Photographe passion 03
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Photographe passion 03
Photographe passion 03 - Emménagement
Le soir venu, tous deux assis tendrement dans le divan, il déclare subitement, "Je suis vraiment bien avec toi. Toi aussi, comme je peux le voir!" Une gentille petite tape sur le gland qui rebondit instantanément. "Viens habiter avec moi!"Mon sang ne fait qu'un tour, je ne suis pas certain d'avoir bien entendu. Je suis prêt à répondre, "Heu, je...," mais il m'interrompt immédiatement.
"Reste dormir ce soir et tu me donneras ta réponse demain. Ce sera ma seule demande!"Il allume la TV et nous regardons un film comique, moi blotti dans ses bras et lui me caressant tendrement le corps, je me sens au paradis. Une fois le film terminé, Pierre se lève brusquement, m'enlace. Il m'embrasse brièvement et me dit d'aller dormir.
Bien sûr, ma nuit est de nouveau agitée même si ma réponse est évidente. Au matin, je me douche de nouveau sous son contrôle et il m'envoie préparer le déjeuner tandis qu'il se douche lui-même. Lorsqu'il arrive dans la cuisine, je lui sers son repas et m'assieds à ma place, en face de lui. Je désire prendre la parole, je n'ose pas, j'attends sa permission.
Lorsque Pierre a finalement terminé son repas, il me regarde intensément, son regard est tellement puissant que je baisse mes yeux. "Regarde-moi! As-tu réfléchis?""Oui, je...""Attends! Prends bien conscience de ton engagement!"Je sursaute, un peu effrayé et ne comprenant pas sa mise en garde, je recommence, "Oui, je...""Si tu dis oui, tu t'engages pleinement!""Je sais, je...""Si tu dis oui, tu vivras totalement à ma façon, sous mon contrôle et tu m'appelleras Monsieur!"Je suis encore plus surpris, fortement troublé par ces derniers mots. Mon cerveau hésite, mon cœur s'emballe et ma queue palpite. Les mots sortent tous seuls, "Oui, Monsieur, je désir venir vivre avec vous!"Je peux voir le visage de Pierre s'illuminer et je me sens heureux lorsqu'il dit simplement, "D'accord, j'accepte!" Sur un signe de sa main, je me lève et me dirige vers lui. Je m'agenouille à ses pieds et blottis mon visage sur ses cuisses tandis qu'il caresse tendrement ma joue et ébouriffe mes cheveux. "Merci Monsieur, merci beaucoup Monsieur!""Parfait! Prépare-toi pour aller travailler. Ne te masturbe pas, ne touche pas cette belle queue de toute la journée! Au soir, tu repasses chez toi, tu prends quelques affaires personnelles. Nous ferons ensemble les démarches administratives pour ton déménagement. Tu reviens ici, tu sonnes, tu te dépouilles totalement dès que tu es entré, tu prends une douche et tu te présentes à moi, debout nu, les jambes légèrement fléchies et écartées et les mains posées sur ta tête tandis que j'inspecterai minutieusement ton corps. Ce rituel, tu le referas chaque fois que tu rentres dans MA maison, quoi qu'il arrive. Compris?""Oui... oui Monsieur!""Tu obéis et tout se passera bien. J'ai confiance en toi, ne me trahis pas."Je me sens excité et énervé comme jamais avant. Je me précipite pour me préparer et je reçois finalement un doux baiser sur le front comme je pars travailler.
Mon érection me démange toute la journée, les derniers évènements défilent continuellement dans ma tête et créent un film agréable avec ceux à venir. J'ose à peine toucher mon sexe pour pisser et je me sens gêner de découvrir tout le suc qui dégouline continuellement dans mon slip. Je suis anxieux d'emménager, mais je parviens quand même à rester très consciencieux dans mon travail.
