Piscine rime avec pine 06 et fin peut-être provisoire.

- Par l'auteur HDS Coquine3618 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Piscine rime avec pine 06 et fin peut-être provisoire. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Piscine rime avec pine 06 et fin peut-être provisoire.
Prête pour le grand saut, je suis à la merci du beau tombeur de ces dames, car je ne suis pas la première ni la dernière à me faire sauter dans son bureau. Avant notre union, il ajuste complaisamment un coussin sous ma tête, ce qui me permet de contempler l’entrée en scène de son pieu. L’introduction est lente et délicieuse, tout sourire, il s’enfonce délicatement et je sens déjà le rouge me monter aux joues, la température grimpe soudainement et conjointement au démarrage du piston.

- Ca va, me demande-t-il, je vous fais pas mal Marion,
- Oh non, ça va très bien, réponds-je en gémissant, vous pouvez continuer.

- Vous êtes un amour de petite fille, et c’est tellement bon d’être en vous. Nos wagons sont bien accrochés, le petit train va partir.

Effectivement son vilebrequin tourmenté délicieusement ma mounette, mes murmures se font plus expressifs.

- Essayez de ne pas trop intriguer mes secrétaires qui travaillent dans le bureau voisin, me dit-il en riant.

Ça va être dur, car il possède un niveau d’étude Bac +15 en matière sexuelle, je lui décernerais volontiers la légion d’honneur pour services et sévices rendus aux demoiselles comme moi qu’il honore si bien grâce à son expertise encyclopédique.
Sa queue qui a vu de nez mesure bien plus de 20cm, je ne l’ai pas calibrée celle-là contrairement à d’autres, coulisse de tout son long dans mon fourreau à bites en émettant un clapotis qui résonne à mes oreilles et enflamme mon cerveau qui crie: encore et pousse ma bouche à émettre involontairement des plaintes caractéristiques des filles qui se régalent.

Je comprends mieux les dévergondées de mon espèce qui sont passée avant moi sous ce Cavana des piscines et encore je n’ai pas tout vu de ce qui va m’arriver.

Déjà sous cette cadence qu’il soutient pendant de nombreuses minutes sans ralentir, il me comble de bonheur, des larmes de joie me viennent aux yeux tellement c’est bon. Il s’en aperçoit et de sa position dominante au dessus de moi, il s’approche pour se coucher sur moi tout en continuant son mirifique mouvement de va et vient, sa bouche se pose sur les perles qui cheminent sur mes joues et de sa langue essuies mes sanglots, cela fini de l’émouvoir. Il se colle sur moi et accélère progressivement ses allées et venues, son marteau pilon passe à la vitesse supérieure mais qui n’est pas encore là maximale, je suis déjà prête à défaillir et mes cris s’amplifient à chaque coup de mailloche qu’il me distribue, tant pis pour les secrétaires, ses connes ont un super coup à côté d’elles, si elles n’en profites pas c’est bien de leur faute, au moins elles ne pourront pas dire qu’elle ne savaient pas.

Mes hurlements ne l’effraient plus car il met la gomme, ses coups de boutoir me poussent à bout, il m’écrase les lèvres de ma fente contre son bas-ventre, sa bite me fouille jusqu’au plus profond de moi, je ne plus me retenir, tous mes muscles se crispent, mon souffle haletant lui signale l’imminence du bonheur total.

Il pousse encore plus vite et plus fort le bouchon en moi et inévitablement l’explosion de ma jouissance est si extrême qu’un cri inhumain me surprends moi-même. C’est la première fois que cela est si intense et si puissant, à la fois la vague qui me parcourt tout le corps et le pilonnage de mon abricot pleurant à chaudes larmes et continuant de recevoir des coups de batte de baseball ou baise balle ( à vous de choisir) certes un peu moins fréquentes mais toujours d’une grande ampleur et profondeur.

Jamais je n’ai reçu en moi un homme qui me comble à ce point. Même si maintenant que j’ai joui, il ralentit légèrement, avec sa force herculéenne, chaque introduction me procure un plaisir immense et ce traitement n’en finit pas. Je me demande comment est ma chatte? Elle doit être enflammée et concassée!

- Voulez-vous que nous essayons une autre position? Me propose-t-il.

