Pot de colle 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pot de colle 3
Pot de colle - Chap.3
Myriam s’est endormie très vite. Elle avait beaucoup dansé, s’était fatiguée et détendue, avait la conscience tranquille, relativisait ma mauvaise humeur. J’ai ruminé des idées noires pendant une partie de la nuit. « Aérer notre couple » : elle veut élargir le cercle, introduire un ou des hommes dans notre vie, elle me pousse à y faire entrer d’autres femmes; donc je ne lui suffis plus, elle étouffe avec moi, a besoin d‘air, de liberté et surtout de sensations sexuelles fortes et d’exhibitionnisme. Faire scandale en public devrait la combler de bonheur Je ne compte plus vraiment pour elle, je suis gênant, elle me banalise, elle s’ennuie avec moi, elle cherche autre chose et pour s’évader elle m’envoie me distraire avec d’autres filles. De façon à peine voilée cela revient à :
« Exchange mari d’occasion contre Louis amoureux plein d‘humour, qui en veut de Jean»?
Le constat est simple, nous arrivons au bout de notre route commune. Que faire ? Ce qui est écrit est écrit, il n’y a pas de remède. Laissons les événements se dérouler, à quoi bon lutter contre le mouvement naturel ? Tant d’autres couples se défont, pourquoi se croire exceptionnels dans un monde ou le « changement » sert de slogan. Une vie se termine, une autre se présentera. Gardons les souvenirs de nos meilleurs moments, ne gâchons pas les derniers instants. Je serai plus aimable, plus souriant pour terminer en beauté, mais je ne me ferai plus d’illusions. Un guignol, ce soir, a fait rire Myriam, l’a rendue heureuse et ce Louis m’a ouvert les yeux sur la fragilité d’une union, c’est triste, affligeant pour moi : ainsi va la vie.
Le lendemain, je me lève avec une sorte de gueule de bois. Malgré une impression de malaise je peux répondre aux bisous de Myriam quand elle se fait chatte. Je la serre contre moi, je suis ému au contact de la tiédeur de ses seins contre ma poitrine. Elle pose une main en bas de mon ventre, se moque de mon érection matinale :
- Ah ! Monsieur Jean a des regrets ? Eh! Bien, il est un peu trop tard, tu devras attendre ce soir pour recevoir de ta chérie les soins nécessaires.
Dans ses yeux une lueur coquine dit que pour elle l’incident est clos. La promesse du matin est deviendra réalité le soir. Câlins, préliminaires et unions confirment un retour à la normale, plus tumultueux qu’après d’autres bouderies. Pour moi l’alerte a été chaude. Sans forcer je me livre aux plaisirs de la chair. Oui, je vivrai avec bonheur, du mieux possible, le temps qui reste à notre couple. Myriam ne pourra pas me reprocher un manque d’ardeur ou de vigueur, elle ne pourra pas arguer d’un défaut de tendresse ou d’inventivité ou d’un excès de mauvaise humeur le jour où elle m’annoncera son envie de me quitter. J’aurai même une immense joie, malgré ma peine, si un jour elle éprouve un tout petit regret de m’avoir perdu. Donc la vie a repris, un peu plus heureuse, relancée après un doute. Or, ce soir, Louis est à proximité de notre domicile, guetteur indésirable sur le trottoir
Que veut-il encore ? Je décroche le téléphone. Je vais me venger et me payer sa tête, lui apprendre que je n’apprécie pas sa présence. J’ai un don particulier d’imitateur. Toute notre famille m’a entendu imiter la voix de Myriam. C’est ma plaisanterie préférée, mais à domicile seulement. Je prends donc la voix de mon épouse.
- Allo, oui, ici Myriam
- C’est Louis ! Bonsoir.
- Louis ? Je ne connais pas de Louis.
- Louis, ton cavalier préféré, samedi au bal. Mais, tu m’as téléphoné hier, tu voulais t’excuser de ton départ précipité.
