Post-divorce - épisode 4
Récit érotique écrit par Bondhard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Bondhard ont reçu un total de 44 168 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 885 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Post-divorce - épisode 4
Mes bonnes résolutions auront duré le temps d’un week-end. Dès le lundi, j’explique à mes collègues que je risque d’étendre un peu la pose du midi et je retourne dans le cinéma. J’y arrive peu avant midi. Je n'ai pas de slip et j'ai un tube de lubrifiant dans la poche. La salle est presque vide et je vais m'asseoir seul, sensiblement au même endroit ou l’arabe à cravate m’avait entrepris. J'ai une érection terrible. L'attente est de courte durée. Un homme d'une cinquantaine d'années s'assoit à côté de moi. C'est un grand type roux et gras, mal rasé.
Il sent la sueur.
Il prend ma main directement et la pose sur sa braguette en murmurant :
- Dans la bouche ou dans le cul ?
Je déglutis péniblement. C'est le moment de vérité. Je ne me reconnais pas quand je réponds :
- Les deux.
- T’aime quand c'est sale, c’est ça ?
- Oui.
- Tu me suis, on va aller aux chiottes alors ! Je vais d'abord t'enculer et je me finirai dans ta bouche de pute !
Sans attendre ma réponse, il se lève et je le suis. Les toilettes sont toujours aussi dégoutantes : des capotes usagées et des flaques de pisse jonchent le sol. Il me pousse vers un des deux cabinets, referme la porte, met le verrou et s'assoit sur la lunette puis me retourne et baisse mon pantalon. Mon front touche la porte à mesure qu'il appuie sur mes reins pour me cambrer.
- T'as pas mis de slip, ricane-t-il en me claquant les fesses. C'est bien. On gagnera du temps. Ecarte ton cul !
Docilement, je tire sur mes fesses et il enfonce brutalement un doigt dans mon anus, m'arrachant un cri de surprise.
- Mais c’est tout serré là-dedans… Toi, t'as pas encore l'habitude de te faire défoncer ! J’espère pour toi que t'as de quoi te graisser le conduit sinon tu vas déguster car je lèche pas le trou des pédale ! Et maintenant qu’on est là, lub ou pas, je vais te la mettre quand même !
Sans un mot, je sors le tube de lubrifiant de ma poche et le lui donne. Il rit en me tartinant le trou et fait coulisser deux doigts sans ménagement. J'ai très mal et je gémis sous la douleur mais il prend ça pour une invite.
- Branle-moi pendant que je prépare ta chatte !
Je passe mes mains entre mes jambes et sort sa queue. Elle n'est pas très longue mais très épaisse. Je sais que je vais souffrir lorsqu’il va l’enfoncer entre mes fesses et cette idée, loin de m'effrayer, manque de me faire jouir.
- Allez ! A poil et à quatre pattes dans la merde ! Tu vas me sucer et après je te la mettrai ! Tu vas pas être volé, petite pute.
J’obéis servilement. Une fois en chaussette, je m'agenouille dans la fange. Je m’aperçois avec horreur que c'est exactement ce que je désire : être avili pour me punir de mes penchants immondes. Je cambre mes reins et ouvre la bouche.
- Vas-y doucement, grogne l'homme roux en poussant sa verge dans entre mes lèvres. Ça se savoure. T'as pas l'air habitué !
Branle-toi en même temps pour te détendre. Si ça se trouve, c'est même ton baptême ! C'est ton baptême, petite pédale ?
Je fais oui des yeux tout en pompant son gros nœud à l'odeur immonde. Je passe ma main entre mes cuisses et commence à me branler. Jamais je n'ai bandé comme ça.
- Allez ! Aspire bien, braille le rouquin. T’adore ça ! Hein que t'aime ça ?
J’acquiesce à nouveau et il se penche pour tâter ma pastille et je me cambre pour rester la bouche collée à son chibre. Je sens des ondes de plaisir monter dans mes reins à mesure qu'il masse la corolle fermement.
- Retourne-toi, ordonne le rouquin, je vais te casser le cul !