Oh oui, réponds-je.

Je voudrais toutes les pratiquer avec lui, même si je suis complètement épuisée, lui me parait serin et en pleine forme, il doit s’entraîner fréquemment car après avoir goûté un si bel étalon, les femmes doivent revenir à la charge subir de nouveaux assauts.

Il me positionne en levrette, les bras sur le dos du canapé, la croupe bien cambrée. Il n’a pas de mal à remettre le loup dans la bergerie tellement je suis lubrifiée, et le même heurtoir reprend du service et frappe à ma porte. La sensation est aussi puissante et mes cris toujours d’un volume sonore qui ne laisse aucun doute sur ce qui se déroule dans ce bureau. Et ses secrétaires sont-elles admiratives ou effrayées par la durée et la puissance du témoignage du bonheur qui est le mien.

Malgré tout, la fin de la charge héroïque s’approche, je n’ai plus de notion du temps et je n’ai jamais vu un homme capable de tenir cette cadence si longtemps. Pour terminer en apothéose, il reprend son rythme effréné, la pression remonte et je n’ai pas de soupape pour l’évacuer, j’endure donc ma 3ème grimpette au rideau, l’idéal serait d’atteindre le but en même temps, lui et moi, car je pense que cette fois c’est le bouquet final, ses grands coups de bite me propulsent en avant, je m’agrippe au canapé pour ne pas passer de l’autre côté et choir sur le sol.

Après la force il rajoute l’intensité, mes fesses déjà tuméfiées endurent une nouvelle épreuve, mais le jeu en vaut la chandelle et la sienne brille de mille feux.

C’est lui qui s’envoie en l’air en 1er, et il apprécie tellement la chose qu’il pousse un hurlement qui a mon tour déclenche une onde de choc identique aux 2 premières
Je suis morte de fatigue, et me couche sur le dos dans le canapé, il retire sa capote et me montre le contenu.

- Voulez-vous ne rien jeter? J’ai remarqué votre attrait pour ce genre de produit.

Le coquin, il me prend par les sentiments et maintenant bien sûr que j’en ai envie. Et sans rien dire, je repose ma tête en arrière et ouvre la bouche.
Il renverse le préservatif au dessus de moi et je reçois ma récompense, par petites touches que je savoure avec passion, entre ses 2 doigts il fait descendre les dernières gouttes pour vider ce tube de caoutchouc, mais elles s’agrippe au bord et à l’aide de ma langue je vais les chercher à l’extrémité de celui-ci et même un peu dedans pour les débusquer ses friponnes.

J’ai tout avalé sauf ce qui reste sur sa queue qui en cache encore un peu sur le haut dans les replis de sa peau plissée. Je la prends en bouche et aspire le liquide gluant et nettoie le gland avec ma langue. Ce petit supplément est délicieux et je continue volontiers la pipe, l’instrument est toujours d’un fort calibre, dur, dressé et fier d’être pompé. En si peu de temps va-t-il m’offrir une nouvelle décharge? Cette fois c’est moi qui même la danse et je ne ménage pas ma peine ni sa bite, malgré la rudesse avec laquelle elle m’a culbutée, je la branle avec force dans ma bouche en espérant recevoir une récompense bien méritée.

Après quelques minutes intenses, je ne suis pas déçue du résultat. Un liquide crémeux d’une consistance impeccable se répand délicatement dans ma bouche et se dépose sur ma langue.

Je l’avale avec délice avant de briquer une 2ème fois en 5mm le membre pourvoyeur de délicieux sperme.

Mon bienfaiteur me donne un nouveau baiser d’une saveur exquise, et il se rhabille pour être présentable, je fais de même mais avec le peu de vêtement que je porte, je suis prête avant lui. Je lui donne un petit coup de main et je réajuste sa cravate ( de Directeur pas de notaire) .

Voilà il a repris son rôle et ce n’est plus le même qu’il y a 1mm, son air sérieux me glace le sang, mais il a un petit mot gentil avant de me libérer.

- Si vous passez dans le coin, faites moi un petit coucou.

L’invitation est bien sympathique, et je ne dis pas que je ne reviendrais jamais goûter à de nouvelles expériences avec lui, son potentiel est gigantesque.

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