Plus on est de fous….Fête de la rue.1

- Par l'auteur HDS Faustine -
Récit érotique écrit par Faustine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Plus on est de fous….Fête de la rue.1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Plus on est de fous….Fête de la rue.1
Note des auteurs.
Chaque jour on découvre de nouveaux cas où les femmes ont été maltraitées, battues, punies, abusées, violées. Ces événements affreux font que les mots comme Soumission et Domination naturellement inclus dans les pratiques SM et BDSM, que déjà beaucoup trouvaient "limites" sont maintenant des infamies jugées à l'aune de ce que la presse nous révèle. Et pourtant, si il y a des expériences sexuelles ou la femme a bien son mot à dire ce sont celles-ci. Il y a toujours accord de la Soumise ou du Soumis pour se livrer à un Maitre, Maitre qui peut être un amateur, mari, épouse (On oublie souvent que beaucoup d'hommes aiment aussi le rôle de Soumis à une Maitresse ou un Maitre) ou amant, ou plus souvent un "extérieur avec de l'expérience". Les mots "Non… Arrêtez…Je ne veux plus…" et bien d'autres suffisent à tout arrêter. La confiance donnée peut être retirée à chaque instant.
Le plaisir et la jouissance ne sont pas toujours facile à atteindre pour certains d'entre nous. Le fantasme ne suffit pas toujours. Il faut plus fort, parfois plus rude, parfois humiliant mais c'est le choix de chacun.


C'est un de mes meubles préférés, enfin si on peut appeler cela un "meuble"!
Avec ma femme on l'avait commandé sur catalogue. C'est le genre d'équipement qu'on ne trouve pas chez un marchand de meuble fut il le premier en France et venant du nord ! On l'avait payé cher mais il en valait la peine, à la fois lourd et robuste, confortable avec son cuir de qualité, modulable avec la possibilité de changer l'inclinaison et de conserver ou pas le carcan, sans parler du jeu de sangles et liens de toutes sortes.

Elle s'était laissé faire. Positionnée ainsi, elle était encore plus belle, plus désirable. La structure du banc lui faisait quasiment propulser sa croupe vers le haut, les jambes écartées, la tête et les bras pris dans le carcan dont le rembourrage protège les chairs délicates, comme le cuir rouge qui sert d'appui au reste du corps. Même les sangles qui la maintiennent prisonnière sont doublées de tissu. Les sangles sont superflues car de toute façon elle n'a pas envie de fuir, il lui suffirait de me dire "Non, je ne veux plus", mais comme tout le reste elles participent à l'ambiance.
La lumière est tamisée mais bien suffisante pour que la caméra qui lui fait face montre sur le petit écran toutes les nuances de son visage. De la même façon, celle que je porte transmets la vision de derrière. Plus tard j'associerai les deux vidéos pour n'en faire qu'une, séparant l'écran en deux visions parfaitement synchrones, l'action, Mon action, et la réaction, Sa réaction de ce que je me prépare à lui faire.
Le plug fait une tache plus sombre sur la peau blanche des fesses. Le rose de début de soirée a disparu. Il ne reste que cette barre courbe qui s'est moulée à sa raie et déborde sur sa fente. De deux doigts j'écarte les chairs fermes qui semblent vouloir garder l'objet. Cela fait plusieurs heures qu'elle l'a en elle, des heures on vicieusement je déclenchais des vibrations qui la secouait au plus intime.
Je le tiens. Je le tire pour le dégager. Il résiste, c'est comme si les chairs l'avaient intégré. En le tournant, le lubrifiant que j'avais mis le libère. Je tire doucement. La corole résiste, c'est tout l'art de la forme particulière du plug. Un coup d'œil aux écrans et je vois qu'elle regarde aussi. C'est tout le piment de cette mise en scène. Elle peut voir ce qui se passe en même temps qu'elle le ressent. Je sais combien cela peut être dérangeant la première fois, mais si elle est novice encore que je ne sache pas bien jusqu’à quel point, je sais aussi qu'elle a déjà eu l'occasion de le voir en vidéo.
Le voir, sur une autre est une chose. Le voir sur soi, une autre…Une toute autre si j'en juge par le regard brillant, le petit mouvement que lui permet encore les sangles, la bouche entrouverte qui semble suivre le bâillement forcé de son sphincter, complice du plug, résistant à sa sortie.
Je dois presque le retenir, sinon il serait tombé dès que la pente s'est inversée après le passage de la bosse comme lorsqu'on atteint un col et que la descente est devant vous.
L'écran montre ce trou béant que le muscle refuse de refermer. C'est une vision obscène qui me perturbe à chaque fois. Chaque fois je me dis que le muscle réfléchit avant de bouger. Doit-il revenir à sa position ancestrale ou bien doit-il attendre autre chose ? Est-il comme cette femelle qui veut être "dressée" en se confiant à moi, acceptant la douleur, l'humiliation, le changement dans ses habitudes pour atteindre autre chose, un plaisir différent, une jouissance jamais ou rarement atteinte.
Mais je sais aussi qu'il ne faut pas trop lui laisser le temps de réfléchir car s'il ne voit rien venir…Déjà il semble se refermer…Mais mon bâton de chair se présente pour prendre la place. Quelques gouttes de lubrifiant et la pointe force le chemin. Je force…Je regarde…Je vois son visage…Je suis son regard qui voit mon mandrin avancer…Le regard chavire…Les lèvres s'entrouvrent…Elle se force à regarder…Oui, regarde…Je te prends par ton petit trou…Ce n'est probablement pas la première fois qu'on t'encule mais ici c'est différent…—AhhhhCe n'est que le début, j'ai plus de 24 heures pour faire de toi une Soumise, tout au moins entrouvrir la porte du monde mystérieux de la soumission. Soumission que tu penses connaitre mais tu vas voir…—Dis-moi que tu es ma pute.
—Oui.
La claque la surprend et pourtant…..


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Je ne suis pas fana de ce genre de soirée. Je ne sais pas papillonner d'un groupe à l'autre, d'une personne à l'autre, parler de tout, parler de rien. Je suis plus à l'aise en petit comité, petite ou grande tablée ou on peut parler tous ensemble. Mais je ne pouvais pas refuser. Refuser aurait été m'exclure de ce groupe de voisins qui chaque année organise une fête de la rue. Ma femme faisait partie intégrante de ce groupe, organisant, participant pour les jeux d'enfants, chantant avec le groupe de rock qui animaient la soirée.
Mais elle m'avait quitté cela faisait maintenant 6 mois. On parle de la crise de la cinquantaine pour les hommes et pourtant c'était elle qui avait rencontré le grand amour. Comme par hasard un amour plus jeune, plus beau, plus, plus… Dans mon malheur, une chance, car elle était partie habiter dans une autre ville ce qui simplifiait le choix de nos amis et voisins qui n'avaient pas la terrible question à se poser : On invite lequel ?
