Pour son plaisir (16) Le harem
Récit érotique écrit par MAURLEO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour son plaisir (16) Le harem
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
16 – Le haremJimmy et moi sommes amenés dans une immense pièce avec des colonnes. Au centre, un bassin où se baignent, nus, quelques jeunes hommes. Le grand noir qui nous accompagne, nous dirige vers l’autre côté de la grande salle, dans une autre pièce, plus petite mais sans porte, qui donne directement sur la partie centrale. Là, il y a un autre bassin et des douches. Il nous demande d’entrer dans le bassin. L’eau est tiède et semble parfumée. Il nous montre qu’il faut s’y plonger jusqu’au cou, puis nous demande de ressortir et nous dirige vers une table. C’est Jimmy le premier qui s’y colle. Et là, notre grand éphèbe, le barbouille de produit qui semble-t-il pique beaucoup. Lorsque le jet passe sur le corps de Jimmy, celui-ci n’a plus un poil ! C’est maintenant mon tour. Mes poils ont un peu repoussé mais j’en ai moins que n’en avait Jimmy. Lorsque l’opération est terminée, nous retournons un instant dans le bassin puis notre gardien nous laisse déambuler dans la grande pièce. Il s’y trouve une dizaine de garçons, je dirai entre 15 et 30 ans. Des bruns, des blonds, tous épilés et nus. Il y en a de toutes origines mais ils ont tous un point commun : plutôt beaux. Nous sommes un peu perdus et Jimmy me demande où nous sommes. Je n’ai pas vraiment de réponse à lui apporter quand un jeune homme s’approche de nous. Il s’exprime en anglais mais avec un fort accent français. Je lui réponds en français : « où sommes-nous ? » Il s’appelle François, c’est le plus âgé de tous, il a 29 ans. Il nous dit qu’il a été enlevé il y a un an, pense-t-il, alors qu’il travaillait sur l’un des chantiers sur la côte. Il nous explique que nous sommes retenus pour servir le maître des lieux. On peut même devenir des objets sexuels lors de soirées. François nous fait visiter les lieux : la pièce centrale est en quelque sorte la piscine et la salle de réunion, nous avons déjà découvert la salle d’épilation, il y aussi un hammam. Plus loin, il y a la salle de repos. Elle est moins vaste que la piscine. Elle en est séparée par un rideau. Il y a là des lits et des matelas dans tous les sens, au fond, une autre pièce avec les toilettes. Certains garçons dorment. François nous explique qu’ils ont participé à la dernière soirée et qu’ils ont droit de se reposer. Une autre pièce semble être la salle à manger. Des coussins à terre et quelques tables basses.
- Voilà, c’est ici que je suis depuis des semaines. Il y a des arrivées chaque semaine, et quelquefois des départs, mais on ne sait pas pour où.
- Personne ne se révolte ?
- Depuis mon arrivée, non ! Il paraît que quelqu’un a essayé de se sauver une fois. Quand ils l’ont rattrapé, ils l’ont laissé deux jours au soleil. Le jeune a été brûlé et on ne l’a jamais revu.
- Et qu’est-ce qu’on fait toute la journée ?
- Certains sont amenés pour divers travaux : cuisine, entretien des lieux, des chevaux…
J’explique à Jimmy ce que vient de dire François. Ca l’inquiète plus que ça ne le rassure. François nous fait faire le tour de la piscine. Je compte au moins 35 jeunes retenus ici.
- Viens, on va se faire masser !
Nous sommes allongés à terre, sur le marbre pendant que des jeunes mains s’occupent de nous. Je goûte à ce moment qui ne m’était pas arrivé depuis très longtemps. Je sens mon sexe se durcir mais déjà des mains s’en occupent. L’un des garçons me masse le torse pendant qu’un autre me malaxe les couilles… Puis nous avons droit à du thé à la menthe, des gâteaux et des fruits. Il y a aussi de l’eau fraîche. Ça pourrait être le paradis si ce n’était une prison…Je crois reconnaître l’un des garçons. Il est dans le fond, recroquevillé sur lui-même. Je m’approche de lui et je reconnais Rémi que j’avais rencontré au domaine de Saugon il y a un an.
- Rémi ?
Il me regarde. Il semble perdu. François me dit qu’il a eu une correction parce qu’il ne voulait pas faire ce qu’on lui demandait.
- Rémi, c’est moi Cédric ! Tu te rappelles ? Qu’est-ce qui t’est arrivé ?
