Piégée par deux petits vieux. Joachim ?

- Par l'auteur HDS Effrontée -
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Piégée par deux petits vieux. Joachim ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Piégée par deux petits vieux. Joachim ?
Chantal et les deux vieux militaires
Nous devions recevoir un candidat pour visiter notre petit pavillon que nous mettons en location. Il est situé dans un petit lotissement, pas très loin de chez nous, où les maisons sont presque à touche-touche. Comme notre locataire sur le départ est absent, je me retrouve à attendre son éventuel remplaçant devant la maison sur un tout petit terreplein de gazon. Le gars tarde. Le voisin d’en face, un ancien de l’Indochine, près de 70 ans, sort de chez lui et engage la conversation.
- « Je suis l’œil de Moscou ici. Je vois tout, j’entends tout et on me raconte tout, me dit-il. Je m’appelle Fred »
- « Moi c’est Chantal ».
- « Oh, je vous connais bien. Vous habitez près de l’hôpital, dans la zone boisée, avec un grand jardin ».
- « Oui, c’est ça »
Il est presque chauve, en maillot « marcel » aux couleurs douteuses. Il sent la transpiration et des poils blancs dépassent de son tricot.
Il fait chaud, une canicule. Il m’invite à venir me rafraîchir chez lui. J’hésite, il insiste. Je le suis. Derrière la maison, un jardin, minuscule carré de gazon entouré d’une épaisse haie qui le cache et l’isole des voisins. Il me propose de m’asseoir autour d’une petite table de jardin. Pas un seul coin qui ne soit en plein soleil ! Il me demande d’attendre, qu’il va chercher de quoi nous rafraîchir. Il semble tout excité à l’idée de m’avoir ici chez lui et il multiplie les politesses et amabilités. La situation m’amuse, ce petit vieux est attendrissant et je me dis, bien inoffensif.
Il revient avec un plateau de boissons fraiches.
- « J’ai installé un brumisateur sur mon tuyau d’arrosage. Vous allez voir, cela fait beaucoup de bien ».
Et avant même que j’ai pu dire un mot, il ouvre le robinet !
Une bruine fine tombe du ciel, froide, délicieuse. Je me lève et me glisse sous la fine pluie et bien sûr très vite, ce à quoi je n’avais pas pensé, ma robe de lin blanche devient transparente. Je réalise que le salaud avait peut-être bien calculé son coup et avait augmenté le débit de l’eau ! Comme la brume couvrait tout le jardin, je n’eus pas le loisir de me dérober à cette eau qui me déshabillait.
Comme il faisait très chaud en ce début d’aout, j’avais mis un soutien gorge et une culotte de coton très fin et léger. Très vite tout est devenu transparent et je me suis vite retrouvée comme nue dans ce petit jardin avec le mec qui ne se gênait pas pour regarder. Il restait là immobile, face à moi, couillon à savoir si il devait regarder ou pas. Moi j’avais oublié toute pudeur et je me sentais même troublée, mais en même temps humiliée car ce vieux bonhomme était amené à me revoir.
- « Arrêtez de me regarder comme cela, amenez moi de quoi me sécher ! ». Le ton n’était pas des plus chaleureux, ce qui ébranla un peu le vieil homme.
Il entra chez lui fermant la porte derrière lui, me laissant sous la fine pluie. Il ne revenait pas et d’un coup je me suis sentie piégée et j’eus peur. J’avais remarqué en arrivant dans le lotissement que beaucoup de pavillons étaient fermés ce mois d’août.
Il est revenu plusieurs minutes après, j’étais trempée. Mes vêtements étaient collés sur moi comme une seconde peau et dessinaient les formes de mon corps. On voyait nettement mes pointes de seins, érigées évidemment, et les poils de mon pubis. Soudain, je remarque qu’il jette un regard par dessus mon épaule vers la haie très dense qui borde son petit jardin. Je me retourne et je vois nettement qu’une personne nous épie et mate vers moi. J’aurais dû être folle de rage maintenant et prête à lui sauter dessus. La surprise passée, au contraire, je me sentis excitée et fière d’être regardée aussi intensément. Pure folie d’inconscience ! Jusqu’où iraient-ils ?
Mon baroudeur s’approche avec une très grande serviette de plage, après avoir fermé le brumisateur. Il me la jette sur mes épaules, me couvrant tout le haut du corps et même la tête. Je suis carrément aveugle. Je laisse faire de plus en plus excitée par la situation assez peu ordinaire. Il me frotte le dos énergiquement pour m’essuyer. Ses mains descendent sur mes reins… mes fesses. Elles remontent et entrainent le bas de la robe. Je le sens très bien mais je laisse faire … j’imagine que le voyeur derrière la haie se rince l’œil.
