Petite Natalie - histoire érotique

Certaines rencontres restent plus dans nos mémoires que d’autres. Natalie fait partie de ces rencontres on va dire hors du commun.

Il y a bien longtemps, époque du Minitel et pas d’Internet, pas encore. J’ai sur une messagerie disons “spécialisée” fais la connaissance de “Petite Natalie” c’était son pseudo, 23 ans rousse, petite, plutôt mignonne et coquine. C’était son cv.

Elle se disait très timide, c’était son explication pour l’usage du minitel dans l’espoir de rencontrer des hommes. Elle disait se sentir en sécurité derrière son écran mais assurait qu’elle cherchait véritablement à faire des rencontres. J’avais aimé nos premières discussions, elle était joyeuse, amusante, vraiment coquine dans ses propos mais diablement réservée sur certains points, le physique en particulier, je n’arrivais pas à avoir la moindre précision. Elle disait qu’elle préférait qu’on se rencontre, pour se découvrir de visu. Minitel ne permettait pas comme Internet d’échanger des images. Dans ses propos Natalie, paraissait vraiment timide malgré a priori une libido exacerbée. Petit a petit je songeais qu’il y avait un truc qui ne collais pas, une surprise, bonne ou mauvaise ? Je ne savais pas. Mais je me prenais au jeu et je me décidais à obtenir un rendez-vous avec Natalie.

Elle était vraiment rieuse, toujours prête a dire une connerie, je sentais chez elle un besoin de tendresse véritable, un besoin de satisfaire des tas de fantasmes. Elle avouait avoir très peu d’expérience dans le sexe, mais un fort intérêt. Avec elle j’avais sorti les bons arguments, je la sentais assez encline à accepter un rendez-vous. Je n’ai jamais eu de mauvaises surprises en rencontrant des femmes ou des hommes sur Minitel ou sur Internet. Dans la presque majorité des cas cela c’est terminé au lit, dans plus de la moitié des rencontres cela a débouché sur plus d’une rencontre éphémère. Je n’ai jamais craint la déception a priori.

Je finis donc par la décider a un rendez-vous. Habituellement c’était dans un café. Là Natalie me dit préférer un parc public tranquille dans notre ville. Pourquoi pas.

Au jour et à l’heure dite, me voici dans le parc, rendez-vous était pris près d’une statue centrale du parc, espace rectangulaire cerné de bancs. Natalie m’attendrait vers 14h00.

J’arrive à l’endroit indiqué, sur le banc chevelure rousse installée bien gentiment. Mais oh surprise j’ai l’impression de voir une gamine. Je me dis que je me suis fait rouler par une gamine qui voulait se marrer. Je m’approche, Natalie m’aperçois je la sens gênée, les joues rouges d’ailleurs. Joli petit visage cheveux mi longs ondulé, frisé presque. Un roux incendiaire mais très joli. Natalie est naine, mais une naine proportionnée, pas de petites jambes torses, une grosse tête. Non c’est une femme en réduction, 1m25, une silhouette un tout petit peu non pas ronde mais épanouie, une jolie poitrine mise en valeur par un corsage décolleté.
La surprise doit se lire sur mon visage.

- Gilles, excuse-moi de pas t’avoir tout dit, mais quand je dis, comment je suis, personne ne vient. Je ne t’en voudrais pas si tu pars.

- Pourquoi je partirais ? On va dire que j’ai droit a une rencontre avec un échantillon promotionnel. Désolé pour la blague. Dis-je

- Oh c’est plus drôle que ce que j’ai déjà entendu. Et tu n’es pas encore parti.

- Désolé pas envie de partir, et je le dis sincèrement, tu es vraiment mignonne

- Tout ce qui est petit est mignon dit-on. C’est gentil de prendre les choses comme çà. Dit Natalie visiblement soulagée.

Vraiment elle est mignonne, sa taille me donne l’impression d’avoir devant moi une collégienne. J’ai passé la trentaine et un peu l’impression d’être le vieux pervers qui lorgne sur une gamine. Natalie m’explique qu’elle souffre énormément de sa taille. Pourtant elle à la chance d’être seulement une réduction, Je lui dis de nouveau que je la trouve très jolie. Elle est sensible à mon compliment et me dis qu’elle non plus n’est pas déçue, je suis exactement comme ce que j’avais annoncé.

- Donc ça va je ne suis pas horrible, mais mieux ou moins bien que ce que tu avais imaginé ?

- Je ne te voyais pas du tout comme çà, et j’avoues que quand tu m’as dit que tu avais la barbe, j’ai hésité. Puis je me suis dit qu’avec la surprise que j’allais te faire ce n’était pas grave. Alors tu es beaucoup mieux que je ne l’avais imaginé.

