Soumise 1 - histoire érotique

<p>Martine allait ouvrir. C’était Ali et Youssouf qui nous rendaient visite. Tu ne t’ennuies pas pendant notre absence. Elle est juste en dim up. En l’embrassant les garçons profitaient d’elle. Ou est Florence demanda Youssouf. Je vous l’ai préparé cette salope spécialement pour vous lança ma copine. Il rentrait dans ma chambre. Viens voir Ali. En effet, le plug dans mon cul m’avait particulièrement excité. J’étais bien mouillée. Mes seins me tiraient un peu. En effet Martine nous devons reconnaître qu’elle est bien dans cette position cette pute. Nous t’en sommes reconnaissant. Avec ton bâillon tu ne peux rien dire salope me dit Ali. Je ne pouvais qu’esquisser des yeux. Youssouf pris à pleine main mes seins. Tu as une belle poitrine ma cochonne. Il la laissait retomber dans le vide. Avec les pinces cela me faisait mal. J’avais mes tétons endoloris. Ali dit à Martine « on va passer au choses sérieuses » ma belle. Retire lui ce plug et que j’enfile direct notre salope de Florence. Ali se positionna et n’eut aucun mal à m’enculer. Mon cul lui était offert. Il le tapotait bien. Pendant ce temps, Youssouf continuait avec mes seins et Martine le suçait. Il dit à son copain « elle n’ est pas belle la vie » en souriant. Oui tu as raison répondait Ali. J’était prise de partout. Sous la contrainte je me cambrais plus encore. Je jouissais fort quand Ali versait son sperme au plus profond de moi. « T’es une véritable petite chienne » me dit Ali. Ce dernier m’enlevait mon bâillon. J’ haletais. Martine, elle recevait le sperme de Youssouf. N’avale pas lui ordonna il. Tu vas rouler une pelle à notre pute. Je veux que vous partagiez mon sperme mes salopes. Elle s’exécuta et nous nous embrassions bien fort tout en avalant cette liqueur. Ali dit » regarde comme c’est beau deux gouines qui s’embrassent ». Youssouf pris mon amie et lui ordonna de me nettoyer le cul et la chatte. Elle fit cela avec application. Continue ma belle chatte moi bien …. Tu va te vider ma salope. Chose qui ne tardait pas à venir. Je jouissais. Je criais de plaisir. Les hommes intervenaient. Fini les filles, la soirée n’est pas terminée. Ali me retirait les pinces et la barre de contrainte. Il me roulait une pelle tout en tapotant mon cul. On allait prendre une douche. « Ou va t’on ce soir »demanda Martine. Tu verra bien et enfile cette tenue. Il lui avait amener une robe à lacets. Elle mettait sa poitrine en évidence. N’oublie Martine, même si on était content de toi pour l’instant que tu dois finir de payer ta dette ma pute de factrice. Elle était nue dessous. Quand à toi, Florence tu vas enfiler ce string noir et cette mini robe noire ajourée que l’on va nouer sur ta belle poitrine. Vos deux poitrines de salopes ainsi que vos culs sont en évidence c’est parfait. Ali m’embrassait et je lui pris sa queue. Il bandait fort ce salaud. Il me dit à l’oreille « elle est pour toi ce soir ». Youssouf qui était derrière moi et me mit un collier en latex. Viens là Martine toi aussi on va te mettre un collier. Comme cela on n’est certain de ne pas vous perdre en nous attachant toutes les deux nous disait il en rigolant. Ali allait dans ma cuisine et revins avec une bouteille de champagne et des gâteaux. On va fêter ce début de soirée et vous n’allez rien regretter mes salopes. On buvait et mangeait. Allez Youssouf emmène ces deux chiennes en voiture. Nous étions installées derrière en laisse. Nous allons rendre visite à des amis mes chéries nous dit Ali. Vous n’allez pas le regretter. Il y aura ma sœur et vous devrez l’écouter mes « putes blanches » car ce soir les blacks vont vous défoncer. Ce sera votre punition. On te remercie de ta bêtise encore Martine. On arrive et Ali nous sortait en laisse. Je vous présente ma sœur Léla. Une belle noire bien élancée avec de belles et longues jambes et un beau 95d au moins. Sa sœur était vêtue d’une guêpière en vinyle noire seins nus ainsi que de bas reliés à son porte jarretelle. Sa poitrine était mise en valeur. Magnifique s’exclama cette dernière. Mettez vous à quatre pattes mes deux chiennes. On s’exécuta Martine et moi Je vous emmène vers vos niches nous dit Léla en rigolant. Nos culs étaient à l’air. Elle en profitait pour nous le tapoter. On arrivait dans la pièce. Debout nous ordonna t’elle. Léla nous attachait à une croix. Je vais vous préparer mes deux putes. Pendant qu’elle dénudait Martine, elle me fit mettre à genoux. Mange moi le clito me dit elle. Fais moi jouir et plus je jouirai plus ta copine jouira aussi tu piges Florence. Je jouais avec son clito. Je le happais, le titillais. L’effet ne se fit pas attendre. Continue je jouis vas y pendant ce temps elle maltraitait les seins de Martine en tirant sur ses bouts. Elle hurlait. Tu mouilles chérie et plus elle jouissait et plus ma copine criais. Oui elle lui rentrais un puis deux et même trois doigts dans sa chatte toute humide. Je buvais la mouille de Léla, tellement elle était devenue une fontaine. Martine la suppliait d’arrêter. Mais tu es folle ma salope ce soir tu vas être défoncer comme une bonne blanche dois l’être. Elle appela son frère Ali. Débarrasse moi de cette bourgeoise de Martine. Ali l’emmena.
