Plaisirs des hauteurs
Récit érotique écrit par Bichou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Plaisirs des hauteurs
Ceci est une fiction. Les personnages sont fictifs.
Il s’agit de ma première histoire. N’hésitez donc pas à me faire part de vos avis, commentaires afin de m’améliorer pour les prochaines aventures. Qu’ils soient positifs ou négatifs, vos appréciations seront toujours utiles à un futur meilleur. Bonne lecture.
CHAPITRE 1 – LA RENCONTRE
Parties de Lyon, ce mercredi en début d’après-midi, après deux heures et demie de route, nous arrivons Lucie et moi dans le chalet que nous avons réservé en vue d’y passer quinze jours. Planté sur les hauteurs de Bourg-Saint-Maurice, ce chalet fait partie d’un ensemble de dix chalets que l’on peut louer tant l’été que l’hiver.
Nous nous installons, fermement décidées à se prélasser loin de nos maris et de nos enfants et échapper ainsi au quotidien.
Vite quelques courses pour remplir le frigo et nous lézardons sur la grande terrasse qui ceint le bâtiment. Le soleil de juin est encore généreux en cette fin de journée et nous bronzons en bikini, d’autant qu’il n’y a pas foule en cette période.
- Si on retirait le haut me propose Lucie ? Nous sommes entre nous. Je sais que les hommes préfèrent les parties blanches, mais elles sont quand même disgracieuses.
Je suis beaucoup plus réservée.
- Bof, quel intérêt ? De toute façon, c’est mon cher mari qui profite de mes appâts et personne d’autre. Et jusqu’à présent, il ne s’en plaint pas !
- Ne sois pas prude, tu as un corps magnifique malgré tes 44 ans, tes seins feraient bander un mort ! N’hésite donc pas et sois même un peu exhibitionniste ! Regarde, je retire le haut et je me sens libre ! Vas-y Mathilde, ose !
Je me laisse influencer et je retire mon soutien-gorge ; mes seins s’échappent, ne s’écrasent pas, je suis fière de ma poitrine.
J’étale langoureusement mon mètre soixante-cinq
Un peu gênée, je ferme les yeux et mon esprit s’évade.
Je pense à mon chéri, Paul.
A 46 ans, il est encore séduisant et, mariés depuis 19 ans, je l’aime comme au premier jour. Grand (1 m 85), beau brun ténébreux, bien bâti, il se maintient en forme par la pratique d’un sport régulier. Il me fait l’amour au moins trois fois par semaine et ardemment. Quand il me pénètre, c’est toujours l’explosion dans ma tête et la fête de mes sens. Certes, ce n’est plus la débauche de nos débuts, mais il me fait toujours jouir intensément et pour ne rien gâcher, Paul est très doux et merveilleusement attentionné. Je l’aime.
Mes deux enfants sont les prunelles de mes yeux : mon fils Mathieu, 17 ans et ma fille Capucine, 15 ans.
Ma famille.
Mon mari a fait ses études d’ingénieur avec le mari de Lucie, Charles. Ils travaillent tous deux pour une multinationale dans le secteur des énergies renouvelables, au service d’études.
C’est ce qui nous a permis de nous rencontrer Lucie et moi.
Lucie est une belle rousse d’un mètre soixante, dotée de beaux yeux verts. Elle n’est pas à proprement parlé un canon mais, à 42 ans, elle attire toujours les hommes par son port altier, ses superbes courbes et sa poitrine généreuse.
Mariés depuis 18 ans, ils ont un fils de 17 ans prénommé Julien.
Ensemble nos fils pratiquent leur sport, le basket. De temps à autre, les deux familles se retrouvent. Nous allons voir le match de nos fils au terme duquel nous allons dîner tous ensemble.
C’est sans doute ce que l’on appelle le bonheur.
Vendredi matin, Lucie m’apostrophe.
- Assez glandouillé, bougeons-nous un peu. Une balade en montagne te dit ?
- OK, je marche.
Equipée de nos chaussures de marche, nous montons dans la station des ARCS 1600 pour y prendre les bulles qui nous amènent à 2.200 mètres.
Nous décidons de redescendre au chalet à pied en passant par les ARC 1800 et son golf, ensuite la station des ARC 1600 pour rejoindre le funiculaire.
Arrivées à notre chalet Lucie me dit :
- Tu as vu ?
- Non, quoi ?
- Les belles motos garées à côté du chalet voisin ? Ce sont des Harley, rutilantes, avec le grand guidon et les cales pieds permettant d’avoir les jambes en avant. J’adore me dit-elle, elles sont magnifiques. Elles alimentent mes fantasmes de mecs très virils, baroudeurs.
- Tu m’as l’air bien chaude dit donc
- Oui, je suis en manque de sexe et ne me dis pas que tu n’as pas envie de te faire monter
- Oh ! Ne sois pas vulgaire. Le sexe ne peut s’accompagner que d’amour.
- Ne fais pas ta mijaurée, ne me dis pas que tu n’aimes pas le sexe.
- Si bien sûr, mais avec le sexe il me faut pour être comblée de l’amour, de la tendresse.
