Plus on est de fous… Après soirée.2/2

- Par l'auteur HDS Faustine -
Récit érotique écrit par Faustine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Plus on est de fous… Après soirée.2/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Plus on est de fous… Après soirée.2/2
Note des auteurs.
Chaque jour on découvre de nouveaux cas où les femmes ont été maltraitées, battues, punies, abusées, violées. Ces événements affreux font que les mots comme Soumission et Domination naturellement inclus dans les pratiques SM et BDSM, que déjà beaucoup trouvaient "limites" sont maintenant des infamies jugées à l'aune de ce que la presse nous révèle. Et pourtant, si il y a des expériences sexuelles ou la femme a bien son mot à dire ce sont celles-ci. Il y a toujours accord de la Soumise ou du Soumis pour se livrer à un Maitre, Maitre qui peut être un amateur, mari, épouse (On oublie souvent que beaucoup d'hommes aiment aussi le rôle de Soumis à une Maitresse ou un Maitre) ou amant, ou plus souvent un "extérieur avec de l'expérience". Les mots "Non… Arrêtez…Je ne veux plus…" et bien d'autres suffisent à tout arrêter. La confiance donnée peut être retirée à chaque instant.
Le plaisir et la jouissance ne sont pas toujours facile à atteindre pour certains d'entre nous. Le fantasme ne suffit pas toujours. Il faut plus fort, parfois plus rude, parfois humiliant mais c'est le choix de chacun.




Résumé.
La femme de Benoit est partie il y a six mois. Pourtant ils formaient un couple avec une sexualité épanouie qu'ils partageaient avec des familiers. Ce soir c'est de la fête de la rue et il y va seul pour faire figuration mais se fait aborder par une jeune femme, fille d'une voisine qui a découvert que le couple pratiquait la domination. Elle demande à Benoit de la prendre sous son aile de Maître. Après avoir hésité il accepte et bien vite s'aperçoit que Clarisse est une candidate prometteuse.
Maryse, l'épouse qui était partie revient à l'improviste et découvre que son mari apprivoise une nouvelle Soumise. Mais cela fait deux avec son retour. Qui a dit que jamais deux sans trois…

.......Je crie et nu comme un vers, la bitte qui se balance, je cours vers elle…—Maryse…Elle devait attendre que je réagisse car elle ne s'est pas éloignée de beaucoup.
—Allons, viens…Je suis content de te voir…—On ne le dirait pas.
Elle proteste mais accepte de revenir dans cette pièce que nous avons imaginée et réalisée tous les deux, à une époque où nous étions synchrones, complices…—Je ne m'attendais pas à ta visite.
—Je vois.
Et d'un geste de la main elle me montre le meuble ou Clarisse est installée.
—Tu es injuste. Tu oublies que c'est toi qui est partie et depuis 6 mois.
—Je sais. Je reconnais que je ne suis pas de bonne foi. Mais, je ne sais pas, j'espérais autre chose.
—Mais quoi ?
—Rien…C'est juste que je me suis souvenue que c'était la fête des voisins… Des souvenirs sont remontés…—C'est bien normal.
—Non, c'est pas normal, je pensais avoir tiré un trait sur tout cela..
D'un geste elle montre la pièce qui doit concrétiser toutes ses pensées.
— Tu as fait un autre choix.
—Je croyais. Mais je me suis peut être trompée.
—Mais, qu'est-ce que tu dis ?
—Si je voulais revenir, tu accepterais ?
—Mais…—Je comprendrais ton refus. Je t'ai quitté. Je n'avais rien vraiment à te reprocher…—Si, si, j'ai conscience que je ne m'occupais plus de toi comme mon épouse. Et que….
—Ne me cherche pas d'excuses.
—Comme tu veux, mais je serais heureux si tu revenais.
—Tu pourrais m'en vouloir !
Je la prends dans mes bras. On s'enlace pendant de longues secondes. Que c'est bon ! Et puis j'ajoute, taquin, n'étant pas plus à l'aise dans ces moments de tendresse que par un simple "Je t'aime" :—Oui, je t'en veux et pour cela je vais te punir. Crois-moi il y a matière.
Je pense : Pomponnette est de retour. Je ne suis pas "le Boulanger" de Pagnol qui déverse sur sa chatte tout ce qu'il ne dit pas à son épouse de retour après s'être enfuie avec un jeune bellâtre. Moi je suis son Maitre qui va trouver, dans ce retour, des idées pour des scénarios ou chacun va y trouver son plaisir.
Je ne suis pas inconscient au point d'ignorer que cette parenthèse ne va pas s'effacer par une plaisanterie. Il est trop tôt pour "purger" tout ce que j'ai sur le cœur, mais ce n'est pas le moment, pas le lieu.
Mais je pense aussi avec une certaine fierté que Maryse me revient. Elle quitte un homme plus jeune dont elle se disait amoureuse pour son mari. Je ne serai plus le cocu que l'on plaint. Je serai au pire un cocu qui pardonne mais surtout un homme qui s'est "mesuré" à un plus jeune et qui pourtant a gagné.
Elle sent à mon ton que je cherche à tourner la page. Elle ajoute aussi sur le même ton :—Oui, j'ai été très méchante….
Nous nous séparons.
—Et c'est qui celle-là ?
Elle demande, reprenant le rôle d'épouse comme si elle ne l'avait pas quitté un instant.
—Tu ne la reconnais pas ?
—Je devrais ?
—Oui De là où nous sommes elle ne peut voir que ce corps allongé, le visage étant caché par le carcan et l'écran toujours en marche, trop petit pour qu'elle puisse identifier la femme.
Elle s'approche. Sa surprise est totale.
—Clarisse ? C'est toi Clarisse, mais qu'est-ce que tu fais là ?
Et inquiète elle se tourne vers moi.
—Benoit qu'est-ce que tu as fait ? Tu as appris que c'est elle qui a effacé tes photos et tu te venges. Mais tu ne peux pas faire cela.
—Je souris.
—Mais c'est grave. Ce n'est pas comme avec moi ou une autre volontaire….Tu la retiens prisonnière et tu l'as…Oh mon Dieu…Tu l'as …Cela va trop loin, trop vite.
— Non, rassure-toi. Clarisse dit lui que…—Madame, Madame, il n'a rien fait. C'est moi qui ai demandé !
—Demandé ?
—Chérie. Calme-toi. Je vais t'expliquer.
—Vous pourriez me libérer peut être ? Demande celle qui est prisonnière.
—Tais-toi ou je te fais fouetter par Maryse. Quand elle va savoir…—Savoir quoi ? Me demande ma femme.
—Assied toi, je vais t'expliquer.
Et je lui explique.
—Quoi elle avait gardé une copie ? Mais…Mais…J'avais confiance moi…Et je continue. Chaque instant est ponctué d'un ou plusieurs mots comme si elle avait besoin de les prononcer pour bien comprendre:—Devenir ta Soumise !!! Un plug vibrant !!! Dans la rue !!! Une analyse !!! Au parking !!!!
