Piscine rime avec pine 01.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Piscine rime avec pine 01.
Les piscines municipales rouvertes, je suis toute excitée cet après-midi d’y retourner. J’espère que je m’y amuserais bien après cet enfermement pesant, j’ai envie de m’éclater, malheureusement Camille ne peut pas venir, tant pis j’irai toute seule.
Avant de partir, je choisis mon maillot, il y a des règles à respecter: un string ficelle n’est évidemment pas admis, mais j’en ai d’autres très sympas, je cherche un bas le plus petit possible qui puisse convenir, j’en déniche un qui me va bien, très court avec un devant un derrière relié par une petite bande de tissu. Il est noir avec un liseré blanc, très échancré côté face qui cache juste ma fente, peut- être devine-t-on qu’elle est toute lisse surtout que ce matin, je l’ai rasée et elle est actuellement complètement douce et fraiche. Il me serre un peu ce qui fait que mes lèvres sont facilement visibles avec un petit creux entre. Le haut est constitué de 2 petits mignons bonnets qui enveloppent partiellement mes modiques nénés et laissent visible une partie non négligeable sur le haut et entre mes 2 mandarines car l’attache se situe de ce côté à l’aide d’une jolie boucle.
Je me suis parée de mille couleurs pour embellir mes ongles des mains et des pieds et je me précipite pour profiter de cette belle journée ensoleillée et que j’espère pleine d’imprévus.
Le passage en cabine est vite fait car dessous je suis déjà en maillot juste mon tee-shirt et mon short à enlever et voilà je suis déjà au bord de la piscine, j’ai envie de tester cette eau claire et transparente mais je n’aime pas plonger direct, il me fait un temps d’adaptation, que j’y aille progressivement.
D’abord je m’assois sur le rebord, les pieds dans la flotte et je m’y glisse doucement, peu à peu je rentre graduellement, et quand j’arrive à recouvrir mes épaules, c’est gagné je suis bien et je fais quelques longueurs avant de sortir du bain.
J’aime que les gouttelettes d’eau cheminent lentement sur mon corps et qu’elles s’évaporent au soleil chauffant mon anatomie.
C’est sûr que toute nue, c’est encore plus agréable de se faire lécher le corps ruisselant par l’astre du jour surtout si des garçons me dévorent des yeux, mais là c’est impossible de se dévêtir complètement: dommage.
Et maintenant, il est temps de se mettre en chasse, dans cette concentration de baigneurs, il doit bien y en avoir un qui pourrait me plaire, je ne cherche pas un groupe, car difficile à perturber juste un seul de ses membres, mais plutôt un solitaire.
Je fais le tour de la salle d’exposition et j’en repéré plusieurs qui me paraissent possible dont un qui est étendu au soleil.
Très sexy avec un maillot assez mimi et mini, très moulant qui laisse imaginer la bête qui sommeille, si elle se réveille: je suis sûr qu’elle va être obligée de se montrer. Il est jeune et son corps est sans pilosité et rien non plus n’apparaît autour de son maillot, ce qui me ravit énormément car je pense que sa queue doit être comme ma chatte et vous savez bien que c’est ce que je préfère. Il a un torse resplendissant, ses tétons délicats domine ses puissants muscles pectoraux et que dire de ses tablettes de chocolat, ses abdos saillants formes une successions de ralentisseurs que j’aimerais franchir et refranchir. Ses biceps sont aussi bien volumineux, il doit bien dépasser les 1m85 et une morphologie parfaite qui aurait pu servir de modèle à une statue grecque avec un zizi que j’espère différent à celles que j’ai déjà vues, mais s’il muscle sa bite comme le reste de son corps, je vais fondre de désir.
Je me place non loin de lui, mais pas non plus juste à côté, uniquement afin de le surveiller car je me suis décidée à l’attaquer, mais pas sur la terre ferme, plutôt au moment où il décidera d’une immersion.
Il se lève enfin pour plonger direct dans l’eau lumineuse, une magnifique entrée dans l’eau qui ne trouble à peine la surface, c’est à coup sûr un adepte de ce sport, à mon tour, mais je ne suis pas aussi douée que lui, malgré tout je me débrouille quand même pas mal.
Maintenant, il est important de bien choisir le moment propice. Il s’est arrêté de nager et peu de personnes autour de lui, c’est à moi de jouer, je vais tenter d’imiter les frotteurs du Métro, seulement c’est moi qui va faire la frotteuse.
Je passe en marchant, car nous avons juste pied, au ras de lui et en me tournant légèrement nos deux fessiers se touchent, la sensation est magnifique, mais j’ai peur de sa réaction, elle est juste tranquille, il se retourne et me voyant il me dédicace un petit sourire adorable qui me rassure sur ce qu’il pense de mon initiative, sans doute, à ce stade croit-il que c’est involontaire .