- Tu sais, prendre de temps à autre un amant ne fais pas de mal. Cela pimente un peu notre quotidien et titille ma libido. Charles n’est bien entendu pas au courant et je suppose que je peux compter sur ta discrétion ?
- Bien entendu…
Je suis perplexe. Je ne m’y attendais pas et depuis que je connais Lucie, je ne m’en étais jamais aperçu. Ainsi donc elle prend des amants….
Sortent alors du chalet, deux hommes. La trentaine, grands et bien bâtis, tous deux d’un mètre quatre-vingt-cinq, L’un est blond et l’autre noir type méditerranéen.
- Hello crie Lucie, ravie
- Bonjour répondent les deux mâles.
Lucie, ne se tenant plus, les rejoint et discute quelques dizaines de minute.
De mon côté, je n’ai aucune envie de rencontre et décide d’aller prendre ma douche après les efforts fournis.
Lucie revient et m’annonce qu’elle a invité les deux hommes pour l’apéritif vers 19H00.
- Tu aurais pu me consulter Lucie. J’ai envie de tranquillité. Je ne suis pas venue sans mon mari pour me retrouver avec des inconnus qui voudront draguer. J’aime mon mari et je veux lui rester fidèle. Cette rencontre ne m’inspire rien de bon à voir ton empressement.
- Ne sois pas ridicule, me dit-elle en haussant les épaules. Nous ne faisons rien de mal et il n’y a pas de problème à s’éclater un peu.
L’aveu de Lucie trotte dans ma tête et suscite à la fois rejet car je veux rester fidèle à mon homme et éveille en moi un certain intérêt voire de l’envie de transgresser l’interdit.
Lucie accueille nos invités dans une petite jupe en cuir au raz des fesses et habillée d’un chemisier qui est suffisamment transparent pour laisser apparaitre son soutien-gorge blanc qui laisse deviner ses aréoles foncées.
Moi je suis en jupe porte feuille blanche arrivant juste au-dessus des genoux et un chemisier jaune pâle sage mais qui souligne ma féminité et me donne un air bourgeois sexy.
- Bonjour, je suis Richard, dit le beau blond en tendant la main à Lucie
- Moi je suis Lucie et voici mon amie Mathilde
- Et moi, je suis Alain me dit le méditerranéen en me serrant la main.
Elle est ferme mais chaleureuse et son regard me transperce. Il semble lire en moi et je suis troublée comme une adolescente qui rencontre son premier amoureux. Son sourire est ravageur souligné par des dents parfaites.
J’espère qu’il ne s’est aperçu de rien. Je m’installe dans le canapé entre les deux hommes et Lucie dans le fauteuil en face. Elle ouvre une bouteille de champagne. Avec un sourire éclatant, Lucie distribue les coupes pleines et lance une santé. Nous discutons de tout et de rien. Ils viennent également de Lyon où Richard gère une boîte de nuit dans laquelle Alain s’occupe du bar.
J’observe Alain. Plutôt basané, il a un charme insolent. Parlant posément, il mène une conversation pleine d’humour. Nous rions et trinquons. Richard est plus brut de décoffrage et n’est pas un doux rêveur.
Je me sens bien et détendue, apaisée par la personnalité d’Alain.
Lucie est ravie et ne se prive pas de faire des approches à Richard qui semble être à son goût. Sa jupe courte remonte petit à petit sur ses cuisses et les deux hommes finissent par avoir une vue plongeante sur ses cuisses jusqu’à la culotte de dentelle noire transparente. Ils ne se privent d’ailleurs pas de la mater.
Le champagne coule à flot au milieu des rires et une tension de sensualité se fait de plus en plus forte. Les mains deviennent baladeuses et j’ai de plus en plus de mal à repousser les assauts précis de mes voisins.
Voilà deux heures que nous discutons et buvons et je commence à être pompette. Dans un éclair de lucidité, le visage de mon chéri m’apparait, je me lève et annonce que je me retire dans ma chambre prétextant une trop grande fatigue.
On se fait la bise, Alain me serrant plus qu’il ne faut, ses lèvres effleurent ma bouche. Je me retire, confuse et un peu honteuse de cet attouchement mais décidée à ne pas céder quoi qu’en dise Lucie.
Je me déshabille, me met au lit et malgré la tension, je m’endors rapidement.
Lucie, certes un peu déçue de l’abandon de Mathilde, n’en demeure pas moins sur des charbons ardents.
Elle met une musique chaude et sensuelle et invite Richard à un slow langoureux. Elle se colle à lui et rapidement, elle sent le sexe mâle se durcir.
- Je te fais de l’effet dirait-on
- Va voir par toi-même dit-il
La main de Lucie descend vers l’objet du désir.
- La nature t’a semble-t-il généreusement doté
Pour toute réponse, il lui ouvre le chemisier, détache son soutien-gorge et palpe les seins généreux et doux.
De son côté, Alain ne reste pas de marbre et vient se positionner derrière Lucie en se frottant à elle. Il relève sa jupe et vient coller son pubis sur les fesses de Lucie qui commence à se balancer entre les deux hommes.
