Petite, si petite 1
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2017 dans la catégorie Pour la première fois
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Petite, si petite 1
Petite si petite
La nature parfois est cruelle et dément l’idée selon laquelle tous les hommes naissent égaux.
Depuis l’école maternelle, Sonia avait décidé que j’étais son amoureux. Un jour elle précisa que je serais son mari. Elle était mignonne et affectueuse et aurait le temps d’élargir ses horizons, de voir du monde et de rencontrer d’autres garçons pour améliorer son choix. Bon, ce choix n’était pas pour me déplaire et ses bisous me chauffaient le cœur.
Quand arrivèrent nos vingt ans Sonia décida que je devais l’épouser. Quelle persévérance penseront certains, quelle obsession ricaneront les autres. De ce jour elle m’accorda le droit de l’embrasser sur la bouche. Je ne m’en plaignis pas, elle était devenue une jeune fille tout à fait désirable et j’aurais dû me réjouir de sa constance. Nous connûmes les joies de la découverte du vrai baiser. Mais pour obtenir plus je dus me résoudre à demander officiellement sa main à son père.
Ce n’était qu’une formalité, le brave père plus ému que surpris, s’amusa à me faire décliner toutes les raisons qui inspiraient une telle démarche. Comme pour un entretien d’embauche je dus décliner mes objectifs. Outre l’ancienneté de notre relation, je vantai la beauté de l’élue, son charme naturel et l’amour qu’elle me portait depuis toujours. Je précisai mon intention sincère de la rendre heureuse.
- C ’est tout? As-tu vu son corps, sais-tu si vos corps se compléteront, si vous vous accorderez au lit ? C’est un élément de base.
- Quoi, quand, comment, où, pourquoi ? Nous n’avions pas procédé à des investigations propres à pouvoir répondre à la question. Je dus m’en tenir aux généralités de ceux qui n’ont pas osé « essayer »:
- A vrai dire, ce sont des choses à découvrir quand nous vivrons en couple. Jusqu’à présent Sonia a farouchement défendu sa vertu; en dehors de son visage et de ses membres je ne connais pas son corps. Cependant elle semble faite comme toutes les jeunes filles de son âge. De ses parents elle a hérité beauté, intelligence et grâce et elle souhaite partager ses qualités avec moi.
-Bien, épouse ma fille et sois mon fils .
Nous étions donc fiancés. Elle voulut bien découvrir sa poitrine devant moi. Je fus ébloui à la vue de ces deux globes délicats couronnés par une minuscule framboise. On m’accorda une caresse et je reçus prière de déposer sur le timide fruit rouge un baiser. Avec dévotion mes lèvres se refermèrent sur ce bouton exquis, le roulèrent et ma langue le tutoya assez pour le sentir grossir et durcir. La deuxième framboise eut la même réaction à la même sollicitation. Sonia caressa mes cheveux, me remercia. Son visage avait rougi, sa respiration s’était accélérée, mais tout naturellement ses mains rangèrent ses délicats ornements dans son corsage. Si je m’étais montré attentif à ses désirs, bien gentil comme elle aimait le reconnaître, quand nous étions seuls, je recevais en récompense le droit d’honorer ses seins, de les découvrir, de les baiser et même de les sucer comme le ferait plus tard notre bébé.
Le mariage eut lieu. La petite taille de ma zigounette pendant la nuit de noces étonna à peine l’épouse qui l’attribua à la fatigue et au stress dû à l’événement, aux nombreux toasts, au brouhaha de la fête. La nuit suivante je fus plus vaillant et mon membre, sur commande manuelle étonnamment adroite de l’épouse, devint raide et dur, Sonia prit la pose, couchée sur le dos, jambes ouvertes, mains appliquées à me présenter son adorable sexe, vierge comme je dus le constater de visu et ensuite pour forcer le barrage d’un hymen rétif avec ma verge.
Où donc avait-elle acquis cette dextérité manuelle capable de dégeler mon oiseau? Elle était très fière d’avoir su se conserver intacte pour moi. Mais est-ce inné pour une femme de prendre la pose pour accueillir son mari ? Elle m’invita fort gentiment à la rendre femme. Je pris le temps d’observer attentivement cet entrejambe enfin révélé, le contraste entre les grandes lèvres et les nymphes aux chairs si différentes. Sonia désigna en haut de sa fente une pointe minuscule, cachée et nomma son clitoris. Un homme tendre et aimant se devait d’y déposer un baiser, comme sur les tétons. L’expérience acquise sur la poitrine simplifia le passage au sexe.