Au moment où je parle de Max, son visage s'éclaire. J'en suis presque jaloux. On pourrait penser qu'elle est revenue pour lui, du moins, aussi pour lui.
—Max, oh Max !!! Le coin piquenique !!! Tous les deux, oh !!!
Lorsque j'aborde notre retour, elle a tout sous les yeux….
—Tout ça en quelques heures ! Et ben, elle est motivée la … Mais comment on va faire maintenant que je suis revenue ????
—Moi je propose déjà qu'on arrose ton retour. Je vais chercher du champagne.
— C'n'est pas un peu tard ou même trop tôt pour boire.
Maryse montre la pendule. Elle indique 2 heures.
—Il n'y pas d'heure pour célébrer le retour de Pomponnette.
Maryse comprends mon allusion. J'imagine que pour Clarisse, Pagnol est d'un autre monde. J'ajoute :—Détache Clarisse.
—Tu crois qu'elle mérite le champagne ?
—Le Maitre ici, c'est moi. J'ai bien peur que ces 6 mois te l'aient fait oublier.
—C'est vrai. J'obéis…Alors que je monte à l'étage, je réfléchis, comment faire pour sortir par le haut de ce télescopage. Deux Soumises. Ciel !
Et puis le Dieu des pervers vient à mon secourt !
Lorsque je redescends avec le champagne et de quoi grignoter, les émotions cela creuse, Maryse a détaché Clarisse et lui a même fournis un peignoir pour cacher cette nudité qui doit la troubler. Si ma femme, pardon mon Ex n'a pas à rougir de son corps celui de ma nouvelle Soumise affiche une jeunesse et une fraicheur que ses nouvelles aventures n'a fait que rendre encore plus rayonnant..
En silence j'installe le plateau. Un Maitre qui sert ses Soumises… On bavarde.
J'écoute avec délice mon Ex me conter combien pendant ces six mois, petit à petit je me suis retrouvé entre elle et son jeunot. Que même si le gars assurait, tout cela (elle fait un grand geste de la main qui enveloppe la pièce) lui manquait. Que la jeunesse c'est bien, mais que la perversité et le vice sont des piments dont il est difficile de se passer. Et puis, alors que la présence de Clarisse semble la déranger pour parler, elle m'avoue qu'elle s'est aussi trompée sur les sentiments qu'elle pensait avoir pour le gars, que la nouveauté l'avait éblouie et que c'est moi qu'elle aime encore.
Pomponnette, par cet aveu, tire un trait sur sa trahison. Ce n'est déjà pas facile de faire toutes ces confidences à son mari, mais le faire en présence d'une autre femme, plus jeune, renversant ainsi les rôles et Soumise de surcroit doit lui peser. Mais elle assume.
—Et toi, dis-je à Clarisse, raconte un peu tes aventures.
Elle raconte.
Si jeune et déjà si blasée ! Il faut dire que ses parents, sans vraiment le vouloir et malgré tout l'amour qu'ils ont pour elles, lui ont montré très jeune une vision de la sexualité qui n'a pu que la troubler.
Sa mère accumulant les compagnons depuis le départ de son père. Une mère qui à la jouissance bruyante et qui, sans le vouloir, a attiré l'attention d'une jeune adolescente au point qu'elle a cherché à découvrir en espionnant ce qui pouvait bien déclencher tant de cris.
Un père qu'elle a surpris il y a peu de temps avec deux hommes, se faisant prendre par l'un pendant qu'il en suçait un autre. A cet aveu le regard de Clarisse semble me parler en silence. Elle doit penser à ce qu'elle a subit entre moi et Max il y a pas si longtemps, mais aussi probablement a la vidéo ou elle m'a vue me faire enculer par un homme. Le petit sourire en fait une charmante complice.
Maryse se charge de la pousser dans ses retranchements afin qu'elle nous parle de ses expériences mais aussi comment elle a réagi en voyant les vidéos qu'elle avait piratées.

—Maitre, je peux prendre une douche ? Je me sens toute poisseuse.
Cette remarque pourrait paraitre anodine, mais en réalité elle est chargée de questionnement. Cette gamine n'est pas qu'une écervelée qui veut du plaisir. Elle a compris toute la subtilité de ce qui peut paraitre grossier et brutal a des personnes mal inspirées.
Me poser cette question en tant que Soumise c'est me dire que malgré le retour de ma femme elle espère bien continuer sa "formation". C'est aussi une façon de montrer à Maryse qu'il faut compter avec elle.
Deux Soumises. Complication ou nouvelles perspectives ?
—Oui. Tu peux.
Son sourire c'est un "merci" muet.
Elle se lève et se dirige vers la douche, ce vaste espace que ma femme et moi avions imaginé, ouvert aux regards de tous comme pour démontrer que même la toilette est propice à l'érotisme.
Le peignoir est abandonné. Elle trouve tout de suite le bon réglage, température, multi jet. Chaque fois, je nous félicite d'avoir prévu la séparation vitrée assez éloignée afin qu'elle ne soit pas rendue opaque par l'eau ou la vapeur. C'est toujours un délice de voir celle ou celui qui se douche, retrouver des gestes intimes, oubliant ce qui vient de se passer ou imaginant déjà ce qui va se passer.
Elle est belle. Déjà l'eau ruisselle sur son corps que j'ai possédé.
Maryse me regarde. Ses yeux me questionnent. Ce ne serait pas la première fois. Je fais un "oui" de la tête.
Elle se lève, avance. En deux secondes elle est nue et entre dans la douche. Clarisse la vue arriver et s'immobilise. Elle regarde vers moi. Moi, je me suis approché et m'installe dans un fauteuil confortable. Mon attitude parle pour moi. Clarisse se laisse approcher. Maryse se colle à elle, propose ses lèvres aussitôt acceptées. Clarisse vient de nous avouer avoir aussi essayé avec une femme.
Je suis aux premières loges. Ce n'est pas la première fois que je regarde deux femmes, souvent l'une d'elle est Maryse que son expérience rend précieuse pour tout mari qui a envie de découvrir le spectacle de sa femme avec une autre.
Le baiser est langoureux puis torride.
Maryse se charge de tout. Clarisse comprend que d'une certaine façon elle est ma messagère.
C'est beau. C'est tendre, langoureux puis chaud, puis délicat, puis chaud à nouveau. Je suis comme tous les hommes, sensibles à des caresses que seules les femmes peuvent partager. Elles ont une approche particulière, une sensibilité que nous les hommes n'avons pas. C'est une initiation par l'épouse, même Soumise mais dont l'antériorité lui confère un poids particulier. Maryse sait y faire. Je regarde.
Je vois comment ses mains, sous prétexte de laver, se promènent sur ce corps presque juvénile.
Je vois que Clarisse apprécie comme une Maitresse apprécie que son esclave la lave.
Mais qui est l'esclave ? Qui est la Maitresse ? Juste une question de circonstances, d'état d'esprit !
Le savon moulé en verge tendue sait se glisser dans les lieux secrets.
La poire sait se faire oublier avant de chasser sous son jet d'eau tiède ce que j'ai pu abandonner dans ce conduit si étroit du cul.