Richard retire le chemisier, Alain dégrafe la jupe, ôte la culotte de dentelle, si bien que Lucie se retrouve nue au milieu de la pièce entourée par les deux hommes en rut.
- Belles pièces Alain dit Lucie. Je sens que je vais bien m’amuser.
Alain se déshabille et nu vient planter son dard dressé entre les fesses de Lucie. Il commence un doux va et vient caressant ainsi l’entrée de la chatte de la belle. Il lui prend les seins qu’il malaxe en douceur
Pendant qu’Alain la pelote généreusement, Richard se déshabille à son tour et vient se placer devant Lucie, nu comme un ver. Elle se pend à son cou.
Le va et vient des deux hommes, parfaitement coordonnés, déclenche un tremblement de plaisir inattendu chez Lucie
- Oui… oh oui… continuez encore ….
- Baisez-moi maintenant….
Avant qu’elle ne jouisse, haletante, Richard la prend par la main et, avec Alain, l’entraine dans la chambre. Il la fait s’allonger, elle écarte les jambes en grand et Richard la pénètre d’un seul coup. Lucie referme les cuisses dans le dos de son amant pour le tenir bien serré en elle. Alain lui caresse les seins et l’embrasse fougueusement.
Richard la pilonne et Lucie lance son pubis à la rencontre du sexe qui la laboure.
Un cri strident se fait entendre annonçant un premier orgasme de Lucie.
Richard se retire.
Alain prend Lucie, la retourne pour la placer en levrette, se positionne derrière elle et la pénètre à son tour, entrainant un râle de satisfaction de Lucie. Pendant qu’il la lime avec vigueur, Richard présente son dard devant sa bouche et elle l’enfourne avec délectation.
Pendant l’heure qui suit, ils se mêlent, s’activent et les cris de jouissance deviennent de plus en plus stridents, au point que Mathilde se réveille.
Elle ne perçoit pas avec précision ce qui l’a réveillé.
Dans un demi-sommeil, elle se lève, va à la cuisine se servir un verre d’eau.
Cette fois, elle entend distinctement des gémissements, comprend que cela vient de la chambre de Lucie dont la porte n’est pas complètement fermée. S’approchant, elle reconnait le bruit de deux peaux qui se rencontrent, se choquent.
Elle pousse doucement la porte et est stupéfaite par le spectacle qu’elle découvre.
Richard est sur le lit, couché sur le dos. Lucie son pieu enfoncé entre les fesses, dos tourné et fait face à Alain qui la prend en double pénétration. Elle gémit et les hommes ahanent sous l’effort.
Alors que personne ne s’aperçoit de sa présence, Mathilde regarde, observe. Elle sent une chaleur entre ses cuisses.
Lucie la voit.
- Le spectacle te plait ?
- …..
- Viens donc nous rejoindre
Mathilde est subjuguée, son ventre papillonne, une chaleur au creux des reins qui se traduit par une humidité qu’elle connait bien. Elle n’ose pas bouger, mais Alain, nu, abandonnant Lucie viens lui prendre la main.
Il l’embrasse tendrement. Elle ne refuse pas le baiser, sens le sexe de l’homme dressé et dur. Elle frémit.
- Tu es superbe dit-il en empaument ses seins.
Elle ne repousse pas l’assaut.
Il lui retire sa nuisette et Mathilde se retrouve complètement nue. Elle apprécie la caresse et son pubis poilu vient se frotter au sexe du mâle.
- Non s’il te plaît, je suis mariée lui glisse-t-elle, sans conviction.
Il ne l’écoute pas et l’embrasse à pleine bouche.
- Viens ma jolie, je vais te faire du bien. Tu ne le regretteras pas
- Mais mon mari…dit-elle dans un soupir
- Ne t’inquiète pas, il ne le saura jamais…
Elle cède et se laisse attirer sur le lit à côté de Lucie.
Alain lui écarte les jambes et se jette sur son minou poilu qu’il déguste. Mathilde commence à gémir. Elle est bien. Elle sourit, appréciant le traitement que son amant lui fait subir. Elle oublie tout et se retrouve prise dans un tourbillon de sensations.
Alain l’entraine dans sa chambre.
La poussant sur le lit, tout y passe avec une virilité inattendue : missionnaire, levrette, sodomisation qu’elle subit pour la première fois, fellation, cuni. Ses orgasmes se multiplient. Elle n’arrête pas de jouir sous la bite longue et fine de son amant. Elle n’a jamais joui comme cela ni ressenti de telles sensations.
Au bout de près de deux heures, ils s’effondrent sur le lit, repus et satisfaits, et s’endorment.
Samedi, 10H00.
Le téléphone de Mathilde sonne.
Elle sort difficilement de sa torpeur.
Une décharge la foudroie : c’est son mari.
- Bonjour mon chéri dit-elle la voix pâteuse
- Ma chérie, que se passe-t-il ? Tu ne m’as pas appelé hier e t’ai appelé au moins quatre fois depuis ce matin, sans succès.
