Pour du rire

- Par l'auteur HDS Akileditu -
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour du rire Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Pour du rire
Samedi dernier, Paulo avait décidé d’inviter Paul et Fabrice, nos voisins d’en face à venir passer la soirée à la maison.
Sur le coup de 19 heures, les voici qui arrivent. Paul et Fabrice, on les connait bien. On les connait même intimement. Ils sont gays comme nous, ils habitent juste en face, au dernier étage comme nous, le même type d’appart avec de grandes baies vitrées, sans rideaux…comme nous ! Jour et nuit, on peut voir ce qui se passe chez l’un ou l’autre. Car, comme nous, ils sont voyeurs et exhibs aussi Ensemble, on a déjà baisé plusieurs fois, à l’époque où Rémi était encore là. J’imagine que Paulo a du imaginer quelque chose de nouveau pour « pimenter » la soirée. Comme à chaque fois.
Ca faisait un petit moment qu’ils n’étaient pas passés. On est content de se revoir et on a pas mal de choses à se raconter tout en buvant moult chachaças. Avec Paulo, il n’y a nul besoin de chercher à s’habiller car – comme vous le savez sûrement déjà-, on se balade tout le temps en slips ou en maillots de bain dans l’appart, tout au long de l’année. Les voisins d’en face en savent quelque chose et ils apprécient beaucoup. Une habitude qu’il a sûrement gardée du Brésil.
Donc, aussitôt entrés, Paulo leur propose de « se mettre à l’aise » en enfilant un slip ou un slip de bain de son imposante collection. Ils choisissent deux ultra mini slips bleu et rose en nylon fin. Tiens, ils ont laissé repousser leur toison depuis la dernière fois, leurs poils débordent de chaque côté du slip. Joli.
La soirée se passe à boire, à écouter de la musique, à picorer des trucs, à rigoler, à danser- un peu -. Ils nous demandent des nouvelles de Rémi. D’entrée de jeu, Paulo nous a annoncé que ce soir, ce serait « spécial ». Chacun se demande ce que cela peut bien vouloir dire. Surtout avec Paulo…Vers 23 heures, ils nous entraînent enfin vers la chambre.
« -Tonight, i twill be sadomasochistic ! Ooooh ! Don’t be afraid, i twill be light…Who wants to be the first ? ( Ce soir, ce sera sadomaso. N’ayez pas peur. Ce sera « léger ». Qui veut être le premier ? )-Me ! » m’écrais-je.
Il m’enfila une cagoule de satin noir sur la tête. Il y avait un trou pour le nez et un autre pour la bouche. Le tissu était soyeux. Ca ne m’empêchait pas du tout de respirer. Etait-ce un fantasme secret de Paulo ? Depuis toutes ces années, il ne m’en avait jamais parlé. Mais où donc s’était-il procuré cette cagoule ? A partir de ce moment, je ne pouvais que deviner qui me faisait quoi.
Ils m’attachèrent les mains dans le dos – avec une cravate, je pense- et me firent enfiler un autre slip que je supposais être en soie tant il était…soyeux ! De temps à autre, ils m’effleuraient de leur peau nue. Ils se mirent à me caresser partout, partout – à trois, je pense -, assez « rudement ». Pas désagréable pour autant. Dès que j’ai été cagoulé et privé de la vue, on aurait dit que les autres sens étaient décuplés. L’odorat mais aussi le ressenti aux caresses. Incroyable. Ils prenaient grand soin d’éviter mon slip et ma bite. Frustration organisée ?
On me fit mettre à genoux et on présenta à ma bouche des slips bien remplis, fleurant bon une forte odeur de mâle…Avec mes dents, je mordais l’élastique pour entrebailler le slip et libérer ainsi leur bite. Je crus reconnaître celle de Paulo, mais je n’avais pas le droit de parler. Tout juste gémir. Leurs bites m’explosèrent au visage, tendues à l’extrême – ils démarrent tous au quart de tour… -. Je commençais à leur suçoter le gland à tour de rôle mais une main m’empoigna les cheveux et me fit faire une gorge profonde. Surpris, je faillis m’étouffer. Mais bon, j’étais là pour obéir. Alors, allons-y carrément. J’essayais de la satisfaire au maximum en me demandant bien qui pouvait être son propriétaire…J’hésitais entre Paul et Fabrice. La bite se retira et se présenta aussitôt la seconde. Je voulus l’enfourner. Cette fois, une main me retint par les cheveux. Je compris que je devais me concentrer sur le gland. A l’odeur, je reconnus celui de Paulo. S’étaient ils concerté pour alterner le doux et le « brutal ». Je ne sais. Je titillais du bout de ma langue le frein du prépuce. Je sentais sous ma langue s’écouler le précum. Trop bon.