Rémi me reconnaît enfin et se met à pleurer en me tendant les bras. Je le prends dans mes bras tout en le caressant. Je remarque de grosses traces sur son dos. Il a dû morfler !
- Raconte, qu’est-ce qui t’es arrivé ?
Entre deux sanglots, Rémi me raconte son année. Quelques semaines après sa sortie du domaine, son maître a voulu le prostituer. Refusant, il s’est sauvé, a fait du stop et s’est retrouvé à Marseille. De là, il s’est faufilé dans un bateau. Lorsqu’il a été pris par l’équipage, celui-ci l’a remis aux autorités marocaines. Comme il était sans papier, il a d’abord été mis en prison puis comme rien ne lui était reproché il a été remis à l’ambassade de France. Et sur le chemin, la voiture a été accidentée et Rémi s’est retrouvé enlevé, comme moi et conduit ici, dans cet endroit certes richement décoré, mais où la vie n’est pas sans risque. Voilà à peu près trois mois qu’il est là à se morfondre.
La nuit approche, les jeunes partis pour les travaux reviennent. On est maintenant plus de 40. Dans la salle à manger c’est le brouhaha. Des gardiens armés nous rassemblent pour le repas. Ça me fait drôle de voir toutes ces queues en une seule fois. Il y en a de toutes les tailles. Quand le repas est terminé, deux garçons sont désignés pour ranger la pièce. Pendant ce temps, Rémi m’emmène dans la chambre pour que nous ayons un lit. Jimmy nous accompagne. Il n’y a pas suffisamment de couchage pour tout le monde. Nous occupons, à trois, un matelas pour deux. J’essaie de rassurer Rémi en lui parlant de Jacques et ma certitude qu’il faisait tout pour me retrouver. Rémi est maintenant tout content de me retrouver et nous nous endormons face à face, queue contre queue.
Quelques journées se passent. J’ai dû par deux fois participer aux travaux de nettoyage de la villa et une fois au nettoyage du jardin de l’entrée. J’ai remarqué que pendant les travaux, il n’y avait quasiment pas de gardien, mais les caméras étaient bien présentes. Puis, un soir, ce fut la réunion des membres d’une secte. Deux gardiens armés sont venus récupérés une douzaine de garçons dont je faisais partie avec Jimmy. Comme nous sommes nouveaux, nous sommes emmenés au maître des lieux. Le maître nous parle en anglais en nous expliquant que nous n’avons rien à craindre, que si nous donnons satisfaction nous sortirons très vite et rentrerons chez nous. Il s’approche ensuite de Jimmy et lui caresse les fesses et le torse. Il me demande de me mettre à quatre pattes et me flatte la croupe.
- Vous êtes tous les deux très beaux ! Vous plairez à nos invités !
Puis il remonte sa djellaba et demande à Jimmy de s’approcher et lui plaque la tête contre sa bite. Jimmy, qui doit faire ça pour la première fois, a des haut-le-cœur. Il fait le dégoûté ce qui lui vaut une paire de gifles qui lui laisse des traces. Du coup, le maître me fait signe de le rejoindre. Je m’applique pour ne pas avoir le même traitement. Il semble satisfait et me donne une tape amicale sur la tête avant d’éjaculer dans ma bouche. Il me met un doigt sur les lèvres en m’indiquant de ne rien recracher. Les gardiens nous emmènent alors à l’extérieur dans un parc. On nous remet des tuniques plutôt courtes en tissu blanc, légèrement transparent, descendant jusqu’à la moitié des fesses et laissant dépasser juste un petit bout de nos queues. Répartis sur l’escalier de l’entrée du palais, nous portons des torches et accueillons des visiteurs masqués, vêtus eux, de longues robes blanches. Jimmy frissonne quand un des membres de la secte chatouille ses boules et dépose un baiser sur ses lèvres. Jimmy me lance un regard troublé. Un autre membre pétrit mes fesses, sans doute l’attrait de la nouveauté.