- Je suis désolée, j’étais très fatiguée de notre balade d’hier et avec Lucie, nous avons bu quelques coupes de champagne et je n’ai rien entendu. Pardonne-moi, j’ai oublié de t’appeler.
- Vous avez fêté quelque chose ?
Alain s’est réveillé et me caresse la toison. Il passe un doigt dans ma fente et je réagis aussitôt
- Non, non …Hihi… rien de spéciaaaal.
Je repousse sa main.
- Mais qu’as-tu ?
- Rien, rien. Heu..Je ne suis pas encore tout à fait éveillée. Laisse-moi aller prendre ma douche, boire mon café et je te rappelle. OK ?
- OK. Je t’aime ma chérie et je t’embrasse.
- Moi aussi je t’embrasse. A tout de suite.
Alain qui me caressait à présent le sein gauche et pinçait le téton veut remettre le couvert. Je le repousse.
- Tu es fou ! Tu cherches à me mettre dans l’embarras ?
- Excuse-moi, mais tu me rends dingue
- Je ne suis pas un morceau de viande ! Laisse-moi.
Un peu surpris, il s’en va, un peu vexé mais sans autre commentaire.
Pendant la douche, je me rends compte de la situation. Qu’ai-je fait ? Comment en suis-je arrivée là ? J’ai honte et je m’en veux.
La tête basse, pleine de remords, je rejoins Lucie à la cuisine pour y prendre mon petit déjeuner.
Richard est lui aussi parti.
- Dis donc, pour quelqu’un qui ne voulait pas de rencontre, tu t’es plutôt bien rattrapée !
- Tais-toi ! J’ai honte ! Je n’aurais jamais dû t’écouter et accepter cette petite réunion
- Je ne t’ai pas forcée. Tu n’as pas eu de plaisir ? Je t’ai pourtant entendu crier !
- Peut-être, mais j’ai trompé mon mari. J’ai fait voler en éclat mon serment de fidélité et surtout, je l’ai trahi. Je m’en veux. Je ne veux plus les voir !
- Ne te met pas martèle en tête. Je serai discrète et pense au plaisir que tu as pu avoir.
Je ne parviens pas à avaler quoi que ce soit. Juste prendre une tasse de café.
Nous restons silencieuses et je me demande quelle attitude adopter : se taire ? tout avouer ? Je ne veux pas lui faire du mal. Je n’ai pas l’habitude de mentir. Vais-je être capable de ne pas susciter de soupçons ?
Je m’enferme dans ma chambre et, tremblante de peur, j’appelle mon mari.
Pendant la conversation, je m’efforce d’avoir un ton neutre et même détaché. Ma voix tremble et j’ai beaucoup de difficultés à construire des phrases cohérentes. J’ai du mal à répondre à ses élans de tendresse, je ne parviens pas à y mettre la conviction habituelle. Ma peur doit transpirer.
Je raccroche en espérant qu’il ne se soit rendu compte de rien.
Il s’agit de ma première histoire. N’hésitez donc pas à me faire part de vos avis, commentaires afin de m’améliorer pour les prochaines aventures. Qu’ils soient positifs ou négatifs, vos appréciations seront toujours utiles à un futur meilleur. Bonne lecture.
CHAPITRE 1 – LA RENCONTRE
Parties de Lyon, ce mercredi en début d’après-midi, après deux heures et demie de route, nous arrivons Lucie et moi dans le chalet que nous avons réservé en vue d’y passer quinze jours. Planté sur les hauteurs de Bourg-Saint-Maurice, ce chalet fait partie d’un ensemble de dix chalets que l’on peut louer tant l’été que l’hiver.
Nous nous installons, fermement décidées à se prélasser loin de nos maris et de nos enfants et échapper ainsi au quotidien.
Vite quelques courses pour remplir le frigo et nous lézardons sur la grande terrasse qui ceint le bâtiment. Le soleil de juin est encore généreux en cette fin de journée et nous bronzons en bikini, d’autant qu’il n’y a pas foule en cette période.
- Si on retirait le haut me propose Lucie ? Nous sommes entre nous. Je sais que les hommes préfèrent les parties blanches, mais elles sont quand même disgracieuses.
Je suis beaucoup plus réservée.
- Bof, quel intérêt ? De toute façon, c’est mon cher mari qui profite de mes appâts et personne d’autre. Et jusqu’à présent, il ne s’en plaint pas !
- Ne sois pas prude, tu as un corps magnifique malgré tes 44 ans, tes seins feraient bander un mort ! N’hésite donc pas et sois même un peu exhibitionniste ! Regarde, je retire le haut et je me sens libre ! Vas-y Mathilde, ose !
Je me laisse influencer et je retire mon soutien-gorge ; mes seins s’échappent, ne s’écrasent pas, je suis fière de ma poitrine.
J’étale langoureusement mon mètre soixante-cinq
Un peu gênée, je ferme les yeux et mon esprit s’évade.
Je pense à mon chéri, Paul.
