Plaisirs lesbiens 1
Récit érotique écrit par Florence3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Plaisirs lesbiens 1
<p>Cette histoire m’est arrivée courant du mois de janvier. Je sortais assez tardivement de mon agence bancaire dont je suis la responsable. Une femme prénommée Emma m’accostait en furie au moment de monter dans ma voiture. Je lui avais refusé un prêt dans l’après midi. J’essayais de la calmer mais cela était difficile. Elle se fit menaçante et m’obligeait à la prendre en voiture. Chose que j’acceptais sans trop réfléchir et un peu obligé.
- Tu n’as pas de problèmes me lançait elle. T’es « une bourgeoise de banquière » me dit-elle. Regarde comment tu es habillée !
- Je lui souriais et lui répondit que » l’habit ne faisait pas le moine ».
Il faut dire qu’Emma était une belle brune aux cheveux longs, assez élancée d’un 170m avec une belle paire de seins 95b. Moi avec la visite de mon chef et d’un client important j’étais vêtue sexy comme on dit. Je portais un tailleur assez échancré un soutien gorge balconnet, tanga, dim up et escarpin.
Tu sais, comme je suis à pied tu vas me ramener chez moi. Pendant la route, le dialogue s’installait. Je lui dis de m’appeler Florence pour détendre l’atmosphère. On discutait de choses et d’autres quand tout à coup sa main se posait sur mon genou. Tu sais que tu me plais. Je ne savais que faire sachant que je n’avais aucune expérience féminine. Je continuais la route. Sa main devenait plus précise et remontait ma jupe.
- Madame la banquière est vêtue comme une salope pour aller travailler. Regardez cela, elle porte des dim up à résille et un beau tanga. Sa main frottait mon clitoris au travers du tissu.
Je devenais rouge de honte et je dois reconnaître qu’Emma me faisait de l’effet.
- Ta culotte s’humidifie on dirait ma belle. Tu n’es pas insensible à mon charme alors. Je la suppliais d’arrêter. Tu rigoles, Florence, cela ne fait que commencer pour toi ma chérie. Tu vas venir chez moi que je m’occupe de toi, de ton corps. J’étais stigmatisé, stupéfaite à l’idée des plaisirs lesbiens. Elle s’approcha de moi pour m’embrasser et me peloter les seins. Dans un mouvement brusque de défense le bouton de tailleur sauta, laissant entrevoir le début de ma poitrine. Tu as une jolie paire de seins ma chérie. Il faut la mettre en valeur, elle ouvrait plus mon tailleur. Heureusement qu’il faisait nuit mais je m’exhibais au volant. Tourne à droite et gare-toi là. On arrive chez moi. Par la force des choses je m’exécutais car elle avait pris mon sac à main. Je la suivais mécaniquement les seins pratiquement à l’air.
A peine la porte fermée qu’elle m’embrassait goulument et en profitait d’une main habile pour détacher mon soutien gorge et libérer mes nichons. Je reconnais que mes tétons étaient tout droits. Emma en profitait pour malaxer mes seins et pour me les lécher. Elle fit cela merveilleusement bien que je commençais un râle de plaisir tout en me cambrant. C’est que tu aimes ça ma salope. Je répondais par l’affirmative en hochant de la tête. En deux temps trois mouvements sans prêter garde ma jupe et mon tanga se retrouvaient à mes pieds. J’étais livrée à Emma nue juste en dim up. Tu vas rester dans cette tenue de pute me lança t’elle. Je compris que la nuit risquait d’être longue. Je vais juste t’attacher avec mes menottes aux pieds du lit pour ne pas que tu partes ma salope, le temps que je me prépare. Mais avant je vais installer sur tes tétons des cloches aspirantes pour mieux m’en occuper après. J’étais soumise à ma cliente… Sous l’effet de