Près d’une heure s’est écoulée. Quatre d’entre nous sont désignés pour servir les plats dans le parc, à la lueur des bougies. Plus question de tunique, nous sommes maintenant entièrement nus. Une musique légère s’élève et deux jeunes dansent au milieu des convives qui les observent. Les deux garçons s’appliquent à balancer leurs queues, à se toucher les fesses, à se caresser le corps tout en se trémoussant au son de la musique. Au plat suivant c’est au tour de deux jeunes lutteurs d’entrer en scène. Jimmy est invité par un jeune allemand. Ils sont tous deux enduits d’huile. Le jeune allemand se jette sur Jimmy mais ce dernier résiste. La tension monte d’un cran autour du spectacle offert. Les spectateurs lancent des paris. Au milieu d’eux, nous portons des torches pour éclairer la scène et nous subissons des gestes vicieux de la part des invités. Un membre de la secte s’amuse à m’enduire mon cul de miel et à y enfoncer ses doigts, il enduit ensuite la queue de mon voisin et prend plaisir à jouer avec le prépuce, à décalotter ce sexe non circoncis, à le lécher. Le jeune homme, un anglais du nom de Larry ne tarde pas à bander. Il a du mal à maintenir sa torche droite…Pendant ce temps, sur l’arène improvisée, le combat est acharné. Jimmy semble en difficulté, allongé à plat ventre sous le jeune allemand qui doit faire une dizaine de kilos de plus que lui. Le jeune allemand a saisi le la bite et les couilles de Jimmy et les tord, les malaxe. C’est visiblement chacun pour soi ! Jimmy hurle en se démenant comme un diable; il réussit à balancer son pied contre la figure de son adversaire qui saigne du nez et relâche sa prise. Jimmy profite de son avantage pour plaquer le jeune allemand, non sans lui avoir asséné une claque magistrale sur les bourses. Les coups sont de plus en plus violents. Le public apprécie et applaudit le combat, lançant de l’eau et du miel sur les lutteurs. Jimmy, maintenant dominateur est déchaîné. Il a le visage plaqué contre l’entrejambe de son adversaire et choisit de mordre là où ça fait mal ! Jimmy mord carrément les couilles du jeune allemand qui lance un cri et se tord de douleur dans le sable. Jimmy est proclamé vainqueur. Deux jeunes hommes lui posent une couronne de laurier sur sa tête.
J’admire mon compagnon de galère, son corps musclé est couvert de sable, de miel et de sueur. Un peu inconscient, je donne ma torche à mon voisin anglais et je rejoins Jimmy. Je prends le strigile pour racler la peau de Jimmy. Un garde s’approche de nous avec un fouet, mais il est retenu par l’un des invités qui apprécie le spectacle. Je nettoie donc le corps de Jimmy dont le sexe est en train de grossir… Tiens tiens, je le croyais hétéro ! Quand son sexe est bien durci, Jimmy se colle à moi comme pour cacher son érection. Je crois qu’il veut m’embrasser et je lui roule une pelle sous les applaudissements des spectateurs. Lui semble très gêné de la situation. Nous tombons sur le sable et je continue de l’embrasser tout en le caressant. Nous roulons sur le sable, passant dessus ou dessous l’autre, les bouches soudées, les jambes emmêlées, nos queues frottant l’une contre l’autre, encouragés par les spectateurs. Des garçons s’approchent avec les torches pour illuminer nos ébats. Profitant de mon avantage, je soulève les jambes de Jimmy mais ce dernier ne l’entend pas ainsi et renverse la situation. Comme il semble très en forme, il me soulève les jambes à son tour et me présente son gland à l’entrée de mon cul. L’assistance semble ravie. L’un d’eux applaudit ce qui encourage Jimmy qui commence des va-et-vient en moi. Il répand sa semence longuement, sous les applaudissements. Le maître des lieux ne semble pas content de ce moment non prévu. Il annonce que nous serons sévèrement punis.
C’est alors que des gardes s’emparent de nous et nous emmènent vers un autre endroit où quatre grands poteaux et des piquets ont été mis en terre. Les gardes nous allongent, sur le ventre, Jimmy et moi, bras et jambes écartées au maximum, attachés aux piquets. Dix coups de fouet sont la première étape de la punition. Jimmy tremble de colère et de désespoir au milieu des convives et des autres jeunes qui sont priés, pour l’exemple, d’assister à la scène. Le fouet cingle sur nos chairs à tour de rôle. Nous hurlons, mais le bourreau continue son œuvre.
Nous sommes enfin libérés. Des invités viennent nous parler, nous toucher. Je pleure à gros sanglots. Nous sommes ensuite attachés aux poteaux, les fesses bien en évidence. Quand un convive passe, ou bien il nous caresse ou bien il nous tape, à chaque fois, ça ravive la douleur du châtiment.