A 46 ans, il est encore séduisant et, mariés depuis 19 ans, je l’aime comme au premier jour. Grand (1 m 85), beau brun ténébreux, bien bâti, il se maintient en forme par la pratique d’un sport régulier. Il me fait l’amour au moins trois fois par semaine et ardemment. Quand il me pénètre, c’est toujours l’explosion dans ma tête et la fête de mes sens. Certes, ce n’est plus la débauche de nos débuts, mais il me fait toujours jouir intensément et pour ne rien gâcher, Paul est très doux et merveilleusement attentionné. Je l’aime.
Mes deux enfants sont les prunelles de mes yeux : mon fils Mathieu, 17 ans et ma fille Capucine, 15 ans.
Ma famille.
Mon mari a fait ses études d’ingénieur avec le mari de Lucie, Charles. Ils travaillent tous deux pour une multinationale dans le secteur des énergies renouvelables, au service d’études.
C’est ce qui nous a permis de nous rencontrer Lucie et moi.
Lucie est une belle rousse d’un mètre soixante, dotée de beaux yeux verts. Elle n’est pas à proprement parlé un canon mais, à 42 ans, elle attire toujours les hommes par son port altier, ses superbes courbes et sa poitrine généreuse.
Mariés depuis 18 ans, ils ont un fils de 17 ans prénommé Julien.
Ensemble nos fils pratiquent leur sport, le basket. De temps à autre, les deux familles se retrouvent. Nous allons voir le match de nos fils au terme duquel nous allons dîner tous ensemble.
C’est sans doute ce que l’on appelle le bonheur.
Vendredi matin, Lucie m’apostrophe.
- Assez glandouillé, bougeons-nous un peu. Une balade en montagne te dit ?
- OK, je marche.
Equipée de nos chaussures de marche, nous montons dans la station des ARCS 1600 pour y prendre les bulles qui nous amènent à 2.200 mètres.
Nous décidons de redescendre au chalet à pied en passant par les ARC 1800 et son golf, ensuite la station des ARC 1600 pour rejoindre le funiculaire.
Arrivées à notre chalet Lucie me dit :
- Tu as vu ?
- Non, quoi ?
- Les belles motos garées à côté du chalet voisin ? Ce sont des Harley, rutilantes, avec le grand guidon et les cales pieds permettant d’avoir les jambes en avant. J’adore me dit-elle, elles sont magnifiques. Elles alimentent mes fantasmes de mecs très virils, baroudeurs.
- Tu m’as l’air bien chaude dit donc
- Oui, je suis en manque de sexe et ne me dis pas que tu n’as pas envie de te faire monter
- Oh ! Ne sois pas vulgaire. Le sexe ne peut s’accompagner que d’amour.
- Ne fais pas ta mijaurée, ne me dis pas que tu n’aimes pas le sexe.
- Si bien sûr, mais avec le sexe il me faut pour être comblée de l’amour, de la tendresse.
- Tu sais, prendre de temps à autre un amant ne fais pas de mal. Cela pimente un peu notre quotidien et titille ma libido. Charles n’est bien entendu pas au courant et je suppose que je peux compter sur ta discrétion ?
- Bien entendu…
Je suis perplexe. Je ne m’y attendais pas et depuis que je connais Lucie, je ne m’en étais jamais aperçu. Ainsi donc elle prend des amants….
Sortent alors du chalet, deux hommes. La trentaine, grands et bien bâtis, tous deux d’un mètre quatre-vingt-cinq, L’un est blond et l’autre noir type méditerranéen.
- Hello crie Lucie, ravie
- Bonjour répondent les deux mâles.
Lucie, ne se tenant plus, les rejoint et discute quelques dizaines de minute.
De mon côté, je n’ai aucune envie de rencontre et décide d’aller prendre ma douche après les efforts fournis.
Lucie revient et m’annonce qu’elle a invité les deux hommes pour l’apéritif vers 19H00.
- Tu aurais pu me consulter Lucie. J’ai envie de tranquillité. Je ne suis pas venue sans mon mari pour me retrouver avec des inconnus qui voudront draguer. J’aime mon mari et je veux lui rester fidèle. Cette rencontre ne m’inspire rien de bon à voir ton empressement.
- Ne sois pas ridicule, me dit-elle en haussant les épaules. Nous ne faisons rien de mal et il n’y a pas de problème à s’éclater un peu.
L’aveu de Lucie trotte dans ma tête et suscite à la fois rejet car je veux rester fidèle à mon homme et éveille en moi un certain intérêt voire de l’envie de transgresser l’interdit.
Lucie accueille nos invités dans une petite jupe en cuir au raz des fesses et habillée d’un chemisier qui est suffisamment transparent pour laisser apparaitre son soutien-gorge blanc qui laisse deviner ses aréoles foncées.
Moi je suis en jupe porte feuille blanche arrivant juste au-dessus des genoux et un chemisier jaune pâle sage mais qui souligne ma féminité et me donne un air bourgeois sexy.
- Bonjour, je suis Richard, dit le beau blond en tendant la main à Lucie
- Moi je suis Lucie et voici mon amie Mathilde
- Et moi, je suis Alain me dit le méditerranéen en me serrant la main.