ces dernières, je sentais mes tétons grossir de plus en plus tout en exerçant une sensation de bien être. Je commençais à mouiller. Apres une courte douche, Emma revenait nue avec un beau gode ceinture attaché à la taille. Je vais jouer avec toi ma salope. Je pense que tu ne vas pas le regretter. Elle me détacha et m’installa sur son lit. Sa main caressait mon entrejambe tout mouillé. Hum je vois que tu aimes Florence. Elle se mit à me peloter mes seins tout en pinçant et mordillant les bouts bien ressortis. J’étais allongée sur le dos livrée à Emma jambe écartée en grand. Elle ne se privait pas pour descendre vers ma chatte humide tout en s’attardant sur mon nombril. Ton clitoris ne demande qu’à être décalotté et je vais m’en occupée maintenant ma banquière chérie me lançait elle. Je lui répondais fait comme bon te semble ma chérie. Tout d’un coup, Emma fait tourner un doigt pour bien l’exciter puis glisse plusieurs doigts entre mes lèvres et entre dans ma chatte toute humide. Ma « tortionnaire » se met à bouffer ma chatte. Je commence à être dans un état second. Je suis sous son emprise. Je jouis. Mon clitoris est en feu. Un terrible orgasme survient. Je suis une véritable fontaine. Oh Emma que fais tu pour je jouisse comme cela. Va y continue. Elle maltraite mes nichons pour que je revienne plus vite de mon orgasme tout en m’embrassant. Allez ma pute mets toi à quatre pattes que je t’enfile comme une perle. Je m’exécutai et sans demander son reste elle m’enfilait au plus profond de moi avec son gros gode. J’ondulais de plaisir. Je lui disais vas y défonce moi Emma. Oui continue. Elle accélérait ses vas et viens. Mes seins ballotaient. Je criais ma jouissance. Elle claquait mon fessier et me disait on fait moins la maline hein. T’es bien prise. Tu aimes. Je lui répondais oui beaucoup pour une première fois c’est super. Je voudrais te rendre ce que tu m’as donné. Oui c’est bien me dit elle fièrement mais la nuit va être longue chérie pour toi. Ecoute je veux que tu m’apprennes Emma. Florence, tu es ok pour tout même la sodomie etc.….
Oui Emma.
Toute la nuit Emma se déchainait sur mon corps. Que ce fut bon. Je dormais chez elle. Le plus difficile fut d’aller travailler le samedi matin…. et lui promettais de revoir mon jugement pour obtention de son prêt.
La suite………..
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- Tu n’as pas de problèmes me lançait elle. T’es « une bourgeoise de banquière » me dit-elle. Regarde comment tu es habillée !
- Je lui souriais et lui répondit que » l’habit ne faisait pas le moine ».
Il faut dire qu’Emma était une belle brune aux cheveux longs, assez élancée d’un 170m avec une belle paire de seins 95b. Moi avec la visite de mon chef et d’un client important j’étais vêtue sexy comme on dit. Je portais un tailleur assez échancré un soutien gorge balconnet, tanga, dim up et escarpin.
Tu sais, comme je suis à pied tu vas me ramener chez moi. Pendant la route, le dialogue s’installait. Je lui dis de m’appeler Florence pour détendre l’atmosphère. On discutait de choses et d’autres quand tout à coup sa main se posait sur mon genou. Tu sais que tu me plais. Je ne savais que faire sachant que je n’avais aucune expérience féminine. Je continuais la route. Sa main devenait plus précise et remontait ma jupe.
- Madame la banquière est vêtue comme une salope pour aller travailler. Regardez cela, elle porte des dim up à résille et un beau tanga. Sa main frottait mon clitoris au travers du tissu.
Je devenais rouge de honte et je dois reconnaître qu’Emma me faisait de l’effet.
