Person of interest

- Par l'auteur HDS Maximus -
Récit érotique écrit par Maximus [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Person of interest Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Person of interest
Il devait être 20h30 lorsque je me hissais sur le tabouret du bar de cet hôtel chic à la renommée bien établie. J’aimais bien y venir boire un verre ou deux. L’ambiance était sympa avec un fond musical et observer les gens m’a toujours plu.
À vrai dire, l’endroit était pour moi stratégique car il se trouvait juste en face du plus grand parc de la ville, parc connu pour sa fréquentation homo la nuit venue. Aussi, lorsque mon envie de sexe mâle devenait trop intense et que je n’avais trouvé personne pour satisfaire mes besoins, il n’était pas rare que je sirote quelques verres en attendant de boire un liquide beaucoup plus... masculin de l’autre côté du boulevard.
Alors ce soir, c’était le grand jour après presque un mois d’abstinence, j’espérais vraiment “passer à la casserole” avec un mec digne de ce nom. J’avais pris l’après-midi pour me préparer : faire un lavement complet, puis une minutieuse épilation des parties intimes jusqu’à l’entre-fesse, sans oublier de lubrifier mon rectum avec une seringue d’huile d’amande douce, de sorte à pouvoir tout envisager si je rencontrais un prétendant “à la hauteur”. Hélas, j’avais bien des fois fait tout cela pour finir seul avec ma main comme unique partenaire.
J’avais “enfin” franchi le cap 2 ans plus tôt en osant aborder un homme. À peine âgé de 20 ans, je n’en menais pas large en venant draguer des hommes, mais cette envie irrépressible de sucer me taraudait. Je rêvais de sexes épais offerts à mes lèvres et y jouissant abondamment, que je me nourrissais de leur chaude et collante semence. Pourtant j’avais une copine régulière avec laquelle batifoler était un pur bonheur, je plaisais beaucoup aux filles, mais ce besoin de virilité revenait sans cesse, il me fallait passer à l’acte.
Par chance, je tombais sur un quadragénaire sympathique qui après beaucoup de blabla m’invita à venir boire un verre chez lui. Il me mit à l’aise et c’est tout naturellement que nous nous sommes retrouvés nus sur son grand lit. Je rêvais d’une grosse, mes vœux furent exaucés lorsque mes lèvres se refermèrent pour la première fois autour de son gros bout. Ses 18/19 gros centimètres me remplirent la tête pour mon plus grand plaisir avant de décharger puissamment. Wouahhhh ! Tout simplement grisant de recevoir le foutre d’un homme.
Avaler cette semence était une évidence, je m’en délectais. Toujours avec énormément d’égard, il prit également mon pucelage anal plus tard dans la nuit et ce fut tout aussi agréable, d’autant que mes seuls essais avaient été des légumes recouverts d’un préservatif. Si je me sentais un peu honteux de mon expérience le lendemain, il sut trouver les mots pour me rassurer. La vie continua sans heurt tant avec ma copine qu’avec lui puisque l’on se voyait au moins une fois par semaine pendant quelques mois.
Puis j’ai vu d’autres hommes, recherchant toujours des mecs très bien montés, avec lesquels je passais de quelques minutes à quelques heures selon nos affinités, parfois une petite partie de la nuit lorsqu’ils étaient chauds... disponibles et me convenaient bien sûr. Du sperme et une grosse bite et je m’occupais du rythme, je pouvais être insatiable.
J’étais perdu dans mes pensées lubriques en me demandant s’il était possible de trouver mon bonheur-du-jour dans un parc où tout le monde y venait tirer sa crampe ou se faire essorer la nouille. De toute façon, j’avais le feu au bas du ventre, je m’adapterais à la situation du moment que le gazier fait à peu près la vingtaine de centimètres.
Un bel homme foula la moquette du bar. Étrangement, nos regards se croisèrent et il vint s’asseoir non loin de moi en me saluant d’un signe de tête. Le barman s’approcha de lui et lui demanda ce qu’il désirait boire.
- Euh... comme le Monsieur, fit-il en désignant mon verre.
J’esquissais un sourire en lui confirmant qu’il venait de faire un excellent choix. Un mec charmant avec lequel une discussion débuta tout naturellement. Après trois verres, j’apprenais que son boulot lui prenait énormément de temps, qu’il descendait toutes les 2 semaines dans cet hôtel justement pour gérer une de ses affaires, qu’il ne buvait presque jamais d’alcool et qu’il en sentait déjà bien les effets. Je le trouvais de plus en plus élégant, désirable, voire raffiné, assis face à moi sur son tabouret, son pantalon à pinces mettant en avant un paquet que je supposai bien rempli.
Il commanda un café et c’est moi qui le suivi pour ce choix, je sentais l’apogée de notre agréable moment. Il insista pour régler les consommations et me dit à brûle-pour-poing :
- Tu m’es très sympathique, ça fait longtemps que je ne me suis senti aussi détendu, je t’en remercie. lança le bel homme, en me tutoyant au passage.