Je rentre du travail et récupère le strict minimum chez moi. Je ne prends aucun habit puisque je sais que je resterai nu tout le temps, hormis des vêtements de rechange pour aller travailler. Si j'oublie quelque chose, je reviendrai plus tard. Chargé seulement d'un gros sac, je retourne chez Pierre, Monsieur Pierre. Ce nom retentit et résonne dans ma tête, il indique certainement le respect, l'autorité même s'il marque aussi une distance. Les pensées de tout ce qui en découle amène une démangeaison plus imposante dans mon pantalon, je me force pour ne pas y toucher et, plus je me force, plus mon érection étire le tissu jusqu'à une forte douleur. J'arrive devant chez Pierre, Monsieur Pierre, je dois m'habituer à penser à lui de cette façon et je range ma voiture à l'arrière comme demandé. Je décharge le sac, je sonne et j'attends.
Monsieur Pierre arrive rapidement, il ouvre la porte, me laisse entrer et, sans un mot, il ferme la porte et disparait dans le salon. Je suis surpris par son accueil plutôt froid, mais je connais maintenant mon rituel obligatoire. Une fois terminé, je me présente totalement nu, une forte érection au garde-à-vous, devant le fauteuil dans lequel il parcoure un livre. Il ne bronche pas.
"Bonjour, Monsieur."Monsieur Pierre ne réagit toujours pas.
Je réfléchis, j'hésite, je ne sais pas quoi faire. Je risque, "Monsieur, votre serviteur au rapport, Monsieur."Sans lever la tête de son livre, il dit froidement, "Je sais, je ne suis pas aveugle!" Un peu après, il ajoute, "Je termine mon chapitre. Apprends la patiente!"Je grogne un peu, mais j'en profite pour corriger ma position, les jambes, le dos, le ventre, les épaules pour me présenter correctement.
"C'est mieux!" Une voix amusée éclate et m'amène encore à m'améliorer, Monsieur Pierre est vraiment un perfectionniste et j'aime ça.
Monsieur Pierre se lève finalement. Il s'approche lentement de moi, ses magnifiques yeux verts scrutent chaque détail de mon corps offert. Il me contourne et ses mains commencent aussi leurs examens. Je sens la chaleur et la tendresse du contact et ne peux m'empêcher de lâcher un léger soupir. Ses doigts analysent chaque parcelle de peau, chaque muscle et je me tends pour aller à l'encontre de se merveilleux contact.
"Ne bouge pas, les jambes plus écartées, le tronc en avant, les fesses ouvertes!"Sans réfléchir, j'obéis. Je corrige ma position et sens directement une pression inattendue contre mon trou, oh quel divin contact! Je retiens un autre soupir au fond de ma gorge et me force, à contrecœur, pour ne pas m'empaler moi-même dessus. Les mains continuent leur parcours. Monsieur Pierre réapparait devant moi, je baisse les yeux.
"Regarde-moi!" Je relève la tête et fixe ses grands yeux verts. Le regard est plein d'amour et de tendresse. Ces deux profonds sentiments ne changent pas même lorsque la pression de ses doigts sur mes seins augmente progressivement. Plus je grimace, plus son sourire s'élargit, plus ma queue durcit. Une petite tape sur ma joue gauche termine l'inspection.
"Repos!" Monsieur Pierre m'enlace et m'embrasse sur la bouche, un baiser bref mais chaud comme il sait si bien les faire. Je suis excité au plus haut point.
"Reste là comme ça, ne bouge surtout pas!" Je le vois reculer et saisir son appareil photo ainsi qu'un petit objet, un loup noir. Monsieur Pierre place le masque par-dessus mes yeux et commence à prendre plusieurs photos sous tous les angles, mes mains toujours posées sur ma tête. Aucun fragment ne lui échappe, il me fait même écarter mes fesses pour un gros plan de mon anneau. Je me sens toujours plus honteux, toujours plus excité et mon sexe s'étire et dégouline de plus en plus.