L’étape suivante, ce furent deux bites qui se présentèrent à ma bouche en même temps. J’ouvrais et enfournais les glands…Je les sentais bouger légèrement dans ma bouche. Je me doutais bien que le troisième allait arriver. Comment allais-je faire ? Ca ne sert à rien de se poser trop de questions à l’avance. On verrait. Cela ne tarda pas. Eh bien, j’ouvris une bouche encore plus large et je me mis à suçoter les têtes de glands, toutes dégoulinantes de mouille, plus ou moins bien... Sous ma cagoule, je souriais en m’imaginant comment ils avaient du se placer pour arriver à coller leurs trois bites ainsi…A un moment, quelqu’un me prit la tête, me dégagea et me fit me baisser légèrement. On me présenta une couille à gober ou à suçoter, comme il me plairait… J’adore ça. Par contre, je reconnus nettement l’odeur de Paulo et je me frottais la joue contre les poils de Paul ou de Fabrice ? Je les entendais gémir à tour de rôle. Certains m’empoignaient les cheveux et m’appuyaient la tête, signe qu’ils appréciaient.
J’imaginais déjà que la prochaine étape serait les raies et les rondelles. Je ne me trompais pas. On m’encourageait vivement à pousser ma langue pointée le plus possible au fond des rondelles. Je reconnus sans hésitation aucune la raie de Paulo à sa largeur importante. Je la titillais de mon mieux.
Puis, on me fit me relever, tout en me remerciant pour le plaisir donné, on me détacha les mains pour me les rattacher aussitôt à la barre de gym…On m’écarta les jambes. On commença à me fesser gentiment, à même le slip. Petit à petit les tapes se firent plus fermes sans jamais aller jusqu’à la douleur. Ils s’y mirent même à deux pour me fesser en même temps. Je bandais comme un âne ! Finalement, j’aimais bien ça ! Jamais j’aurais cru…Pour me récompenser ( ?) ils se concentrèrent alors sur mon slip. Caresses, léchouilles, coups de langue, souffle chaud, mordillements…Tout y passa. Je ne connais rien de plus cool que des caresses sur des couilles rasées sous un slip de soie avec des doigts pleins de mouille.
Trop cool !
On me baissa alors brusquement mon slip, en le déchirant carrément. A ce moment précis, j’ai eu envie de rire parce que ça paraissait comme dans les films sm - comme un jeu - mais, en même temps, ça m’excitait grave, mais grave. Je sentis aussitôt un gland pousser contre mon trou. Je compris aussitôt qu’il n’y aurait pas de gel…Mais, heureusement, comme ils étaient excités comme des poux, leur mouille remplacerait. Une, deux, trois poussées. Il est dedans. Je souffle un grand coup. A coup sûr, c’est la bite de Paulo. Je la reconnaitrais entre mille. Il s’enfonce jusqu’aux couilles en une seule fois. Je souffle à nouveau mais j’aime aussi. Il se met aussitôt à me limer rudement. Je gémis. A moitié de douleur, à moitié de plaisir. Il va me pistonner ainsi un petit moment puis il se retire et je sens aussitôt une autre pine qui vient m’emplir. Légèrement plus fine que celle de Paulo, elle se faufile d’autant mieux. Je dirais…Paul ? Cadence soutenue, là aussi. La troisième arrive, plus épaisse.
