Piscine rime avec pine 05
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Piscine rime avec pine 05
Le monsieur qui me paraissait si austère et rigoriste se dévoile être un vrai Sybarite ou épicurien peut-être même un Sardanapale.
Le fait d’avoir une boîte de capotes dans son bureau de travail laisse préjuger de scènes de luxure qui se seraient déroulées en ce lieu, je suis à la fois effrayées et très curieuse de voir la suite.
- Préférez-vous que je me déshabille ou voulez-vous le faire vous-même? Me dit-il en revenant vers moi et en délassant mon soutien-gorge, dernière pièce de mon maillot de bain.
- Je préfère le faire moi-même si cela ne vous dérange pas, c’est plus sensuel.
- Avez-vous remarqué l’émoi qui s’est emparé de tous mes sens en voyant votre sexe magnifique de simplicité, à faire damner un saint ? Il m’a raidi tout mon corps et à fortiori la partie faite pour cela.
- Oui je m’en suis aperçu, répondé-je.
- Pardonnez-moi, mais j’ai œuvré pour vous faire deviner que je ne suis pas dans mon état normal. Comme dans la chanson, Brassens n’a pas dit: Avec Marion, je bande sans modération, mais moi je l’affirme volontiers, dit-il en se déridant.
Je commence par lui quitter son veston bleu marine, puis je défait sa cravate rouge avec difficultés et attaque un par un les boutons de sa chemise blanche qui finie par glisser le long de ses bras et tombe sur le canapé, son buste est entièrement dévêtu devant moi, et j’ai la bonne surprise de voir un corps de jeune premier entièrement épilé. Je ne savais pas que des hommes de son âge pratiquaient ce genre de chose, je suis avide de découvrir si la partie basse est du même acabit.
En attendant, pour faire durer le suspense, je caresse son torse super doux puis son ventre svelte, il prend ma main et la porte à ses lèvres pour un baiser bienveillant.
Je la libère pour continuer mon ouvrage et finir d’effeuiller mon soupirant. Je m’accroupis devant lui, les jambes écartées pour qu’il ne perde pas de vue la montagne sacrée qu’il s’apprête à gravir. Je délasse ses belles chaussures impeccablement cirées et les lui ôtent de même que ses chaussettes bleue blanche et rouge d’un bel effet. Puis je dégrafe sa ceinture et les quelques boutons de son pantalon de Tergal bleu qui tombe tout seul à son tour et que je fini d’enlever et de ranger proprement sur le dos du canapé.
Ses jambes sont toutes aussi épilées que son torse, je mettrais bien ma chatte à couper que la petite parcelle qui me reste encore invisible ait subi le même destin, et vous savez l’importance que j’accorde à ça style décoratif. j’ai bon espoir et j’ai une pensée pour celle qui lui a prodigué l’opération, une esthéticienne qui a bien dû profiter du spectacle: Bandait-il comme maintenant?
Je m’imagine faisant ce beau métier. Quel pied! Voir toute la journée des bites de mecs, les toucher et observer comment elles réagissent, comme dans la chanson de Pierre Perret contempler des bien différentes et dans tous les états possibles et imaginables. Le soir se rappeler plein de souvenirs érotiques. Et les avoir à ma disposition et à ma guise, après les avoir rendues chauves, en câliner les plus belles avec tous mes sympathiques moyens que m’a donné mère Nature. Je pense que mes clients seraient aux anges et moi aussi, bien sûr je privilégierais les plus jeunes mais certains hommes mûrs auraient aussi leur chance car je ne suis pas sectaire, même les petites ont leurs charmes.
Je m’interroge sur le nombre que j’épongerais après les avoir menées au bout du bout, même si je me serais servie que de ma main, l’appel à la dégustation, quand jaillirait ce coulis blanc, serait si fort que je serais certainement incapable de résister, et je le ferais disparaître dans ma bouche en léchant partout où il se serait déposé.