"Nous allons maintenant faire un petit film! Aide-moi à te mettre en valeur! Caresse langoureusement ton corps." Maladroitement au début, je commence à me caresser et, le plaisir aidant, je me retrouve dans des poses vraiment obscènes. Monsieur Pierre, m'encourage constamment, il me contourne, s'approche, s'éloigne, se lève, s'abaisse, m'incitant dans de nouveaux tortillements, de nouvelles provocations comme une star du porno offrant son corps à l'objectif pour les futurs spectateurs. Je lui offre mon corps entier et finis par oublier la caméra qui continue à filmer durant une éternité.
Un douce voie dans mon oreille murmure, "Oui, bien, branle-toi!" Je n'attendais que ça, la permission de toucher ma queue, de me masturber. Pris dans le puissant tourbillon du désir, ma main droite glisse progressivement vers mes fesses, les caresse, les sépare et creuse son chemin. Mon sexe est prêt à éclater, mon index impatient pénètre mon trou, le majeur vient le rejoindre, je suis au bord de l'orgasme. Je ralentis, attendant une permission qui traîne à venir. Ma respiration s'ébruite, un voile de luxure tombe devant mes yeux.
La voix surgit dans l'autre oreille, cette fois-ci plus ferme bien que toujours en un murmure, "Oui, gicle maintenant!" Il ne m'en faut pas plus, ma hampe se tend, palpite encore et encore et plusieurs puissants jets se propulsent au loin, suivis de plusieurs petites salves avant que je m'écroule, épuisé, à genoux sur le sol.
Petit à petit, je reprends mes esprits, progressivement conscient de ce que je viens de faire. La honte est sur moi, en moi. Je me remémore chaque seconde de cet évènement dégradant, je m'en veux terriblement. Je n'ose pas relever la tête, je ne sais pas comment m'excuser auprès de mon Pierre, de Monsieur Pierre. Je dois l'avoir déshonoré. Alors, je me souviens des détails, de cette voix m'incitant à gicler, de cet ordre de jouissance. Qu'ai-je fait, comment est-ce possible?
Je suis submergé par tous ces sentiments contradictoires lorsque je sens deux solides bras m'enlacer. Oh Pierre, Monsieur Pierre que c'est bon de vous sentir m'accueillir de retour contre vous. Mes lèvres s'écartent pour prononcé ses mots, mais ceux-ci restent bloqués dans ma gorge et je savoure ce chaleureux contact, cet heureux enlacement. Blottis entre ses puissants bras, la tête reposant sur sa solide épaule, je m'évanouis dans un déluge de sentiments et de sensations beaucoup trop fortes pour moi.
Je me réveille couché sur le divan, ma tête sur ses genoux. Il est assis là-bas, veillant chaleureusement sur moi, je l'aime. Je l'aime, oui, et je ne peux qu'implorer du regard en espérant un baiser, un doux baiser, un simple baiser qui ne vient pas. Je l'aime aussi pour cette force qu'il a à ne pas assouvir chacun de mes caprices et à rester dans ce qui est essentiel pour nous, pour Lui. Alors, le baiser arrive, un baiser profond avec sa langue qui creuse ma gorge. Non pas le baiser que je voulais, mais celui qui Lui désire. Je ne peux pas vouloir, ne doit pas demander, mais seulement attendre que la communion de nos Ames nous amène à ces instants de pur Amour. Je savoure ce baiser, aussi simple qu'il soit, ce baiser est d'une grandeur exceptionnelle qui puise toute son énergie pour la partager avec moi.
Lentement, ne brisant pas ce profond baiser, ne cessant jamais les caresses réconfortantes, il me redresse. La cassure se fait naturellement, sans violence. Il me pousse debout et se lève aussi. Il se penche doucement et tapote mes fesses pour me diriger vers la cuisine. Un dernier baiser, bref celui-ci, nous ramène à la réalité. Il est tard et je dois préparer le souper. Tandis que je cuisine, Monsieur Pierre copie le film de sa caméra sur son ordinateur. Il semble fort satisfait. La bosse virile sur le devant de son slip montre aussi son excitation. Je voudrais tant m'agenouiller devant lui et lui offrir mes meilleurs soins. Il est maintenant derrière moi, plaque puissamment son corps contre le mien pendant que je termine la cuisson. Ce fabuleux contact ravive mes sens, mon sexe est pleinement réveillé. Monsieur Pierre murmure tout le plaisir qu'il a pris avec sa caméra aujourd'hui et je peux sentir sa satisfaction glisser contre mes fesses comme une queue d'aronde creusant son alcôve dans du bois tendre. Le discours est si plaisant que j'ai peine à me concentrer pour éviter que la nourriture me brûle. Une petite pincée amicale de mon téton gauche, une tendre tape sur ma fesse droite et nous passons à table.