J’ai failli gaffer. Hé ! Je ne peux pas deviner ce que Myriam me cache. Je me rattrape et applique une pommade hypocrite :
-Ah ! Oui, j’avais oublié. Oh ! Pardon, bien sûr, ce cher Louis! Qu’est-ce qui me vaut le plaisir ?
Mon plaisir de mari serait de lui allonger mon poing sur le nez.
- Comme tu m’as laissé ton numéro de téléphone, j’ai pensé te faire plaisir en te rappelant. Tu attendais mon appel avec impatience , n‘est-ce pas ? Tu as été si chaleureuse que tu n’as pas pu m’oublier. Nous devons consolider un lien à peine noué. Comme moi, tu dois mourir d’envie d’une rencontre seule à seul. Ha! Ton corps brûlant pressé contre le mien, ton ventre si doux, mes mains sur tes seins de miel, mon genou prisonnier de tes cuisses, le haut des jambes de mon pantalon imprégné des eaux de ton sexe, tes déhanchements ravageurs, quels souvenirs inoubliables, quelles promesses de plaisir partagé. Je brûle d’impatience et de désir.
Il y a donc eu échange de numéros ! Des contacts physiques ont échauffé le cavalier, l’ont rendu assidu ! A force de frottements intimes Myriam a mouillé de cyprine le pantalon du frotteur ! Je parie qu’il ne le lavera plus. A quel jeu Marie s’est-elle livrée? Ça sent mauvais pour moi, le mari. Et elle a prétendu aussitôt, pendant le retour, avoir oublié le clown du bal. Son calme serein repose sur l’espoir d’être rappelée par lui, et doit m’installer dans une béate certitude de fidélité. Elle lui a téléphoné depuis !, Je l’apprends : c‘est une façon originale d‘oublier un importun et de se faire oublier de lui ! Le téléphone c’est si discret pour correspondre sans être vu ni gêné par un mari jaloux. Sauf quand le mari capte les messages comme je le fais aujourd’hui ! Aveugle peut-être, mais pas sourd, ni idiot, le cocu en herbe. Leur relation est bien avancée si le gaillard peut se permettre de remuer des souvenirs brûlants, faire des déclarations aussi enflammées et parler aussi clairement de « désir » à ma femme.
D’un type encore inconnu à l’entrée dans le dancing, elle a fait un confident, le bénéficiaire de familiarités et de faveurs à caractère sexuel, dans mon dos, au bal puis au téléphone. Ce n’est guère plausible: ça un inconnu? Enfin, était-ce un véritable inconnu à cet instant ? Ces deux là pouvaient avoir organisé un rendez-vous à ma barbe? Leur complicité si rapide et la quasi exclusivité réservée à Louis s’expliqueraient mieux s’ils se connaissaient avant ce bal. Myriam, l‘hypocrite, s’est bien gardée d’en parler avec moi. Elle cultive son secret. Depuis le bal,depuis trois ou quatre jours, au lit j‘ai juste servi à calmer ses ardeurs et à soulager son prurit vaginal du moment, sans amour, dans l‘attente des faveurs de ce rigolo irrésistible. Louis ne peut pas être plus explicite. Le rapprochement a été torride, a fait de Louis ce pot de colle stationné devant notre porte comme un garde du corps. De plus il en est à « tu » et à « toi ». Il ose dire :
« Ton « corps brûlant pressé contre le mien, « ton « ventre si doux, mes mains sur « tes » seins de miel, mon genou prisonnier de « tes » cuisses, les eaux de « ton « sexe» , « tes » déhanchements » ravageurs, Il avance à pas de géant dans la conquête. Et puis, c’est chaud ce rappel des contacts charnels. Je feins l’étonnement pour le pousser à se dévoiler :
- Mais, on se tutoyait ?
- Tu me l’as expressément demandé. En réalité, je veux entendre ta merveilleuse voix .
Mon imitation de la voix de Myriam doit être parfaite ! Il est en confiance.