- Moi non plus pas déçu, juste moins haute que je ne l’imaginais. C’est vrai que la blague est réussie si j’ose dire, je ne veux pas te froisser.

- Oh non, tu peux même m’appeler “Petite Natalie” c’est bien mon pseudo.

- Et il te va comme un gant, Natalie.

- Tu es aussi gentil en face à face que quand on discute sur Minitel, c’est aussi vrai que tu as de beaux yeux verts. J’aimes beaucoup.

Les yeux de Natalie sont entre le bleu et le vert difficile quel ton domine, mais ils sont pales avec un cercle plus foncé autour de la pupille qui donne un regard assez intense dans cette petite frimousse aux lèvres pulpeuse, très jolie bouche très attirante. Les minutes passent et la taille de Natalie est devenue un non-sujet. En effet je la trouve jolie, agréable, sa timidité est touchante, car d’un autre côté je la sens volontaire, même si elle a les mains qui tremblent. J’imagine que pour elle c’est difficile d’être là attendant une sorte de verdict, je plais, je ne plais pas. Cela me gêne qu’elle puisse penser que c’est à cause de sa spécificité que je vais m’intéresser à elle.

Je saisis l’occasion alors qu’elle me parle une mèche de ses cheveux retombe sur son œil gauche, d’un geste naturel, je repousse de mes doigts cette mèche tout en caressant sa joue. Instantanément son regard s’illumine elle incline sa tête contre ma main se frottant doucement dans un geste câlin. De sa main droite elle attrape mon poignet et maintiens ma mai contre sa joue tout en inclinant la tête.

- Tu a les mains douces, Gilles dit elle doucement.

- Ta peau est douce aussi Natalie.

On reste un instant à se regarder, je sens qu’elle est bien, en train de fondre dirais-je. Moi aussi je fonds, j’approche mes lèvres des siennes. Cette main qui tiens mon poignet se relâche et se met a trembler doucement. Sa respiration est plus rapide, son regard plus intense. Elle se laisse aller, nos lèvres se touchent, lentement sa bouche s’entrouvre. Le baiser commence timidement, mais elle répond a mes sollicitations, sa langue rejoins la mienne qui caressais ses lèvres aux gouts de fruit rouge. Mon bras l’enlace, et elle se laisse aller à un véritable baiser. Je me dis qu’elle ne doit pas embrasser tous les jours, car c’est un peu gauche, elle se laisse guider. Natalie n’est pas une tombeuse c’est certain. Mais je sens confusément qu’elle est aux anges et tout heureuse de sa rencontre. Le baiser dure un certain temps et elle ne cesse de trembler. Quand nos lèvres se séparent, elle me regarde avec intensité et un grand sourire.

- Ouahhhh on ne m’a jamais embrassé comme çà dit-elle. On ne m’a jamais beaucoup embrassé ajouta Natalie.

- Tu trembles, tu a froid dis-je.

- Non, je suis émotive surtout, je ne fais pas ça tous les jours tu sais dit-elle.

- Pourtant mignonne comme tu es, tu devrais avoir du succès ajoutais-je

- Tu me trouves vraiment aussi jolie que çà ? Même si je suis si minuscule? Demanda Natalie

- Je ne te dirais pas que je n’ai pas été surpris en te voyant, mais tu sais maintenant, je ne vois qu’une jolie fille qui à l’air d’aimer m’embrasser. La suite c’est toi qui décides. On n'est pas pressés tu sais. Dis-je

- Je te plais, vraiment Gilles ? Çà ne te dérange pas que je sois comme çà ?

- Comme çà ? Jolie, non çà m’arrange même, de jolis yeux, une si jolie bouche et je ne dis rien du reste. Comment je puis résister ? Plaisantais-je

- Tu me plais aussi, Gilles, tu es tellement gentil et doux et ce baiser m’a fait un effet !!

- Tu veux venir boire un verre à la maison proposais-je

- Oui boire un verre pour commencer dit-elle baissant les yeux et prenant mes mains dans les siennes.

- Oh mais tu deviens aventurière dis-moi ?

- Pourtant je ne suis ni courageuse, ni habituée à ce genre de rencontres dit Natalie.

- Et tu vas oser, venir chez un inconnu, toute seule ? J’ai remarqué que tu avais du mal à te détendre. On fait comme tu veux, a ton rythme Nat je peux t’appeler Nat

- Beaucoup de gens m’appellent Nat alors oui. Et je me sens en sécurité avec toi dit elle

- Allez, on y va, viens avec moi ma chérie, tu permets que je t’appelle “chérie” ?

- Oh.. Oui, c’est la première fois qu’on m’appelle comme çà.. Çà me fait drôle. Dit Nat

- Tu te moques de moi là ? Demandais-je surpris

- Non, c’est vrai tu sais je n’ai eu un homme qu’une seule fois et ce n’était pas vraiment une expérience agréable tu sais.