La salope, elle me manquait. Elle me manquait pour plein de raisons. On ne peut pas dire que j'étais encore fou amoureux, mais tout de même, toutes ces années avaient tissé des liens. La maison me paraissait vide. Elle me manquait aussi pour le sexe. On avait au fil du temps découvert des jeux qui apportaient du piment à notre sexualité. Je me demandais d'ailleurs si cela n'allait pas lui manquer. Avec son jeunot, pas certain qu'il lui propose ce que moi je lui avais fait découvrir. Et, comme elle était partie en faisant un ménage complet de nos souvenirs, j'imagine que c'était pour commencer une nouvelle vie sexuelle…pensant effacer de sa mémoire, comme elle l'avait effacé de l'ordi, tout ce que nous avions vécu ensembles.
—Dit Luc, c'est qui la fille là-bas ? J'ai l'impression de la connaitre. Elle aussi d'ailleurs car elle regarde souvent de mon côté. Je ne voudrais pas faire d'imper, physionomiste comme je suis !
C'est moi qui pose la question. Il est vrai que comme d'habitude tout le monde se fait la bise en arrivant et que la bise avec cette très jeune femme, presque une ado, m'avait paru bizarre.
—Mais c'est la fille de Mireille.
—Mireille !!!C'est vrai que maintenant tu le dis elle a un air! Mais je croyais qu'elle vivait avec son père. La dernière fois que je l'ai vue, elle avait 15 ans. Elle n'était pas aux States pour ses études ? Une crack en informatique…—En informatique, comme tu dis. Alors comme ça vous parlez de ma fille.
C'est justement Mireille qui vient se joindre à nous.
—Attention les vieux beaux, pas touche. C'est ma petite fille, ma petite Clarisse. Défense d'approcher. C'est encore une enfant.
—Une enfant de 22 ans. Arrête de la couver. A son âge, elle a encore beaucoup à apprendre…Et si nous…N'est-ce pas Benoit ? On pourrait lui apprendre deux, trois trucs…—Pervers. Je te reconnais bien là Luc. De toute façon vous êtes trop moches…—Méchante.
—Vicieux.
Un silence chargé de sourires complices d'amis qui plaisantent et puis, Mireille se tourne vers moi:—Benoit, je m'étonne que tu ne la reconnaisses pas. Elle est pourtant venue chez toi, il y a 6 ou 7 mois.
—Ah ?
—Mais oui, Maryse lui avait demandé de passer. Un problème d'informatique. Tu ne te souviens pas ?
—Je ne devais pas être à la maison lorsqu'elle est venue. Sinon je m'en souviendrais. Le problème c'était quoi ?
—Des fichiers perdus je crois. Il faudrait lui demander.
Là-dessus d'autres personnes viennent nous rejoindre et nous changeons de sujet.
La conversation change mais ce que je viens d'apprendre sème le trouble. A l'époque j'avais été surpris que Maryse soit capable de faire ce qu'elle avait fait, mais réflexion faite, à la lumière de ce que vient de me dire Mireille, la donne était changée.
Et toujours le regard de Clarisse vers moi ? Que sait-elle de moi ? Est-ce elle qui a fait ce ménage qui m'avait étonné ?
On finit par se retrouver, comme attirés l'un vers l'autre.
—Clarisse c'est bien ça ? Tu as changé. J'imagine que tu as du beaucoup entendre cette remarque depuis ton retour.
Elle sourit.
—C'est vrai.
Un silence. Et puis soudain sérieuse—J'ai appris pour votre femme, je suis désolée.
—C'est la vie ! Justement à ce propos je voulais te demander : Tu es bien venue à la maison il y a quelques mois ?
—Oui.
—C'est toi qui…Mais elle me fait signe d'arrêter.
—Clarisse! Chérie! Alors tu es de retour parmi nous.
C'est une voisine qui vient nous interrompre.
C'est ce que je n'aime pas dans ce genre de fête. Moi je ne sais pas m'immiscer et n'arrive pas à m'inclure quasi de force dans une conversation.
Je vois bien au sourire gêné de Clarisse qu'elle aussi aurait voulu continuer de bavarder avec moi. J'ai l'impression qu'elle connaissait la question que j'allais lui poser.
En m'éloignant je fais un signe discret vers elle et pars ostensiblement vers ma maison. Au moment de franchir la porte du jardin, je me retourne et constate qu'elle me suit du regard.
Quelques minutes plus tard je la vois franchir le portillon et je lui ouvre la porte de la maison.
—C'est gentil d'être venue. Je ne te retiendrai pas longtemps. J'ai juste une question à te poser.
—Pas de problème, de toute façon moi aussi je voulais vous parler.
—Bien. Voici ma question. Es ce que Maryse t'a demandé de faire quelque chose sur mon ordi ?
—Oui.
—Et elle t'a demandé ça comment ?
—Et bien elle m'a fait tout un laïus comme quoi vous alliez vous séparer. D'ailleurs c'est après, par ma mère, que j'ai su qu'en réalité c'est elle qui partait. Elle m'a expliqué que vous aviez des gouts particuliers et que vous filmiez votre intimité.
—Ah!
— Oui et elle m'a fait comprendre que c'était très compromettant et qu'elle avait peur que cela soit connu. Que peut être vous vouliez les diffuser pour lui nuire ou la faire chanter si votre séparation se passait mal.
—Donc j'étais le méchant. Et qu'est-ce que tu as pensé de cette histoire de films ?
—Que malgré votre âge vous étiez très à la page en faisant des sextape.
—Merci, je prends ça pour un compliment. Et alors tu as fait quoi ?
—J'ai fait ce qu'elle m'a demandé. Manifestement elle ne connait rien à l'informatique car c'était facile. Elle savait qu'il y avait un dossier pour les photos de famille, de vacances, etc. Il m'a suffi de les mettre de côté, de chercher tous les fichiers qui avaient les bonnes extensions, de les regrouper et de les supprimer. Sur le NAS de votre Box aussi. J'ai vu que vous ne mettiez rien dans les clouds.
—Maintenant je comprends.
—Je suis désolée.
—C'n'est pas grave—Si vous voulez je peux vous les rendre.
—Les rendre ?
—Pour ne pas faire d'erreur je fais toujours une copie avant d'effacer définitivement. Comme cela, en cas de problème je peux réparer.
—Tu veux dire que tu as une copie de tout ?
—Oui. Sur une clé USB. Je l'ai chez moi. Je pourrai vous la donner.
—C'est gentil mais moi aussi je fais des sauvegardes sur un disque externe. Et il était à jour.
—Ah !
Elle semble déçue. Elle devait penser que…Mais si elle a conservé les fichiers, pourquoi n'aurait-elle pas….
—Tu as regardé ? Dis-je doucement, comme une question qui ne demande pas vraiment de réponse.
Oh ce regard coupable. Elle m'évite. Et pourtant :—Oui…Un peu…Je souris autant par son minaudage que d'imaginer cette gamine découvrir nos vidéos.
—Un peu ou beaucoup ?
Elle prend de l'assurance en voyant que je ne me fâche pas de cet aveu.
—Beaucoup.
—Tu as dû être choquée ?
—Choquée ? Pourquoi ?
—Tout de même ce ne sont pas que de simples sextape.
Elle rit.
—Il y a longtemps que je sais ce qu'est la vie. Vous oubliez que ma mère a eu quatre hommes dans sa vie.