Myriam s’est endormie très vite. Elle avait beaucoup dansé, s’était fatiguée et détendue, avait la conscience tranquille, relativisait ma mauvaise humeur. J’ai ruminé des idées noires pendant une partie de la nuit. « Aérer notre couple » : elle veut élargir le cercle, introduire un ou des hommes dans notre vie, elle me pousse à y faire entrer d’autres femmes; donc je ne lui suffis plus, elle étouffe avec moi, a besoin d‘air, de liberté et surtout de sensations sexuelles fortes et d’exhibitionnisme. Faire scandale en public devrait la combler de bonheur Je ne compte plus vraiment pour elle, je suis gênant, elle me banalise, elle s’ennuie avec moi, elle cherche autre chose et pour s’évader elle m’envoie me distraire avec d’autres filles. De façon à peine voilée cela revient à :
« Exchange mari d’occasion contre Louis amoureux plein d‘humour, qui en veut de Jean»?
Le constat est simple, nous arrivons au bout de notre route commune. Que faire ? Ce qui est écrit est écrit, il n’y a pas de remède. Laissons les événements se dérouler, à quoi bon lutter contre le mouvement naturel ? Tant d’autres couples se défont, pourquoi se croire exceptionnels dans un monde ou le « changement » sert de slogan. Une vie se termine, une autre se présentera. Gardons les souvenirs de nos meilleurs moments, ne gâchons pas les derniers instants. Je serai plus aimable, plus souriant pour terminer en beauté, mais je ne me ferai plus d’illusions. Un guignol, ce soir, a fait rire Myriam, l’a rendue heureuse et ce Louis m’a ouvert les yeux sur la fragilité d’une union, c’est triste, affligeant pour moi : ainsi va la vie.
Le lendemain, je me lève avec une sorte de gueule de bois. Malgré une impression de malaise je peux répondre aux bisous de Myriam quand elle se fait chatte. Je la serre contre moi, je suis ému au contact de la tiédeur de ses seins contre ma poitrine. Elle pose une main en bas de mon ventre, se moque de mon érection matinale :
- Ah ! Monsieur Jean a des regrets ? Eh! Bien, il est un peu trop tard, tu devras attendre ce soir pour recevoir de ta chérie les soins nécessaires.
Dans ses yeux une lueur coquine dit que pour elle l’incident est clos. La promesse du matin est deviendra réalité le soir. Câlins, préliminaires et unions confirment un retour à la normale, plus tumultueux qu’après d’autres bouderies. Pour moi l’alerte a été chaude. Sans forcer je me livre aux plaisirs de la chair. Oui, je vivrai avec bonheur, du mieux possible, le temps qui reste à notre couple. Myriam ne pourra pas me reprocher un manque d’ardeur ou de vigueur, elle ne pourra pas arguer d’un défaut de tendresse ou d’inventivité ou d’un excès de mauvaise humeur le jour où elle m’annoncera son envie de me quitter. J’aurai même une immense joie, malgré ma peine, si un jour elle éprouve un tout petit regret de m’avoir perdu. Donc la vie a repris, un peu plus heureuse, relancée après un doute. Or, ce soir, Louis est à proximité de notre domicile, guetteur indésirable sur le trottoir
Que veut-il encore ? Je décroche le téléphone. Je vais me venger et me payer sa tête, lui apprendre que je n’apprécie pas sa présence. J’ai un don particulier d’imitateur. Toute notre famille m’a entendu imiter la voix de Myriam. C’est ma plaisanterie préférée, mais à domicile seulement. Je prends donc la voix de mon épouse.
- Allo, oui, ici Myriam
- C’est Louis ! Bonsoir.
- Louis ? Je ne connais pas de Louis.
- Louis, ton cavalier préféré, samedi au bal. Mais, tu m’as téléphoné hier, tu voulais t’excuser de ton départ précipité.