- Je vais être obligé de te faire oublier çà alors ma “petite chérie” dis-je doucement

- Je crois que toi tu peux, je me sens déjà tellement bien près de toi dit-elle se penchant vers moi.

Nous venions de monter dans ma voiture, elle se penchait vers moi, tendant ses lèvres. Je l’enlaçais très tendrement, sans brusquerie. Posant mes lèvres sur les siennes, tremblantes, ses yeux pétillaient de plaisir. Cette fois elle répondit encore mieux a mon baiser. Elle se livrait totalement au plaisir de cet échange. Son cœur battait fort, mais le mien aussi. Cette fille me faisait de plus en plus d’effet. J’étais passé de l’état d’esprit tirer un coup avec une femme libérée à faire presque l’initiation d’une jeune femme abandonnée délaissée qui me touchait beaucoup. Mais pas de pitié dans ma démarche. Du désir, j’avais très envie d’elle maintenant. Sa taille, son “handicap” m’étais indifférent. Avant j’avais déjà eu des partenaires qui me dépassaient de 2 têtes rn particulier une nana militaire, sportive de haut niveau qui frisait les 2m moi avec mon mètre soixante-quinze j’étais un nabot.

Natalie, me faisait fondre elle s’en rendait compte, mais n’en abusait pas. Malgré sa timidité, elle se livrait, sans fard, osait être sensuelle.

Arrivés dans mon appartement, Natalie, fit le tour des lieux trouvant l’endroit agréable et accepta de prendre un thé. Elle était vraiment mignonne, cette petite femme en modèle réduit. Des courbes sensuelle, une poitrine généreuse pour son gabarit, des hanches rondes, sa jupe était sagement courte et elle portait de petits talons. A peine maquillée, fraiche elle était naturelle. Je voyais qu’elle avait du mal à cacher, à la fois son impatience et son anxiété.
En bavardant elle m’expliqua qu’elle avait perdu sa virginité l’année précédente, avec un homme rencontré de la même façon que moi via le minitel. L’expérience fut peu agréable, le gars ayant juste satisfait son besoin en moins de 10 minutes. Presque sans caresse, en allant à l’essentiel. J’imaginais le désarroi de cette fille innocente au fond en face d’un tel salaud. Elle m’avait raconté çà la tête baissée comme si elle avait honte d’elle.

- Tu n’as aucune honte à avoir, il s'est conduit comme un salop avec toi. Ne crains rien je ne ferais pas la même chose.

- J’en suis certaine Gilles , tu sais c’est la première fois depuis çà que je rencontre quelqu’un. J’ai longtemps hésité avant de recommencer à chercher, j’ai mis longtemps avant de trouver un dialogue vraiment engageant avec toi.

- J’espère que tu ne regrettes pas?

- Non du tout, avec toi je me sens bien, j’ai beaucoup aimé quand on s'est embrassés, je crois que j’ai senti que tu avais vraiment envie de plus avec moi.

- Oh oui tu ne te trompes pas, mais tu sais je ne suis pas pressé, on peut se revoir, on n'est pas obligés de se jeter l’un sur l’autre.

- Mais je ne veux pas te faire attendre et puis tu sais je ne suis pas une sainte, j’ai des envies très fortes, et tes baisers m’ont réveillée. Mais tu vois je tremble quand même. Dit elle me montrant sa main agitée d’un tremblement continu.

- Tu es certaine de vouloir le faire avec moi?

- Oui, vraiment Gilles j’en ai très envie, mais je ne sais pas comment m’y prendre.

- Alors viens, ma “chérie”je vais te guider, prends ma main, je t’emmène dans la chambre.

- Oui, je peux t’appeler “chéri”

Elle prit ma main avec un sourire qui illuminait son visage. Elle me suivit dans la chambre, là je m’agenouillais devant elle, prenant sa tête entre mes mains je l’embrassais doucement, sur le front, les joues puis sur ces lèvres tremblantes quelle me tendit spontanément. Mes mains caressaient doucement ses épaules, ses flancs, ses hanches.

- C’est doux tes caresses, tu vas me déshabiller ? Chéri

- Oui laisse-moi faire Nat, je vais te découvrir doucement. J’ai envie de profiter de ce moment.

- Je peux aussi te déshabiller en même temps Gilles chéri ?

- Bien sûr, tu sais que je te trouve jolie et ta peau est vraiment douce. Dis je en caressant son cou.

Elle glissa sa main dans ma chemise et caressa mon torse, mes épaules. Je frissonnais sous la caresse de ses petits doigts. C’était assez irréaliste. Je n’osais pas aller trop vite pour lui laisser le temps de prendre ses marques.