Rapidement, je n’ai pas le temps de réagir, il me prend les mains et les passe dans mon dos. Il est fort et je ne peux pas me dégager. Je ne vois rien avec la serviette sur la tête mais je me rends compte que ce sont des mains qui parcourent maintenant mon corps sous prétexte de me sécher. Je fais mine de me débattre mollement. Il me colle, me maintient fortement contre lui, je sens son sexe encore mou contre mes mon ventre et mes cuisses.
- « Calmez-vous ma p’tite dame, dit la voix que je reconnais bien et qui se veut rassurante, on veut seulement bien vous sécher pour ne pas que vous attrapiez le rhume »
En fait, je sens bien que ses mains me pelotent carrément. Elles me frottent les seins, les fesses, les cuisses, le ventre. Et que signifie ce « on » ?
Mais, petit à petit, je me détends, trouvant le jeu plutôt amusant. Je me surprends même à garder mes mains dans mon dos quand elles ne sont plus maintenues. Est-ce ce relâchement qui est pris pour une invite ? En tous cas, les mains qui me parcourent se font de plus en plus indiscrètes. Je ferme les yeux pour goûter pleinement ce moment. Il a sa tête logée dans mon cou et je sens son souffle chaud contre ma peau.
Mon violeur me fait tourner sur moi-même et derrière moi, me plaque et me maintient contre lui. Il me caresse d’une main les seins, tandis que l’autre passe sur le ventre, descend entre mes cuisses, les force à s’ouvrir, soulève ma robe et s’empare de ma chatte que je sens toute humide. Il écarte les lèvres gluantes et introduit son majeur dedans bien profondément en signe de possession. Son doigt s’attarde quelques instants puis progresse plus haut à la recherche de mon petit bouton. Il s’y connaît le salaud car il n’a aucun mal à s’en emparer pour le titiller par une légère pression. Je me connais, si je laisse faire, je ne saurais plus rien refuser. Puis la main entière s’aventure plus en arrière, glisse vers la raie des fesses. Là, sans vraiment m’en rendre compte, je lui tends ma croupe. Je sens ses doigts glisser entre mes globes, s’aventurer vers l’arrière encore, et atteindre mon petit trou. Je fléchis légèrement mes genoux pour mieux m’ouvrir et la convier à aller dedans, dedans mon ventre, cette intimité si particulière chez les femmes.
L’autre, le mateur est venu devant je le sens. Il s’applique, la serviette jetée au loin, à déboutonner ma robe blanche.
- « Elle est toute mouillée, il faut vous sécher et vous changer » dit une voix très aigüe.
J’ouvre les yeux et me trouve devant un autre vieux bonhomme, mal rasé. Celui là non plus n’a pas de cheveux. Il a un ventre énorme qui dépasse du bas entre son teeshirt et un bermuda douteux. De fines moustaches soulignent un visage buriné pas la boisson avec un nez de la couleur d’une betterave. Il me sourit et veut s’emparer de ma bouche. Je refuse d’abord, détourne la tête pour fuir. Mais le salaud me choppe au menton et m’attire à lui. Il plaque ses lèvres contre les miennes, puis sa langue force le passage, mais très vite, comme j’en ai envie, ma résistance faiblit et une langue monstrueusement grosse et râpeuse s’empare de ma bouche et commence à la fouiller roulant autour de la mienne. Son haleine sent le vin de mauvaise qualité.
Ma robe m’est enlevée. Je laisse faire. Derrière on me dégrafe le soutien gorge puis c’est au tour de la culotte d’être descendue sur mes cuisses puis enlevée. Je lève les pieds pour laisser faire. Je suis folle !
Je suis à poil, avec simplement mes chaussures, dans ce jardinet entre les mains de deux vieux vicelards qui n’ont pas hésité à me foutre à poil.
- « Elle est toute excitée, Fred, c’est une vrai chienne cette femelle ! ».
- « Oui, c’est vrai. Je ne voulais pas le croire ».
- « Tu vois bien ! Il nous l’avait bien dit ton portugais. Elle rechigne mais elle est chaude la chienne !
A ces mots, mon sang se glace. Portugais ? Ils connaissent Joachim ? C’est lui qui leur a raconté ? J’aurais dû me révolter, foutre le camp ! Et non, au contraire, être prise pour une pute a fini de m’exciter. Maintenant, je m’accroche au cou de mon violeur et je lui rends son baiser à langue râpeuse. Puis il laisse ma bouche pour me sucer les seins. Là, je sais que je vais perdre la tête encore plus, c’est mon point sensible, surtout que je sens que ma liqueur commence à couler le long de mes cuisses. Ils ne sont pas longs à s’en rendre compte et aussitôt les mots arrivent, crus, violents, insultants mais si excitants :
