Pour son plaisir (8)
Récit érotique écrit par MAURLEO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour son plaisir (8)
8 – Les premiers jours au domaineLa première nuit fut courte. Comme prévu à 6 heures nous avons eu droit au réveil. C’est monsieur Thomas qui entre dans la chambre. Il allume et nous demande de nous lever rapidement. Nous devons nous mettre debout près du lit pour écouter les premières consignes de la journée. Je me lève, comme les autres, à moitié endormi. Je bande comme mes camarades. Mais c’est très vite parti, quand Thomas nous dit que nous allons faire un petit jogging puis une séance de musculation. Nous devons donc mettre un jock, un short, un tee shirt et des baskets. Chacun étant habillé, nous suivons Thomas dans le parc devant la bâtisse. Il fait encore nuit même si le soleil commence à pointer. Il ne fait pas très chaud, mais nous courrons dans le bois, ce qui nous réchauffe un peu. Marco a un peu de mal à nous suivre, il n’est pas très sportif et Thomas l’interpelle plusieurs fois pour qu’il accélère. Nous atteignons le parcours sportif. Etirements, sauts… puis nous devons aller dans la salle de musculation. Bien sûr, Thomas nous demande d’enlever nos chaussures. C’est donc pieds nus que nous entrons dans la salle. Il commence par des étirements puis quelques pompes, heureusement pas très nombreuses. Il nous affecte ensuite des instruments. Je suis sur le vélo, ce qui me convient assez même si après le jogging, j’ai les jambes un peu en coton. C’est Marco qui se fait remarquer. Il a du mal sur le rameur. Thomas lui montre comment faire, mais visiblement il n’y arrive pas. Il a droit à une fessée, short baissé. Il proteste mais Thomas ne cède pas. Le rameur n’étant visiblement pas son truc, il doit exécuter d’autres pompes, avec des poids sur les reins. Quand les pompes ne conviennent pas à Thomas, une claque sur les fesses lui rappelle ce qu’il doit faire.
Vers 9 heures, nous passons vers la lingerie. Une dame, Françoise, nous appelle par notre prénom et nous remet notre panier avec le linge propre et des nouvelles serviettes. Lorsque nous sommes tous servis, nous remontons dans la chambre. Monsieur Thomas nous dit que nous avons 30 minutes pour la douche, rasage de près, y compris la tête qui devra être nette chaque jour ! Nous devons également revêtir notre costume pour les cours et faire le lit. Pendant la douche, il inspecte la chambre et remarque que le lit de Marco a des traces de sperme. Quand nous rentrons dans la chambre, nous devons rester nus devant notre lit. Il demande à Marco des explications. Marco reste silencieux. Monsieur Thomas lui demande alors de mettre les mains sur le montant du lit et de se tenir droit, les jambes écartées. Il sort de sa ceinture un martinet et frappe violemment Marco de plusieurs coups. Marco crie et veut mettre ses mains sur ses fesses, mais Thomas lui ordonne de maintenir les mains sur le lit. J’ai mal pour lui ! Ses fesses sont striées de rouge. Thomas n’hésite pas à frapper à différents endroits. Marco continue de crier à chaque coup. Puis Thomas s’arrête. Il nous demande de ranger la chambre, de mettre le linge sale dans le panier et de s’habiller pour les cours.
Marco en a gros sur le cœur. Il se frotte les fesses qui doivent être brûlantes. Lorsque nous sommes tous habillés avec notre costume de cours, nous allons déjeuner. Nous avons 15 minutes. Le petit déjeuner est assez copieux : pain, fruits, yaourt, boissons chaudes et froides, fruits secs, céréales… un vrai buffet ! Nous apprécions, dommage que nous n’ayons que 15 minutes. Nous devons ensuite ranger la pièce. C’est Jean-Luc qui est chargé de balayer. Ce sera mon tour le lendemain. Monsieur Thomas nous affecte ensuite à différents cours. Il nous indique la salle dans laquelle nous devons nous rendre. Nous y resterons jusqu’à 13 heures environ.