- J’ai un peu peur tu sais, l’autres fois il m’avait fait mal Gilles chéri. Tu aimes bien les caresses aussi.

- Oui bien sur, mais ne te casse pas la tête, laisse moi faire, je te montrerais ce que j’aimes après, mais si tu veux caresse moi autant que tu en aura envie.

- Toi tu vas me caresser ou tu vas me... tout de suite. Dit Nat un peu inquiète.

- N’ai crainte petite chérie, je vais te faire éprouver du plaisir avant que cela n’arrive. Enlevons ce chemisier pour que je puisse voir ce que tu me caches.

- Oui, tout çà me parait bien joli, humm j’adore ton soutien-gorge il est joli. Mais ce qu’il retient me parait encore plus beau. Tu à l’air d’avoir de jolis seins petite cachotière.

- Tu es vraiment gentil Gilles, embrasse-moi s’il te plait. J’aimes bien que tu m’embrasse.

Son chemisier est par terre, son soutif dégrafé ses seins assez lourd débordent, ils sont chauds, moelleux des aréoles et des tétons déjà tous durs trônent au centre. Je l’embrasse, nos langues jouent mes mains sont sur ses jolis seins. Alors que nos ouches sont soudées, un petit gémissement quand je presse ses seins tout tendres, un frémissement quand mes pouces agacent les tétons durcis. Nos bouches se libèrent, elle rejette la tête en arrière, secouant sa crinière de feu., un petit soupir, elle me regarde avec des yeux brulants. Ses yeux sont embrumés, comme si elle allait pleurer.

- Que c’est bon tes caresses Gilles chéri, oh j’aime tes mains sur moi.

- Tu es belle ma petite chérie, belle douce et toute chaude. Tes seins sont magnifiques.

- Oh j’aime aussi ta peau, et tu n’a pas trop de poils, j’aimes comme çà je craignais que tu en ais plein, quand je vois ta barbe. Tu es beau aussi, vraiment et si doux, tu me rends folle avec tes caresses c’est si bon.

Je suis satisfait, la chérie se détend, elle commence a entrevoir le plaisir. J’ai vraiment envie de lui prouver que faire l’amour c’est magique. Je suis plus habitué à des femmes plus âgées ou des filles délurées qui ne se choquent pas de certaines pratiques ou mots un peu chauds. Natalie est presque vierge, c’est presque sa première fois. Vu l’attitude du mec qui lui a volé sa virginité, je regrette presque de ne pas être le premier. Non pas que j’ai un goût immodéré pour les vierges, mais cette gamine méritait mieux qu’un connard. Je ne suis pas exceptionnel, je peux même être un vrai salaud avec celles qui aiment, mais là elle me fait presque perdre mes moyens. Amoureux ? Ceux qui m’ont déjà lu le savent, je suis toujours sur le fil du rasoir, je ne sais pas me protéger contre les sentiments, cœur d’artichaut ? Surement. J'ai dû être amoureux à un moment ou un autre de toutes mes partenaires. En fait je suis sincèrement amoureux de toutes quand je leur fait l’amour.

A cet instant mon désir est intense, mon sexe est tendu à l’extrême, j’ai hâte de la pénétrer, mais ce ne sera qu’une fois qu’elle aura éprouvé du plaisir que je m’autoriserais çà. C’est un schéma récurent avec moi. Je caresse, longuement, je fais jouir avec ma langue et seulement après je la pénétrerait et prendrais mon plaisir, une ou plusieurs fois.

- Gilles dit-elle, tu ne veux pas me faire l’amour ?

- Oh mais si ma chérie, je le ferais mais tu n’aimes pas être caressée ?

- Oh si si je me sens toute bizarre, tes mains tes caresses, ta peau contre moi ça me fait des frissons. Mais la première fois ç’ était allé vite. Je ne veux pas que tu t’ennuies.

- Chérie, laisse-moi faire, laisse-moi profiter te ton corps, laisse-moi le temps de te faire jouir, tu es belle, j’adore ta bouche, le gout de tes lèvres, me gout de ta peau. Je veux te rendre folle de plaisir, fais-moi confiance, tu as confiance en moi ?

- Oui, je te fais confiance Gilles, je suis bien avec toi, finis de me déshabiller. Et je peux ouvrir ton pantalon ? Je voudrais toucher. Ton .. Enfin tu sais.

- Mon sexe, ma queue, ma bite il y a des tas de mots tu sais Nat

- Je n’ose pas le dire, mais j’ai envie de le voir tu sais

Natalie est touchante de naïveté et de spontanéité, elle est moitié nue devant moi, elle me caresse le torse, m’embrasse, mais n’ose pas prononcer le mot bite. Cette candeur me fait presque monter les larmes aux yeux. Certains penseront peut-être que je suis trop sensible. Je ne le pense pas, je n’ai jamais retenu mes larmes quand une femme me touche ou m’émeut. Surement que je les aime trop, mais Natalie j’avoues m’a diablement retourné ce jour-là.