- Sincèrement, le plaisir est partagé. répondis-je de façon quasi automatique.
À peine descendus de nos tabourets, il me répéta avoir beaucoup trop bu, mais qu’il apprécierait énormément ma compagnie si j’acceptais de monter boire un dernier verre dans sa chambre. Je pense encore que mon bas-ventre accepta bien avant moi, y voyant là une belle alternative aux allées glauques du parc.
Pendant que l’ascenseur nous envoie en l’air, il me dit me trouver beau... vouloir en connaître davantage sur moi. Sa main au bas de mon dos m’invita à fouler le seuil de sa chambre en premier. Même si j’étais relativement sûr de moi, il y avait cette part mystérieuse de ce que l’on va découvrir qui me stressait légèrement. Il avait la quarantaine, moi 22 ans à peine, qu’attendait-il de moi ? Me prenait-il pour un escort-boy ? Etait-il pervers ? Bref, j’entrai et découvris sa suite dont les baies vitrées donnaient... sur le fameux parc.
- Que désires-tu boire ? demanda-t-il.
- Tu sais, je suis monté pour ta compagnie.
- Toi, tu me plais de plus en plus ! Je... tu sais, ne crois pas que ce soit habituel pour moi. J’ai beaucoup trop bu, je me sens bien et j’ai eu... envie de toi. Mais je ne sais ni comment ni par où commencer. Si je te conviens, bien sûr.
- Comment as-tu deviné que j’avais également envie de toi ?
- Tout simplement pour ton regard sur moi. Et sur mon entrejambe ! dit-il en se rapprochant de moi. J’ai rapidement compris que tu accepterais de me suivre.
Il avait vu juste. Il me fit face et me serra contre lui. Pour le coup, je savais certes envoyer une main en exploration d’un pantalon, ou palper un fessier, mais le côté câlin entre homme n’avait jamais été mis en œuvre. Je répondis à son étreinte en caressant son dos, très étonné de ressentir un réel bien-être à son contact. Un étrange sentiment de quiétude m’envahit et je comprenais instantanément que ce ne sera probablement pas un banal plan cul de plus. Puis ses mains osèrent descendre flatter mes fesses avant de sortir ma chemise de mon pantalon. L’effeuillage commençait avec délicatesse. Contrairement au mien, son torse nu était dépourvu de toute pilosité. Nos ventres plats se collèrent ; son nez se posa dans le creux de mon épaule pour “me respirer” en murmurant que j’étais beau et que s’en pouvoir se l’expiquer, il avait hâte de me découvrir entièrement nu.
Nos chaussures volèrent et nous débouclâmes nos pantalons qui finirent à même le sol. Nus à peine à quelques mètres du lit, nous étions collés l’un à l’autre sans que nos mains aient cherché le contact direct de nos sexes. Ma demi-molle contre la sienne, nous nous découvrions d’une façon pour moi encore inédite. Néanmoins, je pris l’initiative de l’asseoir sur le bord du lit, impatient de connaître plus intimement mon hôte. Mon étonnement allait à la taille de ses organes.
Bien que jeune, j’avais vu toutes sortes de sexes, au repos comme bandés à bloc. Le plus volumineux, gros et long était le dernier, un mois plus tôt. C’était un chauffeur de taxi de la Côte d’Azur qui m’avait fait visiter toute sa voiture ; monté derrière comme client, il m’invita à passer devant le temps de lui tailler une pipe d’anthologie pour finalement finir étalé sur le capot arrière afin qu’il puisse me permettre d’apprécier ses généreux 21 x 6 dans mon fondement. Connaissant le lieu où je me rendais en fin de journée, il comprit que j’allais draguer. Sûr de lui, il me demanda ce que je faisais là. Très étonné par sa question, je répondais cash :
- J’espère y trouver une grosse quéquette !
- Alors j’ai certainement ce qu’il vous faut.
Garé dans un chemin, son siège en bascule, je découvrais un gros rouleau de printemps. Il mit du temps à me remplir la gueule, mais prit cette pipe pour un amuse-gueule. À poil, allongé sur le capot de la malle arrière, il m’avait sauté avec brio. Le lendemain, il vint directement à mon hôtel me faire passer 2 heures de rêve. Un excellent amant, très bon juteur par ailleurs, dont le seul défaut était la fierté de sa teub puisque à maintes reprises, il lâchait “tu les aimes mes 21 x 6” ou “tu les sens bien mes 21 x 6”. Un très bon souvenir empreint de gros sexe et de sperme tous azimuts.