Avec application je donnai des soins doux et humides à ce petit pois de chair. Je le suçai tendrement au point que ma jeune vierge manifesta par petits gémissements et sursauts de son bassin tout le plaisir qu’elle tirait de mes attentions et me signifia l’urgence de passer à l’acte d’amour. Le visage mouillé par ce contact, la bouche étonnée de l’étrange saveur de ce clitoris et de ses environs, à la demande de la mariée, je m’allongeai dans le berceau de ses cuisses, je dirigeai mon dard tendu vers l’obstacle à franchir, plein d‘appréhension mais aussi de bonne volonté.
J’appuyai comme Sonia le voulait et je fus en elle un peu moins facilement et rapidement qu’elle ne l’avait prévu. Mais l’hymen céda. Sa mère l’avait instruite, mise en garde contre de possibles difficultés et des douleurs désagréables, habituelles lors des premiers rapports sexuels, mais nécessaires lors d’un dépucelage pour qu‘il soit couronné de succès. Elle s’attendait au pire, après plusieurs tentatives infructueuses, elle n’eut que le meilleur et se réjouit de ma délicatesse et de mon adresse.
L’avantage d’un petit pénis est de pouvoir entrer en évitant les gros dégâts. Dernier témoin de sa virginité son sang macula nos sexes, un tour rapide en salle de bain remit les choses en ordre. Sonia me lava entre ses mains avec tendresse mais tiqua quand elle comprit pourquoi je m‘étais introduit de façon quasi indolore. Je la repris et selon ses indications précises je fus actif, je m’offris le plaisir de la conduire vers une jouissance qu’elle sut traduire en râles et plaintes d’amour.
Ce qui prouve qu’une petite bien raide peut être aussi efficace, sinon plus qu’une grande paresseuse. J’en éprouvai un sentiment de légitime fierté. Il est vrai que la partie la mieux innervée du vagin se situe autour des sept ou huit premiers centimètres selon ce que j’en ai lu depuis. Moins instruit à l’époque, je fus un époux comblé d’avoir dès la première fois fait jouir la femme qui m’avait choisi. Et cette nuit ses baisers devinrent mille fois plus savoureux que les baisers de fiançailles.
Mon bonheur venait du plaisir que je lui donnai, elle se disait heureuse de me faire jouir. Un jour je pus dire à mon beau-père que nos corps se complétaient et que nous tirions l’un de l’autre, physiquement et psychiquement, entière satisfaction. Il n’avait pas à s’inquiéter.
Cependant Sonia me regardait parfois avec un air étrange. Elle fixait ma verge, la prenait en main, la caressait, lui donnait des bisous puis me demandait de la prendre et de lui faire connaître l’orgasme. Après les secousses de la jouissance elle semblait comblée, ravie, mais comme étonnée. Et dans l’euphorie d’une nuit où elle avait fait quelques allers-retours au septième ciel, elle dévoila enfin la cause de son étonnement. Par des recherches, par des lectures, par des confidences d‘amies et connaissances, par l’écoute de certaines conversations, elle avait appris que la taille moyenne d’un pénis était d’environ quinze à seize centimètres.
Elle tenait le mien entre ses doigts, embarrassée par mon regard qui surveillait sa façon de me mesurer sans en avoir l’air. Elle n’osait pas le dire, mais elle semblait déçue de n’avoir en main qu’un morceau d’une courte dizaine de centimètres. J’avais de bonnes raisons de me croire efficace, ne venait-elle pas de clamer à plusieurs reprises sa jouissance. Pour avoir reçu les mêmes informations, je me savais doté d’un instrument de petite taille. Plus jeune j’avais développé un complexe. L’amour de Sonia et nos unions charnelles réussies, le plaisir qu’elle prétendait éprouver m’avaient rassuré.
-Il paraît que certains chanceux ont des pénis de grande taille, de plus de vingt et parfois plus de trente centimètres. Tu te rends compte? J’ai lu que le record actuel s’établit à 34 centimètres.
Ce disant elle considérait avec pitié ou commisération l’objet de sa déception soudaine, cette petite queue, certes ferme et de diamètre acceptable, mais peu présentable dans un concours. Jamais elle ne pourrait se vanter auprès de ses collègues de posséder un spécimen exceptionnel. Elle écouterait les autres détailler longueur, diamètre, forme, énergie: mon truc n’intéresserait aucune de ces femmes comblées par un pieu, un gourdin ou une massue, un manche énorme, une tige de fer brûlante, longue, nerveuse, une lance à incendie au débit de sperme phénoménal. Ses propos suffisaient à traduire sa déception. Il y avait des « chanceux » à grandes et grosses queues pour les autres et il y avait ma nouille de pas chanceux pour elle. Pour la consoler, je plaidai:
-Ma chérie, n’as-tu pas joui ce soir avec mon zizi de petite taille?