—Et ?
—Elle a le plaisir explosif.
—A ce point ?
—Difficile de ne pas savoir qu'elle jouit.
—C'est normal de parler de sa mère de cette façon ?
—Je ne sais pas, mais ce que je sais c'est que je l'aime. Ma première fois a été à 15 ans et depuis je n'ai pas…—Oui.
—Mais je ne suis pas là pour parler de ma mère.
—On est bien d'accord.
—Mais ça m'énerve cette façon de me dire "" Circule il n'y a rien à voir. Tu es trop jeune pour comprendre"".
—Je ne dis pas que tu ne comprends pas, je dis que…—Elle vous manque ?
—Qui ?
—Ben, Maryse votre femme !
—Pourquoi tu poses cette question ?
—Vous étiez si complice ! J'ai pu suivre votre parcourt. Vous classez vos fichiers de façon très claire.
—Comme ça tu as compris !
—Oui. On voit bien qu'au début vous expérimentez tous les deux. Et puis on voit apparaitre des invités…Pour Maryse et que vous regardez.
—On appelle cela le Candaulisme.
Une seconde je me dis que je suis en train de parler sexualité avec une gamine de 22 ans. Tout ça parce qu'elle a piraté tout mon dossier qui…C'est vrai que dès le début j'ai filmé ou photographié nos ébats…D'abord tous les deux…Puis avec un autre homme…Puis avec un couple…Des soirées chez nous… la première fois ou un partenaire de Maryse l'a traitée différemment…L'étonnement que cette pratique déclenchait des orgasmes dantesques…Mon apprentissage comme le sien de notre nouvelle relation Soumise/Maitre…L'attrait de certains amis pour nous rejoindre dans cette pratique donnant lieu à des soirées ou rien n'était interdis si ce n'est par un " Non" que je n'ai jamais entendu.
Alors quand Maryse est tombée amoureuse, au début j'ai pensé à un feu de paille, notre relation de couple me paraissant à la limite de l'addiction. Mais non, elle est partie et de faire effacer toutes les traces de ce que nous avions vécu ensemble m'a montré que j'avais tort.
Et maintenant cette gamine qui s'inquiète pour moi !
—Le Candaulisme…Le libertinage…L'échangisme…Le BDSM…La soumission et tout ce qui va avec. Tu es contente ? Merci de t'inquiéter pour moi, mais j'ai d'autres amis encore fidèles.
—C'est fou ! Mais je n'avais jamais imaginé que c'était possible! En plus par un couple qui habitait près de chez nous. Ma mère ou quelqu'un d'autre est au courant?
—Personne. Nous avons toujours cloisonné…A part toi maintenant…Un silence.
—Personne ne t'a vu entrer ?
—Non, pourquoi ?
—Alors je vais te garder en otage.
—Quoi ?
—Je ne peux pas te laisser repartir avec un tel secret.
Elle se crispe.
—Mais…J'éclate de rire.
—Je plaisante. Mais je compte sur toi pour ne jamais en parler à personne. Surtout pour Maryse. Il ne faudrait pas que tout cela vienne aux oreilles de son compagnon. J'ai bien peur qu'elle ne lui a jamais parlé de tout ça.
—C'est gentil de penser à elle. Après tout ce qu'elle vous a fait.
—Tu sais, j'ai dû la décevoir. Peut-être que je ne pensais plus qu'à nos jeux et que le reste du temps j'ai oublié de la traiter en épouse avec toute l'attention que cela demande.
—Pourtant à ce que j'ai vu vos jeux semblaient lui donner toute satisfaction.
—Je pense, mais…—Je l'envie d'avoir atteint de tels plaisirs.
—J'imagine, belle comme tu es que tu ne dois pas manquer de partenaires. A moins que tu sois en couple ?
—Non, je n'ai pas trouvé l'âme sœur. Pourtant ce n'est pas faute de chercher. Je vous envie. Depuis six mois je ne pense plus qu'a cela.
—Cela quoi ?
—La Soumission. Cela parait si beau. Le plaisir de votre femme, de ceux qui participent….
Un silence. Que dire ? Chacun doit trouver sa voie et cette gamine à tout le temps pour…—Je vais rester plusieurs mois chez ma mère.
—Nous aurons l'occasion de nous croiser. Maintenant je pense que nous devrions retourner à la fête.
Elle ne bouge pas. Elle hésite comme si elle voulait parler et puis :—Vous ne voudriez pas devenir mon Maitre et m'éduquer ? Je pense que je serais une bonne Soumise.
J'ai bien compris ? Elle se propose comme Soumise ? Comme cela de but en blanc ! Alors qu'on ne se connait pas !
—Ta génération est trop dans le virtuel. Ce n'est pas parce que tu as vu nos vidéos que tu en saisis bien la réalité. La Soumission ne tombe pas du ciel. C'est une progression dans une vie sexuelle.
—Mais j'ai une vie sexuelle. Je ne compte plus les partenaires. C'est bien, mais même en changeant j'ai l'impression de tourner en rond, de ne plus avoir de surprises.
—Ecoute il en n'est pas question. On ne se connait pas. Je pourrais être ton père.
—Et alors ?
—Alors c'est non.
Elle est déçue c'est une évidence. Elle boude. Elle est mignonne comme cela. Sa mère vingt années plus tôt. Elle doit tenir d'elle. J'ai toujours été attiré par Mireille. Une belle femme, qui n'a pas froid aux yeux, qui en ait à son quatrième mari ou compagnon. Pas de doute que sa fille a été à bonne école.
—Il faut vraiment qu'on y retourne. Ta mère doit se demander où tu es !
—Bon, puisque vous ne voulez pas…Un caprice. Son idée de Soumission n'était qu'une idée passagère…—…Mais avant d'y retourner vous ne voulez pas me montrer l'endroit ou…Dans beaucoup de vidéos cela se passe dans une pièce manifestement aménagée pour…Par la mini fenêtre je pense avoir reconnu votre rangée de fleurs qui bordent votre maison.
Putain elle a l'œil ! Elle a dû voir et revoir nos vidéos pour découvrir ce genre de détails. En général le regard est plus attiré par ce qui se passe… Après tout, si ça peut lui faire renoncer…Il y a une belle différence entre voir mon équipement utilisé dans le feu de l'action et le découvrir inutilisé, froid, presque inquiétant.
—Bon d'accord. Mais juste un œil et tu oublies cette idée idiote. Aussi tu me promets de jeter cette clé et de faire comme si elle n'avait jamais existé.
—Je promets. C'est où ?
— Suis-moi.
Elle a parfaitement identifié l'endroit. Ma maison a un très grand sous-sol. Il y a longtemps déjà nous avons éprouvé le besoin d'en emménager une grand partie pour pouvoir recevoir des invités en toute discrétion, séparant ainsi la parie couple classique à l'étage, du couple libertin. L'adjonction d'une vaste douche à l'italienne, juste séparée par une grande vitre, permettait d'offrir ou de participer à des ébats torrides.