Je ne le savais donc pas encore, mais j’allais battre mon précédant record tant le 3 pièces de mon futur amant était... massif. Assis sur le lit, il m’attira à lui en attrapant mes fesses pour embrasser mon ventre avant de s’intéresser à mon sexe. Il le caressa, me dit qu’il était gros, mis en valeur par l’absence de poils, que je devais beaucoup plaire. Je compris qu’il ne savait pas vraiment comment s’y prendre et de toute façon, je voulais le sucer en premier, et le lui dit.
- Hummm... Il n’y a que ma femme qui me suçait. Ça fait 8 mois qu’elle n’est plus.
Je ne fis aucun commentaire, je compris d’un coup toute sa maladresse, tout ce besoin de tendresse, de contact, et qu’il m’ait reconnu comme étant digne de confiance mettait la barre encore plus haut. Je me mis à genoux face à lui, lui pris les mains en le regardant droit dans les yeux en tentant de lui exprimer toute ma tendresse dans cet intense regard.
- Laisse-toi aller, vis simplement l’instant. Allonge-toi.
C’est ce qu’il fit. Puis mon regard se posa sur ce qu’il y avait entre ses jambes ; j’étais stupéfait devant le volume et la beauté de ses organes. Une main soupesa ses énormes bourses à la peu très douce et bien pendantes, l’autre saisit sa hampe encore un peu molle, certainement à cause de l’alcool, ou encore de la confusion dans son esprit, mais aussi parce que les très grosses queues sont très souvent plus lentes à bander complètement. En attendant elle était déjà presque aussi grosse que celle de mon taximan et son nœud encore partiellement calotté m’impressionna.
Je déposai mes lèvres sur ce bout, puis du bout d’une langue délicate et mutine, je titillais son méat, fit quelques tours en essayant de glisser sous son prépuce fripé. Il était temps de découvrir cette grosse tête. Mes lèvres entrouvertes, je l’aspirai
en repoussant la peau qui sans aucune résistance se roula sous la couronne, mais je dû m’y reprendre à 2 reprises pour parvenir à emboucher son gros gland en lui arrachant un grognement de plaisir. Sa peau était lisse, douce et luisante. “Quelle queue, mais quelle queue ! Suis-je dans la réalité ?” me répétais-je en m’efforçant de le sucer de mon mieux. Inutile d’espérer le prendre en bouche au-delà de l’énorme nœud, seules mes mains pouvaient s’occuper de l’épaisse hampe veinée.
Il sentait bon l’homme, je léchai sa hampe goulument, aspirai la peau très souple de ses bourses ainsi que ses testicules gros comme des œufs, puis remontai en le léchant comme une énorme glace. Il devenait dur et coulissait bien dans ma main tandis que je pompais bruyamment son gland quelque peu spongieux. De temps à autre, je faisais des pauses tout en le caressant en le flattant pour son sexe gigantesque et qu’il me tardait de l’entendre jouir en me remplissant la bouche de sa chaude semence. J’admirais sa hampe renflée, parcourue de veines et si volumineuse que ma main paraissait presque petite. Puis ma langue baveuse reprit ses agacements, faisant le tour de son nœud en revenant titiller son frein pour ensuite reprendre ma succion.
- Je ne pourrai pas tenir avec un tel talent ! Achève-moi s'il te plaît !
Puisque tel était son désir, j’augmentai graduellement le rythme, le branlant maintenant de mes deux mains tout en ne gardant que le bout du nœud en bouche ; j’avais besoin de place en bouche pour recueillir son sperme. Il ne mit pas longtemps à partir, ses doigts enfoncés dans mes cheveux. Ses bourses remontèrent et dans un feulement rauque, il se déversa en longues saccades, son nœud gonflant à chaque salve. J’avalai avec gourmandise son jus au goût puissant tout en exprimant mon plaisir par de petits grognements.
Je gardai son gros nœud bien au chaud en faisant remonter le sperme restant encore dans sa hampe tout en choyant ses couilles redescendues. Impossible de me détacher de cette si grosse queue. J’en avais tant rêvé, alors pendant un long moment, je la léchai, la mordillai, la repris en bouche, et si elle perdait de sa rigidité, elle demeurait massive, imposante.
- C’était... wouahhh ! Tu m’as soulagé !
- Hummm... Je ne sais pas lequel de nous deux a eu le plus de plaisir. Tu m’as offert ton plaisir le plus intime.
- Tu veux venir t’allonger à côté de moi ? Me suggéra-t-il. J’ai besoin de sentir ta peau contre moi.
Il se mit dans le bon sens du lit et d’un geste m’invita à le rejoindre. Je me lovai contre lui, la tête sur son épaule et son bras me serra contre lui en caressant le bas du dos. Ce genre de posture m’eut été inenvisageable auparavant, mais il était tellement différent des hommes que j’avais côtoyés jusqu’à présent. Toute son attitude n’était qu’affection et il régnait dans la pièce une étonnante paix.
- Tu as apprécié ? osais-je demander.
- C’était génial, tu suces admirablement bien ! J’ai été très surpris que tu avales.
