Plaisirs des hauteurs Chapitre 4 (fin)
Récit érotique écrit par Bichou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Plaisirs des hauteurs Chapitre 4 (fin)
L’histoire se termine. J’y ai mis mon cœur pour vous distraire. Les deux ou trois prochaines histoires auront encore pour thème l’infidélité féminine. Je sais, me direz-vous, « infidélité » est du genre féminin. Pour autant, elle n’est pas l’apanage de la femme, bien au contraire. A la suite de vos commentaires et appréciations, je tenterai donc l’infidélité masculine.
N’hésitez donc pas à me faire connaitre votre avis, vos critiques. Si vous le désirez, je vous transmettrai mon adresse mail, nous pourrons discuter des textes passés et des histoires futures.
Merci à ceux et celles qui m’ont envoyé leurs encouragements et leurs commentaires.
******Ceci est une fiction et les personnages sont inventés.
Résumé : Mathilde a trompé son mari au cours de vacances à la montagne. Son mari l’a surprise en mauvaise posture. Le temps des explications est maintenant venu. Elles seront douloureuses…
Je me réveille péniblement. Il fait sombre.
Je me souviens.
Les vacances, le chalet, mon amant.
Mon mari est parti, mon homme, celui que j’aime, mon âme sœur. Où est-il ? Que fait-il ?
Je tente de le contacter dix fois plutôt qu’une, chaque fois je n’ai que son répondeur. Je laisse des messages, de plus en plus suppliant. Le dernier : « Chéri, rappelle-moi. Je suis folle d’angoisse. Je t’aime »Pas de réponse. Pas d’appel malgré mes supplications.
Les jours suivants sont dantesques : tout juste si je bois un peu d’eau. Je tente de le contacter au bureau mais sa secrétaire me répète inlassablement qu’il est en mission et qu’il n’y a pas moyen de le contacter.
Je ne peux donc que l’attendre.
Samedi matin, la porte d’entrée s’ouvre. C’est Paul, mon cœur fait un bond.
- Chéri, c’est toi ? tu es revenu ?
- Oui, c’est moi comme tu peux voir. Tu dormais ?
- Je m’étais assoupie. Cela fait plusieurs jours que je ne dors pas ; je suis sur le sofa à t’attendre.
- Chéri, je suis sincèrement désolée de ce qui est arrivé. J’ai dérapé. Je ne me pardonnerai jamais ce que j’ai fait.
- Moi non plus je ne peux te pardonner.
- Pardon mon amour. J’ai perdu la tête. Ces hommes ne sont rien pour moi, je n’aime que toi.
- Je voulais te faire une surprise mais c’est moi qui ai été surpris.
- Mon chéri, laisse-moi t’expliquer. Ce n’est pas ce que tu crois.
- Est-ce bien nécessaire ? Je crois ce que je vois. Et j’ai vu une femme amoureuse, au restaurant, dans les bras d’un bellâtre, jouissante et éperdue de bonheur. Tu m’as complètement oublié.
- Oh.. Tu nous as vu au restaurant ? Et dans la boite de nuit ? Mais, comment.. ? Pardon, pardon. C’est vrai, je t’ai oublié un moment, mais j’étais hors de notre couple, hors du temps, hors de la réalité. Comme dans une bulle. Je ne voulais pas te tromper.
- Tu ne voulais pas mais tu as bien réussi.
- Pardon mon chéri, je t’ai fait souffrir, ce n’était pas mon intention.
- Je ne pourrai pas te pardonner. Je vois encore tes cabrioles avec ce bellâtre, l’embrasser à pleine bouche, te faire enculer sous tes cris de jouissance, écarter les cuisses …- Arrête, tu te fais du mal, tu me fais du mal.
Les larmes commencent à couler.
- Tu vois, je pense que cette histoire me montre ton vrai visage, à côté de la mère de famille aimante, l’épouse attentionnée, j’ai vu une salope se faire prendre par un inconnu dans toutes les positions et qui aimait cela. Ta vraie nature est apparue. Tu as ouvert une porte, libérer une libido que je ne soupçonnais pas, des comportements qui sont loin de mes valeurs, celles que je porte et celles que j’ai voulu inculquer à nos enfants.