La nuit est devenue orgiaque, les invités ne portent plus que leurs masques, les jeunes sont tous dans les bassins de mosaïque, goûtant au plaisir de l’eau fraîche, des projecteurs éclairent leurs corps nus. C’est le jeu de la pêche. Les invités, munis de grandes cannes à pêche, essaient d’attraper leurs jolis poissons. Les ordres ont été clairs, un jeune attrapé est à la disposition de son pêcheur ! Nous voyons Larry à quatre pattes sur une pelouse, enfilé par de gros quadra ou quinquagénaires tandis que trois autres se branlent au-dessus de son visage, inondant bientôt de leur sperme les yeux de notre camarade.
Peu à peu, les invités gagnent leurs chambres, parfois seuls, parfois accompagnés d’un jeune du harem. François est emmené par l’un des convives. Jimmy et moi devons suivre le maître des lieux qui, heureusement, s’endort comme une masse dès qu’il est allongé au centre de son lit. Nous nous regardons tous les deux. Nous envisageons de nous échapper mais comme nous ne savons pas où nous sommes, nous serions très vite repris. Nous décidons de nous allonger sur l’épais tapis de la chambre et nous nous endormons. Le lendemain matin, dès le réveil du maître, nous furent reconduits au harem. François s’occupa de nous : il nous soigna les blessures recouvertes de sable.
Plusieurs semaines passèrent. J’ai été très obéissant et dévoué, j’ai maintenant le droit de porter un pantalon et des sandales et j’ai pour rôle d’accueillir les nouveaux venus. Ce matin, Il y a tout un groupe de garçons, j’en dénombre douze. Mais cette fois, c’est différent. Ils sont tous habillés et seulement deux gardiens les font entrer. Quand je vois le dernier, je lui dis en anglais de se sauver et de revenir avec de l’aide. Il semble me comprendre et nous discutons très brièvement. J’apprends alors que nous sommes loin de la première ville. Il remonte dans le véhicule qui les a amenés et se cache. Je lui fais signe que j’ai bien vu et je referme le portail. J’espère qu’il réussira à nous sauver ce ce bourbier. J’emmène ensuite les autres dans la cour où je leur demande de se déshabiller. Un gardien brûle devant eux leurs vêtements et je les passe au jet. Ensuite je les emmène au maître. Le soir, j’explique à Jimmy et à Rémi le plan élaboré.
Trois jours plus tard, au petit matin, nous avons été délivrés par la police marocaine. Quand les policiers entrèrent dans notre domaine, ils furent étonnés de voir autant de jeunes hommes entièrement nus dans un endroit aussi somptueux. Nous avons attendu qu’un bus vienne nous récupérer. On nous remit alors quelques vêtements et nous nous sommes dirigés vers le commissariat d’une grande ville, à quelques heures de cette prison dorée.
Il faisait presque nuit lorsque j’ai réussi à contacter Jacques qui était resté au Maroc, à l’hôtel. Quand je l’ai eu au téléphone j’étais tellement heureux que je me suis effondré en larmes. Il ne comprenait pas où j’étais mais semblait savoir que j’avais été enlevé.
J’ai passé une nuit de plus dans une pièce avec cinq autres jeunes dont Rémi qui n’avait personne à prévenir et Louis avec lequel j’ai sympathisé. Louis était un garçon très brun, de 20 ans. Il avait un visage qui lui donnait au moins cinq ans de moins. Très peu poilu, il a les yeux sombres. Son histoire n’est guère plus plaisante que la mienne. Il a dû quitter la maison familiale, son père ne supportant pas son homosexualité. De Montpellier, ce jeune d’un mètre soixante-quinze, plutôt musclé, a erré dans les rues de sa ville. Puis il a rencontré Brahim qui l’a invité au Maroc soit disant pour travailler. Il s’est retrouvé dans ce harem depuis au moins six mois. Durant ces six mois, il a subi les pires outrages notamment d’un membre de la secte qui n’hésitait pas à l’utiliser comme WC. Louis est maintenant désemparé et je lui promets d’essayer de m’occuper de lui, même si je n’arrive pas encore à m’occuper de moi !
Enfin, dans la matinée, Jacques arrive. Quand je le vois je vais vers lui et sans réfléchir, je l’embrasse ne m’inquiétant pas des personnes qui m’entourent. Il a avec lui mon passeport ce qui me permet de quitter les lieux. Je promets à Louis et à Rémi de m’occuper d’eux pour qu’ils me rejoignent au plus vite. Jacques est évidemment d’accord.