- Quand un homme me plaît, j’adore.
- Et tu as aimé mon sperme ?
- Incroyablement. Tu sais, tu me plais énormément. Alors recevoir ta semence... c’est le Graal !
- Tu me plais beaucoup également. Ta présence est si agréable et ton corps est si beau...
Nous parlions un peu de lui, j’y allais calmement, il avait les clés de son vécu, à lui d’en ouvrir les portes. Son expérience s’arrêtait à sa femme, qui apparemment aimait beaucoup faire l’amour avec lui ; si elle le suçait de temps à autre (mais n’avalait pas), elle se donnait à lui pratiquement tous les jours, et ça les rendait heureux. Sa brutale disparition l’avait anéanti et il commençait à peine à se dire que la vie devait continuer. En l’écoutant, je cajolais tendrement son sexe, perdais mes doigts dans sa douce toison pubienne, en revenant souvent vers sa grosse racine (pas vraiment décidée à rapetisser).
Il avait mis en vente leur maison et habitait un appartement en ville non loin de ses principaux entrepôts. Et depuis quelques jours, comme ce soir, il avait ressenti le besoin de changer de mode de vie, de revoir le monde des vivants, reconnaissant s’être réfugié dans le travail trop longtemps.
En revanche, il ne pensait pas que la soirée se terminerait avec un jeune homme dans son lit. Les garçons, cela lui rappelait les branlettes d’ados dans les dortoirs et la nudité après le sport d’équipe, rien de plus ! Pourquoi avait-il eu cette envie soudaine que je le suive ? Toujours était-il qu’il appréciait ma compagnie et que mon corps lui plaisait énormément.
- Je connais une partie de ton histoire, ton corps, ton odeur, les dimensions incroyables de ton sexe, le goût de ton délicieux sperme, mais j’ignore encore ton prénom.
- Oh pardon, c’est vrai. Pierre ! Quel est le tien ?
- Maxime. Dis-moi, ta queue reste toujours de cette taille ? Demandais-je en la brandissant vers le plafond.
- Plus ou moins, oui, je suis ainsi fait, et ça a beaucoup intrigué de monde dans les vestiaires.
- Je n’en ai jamais connu d’aussi... imposante. Pierre, j’ai vraiment envie de toi, j’adorerais te sentir glisser dans mon ventre.
S’il avait joui, ce n’était pas mon cas. Je craignis qu’il ne refuse catégoriquement, j’allais vite en besogne, mais mon cul réclamait son lot de sensations, même si je n’étais pas certain qu’il parvienne à me mettre son bel engin !
- Mon Dieu, mais ce n’est pas possible ! Pour un petit trou de rien du tout, je crains qu’elle soit un peu trop grosse !
- C’est vrai que je n’ai jamais eu d’amant avec un tel porte-avions, mais je suis certain qu’avec délicatesse...
- Si ça ne te fait pas mal. Sinon, j’arrête. Je ne veux pas te faire souffrir.
Il me répéta se sentir en confiance avec moi, et qu’il ne pouvait rien me refuser, à la condition que ce soit fait avec tendresse et que je le guide. Je ne pouvais rien lui refusait non plus tant il était beau et charismatique.
J’aspirai son gland quelques secondes avant de me lever pour aller vider ma vessie ; il en fit autant à côté de moi, très à l’aise avec la nudité. Il trouva une fiole d’huile dans sa trousse de toilette, assez pour faire l’affaire. Nus devant le miroir de la salle d’eau, je prenais la pleine mesure de son sexe au repos ; il était majestueux, monumental. Et pour cette soirée, j’en avais la jouissance totale.
- Qu’elle est longue et grosse ! ne puis-je réprimer. J’ai l’impression de rêver !
Il se mit derrière moi en me serrant contre lui, une main sur ma poitrine, l’autre saisissant mon sexe. Sa belle arme se plaça naturellement entre mes fesses, j’en frémis.
- Tu m’as donné envie de toi. J’espère être à la hauteur de ton envie. Me dit-il
Je lui demandais s’il acceptait de me mettre de l’huile entre les fesses ; il fallait bien qu’il se familiarise avec mon intimité. Penché en avant sur le lavabo, j’écartais largement les fesses et il put découvrit ma raie entièrement lisse.
- Que tu es beau, ainsi offert ! Mais tu as l’air serré... Tu penses que je vais pouvoir entrer ?
- Oh oui. Ouvre-moi, prépare-moi, j’ai trop envie de ta queue en moi !
Il versa de l’huile dans sa main et vint l’étaler sur mon anus en une tendre caresse. Je soupirai de désir et poussai pour que mon œillet se dilate. Sans que j’aie à lui dire, un doigt y glissa, rapidement rejoins par un second. Je l’encourageai à bien me détendre le sphincter. Tout en taraudant mon cul, il faisait de lents va-et-vient sur mon sexe presque dur en me disant qu’il me trouvait bien membré.