- Non, non. Je ne suis pas comme cela. C’était une erreur, une monstrueuse erreur. Je sais que je n’ai aucune excuse mais je te demande au moins de pardonner à défaut d’oublier. Je n’aime que toi…- Cela ne s’est pas vu.
J’aurais peut-être pu pardonner une erreur passagère mais que se serait-il passé si je n’étais pas intervenu ?
Je ne te suffisais plus pour aller t’encanailler de la sorte ? Tu m’as trompé, menti et je me sens humilié. Aujourd’hui, tu as des remords. Mais de quoi exactement : de m’avoir trompé ou d’être démasquée ?
Tout à coup, Mathilde se rend compte ; c’est toi qui as pris ces photos ?
- Oui- C’est donc toi qui as pénétré dans le chalet ?
- Oui- C’est toi l’agresseur ?
- Ne renversons pas les rôles, c’est moi qui me suis senti agressé dans notre vie.
- Comment as-tu obtenu ces photos humiliantes ?
Paul lui raconte alors tout : ses doutes, son arrivée alors qu’ils partaient au restaurant, la boîte de nuit, le retour au chalet. Son regard est dur.
- Ma colère était telle que j’aurais pu les tuer à main nue. Je me suis enfui pour ne pas commettre l’irréparable.
- Pourquoi n’es-tu pas intervenu plus tôt ? Tu aurais pu éviter le pire !
- Cela va être ma faute maintenant. Tu ne manques pas d’air….
- Ce n’est pas ce que je voulais dire.
Le silence s’installe seulement entrecoupé de sanglots et de reniflements.
- En te revoyant, j’espérais que le fonds d’amour pour toi puisse reprendre vigueur mais mon dégoût et ma tristesse anéantissent tout sentiment pour toi. Je ne t’aime plus. Je ne ressens plus rien pour toi. Tu resteras seulement la mère de mes enfants. J’ai perdu toute confiance en toi, et sans confiance, il n’est pas possible de bâtir quoi que ce soit.
- Non, non ….laisse-moi une chance.
- Et dès qu’un bellâtre pointera le bout de son nez, tu recommenceras tes mensonges, tu me trahiras à nouveau ? Le plaisir interdit de l’adultère t’est à présent connu et tu y as goûté intensément. Tout repartira…- Ma décision est prise, nous allons divorcer. Je ne veux pas de batailles sordides vis-à-vis des enfants, je ne te veux pas de mal. Si tu es d’accord, nous divorcerons par consentement mutuel cela évitera l’étalage sordide de ta turpitude. Je te laisse la maison, nous partagerons équitablement la garde des enfants. Il t’appartiendra de leur expliquer. Enfin, je te verserai une pension raisonnable pour les frais liés à leur éducation.
- Tu peux bien entendu refuser cette proposition : dans ce cas, le juge appréciera le reportage photographique et je demanderai la garde exclusive des enfants. Pas besoin d’une grande plaidoirie, les images sont explicites, et je ne doute pas de sa décision. En outre, je te chasserai de cette maison et tu n’auras pas un sou.
- Puisque tu le veux, je m’incline dis-je entre deux sanglots. J’accepte ta proposition.
- Je te souhaite de retrouver le bonheur, en espérant que tu ne commettras pas deux fois les mêmes erreurs. Nous nous reverrons sans doute au tribunal.
De retour chez Julie, je me sens soulagé, le poids sur mes épaules a disparu. Dans ma tête, la situation est éclaircie. Je m’en ouvre à Julie.
Elle aussi est soulagée, et son sourire en dit long.
Je la prends dans mes bras et échangeons un baiser langoureux. Mon regard plongé dans le sien, nous nous dirigeons, enlacés, vers sa chambre. Je la déshabille, la caresse comme si je voulais cartographier son corps.
Elle me déshabille fébrilement, me jauge et, nus tous les deux, nous tombons sur le lit.
Pas de préliminaire : je m’introduis en elle, elle pousse un gémissement de plaisir.
Nous nous sommes trouvés et nous quittons ce monde pour rejoindre les étoiles.
***********MATHILDEIl a fallu que j’explique à mes enfants les raisons de cette séparation. La réunion a été douloureuse et terriblement éprouvante.