16 – Le haremJimmy et moi sommes amenés dans une immense pièce avec des colonnes. Au centre, un bassin où se baignent, nus, quelques jeunes hommes. Le grand noir qui nous accompagne, nous dirige vers l’autre côté de la grande salle, dans une autre pièce, plus petite mais sans porte, qui donne directement sur la partie centrale. Là, il y a un autre bassin et des douches. Il nous demande d’entrer dans le bassin. L’eau est tiède et semble parfumée. Il nous montre qu’il faut s’y plonger jusqu’au cou, puis nous demande de ressortir et nous dirige vers une table. C’est Jimmy le premier qui s’y colle. Et là, notre grand éphèbe, le barbouille de produit qui semble-t-il pique beaucoup. Lorsque le jet passe sur le corps de Jimmy, celui-ci n’a plus un poil ! C’est maintenant mon tour. Mes poils ont un peu repoussé mais j’en ai moins que n’en avait Jimmy. Lorsque l’opération est terminée, nous retournons un instant dans le bassin puis notre gardien nous laisse déambuler dans la grande pièce. Il s’y trouve une dizaine de garçons, je dirai entre 15 et 30 ans. Des bruns, des blonds, tous épilés et nus. Il y en a de toutes origines mais ils ont tous un point commun : plutôt beaux. Nous sommes un peu perdus et Jimmy me demande où nous sommes. Je n’ai pas vraiment de réponse à lui apporter quand un jeune homme s’approche de nous. Il s’exprime en anglais mais avec un fort accent français. Je lui réponds en français : « où sommes-nous ? » Il s’appelle François, c’est le plus âgé de tous, il a 29 ans. Il nous dit qu’il a été enlevé il y a un an, pense-t-il, alors qu’il travaillait sur l’un des chantiers sur la côte. Il nous explique que nous sommes retenus pour servir le maître des lieux. On peut même devenir des objets sexuels lors de soirées. François nous fait visiter les lieux : la pièce centrale est en quelque sorte la piscine et la salle de réunion, nous avons déjà découvert la salle d’épilation, il y aussi un hammam. Plus loin, il y a la salle de repos. Elle est moins vaste que la piscine. Elle en est séparée par un rideau. Il y a là des lits et des matelas dans tous les sens, au fond, une autre pièce avec les toilettes. Certains garçons dorment. François nous explique qu’ils ont participé à la dernière soirée et qu’ils ont droit de se reposer. Une autre pièce semble être la salle à manger. Des coussins à terre et quelques tables basses.
- Voilà, c’est ici que je suis depuis des semaines. Il y a des arrivées chaque semaine, et quelquefois des départs, mais on ne sait pas pour où.
- Personne ne se révolte ?
- Depuis mon arrivée, non ! Il paraît que quelqu’un a essayé de se sauver une fois. Quand ils l’ont rattrapé, ils l’ont laissé deux jours au soleil. Le jeune a été brûlé et on ne l’a jamais revu.
- Et qu’est-ce qu’on fait toute la journée ?
- Certains sont amenés pour divers travaux : cuisine, entretien des lieux, des chevaux…
J’explique à Jimmy ce que vient de dire François. Ca l’inquiète plus que ça ne le rassure. François nous fait faire le tour de la piscine. Je compte au moins 35 jeunes retenus ici.
- Viens, on va se faire masser !
Nous sommes allongés à terre, sur le marbre pendant que des jeunes mains s’occupent de nous. Je goûte à ce moment qui ne m’était pas arrivé depuis très longtemps. Je sens mon sexe se durcir mais déjà des mains s’en occupent. L’un des garçons me masse le torse pendant qu’un autre me malaxe les couilles… Puis nous avons droit à du thé à la menthe, des gâteaux et des fruits. Il y a aussi de l’eau fraîche. Ça pourrait être le paradis si ce n’était une prison…Je crois reconnaître l’un des garçons. Il est dans le fond, recroquevillé sur lui-même. Je m’approche de lui et je reconnais Rémi que j’avais rencontré au domaine de Saugon il y a un an.
- Rémi ?
Il me regarde. Il semble perdu. François me dit qu’il a eu une correction parce qu’il ne voulait pas faire ce qu’on lui demandait.
- Rémi, c’est moi Cédric ! Tu te rappelles ? Qu’est-ce qui t’est arrivé ?