J’ai failli gaffer. Hé ! Je ne peux pas deviner ce que Myriam me cache. Je me rattrape et applique une pommade hypocrite :
-Ah ! Oui, j’avais oublié. Oh ! Pardon, bien sûr, ce cher Louis! Qu’est-ce qui me vaut le plaisir ?
Mon plaisir de mari serait de lui allonger mon poing sur le nez.
- Comme tu m’as laissé ton numéro de téléphone, j’ai pensé te faire plaisir en te rappelant. Tu attendais mon appel avec impatience , n‘est-ce pas ? Tu as été si chaleureuse que tu n’as pas pu m’oublier. Nous devons consolider un lien à peine noué. Comme moi, tu dois mourir d’envie d’une rencontre seule à seul. Ha! Ton corps brûlant pressé contre le mien, ton ventre si doux, mes mains sur tes seins de miel, mon genou prisonnier de tes cuisses, le haut des jambes de mon pantalon imprégné des eaux de ton sexe, tes déhanchements ravageurs, quels souvenirs inoubliables, quelles promesses de plaisir partagé. Je brûle d’impatience et de désir.
Il y a donc eu échange de numéros ! Des contacts physiques ont échauffé le cavalier, l’ont rendu assidu ! A force de frottements intimes Myriam a mouillé de cyprine le pantalon du frotteur ! Je parie qu’il ne le lavera plus. A quel jeu Marie s’est-elle livrée? Ça sent mauvais pour moi, le mari. Et elle a prétendu aussitôt, pendant le retour, avoir oublié le clown du bal. Son calme serein repose sur l’espoir d’être rappelée par lui, et doit m’installer dans une béate certitude de fidélité. Elle lui a téléphoné depuis !, Je l’apprends : c‘est une façon originale d‘oublier un importun et de se faire oublier de lui ! Le téléphone c’est si discret pour correspondre sans être vu ni gêné par un mari jaloux. Sauf quand le mari capte les messages comme je le fais aujourd’hui ! Aveugle peut-être, mais pas sourd, ni idiot, le cocu en herbe. Leur relation est bien avancée si le gaillard peut se permettre de remuer des souvenirs brûlants, faire des déclarations aussi enflammées et parler aussi clairement de « désir » à ma femme.
D’un type encore inconnu à l’entrée dans le dancing, elle a fait un confident, le bénéficiaire de familiarités et de faveurs à caractère sexuel, dans mon dos, au bal puis au téléphone. Ce n’est guère plausible: ça un inconnu? Enfin, était-ce un véritable inconnu à cet instant ? Ces deux là pouvaient avoir organisé un rendez-vous à ma barbe? Leur complicité si rapide et la quasi exclusivité réservée à Louis s’expliqueraient mieux s’ils se connaissaient avant ce bal. Myriam, l‘hypocrite, s’est bien gardée d’en parler avec moi. Elle cultive son secret. Depuis le bal,depuis trois ou quatre jours, au lit j‘ai juste servi à calmer ses ardeurs et à soulager son prurit vaginal du moment, sans amour, dans l‘attente des faveurs de ce rigolo irrésistible. Louis ne peut pas être plus explicite. Le rapprochement a été torride, a fait de Louis ce pot de colle stationné devant notre porte comme un garde du corps. De plus il en est à « tu » et à « toi ». Il ose dire :
« Ton « corps brûlant pressé contre le mien, « ton « ventre si doux, mes mains sur « tes » seins de miel, mon genou prisonnier de « tes » cuisses, les eaux de « ton « sexe» , « tes » déhanchements » ravageurs, Il avance à pas de géant dans la conquête. Et puis, c’est chaud ce rappel des contacts charnels. Je feins l’étonnement pour le pousser à se dévoiler :
- Mais, on se tutoyait ?
- Tu me l’as expressément demandé. En réalité, je veux entendre ta merveilleuse voix .
Mon imitation de la voix de Myriam doit être parfaite ! Il est en confiance.
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