Chacune sèche l'autre dans des gestes d'un érotisme qui ferait bander un eunuque.

Elles sortent. L'une régénérée par l'autre. L'autre, Pomponnette de retour pas encore bien certaine de sa réinsertion.
Je les accueille. Quel homme heureux je suis ! En une nuit j'ai retrouvé une épouse qui est allée voir ailleurs mais qui m'est revenue. Et, dans des circonstances que seul un destin malicieux a pu organiser, recevoir en cadeau une Soumise, qui en quelques heures a démontré son envie et son talent pour cet Etat pas si évident.
Je montre le lit.
C'est un lit prévu avec de nombreuses possibilités pour immobiliser celle que l'on veut dompter. Mais elles sont deux et Maryse n'a pas besoin d'être conseillée pour se placer. C'est l'avantage d'une partenaire qui a déjà vécu beaucoup de choses et qui sait ce qui est le mieux.
Le mieux pour elle et celle qu'elle entraine !
Le mieux pour l'homme, l'amant, le mari, le partenaire d'un soir, le Maitre.
Il n'est pas toujours nécessaire de choses compliquées pour dominer une femme. Une femme et parfois un homme qui peut avoir envie de gouter a des plaisirs que l'on peut imaginer transgressifs.
C'est beau ces deux corps allongés en travers de ce lit si étroit que la tête ne peut que déborder alors que les jambes pendent de l'autre côté.
Elles se tiennent la main. La jeune et la moins jeune. L'expérimentée et la novice.
C'est par un regard de dessous qu'elles me voient avancer. Je bande d'une érection juvénile comme si c'était une première fois. Je propose d'abord mon mandrin à Pomponnette qui sait ce qui l'attend. Pendant ce temps Clarisse nous suit du regard. Comme moi elle voit mon mandrin passer les lèvres ouvertes, avancer dans une bouche accueillante et pousser son avantage au plus profond, la position rendant possible cette avancée avec la gorge dans un axe parfait, jusqu’à ce que mes couilles bloquent ma progression.
C'est une gorge profonde. Une "Upside down deepthroat" comme disent nos amis anglais. Il y a beaucoup de façon de se faire sucer mais celle-ci apporte un plaisir particulier. Le côté "domination" n'est pas le dernier. La femme ne suce pas vraiment. Elle gobe, avale, crache, salive sans pouvoir, ou plutôt sans Vouloir, se refuser.
Déjà je vois des larmes dans les yeux de ma Pomponnette. Je retire une bitte désormais gluante pour la proposer à sa voisine. Si j'ai juté dans la gorge de mon apprentie Soumise, ce n'est rien comparé à ce qui l'attend.
C'est à Maryse de regarder. Elle regarde, le visage déjà troublé par les larmes et la salive.
Clarisse accepte mon offre. Elle a de la chance, je ne suis pas si long que….
—Hé, on commence sans moi !
Sa voix résonne dans le silence de la pièce uniquement meublé par des gargouillis de salive suintante. C'est Max. Max que j'ai appelé à mon secourt alors que j'allais chercher le champagne. Max mon complice depuis de longues années. Max à qui j'ai expliqué en quelques mots la situation étrange ou je me trouvais.
—Max !
On aurait dit le cri du cœur. La salope de Pomponnette n'a pas oublié mon complice.
Il lui faut deux secondes pour libérer sa bitte. Elle est encore au repos mais alors que d'une poussée il la propose aux lèvres de ma salope de femme, on la devine gonfler.
C'est toujours un spectacle magnifique. Son mandrin sombre tranche sur le visage qui parait blafard en comparaison. Les lèvres se gonflent de sang formant une couronne étanche au mandrin qui avance. Il avance et la déformation du cou annonce aux yeux de tous, si besoin était, que sa queue a ouvert un chemin improbable. Mais aussi ce bruit alors qu'il ressort un peu pour encore mieux avancer, se figer en place alors que sa main sous la nuque de la femelle la bloque jusqu'à ce qu'elle demande grâce par un début d'étouffement et libère des flots de salive, inondant les yeux, le visage et coulant jusqu’au sol. Alors, , dans un mouvement mille fois répété qui fait pourtant chaque fois son petit effet, son mandrin se fraie à nouveau un chemin, d'abord entre les lèvres, puis dans une bouche que l'on devine inondée de salive et puis après, chaque fois le questionnement de savoir ou a pu bien passer son engin, imaginer que le gland suit la courbe du fond de la gorge, s'insinue dans le haut de l'œsophage en repoussant le larynx et se faisant voir alors comme une bosse qui avance.
Ce n'est pas donné à toutes les femmes de pouvoir accepter ce cadeau. D'abord il faut aimer sucer et recevoir le foutre de son amant. Mais, beaucoup ont un réflexe qu'elles n'arrivent pas à contrôler et qui malgré leur envie limite l'introduction. Rares sont celles qui peuvent faire comme Maryse. Déjà lorsque je l'ai connue, pendant notre première année de Fac elle avait une réputation de suceuse que j'ai vite pu vérifier. A cette époque elle profitait à fond de sa liberté après toutes ces années en famille, famille assez strict. Les pauvres, s'ils pouvaient la voir maintenant ils n'en reviendraient pas.
Quel homme n'aime pas se faire sucer et se libérer dans la gorge de sa maitresse ?
Mais aussi quel "Maitre" n'est pas en droit d'exiger plus, surtout lorsque le "terrain" est favorable. Et j'ai délégué ce droit à Max qui a ce qu'il faut pour en profiter. La première fois a été une vraie découverte. Un spectacle grandiose de voir le cou se déformer se moulant sur ce qui l'envahit. Et on ne s'en lasse pas….
A côté je fais "petit". Mais pour une vraie première fois, ma jeune Soumise se laisse guider et c'est le bon choix de ne pas résister et au contraire chercher à accepter au mieux mon mandrin.
Bientôt on entend plus que le bruissement de nos bittes qui brassent des litres de salives gluantes jusqu’à ce que l'un comme l'autre, avec une complicité éprouvée, on se libère dans ces gorges accueillantes.

Je lui offre une flute de champagne pour le remercier d'être venu si vite.
"""—Ta femme était partie ? Et elle est revenue ce soir ? Et tu es avec la petite pute du bois ? Tu veux que je vienne ? Mais plutôt deux fois qu'une. Veinard c'est sympa de partager. Il m'avait dit."""
Il est venu. Il est là.
Les deux femelles n'ont pas été autorisées à bouger. C'est un spectacle grandiose de les voir alanguies, souillées, en sueur, côte à côte sur ce lit et se demandant ce qui les attend.
Je sais ce qui les attend.
Je les fais lever, aller jusque sous les cordes qui pendent au plafond. Max m'aident à les attacher face à face, les bras en l'air, assez tendus pour qu'elles soient presque sur la pointe des pieds. Chacune est bâillonnée par la même boule qu'elles doivent se partager, chacune ayant une sangle autour de la tête.