Rémi me reconnaît enfin et se met à pleurer en me tendant les bras. Je le prends dans mes bras tout en le caressant. Je remarque de grosses traces sur son dos. Il a dû morfler !
- Raconte, qu’est-ce qui t’es arrivé ?
Entre deux sanglots, Rémi me raconte son année. Quelques semaines après sa sortie du domaine, son maître a voulu le prostituer. Refusant, il s’est sauvé, a fait du stop et s’est retrouvé à Marseille. De là, il s’est faufilé dans un bateau. Lorsqu’il a été pris par l’équipage, celui-ci l’a remis aux autorités marocaines. Comme il était sans papier, il a d’abord été mis en prison puis comme rien ne lui était reproché il a été remis à l’ambassade de France. Et sur le chemin, la voiture a été accidentée et Rémi s’est retrouvé enlevé, comme moi et conduit ici, dans cet endroit certes richement décoré, mais où la vie n’est pas sans risque. Voilà à peu près trois mois qu’il est là à se morfondre.
La nuit approche, les jeunes partis pour les travaux reviennent. On est maintenant plus de 40. Dans la salle à manger c’est le brouhaha. Des gardiens armés nous rassemblent pour le repas. Ça me fait drôle de voir toutes ces queues en une seule fois. Il y en a de toutes les tailles. Quand le repas est terminé, deux garçons sont désignés pour ranger la pièce. Pendant ce temps, Rémi m’emmène dans la chambre pour que nous ayons un lit. Jimmy nous accompagne. Il n’y a pas suffisamment de couchage pour tout le monde. Nous occupons, à trois, un matelas pour deux. J’essaie de rassurer Rémi en lui parlant de Jacques et ma certitude qu’il faisait tout pour me retrouver. Rémi est maintenant tout content de me retrouver et nous nous endormons face à face, queue contre queue.
Quelques journées se passent. J’ai dû par deux fois participer aux travaux de nettoyage de la villa et une fois au nettoyage du jardin de l’entrée. J’ai remarqué que pendant les travaux, il n’y avait quasiment pas de gardien, mais les caméras étaient bien présentes. Puis, un soir, ce fut la réunion des membres d’une secte. Deux gardiens armés sont venus récupérés une douzaine de garçons dont je faisais partie avec Jimmy. Comme nous sommes nouveaux, nous sommes emmenés au maître des lieux. Le maître nous parle en anglais en nous expliquant que nous n’avons rien à craindre, que si nous donnons satisfaction nous sortirons très vite et rentrerons chez nous. Il s’approche ensuite de Jimmy et lui caresse les fesses et le torse. Il me demande de me mettre à quatre pattes et me flatte la croupe.
- Vous êtes tous les deux très beaux ! Vous plairez à nos invités !
Puis il remonte sa djellaba et demande à Jimmy de s’approcher et lui plaque la tête contre sa bite. Jimmy, qui doit faire ça pour la première fois, a des haut-le-cœur. Il fait le dégoûté ce qui lui vaut une paire de gifles qui lui laisse des traces. Du coup, le maître me fait signe de le rejoindre. Je m’applique pour ne pas avoir le même traitement. Il semble satisfait et me donne une tape amicale sur la tête avant d’éjaculer dans ma bouche. Il me met un doigt sur les lèvres en m’indiquant de ne rien recracher. Les gardiens nous emmènent alors à l’extérieur dans un parc. On nous remet des tuniques plutôt courtes en tissu blanc, légèrement transparent, descendant jusqu’à la moitié des fesses et laissant dépasser juste un petit bout de nos queues. Répartis sur l’escalier de l’entrée du palais, nous portons des torches et accueillons des visiteurs masqués, vêtus eux, de longues robes blanches. Jimmy frissonne quand un des membres de la secte chatouille ses boules et dépose un baiser sur ses lèvres. Jimmy me lance un regard troublé. Un autre membre pétrit mes fesses, sans doute l’attrait de la nouveauté.