Elle est ferme mais chaleureuse et son regard me transperce. Il semble lire en moi et je suis troublée comme une adolescente qui rencontre son premier amoureux. Son sourire est ravageur souligné par des dents parfaites.
J’espère qu’il ne s’est aperçu de rien. Je m’installe dans le canapé entre les deux hommes et Lucie dans le fauteuil en face. Elle ouvre une bouteille de champagne. Avec un sourire éclatant, Lucie distribue les coupes pleines et lance une santé. Nous discutons de tout et de rien. Ils viennent également de Lyon où Richard gère une boîte de nuit dans laquelle Alain s’occupe du bar.
J’observe Alain. Plutôt basané, il a un charme insolent. Parlant posément, il mène une conversation pleine d’humour. Nous rions et trinquons. Richard est plus brut de décoffrage et n’est pas un doux rêveur.
Je me sens bien et détendue, apaisée par la personnalité d’Alain.
Lucie est ravie et ne se prive pas de faire des approches à Richard qui semble être à son goût. Sa jupe courte remonte petit à petit sur ses cuisses et les deux hommes finissent par avoir une vue plongeante sur ses cuisses jusqu’à la culotte de dentelle noire transparente. Ils ne se privent d’ailleurs pas de la mater.
Le champagne coule à flot au milieu des rires et une tension de sensualité se fait de plus en plus forte. Les mains deviennent baladeuses et j’ai de plus en plus de mal à repousser les assauts précis de mes voisins.
Voilà deux heures que nous discutons et buvons et je commence à être pompette. Dans un éclair de lucidité, le visage de mon chéri m’apparait, je me lève et annonce que je me retire dans ma chambre prétextant une trop grande fatigue.
On se fait la bise, Alain me serrant plus qu’il ne faut, ses lèvres effleurent ma bouche. Je me retire, confuse et un peu honteuse de cet attouchement mais décidée à ne pas céder quoi qu’en dise Lucie.
Je me déshabille, me met au lit et malgré la tension, je m’endors rapidement.
Lucie, certes un peu déçue de l’abandon de Mathilde, n’en demeure pas moins sur des charbons ardents.
Elle met une musique chaude et sensuelle et invite Richard à un slow langoureux. Elle se colle à lui et rapidement, elle sent le sexe mâle se durcir.
- Je te fais de l’effet dirait-on
- Va voir par toi-même dit-il
La main de Lucie descend vers l’objet du désir.
- La nature t’a semble-t-il généreusement doté
Pour toute réponse, il lui ouvre le chemisier, détache son soutien-gorge et palpe les seins généreux et doux.
De son côté, Alain ne reste pas de marbre et vient se positionner derrière Lucie en se frottant à elle. Il relève sa jupe et vient coller son pubis sur les fesses de Lucie qui commence à se balancer entre les deux hommes.
Richard retire le chemisier, Alain dégrafe la jupe, ôte la culotte de dentelle, si bien que Lucie se retrouve nue au milieu de la pièce entourée par les deux hommes en rut.
- Belles pièces Alain dit Lucie. Je sens que je vais bien m’amuser.
Alain se déshabille et nu vient planter son dard dressé entre les fesses de Lucie. Il commence un doux va et vient caressant ainsi l’entrée de la chatte de la belle. Il lui prend les seins qu’il malaxe en douceur
Pendant qu’Alain la pelote généreusement, Richard se déshabille à son tour et vient se placer devant Lucie, nu comme un ver. Elle se pend à son cou.
Le va et vient des deux hommes, parfaitement coordonnés, déclenche un tremblement de plaisir inattendu chez Lucie
- Oui… oh oui… continuez encore ….
- Baisez-moi maintenant….
Avant qu’elle ne jouisse, haletante, Richard la prend par la main et, avec Alain, l’entraine dans la chambre. Il la fait s’allonger, elle écarte les jambes en grand et Richard la pénètre d’un seul coup. Lucie referme les cuisses dans le dos de son amant pour le tenir bien serré en elle. Alain lui caresse les seins et l’embrasse fougueusement.
Richard la pilonne et Lucie lance son pubis à la rencontre du sexe qui la laboure.
Un cri strident se fait entendre annonçant un premier orgasme de Lucie.
Richard se retire.
Alain prend Lucie, la retourne pour la placer en levrette, se positionne derrière elle et la pénètre à son tour, entrainant un râle de satisfaction de Lucie. Pendant qu’il la lime avec vigueur, Richard présente son dard devant sa bouche et elle l’enfourne avec délectation.
Pendant l’heure qui suit, ils se mêlent, s’activent et les cris de jouissance deviennent de plus en plus stridents, au point que Mathilde se réveille.
Elle ne perçoit pas avec précision ce qui l’a réveillé.
Dans un demi-sommeil, elle se lève, va à la cuisine se servir un verre d’eau.
Cette fois, elle entend distinctement des gémissements, comprend que cela vient de la chambre de Lucie dont la porte n’est pas complètement fermée. S’approchant, elle reconnait le bruit de deux peaux qui se rencontrent, se choquent.