- Elle était frustrée et je culpabilisais en secret.
De bonne foi elle protesta:
-Mais si, mon amour, mais tu imagines ce que cela serait si tu en avais une grande de vingt-cinq centimètres par exemple? Je n’ose même pas y penser.
Affirmation destructrice pour le minus habens ! J’évitais d’y penser. Au contraire, elle ne pensait qu’à ça, elle devait passer beaucoup de temps à imaginer. Et maintenant son silence couvrait une des rêveries qui la livraient aux assauts furieux, houleux, ravageurs, extraordinaires, si délicieux et bienfaisants d’un rouleau de chair surdimensionné en train de lui labourer le ventre, de lui défoncer le vagin et de la faire hurler d’un bonheur que ma petite dimension ne pouvait pas lui faire connaître. Assurément « un chanceux » aurait fait mieux que moi et Sonia était dépitée de ne pas goûter aux béatitudes extraordinaires d’une queue longue, large, épaisse, chaude.
« Tu imagines ce que cela serait »: cette petite phrase a ressuscité mes complexes d’adolescent, je me suis senti si petit, si insignifiant, si nul. Elle imaginait, elle comparait, elle cultivait des regrets. Elle regrettait de ne pas avoir su plus tôt, de ne pas avoir pris des dimensions plus tôt, de ne pas avoir essayé avant de s’engager avec un sous dimensionné. Quand un quidam prétendait que l’on devrait pratiquer le mariage à l’essai avant de passer à la mairie et à l’église, elle n’approuvait pas ouvertement, mais baissait les yeux pour que je n’y lise pas son trouble. Trop petit, plus petit que… Si petit et donc frustrant, nécessairement ma taille la privait des explosions charnelles extrêmes dont d’autres plus chanceuses se vantaient en roucoulant. Tout petit, ridiculement petit, honteusement petit, donc impossible à placer dans une conversation avec les copines.
Mais ma queue était pour elle malgré tout, sujet de conversation: je l’entendis ce jour-là dans une conversation dans ma chambre à coucher. J’ai oublié pourquoi ce jour je rentrai plus tôt que d’habitude. Curieusement Sonia m’avait précédé à la maison. Les bruits venus de ma chambre étaient éloquents. Disons plutôt la conversation que je surpris. En réalité c’étaient des exclamations.
-Oh! Est-ce possible. Quelle belle bite. Longue, dure, épaisse. Est-ce possible? Je peux encore toucher?
- Vas-y. Je ne demande pas mieux. Que ta main ne tremble pas.
- Vrai, je peux encore. C’est incroyable. Ton gland est magnifique, fantastique. Voilà ce quil me faudrait
-Elle te plaît? Tu vois, ce n’est pas du toc. Serre, c’est du vrai, du solide, à ton service ma chère. Je ne suis ici que pour le plaisir de te laisser voir, toucher, prendre en bouche ou recevoir dans ton sexe ma verge. N’est-elle pas conforme à ce que tu souhaitais connaître sur le site internet ?
La nature parfois est cruelle et dément l’idée selon laquelle tous les hommes naissent égaux.
Depuis l’école maternelle, Sonia avait décidé que j’étais son amoureux. Un jour elle précisa que je serais son mari. Elle était mignonne et affectueuse et aurait le temps d’élargir ses horizons, de voir du monde et de rencontrer d’autres garçons pour améliorer son choix. Bon, ce choix n’était pas pour me déplaire et ses bisous me chauffaient le cœur.
Quand arrivèrent nos vingt ans Sonia décida que je devais l’épouser. Quelle persévérance penseront certains, quelle obsession ricaneront les autres. De ce jour elle m’accorda le droit de l’embrasser sur la bouche. Je ne m’en plaignis pas, elle était devenue une jeune fille tout à fait désirable et j’aurais dû me réjouir de sa constance. Nous connûmes les joies de la découverte du vrai baiser. Mais pour obtenir plus je dus me résoudre à demander officiellement sa main à son père.