Toujours à quatre pattes, je manœuvre dans la pisse pour lui présenter mes fesses. Il pointe son gland sur mon anus et je pousse pour faciliter l'intromission. Sa bite s'écrase sur les muscles mais ne rentre pas. Je gémis.
- T'affole pas, ça va rentrer ! Ça rentre toujours en forçant bien…
Il s'arque boute et essaie à nouveau. Cette fois, le gland entre lentement, ouvrant douloureusement mes sphincters. J'ai l'impression que mon rectum est en feu. Le type attend quelques instants tout en me caressant la bite par-dessous puis f0rce de tout son poids. Je pousse une longue plainte et des larmes de souffrance ruissellent sur mes joues.
- C'est bon, hein ! ricane mon enculeur. Et t'as encore rien vu !
J'enfonce mes ongles dans mes paumes pour ne pas hurler à mesure que l'autre pénètre toujours plus avant dans mon fondement. J'ouvre grand la bouche pour reprendre mon souffle, tétanisé par la douleur. Millimètre par millimètre, il s’enfonce entre mes fesses. J’ai l’impression que mon cul va éclater lorsque je sens enfin son ventre toucher mes fesses. Je râle doucement et il se méprend.
- Tu aimes ça bien à fond, hein !?! Allez, on passe aux choses sérieuses.
Il ressort doucement sa verge. Le glissement dans mon conduit écartelé me fait un mal terrible mais c'est quand il enfonce à nouveau le pieu que je râle de plus belle. Après quelques allez et retour, la douleur devient sourde et mon cul est comme anesthésié. Comme je ne me plains plus, le rouquin me ramone sans ménagement. Puis il ressort entièrement le pal qui me déchire.
- Suce ! Faut pas perdre les bonnes habitudes.
Sa queue et souillée de taches suspectes mais j'avale goulûment en gloussant. Il se marre.
- Je suis sûr que ta petite chatte de pédale est déjà refermée. T'as envie que je te la remette bien au fond ?
Je fais "oui" des yeux tout en le pompant. Il me met une gifle.
- Ça suffit, assez joué ! Je l'enfonce d'une seule poussée, cette fois. Jusqu’aux couilles ! Tu vas déguster.
Il me prend par les hanches et entre toute sa queue d'un seul coup puissant puis me défonce brutalement, m'arrachant une plainte à chaque fois. Il me besogne en soufflant comme une forge, efficace, mécanique. Au bout de quelques minutes, je sens que le plaisir prend le pas sur la souffrance.
- Oh oui…
- Tu veux plus fort ?
- Oui plus fort, je grogne. S’il vous plaît…
- T'aime la défonce, salope, moi aussi.
Et il se met à piocher mon anus éclaté, sortant entièrement sa bite avant de la replonger férocement. Il me pince méchamment les seins et prend même ma petite queue en main pour l’écraser en se moquant de sa taille modeste, m'arrachant des gémissements. La séance de défonce dure quelques minutes Il ressort une dernière fois de mes reins puis, me prenant par les cheveux, me retourne et éjacule sur mon visage en grognant.
- Rhaaa ouais ouvre la bouche, chienne. Nettoie bien ma trique.
Je lèche docilement son jus et sa queue poisseuse. Lorsque son membre redevient flasque, il me pousse par terre et se rhabille.
- Je suis là tous les Lundis si t’as envie de te faire ramoner, sac à foutre !
Puis il sort sans me regarder. Je referme le verrou derrière lui. Je bande encore bien que mon anus me lance terriblement. Je n’ai pas joui. Je reste vautré dans l’urine et me masturbe frénétiquement. Je veux me faire expier et, par pur masochisme, j’enfonce mes doigts cruellement dans mes sphincters à vif.
Quelqu’un cogne doucement à la porte.
Je pilonne mon cul à m’en faire pleurer et j’éjacule enfin une énorme quantité de sperme. Je m’agenouille et lèche comme un chien le mélange d’urine et de sperme. Les coups sur la porte deviennent plus insistants. Enfin, je me rhabille et j’ouvre la porte.