Près d’une heure s’est écoulée. Quatre d’entre nous sont désignés pour servir les plats dans le parc, à la lueur des bougies. Plus question de tunique, nous sommes maintenant entièrement nus. Une musique légère s’élève et deux jeunes dansent au milieu des convives qui les observent. Les deux garçons s’appliquent à balancer leurs queues, à se toucher les fesses, à se caresser le corps tout en se trémoussant au son de la musique. Au plat suivant c’est au tour de deux jeunes lutteurs d’entrer en scène. Jimmy est invité par un jeune allemand. Ils sont tous deux enduits d’huile. Le jeune allemand se jette sur Jimmy mais ce dernier résiste. La tension monte d’un cran autour du spectacle offert. Les spectateurs lancent des paris. Au milieu d’eux, nous portons des torches pour éclairer la scène et nous subissons des gestes vicieux de la part des invités. Un membre de la secte s’amuse à m’enduire mon cul de miel et à y enfoncer ses doigts, il enduit ensuite la queue de mon voisin et prend plaisir à jouer avec le prépuce, à décalotter ce sexe non circoncis, à le lécher. Le jeune homme, un anglais du nom de Larry ne tarde pas à bander. Il a du mal à maintenir sa torche droite…Pendant ce temps, sur l’arène improvisée, le combat est acharné. Jimmy semble en difficulté, allongé à plat ventre sous le jeune allemand qui doit faire une dizaine de kilos de plus que lui. Le jeune allemand a saisi le la bite et les couilles de Jimmy et les tord, les malaxe. C’est visiblement chacun pour soi ! Jimmy hurle en se démenant comme un diable; il réussit à balancer son pied contre la figure de son adversaire qui saigne du nez et relâche sa prise. Jimmy profite de son avantage pour plaquer le jeune allemand, non sans lui avoir asséné une claque magistrale sur les bourses. Les coups sont de plus en plus violents. Le public apprécie et applaudit le combat, lançant de l’eau et du miel sur les lutteurs. Jimmy, maintenant dominateur est déchaîné. Il a le visage plaqué contre l’entrejambe de son adversaire et choisit de mordre là où ça fait mal ! Jimmy mord carrément les couilles du jeune allemand qui lance un cri et se tord de douleur dans le sable. Jimmy est proclamé vainqueur. Deux jeunes hommes lui posent une couronne de laurier sur sa tête.
J’admire mon compagnon de galère, son corps musclé est couvert de sable, de miel et de sueur. Un peu inconscient, je donne ma torche à mon voisin anglais et je rejoins Jimmy. Je prends le strigile pour racler la peau de Jimmy. Un garde s’approche de nous avec un fouet, mais il est retenu par l’un des invités qui apprécie le spectacle. Je nettoie donc le corps de Jimmy dont le sexe est en train de grossir… Tiens tiens, je le croyais hétéro ! Quand son sexe est bien durci, Jimmy se colle à moi comme pour cacher son érection. Je crois qu’il veut m’embrasser et je lui roule une pelle sous les applaudissements des spectateurs. Lui semble très gêné de la situation. Nous tombons sur le sable et je continue de l’embrasser tout en le caressant. Nous roulons sur le sable, passant dessus ou dessous l’autre, les bouches soudées, les jambes emmêlées, nos queues frottant l’une contre l’autre, encouragés par les spectateurs. Des garçons s’approchent avec les torches pour illuminer nos ébats. Profitant de mon avantage, je soulève les jambes de Jimmy mais ce dernier ne l’entend pas ainsi et renverse la situation. Comme il semble très en forme, il me soulève les jambes à son tour et me présente son gland à l’entrée de mon cul. L’assistance semble ravie. L’un d’eux applaudit ce qui encourage Jimmy qui commence des va-et-vient en moi. Il répand sa semence longuement, sous les applaudissements. Le maître des lieux ne semble pas content de ce moment non prévu. Il annonce que nous serons sévèrement punis.
C’est alors que des gardes s’emparent de nous et nous emmènent vers un autre endroit où quatre grands poteaux et des piquets ont été mis en terre. Les gardes nous allongent, sur le ventre, Jimmy et moi, bras et jambes écartées au maximum, attachés aux piquets. Dix coups de fouet sont la première étape de la punition. Jimmy tremble de colère et de désespoir au milieu des convives et des autres jeunes qui sont priés, pour l’exemple, d’assister à la scène. Le fouet cingle sur nos chairs à tour de rôle. Nous hurlons, mais le bourreau continue son œuvre.
Nous sommes enfin libérés. Des invités viennent nous parler, nous toucher. Je pleure à gros sanglots. Nous sommes ensuite attachés aux poteaux, les fesses bien en évidence. Quand un convive passe, ou bien il nous caresse ou bien il nous tape, à chaque fois, ça ravive la douleur du châtiment.