J'avais fait doubler les deux soupiraux qui donnaient sur le jardin, sans vis-à-vis. Même la musique à fond ne se faisait pas remarquer à l'extérieur. Alors, vous pensez, les soupirs, les gémissements et même certains cris que nos jeux pouvaient déclencher nous restaient comme des cadeaux et des souvenirs.
La porte est blindée et fermée par une serrure à code. Ainsi personne, la femme de ménage, un ami égaré, même un cambrioleur ne peut la franchir et découvrir notre secret. Le secret, Maryse et moi y attachions beaucoup d'importance. Son travail dans l'administration fiscale et le mien dans l'éducation n'auraient pas supporté que cela se sache. Le libertinage encore pouvait passer, mais nos jeux et soirées de BDSM auraient été perçus comme des tares nous rendant indignes de nos fonctions publiques.
J'ouvre la porte. Elle est juste derrière moi, impatiente. Je sens sa respiration.
Elle s'ouvre sans bruit malgré son poids. Je fais un pas pour éclairer et puis lui laisse le passage. La lumière est tamisées mais suffisante pour remarquer que la pièce n'est pas classique. Encore que sa taille permette une séparation virtuelle entre la partie pour soirée dansante, libertinage classique avec le confort d'un lit, de fauteuils et de canapés, et celle plus "donjon" avec son équipement particulier.
Chaque fois que je rentre ici, depuis le départ de Maryse, pleins de souvenirs me reviennent. Pas seulement des souvenirs de culs mais aussi de la complicité avec laquelle nous avons aménagé la décoration, choisi chaque objet, installé chaque équipement, du plus petit au plus grand, du plus anodin comme un sextoys au plus encombrant comme la croix de saint André, le lit avec tout son attirail pour immobiliser et tout le reste. Elle me manque ma salope de femme. Si elle me revenait…mais, si j'ai eu de l'espoir, il est parti après ces six mois…Je saurais la rendre heureuse. La gâter…Lui faire comprendre qu'elle n'est pas qu'un objet sexuel mais mon épouse…Lui faire des cadeaux, comme des fleurs, de beaux bijoux et non pas le dernier gode à la mode, le dernier plug vibrant, la robe la plus sexe… Mais c'est trop tard.
—Je peux ?
Clarisse me demande manifestement pour la seconde foi, perdu dans mes pensées. D'un geste de la main je lui donne mon autorisation. Elle part à l'aventure. J'ai encore le souvenir d'une femme qu'un amant avait amené ici pour la première fois dans le but de la "dresser" un peu, et qui elle aussi regardait. Elle regardait, s'étonnait, questionnait, montrant une certaine inquiétude lorsque la réponse lui faisait imaginer quelque sévices particulier.
Mais pas Clarisse. C'est comme si rien ne la surprenais. Elle pose sa main sur chaque meuble comme si elle l'apprivoisait, le reconnaissait. Evidemment si elle a regardé mes vidéos elle ne peut que retrouver certains, en tout cas pour ce qui a été tourné ici. La croix de Sainte André l'attire. Elle manipule les sangles. Et puis sans vraiment que je ne le voie, probablement perdu dans mes pensées, je l'entends dire:—Benoit. S'il vous plait. Punissez-moi. Regardez comme je suis une méchante fille…La coquine a profité de mon inattention pour s'attacher. Pas totalement mais les deux chevilles et un poignet sont prisonniers des sangles qui reste fermée lorsqu'on les engage. Elle ne peut que l'avoir fait exprès. Elle sait très bien qu'il faut une clé pour les défaire.
J'avance vers elle. Elle me fait un regard et une moue de coupable. Décidemment cette fille n'a pas froid aux yeux. Maintenant qu'elle est attachée, je pourrais faire tout ce que je veux. Mais non, elle ne peut gagner ainsi.
—La Croix de Saint André, il faut la mériter. C'est autre chose qu'une punition…Un aboutissement, comme d'ailleurs tout ce qui est ici…Elle ne répond pas.
Elle a perdu.
Je la détache.
Je ta prend par la main et l'entraine vers la sortie. Mais au dernier moment je m'assois sur une chaise et d'une poigne qui force son poignet, l'autre appuyant sur sa tête, je la pousse pour qu'elle se retrouve en travers de mes genoux.
—Moi les gamines pas sages, je leur donne une fessée.
Et dans le mouvement je relève sa jupe pour découvrir que sa culotte est un string laissant les fesses à l'air avec une ficelle qui lui passe dans la raie.
—Beau petit cul.
Je commence par les caresser, constatant la fermeté et la jeunesse de ses rondeurs. Et puis une petite tape, légère comme une aile d'oiseau. Pourtant elle sursaute. Une autre, une autre encore. Et puis je la fesse avec méthode, passant d'une fesse à l'autre, en cadence. Elle soupire.
—Il est encore temps de dire non. Tu sais qu'il suffit d'un geste, d'une parole et j'arrête.
Elle me fait non de la tête. Du coup je n'hésite plus. Ses soupirs se transforment en petits gémissements à mesure que je frappe, que la couleur de sa peau change pour un rose délicat puis plus rouge. Elle se tortille, pourtant elle ne cherche pas à m'échapper. Il lui suffirait d'un rien et elle bascule sur le sol pour s'éloigner de moi. Mais non, elle résiste. Elle résiste ou bien elle à raison, cette punition lui est salutaire.
Je frappe plus fort, cherchant juste a bien répartir mes coups que je mesure tout de même pour rester "supportables", et étaler au mieux cette belle couleur rouge non pas vive mais profonde.
Il me reste à vérifier. Je pose ma main et glisse un doigt vers sa fente. Il entre facilement. La belle est humide. Je le pousse encore un peu plus. Le "Ouii" est assourdi mais audible. Je bouge un peu et le cul se tortille. Elle est humide. Je pourrais la prendre d'un doigt, d'un gode, de ma bitte que j'ai sentis se tendre pendant la punition.
Mais non. Un Maitre doit savoir se retenir pour guider sa Soumise aux bords du plaisir et la retenir au dernier moment.
—Lève-toi.
Elle n'a pas entendu !
—Lève-toi.
Elle obéit. Je découvre son visage avec des larmes. Elle a eu mal mais a résisté. C'est bien ma belle, tu viens de passer ton premier test. Peut-être que si les petits cochons ne te mangent pas je pourrai jouer avec toi.
— Déshabille-toi.
Sans un mot, affichant presque un sourire de victoire, elle s'exécute.
Putain qu'elle est belle. Sa poitrine est petite mais se tient bien droite avec des aréoles très petites d’où pointe un téton qui me semble bien excité. Cela ne la dérange pas de se déshabiller devant moi. C'est vrai que nous sommes intimes, plus exactement elle sait tout de moi, de ma femme, de nos jeux, de notre sexualité et même plus encore.
Voilà elle est nue. Je ramasse sa lingerie qui tient dans ma main. Pas besoin de soutien-gorge push up, la nature s'en charge. Quant au string il tiendrait dans une boite d'allumette…une petite boite…pas la familiale. A propos de familiale je ne peux m'empêcher d'imaginer sa mère à sa place. Putain voilà une salope que j'aimerais dresser, lui apprendre le respect et ne pas passer d'un homme à un autre comme on jette un préservatif usagé.