- Je ne suis pas le premier, mes doigts sont rentrés sans forcer.
- C’est surtout parce que je te désires. Mais de cette grosseur, tu vas être le premier.
- Tu aimes mes doigts en toi ?
- Ohhh ouiiii ! Tu peux en mettre un troisième.
Il s’exécuta et visiblement, cela lui plaisait car dans le miroir, j’observais son sexe prendre de l’ampleur. Puis il prit l’initiative de remplacer ses doigts par son gros bout qu’il fit glisser dans ma raie huileuse avant de pointer mon petit trou en forçant un peu. Je poussai et la moitié du gland entra. J’étais prêt, fou de désir et ivre de son sexe, et le lui dis. Je sentais mon sperme sous pression et près à gicler, mais ne voulais jouir par sa queue et sous ses coups de reins. Je lui proposai d’aller sur le lit pour cette première fois.
Le lit ouvert, j’étalais un grand drap de bain. Si Pierre ne savait trop par où commencer, il était plutôt excité et sa trompe était bien à l’horizontal. Je m’assis sur le lit et l’attirai face à moi en saisissant son mandrin pour l’embrasser, le lécher, gober son gland cramoisi prêt à me pourfendre. Son sexe n’était pas dur comme de l’acier, même rigide il restait à peine souple et son gland très légèrement mou. Je comparai sa hampe avec mon poignet, elle était de la même taille, soit plus de 7cm de large. Taximan était détrôné, y compris en longueur.
- J’adore ta bouche ! Quand ta grande bouche avale mon gland...
Je continuai à l’exciter encore un peu, mais le désir consumait mes entrailles, il était temps.
- Viens ! lui dis-je. Je n’en peux plus, prend-moi.
Cet instant est à jamais gravé dans ma mémoire. Je m’allongeai en chien de fusil sur le flanc droit. Il vint à son tour se blottir contre moi, plaça l’énorme queue entre mes cuisses, sa main gauche posée sur ma fesse, il colla son torse contre mon dos.
- Je suis prêt. murmura-t-il à mon oreille. Je suis heureux de découvrir cela avec toi.
Je posai ma main sur la sienne pour pointer son ogive contre mon œillet, poussai très très fort et l’invitai à me pénétrer.
Il imprima de petites pressions et je le sentis repousser mes chairs. Il suffisait que le gland passe et le reste suivrait. Je pris une grande inspiration, poussai de nouveau et son bout glissa en moi en m’arrachant un long râle. Sans que nous ayons à parler, nous restâmes ainsi quelques instants. Ce n’est lorsque je me mis à remuer ma croupe qu’il reprit ses mouvements. Je compris qu’il savait très bien se servir de sa quéquette.
Je ne sais comment décrire avec exactitude ce que je ressentais à cet instant. Mentalement, je comprenais que cette rencontre bouleversait ma vie car cet homme pulvérisait toutes mes bases de données et je ne serai plus jamais le même après cette expérience. Physiquement, il me plaisait énormément et je ne me savais pas capable de désirer un homme autrement que sexuellement. Là, j’avais envie de lui, je l’appelais de tout mon être !
- Oh oui, viens doucement, tu es très doux, c’est bon !
- Je ne te fais pas mal ?
- Au contraire ! Mais qu’elle est grosse !
Il gagnait du terrain et malgré l’énorme dilatation que sa massue générait, le plaisir était immense. Il faisait de lents allers-retours, prenant le temps de m’investir ; nous n’avions pas obligation de tout mettre. Il mit son visage dans mon cou et me dit qu’il aimait beaucoup me prendre, qu’il aimait m’entendre gémir de plaisir.
Ma main autour de sa queue servait de frein, les 2/3 étaient en moi et coulissaient parfaitement. Son gland repoussait mon rectum dans ses retranchements, mais à chaque va-et-vient, il m’irradiait de chaleur, me faisant presque crier plaisir. Il m’enculait royalement.
- Hummm... j’aime te sentir contre moi... en moi. Continue... ouiiiii !
Pour toute réponse, il me serra davantage et m’embrassa dans le cou. Ma main n’avait plus besoin de le tenir, il continuait à gagner du terrain et ça me rendait ivre de plaisir ! Ses langoureux coups de reins m’arrachaient de véritables cris de plaisir, j’attrapais sa main pour qu’il la pose sur mon bas-ventre, lui demandais de s’enfoncer encore plus... j’entrais dans un état second. Cérébralement, je jouissais déjà. Il n’y avait plus de limite entre nous, une frontière était franchie, lui et moi ne faisions plus qu’un.
- Ohhh... ouiii... Encore... s'il te plaît... Tu me fais jouir !!!
- C’est dingue... je vais bientôt jouir tellement c’est fort.
- Jouis en moi ! Donne-moi tout, oublie-toi... J’adore !
