Post divorce - épisode 2
Récit érotique écrit par Bondhard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Bondhard ont reçu un total de 44 217 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 287 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Post divorce - épisode 2
Les souvenir du Gangbang suffisent à m’exciter le reste de la semaine. Je continue à me branler devant la glace, écartant mes fesses, écrasant mes testicules et mes mamelons, et je termine toujours à genoux à lécher ma propre semence en imaginant que Bertrand et son ami me contraignent à le faire.
J’ai beau essayer de me mentir à moi-même, Bertrand a raison : ce sont ses insultes et la façon dont il m’a traité qui m’ont mis dans cet état. Je me souviens alors d’une aventure pas si lointaine où j’étais allé dans un cinéma à programme double du 10ème arrondissement avec un copain. Avant que le second film ne débute, il avait décidé d’aller pisser et s’était rendu aux toilettes. Lorsqu’il était revenu – très rapidement ! – il m’avait dit sur un ton de comploteur – visiblement très gêné –:
- Bravo ton ciné ! Ne vas pas aux WC, s’est un rendez-vous de pédés !
A cette époque j’étais encore marié mais je sais maintenant que j’avais déjà ces pulsions que je réfrénais tant bien que mal. Après le divorce et l’affaire du Gangbang, je me décide à franchir un pas supplémentaire. Je retourne dans le cinéma, seul cette fois, durant le déjeuner. Exit le film puisque je passe mon temps à regarder les allées et venues incessantes dans les toilettes. Je bande ferme rien qu’en imaginant ce qui se passe à l’intérieur mais je n’ose pas me lever et aller voir réellement.
C’est alors qu’un type dégarni d’une cinquantaine d’années s’assoit dans ma rangée à trois sièges de moi. Il est bedonnant et porte un costume, des lunettes et pose sa petite mallette de cadre à côté de lui. L’archétype du chef comptable tyrannique !
Je reporte mon attention sur l’escalier des toilettes puis regarde après quelques minutes à nouveau le type. Il a sorti une grosse bite molle qu’il tripote en me regardant. Il sourit et me désigne sa queue du menton. Affreusement gêné, je détourne les yeux. Mes pensées sont confuses. L’excitation se mêle au dégoût et à la honte et j’hésite à m’enfuir.
Je n’ose plus bouger quand je le vois qui s’est reculotté, se lève et vient s’asseoir juste à côté de moi. J’imagine que pour lui, le fait que je n’ai pas changé de place immédiatement est clairement une acceptation. Je reste les yeux fixés sur le film sans le voir. Il se penche vers moi et murmure :
- Elle est grosse, hein ma salope ?
Je ne réponds pas mais ma bite est prête à exploser. Il met sa main sur ma cuisse. Je ne la retire pas. Il remonte sur ma braguette et sent la bosse causée par l’excitation.
- Hé ben, ça te fait de l’effet, pédale ! C’est à peine du clito de travelo que tu as là-dedans mais c’est bien dur…
Il prend à pleine main ma bite et la serre douloureusement à travers le tissu. Je gémis. Il serre plus fort. Je ne me rebelle toujours pas.
- C’est comme ça que tu aimes, petite pute ? Quand ça fait mal !
Je suis mortifié et je n’en reviens pas moi-même d’acquiescer de la tête. Il reprend en ricanant :
- Tu ne parles pas ? C’est pas grave ! Tu vas baisser ton froc puis me sucer alors. Autant occuper ta bouche de pipeuse pendant que je tripote ton clito, hein ma chienne ?
Je dégrafe ma ceinture et fait glisser mon pantalon sur mes cuisses. Mon gland sort comiquement par le haut de mon slip. Je vais pour le baisser aussi quand il m’attrape par la nuque méchamment:
- J’ai parlé du pantalon, rien d’autre, pédé ! Tu es sourd en plus d’être muet ?
- Non. Pardon.
Ce sont mes premiers mots depuis le début de cette histoire et ma voix est éraillée, comme enrouée. Il serre un peu plus sa main sur ma nuque.
- Je t’ai autorisé à répondre, salope ? Quand tu t’adresses à moi, tu dis « monsieur Jacques » !