Et là, clou du spectacle ! Je m’attendais à une alternance entre les bites de chacun mais sûrement pas à celle là ! A peine la troisième retirée qu’un gode super glacé - mais lubrifié – me pénètre ! Mais d’où ça sort ça ? Du congélo ? Eh bé, ça peut être que ça…J’entends le rire de Paulo dans mon dos. Encore une de ses « private jokes » ! Surtout qu’à l’appart, ce ne sont pas les godes qui manquent. Déjà, chacun en a un moulé sur sa propre bite, les autres, on les a achetés. N’empêche que l’alternance vraies bites chaudes et godes super gelés est…assez décoiffante ! On ressent l’arrivée d’une vraie bite chaude comme un vrai soulagement. Ceci dit, l’alternance des deux n’est pas désagréable…J’adore.
On me détache ensuite pour m’amener sur le lit. on me fait allonger sur le dos et on m’attache, à nouveau, les mains écartées à la tête du lit. On me glisse trois gros coussins sous les reins. J’ai ainsi le bas ventre en suspension. Cette fois, changement de ton. On est passé dans la douceur la plus extrême. Je comprends qu’ils veulent finir sur un côté agréable. On m’a laissé les pieds libres. Je peux ainsi écarter ou lever au maximum mes jambes. Ils se mettent à trois sur mon bas ventre. L’un s’occupe de mon gland et de ma tige, le second de mes couilles et le troisième de ma raie et de ma rondelle. Extase garantie ! Je gémis tant et plus. Encore !!! Ils changent à tour de rôle. Trop bon.
Arrive alors l’apothéose. Un des trois vient m’écarter les jambes au maximum, me les relève et les pose sur ses épaules puis il vient, doucement, me pénétrer. Je suppose qu’il doit être à genoux, face à moi car mon bassin est très très relevé par les gros coussins placés sous mes reins. Une sorte de levrette à l’envers ! Cette position doit sûrement porter un nom… Il commence à me limer puissamment. En même temps, on me prend chacune de mes mains et on me les pose sur deux slips bien tendus. Je comprends qu’elles aimeraient qu’on les branle. Ce que je fais du mieux possible en baissant légèrement leurs slips sous leurs couilles. A un moment, ils se reculent et je sens sur deux de mes doigts de chaque main une sensation de froid. On me les enduit de gel. Compris ! Il va falloir que je les dilate. Ils ont baissé leurs slips et je passe rapidement un doigt, puis deux. C’est rigolo car je me rends compte qu’il faut, en fait, pas mal de concentration pour faire ça des deux mains en même temps. Je tourne mes doigts pour les dilater du mieux que je peux. Après tout, je suis leur « esclave sexuel » d’un soir. Je me dois à mes « devoirs »… Celui qui m’a pénétré ne bouge plus. Je comprends qu’il est entrain de se faire fourrer par le second qui se fera probablement fourrer par le troisième… Ils vont alors se mettre doucement à me limer. Celui qui me fourre met beaucoup de douceur dans la façon qu’il a de glisser en moi. On dirait qu’il cherche à me procurer des sensations agréables et, peut être aussi, à se faire pardonner quelques rudesses. Je jurerais qu’il ne s’agit pas de Paulo. Je connais trop bien sa bite pour l’avoir « hébergée » de très nombreuses fois. Son glissement est doux et tendre. Trop bien ! Au fil de la séance il va aller un peu plus vite, de plus en plus vite… C’est incroyable. Est-ce parce que je suis attaché ou que je suis cagoulé mais la sensation me paraît encore plus forte que d’habitude. Ils ne vont plus s’échanger leurs places à tour de rôle mais ils vont aller, chacun, jusqu’à la jouissance et moi à la mienne.
Dans la dernière ligne droite, celui qui me fourre empoigne mes chevilles et se met à me bourriner à toute allure. Il jouit dans un grand râle. Je ressens alors un, deux trois longs jets brûlants qui m’inondent les entrailles. Mon inconnu retombe sur moi, débranché, inerte. Presqu’aussitôt, sans même me toucher, je jouis à mon tour en inondant de sperme le ventre de … ?. Par contre, je ressens encore les coups de boutoir du second et probablement du troisième… Au bout d’un moment, je ne sens plus aucun mouvement. Chacun a du jouir. On me retire alors ma cagoule. Je découvre Fabrice, puis Paulo, puis Paul enchassés sur moi.
« -Merci les gars ! C’étai trop cool ! Finalement, j’ai bien tout aimé ! J’aurai pas cru ! Et vous, ça vous a plu aussi ? »

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