C’est mon plus grand bonheur de pouvoir sucer une bite recouverte de l’éruption qui vient de se produire de ce geyser.
Rien que d’y penser, j’ai l’eau à la bouche ou plus exactement le sperme à la bouche.
Je tiendrais un petit cahier ou je noterais mes performances de chaque journée et avec l’idée de pulvériser mon record personnel comme tout bon sportif. Et pourquoi pas en faire un sport olympique et je me vois sur la plus haute marche du podium, je viens de gagner la médaille d’or.
Bon arrêtons de divaguer et revenons à nos moutons, j’ai un monsieur à contenter moi.
Il n’y a plus qu’une petite chose qui me cache sa virilité c’est un boxer imprimé Mickey qui me cache le sien ( son Mickey hi hi hi) je suis prise d’un fou rire qui l’amuse aussi, mais le pauvre est à l’étroit là dedans, une bosse qui m’impressionne tellement elle est gonflée. Il doit vivre le martyr, et moi un peu sadique je ne le libère pas tout de suite mais je le malaxe sur le tissu pour soupeser le mandrin et ses 2 acolytes, il me supplie de ne pas le faire souffrir plus longtemps, mais c’est moi la patronne à ce moment-là et je me rappelle la fessée diabolique qu’il viens de m’administrer et je prends du plaisir a le faire languir pour le torturer gentiment et ça me fait mouiller vous pouvez pas vous imaginer!
Enfin je me décide, et écartant l’élastique, je fais passer le bout d’une poutre rosacée par le calvaire qu’elle vient d’endurer, je continue de descendre son slip à lui quitter et à couvrir de baisers la partie intérieure qui s’est trouvée en contact avec ses parties nobles puis je le dépose à son tour bien plié sur le canapé.
Ah si vous pouviez voir la tête de mon paroissien au moment où mes lèvres se sont approchées de la zone rouge!
Nous sommes maintenant à égalité, un moment à nous admirer, sans bouger, intimidés, comme si nous voulions que ce moment reste à jamais figé dans nos mémoires. Pour rompre la glace, j’effleure ses cuisses de ma main, ce geste agréable le fait tressaillir, son magnifique priapre qui me régale les yeux est tendu au maximum, mais je veux lui faire un petit cadeau avant d’enfiler sa chaussette et je me mets à genoux le caressant tendrement quelques secondes avant de laisser courir ma langue le long de cette magnifique verge qui inonde une nouvelle fois ma grotte énigmatique, ma bouche qui bave d’envie, humidifie entièrement ce membre que je fais disparaître d’un bon tiers dans celle-ci. Je le suce avec délectation, son odeur parfumée et son goût d’homme viril m’incite a m’amuser encore un petit moment, mais ma tirelire veut recevoir son écot et le réclame à cor et à cri, elle dégouline parée à recevoir un hommage qu’elle imagine grandiose, je ne peux plus la faire attendre et je demande la boîte magique à Mr le directeur, je lis que ce sont des XXL, j’en saisis une et j’ouvre le sachet, je sors ce caoutchouc que j’enfile sans mal avec mes doigts et ma bouche sur cette grosse branche rigide et humectée de salive cela glisse tout seul.
Et je reprends l’opération lubrification de l’extérieur pour faciliter le passage de ce monument dans ma modeste demeure.
Mon partenaire se laisse faire avec délice, à aucun moment, il n’a eu de moment de faiblesse et depuis le début il me présente une ogive nucléaire prête à faire feu. Modestement je dois dire que ma personne n’est pas étrangère à cette prouesse, m’activant du mieux que je peux à préparer le décollage du missile.
« allô Kourou, parer pour le vol intersidéral? »
Il prends enfin l’initiative et me couche sur le divan, il s’allonge sur moi et me donne un baiser de bienvenue sur la planète Mars, avant de se redresser et soulever mes jambes pour les reposer sur ses épaules puis de frotter son bel engin sur ma motte qui s’ouvre instantanément, je m’agrippe aux bras musclés de mon pilote et coéquipier et comme à Secret Story:
« C’est tout pour le moment«
La suite bientôt.