Je me saisis alors d'un double gode. Ma pute de Pomponnette est si grasse qu'il entre facilement. Clarisse est plus serrée mais il entre aussi. Une corde autour des reins les rend solidaire. Si l'une bouge, l'autre ressent son mouvement.
Nul besoin de taper fort. Il mérite bien son nom de "Martinet Caresse", sauf si on frappe sans discernement. Cela suffit ! L'attente du coup est un supplice! Le choc un soulagement ! Un soulagement qui cependant fait onduler celle qui le sent, procurant à sa partenaire une onde transmise par le double gode.
Le grondement est indistinct. Il semble venir des deux gorges. Je frappe mes deux Soumises. Je me surprends à taper plus fort la Pomponnette et je pense que ce n'est pas que son expérience qui m'y engage. Non, probablement que ces coups traduisent un reste de rancune…L'équilibre est instable. Elles fatiguent de se tenir sur la pointe des pieds et les coups produisent un balancement des plus sensuels.
—Tu es mon invité. Choisi.
Dis-je bon prince à Max qui regarde avec envie les deux femelles se tortiller sous mes coups.
—Je gouterais bien la nouvelle. Mais tu crois que je peux. Ce n'est pas trop ?
—Mais non. Je l'ai déjà prise. Elle est serrée mais ouverte.
—Ah.
—Il ne faut pas se fier à son âge. C'est déjà une vraie petite pute.
Tout en parlant je regarde Clarisse. Elle est littéralement soudée à ma femme. Soudée par la boule bâillon ! Soudée par le double gode et la corde qui lui ceint des reins ! Seul son regard est mobile. C'est lui que je fixe tout en parlant. La soumission n'est pas qu'une question physique, accepter que l'autre utilise son corps à sa guise, c'est aussi "mental", accepter de se faire rabaisser par la parole, se laisser traitre de "pute, chienne" et autres qualificatifs dégradants.
—N'est-ce pas que tu es une salope ?
Le battement des paupières est un "Oui".
—Que tu as envie que Max te prenne ?
Juste une seconde d'hésitation avant ce "oui" si singulier.
—Tu sais aussi que tu peux arrêter à chaque instant.
Elle confirme.
—Tu veux arrêter ?
Silence. Je sens qu'elle se retient de cligner des yeux. Putain qu'elle femme ! Si jeune et pourtant si volontaire!
Je me tourne vers Max et tout en lui disant :—Vas-y doucement. Ne me l'abime pas, j'ai plein de projets pour elle. Tu imagines tous les mecs qui vont avoir envie de se payer une jeunesse pareille, déjà vicieuse. Tiens prends du gel.
Le tube est à portée de main. Max ne se fait pas prier. Déjà il s'est placé derrière elle. Moi je la regarde de face. C'est de ma responsabilité de vérifier que tout va bien et que, immobilisée comme elle est, le moindre signe de refus puisse être reconnu.
Le corp des femmes me cache ce qu'il fait mais je devine qu'il étale du gel et le fait pénétrer.
La suite est une conversation muette. Je ne quitte plus le regard de Clarisse. Collé contre mon épouse qui doit sentir combien cette situation m'inspire je suis aux premières loges.
Son regard la trahis. C'est un traitre qui me montre ce qu'elle ressent alors que le corps de ma femme me parle.
D'abord comme une surprise alors que je sens la pression de Max.
Un début de soulagement alors que manifestement son petit trou s'est ouvert sans grande résistance. Merci le gel.
Un trouble alors qu'elle se demande quand va-t-il cesser de progresser.
Une inquiétude de celle qui fait que cela parait sans fin, que le dard va continuer, continuer, la forcer à s'ouvrir encore plus.
Un soulagement alors que je sens que Max se stabilise.
Un regard qui se trouble alors qu'il doit se retirer pour mieux revenir.
Et moi dont la bitte cherche le cul de ma petite salope de femme. Avec elle, moins de délicatesse, je ne peux retenir cette envie de me venger, même si une vengeance ne doit plus être de circonstance. Pourtant, même libertin, même Candauliste, même Dominant, peut être encore plus car Dominant, son départ a été une vraie déchirure…Les deux esclaves se balancent aux rythmes de nos possessions. Je regrette de ne pas avoir des caméras pour immortaliser cet instant. Retour de la femme prodigue et initiation d'une jeunette promise au plus bel avenir….Mais rien n'empêche de mieux m'organiser la prochaine fois.
Un instant je crains de ne pas pouvoir balancer ma purée. Cette soirée a été si riche, mais de voir dans les yeux de Clarisse le nirvana alors qu'elle jouit et que Max lui inonde le cul d'une semence estampillée "garantie clean" me donne des ailes…Plutôt invite mes couilles a ne pas décevoir la vieille pute qui m'est revenue.



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Le soleil inonde la chambre. Encore une belle journée. Le réveil marque 11h. Il y a une éternité que je ne me suis réveillé si tard. Il faut dire que la soirée et la nuit ont été bien occupés.
Elle est tout contre moi, lovée contre mon dos, ses bras m'enveloppants comme si elle avait peur que je m'enfui. Je n'en ai pas du tout envie. C'est bon de se réveiller avec sa femme après tout ce temps ou je l'ai cru définitivement perdue. Je me remémore tout ce qui s'est passé hier et cette nuit. C'est comme si elle pouvait suivre mes pensées dans son sommeil. A moins qu'elle ne dorme plus et que cette main qui tombe nonchalamment vers mon sexe ne soit en réalité téléguidée. Je bande.
Doucement je fais demi-tour pour lui faire face. Elle a les yeux fermés mais je la soupçonne de faire semblant.
—Tu dors ?
Je demande très doucement. Un grognement indistinct me répond. Je me glisse tout contre elle. Elle ne peut ignorer mon mandrin dur d'une érection matinale, un mandrin qui vient se mettre en place dans un mouvement vieux comme le monde encore que souvent le matin c'est "à la cuillère" que je préfère.
J'entre dans une grotte suintante, grasse de la nuit avec peut être ce qu'elle pense dans son demi réveil. Alors que je l'envahis d'une poussée régulière, elle ouvre les yeux et me sourit. Je savais bien qu'elle était réveillée.
—Bonjour mon Amour. Tu as bien dormi ?
— Comme un bébé. Et toi ?
—La meilleure nuit que j'ai connue depuis six mois.
—Moi aussi.
—Personne n'est levé ?
—Je n'ai rien entendu.
Cet échange de politesse de m'empêche pas de la posséder dans un mouvement lent, tendre et qui pourtant déclenche déjà des signes sur son visage. Ses mains viennent sur mes fesses comme pour me pousser vers elle. Et puis dans un mouvement fluide, me gardant au chaud dans sa grotte, elle vient sur moi, s'agenouille, s'accroupit et commence à se faire du bien.
C'est bon. Etrangement si j'adore la Soumettre, la regarder avec d'autres, lui proposer les pires plans que notre expérience nous permet, j'aime aussi et peut être encore plus qu'avant, ces moments dans notre chambre, couple redevenu bien classique même si nos pensées et nos souvenirs attisent encore plus nos envies.