- « Regarde un peu comme elle mouille cette salope. Et dire qu’elle ne voulait pas … C’est une vraie fontaine, vas-y met ton doigt dans sa chatte pour sentir ! »
Je sens immédiatement une autre main fouiller mon intimité et je pressens que je vais jouir. J’ai les mains encore dans mon dos quand je sens un membre se glisser entre mes fesses. Il ne bande pas beaucoup, aussi je m’en saisis entre mes doigts et le branle pour lui donner une forme. Je me dis qu’ils ne vont pas me baiser quand même ! Je me trompe. Devant moi il a aussi sorti son sexe et le frotte contre mon pubis.
- « Elle a des poils à la chatte comme j’aime », me crie le gros aux oreilles.
- « Tu vas nous faire bander hein ? Tu vas nous sucer pour qu’on puisse t’enfiler comme come tu en as envie, cochonne ».
On me prends la tête et me force à me baisser. Une bite se frotte contre mes lèvres. Je n’hésite pas et d’un seul coup je l’avale carrément. Il ne faut que quelques coups de langues pour la sentir prendre du volume et de la dureté. J’aspire, je suce, je titille le gland. La queue s’allonge et j’ai de plus en plus de mal à la maintenir en bouche. Derrière je sens un gland tout mou qui essaie de me sodomiser. Je passe une main entre mes cuisses, m’en saisit et commence à lentement le branler. Lui aussi prend vie très vite, et je le dirige vers mon minou qui réclame qu’on le frictionne. Le vieux n’attends pas et d’un coup de rein il s’enfonce jusqu’aux couilles dans mon ventre en feu. Je sursaute et au même moment, je sens les giclées de foutre envahir ma bouche. Le vieux me maintint la tête contre son ventre m’obligeant à avaler sa semence. Je vais étouffer, je vais jouir. Je n’en peux plus, la bite qui me ramone la chatte accélère ses va et viens dans mon ventre et soudain j’entends le type râler en me remplissant mon antre intime. Il décharge, jute, se vide. Celui de devant me maintient bien la tête baissée pour aider son complice dans sa tâche. Je jouis soudain, très fort, sans me rendre compte que je suis dans une résidence et qu’on peut m’entendre. Tant pis, ces deux vieillards aux couilles pendantes et la situation me procurent un orgasme immense, rare, exceptionnel.
A peine repus, ils débandent immédiatement et redeviennent prévenants, attentionnés. J’ai les jambes en coton. Je tremble car à la vérité j’ai encore envie, envie d’être prise là comme la salope qu’ils ont dévoilée. Mais à leur âge … Ils me sourient, me remercient, m’offrent à boire. Ils continuent tout de même à me toucher partout. Comme ils voient que je suis en manque, je les entends dire :
- « Elle en redemande la salope. Attends un peu on va encore t’en donner. Tu vas prendre. On m’assoit sur la table, on m’allonge sur le dos. Le gros me prend les chevilles, soulève les jambes et les écarte. Son complice revient, il a une bouteille de coca dans la main. Il présente le goulot à l’entrée de ma chatte et lentement entreprends de la faire pénétrer. Lentement plus profond. J’ouvre mes cuisses, on arrive au bout du goulot étroit. La bouteille avance encore et écartèle mes chairs. Je lui crie de pousser, de me déchirer. J’ai mal mais je n’en peux plus de jouir. Le plaisir mélangé à la honte est trop fort et soudain j’explose alors que le milieu de la bouteille franchit l’entrée de mon ventre. Écartelée, déchirée je jouis comme jamais et j’entends les quolibets et insultes qu’ils me crient aux oreilles.
- « Tu aimes cela petite cochonne, tu mouilles, t’es vraiment une pute… » Et tous ces mots au lieu de me blesser, m’excitent et me poussent dans une jouissance encore plus forte. Enfin, petit à petit, la tension retombe, on m’extrait la bouteille. Je me relève, épuisée, les jambes en coton. Ils me regardent en souriant. J’ai honte.
J’enroule la grande serviette autour de moi pour regagner la voiture et rentrer chez moi. Heureusement, le candidat à la location n’est pas venu !
En conduisant je ne peux m’empêcher de chercher à deviner qui était ce portugais qui les avait renseignés. A chaque fois le nom de Joachim s’imposait à moi. Et d’un seul coup ma mémoire m’est revenue : c‘était bien mon jardinier qui m’avait passé le message du rendez-vous du candidat à la location fantôme pour ce dimanche !
Je n’avais pas fini d’être le jouet de ce pervers.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Exactement mon fantasme me faire prendre a la limite du viol par 2 vieux cochons eet j'ai seulement 19ans.