J’ai droit à des cours d’économie internationale et de droit ! Le premier cours m’est donné en anglais. Je parle bien sûr anglais, mais mon niveau n’est pas de celui du professeur. C’est très difficile pour moi de suivre pendant longtemps la conversation. A la fin du cours, une interrogation est faite. J’ai droit à 10 questions. Je fais deux fautes. Le professeur m’invite à le rejoindre. Il me demande de baisser mon bermuda et mon slip. Je dois mettre mes mains sur le dos d’une chaise. Il relève les pans de ma chemise et me donne 2 coups de canne. C’est plutôt par surprise que par mal que je pousse un cri. Il m’annonce que demain ce sera le double ! J’ai ensuite droit à un cours d’allemand qui se passe bien. Enfin pour terminer la matinée, je dois me rendre dans une autre salle. J’y suis rejoint par Rémi. Tous deux nous allons avoir des cours de code de la route afin de préparer le permis. La séance consiste à un diaporama expliqué, suivi d’un examen de 40 questions. Pour avoir le code, nous devons faire 35 minimum mais ici, nous devons faire 40. Chaque point manquant sera payé par un coup de canne ! Même si nous nous appliquons, cette première fois est désastreuse. Rémi fait 17 et moi 21 ! Il va devoir supporter 23 coups de canne et moi 19. J’en ai déjà eu deux ce matin…Le professeur nous demande donc de baisser bermuda et slip. Je remarque de Rémi semble excité par la situation. Sa bite est droite, même si elle est un peu cachée par la chemise, ça se remarque. Le professeur me demande d’attendre, les mains sur la tête. Ma chemise remonte et du coup, ma bite est bien visible, avec l’anneau que je n’ai toujours pas retiré. Il commence donc par Rémi. C’est plus une cravache qu’une canne. Il la fait siffler autour des fesses de Rémi. Je le vois contracter son cul. Puis il relève la chemise de Rémi et lui demande d’écarter les jambes, de ne pas bouger et de compter à rebours. S’il bouge, il recommencera au début. Lorsque le premier coup tombe, Rémi pousse un cri. Je vois la trace de la cravache sur les deux fesses, en plein milieu. Rémi a compté 23. Le professeur fait à nouveau siffler la cravache puis donne le deuxième coup un peu plus bas. Il caresse légèrement les fesses de Rémi et lui donne ensuite plusieurs coups à la suite. Rémi compte consciencieusement mais la voix n’est plus la même… Quand le professeur a terminé avec Rémi, il lui demande de mettre les mains sur la tête et d’attendre. Je vois son sexe qui s’est ratatiné, et ses fesses rouges, striées. Je prends la pose qu’avait Rémi. J’écarte bien les jambes, Rémi ne doit rien rater du spectacle de mes couilles sous mes fesses ! Le professeur me remonte la chemise et remarque que j’ai déjà dû subir une punition. Je lui confirme en expliquant mes deux fautes. Il fait siffler sa cravache et me frappe une première fois. Effectivement, le coup est sérieux. Je pousse également un cri avant de commencer le décompte. Au cinquième coup, j’ai les jambes qui tremblent. Il me caresse les fesses, ce qui accroît l’effet de chaleur. Je me concentre sur le décompte pour ne pas penser aux coups, mais c’est impossible ! Au dernier coup j’ai du mal à me relever. Je dois moi aussi mettre les mains sur la tête. Nous sommes donc face au professeur, la bite à l’air, le cul très chaud ! Le professeur nous explique que la prochaine fois, ce sera 2 coups par faute, puis ensuite 3 et 4 et ainsi de suite… nous prenons acte et remontons notre pantalon. Nous devons nous rendre au réfectoire.