- Pardon, monsieur Jacques.
- C’est mieux, pédé. Suce-moi maintenant !
Il m’attire vers son bas ventre. Je défais sa ceinture et les boutons de son pantalon fébrilement. Sa grosse queue molle est sortie de son slip. L’odeur est âcre. J’avance mes lèvres, la langue sortie. Le dégoût revient mais l’excitation est plus forte et je prends l’épaisse tige de chair au repos en entier dans ma bouche. Sa main quitte ma nuque.
- Ahhh c’est bien, petite pute ! Pompe-moi maintenant... à fond !
J’aspire et je fais tourner ma langue, excité comme jamais d’avoir UNE BITE dans la bouche. Simplement me le dire manque de me faire juter. De son coté, monsieur Jacques a mis sa main dans mon slip et me malaxe les fesses. Comme je suis toujours partiellement assis, il me donne une petite claque dessus.
- Décale toi que je t’inspecte le trou, pédé !
Je ramène un genou sur le siège et laisse mon autre jambe droite pour me retrouver presque à plat ventre sur le siège pour faciliter l’accès.
- C’est bien, salope ! Cambre-toi maintenant.
J’obéis et il glisse sa main en entier dans mon slip, descend dans la raie et me touche l’anus. Je pousse un soupir.
- Mais c’est tout neuf ça ! Je m’en doutais un peu car tu suces mal. C’est ta première pipe, pédé ?
Je m’interromps un instant et souffle :
- Oui, monsieur Jacques.
Sa bite est toujours molle dans ma bouche mais l’excitation ne me quitte pas et je le reprends en bouche. Il enfonce lentement une phalange dans mon anus. Je soupire et je pousse inconsciemment mes fesses sur sa main.
- C’est qu’elle aime ça, l’enculée…
Il enfonce son doigt en entier et je murmure, les yeux fermés :
- Oooh …
- Ça va être un plaisir de te défoncer, pédale ! T’es bien prédisposée et il ne faudra pas longtemps avant que tu me supplies de t’organiser des bonnes tournantes qui te laisseront la chatte du cul béante ! Mais on va faire les choses bien alors, ma salope !
Il ressort son doigt et me le glisse dans la bouche à côté de sa verge. Je le lèche avec application puis il me tape un coup sec sur les fesses.
- Arrête de me sucer et remet ton froc. De toute façon, je ne banderai pas avec une si mauvaise suceuse. Mais t’inquiète, une fois mise au tapin, à la chaîne, t’apprendras vite !
Surpris, j’obéis. Je bande tellement que j’en souffre. J’ai envie qu’il me fasse mal et qu’il me défonce comme un morceau de viande. Il doit le sentir quand il me dit :
- Viens on va monter. Un refoulé comme toi, ça se savoure et ça se prépare. Tu ne seras pas volé, fais-moi confiance mais pour le moment tu vas juste regarder ce qui t’attends.
Il se lève et se dirige vers les escaliers qui mènent aux toilettes et je le suis docilement. Mon érection n’est pas retombée quand il pousse la porte et me fait signe d’entrer mais je n’en mène pas large. A l’intérieur, l’odeur me prend à la gorge. C’est un mélange d’urine, de sueur et de sperme qui ajoute une fois encore autant à mon dégoût qu’à mon excitation. Et ce que j’y vois renf0rce ce sentiment paradoxal.
Un jeune garçon blond et rondouillard entièrement nu est debout mais suffisamment penché pour avoir la tête devant un urinoir. Derrière lui, un arabe très maigre est accroché à ses hanches et l’encule brutalement. Les grands coups de boutoirs arrachent au jeune des plaintes couvertes par les insultes qui fusent de part et d’autre. Les deux queues qu’il suce en alternance de chaque côté de l’urinoir ne l’aident pas non plus à parler.
Une demi-douzaine d’hommes d’âge et de races différentes attend patiemment leur tour en branlant leurs queues plus ou moins molles. Un homme en costume impeccable à l’allure distinguée est en retrait de la scène et d’adresse à monsieur Jacques en souriant.