Durant le repas, je lui exprime tout mon plaisir, ma joie de la servir, me préparant pour une soirée romantique entre deux amoureux. Son intervention brusque, à la fin du repas, me refroidit. "Tu parles trop! Il te faut dorénavant apprendre à attendre mon autorisation pour parler, à tout moment!" Un vent glacial parcoure mon échine, ma tige décline et mon cœur sombre. Les yeux baissés, je l'entends approcher de moi, je suppose pour expliquer que j'ai mal compris.
Ses deux solides bras m'entourent simplement, il me lèche l'oreille et me caresse le torse. "Fais-le pour moi, pour me servir comme tu sais si bien le faire! C'est pour ton bien, rien que le tien!" Ces tendres phrases m'émeuvent fortement, je me sens fondre. Il continue à vouloir me plaire aussi, m'aider à être toujours meilleur. Il connait la vie et veut me l'apprendre tout simplement.
Avant que je puisse réagir, il me soulève et me transporte pour me déposer délicatement dans le sofa. Je peux sentir sa force, sa puissance et sa délicatesse, sa tendresse. Il s'assied à côté de moi et je m'allonge, serpentant ma tête par-dessus ses genoux, mon nez blottit dans son aine. J'entends progressivement une douce musique comme il maintient mon visage pressé contre son slip tendu, m'empêchant tout mouvement mais me permettant ce contact divin et si incroyablement parfumé. Je m'enivre rapidement de cette senteur mâle et dérive lentement dans un merveilleux monde d'amour. Oui, je l'aime!
Le soir venu, tous deux assis tendrement dans le divan, il déclare subitement, "Je suis vraiment bien avec toi. Toi aussi, comme je peux le voir!" Une gentille petite tape sur le gland qui rebondit instantanément. "Viens habiter avec moi!"Mon sang ne fait qu'un tour, je ne suis pas certain d'avoir bien entendu. Je suis prêt à répondre, "Heu, je...," mais il m'interrompt immédiatement.
"Reste dormir ce soir et tu me donneras ta réponse demain. Ce sera ma seule demande!"Il allume la TV et nous regardons un film comique, moi blotti dans ses bras et lui me caressant tendrement le corps, je me sens au paradis. Une fois le film terminé, Pierre se lève brusquement, m'enlace. Il m'embrasse brièvement et me dit d'aller dormir.
Bien sûr, ma nuit est de nouveau agitée même si ma réponse est évidente. Au matin, je me douche de nouveau sous son contrôle et il m'envoie préparer le déjeuner tandis qu'il se douche lui-même. Lorsqu'il arrive dans la cuisine, je lui sers son repas et m'assieds à ma place, en face de lui. Je désire prendre la parole, je n'ose pas, j'attends sa permission.