La nuit est devenue orgiaque, les invités ne portent plus que leurs masques, les jeunes sont tous dans les bassins de mosaïque, goûtant au plaisir de l’eau fraîche, des projecteurs éclairent leurs corps nus. C’est le jeu de la pêche. Les invités, munis de grandes cannes à pêche, essaient d’attraper leurs jolis poissons. Les ordres ont été clairs, un jeune attrapé est à la disposition de son pêcheur ! Nous voyons Larry à quatre pattes sur une pelouse, enfilé par de gros quadra ou quinquagénaires tandis que trois autres se branlent au-dessus de son visage, inondant bientôt de leur sperme les yeux de notre camarade.
Peu à peu, les invités gagnent leurs chambres, parfois seuls, parfois accompagnés d’un jeune du harem. François est emmené par l’un des convives. Jimmy et moi devons suivre le maître des lieux qui, heureusement, s’endort comme une masse dès qu’il est allongé au centre de son lit. Nous nous regardons tous les deux. Nous envisageons de nous échapper mais comme nous ne savons pas où nous sommes, nous serions très vite repris. Nous décidons de nous allonger sur l’épais tapis de la chambre et nous nous endormons. Le lendemain matin, dès le réveil du maître, nous furent reconduits au harem. François s’occupa de nous : il nous soigna les blessures recouvertes de sable.
Plusieurs semaines passèrent. J’ai été très obéissant et dévoué, j’ai maintenant le droit de porter un pantalon et des sandales et j’ai pour rôle d’accueillir les nouveaux venus. Ce matin, Il y a tout un groupe de garçons, j’en dénombre douze. Mais cette fois, c’est différent. Ils sont tous habillés et seulement deux gardiens les font entrer. Quand je vois le dernier, je lui dis en anglais de se sauver et de revenir avec de l’aide. Il semble me comprendre et nous discutons très brièvement. J’apprends alors que nous sommes loin de la première ville. Il remonte dans le véhicule qui les a amenés et se cache. Je lui fais signe que j’ai bien vu et je referme le portail. J’espère qu’il réussira à nous sauver ce ce bourbier. J’emmène ensuite les autres dans la cour où je leur demande de se déshabiller. Un gardien brûle devant eux leurs vêtements et je les passe au jet. Ensuite je les emmène au maître. Le soir, j’explique à Jimmy et à Rémi le plan élaboré.
Trois jours plus tard, au petit matin, nous avons été délivrés par la police marocaine. Quand les policiers entrèrent dans notre domaine, ils furent étonnés de voir autant de jeunes hommes entièrement nus dans un endroit aussi somptueux. Nous avons attendu qu’un bus vienne nous récupérer. On nous remit alors quelques vêtements et nous nous sommes dirigés vers le commissariat d’une grande ville, à quelques heures de cette prison dorée.
Il faisait presque nuit lorsque j’ai réussi à contacter Jacques qui était resté au Maroc, à l’hôtel. Quand je l’ai eu au téléphone j’étais tellement heureux que je me suis effondré en larmes. Il ne comprenait pas où j’étais mais semblait savoir que j’avais été enlevé.
J’ai passé une nuit de plus dans une pièce avec cinq autres jeunes dont Rémi qui n’avait personne à prévenir et Louis avec lequel j’ai sympathisé. Louis était un garçon très brun, de 20 ans. Il avait un visage qui lui donnait au moins cinq ans de moins. Très peu poilu, il a les yeux sombres. Son histoire n’est guère plus plaisante que la mienne. Il a dû quitter la maison familiale, son père ne supportant pas son homosexualité. De Montpellier, ce jeune d’un mètre soixante-quinze, plutôt musclé, a erré dans les rues de sa ville. Puis il a rencontré Brahim qui l’a invité au Maroc soit disant pour travailler. Il s’est retrouvé dans ce harem depuis au moins six mois. Durant ces six mois, il a subi les pires outrages notamment d’un membre de la secte qui n’hésitait pas à l’utiliser comme WC. Louis est maintenant désemparé et je lui promets d’essayer de m’occuper de lui, même si je n’arrive pas encore à m’occuper de moi !
Enfin, dans la matinée, Jacques arrive. Quand je le vois je vais vers lui et sans réfléchir, je l’embrasse ne m’inquiétant pas des personnes qui m’entourent. Il a avec lui mon passeport ce qui me permet de quitter les lieux. Je promets à Louis et à Rémi de m’occuper d’eux pour qu’ils me rejoignent au plus vite. Jacques est évidemment d’accord.
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