- Bonjour Jacques ! Ca faisait longtemps, dîtes moi ! Vous venez voir les progrès de ma dernière putain ?
- Bonjour Pierre-André. Non en fait je venais plutôt montrer à cette tapette refoulée ce qui lui arriverait bientôt, dit-il en me désignant.
Il me balance une claque sonore sur les fesses et ajoute :
- Elle a du potentielle, la salope ! C’est sa première sortie et elle m’a pompé dans la salle pendant que je lui doigtais le cul ! Elle m’aurait bien avalé les doigts et le reste avec son petit trou vierge en plus !
- Laissez-la-nous, Jacques ! J’ai peur que ma petite putain ne faiblisse et la vôtre la remplacerait à merveille, j’en suis certain !
Les regards se tournent vers moi et je baisse les yeux, mortifié de honte. Plusieurs des hommes qui se masturbent pointent leur verge vers moi et balancent des « à genoux pipeuse ! » et autres « vient sucer mon gros nonos, chienne » qui achèvent de me réduire à l’état de larve. L’ami de monsieur Jacques se dirige vers moi. Je n’ose même pas le regarder et reporte mon attention sur les hommes de l’urinoir. L’arabe vient de sortir sa queue épaisse d’entre les fesses du grassouillet dont l’anus complètement défoncé reste béant. Un de ceux qui se faisait sucer prend sa place et encule le soumis d’un coup sec. L’arabe se branle en ahanant et se vide sur le visage du garçon maintenant couvert de jute puis le prend par les cheveux et enfonce sa grosse bite mollissante entre ses lèvres ouvertes en soufflant.
- Le spectacle te plait, pédale ? me demande Pierre-André.
- Je… je ne sais pas…
La gifle que je ramasse me surprend mais ma réaction – si j’en avais eu une – est aussitôt stoppée par les ricanements des hommes présents et la phrase qui suit :
- Je ne sais pas « MONSIEUR », pédé !
- Je ne sais pas, Monsieur, m’entends je répondre en gémissant.
Je reprends une seconde gifle :
- Et on dit « merci », pédé !
- Merci, monsieur.
- C’est mieux, pédé ! Fais nous donc voir ta queue maintenant.
Monsieur Jacques s’amuse beaucoup pendant que je baisse à nouveau mon pantalon. Je sens que je suis rouge d’humiliation et c’est encore pire quand je baisse mon slip et qu’ils constatent tous que ma petite verge est dure.
- Pitoyable, ricane Pierre-André. Il enfonce légèrement son auriculaire dans l’urètre de ma queue, m’arrachant une plainte. C’est une queue de tapette mais on pourra te doigter bien profondément le trou à pisse avec un peu de travail.
Il prend mes couilles à pleine main et les écrase en tirant sur la peau. Je pousse un petit cri ridicule qui semble le satisfaire.
- Bien ! Quelques poids accrochés la dessous lui feront le plus grand bien.
Instinctivement, je regarde les testicules de l’autre soumis qui vient d’accueillir un nouveau défonçeur entre ses fesses et je constate qu’elles sont complètement distendues et qu’une espèce de bandeau de cuir très large et serré à mort en étrangle la base.
- Fais voir ton trou de pute maintenant !
J’obéis docilement en me retournant et en écartant mes fesses à deux mains, cambré au maximum.
- C’est bien, la pucelle apprend vite ! ricane Pierre-André à l’attention de monsieur Jacques.
Deux hommes de plus entrent à ce moment-là dans les toilettes et me regardent en se moquant avant d’aller rejoindre la bande des enculeurs. Le vas et viens est régulier en fait. Je me demande combien de sexe le grassouillet a déjà reçu dans l’anus quand je vois le dernier à l’avoir sodomisé pissé dans sa bouche après avoir juté sur sa figure. Pierre-André tâte l’élasticité de mon orifice en dissertant poliment avec monsieur Jacques avant de me dire :
- Allez maintenant, branle-toi devant tout le monde !