Ses couilles butaient contre mes fesses à chaque mouvement, et mon ventre était en feu. Des heures d’excitation avaient transformé mon sperme en lave, et sa matraque broyait ma prostate depuis une bonne vingtaine de minutes, il était temps de jouir.
- Ouiiiiiii ! Je jouis ! Oui ! Oh viens ! hurlais-je, mes doigts cramponnés à sa fesse pour qu’il m’encule jusqu’à la garde. Remplis-moi !
Mon cul se verrouilla autour de sa queue plantée comme pour l’aspirer un peu plus. Il lâcha de longs râles de plaisir, la tête dans mon cou, en donnant ses derniers coups de reins que j’accentuais en propulsant mes fesses contre son bassin. Mon sperme fusait tandis que son sexe se mit à vibrer puissamment, traversé de véritables secousses. Tout au fond de mon ventre je sentis son gland se dilater et son foutre brûlant se répandre interminablement en moi.
Je n’avais jamais fait autant corps avec mes amants précédents. J’en tremblais, parcouru de spasmes, hors d’haleine, tout en ressentant chaque petit détail de cette puissante verge, comme si son sexe faisait partie de moi.
Nous restons un très long moment ainsi, son sexe planté au fond de moi, collé par notre sueur, ma main gauche dans la sienne, nos souffles courts. Il nous faut du temps pour que nos corps passent du galop pour revenir au pas, que l’endorphine se diffuse et continue d’installer cette totale quiétude.
D’étranges gargouillis résonnent dans mon ventre pendant que son sexe se remet de sa performance même s’il reste très présent. L’instant est aux câlins, nos mains parcourent nos corps de tendres caresses.
- Tu as aimé ? osais-je enfin.
- À la folie. J’en suis tout chamboulé.
- Tu... regrettes ? craignais-je.
- Bien au contraire. Mais c’est si différent... d’autres sensations.
- Surtout avec toi. Je n’ai jamais hurlé de la sorte. Tu es si... puissant !
- Tu apprécies mon sexe ?
- Oh oui ! Au fait, tu crois qu’il va rentrer ?
- Je crois. Nous pourrons recommencer, alors !
- Autant que tu le veux. Hummm...
Le sentir se retirer était comme un arrachement tant l’avoir en moi était réconfortant. D’autant qu’il était encore assez gros et long pour pouvoir rester. Généralement, la plupart des mecs débandent juste après avoir giclé et ressortent aussitôt.
- Nooon, tu m’as laissé tout vide de toi ! boudais-je ironiquement.
- C’est pour mieux revenir !
- Regarde le vide que tu laisses quand tu te retires.
Il n’en revenait pas de voir mon anus si grand ouvert et l’intérieur de mon rectum et s’en inquiéta. Je le rassurais en lui disant qu’il y avait deux options. Soit le laisser se remettre doucement, soit... en profiter.
- Je crois que tu n’es pas parti pour nous laisser dormir. Je me trompe ?
- Ce sera à ton rythme. Mais approche, donne-moi ta queue s'il te plaît. J’ai besoin de te sucer.
Je restai allongé sur le côté et il vint se placer à genoux devant ma bouche. Je profitai de ce qu’il ait un peu débandé pour le dévorer amoureusement. Il avait un bon goût de mâle et de sperme, et surtout, en ouvrant grand, je pouvais enfin emboucher un peu de sa hampe sans me luxer la mâchoire ! Ma pipe faisait du bruit et ça l’excitait gravement, sa verge se regorgea rapidement. Je pompai son gland et repris mon branle en vrillant bien mon geste. Ses grosses couilles ballottaient et venaient régulièrement s’écraser contre mon poignet. Pierre exprimait son plaisir avec des petits grognements, de longs souffles et surtout commentait ce qu’il ressentait.
Il bandait de nouveau comme un âne et je la trouvais encore plus impressionnante. Mon ventre pourtant encore tout chaud de son passage réclamait de nouveau cette puissante queue. Et elle était fin prête pour remettre le couvert.
- Mets-la moi, s'il te plaît ? lui intimais-je. J’ai trop besoin de te sentir encore en moi.
Je me mis à genoux le cul en l’air, outrageusement offert, béant de son dernier forfait, la tête sur l’oreiller et les mains écartant encore un peu plus mes fesses. Je sentis son sperme liquéfié couler le long de mes cuisses et sur mes bourses, cela boosta mon excitation. Il s’en inquiéta, mais je lui dis que ce sera encore meilleur avec son foutre comme lubrifiant.
Il attrapa mes hanches et sa lourde queue bien à l’horizontal trouva seule mon anus encore béant.
- Quel beau cul tu as ! Et grand ouvert en plus !
- Il est ouvert pour toi. Ne me fais plus languir !