Elle déboucle ma ceinture, et fébrilement ouvre mon pantalon. Elle découvre la bosse dans mon caleçon. Elle pose sa main sur mon sexe déjà totalement en érection depuis un moment. Sa main glisse sur ma queue plaquée contre mon ventre, je sens même le léger tremblement de sa main.

- Oh la la il est grand et tout dur déja !!

- Avec une aussi jolie fille que toi c’est difficile de ne pas être dans cet état.

- Ohh tu a tellement envie de moi ? Pourquoi attendre alors?

- Ma chérie, tu a peu d’expérience, j’ai très envie de toi ne t’inquiète pas, si je prends mon temps c’est pour toi, je veux que tu éprouves beaucoup de plaisir, et ton plaisir ne sera pas forcément quand je serais en toi, tu en aura aussi mais je peux t’en donner a coup sur avec mes caresses laisse toi aller ma jolie coquine.

- D’accord je te fais confiance, mais je peux voir ton ... sexe.

- Bien sur et le toucher, tu sais je vais surement réagir quand tu va le faire.

Elle fait glisser mon caleçon, ma queue apparait, elle baisse mon caleçon libérant ma tige et mes couilles. Ses yeux sont rivés sur mon organe tendu, ses doigts effleurent ma peau me faisant ressentir de doux frissons. Puis dans un élan d’audace, sa main se referme sur ma tige. Le contact est excitant. Sentir sa petite main se refermer sur ma queue. Me fait pousser un soupir éloquent.

- Oh oui ta main sur ma queue chérie, tu sens comme je palpite.

- Oui je sens ton cœur battre, tu a une grosse. Queue comme tu dis. Et longue. Je ne suis pas certaine que çà peut rentrer dans ma petite minette !

- Détends toi Nat, laisse moi te découvrir, moi aussi je veux te voir toute nue.

Disant cela, je dégrafe sa jupe et la laisse glisser sur ses pieds, apparait une petite culote très sage, pas en coton, mais une coupe assez peu sexy. Peu importe, mes mains caressent ses hanches et doucement je vais glisser cette petite culotte. Un tout petit buisson fauve, clairsemé apparait, puis une petite chatte très bombée. Comme elle tient ses cuisses assez serrées, j’ai devant moi un abricot de petite fille, très mignon, je pose mes mains au dessus de ses genoux, et pousse pour lui faire comprendre qu’elle écarte un peu les cuisses. Elle tremblait avant et là je sens son tremblement augmenté, ses yeux sont braqués sur moi avec une petite mine presque honteuse. Je prends conscience vraiment que c’est presque sa premiére expérience, elle a des fantasmes, elle rêve sans doute d’étreintes endiablées, mais je ne suis que le second mâle à qui elle permet d’accéder a son corps. Je comprend que cette fille de 1m25 très jolie, attirante, est en train de vivre des moments sans doute cruciaux, je me dois de lui donner une bonne image des hommes. Il n’y a pas que des salauds, les gars comme moi il y en a pas mal et des mieux que moi sans doute plus même. Je ne suis pas moche mais je n’ai jamais eu aucune prétention dans ce domaine. Je sais être sensuel et j’ai une grande expérience du sexe, surtout j’adore çà. Obsédé, sans doute par certains côtés, pervers oh oui et j’assume. Là avec une telle petite chatte, je suis tout doux pas de griffes sorties, pas de claques sur le cul.

Son état de femme avec une particularité, pas un handicap, simplement elle est petite, un modéle réduit. Ce qui me gêne un peu j’avoues c’est cette étrange impression d’être avec une enfant. Certains aimeraient peut-être moi çà me gêne car je ne pourrais jamais faire çà avec une gosse. J’ai eu sans doute des partenaires qui n’avait guère plus de 15 ans mais qui en paraissait 18 ou 20 et qui a l’usage en avait 30. Par nature un type qui fait çà je lui fracasserais le crâne. Je n’ai pas eu la chance d’en avoir eu, du moins que je connaisse. Je ne suis que papa d’une fille de 40 ans que je n’ai jamais connu et grand père de jumelles de 20 ans très aventurières elles doivent avoir un peu de moi quand même. L’une est lesbienne assumée, l’autre semble avoir la même vie que j’ai eu. Je vous en dirais plus un jour sur ma fille



La petite Natalie, je la porte et la dépose sur le lit, elle est nue et c’est une jolie petite nana, étrangement petite, mais parfaite. La peau pâle quelques point de rousseur sur cette peau fragile, sa chevelure rousse est étalée sur les draps, elle conserve ses cuisses serrées, elle ne me quitte pas des yeux, en fait c’est mon sexe qu’elle regarde avec convoitise je dirais. Je me suis agenouillé près d’elle, je caresse ses seins et titille ses tétons tout durs, sa gorge est rouge, elle est excitée, ses joues sont celle d’une normande avec deux pommettes bien rouge.