Ce n’était qu’une formalité, le brave père plus ému que surpris, s’amusa à me faire décliner toutes les raisons qui inspiraient une telle démarche. Comme pour un entretien d’embauche je dus décliner mes objectifs. Outre l’ancienneté de notre relation, je vantai la beauté de l’élue, son charme naturel et l’amour qu’elle me portait depuis toujours. Je précisai mon intention sincère de la rendre heureuse.
- C ’est tout? As-tu vu son corps, sais-tu si vos corps se compléteront, si vous vous accorderez au lit ? C’est un élément de base.
- Quoi, quand, comment, où, pourquoi ? Nous n’avions pas procédé à des investigations propres à pouvoir répondre à la question. Je dus m’en tenir aux généralités de ceux qui n’ont pas osé « essayer »:
- A vrai dire, ce sont des choses à découvrir quand nous vivrons en couple. Jusqu’à présent Sonia a farouchement défendu sa vertu; en dehors de son visage et de ses membres je ne connais pas son corps. Cependant elle semble faite comme toutes les jeunes filles de son âge. De ses parents elle a hérité beauté, intelligence et grâce et elle souhaite partager ses qualités avec moi.
-Bien, épouse ma fille et sois mon fils .
Nous étions donc fiancés. Elle voulut bien découvrir sa poitrine devant moi. Je fus ébloui à la vue de ces deux globes délicats couronnés par une minuscule framboise. On m’accorda une caresse et je reçus prière de déposer sur le timide fruit rouge un baiser. Avec dévotion mes lèvres se refermèrent sur ce bouton exquis, le roulèrent et ma langue le tutoya assez pour le sentir grossir et durcir. La deuxième framboise eut la même réaction à la même sollicitation. Sonia caressa mes cheveux, me remercia. Son visage avait rougi, sa respiration s’était accélérée, mais tout naturellement ses mains rangèrent ses délicats ornements dans son corsage. Si je m’étais montré attentif à ses désirs, bien gentil comme elle aimait le reconnaître, quand nous étions seuls, je recevais en récompense le droit d’honorer ses seins, de les découvrir, de les baiser et même de les sucer comme le ferait plus tard notre bébé.
Le mariage eut lieu. La petite taille de ma zigounette pendant la nuit de noces étonna à peine l’épouse qui l’attribua à la fatigue et au stress dû à l’événement, aux nombreux toasts, au brouhaha de la fête. La nuit suivante je fus plus vaillant et mon membre, sur commande manuelle étonnamment adroite de l’épouse, devint raide et dur, Sonia prit la pose, couchée sur le dos, jambes ouvertes, mains appliquées à me présenter son adorable sexe, vierge comme je dus le constater de visu et ensuite pour forcer le barrage d’un hymen rétif avec ma verge.
Où donc avait-elle acquis cette dextérité manuelle capable de dégeler mon oiseau? Elle était très fière d’avoir su se conserver intacte pour moi. Mais est-ce inné pour une femme de prendre la pose pour accueillir son mari ? Elle m’invita fort gentiment à la rendre femme. Je pris le temps d’observer attentivement cet entrejambe enfin révélé, le contraste entre les grandes lèvres et les nymphes aux chairs si différentes. Sonia désigna en haut de sa fente une pointe minuscule, cachée et nomma son clitoris. Un homme tendre et aimant se devait d’y déposer un baiser, comme sur les tétons. L’expérience acquise sur la poitrine simplifia le passage au sexe.
Avec application je donnai des soins doux et humides à ce petit pois de chair. Je le suçai tendrement au point que ma jeune vierge manifesta par petits gémissements et sursauts de son bassin tout le plaisir qu’elle tirait de mes attentions et me signifia l’urgence de passer à l’acte d’amour. Le visage mouillé par ce contact, la bouche étonnée de l’étrange saveur de ce clitoris et de ses environs, à la demande de la mariée, je m’allongeai dans le berceau de ses cuisses, je dirigeai mon dard tendu vers l’obstacle à franchir, plein d‘appréhension mais aussi de bonne volonté.
J’appuyai comme Sonia le voulait et je fus en elle un peu moins facilement et rapidement qu’elle ne l’avait prévu. Mais l’hymen céda. Sa mère l’avait instruite, mise en garde contre de possibles difficultés et des douleurs désagréables, habituelles lors des premiers rapports sexuels, mais nécessaires lors d’un dépucelage pour qu‘il soit couronné de succès. Elle s’attendait au pire, après plusieurs tentatives infructueuses, elle n’eut que le meilleur et se réjouit de ma délicatesse et de mon adresse.