J’étais si excité qu’à peine il commença à forcer ma porte arrière, je poussais en reculant pour m’empaler lentement. La tête dans l’oreiller, je ne pus réprimer un long cri de bonheur. Je venais de prendre la moitié de sa bite d’un seul coup et ce que ressentis était probablement très semblable à un shoot d’hallucinogène.
- Oh... quelle queue ! Ouiii... Ouvre-moi !
Il s’y employait, comprenant qu’il pouvait allègrement tirer mon bassin à lui pour bien m’enculer. Il gagnait sans cesse du terrain, forgeant mon rectum incandescent de son gros pilon, criant parfois autant que moi, prenant incontestablement un pied magistral à me sodomiser.
Il aimait le sexe, il aimait donner du plaisir, son respect d’autrui se ressentait jusque dans ses lents et longs coups de queue d’une intensité redoutable. Il m’envoyait presque toute la longueur de sa verge, au point que ses couilles percutaient les miennes lorsque son bassin claquait bruyamment mon cul, produisant ces fameux floc-floc-floc si caractéristique. Plus il m’en donnait, plus j’en voulais, criant que c’était un Dieu, qu’il me faisait jouir en continu. J’étais en nage, parcouru de frissons, à la limite de la syncope, il me fallait calmer le jeu.
Je me redressai tout en le gardant en moi. Il comprit, s’assit sur ses talons et je vins plaquer mon dos contre lui. Ses bras m’enserrèrent affectueusement. Immobile, il palpitait pourtant toujours juste derrière mon nombril. Il m’embrassait humidement dans le cou en susurrant d’élogieux compliments, mordillait mon lobe d’oreille. Ma tête bascula en arrière pour venir au contact de son épaule, nous étions trempés de sueur. Je caressai affectueusement sa nuque et ses cheveux, l’autre saisit ses bourses imposantes ; nos joues collées, nous étions plus qu’unis à cet instant. Nous nous aimions et contre toute attente nous faisions véritablement l’amour.
- Ohhhhh Pierre... tu ressens les mêmes choses que moi ?
- Oui, Max. C’est juste... incroyable.
- Tu me fais tant jouir ! Je n’ai jamais connu ça.
- Je ne pensais pas que ce soit possible de jouir si fort.
En oscillants à peine mon bassin d’avant en arrière, notre coït reprit. Lui propulsait son bassin, ses mains parcouraient mon ventre de milles caresses, nous râlions de plaisir. Toujours accroché à son cou, je tournais la tête pour baiser sa joue, l’implorant de ne pas s’arrêter. Parfaitement emboîtés seuls nos bassins remuaient et c’était purement torride.
- Je viens... Pierre... Je viens... hurlais-je entre deux baisers.
- Ohhhh Max... Moi aussi !
Parti du creux de mes reins, un éclair foudroya mon cerveau ; de ma gorge sortit un son inintelligible. Compulsivement, mes mains broyèrent sa nuque et ses bourses. Malgré l’intensité de mon orgasme, il était si profondément planté en moi que je sentis chacun de ses violents jets coloniser mon ventre distendu ; l’immense queue pulsant son sperme décuplait mon orgasme. Pour la deuxième fois, le mien s’écoulait presque en continu de ma queue pendante, expulsé par la pression de la volumineuse verge de mon amant et par les spasmes de mon orgasme ravageur.
Nous tombons sur le côté ainsi unis, prolongeant notre étreinte avec de plus en plus de tendresse. Nos doigts sont entrelacés, nous reprenons lentement conscience de notre environnement, encore haletants et trempés. Mais que ce moment était précieux.
Son sexe finit calmement de dégonfler, mais son empreinte persistait. Il se retira, libérant beaucoup d’air ainsi qu’une belle coulée de sperme que j’étalai sans réfléchir sur ma croupe. J’avais de toute façon déjà de partout, jusque dans le fond de mon estomac.
La douche fut un agréable moment de tendresse, nos corps s’attiraient comme deux aimants, nous caressant insatiablement. Je la terminais accroupi, le suçant amoureusement pendant que je rinçais mon rectum encore ouvert de ses assauts.
À ma demande, il me mit beaucoup d’huile en me massant et me doigtant pour bien nourrir mes muqueuses qui nécessitaient quelques repos.
Dans le grand lit, il vint se blottir dans mon dos. Mes fesses trouvaient leur place contre son pubis, sa lourde verge reposant sur ma cuisse, le sommeil nous emporta jusqu’au petit jour.
Tous les hommes en bonne santé bandent au réveil. Je pus constater que Pierre semblait en bonne santé lorsque je vins me lover contre lui. Un magnifique sourire illuminait son visage, je le lui rendis, mes yeux plantés dans les siens, ma main arrimée à sa grosse poutre. Sans savoir pourquoi, je pris son sein en bouche, le tétant, le mordillant parfois, tout en branlant doucement son chaud gourdin.