Nous regagnons donc notre espace et nous arrivons bon derniers. Le cuisinier est là. Il nous sert un repas, plus léger que le matin : quelques crudités, du pain, une compote et de l’eau. J’ai du mal à m’asseoir sur le tabouret pour prendre le repas. En plaisantant, le cuisinier me demande si je veux un coussin. Je ne réponds pas et m’efforce de m’asseoir. Le repas terminé, nous rangeons la pièce et retournons dans la chambre ou Karim nous attend. Il nous demande de nous mettre à poil pour la sieste. Cette fois c’est sans broncher que nous nous allongeons sur le lit. Yves a reçu lui aussi des coups de cravache, il est marqué sur les fesses, plus que moi. Des six, seul Thierry n’a pas eu droit à une correction. Quant à Marco, la correction de ce matin ne l’empêche pas de se tripoter la queue. Cette fois, il le fait seul. Nous somnolons quelques moments. Le soleil donne et la pièce est très chaude. Il doit être 16 heures, lorsque Karim entre dans la pièce. Il nous annonce que la sieste est terminée et que nous allons entamer le cours d’endurance. Nous devons mettre collier et bracelets. Karim vérifie le harnachement de chacun. Pour la plupart d’entre nous, il serre davantage le collier. Nous devons ensuite nous mettre en file indienne. Il passe une chaine à travers les colliers ce qui fait que nous sommes tous les six attachés les uns aux autres. Comme hier, nous sommes par taille, je me retrouve donc devant Yves. Le collier nous oblige à tenir la tête droite. C’est donc en file indienne que nous devons nous déplacer. Il faut que l’on marche du même pas pour ne pas faire tomber l’un de nous. Je sens la bite d’Yves dans mon cul qui grossit. La mienne grossit également dans le cul de Rémi qui semble cambrer son dos. Je suis le plus jeune des six avec mes 20 ans. Nous suivons Karim. Le plus difficile est de s’harmoniser dans l’escalier. Heureusement les marches sont larges et nous arrivons au sous-sol sans trop d’encombre. Thomas nous attend. C’est lui qui nous détache à notre arrivée devant la salle du donjon. Il nous dit d’attendre en silence. Nous nous regardons, un peu inquiets. Il nous explique brièvement ce qui nous attend :
- Vous êtes ici pour en baver, messieurs ! l’après-midi sera consacré à l’endurance. Vous allez être mis dans des postures que vous devrez garder un certain temps. Nous commencerons légèrement, mais d’ici 3 semaines, vous devrez tenir beaucoup plus longtemps !
Il nous fait ensuite entrer dans la pièce et nous demande de nous assoir sur les fauteuils. Chaque fauteuil est en bois avec en son centre un gode, pas très large, et de moins d’une dizaine de centimètres. Chaque gode a été graissé et nous devons donc nous enfiler sur cette fausse bite. Heureusement que Jacques m’a habitué à ouvrir mon cul, Je m’efforce de m’assoir, même si mes fesses sont encore douloureuses. Jean-Luc semble avoir plus de difficultés. Visiblement, son cul n’a jamais servi ! Thomas s’en aperçoit et se met devant lui et le pousse sur les épaules. Jean-Luc crie, mais Thomas continue de le baisser sur le siège. Quand chacun est assis, Thomas nous pose des questions diverses en indiquant qui doit répondre. Il y a des questions de culture générale, d’actualités ou d’hygiène. Il note sur un petit carnet quelque chose à chaque réponse. Je sens le gode m’envahir le ventre. Sans être douloureux, cette position n’est pas très agréable. Je vois Jean-Luc qui semble le plus mal à l’aise. Il transpire malgré le froid de la pièce. Thomas le remarque et le retire du fauteuil.
Thomas nous présente ensuite Rachid, un grand mec costaud qui porte un mini slip en cuir noir, des rangers, des mitaines en cuir et un bonnet, toujours en cuir, qui lui arrive jusqu’au nez. Ses fesses sont très musclées et très rebondies. Thomas nous annonce que ce sera notre « bourreau ». C’est lui qui sera chargé de nous corriger, et de nous installer. Il appelle ensuite Rémi qui doit le suivre. Rémi se relève difficilement. Il a les larmes aux yeux mais ne dit rien. Thomas lui demande de se pencher vers l’avant. Il attache ses poignets à ses chevilles et demande à Rachid de le mettre dans la cage. Il s’agit d’une petite cage où Rémi doit se tenir accroupi, la tête dans les genoux. En plus, Rachid lui pose une cagoule qui l’aveugle. La grille est suffisamment serrée pour ne pas laisser dépasser de membres. Lorsque la cage est refermée, Rachid la monte tout en la balançant. Rémi gémit, se plaint, dit qu’il a envie de vomir, mais la seule réponse qu’il a c’est un bol d’eau à la figure. Il fait assez froid dans cette pièce. La clim doit être en activité. C’est Yves qui est appelé. Thomas lui mais une boule dans la bouche