressions, nos sens reprenaient le dessus, les baisers se faisaient plus intenses, plus sensuels.
Je le suçai avidement pendant qu’il enduisit d’huile mon séant. J’étais si heureux qu’il me désire autant ! Mon cul le fascinait, disait-il. Et moi, il me fascinait tout entier, bite comprise. Le dos bien cambré, je glissai un oreiller sous mon ventre pour mieux lui offrir mes fesses.
Il se plaça derrière moi, écarta mes globes de ses pouces, puis s’enfonça lentement en moi. Il représentait tout ce que j’attendais d’un mâle, mais en mieux. Et sa queue !
Il m’enculait avec respect, les mains tenant fermement mes fesses, en évitant d’aller trop loin. Cela n’empêchait pas à ses couilles de taureau de venir marteler les miennes. En quelques minutes, je râlai de plaisir, frissonnant de la tête aux pieds à chaque coup de reins.
- J’adore te prendre, tu es exceptionnel !
- Ooooh… J’adore quand tu m’encules !
- Tu aimes quand ça dure, hein ?
- J’aime tout avec toi. Tu es si bienveillant !
Tel un soliste possédant la maîtrise de son instrument, Pierre jouait de moi, me faisant même faire des vocalises. Je me mis à quatre pattes pour m’empaler jusqu’aux amygdales, mon corps entier vibrant sous ses coups de reins, miaulant de jouissance tant il me dilatait. Mais j’en avais déjà pris pas mal dès le début de soirée, et nous avions encore 36 heures, dont 2 nuits à passer ensemble, il fallait gérer notre fougue, d’autant que nos rapports duraient vraiment longtemps.
Je revins sur le dos, il prit mes chevilles sur ses épaules, nous glissâmes un coussin sur mes fesses. De cette façon, son gros bout massait ma prostate et je sentis rapidement la fièvre monter. Il fit de petits va-et-vient, je sentais bien qu’il se calait à mes réactions afin de m’offrir le meilleur de son organe.
- Pierrrrre ! Je vais… Oh ouiii… J’y suis presque !
- J’adore te faire jouir.
- Je veux… Je veux te boire ! Oooooooh !
- Hummmm… Jouis Maxime. Jouis !
Mon ventre se creusa, déformé par de multiples spasmes, des frissons parcoururent mon corps, et un orage explosa à l’intérieur de mon crâne. Des éclairs de toutes les couleurs fusaient dans tous les sens, mon cœur cogna comme s’il voulait sortir de ma poitrine et ma ceinture abdominale se contracta comme si un géant la ceinturait de ses puissantes mains. Puis une forte respiration me parvint : la mienne.
Je mis longtemps à recouvrer mes esprits tellement cet orgasme fut puissant. Lorsque j’ouvris les yeux, Pierre me souriait, le visage radieux, sa virilité toujours bien en place dans mon fondement, ses mains caressant mes cuisses.
- Que tu es beau quand tu jouis ! Dit-il d’une voix douce.
- Tu m’as placé sur orbite ! Toi, tu sais vraiment t’en servir ! Tu as une fusée entre les jambes.
- La fusée est parée au décollage !
Je me redressai sur mes coudes pour admirer l’organe qui venait de me propulser dans la stratosphère quitter mon antre : l’Élu quittait la Matrice.
Il glissa avec douceur hors de moi, laissant après lui un vide tout aussi sidéral que le voyage que je venais de vivre.
J’aurais voulu rester des heures ainsi imbriqués, soudés, réunis, le ventre maculé de mon sperme.
Malgré le fait de l’avoir vu et goûté sous tous les angles, je restais médusé, fasciné par cette énorme barre se tenant horizontalement raide sous mes yeux. Elle était brûlante lorsque mes doigts s’en saisirent. Gorgé à bloc, son gros nœud fendu d’un œil suintant semblait au bord de l’explosion. Mon Dieu qu’il était beau, avec sa large hampe huilée, zébrée d’une grosse veine.
- Donne-moi ton jus de mâle, bel homme.
Je récupérai mon sperme dégoulinant sur mon ventre pour en déposer sur son nœud, léchai le reste en le regardant dans les yeux.
- Ooooh… Suce-moi, s'il te plaît ! M’implora-t-il en tendant sa queue à la rencontre de ma bouche.
J’attrapai ses belles couilles et ma main libre maintint sa belle colonne pendant que j’en léchai mon sperme avant de l’emboucher. Il frissonna comme je commençai à le branler en vrillant bien mon mouvement. Ma bouche le téta, ma langue comprimée tentait d’aguicher son frein, de puissants bruits de succion résonnaient dans la chambre. Je le pompai comme jamais, l’esprit focalisé à rembourser ma dette de l’orgasme qu’il venait de me procurer.
Ses râles s’intensifièrent, son ventre se creusa à maintes reprises, et lorsque ses bourses remontèrent, son foutre claqua contre mon palais avec une puissance que je ne reconnu pas ; il propulsa son bassin à chaque jet pour mieux me nourrir, n’en finissant plus d’éjaculer. Des étoiles plein la tête, j’avalai son délicieux nectar empreint de toute la force de cet amant exceptionnel.
Je profitai encore un long moment de sa présence en bouche. Sa hampe tressautait au rythme endiablé de son cœur mais ne désenflait pas vraiment ; elle perdit dans un premier temps de sa rigidité. Mes doigts jouèrent encore quelques instants avec ses couilles redevenues lourdes, puis je rendis les armes.
Allongés, nous nous enlaçâmes, comblés et repus de sexe. La tête dans son cou, je sentais encore mon ventre encore chaud de ses assauts, le goût de son sperme emplissait ma bouche, ma main reposait sur son sexe… Alors le monde pouvait s’arrêter.

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