Elle me chevauche. Le soleil est un projecteur qui illumine ma bitte apparaissant et disparaissant au rythme que lui impose mon épouse. Elle a posé ses mains sur mon torse dans un appui qui fait que sa poitrine lourde mais encore bien ferme se balance et je vais en saisir les tétons. Elle gémit. Maryse adore cette caresse. Plus d'une fois je l'ai fait promener sans soutien-gorge avec un chemisier assez serré pour que ses tétons qui pointent se frottent et lui déclenchent des envies que je satisfait d'une baise rapide, contre un mur, un arbre, le capot d'une voiture, la possédant d'un coup de rein, comme une chienne, une pute, sans égard ni tendresse, juste un mandrin qui la laboure et se vide.
—A défaut de la mère tu as la fille.
On peut dire des femmes mais elles ont quelque chose de plus que nous les hommes. Même dans ces moments ou ses sens devraient la submerger, ou tout le moins la rendre indifférente à tout ce qui n'est pas son plaisir elle a encore assez de lucidité pour bien analyser la situation. Ce pouvoir rend d'autant plus fier tout homme capable de faire perdre prise à une femme et qui oublie alors tout sens critique et d'analyse pour crier son plaisir. Pour ma part, la Domination est le petit truc qui aide à la réalisation de ce fantasme d'homme: Faire hurler une femme, hurler de plaisir, crier sa jouissance, m'implorer de tenir mon rôle de Maitre.
Maryse sait combien Mireille me trouble. Entre nous il n'y a pas de cachotteries et plus d'une fois j'ai avoué que cette femelle qui habitait à moins de 1OO mètres de chez moi, que je croisais régulièrement me troublait. Elle a quelque chose de particulier. Sans chercher à le montrer elle dégage une vrais sensualité.
—La fille est encore mieux.
Elle acquiesce et se baise sur moi.
L'érection du matin est dure, vigoureuse mais n'a pas toujours la durée souhaitée. Heureusement Maryse a son plaisir et jouit avec force grimaces et gémissements me laissant libre de lâcher ma semence.

On frappe.
—Oui.
—Vous êtes réveillés ? On a faim.
La voix de Clarisse et j'imagine que le "On" inclut Max qui, comme ma nouvelle Soumise, a couché dans une chambre d'amis.
Auraient t'ils couchés ensemble ?
—On arrive.

En descendant les escaliers je commence déjà à imaginer ce premier petit déjeuner avec ma jeune chienne. C'est probable qu'elle ne s'attend pas à cela. Je vais lui montrer qu'une Soumise à des devoirs et des obligations. J'espère juste que les talons aiguilles et les cuissardes vont lui aller. Cela devrait, elle est de la même taille que Maryse, en un peu plus fine. Pour le haut, le tablier de soubrette, pièce réduite à sa plus simple expression pour laisser la poitrine à l'air et le cul bien tentant, lui ira parfaitement.
Je la vois, noire en bas, blanche en haut, aveuglée, attachée, recevant son pain beurré de ma main, de la confiture autour des tétons que Maryse va se faire un plaisir de lécher sans parler de celle qu'elle ira chercher de sa langue dans la fente de Clarisse pour lui apporter en bouche. Et aussi la bitte de Max, enduite de miel qu'elle va sucer sans parler de la crème qu'il va lui balancer si elle travaille bien, crème d'un autre gout que celle du café-crème classique.

Mais le soleil qui aveugle la cuisine et le 20 degré que le thermomètre affiche à l'extérieur me donne une autre idée.
—Max, tu es libre, tu peux rester avec nous ?
Son sourire rend son Oui chargé de remerciements. Déjà il doit envisager…—Il fait beau. Après ce printemps pourrit j'imagine que les gens vont vouloir profiter du soleil. Si on allait à "Bois sage" ?
"Bois sage " est une sorte de nom de code entre gens initiés qui définit une parcelle de forêt en retrait de la plage ou les amateurs aiment se retrouver.
—Bonne idée. Le soleil va faire sortir du bois tous ceux qui rongent leur frein depuis un moment.
—On pourrait en profiter pour piqueniquer. Qu'en penses-tu Chérie. Tu as raté la nuit de la rue. Le "Bois sage" serait un bon endroit pour remplacer.
—Oui. Je déjeune et je vais acheter deux trois trucs. J'imagine que tu n'as pas grand-chose à la maison.
Son sourire et son regard sont à la hauteur de ce que je lui propose. Ma salope de femme connait bien cet endroit. Chacun y trouve chaussure à son pied et les hommes sont bien plus nombreux que les femmes, épouses ou maitresse accompagnées et parfois une femme seule en recherche de sensations fortes. Déjà elle imagine…—En effet je n'ai pas grand-chose. On m'a lâchement laissé en plan et rappelle moi de le rappeler tout à l'heure à celle qui m'a abandonné pour un plus jeune.
Elle sourit encore plus. La menace feutrée lui promet des tourments qu'elle anticipe avec délice…
On déjeune rapidement. Maryse s'éclipse très vite.
Elle en a bien pour une petite heure.
Ce serait bête de ne rien faire en l'attendant surtout que la nuisette de Clarisse est un vrai pousse au crime.

________________
Je ne suis pas mécontent de ma mise en scène.
On dit que dans l'amour, le meilleur c'est la montée de l'escalier. C'est vrai pour beaucoup de choses, l'attente, la préparation, le chemin à faire pour atteindre un but, tout contribue à ce que le "dénouement" soit encore meilleur. C'est particulièrement vrai pour la relation Maitre/Soumise. Plus la montée de l'escalier dure, plus intense est le plaisir. Le plaisir, oui, car il ne faut pas se tromper, le plaisir du Maitre mais surtout le plaisir et la jouissance de la Soumise sont les buts recherchés.
J'immortalise avec ma caméra. C'est vrai que j'ai une modèle parfaite comme peu d'homme de mon âge peuvent avoir. Mais, et ce n'est pas de l'orgueil, je considère que je suis pour une bonne part dans ce chef d'œuvre.
Hier…mon Dieu j'ai l'impression que c'était il y a des semaines, elle plaisantait devant la croix de Saint Andrée s'y attachant pour me provoquer.
Aujourd'hui c'est son corps qui dessine dans l'espace cette forme si particulière. Ses bras tendus, font un "V" alors que ses poignets sont attachée. Ses jambes, dont les chevilles sont elles aussi attachées reproduisent un "V" mais inversé.
Les touches de couleur aussi. D'abord un bandeau noir qui l'aveugle. Ensuite un collier de cuir noir autour du cou. Et puis, je n'ai pas pu résister au plaisir de lui faire essayer, les chaussures et les cuissardes noires qui l'habillent de la pointe des pieds au milieu des cuisses.
Tous ces accessoires la font "plus que nue" faisant ressortir sa peau pas encore halée de ce soleil de printemps.
Mais ce dont je suis le plus fier c'est le savant bondage de ses seins, la parfaite symétrie de la corde qui s'enroule, étire, étouffe les lobes pour les transformer en deux belles demi sphère dont la couleur vire au rose vif avec des tétons transformés en pointes de chair que les bijoux a tétons subliment encore plus.