Deux africains se tiennent dans l’embrasure, leurs grosses verges à demi dressées en main. Ils tentent de me pousser dans les toilettes mais je les bouscule pour passer avant de filer vers la sortie sous leurs insultes.
Une fois dehors, j’appelle le bureau pour indiquer que je ne me sens pas bien et que je rentre chez moi.
Il sent la sueur.
Il prend ma main directement et la pose sur sa braguette en murmurant :
- Dans la bouche ou dans le cul ?
Je déglutis péniblement. C'est le moment de vérité. Je ne me reconnais pas quand je réponds :
- Les deux.
- T’aime quand c'est sale, c’est ça ?
- Oui.
- Tu me suis, on va aller aux chiottes alors ! Je vais d'abord t'enculer et je me finirai dans ta bouche de pute !
Sans attendre ma réponse, il se lève et je le suis. Les toilettes sont toujours aussi dégoutantes : des capotes usagées et des flaques de pisse jonchent le sol. Il me pousse vers un des deux cabinets, referme la porte, met le verrou et s'assoit sur la lunette puis me retourne et baisse mon pantalon. Mon front touche la porte à mesure qu'il appuie sur mes reins pour me cambrer.
- T'as pas mis de slip, ricane-t-il en me claquant les fesses. C'est bien. On gagnera du temps. Ecarte ton cul !
Docilement, je tire sur mes fesses et il enfonce brutalement un doigt dans mon anus, m'arrachant un cri de surprise.
- Mais c’est tout serré là-dedans… Toi, t'as pas encore l'habitude de te faire défoncer ! J’espère pour toi que t'as de quoi te graisser le conduit sinon tu vas déguster car je lèche pas le trou des pédale ! Et maintenant qu’on est là, lub ou pas, je vais te la mettre quand même !
Sans un mot, je sors le tube de lubrifiant de ma poche et le lui donne. Il rit en me tartinant le trou et fait coulisser deux doigts sans ménagement. J'ai très mal et je gémis sous la douleur mais il prend ça pour une invite.
- Branle-moi pendant que je prépare ta chatte !
Je passe mes mains entre mes jambes et sort sa queue. Elle n'est pas très longue mais très épaisse. Je sais que je vais souffrir lorsqu’il va l’enfoncer entre mes fesses et cette idée, loin de m'effrayer, manque de me faire jouir.
- Allez ! A poil et à quatre pattes dans la merde ! Tu vas me sucer et après je te la mettrai ! Tu vas pas être volé, petite pute.
J’obéis servilement. Une fois en chaussette, je m'agenouille dans la fange. Je m’aperçois avec horreur que c'est exactement ce que je désire : être avili pour me punir de mes penchants immondes. Je cambre mes reins et ouvre la bouche.
- Vas-y doucement, grogne l'homme roux en poussant sa verge dans entre mes lèvres. Ça se savoure. T'as pas l'air habitué !
Branle-toi en même temps pour te détendre. Si ça se trouve, c'est même ton baptême ! C'est ton baptême, petite pédale ?
Je fais oui des yeux tout en pompant son gros nœud à l'odeur immonde. Je passe ma main entre mes cuisses et commence à me branler. Jamais je n'ai bandé comme ça.
- Allez ! Aspire bien, braille le rouquin. T’adore ça ! Hein que t'aime ça ?
J’acquiesce à nouveau et il se penche pour tâter ma pastille et je me cambre pour rester la bouche collée à son chibre. Je sens des ondes de plaisir monter dans mes reins à mesure qu'il masse la corolle fermement.
- Retourne-toi, ordonne le rouquin, je vais te casser le cul !
Toujours à quatre pattes, je manœuvre dans la pisse pour lui présenter mes fesses. Il pointe son gland sur mon anus et je pousse pour faciliter l'intromission. Sa bite s'écrase sur les muscles mais ne rentre pas. Je gémis.
- T'affole pas, ça va rentrer ! Ça rentre toujours en forçant bien…
Il s'arque boute et essaie à nouveau. Cette fois, le gland entre lentement, ouvrant douloureusement mes sphincters. J'ai l'impression que mon rectum est en feu. Le type attend quelques instants tout en me caressant la bite par-dessous puis f0rce de tout son poids. Je pousse une longue plainte et des larmes de souffrance ruissellent sur mes joues.