- C’est vrai tu me trouve jolie Gilles ?

- Non Nat, je te trouve belle vraiment belle, tu me plais beaucoup.

- C’est pour ça que ton sexe est énorme et aussi dressé. Fit-elle dans un accès de témérité.

- Oui ma queue t’apprécie, mais promis elle sera sage pour le moment. Là je vais te manger le minou, on ne t’a jamais fait çà je suppose ?

- Cela à l’air bien les femmes aiment çà on m’a dit.

- Je ne connais pas une seule femme qui n’aimes pas çà. Moi j’aimes le faire et je crois que c’est un des meilleurs moyens de faire jouir une femme. Je ne veux pas me vanter mais toutes les femmes qui sont passées sous ma langue ont beaucoup aimé. Mais il faut que tu ouvres tes cuisses ma chérie, montre-moi ton minou, je t’ai montré mon engin moi.

- Oui et il me fait peur, je trouve qu’il est énorme. Comme çà c’est mieux dit-elle en ouvrant le compas de ses jambes.

- Ohhh ma chérie, tu a une petite chatte toute mignonne, toute rose, et toute mouillée dis moi.

- Oui je le sens, mais toute tes caresses tes baisers ça me fait de l’effet. Donne-moi un papier je vais l’essuyer.

- Non non non tu n’y pense pas, je vais nettoyer çà avec ma langue. Ne sois pas fâchée petite chérie, on va devoir se revoir souvent, que je puisse t’apprendre plein de chose.

- Se revoir ? Vraiment ? Oh oui !! J'aimerais vraiment.

- Tu veux la vérité ? Je pense que moi aussi j’aurais envie de te revoir. Mais tu sais là c’est le Week end, tu es ici chez toi. Tu n’a rien de prévu avant lundi?

- Non , mais je n’ai rien pour me changer.

- Te changer ? Mais tu va vivre nue ma chérie, tu n’a pas froid non? Et tu est encore plus jolie nue qu’avec des fringues.

- Tu es trop gentil de me trouver si jolie.

- Pas jolie, belle et adorable.

- Embrasse-moi dit-elle avec passion.

Comment résister a une telle demande, je m’allonge près d’elle, nos lèvres se scellent, mon sexe est posé sur son ventre, sa main glisse vers lui et elle me prend en main. Je ne peux réprimer un soupir de plaisir. Pas besoin de la guider elle me caresse doucement, elle me branle lentement. Ma main coule le long de ses seins, glisse sur son ventre. Le chatouillis de ses poils, je glisse vers sa fente moite, instinctivement elle écarte ses cuisses, mes doigts frôlent son clito, elle geint contre ma bouche et se cambre, mes doigts entre doucement dans son vagin trempé, inondé. Il se resserre spasmodiquement sur mes deux doigts. Natalie est étroite, je crains qu’elle ait raison et je ne veux pas lui faire de mal .

J’embrasse et lèche ses tétons et laisse descendre ma bouche sur son ventre. Petit coup de langue sur le nombril qui la fait rire.

- Tu me chatouilles là.. Mais j’aimes bien tes baisers sur ma peau, ta bouche est toute chaude.

- J’aimes le gout de ta peau ma chérie, j’aime aussi l’odeur de ta peau.

Elle glousse gentiment et se laisse aller a soupirer sous mes caresses. Mais elle tremble toujours légèrement. Ma bouche passe par ses cuisses toute douces. Son minou est joli d’un rose pâle, doucement avec mes pouces j’écarte les grandes lèvres charnues qui masque son petit vagin. Elle tremble plus fort.

- Hooo tes doigts, ils sont doux tu me donnes chaud.

- Laisse-toi aller doucement, ouvre bien tes cuisses, c’est beau tu sais

- Oh Gilles tu m’excite fort, mon coeur bat comme un fou dit elle caressant mes cheveux.

- Je ne te ferais que du bien ma chérie, si tu as envie de crier, fais-le , dis-moi si quelque chose te déplait.

- Ohhh c’est bon tes doigts là.

Une fois les grandes lèvres ouvertes, apparait la paire de petites lèvres, toute petites se fondant en capuchon pour son petit bouton bien caché. Elle est bien excitée ma petite Natalie, son sexe est inondé de son miel, translucide, assez épais et qui deviens laiteux.