Mais c'est la fille qui est devant moi. Silencieuse. Qui me suit du regard alors que je vais vers une vitrine.
Avec Maryse nous avions décidé que tous nos accessoires ne devaient pas être cachés dans un tiroir ou l'étagère d'une armoire close. On avait choisi des vitrines. Ainsi chacun, chaque invité ou invitée pouvait suivre par la pensée le cheminement de nos jeux. Dans la catégorie plug je choisi le dernier. Celui que je n'ai pas eu le temps d'essayer avec ma femme, un plug sombre, bien entendu sculpté pour entrer et ne pas sortir, mais surtout vibrant comme un œuf pour la fente, mais le modèle "cul".
Clarisse le suit des yeux. Celui-là elle ne peut pas l'avoir vu dans nos films mais sa forme parle pour lui. Je l'approche de son visage. J'apprécie ce regard fixe, ses lèvres qui s'entrouvrent comme si c'était une évidence.
— Ecoute-moi.
—Oui.
La claque sur les fesses la fait sursauter.
—Tu veux devenir ma Soumise alors commence déjà par m'appeler "Maitre".
—Oui…Maitre.
—Je vais te mettre ce plug. On va repartir à la soirée. Avec ce truc et rien d'autre que ta robe. Je l'activerai lorsque j'aurais envie. A toi de te contrôler. Deux solutions, à la fin de la soirée tu veux continuer avec moi, alors arrange toi pour te libérer et revenir. Ou bien tu ne veux pas continuer, alors je te laisse le plug en cadeau. Mais ne reviens plus après. Compris ?
—Oui, B…Maitre.
— Suce-le.
Je lui donne et m'installe dans un fauteuil. Elle ne se débrouille pas mal. Il est pourtant assez gros, prévu à l'origine pour Maryse dont le cul avait connu de bien belles enculades autant par des jouets que par des bittes d'homme.
—Donne…Penche toi…Ecarte tes fesses…Ce n'est pas si évident pour une femme, ou un homme d'ailleurs, de se placer de cette façon, position humiliante d'autant que c'est pour une possession particulière.
J'ai pitié d'elle et recouvre le plug avec du lubrifiant.
—Ah, avant de commencer je dois te dire, mais tu le sais déjà, que je filme tout. La seule chose que je promette c'est de ne pas le montrer à quelqu'un d'autre…Sauf évidemment si on pirate mon ordi…Une voix, la sienne me dit :—Je pourrai vous montrer comment les protéger.
—Bonne idée.
Mais pendant cet échange de politesse, j'ai posé le plug contre son anneau.
—Ouvre.
Ses mains tirent sur ses fesses. L'image est troublante. Putain même sa corole est belle!
C'est beau. Voir ce monstre sombre, noir profond chargé de symboles pour ceux qui le souhaitent, forcer ce trou et avancer lentement comme un sexe noir qui avance pour posséder. La corolle étrangle l'objet. Je n'entends qu'une respiration. La sienne qui se contrôle. J'imagine que ce n'est pas sa première fois ou bien elle m'a menti avec tous ses amants. Si elle a enchainé les conquêtes, et je veux bien croire qu'avec sa jeunesse, son corps de jeune femme, sa mentalité de jouisseuse, c'est la vérité, alors elle a aussi connu des plaisirs autres que par sa chatte.
Un souffle. Il accompagne le plug en phase descendante alors que maintenant la corolle, abusée par la pente inverse, pousse l'objet dans le cul. La partie externe se place parfaitement, c'est comme une poignée, forme allongée et courbée qui parait moulée sur elle.
— Relève-toi.
—Met ta robe.
—Mais mes sous-vêtements ?
—Ne me dit pas que tu ne t'es jamais promenée comme ça ?
—Non.
—Et tu veux devenir ma Soumise. Mais il faut tout t'apprendre.
—Justement…(avec un air penaud)…Maitre…Je suis une élève à qui il faut tout apprendre…Je suis une page blanche que vous pouvez remplir à votre convenance…Une page blanche mais pas une oie blanche…Demandez et j'obéirai…Son discours ne fait pas naturel. Il est manifestement préparé pour me persuader. Elle est futée la petite garce. Elle a du essayer de tout prévoir. Je l'imagine dans son lit, une tablette a la main ou elle visionne une de nos soirées ou sorties, de l'autre se caresser et laisser son esprit divaguer pour se mettre à la place de celle qu'elle regarde.
—Je verrai. Allez part devant…Attends il faut que je vérifie…Je mets en marche la petite télécommande. La montée est progressive. Son regard vacille. Elle se crispe cherchant à étouffer l'engin en serrant des fesses.
—Il faut rester plus discrète sinon on va se demander ce qui se passe.

La montée de l'escalier n'est pas une des plus élégantes. Elle monte les marches comme si elle avait un balai dans le cul. Que je suis drôle ! Mais, alors que du portillon je la regarde rejoindre les autres, sa démarche est presque normale. Petit à petit elle prend confiance. Non le plug ne tombera pas tout seul, devant tout le monde pour la honte de sa vie…et que dire de sa mère.
Mireille si tu savais que ta fille chérie sort de chez moi et m'a imploré pour devenir ma maitresse, qu'en penserais tu ? Maitresse et bien plus encore…Toi qui ne m'a jamais vraiment regardé. Juste comme un voisin, à peine un ami, alors que je sais par un de tes compagnons chassé de chez toi que tu es une femelle avide et exigeante. Regarde, oui regarde ta fille qui va de l'un a l'autre, qui cache par des mimiques ce que je lui transmets par des vibrations intimes. Tu peux être fière d'elle. A peine 22 ans et c'est comme si elle avait ton expérience. Et toi, chère Mireille, un homme ne t'a-t-il jamais fait gémir comme je vais la faire gémir. Car, je sais maintenant qu'elle a matière à être dressée.
-----------------------------Il est minuit et je ne suis resté que pour suivre du regard en la manipulant à distance celle qui s'est présentée à moi avec une demande si particulière. En temps normal je pars plus tôt en laissant à Maryse le soin de me représenter. Je sais qu'une fois son mari partis, elle faisait l'objet d'amicales propositions. L'alcool coule en général à flot. Pas de voiture pour rentrer chez soi, jusque quelques pas et des murs pour guider. Certains homme, dont Luc et d'autres, une fois les enfants couchés, les épouses parties, se sentaient libérés et retrouvaient des plaisanteries et blagues de jeunesse, que le lendemain ils auraient oubliés. Comme ils auraient oubliés si Maryse ou une autre, éméchée au point de se laisser aller avait cédé à leurs avances. Certains étaient de beaux mecs que plus d'une fois ma femme avait déclaré tentant mais que notre politique du secret rendait intouchables.
------------------------------------Elle ne viendra pas. Si elle avait vraiment continué dans son idée elle serait déjà là. Mais j'imagine que ce premier contact lui a fait comprendre qu'il y a un monde entre fantasme et réalité.
Pas de sonnette, juste quelques coups contre la porte. C'est elle. Elle porte un sac.