- C'est bon, hein ! ricane mon enculeur. Et t'as encore rien vu !
J'enfonce mes ongles dans mes paumes pour ne pas hurler à mesure que l'autre pénètre toujours plus avant dans mon fondement. J'ouvre grand la bouche pour reprendre mon souffle, tétanisé par la douleur. Millimètre par millimètre, il s’enfonce entre mes fesses. J’ai l’impression que mon cul va éclater lorsque je sens enfin son ventre toucher mes fesses. Je râle doucement et il se méprend.
- Tu aimes ça bien à fond, hein !?! Allez, on passe aux choses sérieuses.
Il ressort doucement sa verge. Le glissement dans mon conduit écartelé me fait un mal terrible mais c'est quand il enfonce à nouveau le pieu que je râle de plus belle. Après quelques allez et retour, la douleur devient sourde et mon cul est comme anesthésié. Comme je ne me plains plus, le rouquin me ramone sans ménagement. Puis il ressort entièrement le pal qui me déchire.
- Suce ! Faut pas perdre les bonnes habitudes.
Sa queue et souillée de taches suspectes mais j'avale goulûment en gloussant. Il se marre.
- Je suis sûr que ta petite chatte de pédale est déjà refermée. T'as envie que je te la remette bien au fond ?
Je fais "oui" des yeux tout en le pompant. Il me met une gifle.
- Ça suffit, assez joué ! Je l'enfonce d'une seule poussée, cette fois. Jusqu’aux couilles ! Tu vas déguster.
Il me prend par les hanches et entre toute sa queue d'un seul coup puissant puis me défonce brutalement, m'arrachant une plainte à chaque fois. Il me besogne en soufflant comme une forge, efficace, mécanique. Au bout de quelques minutes, je sens que le plaisir prend le pas sur la souffrance.
- Oh oui…
- Tu veux plus fort ?
- Oui plus fort, je grogne. S’il vous plaît…
- T'aime la défonce, salope, moi aussi.
Et il se met à piocher mon anus éclaté, sortant entièrement sa bite avant de la replonger férocement. Il me pince méchamment les seins et prend même ma petite queue en main pour l’écraser en se moquant de sa taille modeste, m'arrachant des gémissements. La séance de défonce dure quelques minutes Il ressort une dernière fois de mes reins puis, me prenant par les cheveux, me retourne et éjacule sur mon visage en grognant.
- Rhaaa ouais ouvre la bouche, chienne. Nettoie bien ma trique.
Je lèche docilement son jus et sa queue poisseuse. Lorsque son membre redevient flasque, il me pousse par terre et se rhabille.
- Je suis là tous les Lundis si t’as envie de te faire ramoner, sac à foutre !
Puis il sort sans me regarder. Je referme le verrou derrière lui. Je bande encore bien que mon anus me lance terriblement. Je n’ai pas joui. Je reste vautré dans l’urine et me masturbe frénétiquement. Je veux me faire expier et, par pur masochisme, j’enfonce mes doigts cruellement dans mes sphincters à vif.
Quelqu’un cogne doucement à la porte.
Je pilonne mon cul à m’en faire pleurer et j’éjacule enfin une énorme quantité de sperme. Je m’agenouille et lèche comme un chien le mélange d’urine et de sperme. Les coups sur la porte deviennent plus insistants. Enfin, je me rhabille et j’ouvre la porte.
Deux africains se tiennent dans l’embrasure, leurs grosses verges à demi dressées en main. Ils tentent de me pousser dans les toilettes mais je les bouscule pour passer avant de filer vers la sortie sous leurs insultes.
Une fois dehors, j’appelle le bureau pour indiquer que je ne me sens pas bien et que je rentre chez moi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Bondhard
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire excitante qui donne des envies d'être baisé au passif que je suis. J'attends la suite avec une grande impatience.
TROP romantique....
Très très bien Je suis actif mais j’aime bien que lenculé j’unisse comme toi
Bravo
Kevin
Bravo
Kevin