- Ta culotte s’humidifie on dirait ma belle. Tu n’es pas insensible à mon charme alors. Je la suppliais d’arrêter. Tu rigoles, Florence, cela ne fait que commencer pour toi ma chérie. Tu vas venir chez moi que je m’occupe de toi, de ton corps. J’étais stigmatisé, stupéfaite à l’idée des plaisirs lesbiens. Elle s’approcha de moi pour m’embrasser et me peloter les seins. Dans un mouvement brusque de défense le bouton de tailleur sauta, laissant entrevoir le début de ma poitrine. Tu as une jolie paire de seins ma chérie. Il faut la mettre en valeur, elle ouvrait plus mon tailleur. Heureusement qu’il faisait nuit mais je m’exhibais au volant. Tourne à droite et gare-toi là. On arrive chez moi. Par la force des choses je m’exécutais car elle avait pris mon sac à main. Je la suivais mécaniquement les seins pratiquement à l’air.
A peine la porte fermée qu’elle m’embrassait goulument et en profitait d’une main habile pour détacher mon soutien gorge et libérer mes nichons. Je reconnais que mes tétons étaient tout droits. Emma en profitait pour malaxer mes seins et pour me les lécher. Elle fit cela merveilleusement bien que je commençais un râle de plaisir tout en me cambrant. C’est que tu aimes ça ma salope. Je répondais par l’affirmative en hochant de la tête. En deux temps trois mouvements sans prêter garde ma jupe et mon tanga se retrouvaient à mes pieds. J’étais livrée à Emma nue juste en dim up. Tu vas rester dans cette tenue de pute me lança t’elle. Je compris que la nuit risquait d’être longue. Je vais juste t’attacher avec mes menottes aux pieds du lit pour ne pas que tu partes ma salope, le temps que je me prépare. Mais avant je vais installer sur tes tétons des cloches aspirantes pour mieux m’en occuper après. J’étais soumise à ma cliente… Sous l’effet de ces dernières, je sentais mes tétons grossir de plus en plus tout en exerçant une sensation de bien être. Je commençais à mouiller. Apres une courte douche, Emma revenait nue avec un beau gode ceinture attaché à la taille. Je vais jouer avec toi ma salope. Je pense que tu ne vas pas le regretter. Elle me détacha et m’installa sur son lit. Sa main caressait mon entrejambe tout mouillé. Hum je vois que tu aimes Florence. Elle se mit à me peloter mes seins tout en pinçant et mordillant les bouts bien ressortis. J’étais allongée sur le dos livrée à Emma jambe écartée en grand. Elle ne se privait pas pour descendre vers ma chatte humide tout en s’attardant sur mon nombril. Ton clitoris ne demande qu’à être décalotté et je vais m’en occupée maintenant ma banquière chérie me lançait elle. Je lui répondais fait comme bon te semble ma chérie. Tout d’un coup, Emma fait tourner un doigt pour bien l’exciter puis glisse plusieurs doigts entre mes lèvres et entre dans ma chatte toute humide. Ma « tortionnaire » se met à bouffer ma chatte. Je commence à être dans un état second. Je suis sous son emprise. Je jouis. Mon clitoris est en feu. Un terrible orgasme survient. Je suis une véritable fontaine. Oh Emma que fais tu pour je jouisse comme cela. Va y continue. Elle maltraite mes nichons pour que je revienne plus vite de mon orgasme tout en m’embrassant. Allez ma pute mets toi à quatre pattes que je t’enfile comme une perle. Je m’exécutai et sans demander son reste elle m’enfilait au plus profond de moi avec son gros gode. J’ondulais de plaisir. Je lui disais vas y défonce moi Emma. Oui continue. Elle accélérait ses vas et viens. Mes seins ballotaient. Je criais ma jouissance. Elle claquait mon fessier et me disait on fait moins la maline hein. T’es bien prise. Tu aimes. Je lui répondais oui beaucoup pour une première fois c’est super. Je voudrais te rendre ce que tu m’as donné. Oui c’est bien me dit elle fièrement mais la nuit va être longue chérie pour toi. Ecoute je veux que tu m’apprennes Emma. Florence, tu es ok pour tout même la sodomie etc.….
Oui Emma.
Toute la nuit Emma se déchainait sur mon corps. Que ce fut bon. Je dormais chez elle. Le plus difficile fut d’aller travailler le samedi matin…. et lui promettais de revoir mon jugement pour obtention de son prêt.
La suite………..
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