La couette glissa et je découvrais au grand jour son splendide sexe qui semblait léviter à quelques centimètres au-dessus de son ventre plat. Tout en pétrissant ses couilles, je léchai grassement chaque centimètre de la peau de son qui me séparait de son bout. Pierre me demanda de lui présenter ma croupe qui recevait mille caresses, ainsi que mes bourses, puis ses doigts retrouvèrent très vite mon anus encore tout souple.
Son gland décalotté me paru encore plus gros que la veille. Et la fonction créant l’organe, ça n’avait rien d’étonnant.
- Hummm... j’ai faim de toi ! lui confiais-je
Mais la position ne me convenait pas bien, alors je l’enjambais en 69. D’avoir mes bourses sur son nez et mon cul ouvert juste au-dessus ne le dérangèrent nullement. J’agrippai de nouveau sa hampe à deux mains et me mis à lui faire la plus la plus lente, la plus tendre, la plus mutine et la plus gourmande des fellations. Son ventre se creusait de plus en plus et ses commentaires devinrent explicites alors qu’en écartant bien mes fesses de sa main libre, ses doigts plongeaient encore et encore dans mon cul en aspirant la peau de mes bourses. Il apprenait vite, très vite même.
- Comment fais-tu pour me rendre aussi dingue ? me dit-il. Je vais gicler !
Le gros bout au bord de mes lèvres afin de ne rien perdre, j’augmentais le rythme en tenant sa hampe bien verticale. Je vis ses couilles remonter et son ventre se creuser, m’indiquant que la pompe à foutre était bien amorcée. Un tout petit jet me confirma l’arrivée, immédiatement suivi d’une majestueuse giclée qui claqua contre mon palet. Je l’avalais avec gourmandise, ainsi que les multiples puissants jets qui suivirent. Puis ma bouche reconquit le gland et le cajola avec amour. Seules mes mains allaient et venaient avec une lenteur toute calculée.
Le sang refluait, amollissant ce gros morceau. Je le reposai sur son bas-ventre et revins me placer contre mon amant, fier de mon forfait. Qu’il était beau, détendu, les yeux perdus dans les brumes de son orgasme !
- J’aime te sucer. J’aime ta grosse queue. J’aime le goût de ton sperme.
- J’aime ta façon d’aimer. J’aimerais beaucoup que l’on se revoie. J’ai déjà envie de toi, Maxime. Ta façon d’être, ton corps, tout me plaît en toi.
- Pour moi, c’est quand tu veux.
- Nous sommes vendredi et je devais partir en fin d’après-midi. Si tu le veux, je peux prolonger jusqu’à dimanche. Lundi j’ai des rendez-vous importants que je dois préparer. Tu me supporterais encore au moins deux nuits ?
Je me hissais jusqu’à sa joue pour y déposer un tendre baiser.
- Dimanche tu auras les couilles légères et moi les jambes écartelées !
La journée démarrait formidablement bien. Nous primes une petite douche ensemble et je m’éclipsais non sans mal tant j’étais accro.

Les avis des lecteurs

Très beau, et bien écrit. Tendresse, respect, attentions, équilibre dans le plaisir, dont je commence à me dire qu'ils sont plus le fait d'hommes légèrement plus âgés... Le sexe qu'on aimerait connaitre à chaque fois. Et peut-être un peu plus que juste du sexe, ici, en fait :)

Histoire Coquine
Quand le sexe se mêle à la tendresse, il n'y a pas mieux. Trop bien écrit. Bravo! (Akileditu )

Je ne manquerai pas de poster la suite de cette histoire qui a chamboulé ma vie.
Milles mercis pour vous adorables commentaires.
Maximus

Histoire Erotique
Quelle belle écriture , quels beaux personnages.
J'ai vécu chaque mot, chaque situation, happé par ce magnifique texte vivant.
Continues d'écrire de la sorte et fais nous en profiter
Merci, que du bonheur...
Felix

Histoire Erotique
Un plaisir à lire. Bien écrit et superbement détaillé.

Histoire Erotique
Bonjour , superbe récit cela me rappelle ma première fois avec le papa d’une amie lui 42ans moi 17 à l’époque,nous faisions l’amour 2 à 3 fois par semaine .

Histoire Erotique
À part pour une erreur ou deux (homophone, manque un mot), on approche du sans faute sous ce rapport. Donnez-vous la peine de poursuivre, ça se lit sans effort.

Histoire Erotique
MA GNI FI QUE !!!

Tout est parfait, le fond, la forme...
J'ai moi-même eu la chance d'être magnifiquement initié au sexe masculin à l'âge de 20 ans par un homme en ayant le double...
Je reste bi-sexuel, avec encore une préférence pour les beaux hommes matures.

Merci de ton magnifique récit, dont on attend bien sûr la suite...



Texte coquin : Person of interest
Histoire sexe : Une rose rouge
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