—Excusez-moi…MaitreElle me rend mon sourire. C'est bien, je ne veux pas de ces relations trop "cadrées "qui existent parfois entre dominant et dominée ou je cherche toujours la petite lueur qui fait que chacun, s'il se comporte suivant son statut, joue un rôle qui n'a que l'objectif du plaisir.
Elle a dit "Maitre" après une seconde d'hésitation, seconde qui accentue la puissance du mot et de ses sous-entendus.
—….Mais il a fallu que je prévienne ma mère que je partais. Elle me considère encore comme une gamine et j'ai dû lui dire que j'allais coucher chez une copine, et après, faire le tour du pâté de maison pour qu'on ne me voie pas.
Elle ajoute montrant son sac:—J'ai pris quelques affaires pour être crédible….
—C'est bien.
—Mais j'ai cela aussi pour vous…Maitre.
Elle me tend une enveloppe. Une feuille de papier que je déplie. Un document qui a tout d'un papier officiel, en tête, caractères machine, signature. Je lis. Mon regard doit montrer mon étonnement.
—J'ai pensé que cela vous donnerait plus de liberté. Je vous ai entendu parler du désagrément des capotes.
Elle a donc pensé à tout. Se faire faire un contrôle sanguin ! Je la regarde d'une autre œil. Et si elle avait vraiment en elle cette envie particulière. Après tout, pourquoi pas ? Et si….
—Tu veux donc que je te traite comme ma femme, tu es certaine.
—Oui, oh oui, Maitre.
—Sais-tu que je ne filme pas tout, qu'il y a des endroits qu'on ne peut pas filmer.
—Je ne sais pas. C'est vous qui décidez.
Et puis, pourquoi pas. Maryse est partie. Son absence me pèse particulièrement aujourd'hui. Après son retour à la maison on avait l'habitude de….
—Viens.
Elle me suit.
—Monte à l'arrière et cache-toi.
Si elle est surprise que nous partions en voiture, elle ne dit rien. Ma maison est presque au bout de la rue, aussi elle est dans une partie pas fermée à la circulation. Personne ne nous remarque.
—Tu peux t'assoir. Mets ta ceinture.
—Nous…—Pas un mot. Tu obéis c'est tout.

Le samedi soir, c'est un parking connu pour que des couples viennent y chercher l'aventure. Ce sont surtout des couples dont l'homme apprécie de voir sa femme, sa maitresse, sa copine avec un autre homme. Une façon de tester pour une première fois, discrètement, par un inconnu ou bien des couples plus aguerris qui cherchent un peu de piment avec un ou plusieurs partenaires.
Il suffit de stationner. Même à cette heure tardive il y a des voitures. Certaines paraissent vides, d'autres éclairées. Il fait particulièrement doux en cette fin Mai et on devine des silhouettes qui s'activent.
C'est ici que j'amène Maryse. C'est une sorte de récompense d'avoir résisté aux propositions des voisins éméchés. Elle est toute excitée. Depuis quelques années maintenant c'est devenu une tradition. Alors pourquoi pas la continuer avec Clarisse !
Je laisse éclairer le plafonnier arrière. Ainsi je peux voir à l'extérieur. Déjà un homme approche. Il voit qu'une femme est à l'arrière.
— Remonte ta robe. Caresse-toi.
Elle aussi a vu l'ombre de l'homme. Je descends sa vitre. Elle hésite.
—Je peux te ramener chez toi.
La menace fait son effet. La robe remonte.
—Tiens là bien haut, qu'il puisse bien voir.
Une main chasse le tissu, l'autre vient sur son minou. Elle commence doucement, me regarde, regarde l'homme qu'elle voit mieux que moi car je suis à l'opposé.
—Je peux la toucher ? .
—Oui.
Il ne se fait attendre. Déjà une main passe la vitre, et vient se placer sur la poitrine.
—Elle est à poil !
C'est plus une constatation qu'une question. Cette ambiance semble exciter Clarisse. Ses cuisses sont ouvertes, elle se caresse sans discontinuer, sa tête se tourne pour me regarder et son voyeur.
—Stop. Arrête.
Elle sursaute.
—Mais !
Elle obéit quand même. Je sors de la voiture, fais le tour.
Je le reconnais. Déjà la couleur de sa main m'avait donné un indice.
—Salut Benoit. Il semblait avoir reconnu ta voiture mais pas la femme.
—Salut Max. Toujours en recherche ?
—Oui. J'adore l'inconnu. C'est qui cette fille ? Ce n'est pas ta femme.
—Non, une candidate.
Pendant la conversation j'ouvre la porte arrière, tends la main à Clarisse qui sort. Sa jeunesse étonne.
—Oh, elle est majeure au moins ?
Il demande.
—Majeure et vaccinée, mais c'est sa première fois ici.
Je prends Clarisse par la main. Je sais ou l'entrainer. Juste un peu plus loin, en lisière de forêt il y a une table de piquenique. Cet endroit me plait. Il a un côté anodin, familial, naturel. Max nous suit.
Je n'avais pas prévu cela. Dans mon idée c'était juste de faire mettre Clarisse à poil, de la faire peloter un peu, lui faire branler une ou deux bittes et la ramener à la maison. Je ne me sentais pas le droit, ou plutôt pas encore le droit, de la faire posséder par des inconnus. Mais Max n'est pas un inconnu. Je l'ai déjà invité à la maison. D'ailleurs Clarisse a dû le voir sur les vidéos. C'est le partenaire idéal pour toute soirée entre amis. Il est plutôt bien fait et sa couleur de peau en fait un amant que tout homme a envie de voir avec sa femme. Enfin, à la condition de ne pas craindre la concurrence. Il est bien équipé, résistant, puissant et délicat à la fois. Il sait s'adapter à la femelle offerte. Avec Maryse il sait se comporter en rustre, répondant au souhait du Maitre autant que de la Soumise.
Arrivé vers la table, je fais demi-tour entrainant Clarisse avec moi. Nous faisons face à Max. D'autres hommes ont suivi notre manège et se rapprochent, mais d'un geste de la main je leur fais comprendre que je ne veux personne d'autre. C'est l'avantage de ce type d'endroit. Tout le monde connait les codes. Si un homme veut voir sa femme avec plusieurs, il peut. S'il veut juste quelques préliminaires, il peut. S'il n'entraine sa maitresse que pour regarder, il peut.
— Déshabille-toi. Je demande.
Clarisse ne peut ignorer ce qui l'attend. Je lui susurre à l'oreille: "Il est encore temps d'arrêter". Elle me regarde et le signe de la tête me parait un défi lancé.
Elle enlève sa robe. Max apprécie sa beauté.
—Une nouvelle Soumise ?
—Oui.
—Je peux ?
—Bien sûr mais pas de pipe ni par le cul…Regarde il est déjà réservé.
Sa main découvre le plug.
—Sacré Benoit. Je te retrouve bien là. Ta femme n'est pas là ?
Il voit à ma figure que la question n'est pas la bienvenue.
Clarisse ne peut plus reculer. La table lui fait un mur et Max est contre elle. Il la caresse, découvre ses seins si fermes, palpe ses fesses, joue avec le plug tout en me regardant. Il flatte la fente avec fermeté.