Lorsque Pierre a finalement terminé son repas, il me regarde intensément, son regard est tellement puissant que je baisse mes yeux. "Regarde-moi! As-tu réfléchis?""Oui, je...""Attends! Prends bien conscience de ton engagement!"Je sursaute, un peu effrayé et ne comprenant pas sa mise en garde, je recommence, "Oui, je...""Si tu dis oui, tu t'engages pleinement!""Je sais, je...""Si tu dis oui, tu vivras totalement à ma façon, sous mon contrôle et tu m'appelleras Monsieur!"Je suis encore plus surpris, fortement troublé par ces derniers mots. Mon cerveau hésite, mon cœur s'emballe et ma queue palpite. Les mots sortent tous seuls, "Oui, Monsieur, je désir venir vivre avec vous!"Je peux voir le visage de Pierre s'illuminer et je me sens heureux lorsqu'il dit simplement, "D'accord, j'accepte!" Sur un signe de sa main, je me lève et me dirige vers lui. Je m'agenouille à ses pieds et blottis mon visage sur ses cuisses tandis qu'il caresse tendrement ma joue et ébouriffe mes cheveux. "Merci Monsieur, merci beaucoup Monsieur!""Parfait! Prépare-toi pour aller travailler. Ne te masturbe pas, ne touche pas cette belle queue de toute la journée! Au soir, tu repasses chez toi, tu prends quelques affaires personnelles. Nous ferons ensemble les démarches administratives pour ton déménagement. Tu reviens ici, tu sonnes, tu te dépouilles totalement dès que tu es entré, tu prends une douche et tu te présentes à moi, debout nu, les jambes légèrement fléchies et écartées et les mains posées sur ta tête tandis que j'inspecterai minutieusement ton corps. Ce rituel, tu le referas chaque fois que tu rentres dans MA maison, quoi qu'il arrive. Compris?""Oui... oui Monsieur!""Tu obéis et tout se passera bien. J'ai confiance en toi, ne me trahis pas."Je me sens excité et énervé comme jamais avant. Je me précipite pour me préparer et je reçois finalement un doux baiser sur le front comme je pars travailler.
Mon érection me démange toute la journée, les derniers évènements défilent continuellement dans ma tête et créent un film agréable avec ceux à venir. J'ose à peine toucher mon sexe pour pisser et je me sens gêner de découvrir tout le suc qui dégouline continuellement dans mon slip. Je suis anxieux d'emménager, mais je parviens quand même à rester très consciencieux dans mon travail.
Je rentre du travail et récupère le strict minimum chez moi. Je ne prends aucun habit puisque je sais que je resterai nu tout le temps, hormis des vêtements de rechange pour aller travailler. Si j'oublie quelque chose, je reviendrai plus tard. Chargé seulement d'un gros sac, je retourne chez Pierre, Monsieur Pierre. Ce nom retentit et résonne dans ma tête, il indique certainement le respect, l'autorité même s'il marque aussi une distance. Les pensées de tout ce qui en découle amène une démangeaison plus imposante dans mon pantalon, je me force pour ne pas y toucher et, plus je me force, plus mon érection étire le tissu jusqu'à une forte douleur. J'arrive devant chez Pierre, Monsieur Pierre, je dois m'habituer à penser à lui de cette façon et je range ma voiture à l'arrière comme demandé. Je décharge le sac, je sonne et j'attends.
Monsieur Pierre arrive rapidement, il ouvre la porte, me laisse entrer et, sans un mot, il ferme la porte et disparait dans le salon. Je suis surpris par son accueil plutôt froid, mais je connais maintenant mon rituel obligatoire. Une fois terminé, je me présente totalement nu, une forte érection au garde-à-vous, devant le fauteuil dans lequel il parcoure un livre. Il ne bronche pas.
"Bonjour, Monsieur."Monsieur Pierre ne réagit toujours pas.
Je réfléchis, j'hésite, je ne sais pas quoi faire. Je risque, "Monsieur, votre serviteur au rapport, Monsieur."Sans lever la tête de son livre, il dit froidement, "Je sais, je ne suis pas aveugle!" Un peu après, il ajoute, "Je termine mon chapitre. Apprends la patiente!"Je grogne un peu, mais j'en profite pour corriger ma position, les jambes, le dos, le ventre, les épaules pour me présenter correctement.
"C'est mieux!" Une voix amusée éclate et m'amène encore à m'améliorer, Monsieur Pierre est vraiment un perfectionniste et j'aime ça.
Monsieur Pierre se lève finalement. Il s'approche lentement de moi, ses magnifiques yeux verts scrutent chaque détail de mon corps offert. Il me contourne et ses mains commencent aussi leurs examens. Je sens la chaleur et la tendresse du contact et ne peux m'empêcher de lâcher un léger soupir. Ses doigts analysent chaque parcelle de peau, chaque muscle et je me tends pour aller à l'encontre de se merveilleux contact.