Ma fille n’a plus voulu me parler pendant deux mois m’accusant d’avoir détruit notre famille. Mon fils s’est refermé sur lui-même.
Je ne peux pas leur donner tort. Je les ai fait souffrir et pour cela aussi je m’en veux.
A la sortie du tribunal, Paul leur a expliqué que je restais leur mère et que le respect était de rigueur, qu’ils n’avaient pas à me juger et que cette histoire était un problème d’adulte. La meilleure attitude à adopter était de me soutenir, leur vie en serait plus belle car ils ne pouvaient douter de l’amour que je leur portais.
Il reste gentleman.
Paul n’a rien voulu entendre malgré mes supplications.
Je n’ai à m’en prendre qu’à moi-même. Je n’ai plus revu Lucie ni même entendu au téléphone. Elle n’est sans doute pas très fière. Je lui en veux de m’avoir poussé dans ce trou mais c’est bien moi qui ai finalement accepté. Moi non plus je n’ai pas essayé de la contacter mais au final, je suis la seule à payer.
EPILOGUEPaul a changé d’entreprise et est maintenant en poste à Nîmes. Julie l’a suivi et ils se sont mariés peu après que le divorce ait été prononcé.
Les enfants m’ont annoncé que sa nouvelle femme attendait un heureux événement. J’ai un pincement au cœur mais tant mieux pour lui s’il a retrouvé le bonheur.
Voilà. Je suis seule. Je n’ai pas refait ma vie, aucun homme que j’ai côtoyé depuis ce divorce ne m’a fait chavirer le cœur. J’ai évidemment des besoins que j’assouvis soit avec un amant de passage, soit au moyen de jouets appropriés. Mais ma vie reste un désert sentimental.
J’ai laissé échapper mon âme sœur, mon amour, mon homme Je n’ai qu’à m’en prendre à moi-même. Quel gâchis.
N’hésitez donc pas à me faire connaitre votre avis, vos critiques. Si vous le désirez, je vous transmettrai mon adresse mail, nous pourrons discuter des textes passés et des histoires futures.
Merci à ceux et celles qui m’ont envoyé leurs encouragements et leurs commentaires.
******Ceci est une fiction et les personnages sont inventés.
Résumé : Mathilde a trompé son mari au cours de vacances à la montagne. Son mari l’a surprise en mauvaise posture. Le temps des explications est maintenant venu. Elles seront douloureuses…
Je me réveille péniblement. Il fait sombre.
Je me souviens.
Les vacances, le chalet, mon amant.
Mon mari est parti, mon homme, celui que j’aime, mon âme sœur. Où est-il ? Que fait-il ?
Je tente de le contacter dix fois plutôt qu’une, chaque fois je n’ai que son répondeur. Je laisse des messages, de plus en plus suppliant. Le dernier : « Chéri, rappelle-moi. Je suis folle d’angoisse. Je t’aime »Pas de réponse. Pas d’appel malgré mes supplications.
Les jours suivants sont dantesques : tout juste si je bois un peu d’eau. Je tente de le contacter au bureau mais sa secrétaire me répète inlassablement qu’il est en mission et qu’il n’y a pas moyen de le contacter.
Je ne peux donc que l’attendre.
Samedi matin, la porte d’entrée s’ouvre. C’est Paul, mon cœur fait un bond.
- Chéri, c’est toi ? tu es revenu ?
- Oui, c’est moi comme tu peux voir. Tu dormais ?
- Je m’étais assoupie. Cela fait plusieurs jours que je ne dors pas ; je suis sur le sofa à t’attendre.
- Chéri, je suis sincèrement désolée de ce qui est arrivé. J’ai dérapé. Je ne me pardonnerai jamais ce que j’ai fait.
- Moi non plus je ne peux te pardonner.
- Pardon mon amour. J’ai perdu la tête. Ces hommes ne sont rien pour moi, je n’aime que toi.
- Je voulais te faire une surprise mais c’est moi qui ai été surpris.
- Mon chéri, laisse-moi t’expliquer. Ce n’est pas ce que tu crois.
- Est-ce bien nécessaire ? Je crois ce que je vois. Et j’ai vu une femme amoureuse, au restaurant, dans les bras d’un bellâtre, jouissante et éperdue de bonheur. Tu m’as complètement oublié.