Ma bouche approche son sexe, elle respire de plus en plus rapidement, et émet une petite plainte continue, modulée par mes mouvements sur sa peau. Ma langue lape ce miel d’amour qu’elle m'offre.

- Ohh Gilles c’est ta langue ? C’est comme de l’électricité.

Son corps c’est instantanément tendu, ses mains on agrippé mes cheveux. Je continue a la lécher, a pénétrer son con avec ma langue, mon doigt pénètre son sexe, elle geint, elle se tords sous mes caresses.

- Ohhhh ouiiiiiiiiii encore !! C'est bon

Elle tient ma tête et la presse contre son ventre, elle est haletante, frissonnante. C’est superbe de la voir se tordre sous mes caresses. Elle se laisse aller sans réserve. Elle me fait bander comme un dingue. Je me retiens de la prendre là de suite. Je me dois de lui offrir mieux.

Ma langue débusque le petit clitoris, je le titille de la pointe de ma langue. J’aurais mis le 220 volt sur son sexe qu’elle n’aurait pas sauté plus fort.

- Ahhhhhhhhhhhhhh oh c’est fort!!!!!!!!!!!!!!!! Encore!!

- Encore ?

- Ohhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii là ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Tirant les petites lèvres vers le haut j’expose son petit bouton et le taquine, alternant avec des plongées profondes de ma langue dans son vagin, avec mes doigts aussi. Je la trouve bien étroite la petite chérie. Ma queue est épaisse et je crains que la pénétration ne soit douloureuse, mais elle est particulièrement humide çà devrait aider. Je devrais surtout être doux.

Je la mange littéralement, j’adore ses contorsions, elle réagit a chaque caresse, c’est super excitant. Ce petit bout de femme est vraiment plein de sensualité inexploitée. Je ne comprends pas qu’elle soit “délaissée” par les hommes. Certes elle est d’un format peu commun, mais c’est une vraie femme, belle, vivante pleine de désirs elle s’exprime là avec moi.

Il est vrai qu’avec ce gabarit, j’ai eu un moment où j’avais l’impression de souiller une gosse, mais Natalie est une femme, son désir est celui de toute femme et elle se donne sans doute plus totalement que beaucoup de femmes le font.

Ma petite chérie a le souffle court, les yeux qui sont un peu fous. Ma langue et mes doigts sur son sexe, la rende folle. Elle crie se tortille. Je suis forcé de la retenir pour qu’elle ne tombe pas du lit. Enfin je sens monter en elle le plaisir. Je patauge dans un sexe qui palpite et lâche des flots de cyprine venant du fond de ce vagin bouillant. Son clito est gonflé, dur saillant sous son capuchon rose. Nat tiens ma tête a deux mains comme si elle essayait de la faire entrer dans son sexe. Elle se tétanise tremblante donnant des coups de bassin vers ma bouche. Un long cri me vrille les oreilles. Elle jouit inondant mon visage. D’un squirt incontrôlé. Une vraie douche.

-Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!

Son orgasme dure, elle tremble comme une feuille dans la tempête. Sa tête va de droite a gauche, ses mains crispées sur ma tête me font mal. Je continue a laper son sexe ruisselant.

Alors je me mets à genoux entre ses cuisses, mon sexe dur frotte sur sas petite chatte mouillée. Mon gland est tout juste posé sur ses lévres entrouvertes. Nat tremblante encore me regard intensément.

- Oui oh oui Gilles, entre en moi, fais-moi l'amour

- Tu es belle Natalie, magnifique

Je pousse doucement, mon gland, passe entre les lèvres glissantes de son sexe. Je scrute son visage pour déceler le moindre signe de douleur. Pour le moment c’est juste l’extase qui marque son visage. Ses mains caressent ma poitrine avant de cramponner mes avants bras. Je m’enfonce en elle presque millimètre après millimètre.

- Oh oui, oui je sens ton sexe oh oui entre en moi prends moi chéri

- Je ne te fais pas mal ?

Sa tête me fait non, je la sens quand même concentrée sur cette pénétration. Un petit coup de rein me fait progresser, elle geint ses mains se serrent sur mes bras. Un autre et je bute au fond de son sexe. Et vois une petite grimace sur son visage.
Un coup d’œil, mon sexe n’est pas tout à fait à la moitié enfouis en elle. Je fais quelques allez retour, lents. Chaque fois que je bute au fond de son sexe, petite grimace.
Je l’embrasse, caresse son front, ses joues. Mon doigt passe sur ses lèvres. Elle lèche mon doigt. Je colle ma joue contre la sienne et murmure a son oreille.

- Natalie chérie, je te fais mal tu grimace un peu je le vois

- Oui un peu, mais je veux que tu ais du plaisir continue..

- Non, on va essayer autre chose, tu me fais confiance?