Elle pousse doucement la porte et est stupéfaite par le spectacle qu’elle découvre.
Richard est sur le lit, couché sur le dos. Lucie son pieu enfoncé entre les fesses, dos tourné et fait face à Alain qui la prend en double pénétration. Elle gémit et les hommes ahanent sous l’effort.
Alors que personne ne s’aperçoit de sa présence, Mathilde regarde, observe. Elle sent une chaleur entre ses cuisses.
Lucie la voit.
- Le spectacle te plait ?
- …..
- Viens donc nous rejoindre
Mathilde est subjuguée, son ventre papillonne, une chaleur au creux des reins qui se traduit par une humidité qu’elle connait bien. Elle n’ose pas bouger, mais Alain, nu, abandonnant Lucie viens lui prendre la main.
Il l’embrasse tendrement. Elle ne refuse pas le baiser, sens le sexe de l’homme dressé et dur. Elle frémit.
- Tu es superbe dit-il en empaument ses seins.
Elle ne repousse pas l’assaut.
Il lui retire sa nuisette et Mathilde se retrouve complètement nue. Elle apprécie la caresse et son pubis poilu vient se frotter au sexe du mâle.
- Non s’il te plaît, je suis mariée lui glisse-t-elle, sans conviction.
Il ne l’écoute pas et l’embrasse à pleine bouche.
- Viens ma jolie, je vais te faire du bien. Tu ne le regretteras pas
- Mais mon mari…dit-elle dans un soupir
- Ne t’inquiète pas, il ne le saura jamais…
Elle cède et se laisse attirer sur le lit à côté de Lucie.
Alain lui écarte les jambes et se jette sur son minou poilu qu’il déguste. Mathilde commence à gémir. Elle est bien. Elle sourit, appréciant le traitement que son amant lui fait subir. Elle oublie tout et se retrouve prise dans un tourbillon de sensations.
Alain l’entraine dans sa chambre.
La poussant sur le lit, tout y passe avec une virilité inattendue : missionnaire, levrette, sodomisation qu’elle subit pour la première fois, fellation, cuni. Ses orgasmes se multiplient. Elle n’arrête pas de jouir sous la bite longue et fine de son amant. Elle n’a jamais joui comme cela ni ressenti de telles sensations.
Au bout de près de deux heures, ils s’effondrent sur le lit, repus et satisfaits, et s’endorment.
Samedi, 10H00.
Le téléphone de Mathilde sonne.
Elle sort difficilement de sa torpeur.
Une décharge la foudroie : c’est son mari.
- Bonjour mon chéri dit-elle la voix pâteuse
- Ma chérie, que se passe-t-il ? Tu ne m’as pas appelé hier e t’ai appelé au moins quatre fois depuis ce matin, sans succès.
- Je suis désolée, j’étais très fatiguée de notre balade d’hier et avec Lucie, nous avons bu quelques coupes de champagne et je n’ai rien entendu. Pardonne-moi, j’ai oublié de t’appeler.
- Vous avez fêté quelque chose ?
Alain s’est réveillé et me caresse la toison. Il passe un doigt dans ma fente et je réagis aussitôt
- Non, non …Hihi… rien de spéciaaaal.
Je repousse sa main.
- Mais qu’as-tu ?
- Rien, rien. Heu..Je ne suis pas encore tout à fait éveillée. Laisse-moi aller prendre ma douche, boire mon café et je te rappelle. OK ?
- OK. Je t’aime ma chérie et je t’embrasse.
- Moi aussi je t’embrasse. A tout de suite.
Alain qui me caressait à présent le sein gauche et pinçait le téton veut remettre le couvert. Je le repousse.
- Tu es fou ! Tu cherches à me mettre dans l’embarras ?
- Excuse-moi, mais tu me rends dingue
- Je ne suis pas un morceau de viande ! Laisse-moi.
Un peu surpris, il s’en va, un peu vexé mais sans autre commentaire.
Pendant la douche, je me rends compte de la situation. Qu’ai-je fait ? Comment en suis-je arrivée là ? J’ai honte et je m’en veux.
La tête basse, pleine de remords, je rejoins Lucie à la cuisine pour y prendre mon petit déjeuner.
Richard est lui aussi parti.
- Dis donc, pour quelqu’un qui ne voulait pas de rencontre, tu t’es plutôt bien rattrapée !
- Tais-toi ! J’ai honte ! Je n’aurais jamais dû t’écouter et accepter cette petite réunion
- Je ne t’ai pas forcée. Tu n’as pas eu de plaisir ? Je t’ai pourtant entendu crier !
- Peut-être, mais j’ai trompé mon mari. J’ai fait voler en éclat mon serment de fidélité et surtout, je l’ai trahi. Je m’en veux. Je ne veux plus les voir !
- Ne te met pas martèle en tête. Je serai discrète et pense au plaisir que tu as pu avoir.
Je ne parviens pas à avaler quoi que ce soit. Juste prendre une tasse de café.
Nous restons silencieuses et je me demande quelle attitude adopter : se taire ? tout avouer ? Je ne veux pas lui faire du mal. Je n’ai pas l’habitude de mentir. Vais-je être capable de ne pas susciter de soupçons ?