- Oh.. Tu nous as vu au restaurant ? Et dans la boite de nuit ? Mais, comment.. ? Pardon, pardon. C’est vrai, je t’ai oublié un moment, mais j’étais hors de notre couple, hors du temps, hors de la réalité. Comme dans une bulle. Je ne voulais pas te tromper.
- Tu ne voulais pas mais tu as bien réussi.
- Pardon mon chéri, je t’ai fait souffrir, ce n’était pas mon intention.
- Je ne pourrai pas te pardonner. Je vois encore tes cabrioles avec ce bellâtre, l’embrasser à pleine bouche, te faire enculer sous tes cris de jouissance, écarter les cuisses …- Arrête, tu te fais du mal, tu me fais du mal.
Les larmes commencent à couler.
- Tu vois, je pense que cette histoire me montre ton vrai visage, à côté de la mère de famille aimante, l’épouse attentionnée, j’ai vu une salope se faire prendre par un inconnu dans toutes les positions et qui aimait cela. Ta vraie nature est apparue. Tu as ouvert une porte, libérer une libido que je ne soupçonnais pas, des comportements qui sont loin de mes valeurs, celles que je porte et celles que j’ai voulu inculquer à nos enfants.
- Non, non. Je ne suis pas comme cela. C’était une erreur, une monstrueuse erreur. Je sais que je n’ai aucune excuse mais je te demande au moins de pardonner à défaut d’oublier. Je n’aime que toi…- Cela ne s’est pas vu.
J’aurais peut-être pu pardonner une erreur passagère mais que se serait-il passé si je n’étais pas intervenu ?
Je ne te suffisais plus pour aller t’encanailler de la sorte ? Tu m’as trompé, menti et je me sens humilié. Aujourd’hui, tu as des remords. Mais de quoi exactement : de m’avoir trompé ou d’être démasquée ?
Tout à coup, Mathilde se rend compte ; c’est toi qui as pris ces photos ?
- Oui- C’est donc toi qui as pénétré dans le chalet ?
- Oui- C’est toi l’agresseur ?
- Ne renversons pas les rôles, c’est moi qui me suis senti agressé dans notre vie.
- Comment as-tu obtenu ces photos humiliantes ?
Paul lui raconte alors tout : ses doutes, son arrivée alors qu’ils partaient au restaurant, la boîte de nuit, le retour au chalet. Son regard est dur.
- Ma colère était telle que j’aurais pu les tuer à main nue. Je me suis enfui pour ne pas commettre l’irréparable.
- Pourquoi n’es-tu pas intervenu plus tôt ? Tu aurais pu éviter le pire !
- Cela va être ma faute maintenant. Tu ne manques pas d’air….
- Ce n’est pas ce que je voulais dire.
Le silence s’installe seulement entrecoupé de sanglots et de reniflements.
- En te revoyant, j’espérais que le fonds d’amour pour toi puisse reprendre vigueur mais mon dégoût et ma tristesse anéantissent tout sentiment pour toi. Je ne t’aime plus. Je ne ressens plus rien pour toi. Tu resteras seulement la mère de mes enfants. J’ai perdu toute confiance en toi, et sans confiance, il n’est pas possible de bâtir quoi que ce soit.
- Non, non ….laisse-moi une chance.
- Et dès qu’un bellâtre pointera le bout de son nez, tu recommenceras tes mensonges, tu me trahiras à nouveau ? Le plaisir interdit de l’adultère t’est à présent connu et tu y as goûté intensément. Tout repartira…- Ma décision est prise, nous allons divorcer. Je ne veux pas de batailles sordides vis-à-vis des enfants, je ne te veux pas de mal. Si tu es d’accord, nous divorcerons par consentement mutuel cela évitera l’étalage sordide de ta turpitude. Je te laisse la maison, nous partagerons équitablement la garde des enfants. Il t’appartiendra de leur expliquer. Enfin, je te verserai une pension raisonnable pour les frais liés à leur éducation.