Tous me regardent et l’humiliation délicieuse d’être ainsi traité me fait éjaculer en quelques mouvements. Je n’en finis pas de me vider en gémissant, les jambes flageolantes sous les commentaires dégradants : « Jute pédé ! crache ta mouille, tapette ! On va te graisser la raie avec pour te la mettre, salope ! ».
Un terrible dégoût de moi-même me submerge tandis que ma bite rétréci car je constate que la jouissance n’a pas calmé mon excitation. Je me sens sale et avili, prêt aux pires dépravations alors que je viens de me vider en public comme la dernière des pédales. Monsieur Jacques me balance à nouveau une claque sur les fesses et me dit :
- On y va, salope ! A moins que tu ne veuilles rester ?
- Non, monsieur Jacques.
- Dommage, raille Pierre-André.
Je vais pour remonter mon slip quand monsieur Jacques me dit :
- Tu remontes tout mais tu laisses ta queue sortie par la braguette jusqu’à ce qu’on quitte la salle, pédale.
Soumis, je suis monsieur Jacques et j’ai le temps d’entendre Pierre-André me dire « A bientôt… » et d’ajouter pour les autres « Poussez-vous ! Tout ça m’a excité, je vais fister ma petite putain poing fermé jusqu’au coude !!! Tenez-la ! » et la porte se referme sur des clameurs d’encouragement et les supplications du soumis.
Nous quittons le cinéma sans se dire un mot. Je baisse les yeux. Certains spectateurs sourient et me font des clins d’œil à mesure que je remonte l’allée, mon sexe mou et gluant bien visible. Une fois dans le sas, monsieur Jacques m’autorise à « remballer mon clito » et nous émergeons à l’air libre. Il se retourne vers moi, me tend une carte de visite et me dit :
- Voilà le deal : si tu appelles ce numéro, je te prends en main ! Tu as tout le potentiel qu’il faut pour être une bonne soumise à queues, et le fait que tu sois encore puceau du cul m’excite à fond. Si tu me contactes, tu obéiras à tout ce que je te commanderai de faire et tu vas salement en baver. Mais tu vas aussi cracher des litres de foutre tellement je vais te faire jouir comme tu aimes, salope. A partir d'ici, tu décides...
Et il me plante là et s’éloigne sans se retourner mais j’ai noté avec surprise qu’il porte une alliance.
J’ai beau essayer de me mentir à moi-même, Bertrand a raison : ce sont ses insultes et la façon dont il m’a traité qui m’ont mis dans cet état. Je me souviens alors d’une aventure pas si lointaine où j’étais allé dans un cinéma à programme double du 10ème arrondissement avec un copain. Avant que le second film ne débute, il avait décidé d’aller pisser et s’était rendu aux toilettes. Lorsqu’il était revenu – très rapidement ! – il m’avait dit sur un ton de comploteur – visiblement très gêné –:
- Bravo ton ciné ! Ne vas pas aux WC, s’est un rendez-vous de pédés !
A cette époque j’étais encore marié mais je sais maintenant que j’avais déjà ces pulsions que je réfrénais tant bien que mal. Après le divorce et l’affaire du Gangbang, je me décide à franchir un pas supplémentaire. Je retourne dans le cinéma, seul cette fois, durant le déjeuner. Exit le film puisque je passe mon temps à regarder les allées et venues incessantes dans les toilettes. Je bande ferme rien qu’en imaginant ce qui se passe à l’intérieur mais je n’ose pas me lever et aller voir réellement.
C’est alors qu’un type dégarni d’une cinquantaine d’années s’assoit dans ma rangée à trois sièges de moi. Il est bedonnant et porte un costume, des lunettes et pose sa petite mallette de cadre à côté de lui. L’archétype du chef comptable tyrannique !
Je reporte mon attention sur l’escalier des toilettes puis regarde après quelques minutes à nouveau le type. Il a sorti une grosse bite molle qu’il tripote en me regardant. Il sourit et me désigne sa queue du menton. Affreusement gêné, je détourne les yeux. Mes pensées sont confuses. L’excitation se mêle au dégoût et à la honte et j’hésite à m’enfuir.