Histoire Erotique
Quelle salope !!! Je me masturbe à chaque lecture .... quel bonheur.

Histoire Libertine
Hummm... j'aime les vieux je mouille trop a la lecture j'veux une histoire comme celle
la... homme mature venez me baisé !!!

Histoire Libertine
Le genre d aventure que j aimerai bien vivre. Ton histoire m'a éxcitée. J'en suis
trempée

Histoire Erotique
félicitation, ton histoire est très bandante, ils auraient pu mettre 5 étoiles elle les vaut. Continue

Histoire Erotique
Mon Effrontée,

Aujourd'hui votre imagination, si imagination il y a !!! est d'une grande illumination.
La subordination de votre corps a été à la hauteur de l'attente des auteurs en quête d'une jeunesse en réincarnation.
L'écriture littéraire de cette aventure est égale à vos précédentes, toute en divination.
Un mot détonation !! sourire

Histoire Erotique
Humm tu n en a pas fini

Histoire Libertine
je t'aime je suis à toi tu sais que moi aussi j'aime les vieux mon amour

je t'embrasse L

Histoire Erotique
Trop top ton histoire! vivement la suite! Bizzzz
Amandine

Histoire Erotique
VITE LA SUITE :)

chantal, vient me voir...

Histoire Erotique
Moi-même vieux, je voudrais bien qu'une telle aventure m'arrive!!! je me suis caressé pendant toute la lecture....



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