"Ne bouge pas, les jambes plus écartées, le tronc en avant, les fesses ouvertes!"Sans réfléchir, j'obéis. Je corrige ma position et sens directement une pression inattendue contre mon trou, oh quel divin contact! Je retiens un autre soupir au fond de ma gorge et me force, à contrecœur, pour ne pas m'empaler moi-même dessus. Les mains continuent leur parcours. Monsieur Pierre réapparait devant moi, je baisse les yeux.
"Regarde-moi!" Je relève la tête et fixe ses grands yeux verts. Le regard est plein d'amour et de tendresse. Ces deux profonds sentiments ne changent pas même lorsque la pression de ses doigts sur mes seins augmente progressivement. Plus je grimace, plus son sourire s'élargit, plus ma queue durcit. Une petite tape sur ma joue gauche termine l'inspection.
"Repos!" Monsieur Pierre m'enlace et m'embrasse sur la bouche, un baiser bref mais chaud comme il sait si bien les faire. Je suis excité au plus haut point.
"Reste là comme ça, ne bouge surtout pas!" Je le vois reculer et saisir son appareil photo ainsi qu'un petit objet, un loup noir. Monsieur Pierre place le masque par-dessus mes yeux et commence à prendre plusieurs photos sous tous les angles, mes mains toujours posées sur ma tête. Aucun fragment ne lui échappe, il me fait même écarter mes fesses pour un gros plan de mon anneau. Je me sens toujours plus honteux, toujours plus excité et mon sexe s'étire et dégouline de plus en plus.
"Nous allons maintenant faire un petit film! Aide-moi à te mettre en valeur! Caresse langoureusement ton corps." Maladroitement au début, je commence à me caresser et, le plaisir aidant, je me retrouve dans des poses vraiment obscènes. Monsieur Pierre, m'encourage constamment, il me contourne, s'approche, s'éloigne, se lève, s'abaisse, m'incitant dans de nouveaux tortillements, de nouvelles provocations comme une star du porno offrant son corps à l'objectif pour les futurs spectateurs. Je lui offre mon corps entier et finis par oublier la caméra qui continue à filmer durant une éternité.
Un douce voie dans mon oreille murmure, "Oui, bien, branle-toi!" Je n'attendais que ça, la permission de toucher ma queue, de me masturber. Pris dans le puissant tourbillon du désir, ma main droite glisse progressivement vers mes fesses, les caresse, les sépare et creuse son chemin. Mon sexe est prêt à éclater, mon index impatient pénètre mon trou, le majeur vient le rejoindre, je suis au bord de l'orgasme. Je ralentis, attendant une permission qui traîne à venir. Ma respiration s'ébruite, un voile de luxure tombe devant mes yeux.
La voix surgit dans l'autre oreille, cette fois-ci plus ferme bien que toujours en un murmure, "Oui, gicle maintenant!" Il ne m'en faut pas plus, ma hampe se tend, palpite encore et encore et plusieurs puissants jets se propulsent au loin, suivis de plusieurs petites salves avant que je m'écroule, épuisé, à genoux sur le sol.
Petit à petit, je reprends mes esprits, progressivement conscient de ce que je viens de faire. La honte est sur moi, en moi. Je me remémore chaque seconde de cet évènement dégradant, je m'en veux terriblement. Je n'ose pas relever la tête, je ne sais pas comment m'excuser auprès de mon Pierre, de Monsieur Pierre. Je dois l'avoir déshonoré. Alors, je me souviens des détails, de cette voix m'incitant à gicler, de cet ordre de jouissance. Qu'ai-je fait, comment est-ce possible?