Je filme mon chef d'œuvre.
Je filme aussi Max qui tient à la main le roi des vibro, l'infatigable dont la forme, certes basique, mais d'une surface assez large pour couvrir de ses ondes surpuissantes le clitoris et toutes ses ramifications.
—AhhhhhSi le masseur lui a paru froid au moment ou Max l'a posé sur sa cuisse, son approche vers son minou et la mise en route des vibrations ont changé la donne.
Je la filme, cherchant à atteindre ou fuir ce qui la caresse, mais elle a peu de liberté de mouvement.
Je la filme, suivant sur son visage tout le bien que Max lui procure.
Il est redoutable d'efficacité. Rien a voir avec ces godes sophistiqués de forme, de texture, de fréquence. Lui a sa puissance et sa surface pour lui.
Il ne faut pas longtemps pour que les soupirs laissent la place à des gémissements, puis des cris, puis des "Ah" des "Oui" des "Encore" Max jouant avec elle et lui faisant croire qu'il peut la laisser insatisfaite. Mais non, la jouissance arrive, puis une autre, puis encore, au point que maintenant c'est des "Non, arrête" qu'elle éructe.
Il arrête.
Il est en shorty et sa verge apparait dressée. Il se place tout contre elle, se moulant à son corps, s'agrippant a ses fesses pour se servir d'un appui et la posséder. Sa longue tige glisse sans effort. Elle est plus qu'ouverte, un gouffre suintant de jus de femelle.
Il bouge doucement. Je filme. C'est beau. On dira ce qu'on voudra mais la couleur de peau apporte une touche d'érotisme, si ce n'est de luxure ou de perversité toujours attribuée au Mâle d'une ethnie différente.
Moi je fais le tour et viens me coller contre les reins de ma petite pute.
—Tu aimes ?
Je lui glisse dans le creux de l'oreille tout en frottant mon mandrin dans la raie de ses fesses.
—Oui.
Elle n'a pas hésité. Elle sait ce qui l'attend, mais manifestement rien ne l'effraie. Elle est venue à moi sans tabou, sans limite. C'est à moi de l'emmener plus loin qu'elle n'imagine.
—Alors tu vas aimer tout à l'heure. Dans le bois je vais te donner à tous ces hommes. Ils vont te caresser, te posséder, te faire jouir jusqu’à ce que tu demandes grâce, le corps recouvert du foutre qu'ils n'auront pas pu laisser en toi, la chatte et le cul douloureux de toute leurs bittes…Elle ne répond pas. Mon gland trouve son chemin. Il sent l'humidité qui a suinté du vagin pour lui servir de lubrifiant. Je me glisse en elle. J'y retrouve Max, mon complice, dont je dois repousser la bitte pour que la mienne y trouve sa place et former deux bâtons dressés cote a cote.
On bouge. Elle gémit.
—Plus fort, je veux qu'on t'entende..
Elle se libère. Fini la délicatesse. On la baise. Son corps est à nous…Elle crie..


……Mais…Qu'est ce….
Malgré la puissance de mon implication il me semble entendre….Non, je vois………NONNNNN, Vous ne pouvez pas…..Clarisse, ma chérie….Au secours…AU SECOURS….
Je n'ai que le temps de comprendre que c'est Mireille qui a fait irruption dans la pièce, qui met quelques secondes pour envelopper du regard notre trio, comprendre que c'est sa fille qu'elle voit de face avec un homme qui….
Déjà elle est partie…AU SECOURS….AU SECOURS….Elle est dans le couloir…Merde la conne…Si elle arrive dehors et continue…Je me retire et commence à courir. Plus tard je me dirai que décidemment on m'a jeté un sort et condamné à courir à poil la bitte encore raide, derrière une femelle, mais pas pour jouer.
Elle est presque en haut des escaliers. Elle a du mal à ouvrir la porte. Je diminue mon retard. Merde elle déboule dans l'entrée. Elle tient la poignée de la porte qui donne dans le jardin. Déjà ses cris doivent s'entendre dans la rue…J'ai juste le temps de la saisir, de placer sans précaution ma main sur sa bouche, de l'envelopper d'un bras que l'adrénaline rend puissant.
— Calme-toi. Mireille ce n'est pas ce que….
Mais elle est déchainée. J'ai du mal à la maintenir, pourtant c'est un petit gabarit. Je ne peux pas la libérer, rien ne peut la calmer, elle est en boucle dans son idée.
Alors je la soulève et entreprend de redescendre. Max arrive.
— Aide-moi. C'est la mère de Clarisse.
A deux nous arrivons dans la pièce. Clarisse est toujours attachée.
—Qu'est ce qui se passe ?
—C'est ta mère !
—Maman ?
Mais d'entendre sa fille ne calme pas la mère. Elle vitupère et s'agite comme une possédée. On a bien besoin d'être deux pour vraiment la maintenir.
—Les menottes. Passe-moi les menottes.
Max les voit et les attrape. J'arrive à immobiliser ses mains derrière le dos. Cela ne la calme pas.
—Mireille calme toi. Tu vois bien que…J'ai le malheur de libérer sa bouche.
—Salauds, Pervers, Violeurs….ma petite fille… Police… Prison…C'est Max qui me passe un bâillon avec une boule. J'arrive à lui passer. Je me sens coupable. La pauvre, nous sommes en train de conforter l'image qu'elle a de nous. Mais pour l'empêcher de s'enfuir même avec les mains prisonnières je bloque les menottes par d'autres dans le siège.
Elle gigote. Le seul moyen de lui faire comprendre c'est de libérer sa fille. Max et moi on le fait. Dès qu'elle a les mains libres, Clarisse enlève son bandeau et découvre le spectacle de sa mère prisonnière.
La mère et la fille se dévisage. Plus exactement Mireille découvre vraiment comment sa fille est harnachée. Je propose un peignoir qui cache le plus gros.
Clarisse veut détacher sa mère.
—Attends. Avant tu vas lui dire la vérité. Que ce n'est pas ce qu'elle croit. Que tu es avec nous de ton plein gré.
Clarisse hésite. Il faut la comprendre. Avouer à sa mère et dans ces circonstances, que sa sexualité est "hors normes", doit être une véritable épreuve. Je décide de l'aider.
—Bon, je comprends que cela soit difficile. Il te suffit juste de confirmer….Es-tu venue de ta propre initiative ?
Le "Oui" est un signe de la tête.
—Tu confirme que si tu es ici, depuis hier, c'est parce que tu veux…on va dire "explorer"…certaines pratiques !
Cette fois ci on entend le "Oui".
—Tu comprends que je suis dans une situation délicate et que je dois parler à ta mère de la façon dont cela s'est passé.
Elle hésite, mais si le "Oui" est de la tête, il est sans équivoque.
—Tu vas remonter avec Max et vous allez attendre. Je vais parler avec ta mère.
Max réagit aussitôt et entraine Clarisse. Il ne doit pas être mécontent de se sauver.
Me voici seul avec Mireille.
—Si j'enlève ton bâillon, tu promets de ne plus hurler ?