Je m’enferme dans ma chambre et, tremblante de peur, j’appelle mon mari.
Pendant la conversation, je m’efforce d’avoir un ton neutre et même détaché. Ma voix tremble et j’ai beaucoup de difficultés à construire des phrases cohérentes. J’ai du mal à répondre à ses élans de tendresse, je ne parviens pas à y mettre la conviction habituelle. Ma peur doit transpirer.
Je raccroche en espérant qu’il ne se soit rendu compte de rien.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Effectivement, une très belle histoirr, je trouve Cependant que Mathilde s est laissée aller un peu trop vite, j 'aurais aime d'avantage de résistance avant qu' elle ne cède... Quoi qu' il en soit c'est très excitant. Bravo
Effectivement, une très belle histoirr, je trouve Cependant que Mathilde s est laissée aller un peu trop vite, j 'aurais aime d'avantage de résistance avant qu' elle ne cède... Quoi qu' il en soit c'est très excitant. Bravo
La petite chèvre de monsieur Seguin a résisté tant qu'elle a pu, mais le loup a tout de
même fini par la dévorer.
même fini par la dévorer.
Pour tous les plaisirs, un bijou pervers merci
Premier récit réussit. Beau texte, bien écrit, agréable à lire.
Les hésitations et les remords sont bien vus. Bravo.
Cette histoire m'inspire... d'idées plein la tête.
Que nous réserve l'auteur ? Remords... aveu... pardon... et petite vengeance vis à vis de
la copine.
j'attends la suite avec impatience.
Les hésitations et les remords sont bien vus. Bravo.
Cette histoire m'inspire... d'idées plein la tête.
Que nous réserve l'auteur ? Remords... aveu... pardon... et petite vengeance vis à vis de
la copine.
j'attends la suite avec impatience.
"l'art est difficile, la critique est facile"
debut d'histoire passionnante...
comme dans la présentation de l'auteur, j'aime aussi que les choses se dévoilent à tous
les personnages...réactions...
pour ma part, n'ayant pas une âme de cocu soumis, je ne vois que trois solutions: il
impose le jeu (libertinage, echangisme...), il se venge (cocufie à son tour) ou rupture
...
mais l'auteur reste le maître du jeu car je n'ai pas son talent
debut d'histoire passionnante...
comme dans la présentation de l'auteur, j'aime aussi que les choses se dévoilent à tous
les personnages...réactions...
pour ma part, n'ayant pas une âme de cocu soumis, je ne vois que trois solutions: il
impose le jeu (libertinage, echangisme...), il se venge (cocufie à son tour) ou rupture
...
mais l'auteur reste le maître du jeu car je n'ai pas son talent
Bonjour Bichou, cette histoire est intéressante quant au thème, et vous l'avez bien traité.
Vous l'avez conclue de façon adroite, car une suite semble indispensable. Bravo, c'est une
première plutôt réussie. Briard
Vous l'avez conclue de façon adroite, car une suite semble indispensable. Bravo, c'est une
première plutôt réussie. Briard
Bonjour
Pour un premier recit, c’est bien vu. Bien écrit, texte aéré.
Les doutes les remords sont bien décrits.
Aucune surenchère. Aucun fantasme bancal et outrancier.
A lire la suite, parce que suite il va y avoir je suppose.
Vous avez tous mes encouragements.
Pour un premier recit, c’est bien vu. Bien écrit, texte aéré.
Les doutes les remords sont bien décrits.
Aucune surenchère. Aucun fantasme bancal et outrancier.
A lire la suite, parce que suite il va y avoir je suppose.
Vous avez tous mes encouragements.
Excellent début. Bravo
bravo, tres excitante histoire que qui demande une suite qui promet d etre de plus enplus
perverse, felicitations !! j adore
perverse, felicitations !! j adore
Très bon début d'histoire. Bien écrite et assez réaliste. On ressent bien la gêne et
l'embarras de Mathilde après cette nuit. Va-t-elle tout avouer à son mari en espérant
qu'il lui pardonne ? Ou va t-elle continuer sur les chemins de la débauche au risque de
mettre
en danger son mariage? Elle semble oublier que ces jeunes hommes sont des célibataires
de la même ville de surcroit qui ne sont là que pour se taper des quadra, mais sans que
cela ne les attachent...J'espère que ces deux femmes ne vont pas se bruler les ailes à
s'en mordre les doigts à la fin. J'attends la suite avec impatience.
l'embarras de Mathilde après cette nuit. Va-t-elle tout avouer à son mari en espérant
qu'il lui pardonne ? Ou va t-elle continuer sur les chemins de la débauche au risque de
mettre
en danger son mariage? Elle semble oublier que ces jeunes hommes sont des célibataires
de la même ville de surcroit qui ne sont là que pour se taper des quadra, mais sans que
cela ne les attachent...J'espère que ces deux femmes ne vont pas se bruler les ailes à
s'en mordre les doigts à la fin. J'attends la suite avec impatience.