Je n’ose plus bouger quand je le vois qui s’est reculotté, se lève et vient s’asseoir juste à côté de moi. J’imagine que pour lui, le fait que je n’ai pas changé de place immédiatement est clairement une acceptation. Je reste les yeux fixés sur le film sans le voir. Il se penche vers moi et murmure :
- Elle est grosse, hein ma salope ?
Je ne réponds pas mais ma bite est prête à exploser. Il met sa main sur ma cuisse. Je ne la retire pas. Il remonte sur ma braguette et sent la bosse causée par l’excitation.
- Hé ben, ça te fait de l’effet, pédale ! C’est à peine du clito de travelo que tu as là-dedans mais c’est bien dur…
Il prend à pleine main ma bite et la serre douloureusement à travers le tissu. Je gémis. Il serre plus fort. Je ne me rebelle toujours pas.
- C’est comme ça que tu aimes, petite pute ? Quand ça fait mal !
Je suis mortifié et je n’en reviens pas moi-même d’acquiescer de la tête. Il reprend en ricanant :
- Tu ne parles pas ? C’est pas grave ! Tu vas baisser ton froc puis me sucer alors. Autant occuper ta bouche de pipeuse pendant que je tripote ton clito, hein ma chienne ?
Je dégrafe ma ceinture et fait glisser mon pantalon sur mes cuisses. Mon gland sort comiquement par le haut de mon slip. Je vais pour le baisser aussi quand il m’attrape par la nuque méchamment:
- J’ai parlé du pantalon, rien d’autre, pédé ! Tu es sourd en plus d’être muet ?
- Non. Pardon.
Ce sont mes premiers mots depuis le début de cette histoire et ma voix est éraillée, comme enrouée. Il serre un peu plus sa main sur ma nuque.
- Je t’ai autorisé à répondre, salope ? Quand tu t’adresses à moi, tu dis « monsieur Jacques » !
- Pardon, monsieur Jacques.
- C’est mieux, pédé. Suce-moi maintenant !
Il m’attire vers son bas ventre. Je défais sa ceinture et les boutons de son pantalon fébrilement. Sa grosse queue molle est sortie de son slip. L’odeur est âcre. J’avance mes lèvres, la langue sortie. Le dégoût revient mais l’excitation est plus forte et je prends l’épaisse tige de chair au repos en entier dans ma bouche. Sa main quitte ma nuque.
- Ahhh c’est bien, petite pute ! Pompe-moi maintenant... à fond !
J’aspire et je fais tourner ma langue, excité comme jamais d’avoir UNE BITE dans la bouche. Simplement me le dire manque de me faire juter. De son coté, monsieur Jacques a mis sa main dans mon slip et me malaxe les fesses. Comme je suis toujours partiellement assis, il me donne une petite claque dessus.
- Décale toi que je t’inspecte le trou, pédé !
Je ramène un genou sur le siège et laisse mon autre jambe droite pour me retrouver presque à plat ventre sur le siège pour faciliter l’accès.
- C’est bien, salope ! Cambre-toi maintenant.
J’obéis et il glisse sa main en entier dans mon slip, descend dans la raie et me touche l’anus. Je pousse un soupir.
- Mais c’est tout neuf ça ! Je m’en doutais un peu car tu suces mal. C’est ta première pipe, pédé ?
Je m’interromps un instant et souffle :
- Oui, monsieur Jacques.
Sa bite est toujours molle dans ma bouche mais l’excitation ne me quitte pas et je le reprends en bouche. Il enfonce lentement une phalange dans mon anus. Je soupire et je pousse inconsciemment mes fesses sur sa main.
- C’est qu’elle aime ça, l’enculée…
Il enfonce son doigt en entier et je murmure, les yeux fermés :
- Oooh …
- Ça va être un plaisir de te défoncer, pédale ! T’es bien prédisposée et il ne faudra pas longtemps avant que tu me supplies de t’organiser des bonnes tournantes qui te laisseront la chatte du cul béante ! Mais on va faire les choses bien alors, ma salope !
Il ressort son doigt et me le glisse dans la bouche à côté de sa verge. Je le lèche avec application puis il me tape un coup sec sur les fesses.