- Ouiii pardon je suis désolée, tu m’as tellement donné de plaisir. Dit-elle.

J’attrape le tube de gel lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit, je lui mets un coussin sous les reins, ainsi son petit trou est accessible facilement. On va bien voir, elle ne l’a jamais fait bien sur, mais rien qu’avec mes doigts je suis presque certain que ca ira sans lui faire mal. Une fois son œillet bien lubrifié, je remets mon gland couvert de gel contre son petit anus plissé. Je l’ai auparavant doigté et lubrifié aussi loin que mes doigts le permettaient sans qu’elle ne fasse la grimace.? Je pousse lentement, mon gland semble glisser sans problème.

- Nat si je te fais mal arrêtes moi, ne t’occupe que de toi, tu as de jolies mains qui me feront du bien si çà va pas. Promis?

-Promis Gilles, j’ai honte.. De pas pouvoir..

- Chutt chérie ferme les yeux..

Lentement guettant le moindre tressaillement de son visage j’entre en elle. Bon sang elle est serrée, je ne tiendrais pas des heures. Tout se passe bien, mon pouce caresse son vagin dégoulinant., le pénétre. Le plaisir renait sur sa frimousse,

- Ohhhhh je sens ton sexe en moi, c’est bon!!! Hmmmmm

- Bien chérie, laisse toi aller, je suis complétement en toi, hmm c’est bon..

Je suis aux anges, elle réagit bien, son anus est souple, je commence a aller et venir dans ce petit cul serré. Elle grimace de plaisir cette fois, ma queue dans son cul et mes doigts sur son sexe la font tremble de désir.

- Ohhhhh c’est bon !!!!! C'est bon !!!!!

- Ah tu aimes que je t’encule, petite cochonne.

- Oui Gilles encules moi bien comme çà oh que c’est bon je vais encore jouir !!!

- Oh petite salope tu va me faire jouir, oh ca viens.. Ca viens..

C’est impossible de résister plus longtemps. Ma queue comprimée dans son étroit petit cul est en train de cracher tout le sperme que je pouvais lui donner. Je crie a mon tour en même temps ou presque que mes doigts lui donnent un second orgasme. Elle s’agrippe a moi son buste plaqué au mien, sa tête renversée en arrière.. Elle crie sa jouissance que je sens comme une intense vibration, les yeux révulsés, on ne voit plus que le blanc. Cette petite femelle jouis dans mes bras et je jouis en elle.

C’est vraiment intense, mon érection persiste. Elle tremble encore, quelques spasmes, ses yeux me scrutent, elle m’embrasse.

- Je te sens encore fort en moi , continue, s’il te plait, encore... encore.

- Petite gourmande, tu aimes çà on dirait

- Oh Gilles avec toi, toujours, c’est si bon.. C'est la premiére fois que c’est comme çà.

Je ne dis rien et continue à la limer assez lentement, je ressors même entièrement de son anus, et je replonge alors qu’elle pousse un long râle de satisfaction de me sentir à nouveau en elle. Quand j’ai de nouveau pénétré en elle j’ai senti sous mon pouce un petit jet d’urine, ma queue doit appuyer sur sa vessie dans cette position. Déjà quand je lui ai mangé la chatte elle m’a inondé. Nat est une squirteuse, j’adore mais elle va craindre que je n’aime pas ça. Tout a l’heure dans la jouissance elle n’a pas remarqué ce qui se passait.

- Nat chérie tu es toute trempée, si tu sens que tu dois te libérer fais le, si tu sens que tu va faire pipi ne te retiens pas, fais le laisse tout partir j’adore çà.

- Ohhhh vraiment, çà te dégoutte pas?

- Non fais le tu verra ton plaisir sera plus fort encore.

- Je t’adore vicieux.

Quelques minutes plus tard alors qu’elle connait l’orgasme a nouveau et que j’éjacule en elle une seconde fois. Elle jouit et lâche un jet puissant et long sur mon ventre, elle nous inonde tous les deux, les draps sont a tordre. Mais son orgasme est dantesque, elle se contracte si fort que ma queue est broyée par son anus..

On se câline un moment elle se love contre moi avec des mots doux des caresses. Avant qu’elle ne porte son attention sur mon membre toujours pas mou. Je fais connaissance avec sa langue, sa bouche. Elle me pompe avec un enthousiasme incroyable.me branlant a deux mains en sucant mon gland, elle me fais jouir dans sa bouche et avale directement tout mon sperme. Se léchant les babines.

- Je l’avais jamais fait, j’en avais envie, j’adore çà.. je peux le refaire?

- Tout de suite?

- Tu crois que tu peux encore?

- Essaye on verra..

Et elle a encore pu me faire crier de plaisir mais ensuite on a dû se reposer un peu quand même. Surtout moi..

A Suivre