Je lui expédie en retour un sourire espiègle.
Encouragée par cette 1ère tentative réussit, quelques secondes plus tard, je tente un 2ème passage, mais cette fois c’est avec le devant que je frotte ses fesses, il ne bouge pas mais j’ai observé qu’il me suit des yeux en essayant d’être discret depuis mon 1er ballon d’essai, et cela m’incite à bien entrer en contact, cette fois il sait que c’est parfaitement intentionnel, il me regarde intensément prouvant qu’il apprécie ce toucher érotique et sans brusquer les choses, me laisse l’initiative, ce qui me charme d’autant plus.
Ma 3ème approche, il doit l’attendre un peu, je le fais languir exprès, mais j’en ai tellement le désir que j’y retourne 3 minutes plus tard, c’est court et à la fois long quand on espère ce moment.
Là, je m’arrête plus longtemps, toujours derrière lui, mes bras l’enlacent et mes mains se baladent pour lui caresser sa poitrine, puis doucement descendent sur son ventre, puis passent de chaque côté le long de ses cuisses et remonte à son entre-jambe pour m’attarder une par une sur son maillot qui a de plus en plus de mal à cacher une protubérance naissante qui s’enfle rapidement grâce à mes doigts experts. Et je repars, le laissant mijoter encore plus longtemps que tout à l’heure.
Enfin au bout d’un quart d’heure, je retourne vers lui, il n’a pas bouger d’un centimètre, signe qu’il doit être au supplice et espérer mon retour en priant intensément.
Il se laisse toujours faire, accolée à son dos, j’en profite pour saisir son maillot de chaque côté et le baisser légèrement mais suffisamment pour libérer la prisonnière qui se détend et se redresse instantanément et fièrement.
Il n’a pas débandé depuis mon précédent passage, l’effet que je lui procure est impressionnant. Mes mains rentrent en contact direct avec ce tube de chair que je branle superbement en profitant de l’occasion offerte, mais j’essaye d’être discrète au milieu des autres baigneuses et baigneurs et c’est pas très évident. Je suis sûr maintenant qu’il est rasé, je le sens et le vois, ne résistant pas à l’admirer en me penchant sur le côté et malgré la déformation due à l’eau je me rends bien compte de la chance que j’ai.
Et l’engin est d’un bon calibre et dur comme je les aime bien que la température du bassin n’incite pas à la chose. Ses couilles, que je pétris aussi sont bien rondes, fermes et se camouflent le plus possible toujours à cause de la température, mais je les tripote avec plaisir, bon maintenant je conserve toujours la même tactique et je le quitte momentanément en riant intérieurement de la posture où il se trouve.
Quand je reviens, rassurez-vous cela n’a pas été très long, il est toujours immobile dans l’eau et il attend que je le rejoigne.
Là, je me mets face à lui, son slip est remonté, il a du avoir peur d’être découvert la bite à l’air ou plus exactement dans l’eau.
Je prends sa main sous l’eau et la dirige vers ma poitrine, et je lui fais découvrir ces petites merveilles sous mon maillot qu’il effleure délicatement, elles sont fermes et sa main ne tarde pas à bien les caresser, sans nous échanger un seul mot, nous nous comprenons juste par un jeu de regards, c’est une crème de garçon, je le sens timide, terriblement excité car je vois encore la bosse de son maillot, même dans l’eau il ne peut pas me la cacher, mais respectueux des filles, il me laisse le guider vers la découverte de sensations sublimes pour nous 2.
Je le force à descendre sur mon ventre qu’il frôle de ses doigts et pendant que je le laisse jouer avec petit bidon, je baisse moi-même mon maillot enfin de faciliter l’ exploration future de ma fente. Mais là encore c’est moi qui force sa main à continuer sa progression, et avant cela je lui fait faire un tour par derrière voir si ses douces collines sont fermes et réceptives aux câlineries,
Après un long moment de bonheur pour moi car ses douceurs sur mes fesses m’électrice, je rapatrie ses menottes entre nous, et de mon ventre je les pousse sur le raidillon qui conduit à ma moule, il me touche délicatement les lèvres, son regard est tétanisé par la surprise que je lui fais et moi cela me fait fondre de tendresse pour ce garçon. Et ne pouvant résister j’ai passé ma main sous l’élastique de son maillot et saisie sa queue qui débarrassée de toute contrainte se raidit de plus belle ce qui me permet de la branler délicatement.
Tellement absorbés par l’intensité du bonheur que nous procure ses caresses, nous ne faisons pas attention aux personnes présentes autour de nous, mais je suis sûr que plusieurs ont remarqués notre scabreuse exposition. Et dans un moment éphémère de lucidité, je repère un groupe de garçons qui a voix basse papotent entre eux avec des petits sourires et des regards perçants vers notre duo et qui ne sont certainement pas dupes de notre entreprise.