Le fait d’avoir une boîte de capotes dans son bureau de travail laisse préjuger de scènes de luxure qui se seraient déroulées en ce lieu, je suis à la fois effrayées et très curieuse de voir la suite.
- Préférez-vous que je me déshabille ou voulez-vous le faire vous-même? Me dit-il en revenant vers moi et en délassant mon soutien-gorge, dernière pièce de mon maillot de bain.
- Je préfère le faire moi-même si cela ne vous dérange pas, c’est plus sensuel.
- Avez-vous remarqué l’émoi qui s’est emparé de tous mes sens en voyant votre sexe magnifique de simplicité, à faire damner un saint ? Il m’a raidi tout mon corps et à fortiori la partie faite pour cela.
- Oui je m’en suis aperçu, répondé-je.
- Pardonnez-moi, mais j’ai œuvré pour vous faire deviner que je ne suis pas dans mon état normal. Comme dans la chanson, Brassens n’a pas dit: Avec Marion, je bande sans modération, mais moi je l’affirme volontiers, dit-il en se déridant.
Je commence par lui quitter son veston bleu marine, puis je défait sa cravate rouge avec difficultés et attaque un par un les boutons de sa chemise blanche qui finie par glisser le long de ses bras et tombe sur le canapé, son buste est entièrement dévêtu devant moi, et j’ai la bonne surprise de voir un corps de jeune premier entièrement épilé. Je ne savais pas que des hommes de son âge pratiquaient ce genre de chose, je suis avide de découvrir si la partie basse est du même acabit.
En attendant, pour faire durer le suspense, je caresse son torse super doux puis son ventre svelte, il prend ma main et la porte à ses lèvres pour un baiser bienveillant.
Je la libère pour continuer mon ouvrage et finir d’effeuiller mon soupirant. Je m’accroupis devant lui, les jambes écartées pour qu’il ne perde pas de vue la montagne sacrée qu’il s’apprête à gravir. Je délasse ses belles chaussures impeccablement cirées et les lui ôtent de même que ses chaussettes bleue blanche et rouge d’un bel effet. Puis je dégrafe sa ceinture et les quelques boutons de son pantalon de Tergal bleu qui tombe tout seul à son tour et que je fini d’enlever et de ranger proprement sur le dos du canapé.
Ses jambes sont toutes aussi épilées que son torse, je mettrais bien ma chatte à couper que la petite parcelle qui me reste encore invisible ait subi le même destin, et vous savez l’importance que j’accorde à ça style décoratif. j’ai bon espoir et j’ai une pensée pour celle qui lui a prodigué l’opération, une esthéticienne qui a bien dû profiter du spectacle: Bandait-il comme maintenant?
Je m’imagine faisant ce beau métier. Quel pied! Voir toute la journée des bites de mecs, les toucher et observer comment elles réagissent, comme dans la chanson de Pierre Perret contempler des bien différentes et dans tous les états possibles et imaginables. Le soir se rappeler plein de souvenirs érotiques. Et les avoir à ma disposition et à ma guise, après les avoir rendues chauves, en câliner les plus belles avec tous mes sympathiques moyens que m’a donné mère Nature. Je pense que mes clients seraient aux anges et moi aussi, bien sûr je privilégierais les plus jeunes mais certains hommes mûrs auraient aussi leur chance car je ne suis pas sectaire, même les petites ont leurs charmes.
Je m’interroge sur le nombre que j’épongerais après les avoir menées au bout du bout, même si je me serais servie que de ma main, l’appel à la dégustation, quand jaillirait ce coulis blanc, serait si fort que je serais certainement incapable de résister, et je le ferais disparaître dans ma bouche en léchant partout où il se serait déposé.
C’est mon plus grand bonheur de pouvoir sucer une bite recouverte de l’éruption qui vient de se produire de ce geyser.