—Elle mouille. Tu es sur que c'est sa première fois ?
—C'est ce qu'elle m'a dit. Mais elle a piraté mes fichiers et a tout regardé.
Clarisse va parler mais elle comprend que ce type de conversation ou on parle sans retenue d'elle fait partie du jeu.
—Il lui prend le menton, approche son visage du sien.
—Tu as déjà couché avec un gars comme moi ?
—Non.
Je m'étonne de sa réponse car si elle a passé plusieurs années aux Etats Unis et si elle a vraiment accumulé les partenaires, ce serait étrange que jamais une bitte noire n'est goutée à sa fente. Mais je vois son sourire vers moi. La coquine ! Elle veut laisser à Max l'idée qu'il sera le premier. Décidemment cette gamine pourrait en remontrer à plus d'une…Il recule, défait son pantalon pour laisser sortir sa verge déjà tendue. Une belle bite noire, pas énorme mais, et j'ai eu l'occasion de la comparer avec la mienne, plus longue et plus grosse toute de même.
Il tend la main vers moi. Il sait que c'est toujours moi qui fournis les capotes. Je ne fais pas confiance aux capotes qui viennent de je ne sais ou en ce monde unifié. Je choisi Français, pas trop mince pour plus de sécurité. Je me sens responsable !
Je la donne à Clarisse. Elle la positionne, la fait dérouler comme une vraie pro. Je ne sais si ce n'est par comédie ou par réelle étonnement mais le regard qu'elle jette à Max est celui d'une femme plus que troublée. Mais Max est bien chaud. Il a senti les mains douces de la gamine sur sa queue.
Il la fait se relever, la tourne, elle n'a plus alors que la table pour s'appuyer. Elle me regarde comme si elle voulait mon assentiment. Déjà Max guide son mandrin vers la fente. Son bâton noir frôle l'autre, celui qui occupe le cul de Clarisse. Un instant je pense que c'est trop, que le plug est trop gros et qu'avec la queue noire de Max, cela va faire trop. Après tout je ne sais rien des habitudes de cette gamine. Mais Max ne s'en occupe pas. Il s'est placé et semble tracer son chemin. Il est en "mode délicat" et la possède doucement. Je surveille le visage de la femelle, mais n'y trouve que…—Ahhh.
Elle a gémit. Je m'inquiète.
—Ça va ?
Une voix sourde me répond : Oui,,,c'est gros avec le….Ohhh. Max a continué et maintenant remplit la petite pute de tout son mandrin. Déjà il bouge. Il a saisi la chienne par les hanches et la possède lentement dans un mouvement ou la douceur ne peut cacher la puissance de ce qu'il fait bouger dans cette fente humide.
Il la baise. Elle gémit. Elle me regarde. Je vois à son regard trouble que cette "punition" lui fait du bien. Quand je pense qu'il y a quelques heures je posais la question à Luc sur cette fille.
Sa main se tend vers moi. Je m'avance un peu plus. Cette main se pose sur mon pantalon, passe sur la bosse que je ne peux cacher. Je bande évidemment, qui ne banderait pas de ce spectacle. D'ailleurs un cercle s'est formé à quelques mètres. Des hommes se sont approchés alléchés par l'odeur du cul, tentés par la jeune femme et pensant pouvoir prendre la suite de Max.
La main cherche ma ceinture. La salope veut voir. Si jeune et déjà si salope!
Elle voit. Déjà elle tend la main, mais je la retiens. Pour une première fois cela doit être autre chose qu'une pipe anodine.

La minute suivante elle est couchée en travers de la table, les jambes relevées, posées sur les épaules de Max qui la bourre, alors que moi je pousse ma queue dans sa gorge qu'elle m'offre avec sa tête penchée en arrière. Max sait que maintenant il peut laisser parler son envie. Il sait par expérience qu'à chaque coup de rein la gorge me gobe un peu plus.
Tu me voulais ! Tu m'as! Ce n'est pas toi qui me suce, c'est moi qui me baise dans ta gorge, te libérant juste ce qu'il faut pour que tu n'étouffe pas. Tu pleures, tu tousses, tu craches, ton visage de gamine est maintenant celui d'une pute, pute sans âge qu'un client envahit.
Max te libère. Il arrache sa capote et crache son jus sur toi, de grandes trainées de foutre. Quel dommage que le foutre d'un noir ne soit pas de la même couleur, traçant des sillons et gouttes sombres sur ta peau blanche. Mais non, pourtant tu es souillée et tu le sens, comme tu dois sentir que moi aussi je viens. Je me libère dans ta gorge et ne te laisse pas le choix de refuser ce que tu es venue chercher en me défiant chez moi, il y a … Pas d'autre choix que de boire ma liqueur…Rassure toi je suis clean, moi aussi. Il n'y a pas bien longtemps que j'ai fait un contrôle, même si je ne prends aucun risque.

Ils ont été déçus de ne pas pouvoir profiter de cette jeunesse surprenante en ces lieux plutôt fréquentés par des couples et des hommes d'âge mur. Ils ont dû se contenter du spectacle de cette jeune pute rejoignant, nue, accompagnée d'un homme qui commence à apprécier ce cadeau que le ciel lui a envoyé, la voiture ou elle monte avec élégance malgré son visage et son corps souillés. Une Soumise en devenir, bien obéissante et dont les qualités sont manifestes.
—Merci.
Elle dit alors que nous sommes sur le chemin du retour.
—Tu as aimé ?
—Oui, au début j'avais peur que vous me livriez à ces hommes.
—Si je l'avais fait, tu aurais fait quoi ?
—Je pense que j'aurais refusé….Je ne sais pas…Ce Max est bien celui que j'ai déjà vu sur vos vidéos ?
—Oui.
—Ah, il me semblait bien ! Vous l'appréciez beaucoup !
—Oui, c'est une excellent partenaire. Il plait beaucoup aux femmes. Maryse l'aimait beaucoup.
—Pas seulement aux femmes si j'ai bien vue !
Je réalise d'un seul coup que parmi toutes les vidéos elle a dû en voir une ou j'avais posé la caméra en oubliant de l'éteindre. Et cette caméra avait filmé une scène qu'une Soumise n'est pas censée voir. Un moment ou Maryse, Max et moi avons joué à un jeu à trois et ou Max m'avait possédé alors que moi-même j'étais au plus profond de ma femme. Cela arrivait parfois ou Maryse voulait me voir ainsi, ajoutant une couche de perversité à nos habitudes. Je n'ai aucune honte à reconnaitre que ce Candaulisme inversé était bien agréable. Il y a bien longtemps que Maryse m'a possédé avec un de ses godes et même parfois avec un gode ceinture. Mais ce spectacle n'était pas pour une Soumise.
—Tu ose faire cette remarque à ton Maitre ? Tais-toi, jeune trainée. Je vais te punir pour avoir osé aborder ce sujet.
Elle est étonnée de ma réaction.

Arrivé à la maison je l'entraine au sous-sol. Le tabouret et son carcan la reçoive. Je l'installe. Elle me suit du regard alors que je positionne la caméra devant elle, découvre les deux écrans….