Et c’est à ce moment là que me penchant à l’oreille de mon inconnu, je lui susurre un tout premier échange verbal:
- Voudrais-tu que je te fasse une pipe?
A suivre.
Avant de partir, je choisis mon maillot, il y a des règles à respecter: un string ficelle n’est évidemment pas admis, mais j’en ai d’autres très sympas, je cherche un bas le plus petit possible qui puisse convenir, j’en déniche un qui me va bien, très court avec un devant un derrière relié par une petite bande de tissu. Il est noir avec un liseré blanc, très échancré côté face qui cache juste ma fente, peut- être devine-t-on qu’elle est toute lisse surtout que ce matin, je l’ai rasée et elle est actuellement complètement douce et fraiche. Il me serre un peu ce qui fait que mes lèvres sont facilement visibles avec un petit creux entre. Le haut est constitué de 2 petits mignons bonnets qui enveloppent partiellement mes modiques nénés et laissent visible une partie non négligeable sur le haut et entre mes 2 mandarines car l’attache se situe de ce côté à l’aide d’une jolie boucle.
Je me suis parée de mille couleurs pour embellir mes ongles des mains et des pieds et je me précipite pour profiter de cette belle journée ensoleillée et que j’espère pleine d’imprévus.
Le passage en cabine est vite fait car dessous je suis déjà en maillot juste mon tee-shirt et mon short à enlever et voilà je suis déjà au bord de la piscine, j’ai envie de tester cette eau claire et transparente mais je n’aime pas plonger direct, il me fait un temps d’adaptation, que j’y aille progressivement.
D’abord je m’assois sur le rebord, les pieds dans la flotte et je m’y glisse doucement, peu à peu je rentre graduellement, et quand j’arrive à recouvrir mes épaules, c’est gagné je suis bien et je fais quelques longueurs avant de sortir du bain.
J’aime que les gouttelettes d’eau cheminent lentement sur mon corps et qu’elles s’évaporent au soleil chauffant mon anatomie.
C’est sûr que toute nue, c’est encore plus agréable de se faire lécher le corps ruisselant par l’astre du jour surtout si des garçons me dévorent des yeux, mais là c’est impossible de se dévêtir complètement: dommage.
Et maintenant, il est temps de se mettre en chasse, dans cette concentration de baigneurs, il doit bien y en avoir un qui pourrait me plaire, je ne cherche pas un groupe, car difficile à perturber juste un seul de ses membres, mais plutôt un solitaire.
Je fais le tour de la salle d’exposition et j’en repéré plusieurs qui me paraissent possible dont un qui est étendu au soleil.
Très sexy avec un maillot assez mimi et mini, très moulant qui laisse imaginer la bête qui sommeille, si elle se réveille: je suis sûr qu’elle va être obligée de se montrer. Il est jeune et son corps est sans pilosité et rien non plus n’apparaît autour de son maillot, ce qui me ravit énormément car je pense que sa queue doit être comme ma chatte et vous savez bien que c’est ce que je préfère. Il a un torse resplendissant, ses tétons délicats domine ses puissants muscles pectoraux et que dire de ses tablettes de chocolat, ses abdos saillants formes une successions de ralentisseurs que j’aimerais franchir et refranchir. Ses biceps sont aussi bien volumineux, il doit bien dépasser les 1m85 et une morphologie parfaite qui aurait pu servir de modèle à une statue grecque avec un zizi que j’espère différent à celles que j’ai déjà vues, mais s’il muscle sa bite comme le reste de son corps, je vais fondre de désir.
Je me place non loin de lui, mais pas non plus juste à côté, uniquement afin de le surveiller car je me suis décidée à l’attaquer, mais pas sur la terre ferme, plutôt au moment où il décidera d’une immersion.
Il se lève enfin pour plonger direct dans l’eau lumineuse, une magnifique entrée dans l’eau qui ne trouble à peine la surface, c’est à coup sûr un adepte de ce sport, à mon tour, mais je ne suis pas aussi douée que lui, malgré tout je me débrouille quand même pas mal.
Maintenant, il est important de bien choisir le moment propice. Il s’est arrêté de nager et peu de personnes autour de lui, c’est à moi de jouer, je vais tenter d’imiter les frotteurs du Métro, seulement c’est moi qui va faire la frotteuse.
Je passe en marchant, car nous avons juste pied, au ras de lui et en me tournant légèrement nos deux fessiers se touchent, la sensation est magnifique, mais j’ai peur de sa réaction, elle est juste tranquille, il se retourne et me voyant il me dédicace un petit sourire adorable qui me rassure sur ce qu’il pense de mon initiative, sans doute, à ce stade croit-il que c’est involontaire .
Je lui expédie en retour un sourire espiègle.