L’avantage d’un petit pénis est de pouvoir entrer en évitant les gros dégâts. Dernier témoin de sa virginité son sang macula nos sexes, un tour rapide en salle de bain remit les choses en ordre. Sonia me lava entre ses mains avec tendresse mais tiqua quand elle comprit pourquoi je m‘étais introduit de façon quasi indolore. Je la repris et selon ses indications précises je fus actif, je m’offris le plaisir de la conduire vers une jouissance qu’elle sut traduire en râles et plaintes d’amour.
Ce qui prouve qu’une petite bien raide peut être aussi efficace, sinon plus qu’une grande paresseuse. J’en éprouvai un sentiment de légitime fierté. Il est vrai que la partie la mieux innervée du vagin se situe autour des sept ou huit premiers centimètres selon ce que j’en ai lu depuis. Moins instruit à l’époque, je fus un époux comblé d’avoir dès la première fois fait jouir la femme qui m’avait choisi. Et cette nuit ses baisers devinrent mille fois plus savoureux que les baisers de fiançailles.
Mon bonheur venait du plaisir que je lui donnai, elle se disait heureuse de me faire jouir. Un jour je pus dire à mon beau-père que nos corps se complétaient et que nous tirions l’un de l’autre, physiquement et psychiquement, entière satisfaction. Il n’avait pas à s’inquiéter.
Cependant Sonia me regardait parfois avec un air étrange. Elle fixait ma verge, la prenait en main, la caressait, lui donnait des bisous puis me demandait de la prendre et de lui faire connaître l’orgasme. Après les secousses de la jouissance elle semblait comblée, ravie, mais comme étonnée. Et dans l’euphorie d’une nuit où elle avait fait quelques allers-retours au septième ciel, elle dévoila enfin la cause de son étonnement. Par des recherches, par des lectures, par des confidences d‘amies et connaissances, par l’écoute de certaines conversations, elle avait appris que la taille moyenne d’un pénis était d’environ quinze à seize centimètres.
Elle tenait le mien entre ses doigts, embarrassée par mon regard qui surveillait sa façon de me mesurer sans en avoir l’air. Elle n’osait pas le dire, mais elle semblait déçue de n’avoir en main qu’un morceau d’une courte dizaine de centimètres. J’avais de bonnes raisons de me croire efficace, ne venait-elle pas de clamer à plusieurs reprises sa jouissance. Pour avoir reçu les mêmes informations, je me savais doté d’un instrument de petite taille. Plus jeune j’avais développé un complexe. L’amour de Sonia et nos unions charnelles réussies, le plaisir qu’elle prétendait éprouver m’avaient rassuré.
-Il paraît que certains chanceux ont des pénis de grande taille, de plus de vingt et parfois plus de trente centimètres. Tu te rends compte? J’ai lu que le record actuel s’établit à 34 centimètres.
Ce disant elle considérait avec pitié ou commisération l’objet de sa déception soudaine, cette petite queue, certes ferme et de diamètre acceptable, mais peu présentable dans un concours. Jamais elle ne pourrait se vanter auprès de ses collègues de posséder un spécimen exceptionnel. Elle écouterait les autres détailler longueur, diamètre, forme, énergie: mon truc n’intéresserait aucune de ces femmes comblées par un pieu, un gourdin ou une massue, un manche énorme, une tige de fer brûlante, longue, nerveuse, une lance à incendie au débit de sperme phénoménal. Ses propos suffisaient à traduire sa déception. Il y avait des « chanceux » à grandes et grosses queues pour les autres et il y avait ma nouille de pas chanceux pour elle. Pour la consoler, je plaidai:
-Ma chérie, n’as-tu pas joui ce soir avec mon zizi de petite taille?
- Elle était frustrée et je culpabilisais en secret.
De bonne foi elle protesta:
-Mais si, mon amour, mais tu imagines ce que cela serait si tu en avais une grande de vingt-cinq centimètres par exemple? Je n’ose même pas y penser.
Affirmation destructrice pour le minus habens ! J’évitais d’y penser. Au contraire, elle ne pensait qu’à ça, elle devait passer beaucoup de temps à imaginer. Et maintenant son silence couvrait une des rêveries qui la livraient aux assauts furieux, houleux, ravageurs, extraordinaires, si délicieux et bienfaisants d’un rouleau de chair surdimensionné en train de lui labourer le ventre, de lui défoncer le vagin et de la faire hurler d’un bonheur que ma petite dimension ne pouvait pas lui faire connaître. Assurément « un chanceux » aurait fait mieux que moi et Sonia était dépitée de ne pas goûter aux béatitudes extraordinaires d’une queue longue, large, épaisse, chaude.