Le "Oui" de la tête est devenu la réponse dans cette famille.
Je lui enlève. Avec une serviette j'essuie la salive qui s'est échappée. Comme elle semble calmée je lui enlève les menottes.
—Tu me crois maintenant ?
—Non.
Au moins elle est franche.
—Tu as bien entendu Clarisse.
—Oui, mais c'est toi qui l'as entrainée.
—Je te jure que non.
—Ce n'est pas possible !
—Je vais te raconter comment cela s'est passé.
—Essaye toujours.
Et je commence :—Tu te souviens hier lorsque tu m'as parlé que ta fille était venue chez moi, à la demande de Maryse, pour un problème informatique ?
—Oui et alors ?
—Alors voilà…..
J'essaie de raconter tout en ménageant la chèvre et le chou. Je me vois mal raconter comment sa fille s'est fait baiser dès le premier soir, sur un parking, par un inconnu bien monté…sans parler du reste.
Je sens cependant qu'elle faiblit. Pourtant :—Tu peux me raconter ce que tu veux…Alors je décide de sortir ma carte de réserve.
—Et ça, c'est quoi ?
Je lui donne à lire le résultat d'analyse que Clarisse m'avait donné comme preuve qu'elle avait vraiment pris la décision.
Elle est touchée.
Le coup de grâce ! J'appelle :—Clarisse.
Elle répond aussitôt. Probablement Max et elle attendaient.
—Descend.
Ouf. Elle s'est rhabillée. Elle est redevenue Clarisse. Elle a quitté son statut de Soumise.
—J'ai tout dit à ta mère. Maintenant je pense qu'elle veut entendre de ta voix la confirmation.
Elle n'hésite plus. C'est comme un défi:—Je fais ce que je veux. Je suis majeure. J'ai demandé à Benoit de m'apprendre certaines choses …—Mais Clarisse, tu es si jeune…—Et alors. Et j'ai été à bonne école. Toi et papa n'êtes pas des modèles de vertu…Alors je..
— Tais-toi.
Je dis d'un ton ferme.
—Quoi, je…Elle insiste.
—Tu vas rentrer chez toi. On ne parle pas à sa mère de cette façon.
—Mais je…—Tu as oubliée ou tu es et qui tu es…Elle comprend la menace. Manifestement elle a décidé de ne pas se laisser distraire, serait-ce par sa mère, de sa soif d'apprendre.
—Non, je..
—Non qui ?
—Non…Maitre. J'obéis Maitre.
Elle défie sa mère en s'affichant ainsi, soumise et obéissante.
Son départ laisse un grand vide. Il faut un moment pour que Mireille retrouve un peu de prestance. Elle se redresse sur le siège, tire sur sa robe que je découvre légère et assez courte. Il fait beau et comme tout le monde elle a dû sortir les affaires d'été.
Elle semble découvrir la pièce. Son regard se fait inquisiteur.
—Tu veux un café ?
Je propose, façon de revenir a plus classique.
—Oui. Merci.
Lorsque je reviens elle n'a pu se retenir de partir en exploration.
—Tu a besoin que je te commente ?
—Non, merci je ne suis pas ignorante à ce point….Merci…Ainsi Maryse et toi êtes…Je veux dire étiez…—Oui. Mais nous avons tracé un mur infranchissable entre …cela (je fais un geste qui balaye la pièce) et nos relations.
—Jamais je n'aurais pensé…—C'était le but.
—Et cela fait longtemps ?
Pendant de longues minutes elle fait assaut de questions auxquelles je réponds avec un certain plaisir, démontrant que ses voisins avaient une vie cachée très riche…C'est une sorte de revanche. Je devais lui paraitre bien terne et elle me découvre autrement. D'ailleurs je suis encore en peignoir….
—Clarisse est bien jeune, tu ne trouves pas ?
Ca y est, elle revient à l'essentiel !
—Elle a 22 ans. A notre époque c'est déjà une adulte…Je veux dire…sexuellement.
—Oui, mais tout de même…—C'est elle qui a décidé.
—Oui, mais…—Avec les vidéos qu'elle a piratées, tu ne peux pas dire qu'elle ne savait pas vers quoi elle se dirigeait.
—A ce point ?
—C'est mon péché mignon, je filme beaucoup…Tout…Alors tu peux imaginer ce qu'elle a visionné. Donc elle savait.
—C'est ma petite fille…—Oui, mais une femme…Une vraie….Comme rarement j'en n'ai connu à son âge…Je pourrais t'expliquer ce que nous…—Stop. Pas cela…—Je comprends.
Un long silence. Et puis:—Elle est trop jeune pour toi.
—La vaillance n'attend pas le nombre des années…—C'est ma fille chérie…—Tu peux en être fière…—Salaud.
L'injure n'est pas assénée avec force, plutôt comme dans une joute verbale.
—Tu peux parler, toi qui passe d'un compagnon à l'autre.
—Oh. Je n'y peux rien si je me lasse vite…Je la regarde dans les yeux. Elle semble sérieuse. Elle vient de se livrer. C'est vrai que la pièce et l'ambiance favorise les confidences.
—Ta fille a retenu ta leçon, elle choisit une autre voie…—Tu ne va pas t'y mettre et me rendre coupable de tout..
— Non, rassure-toi.
Un long silence et puis :—Et si je te demandais de ne pas continuer avec Clarisse.
—Désolé mais c'est entre Elle et Moi. Elle est ma Soumise et j'ai accepté d'être son Maitre.
—Tu trouveras bien quelqu'un d'autre…—Pas de si volontaire et…Excuse-moi…Si chaude.
—C'est ma fille !
—C'est ma Soumise !
—Que faudrait-il pour que tu la refuse ?
Un silence ou nous nous toisons.
—Si tu penses proposer de prendre sa place, je suis désolé mais c'est non.
—Oh, d'abord jamais je n'ai…et refuser…quel goujat tu fais…—Mireille si tu veux savoir tu m'as toujours fait beaucoup d'effet, mais pas comme Soumise. Et c'est de Soumise dont nous parlons.
—Jamais on ne m'a fait un tel affront ! Tu décides sans savoir. J'ai tous les hommes que je veux à mes pieds.
—A tes pieds peut être, même surement, mais lequel tu respectes vraiment…..
Encore un silence qui dure. Elle se lève. Elle va partir.
— Demande-moi ce que tu veux.
Son regard est un défi. Un instant j'hésite. C'est trop bizarre, inattendu. Elle me défie. Elle n'a rien compris. Elle est comme sa fille qui hier s'attachait à la Croix se Saint André pour me séduire…—D'accord. D'habille toi.
Elle croit encore qu'elle mène le jeu en me défiant. Elle sourit.
—Dans ta tête !
—Comme tu veux….
—Et si je fais…—Je ne promets rien. Ta fille a mis la barre très haute…—Je suis plus vieille…J'ai plus d'expérience….