Rien que d’y penser, j’ai l’eau à la bouche ou plus exactement le sperme à la bouche.
Je tiendrais un petit cahier ou je noterais mes performances de chaque journée et avec l’idée de pulvériser mon record personnel comme tout bon sportif. Et pourquoi pas en faire un sport olympique et je me vois sur la plus haute marche du podium, je viens de gagner la médaille d’or.
Bon arrêtons de divaguer et revenons à nos moutons, j’ai un monsieur à contenter moi.
Il n’y a plus qu’une petite chose qui me cache sa virilité c’est un boxer imprimé Mickey qui me cache le sien ( son Mickey hi hi hi) je suis prise d’un fou rire qui l’amuse aussi, mais le pauvre est à l’étroit là dedans, une bosse qui m’impressionne tellement elle est gonflée. Il doit vivre le martyr, et moi un peu sadique je ne le libère pas tout de suite mais je le malaxe sur le tissu pour soupeser le mandrin et ses 2 acolytes, il me supplie de ne pas le faire souffrir plus longtemps, mais c’est moi la patronne à ce moment-là et je me rappelle la fessée diabolique qu’il viens de m’administrer et je prends du plaisir a le faire languir pour le torturer gentiment et ça me fait mouiller vous pouvez pas vous imaginer!
Enfin je me décide, et écartant l’élastique, je fais passer le bout d’une poutre rosacée par le calvaire qu’elle vient d’endurer, je continue de descendre son slip à lui quitter et à couvrir de baisers la partie intérieure qui s’est trouvée en contact avec ses parties nobles puis je le dépose à son tour bien plié sur le canapé.
Ah si vous pouviez voir la tête de mon paroissien au moment où mes lèvres se sont approchées de la zone rouge!
Nous sommes maintenant à égalité, un moment à nous admirer, sans bouger, intimidés, comme si nous voulions que ce moment reste à jamais figé dans nos mémoires. Pour rompre la glace, j’effleure ses cuisses de ma main, ce geste agréable le fait tressaillir, son magnifique priapre qui me régale les yeux est tendu au maximum, mais je veux lui faire un petit cadeau avant d’enfiler sa chaussette et je me mets à genoux le caressant tendrement quelques secondes avant de laisser courir ma langue le long de cette magnifique verge qui inonde une nouvelle fois ma grotte énigmatique, ma bouche qui bave d’envie, humidifie entièrement ce membre que je fais disparaître d’un bon tiers dans celle-ci. Je le suce avec délectation, son odeur parfumée et son goût d’homme viril m’incite a m’amuser encore un petit moment, mais ma tirelire veut recevoir son écot et le réclame à cor et à cri, elle dégouline parée à recevoir un hommage qu’elle imagine grandiose, je ne peux plus la faire attendre et je demande la boîte magique à Mr le directeur, je lis que ce sont des XXL, j’en saisis une et j’ouvre le sachet, je sors ce caoutchouc que j’enfile sans mal avec mes doigts et ma bouche sur cette grosse branche rigide et humectée de salive cela glisse tout seul.
Et je reprends l’opération lubrification de l’extérieur pour faciliter le passage de ce monument dans ma modeste demeure.
Mon partenaire se laisse faire avec délice, à aucun moment, il n’a eu de moment de faiblesse et depuis le début il me présente une ogive nucléaire prête à faire feu. Modestement je dois dire que ma personne n’est pas étrangère à cette prouesse, m’activant du mieux que je peux à préparer le décollage du missile.
« allô Kourou, parer pour le vol intersidéral? »
Il prends enfin l’initiative et me couche sur le divan, il s’allonge sur moi et me donne un baiser de bienvenue sur la planète Mars, avant de se redresser et soulever mes jambes pour les reposer sur ses épaules puis de frotter son bel engin sur ma motte qui s’ouvre instantanément, je m’agrippe aux bras musclés de mon pilote et coéquipier et comme à Secret Story:
« C’est tout pour le moment«
La suite bientôt.
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