« Tu imagines ce que cela serait »: cette petite phrase a ressuscité mes complexes d’adolescent, je me suis senti si petit, si insignifiant, si nul. Elle imaginait, elle comparait, elle cultivait des regrets. Elle regrettait de ne pas avoir su plus tôt, de ne pas avoir pris des dimensions plus tôt, de ne pas avoir essayé avant de s’engager avec un sous dimensionné. Quand un quidam prétendait que l’on devrait pratiquer le mariage à l’essai avant de passer à la mairie et à l’église, elle n’approuvait pas ouvertement, mais baissait les yeux pour que je n’y lise pas son trouble. Trop petit, plus petit que… Si petit et donc frustrant, nécessairement ma taille la privait des explosions charnelles extrêmes dont d’autres plus chanceuses se vantaient en roucoulant. Tout petit, ridiculement petit, honteusement petit, donc impossible à placer dans une conversation avec les copines.
Mais ma queue était pour elle malgré tout, sujet de conversation: je l’entendis ce jour-là dans une conversation dans ma chambre à coucher. J’ai oublié pourquoi ce jour je rentrai plus tôt que d’habitude. Curieusement Sonia m’avait précédé à la maison. Les bruits venus de ma chambre étaient éloquents. Disons plutôt la conversation que je surpris. En réalité c’étaient des exclamations.
-Oh! Est-ce possible. Quelle belle bite. Longue, dure, épaisse. Est-ce possible? Je peux encore toucher?
- Vas-y. Je ne demande pas mieux. Que ta main ne tremble pas.
- Vrai, je peux encore. C’est incroyable. Ton gland est magnifique, fantastique. Voilà ce quil me faudrait
-Elle te plaît? Tu vois, ce n’est pas du toc. Serre, c’est du vrai, du solide, à ton service ma chère. Je ne suis ici que pour le plaisir de te laisser voir, toucher, prendre en bouche ou recevoir dans ton sexe ma verge. N’est-elle pas conforme à ce que tu souhaitais connaître sur le site internet ?
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
De la comparaison naît l'envie d'essayer autre chose que ce que l'on a. Transposez à l'automobile, vous renoncerez à la 2 cv si vous pouvez vous payer une porsche par exemple. Mais consolez-vous si vous n'avez qu'une 2 cv, ça permet de rouler!
Mes récits ne sont pas autobiographiques: comment pourrais-je avoir vécu tout ça ? (345 récits environ !)
Je n'ai pas ressenti l'histoire que vous partagez comme fantasmante, mais bien plutôt comme une grande souffrance de constater que, pour vous (si cette histoire est autobiographique), l'amour que vous portait votre première compagne n'a pas résisté à la déception de ce qu'elle s'imaginait de la vie sexuelle, et à la découverte de sexes de grandes tailles. Comme si le plaisir sexuel, chez elle, balayait tout sentiment, toutes les autres qualités humaines de l'homme choisi par "erreur"
Aug. 20, 2017. John La Semelle est dans la moyenne, mais doit dire à Sonia: autant avoir une petite qui frétille qu'une grosse qui roupille. Merci et espère lire une suite.
Elle a cherché sur internet et elle reçoit un grand spécimen, s'extasie sur ses dimensions et qualités "longue, dure épaisse". elle oublie qu'une petite peut être dure et produire ses effets. Sa curiosité sera satisfaite, elle ressemble à beaucoup de femmes.
C'est très triste, mais tellement vrai. C'est bête tout n'est pas question de taille!!!! Les petites c'est pratique!!!!
Heureusement internet instruit et les mieux lotis, ceux qui font rêver étalent leurs avantages. Le marché est ouvert Et tant pis pour les petits, ils ramasseront les restes.
moi je préfère les grosses bien dures et longues
Merci jpj
Au dernier mot de cette histoire d'Accent, je suis vite remonté regarder si le titre promettait une suite.
C'est le cas.
On a tous (enfin je crois) eu ce complexe de n'être pas à la hauteur côté dimensions
Merci d'avoir écrit une histoire bandante sur ce thème.
jpj
C'est le cas.
On a tous (enfin je crois) eu ce complexe de n'être pas à la hauteur côté dimensions
Merci d'avoir écrit une histoire bandante sur ce thème.
jpj