- Tu peux bien entendu refuser cette proposition : dans ce cas, le juge appréciera le reportage photographique et je demanderai la garde exclusive des enfants. Pas besoin d’une grande plaidoirie, les images sont explicites, et je ne doute pas de sa décision. En outre, je te chasserai de cette maison et tu n’auras pas un sou.
- Puisque tu le veux, je m’incline dis-je entre deux sanglots. J’accepte ta proposition.
- Je te souhaite de retrouver le bonheur, en espérant que tu ne commettras pas deux fois les mêmes erreurs. Nous nous reverrons sans doute au tribunal.
De retour chez Julie, je me sens soulagé, le poids sur mes épaules a disparu. Dans ma tête, la situation est éclaircie. Je m’en ouvre à Julie.
Elle aussi est soulagée, et son sourire en dit long.
Je la prends dans mes bras et échangeons un baiser langoureux. Mon regard plongé dans le sien, nous nous dirigeons, enlacés, vers sa chambre. Je la déshabille, la caresse comme si je voulais cartographier son corps.
Elle me déshabille fébrilement, me jauge et, nus tous les deux, nous tombons sur le lit.
Pas de préliminaire : je m’introduis en elle, elle pousse un gémissement de plaisir.
Nous nous sommes trouvés et nous quittons ce monde pour rejoindre les étoiles.
***********MATHILDEIl a fallu que j’explique à mes enfants les raisons de cette séparation. La réunion a été douloureuse et terriblement éprouvante.
Ma fille n’a plus voulu me parler pendant deux mois m’accusant d’avoir détruit notre famille. Mon fils s’est refermé sur lui-même.
Je ne peux pas leur donner tort. Je les ai fait souffrir et pour cela aussi je m’en veux.
A la sortie du tribunal, Paul leur a expliqué que je restais leur mère et que le respect était de rigueur, qu’ils n’avaient pas à me juger et que cette histoire était un problème d’adulte. La meilleure attitude à adopter était de me soutenir, leur vie en serait plus belle car ils ne pouvaient douter de l’amour que je leur portais.
Il reste gentleman.
Paul n’a rien voulu entendre malgré mes supplications.
Je n’ai à m’en prendre qu’à moi-même. Je n’ai plus revu Lucie ni même entendu au téléphone. Elle n’est sans doute pas très fière. Je lui en veux de m’avoir poussé dans ce trou mais c’est bien moi qui ai finalement accepté. Moi non plus je n’ai pas essayé de la contacter mais au final, je suis la seule à payer.
EPILOGUEPaul a changé d’entreprise et est maintenant en poste à Nîmes. Julie l’a suivi et ils se sont mariés peu après que le divorce ait été prononcé.
Les enfants m’ont annoncé que sa nouvelle femme attendait un heureux événement. J’ai un pincement au cœur mais tant mieux pour lui s’il a retrouvé le bonheur.
Voilà. Je suis seule. Je n’ai pas refait ma vie, aucun homme que j’ai côtoyé depuis ce divorce ne m’a fait chavirer le cœur. J’ai évidemment des besoins que j’assouvis soit avec un amant de passage, soit au moyen de jouets appropriés. Mais ma vie reste un désert sentimental.
J’ai laissé échapper mon âme sœur, mon amour, mon homme Je n’ai qu’à m’en prendre à moi-même. Quel gâchis.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On joue, on gagne quelques soirées hot 🥵 puis on se fait attraper la main dans le pot de nutela … cela arrive et tres souvent dans 90% des cas ca finit en divorce…. Et les femmes seules tres souvent dans la quarantaine je les retrouve dans mon cabinet quand par chance elle arrive a refaire leur vie avec homme bien plus agé qui veut préserver ses acquis financiers …. Sur ce site je lis un grand nombre d’histoires ou les maris acceptent leur statut de cocu voire deviennent caudaliste… cela m’amuse et ne reflète que le fantasme de quelque uns 😉 en tout cas ces choses de la vie me permettent de vivre très bien Geneve! Je suis avocat 🥑😎 donc vive les femmes infidèles qui se font attraper!!!
La fin est trop rapide mais in fine chacun part de son côté…. Pour le coup et a ma grande surprise j aurais bien vu un retour en grace de l’infidèle apres une grosse periode de galère
Voilà ce qui arrive quand on a le feu au cul un jour où l autre on vous présente l adition.