- Arrête de me sucer et remet ton froc. De toute façon, je ne banderai pas avec une si mauvaise suceuse. Mais t’inquiète, une fois mise au tapin, à la chaîne, t’apprendras vite !
Surpris, j’obéis. Je bande tellement que j’en souffre. J’ai envie qu’il me fasse mal et qu’il me défonce comme un morceau de viande. Il doit le sentir quand il me dit :
- Viens on va monter. Un refoulé comme toi, ça se savoure et ça se prépare. Tu ne seras pas volé, fais-moi confiance mais pour le moment tu vas juste regarder ce qui t’attends.
Il se lève et se dirige vers les escaliers qui mènent aux toilettes et je le suis docilement. Mon érection n’est pas retombée quand il pousse la porte et me fait signe d’entrer mais je n’en mène pas large. A l’intérieur, l’odeur me prend à la gorge. C’est un mélange d’urine, de sueur et de sperme qui ajoute une fois encore autant à mon dégoût qu’à mon excitation. Et ce que j’y vois renf0rce ce sentiment paradoxal.
Un jeune garçon blond et rondouillard entièrement nu est debout mais suffisamment penché pour avoir la tête devant un urinoir. Derrière lui, un arabe très maigre est accroché à ses hanches et l’encule brutalement. Les grands coups de boutoirs arrachent au jeune des plaintes couvertes par les insultes qui fusent de part et d’autre. Les deux queues qu’il suce en alternance de chaque côté de l’urinoir ne l’aident pas non plus à parler.
Une demi-douzaine d’hommes d’âge et de races différentes attend patiemment leur tour en branlant leurs queues plus ou moins molles. Un homme en costume impeccable à l’allure distinguée est en retrait de la scène et d’adresse à monsieur Jacques en souriant.
- Bonjour Jacques ! Ca faisait longtemps, dîtes moi ! Vous venez voir les progrès de ma dernière putain ?
- Bonjour Pierre-André. Non en fait je venais plutôt montrer à cette tapette refoulée ce qui lui arriverait bientôt, dit-il en me désignant.
Il me balance une claque sonore sur les fesses et ajoute :
- Elle a du potentielle, la salope ! C’est sa première sortie et elle m’a pompé dans la salle pendant que je lui doigtais le cul ! Elle m’aurait bien avalé les doigts et le reste avec son petit trou vierge en plus !
- Laissez-la-nous, Jacques ! J’ai peur que ma petite putain ne faiblisse et la vôtre la remplacerait à merveille, j’en suis certain !
Les regards se tournent vers moi et je baisse les yeux, mortifié de honte. Plusieurs des hommes qui se masturbent pointent leur verge vers moi et balancent des « à genoux pipeuse ! » et autres « vient sucer mon gros nonos, chienne » qui achèvent de me réduire à l’état de larve. L’ami de monsieur Jacques se dirige vers moi. Je n’ose même pas le regarder et reporte mon attention sur les hommes de l’urinoir. L’arabe vient de sortir sa queue épaisse d’entre les fesses du grassouillet dont l’anus complètement défoncé reste béant. Un de ceux qui se faisait sucer prend sa place et encule le soumis d’un coup sec. L’arabe se branle en ahanant et se vide sur le visage du garçon maintenant couvert de jute puis le prend par les cheveux et enfonce sa grosse bite mollissante entre ses lèvres ouvertes en soufflant.
- Le spectacle te plait, pédale ? me demande Pierre-André.
- Je… je ne sais pas…
La gifle que je ramasse me surprend mais ma réaction – si j’en avais eu une – est aussitôt stoppée par les ricanements des hommes présents et la phrase qui suit :
- Je ne sais pas « MONSIEUR », pédé !
- Je ne sais pas, Monsieur, m’entends je répondre en gémissant.
Je reprends une seconde gifle :
- Et on dit « merci », pédé !
- Merci, monsieur.
- C’est mieux, pédé ! Fais nous donc voir ta queue maintenant.
Monsieur Jacques s’amuse beaucoup pendant que je baisse à nouveau mon pantalon. Je sens que je suis rouge d’humiliation et c’est encore pire quand je baisse mon slip et qu’ils constatent tous que ma petite verge est dure.