Je suis submergé par tous ces sentiments contradictoires lorsque je sens deux solides bras m'enlacer. Oh Pierre, Monsieur Pierre que c'est bon de vous sentir m'accueillir de retour contre vous. Mes lèvres s'écartent pour prononcé ses mots, mais ceux-ci restent bloqués dans ma gorge et je savoure ce chaleureux contact, cet heureux enlacement. Blottis entre ses puissants bras, la tête reposant sur sa solide épaule, je m'évanouis dans un déluge de sentiments et de sensations beaucoup trop fortes pour moi.
Je me réveille couché sur le divan, ma tête sur ses genoux. Il est assis là-bas, veillant chaleureusement sur moi, je l'aime. Je l'aime, oui, et je ne peux qu'implorer du regard en espérant un baiser, un doux baiser, un simple baiser qui ne vient pas. Je l'aime aussi pour cette force qu'il a à ne pas assouvir chacun de mes caprices et à rester dans ce qui est essentiel pour nous, pour Lui. Alors, le baiser arrive, un baiser profond avec sa langue qui creuse ma gorge. Non pas le baiser que je voulais, mais celui qui Lui désire. Je ne peux pas vouloir, ne doit pas demander, mais seulement attendre que la communion de nos Ames nous amène à ces instants de pur Amour. Je savoure ce baiser, aussi simple qu'il soit, ce baiser est d'une grandeur exceptionnelle qui puise toute son énergie pour la partager avec moi.
Lentement, ne brisant pas ce profond baiser, ne cessant jamais les caresses réconfortantes, il me redresse. La cassure se fait naturellement, sans violence. Il me pousse debout et se lève aussi. Il se penche doucement et tapote mes fesses pour me diriger vers la cuisine. Un dernier baiser, bref celui-ci, nous ramène à la réalité. Il est tard et je dois préparer le souper. Tandis que je cuisine, Monsieur Pierre copie le film de sa caméra sur son ordinateur. Il semble fort satisfait. La bosse virile sur le devant de son slip montre aussi son excitation. Je voudrais tant m'agenouiller devant lui et lui offrir mes meilleurs soins. Il est maintenant derrière moi, plaque puissamment son corps contre le mien pendant que je termine la cuisson. Ce fabuleux contact ravive mes sens, mon sexe est pleinement réveillé. Monsieur Pierre murmure tout le plaisir qu'il a pris avec sa caméra aujourd'hui et je peux sentir sa satisfaction glisser contre mes fesses comme une queue d'aronde creusant son alcôve dans du bois tendre. Le discours est si plaisant que j'ai peine à me concentrer pour éviter que la nourriture me brûle. Une petite pincée amicale de mon téton gauche, une tendre tape sur ma fesse droite et nous passons à table.
Durant le repas, je lui exprime tout mon plaisir, ma joie de la servir, me préparant pour une soirée romantique entre deux amoureux. Son intervention brusque, à la fin du repas, me refroidit. "Tu parles trop! Il te faut dorénavant apprendre à attendre mon autorisation pour parler, à tout moment!" Un vent glacial parcoure mon échine, ma tige décline et mon cœur sombre. Les yeux baissés, je l'entends approcher de moi, je suppose pour expliquer que j'ai mal compris.
Ses deux solides bras m'entourent simplement, il me lèche l'oreille et me caresse le torse. "Fais-le pour moi, pour me servir comme tu sais si bien le faire! C'est pour ton bien, rien que le tien!" Ces tendres phrases m'émeuvent fortement, je me sens fondre. Il continue à vouloir me plaire aussi, m'aider à être toujours meilleur. Il connait la vie et veut me l'apprendre tout simplement.
Avant que je puisse réagir, il me soulève et me transporte pour me déposer délicatement dans le sofa. Je peux sentir sa force, sa puissance et sa délicatesse, sa tendresse. Il s'assied à côté de moi et je m'allonge, serpentant ma tête par-dessus ses genoux, mon nez blottit dans son aine. J'entends progressivement une douce musique comme il maintient mon visage pressé contre son slip tendu, m'empêchant tout mouvement mais me permettant ce contact divin et si incroyablement parfumé. Je m'enivre rapidement de cette senteur mâle et dérive lentement dans un merveilleux monde d'amour. Oui, je l'aime!
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