—Baratin. On ne parle pas d'expérience mais d'envie…De savoir se soumettre…D'accepter qu'un homme décide à sa place…Le contraire de la femelle qui engrange les conquêtes. Alors…C'est toi qui décide…Un long moment où elle hésite, me toise mettant dans son regard toute ses certitudes, son statut de femme désirée, de femelle conquérante…Et puis..
—Si j'accepte tu…—Je ne promets rien. Je ne lâche pas la proie pour l'ombre tant que je ne connais pas…—Mufle !
—Tu fais des progrès la première lettre est la bonne….La dernière aussi…Il faut juste changer les autres par a…i…t…r.
—Pervers !
—Je le revendique…Elle me toise. Debout et moi assis elle doit se sentir plus forte. Elle commence à dégrafer le haut de cette robe d'été si légère..
Je fais l'indifférent, rangeant le bâillon et les menottes. Elle comprend que je joue avec elle…—Jamais je n'aurais pensé que tu serais si….
Il faut l'encourager.
—Tu m'as fait fantasmer…Montre-moi combien tu es belle et désirable.
Quelle femme résisterait à ce genre de compliment ?
La robe légère est au sol. Elle sait y faire, ce n'est pas la première fois qu'elle se dénude devant un homme…—Je reconnais que tu es belle mais il fait continuer…Elle hésite mais son soutien-gorge libère deux merveilles qui malgré l'âge semblent comme "plus que neufs".
—Tu as ??
Pas besoin de continuer, elle comprend.
—Oui. Il y a deux ans—Bon choix.
C'est vrai qu'elle a deux seins que l'on a envie de prendre à pleine main pour vérifier si c'est bien de la chair et pas du béton..
Mais je ne m'attarde pas. J'attends.
Lentement, par pudeur mais aussi en me demandant :—Tu promets ?
Je sens qu'il faut que je lâche du lest.
—Ce que je vois est encourageant.
La petite culotte tombe. Elle est nue, mais encore pudique, une nudité asse froide. Je décide de la provoquer.
—Hier c'est ta fille qui était à ta place. Elle m'a presque supplié pour que je la forme. Elle a été jusqu’à s'attacher à la Croix que tu vois derrière toi.
Elle tourne la tête pour découvrir la croisée de bois et toutes les attaches qui en font un instrument de tourment.
—Pour la punir, je lui ai donné la fessée…Là où je suis actuellement, en travers….Et puis elle est repartie à la fête, nue sous sa robe. Tu n'as rien remarqué de spécial ?
Mon aveu la trouble. C'est vrai que je suis confortablement installé sur ce fauteuil, le peignoir a peine boutonné mais qui, si on peut voir mon torse, cache le plus précieux.
—Non, j'aurais du ?
—Oui. Elle avait un gode vibrant dans son petit trou et je l'activais à distance.
—Oh !
—Et oui et puis lorsqu'elle est venue me rejoindre je l'ai….
Si tu veux que j'oublie ta fille tu ne dois en aucun cas lui en parler. Pas un mot ! Pas un reproche ! Tu feras exactement comme si rien ne s'était passé. Moi de mon côté je lui dirai de faire la même chose.
—Oh, merci. Merci Benoit.
—Pas si vite…regarde (Je tire sur mon peignoir pour laisser apparaitre une belle érection) Tu vois que j'apprécie…Mais tu ne peux pas me laisser comme cela…Avec ce que tu me demande…Elle hésite. Je tends la main. Elle n'est pas bête au point d'imaginer que sa nudité suffit pour sceller une promesse que je n'ai d'ailleurs pas encore exprimée clairement.
Elle approche. Elle s'agenouille. Ma main lui propose ma queue. Elle se penche assez pour qu'en appuyant sur sa tête ses lèvres touchent mon gland.
La suite est un grand classique. Une femme suce un homme. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour quitter son appréhension.
—Si tu es sage pendant que tu me pompes je vais te raconter ou j'ai entrainé ta fille après son retour…..
On a pris la voiture…Le parking….Les hommes….Max…La table de piquenique…Je lui distille ces confidences comme sous le sceau d'un secret, au plus près possible de son oreille alors que sa bouche s'active et que je caresse cette poitrine ferme avec des tétons comme de vraies pointes. Si au début elle pensait à sa fille, au fil de mon récit il est évident qu'elle voit quelqu'un d'autre car son excitation est évidente. Comme évidente est sa main qui a disparu vers ses cuisses.
—Si tu as envie…Je propose, en tendant un préservatif.
Elle n'hesite pas. Elle le déroule avec une dextérité qui peut faire penser que son compagnons ne doit pas lui suffire et qu'elle cueille au fil du temps de belle bitte pour se faire du bien.
Elle se lève et en deux secondes s'empale sur moi. Aussitôt elle s'active. Ce n'est plus une mère qui se sacrifie, mais une femelle qui veut se prendre.
C'est bon. Quand je pense que…Même pas 24 heures et la fille…puis la mère…Sans parler du retour de Pomponnette…A propos de Pomponnette j'entends distinctement une voix dans le couloir:—…se passe ?...En rentrant j'ai vu de loin Max et Clarisse qui partaient ! Un problème ?
Le problème elle le découvre en entrant. Elle voit Maryse me chevaucher, même si sous la surprise la cavalière s'est figée et même tente de se lever, mouvement que j'interdis en la bloquant de mes bras.
—Maryse…—Mireille…Les deux s'apostrophent en même temps.
—Chut. Calmez-vous….
—Tu ne m'as pas laissée le temps de te le dire, mais cette nuit Maryse m'est revenue…Je lui manquais et puis aussi tout cela..
J'enveloppe la pièce d'un mouvement de main.
—Ah !
—Oui, je suis revenue, mais toi qu'est-ce que tu fais chez moi…—Elle nous a surpris avec Clarisse et pour l'instant on négocie qu'elle prenne sa place…Maryse réagit;—Prendre sa place ? Mais non…Juste…Ma femme la coupe.
—La mère après la fille. Et ben mon salaud. Mais tu crois que la mère sera au niveau de la fille ?
—Mais je ne veux pas….
—J'attire sa tête vers la mienne et a l'oreille susurre:—On verra…Pour l'instant il ne faut pas que la présence de ma femme te perturbe. Tu n'as jamais baisé devant ton mec ?
—Non…—Alors il y a un commencement à tout…Je donne de petits coups de reins pour lui rappeler ce qui la remplit. Ma femme se fait discrète en passant derrière. Lentement les sens se réveillent. Elle monte et descend. Je vois sur son visage que le plaisir est de retour.
Et puis je vois son regard partir sur le côté. En le suivant je découvre Pomponnette qui s'est déshabillée et équipée d'un gode ceinture dont l'excroissance male se tient bien droit.
—Tu vas voir c'est divin. Lui dit ma femme qui déjà va se placer derrière ma cavalière.
Je regarde son visage. Si elle ne s'enfuit pas, tout devient possible. Et même si elle ne veut pas devenir ma Soumise nous allons en faire notre obligée pour qu'elle est envie de revenir.
Je sens le mandrin se frotter au mien.

Je gamberge. J'imagine la mère et la fille, aveuglées, bâillonnées se donnant du plaisir sans imaginer un seul instant que…..

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