- Pitoyable, ricane Pierre-André. Il enfonce légèrement son auriculaire dans l’urètre de ma queue, m’arrachant une plainte. C’est une queue de tapette mais on pourra te doigter bien profondément le trou à pisse avec un peu de travail.
Il prend mes couilles à pleine main et les écrase en tirant sur la peau. Je pousse un petit cri ridicule qui semble le satisfaire.
- Bien ! Quelques poids accrochés la dessous lui feront le plus grand bien.
Instinctivement, je regarde les testicules de l’autre soumis qui vient d’accueillir un nouveau défonçeur entre ses fesses et je constate qu’elles sont complètement distendues et qu’une espèce de bandeau de cuir très large et serré à mort en étrangle la base.
- Fais voir ton trou de pute maintenant !
J’obéis docilement en me retournant et en écartant mes fesses à deux mains, cambré au maximum.
- C’est bien, la pucelle apprend vite ! ricane Pierre-André à l’attention de monsieur Jacques.
Deux hommes de plus entrent à ce moment-là dans les toilettes et me regardent en se moquant avant d’aller rejoindre la bande des enculeurs. Le vas et viens est régulier en fait. Je me demande combien de sexe le grassouillet a déjà reçu dans l’anus quand je vois le dernier à l’avoir sodomisé pissé dans sa bouche après avoir juté sur sa figure. Pierre-André tâte l’élasticité de mon orifice en dissertant poliment avec monsieur Jacques avant de me dire :
- Allez maintenant, branle-toi devant tout le monde !
Tous me regardent et l’humiliation délicieuse d’être ainsi traité me fait éjaculer en quelques mouvements. Je n’en finis pas de me vider en gémissant, les jambes flageolantes sous les commentaires dégradants : « Jute pédé ! crache ta mouille, tapette ! On va te graisser la raie avec pour te la mettre, salope ! ».
Un terrible dégoût de moi-même me submerge tandis que ma bite rétréci car je constate que la jouissance n’a pas calmé mon excitation. Je me sens sale et avili, prêt aux pires dépravations alors que je viens de me vider en public comme la dernière des pédales. Monsieur Jacques me balance à nouveau une claque sur les fesses et me dit :
- On y va, salope ! A moins que tu ne veuilles rester ?
- Non, monsieur Jacques.
- Dommage, raille Pierre-André.
Je vais pour remonter mon slip quand monsieur Jacques me dit :
- Tu remontes tout mais tu laisses ta queue sortie par la braguette jusqu’à ce qu’on quitte la salle, pédale.
Soumis, je suis monsieur Jacques et j’ai le temps d’entendre Pierre-André me dire « A bientôt… » et d’ajouter pour les autres « Poussez-vous ! Tout ça m’a excité, je vais fister ma petite putain poing fermé jusqu’au coude !!! Tenez-la ! » et la porte se referme sur des clameurs d’encouragement et les supplications du soumis.
Nous quittons le cinéma sans se dire un mot. Je baisse les yeux. Certains spectateurs sourient et me font des clins d’œil à mesure que je remonte l’allée, mon sexe mou et gluant bien visible. Une fois dans le sas, monsieur Jacques m’autorise à « remballer mon clito » et nous émergeons à l’air libre. Il se retourne vers moi, me tend une carte de visite et me dit :
- Voilà le deal : si tu appelles ce numéro, je te prends en main ! Tu as tout le potentiel qu’il faut pour être une bonne soumise à queues, et le fait que tu sois encore puceau du cul m’excite à fond. Si tu me contactes, tu obéiras à tout ce que je te commanderai de faire et tu vas salement en baver. Mais tu vas aussi cracher des litres de foutre tellement je vais te faire jouir comme tu aimes, salope. A partir d'ici, tu décides...
Et il me plante là et s’éloigne sans se retourner mais j’ai noté avec surprise qu’il porte une alliance.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Bondhard
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
magnifique comme histoire
hyper excitante et vicieuse comme vous le faites si bien !
hyper excitante et vicieuse comme vous le faites si bien !