Léla me fit relever. Elle m’attacha à la croix. Tu m’as bien fais jouir. Je te promets Florence que je vais te rendre la monnaie de ta pièce. J’étais offerte à elle. Léla dénoua ma robe et mes seins étaient à sa disposition. Je vais jouer avec tes nichons ma salope. Elle me les pétrissait tout en tirant sur les tétons. Hum je ne pouvait que me cambrer. Tu aimes hein ma pute me lançait elle. Je lui répondait par l’affirmative. Léla tirait et pinçait plus fort mes bouts. Je criai de douleur tout en gémissant de plaisirs. Ma chatte s’humidifiait. Sa main descendit mais tu es toute mouillée ma salope. Je répondait par l’affirmative. Elle décalotta mon clito et m’introduis un puis deux doigts dans ma chatte. Je râlai mon plaisir. Léla se mit à genoux me léchait ma vulve tout en introduisant un doigt dans mon anus. Elle le faisait tourner. Je jouissait ,la suppliait d’arrêter mais cela était peine perdu. Maintenant que je t’ai bien préparé, je vais t’amener vers mon frère. Ils vont te finir, t’humilier petite salope. J’en rigole d’avance. Avant je vais te mettre un soutien gorge seins nus en latex. Comme ça tu ressembles plus à une pute qui mets ses nichons en évidence. Je vais te remettre ta laisse et je t’emmène vers eux. On arrivait et Ali me prie. Alors tu as bien joui avec ma sœur paraît il. Regarde ta copine en peut plus. Elle est défoncée de partout cette grosse pute. Il l’avait attaché à genoux en croix au pied du lit avec un bâillon dans la bouche. Ses seins étaient bien rouge et avaient des petits poids masseur dans son cul. Ce dernier fonctionnait à distance et elle se tordait dans tous les sens. Youssouf arrivait vers moi avec 1 copain nommé Fuad bien monté. Ce soir ma salope en plus de ta mission, tu vas dépuceler mon frère Coffie âgé 13ans ici présent. Pour son âge, je remarquais qu’il était bien monté. Ali dit regarde comme on les traite « les blanches ». ceux sont des grosses salopes. Il me fit mettre à genoux. Suce Youssouf correctement qu’il baise ma sœur. Pas crainte je m’exécutais tandis que Coffie me pétrissait les seins. Fuad prit le petit « en main « . C’est pas comme cela qu’il faut faire. Tu suces comme cela, tu tires ses tétons, tu pinces ou tu malaxes bien fort. Toutes ces manipulations me rendaient folles et ma chatte coulait. Il prit sa main et inspecta ma chatte. Regarde petit, on lui fait un bien fou elle mouille comme une pute. Fuad entreprit de me lécher tout en fouillant mon intérieur avec 1 puis deux et trois doigts. Je criais de plaisirs. Il me mit en position levrette m’enfournait d’un coup sec. Il me ramonait pendant de longues minutes et moi je suçais toujours la bite de Youssouf. Ce dernier se retirait pour aller vers Léla qui n’attendait que cela. Elle avait enlevé le bâillon à Martine pour qu’on l’entende jouir ou lui fourrer une bite dans la bouche. Fuad accélérait la cadence. Il me prenait les cheveux m’obligeant à bien me cambrer. Ses couilles tapait mon fessier. Je jouissais. Oui vas y défonce moi. Continue. Ali me demandait d’arrêter d’hurler et en profitait pour me mettre sa queue dans la bouche. Allez prends ca. Il me défonçait la bouche. Tandis que s’en que l’on lui demande quoi que ce soit Coffie jouait avec mes nichons comme on lui avait apprit. Je ne savais plus ou j’étais. Je prenais un plaisir maximum. Ma respiration était très haletante. Tout à coup, Fuad se mit à jouir. Il me fit mettre sur le dos et arrosa mon visage et ses seins de sa semence toute chaude. Il interpella « le petit ». regarde cette pute, elle en redemande. Léla va lui nettoyer sa chatte et après tu deviendra un homme un vrai lui dit il en rigolant. Cette dernière m’embrassa fougueusement et se mit à me nettoyer les seins tout d’abord. Elle jouait parfaitement avec eux. Alternativement elle me suçait et mordillait. Puis elle entreprit ma toilette intime. Je prenais mon pied. Coffie la remplaçait. Vas y pénètre cette salope lui ordonna Youssouf. Chose qu’il fit très bien dans la mesure que j’étais bien trempée. Ce jeune puceau ne tarda pas à décharger, tellement l’envie était forte. Il arrosa mon pubis de sa semence. Il était heureux. Léla venait me nettoyer la chatte tout en malaxant mes seins. Je jouissais très fort. Tellement l’orgasme était fort, que je ne savais plus ce que je faisais. Regarde Coffie dit Fuad on va lui faire une double à cette pute. Ils me mirent en position Ali dans ma chatte et Fuad dans mon cul. Je criais autant de douleurs que de plaisirs. Mon corps leur appartenait. Coffie pinçait et tirait sur mes tétons. Youssouf avait englouti sa queue dans ma bouche. J’étais dans un état second. Je jouissais. Ils se retirèrent de moi et les uns après les autres ils m’inondèrent de leur sperme bien chaud. J’avais du foutre partout. Léla me prit par la main et me dit « Allez salope viens par ici. Elle me mit sous la douche et me nettoya avec de l’eau froide. Cela me permit de retrouver mes esprits. Elle me caressait le bout des seins. Chose qui me faisait de nouveau de l’effet. Je la suppliait de stopper car je n’en pouvais plus. Elle acceptait à condition que je sois entièrement à elle le lendemain. Je lui fis la promesse. Elle me remit mon collier et m’installait sur le lit. Je pus enfin dormir un peu. Quand la porte s’ouvrit le matin. C’était Léla….


</p>