Le premier qui montre son visage, un visage ravagé, qui la vieillit de 10 ans, ou les larmes, la salive, même des traces de foutre sont la signature de ce qu'elle vient de subir sur le parking. Subir n'est peut-être pas le bon mot, car les larmes ne doivent être que le réflexe lorsque ma queue butait contre son palais. La preuve c'est ce remerciement dans la voiture sur le chemin du retour et cette conversation surréaliste!
Le second c'est ma bitte qui ouvre son petit cul. Elle l'ouvre facilement, le plug ayant fait son office pendant toute la soirée sans parler des quelques gouttes de lubrifiant.
Maintenant j'ai la réponse à ma question. Ce n'est pas le cul d'une vierge. Manifestement il a déjà connu des possessions. On dit que les Américaines, et après tout Clarisse est avec son père aux States depuis ses 15 ans, pour garder leur virginité accordent facilement leur petit trou à leur copain. Probablement que Clarisse s'est moulée dans cette éducation et que de nombreuses bites se sont glissées dans son cul avant de connaitre sa fente.
--------------------------------
—Aie .
J'ai tapé fort. En plus du "Maitre" qui manque à sa réponse c'est probablement aussi parce que je me suis senti mis à nu lorsqu'elle a évoqué cette vidéo ou on voit Max me défoncer le cul et, si mes souvenirs sont exacts, je couinais comme une femelle alors qu'il me labourait, donnant une image corrompue du Maitre que je dois être pour cette jeune chienne. Pourtant cette petite pute a évoqué cette possession sans vraie moquerie, cherchant juste à se rapprocher de moi.
Elle a compris —Oui, Maitre.
—C'est mieux. Et quoi encore ? Que vois-tu dans l'écran. Je veux que tu me commente..
—Moi…Mon visage…Qui…Oh vous êtes gros…Mes fesses et votre sexe qui…Qui avance…Que je sens…Qui m'ouvre…Qui avance..
—Bien continue…Si tu as vu mes vidéos, tu sais que j'aime bien qu'on commente.
—Oui…Oui Maitre j'ai vu…Comme je me vois maintenant…Mon visage est souillé…Vous m'avez offert votre amiLa claque la surprend à nouveau.
—Je ne t'ai pas offert Max…Je t'ai donnée à Max…Ne renverse pas les rôles.
—Oui…Pardon et Ohhh…Je bouge en elle. Le plug a bien fait son travail et les quelques gouttes de lubrifiant ont rendu son cul bien humide. Il est serré et c'est bon. Son conduit me presse de partout. Celui de Maryse, au fil des années, et s'il reste bien plus étroit que son vagin, s'est habitué. Il reste bien agréable à prendre, surtout si un gode ou une autre bitte occupe sa fente. Mais celui de Clarisse c'est comme une découverte.
—..C'est bon…Continuez…Je suis votre pute…Prenez moi…Je la surplombe. Le banc est parfaitement réglé à ma taille. Son cul m'est facilement accessible. La cambrure parfaite. La pente du banc adaptée. Je pourrais l'enculer pendant des heures. Des heures… enfin si Priape me prêtait assez de force pour résister.
—T'es vraiment une salope.
—Oui…Votre Salope…Maitre…Vous voulez bien de moi….Oh, oui…défoncez moi…Je suis votre chienne…Faites-moi ce que vous voulez…Oh, mon Dieu que c'est bon..
Ce n'est pas du chiqué ou une simulation. Elle utilise le peu de mouvement que les sangles lui laissent pour venir à moi et son visage que l'écran détaille ne peut pas mentir. Elle aime…Oui, elle aime…elle adore… plus que tout elle aime… c'est beau comme elle aime… c'est fou comme elle aime…J'espère que l'auteur des paroles de cette chanson me pardonnera, si du haut de son Olympe il s'intéresse à un copieur comme moi, de les déformer et de les détourner, mais c'est aussi une groupie que j'ai avec moi. Une groupie un peu particulière. Elle n'attend pas de moi que je joue du piano ou d'un instrument de musique, si ce n'est de Mon Instrument dont la mélodie prend aux tripes surtout lorsque c'est dans le cul de la groupie qu'il s'active.
Et il s'active. J'ai envie de la faire crier, de la faire hurler, de m'implorer de ne pas m'arrêter.
J'en demande un peu trop, mais tout de même si moi je surveille son visage sur l'écran, je vois bien qu'elle, c'est l'autre qu'elle suit. On néglige toujours le coté visuel, l'approche "intellectuelle" de la sexualité avec son coté fantasme qui stimule toutes les sensations.
Mon ventre tape sur ses fesses. Chaque fois que je l'encule bien à fond, une crispation déforme sa bouche, ses yeux cillent. Ses paupières battent à mon rythme.
Putain que c'est bon. J'imagine déjà le montage parfait que je vais pouvoir faire de cette scène. Je commencerai par son installation avec la fermeture de chaque sangle. Un passage au ralenti devrait amplifier l'impression de soumission. Des ralentis aussi que j'inclurai dans la vidéo ou à gauche de l'écran on verra son visage se déformer alors qu'à droite on pourra suivre une progressions, qui si elle est ralentie, n'en demeure pas moins envahissante.
A ce rythme je ne vais plus pouvoir tenir longtemps. C'est fou comme cette jeune salope tombe à pic, meublant le désert sexuel dans lequel ma femme m'a laissé. Ce ne sont pas quelques baises qui peuvent remplacer cette communion qui existe entre Dominant et Soumise.
Enfin je vois son regard chavirer. Elle a oubliée de commenter et c'est la preuve que ses émotions l'ont emportée sur le reste. Elle n'est qu'une femelle que l'orgasme balaie comme une marée que l'on souhaite ne jamais redescendre.
Moi aussi. Mon foutre lui lessive le cul ! Quelle bonne idée de se faire dépister. Petite tu as tout ce qu'il faut et ce qu'il te manque je me charge de te l'apporter…
Le silence n'est que respirations ! Je reste en elle mais mon sexe se réduit.
Oh que j'envie ces hommes qui peuvent bander sans discontinuer pour repartir selon leur envie.
Mais non, je ne les envie pas. Chaque jouissance doit être suivie d'un apaisement, que les sens puissent revenir plus normaux, que le cerveau doucement sevré de plaisir, enregistre bien ce moment pour chercher à le reproduire et commander au corps pour le satisfaire à nouveau.

—Tu devrais lui mettre un plug pour qu'elle….
Une voix ! Cette voix ! Je tourne la tête. Je découvre d'abord une silhouette. Il n'y a pas que Clarisse qui transpire, ravivant d'ailleurs le foutre que Max a balancé sur ses reins, moi aussi et la sueur trouble ma vue.
—Maryse ? C'est toi ?
—Tu attendais quelqu'un d'autre ?
—Non, mais je ne savais pas que…—Moi non plus. C'est le souvenir des Fêtes de la rue qui m'a fait…Mais manifestement je ne te manque pas.
Je vois la silhouette bouger. Elle part.
—Maryse attend.
Je crie et nu comme un vers, la bitte qui se balance, je cours vers elle…

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