Encouragée par cette 1ère tentative réussit, quelques secondes plus tard, je tente un 2ème passage, mais cette fois c’est avec le devant que je frotte ses fesses, il ne bouge pas mais j’ai observé qu’il me suit des yeux en essayant d’être discret depuis mon 1er ballon d’essai, et cela m’incite à bien entrer en contact, cette fois il sait que c’est parfaitement intentionnel, il me regarde intensément prouvant qu’il apprécie ce toucher érotique et sans brusquer les choses, me laisse l’initiative, ce qui me charme d’autant plus.
Ma 3ème approche, il doit l’attendre un peu, je le fais languir exprès, mais j’en ai tellement le désir que j’y retourne 3 minutes plus tard, c’est court et à la fois long quand on espère ce moment.
Là, je m’arrête plus longtemps, toujours derrière lui, mes bras l’enlacent et mes mains se baladent pour lui caresser sa poitrine, puis doucement descendent sur son ventre, puis passent de chaque côté le long de ses cuisses et remonte à son entre-jambe pour m’attarder une par une sur son maillot qui a de plus en plus de mal à cacher une protubérance naissante qui s’enfle rapidement grâce à mes doigts experts. Et je repars, le laissant mijoter encore plus longtemps que tout à l’heure.
Enfin au bout d’un quart d’heure, je retourne vers lui, il n’a pas bouger d’un centimètre, signe qu’il doit être au supplice et espérer mon retour en priant intensément.
Il se laisse toujours faire, accolée à son dos, j’en profite pour saisir son maillot de chaque côté et le baisser légèrement mais suffisamment pour libérer la prisonnière qui se détend et se redresse instantanément et fièrement.
Il n’a pas débandé depuis mon précédent passage, l’effet que je lui procure est impressionnant. Mes mains rentrent en contact direct avec ce tube de chair que je branle superbement en profitant de l’occasion offerte, mais j’essaye d’être discrète au milieu des autres baigneuses et baigneurs et c’est pas très évident. Je suis sûr maintenant qu’il est rasé, je le sens et le vois, ne résistant pas à l’admirer en me penchant sur le côté et malgré la déformation due à l’eau je me rends bien compte de la chance que j’ai.
Et l’engin est d’un bon calibre et dur comme je les aime bien que la température du bassin n’incite pas à la chose. Ses couilles, que je pétris aussi sont bien rondes, fermes et se camouflent le plus possible toujours à cause de la température, mais je les tripote avec plaisir, bon maintenant je conserve toujours la même tactique et je le quitte momentanément en riant intérieurement de la posture où il se trouve.
Quand je reviens, rassurez-vous cela n’a pas été très long, il est toujours immobile dans l’eau et il attend que je le rejoigne.
Là, je me mets face à lui, son slip est remonté, il a du avoir peur d’être découvert la bite à l’air ou plus exactement dans l’eau.
Je prends sa main sous l’eau et la dirige vers ma poitrine, et je lui fais découvrir ces petites merveilles sous mon maillot qu’il effleure délicatement, elles sont fermes et sa main ne tarde pas à bien les caresser, sans nous échanger un seul mot, nous nous comprenons juste par un jeu de regards, c’est une crème de garçon, je le sens timide, terriblement excité car je vois encore la bosse de son maillot, même dans l’eau il ne peut pas me la cacher, mais respectueux des filles, il me laisse le guider vers la découverte de sensations sublimes pour nous 2.
Je le force à descendre sur mon ventre qu’il frôle de ses doigts et pendant que je le laisse jouer avec petit bidon, je baisse moi-même mon maillot enfin de faciliter l’ exploration future de ma fente. Mais là encore c’est moi qui force sa main à continuer sa progression, et avant cela je lui fait faire un tour par derrière voir si ses douces collines sont fermes et réceptives aux câlineries,
Après un long moment de bonheur pour moi car ses douceurs sur mes fesses m’électrice, je rapatrie ses menottes entre nous, et de mon ventre je les pousse sur le raidillon qui conduit à ma moule, il me touche délicatement les lèvres, son regard est tétanisé par la surprise que je lui fais et moi cela me fait fondre de tendresse pour ce garçon. Et ne pouvant résister j’ai passé ma main sous l’élastique de son maillot et saisie sa queue qui débarrassée de toute contrainte se raidit de plus belle ce qui me permet de la branler délicatement.
Tellement absorbés par l’intensité du bonheur que nous procure ses caresses, nous ne faisons pas attention aux personnes présentes autour de nous, mais je suis sûr que plusieurs ont remarqués notre scabreuse exposition. Et dans un moment éphémère de lucidité, je repère un groupe de garçons qui a voix basse papotent entre eux avec des petits sourires et des regards perçants vers notre duo et qui ne sont certainement pas dupes de notre entreprise.
Et c’est à ce moment là que me penchant à l’oreille de mon inconnu, je lui susurre un tout premier échange verbal:
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