qu’il attache solidement derrière le cou. Il lui demande ensuite d’écarter les jambes et accroche ses pieds à des supports qui se trouvent à terre. Yves a ensuite les mains attachées dans le dos et soulevées. Nous l’entendons gémir. Lorsque les bras sont tendus au maximum, il crie mais son cri est étouffé. C’est ensuite mon tour. Je suis à côté d’Yves, dans la même position, mais à la place de la boule, on me met un appareil qui me tient la bouche ouverte en permanence. Le froid s’atténue au profit d’une suée. On demande à Jean-Luc de venir mettre sa bite dans ma bouche et de se branler. Jean-Luc s’exécute, sans doute excité par la situation. Il se branle pendant près d’un quart d’heure mais n’éjacule pas, Thomas le pousse avant et remplace la bite de Jean-Luc par un gode qui me prend toute la bouche. Jean-Luc est attaché par les couilles solidement et mis sur un carcan. Ses couilles et sa bite sont mises dans un trou tout comme sa tête et ses bras. Ses pieds sont fixés au sol. Il ne peut plus bouger non plus. Marco lui, est attaché sur le dos, sur un sommier de lit. Les jambes sont attachées solidement par une ceinture et les bras sont attachés au-dessus de sa tête, aux barreaux du lit. Il reste Thierry qui est attaché sur une croix de St André, laissant visible son cul et on aperçoit ses couilles. C’est sans doute lui qui a la position la moins difficile. Lorsque chacun est installé, on me retire le gode de la bouche et on m’échange l’écarteur avec une boule. Puis Rachid, muni d’une canne vient nous fesser Yves et moi. Les coups pleuvent les uns derrière les autres. Une dizaine chacun. Ensuite, il nous caresse les fesses puis reprend une série de 10. J’ai les larmes aux yeux, je pisse même sur moi sans pouvoir me retenir. Nous recevons chacun 30 coups. Il se dirige ensuite vers Thierry. Ce dernier a droit au même traitement. Lui aussi pleure et crie, mais rien n’y fait. La série de trente terminée, Rachid se dirige vers Marco, qui crie « Non, pas ça, s’il vous plait » mais Rachid ne semble pas l’entendre. Marco reçoit des coups sur le ventre, le torse, et même les couilles ce qui le fait hurler. Viens le tour de Jean-Luc. Il tremble avant même de recevoir le premier coup. La série de trente a l’air très pénible pour lui. Il semble s’évanouir. Thomas lui envoie de l’eau sur la figure, mais Jean-Luc ne réagit pas. Il est alors détaché et s’étale à terre. Quelques secondes passent avant qu’il ne se relève. Il est alors remis dans son carcan. Il pleure à chaudes larmes. Le seul épargné sera Rémi qui balance dans la cage. Rachid et Thomas sortent de la pièce et nous laissent dans le noir. Rémi se plaint de courbatures tandis que Marco dit ne sentir que des brulures. Jean-Luc a très mal aux couilles compressées et pense qu’il ne pourra plus jamais éjaculer. Seul Thierry reste muet. Yves et moi nous nous regardons mais nous ne pouvons pas parler. On reste ainsi un bon moment. Rémi nous explique sa situation. Il a été mis à la porte de chez lui quand il a eu 18 ans, parce que son père n’admettait pas un homosexuel chez lui. Il est monté à Paris et a erré plusieurs mois de squat en squat. Il a eu des petits boulots mais a fini par se prostituer pour avoir du fric. C’est là qu’il a rencontré celui qui allait devenir son maître. Nourri logé, il est très vite devenu l’esclave de son maître qui l’a emmené sur Bordeaux où il devait être entièrement à son service et à celui de ses invités. Il était devenu un jouet plus qu’un être humain. L’école doit lui apporter ce qu’il n’a pas encore connu : obéissance totale et jeux sexuels. Mais Rémi dit qu’il regrette de s’être laissé embarquer dans cette galère et compte bien se sauver à la première occasion. Jean-Luc nous dit qu’il a à peu près la même histoire. Son maître l’a recueilli dans la rue lui aussi. Son maître a été attiré surtout par la taille de sa bite. Il aime l’exhiber, mais il n’a eu des relations qu’avec son maître. Il est ici pour apprendre l’obéissance. Son maître lui a promis de s’occuper de lui et qu’il n’avait pas à penser au lendemain. Marco le contredit en lui disant que quand son maître serait fatigué de lui, il le jetterait. Il savait de quoi il parlait, il en était à son troisième maître. Il a été vendu deux fois après avoir lassé ses maîtres. Pourtant il se dit doué en service, cuisine et même baise, mais il refuse toujours les corrections. Son dernier maître est très brutal et il compte bien lui aussi se sauver. Thierry est un peu dans la même situation que moi. Il a rencontré son maître un peu par hasard, en faisant du jogging. Une amitié puis une amourette et maintenant un rapport plus sadomaso. Son maître ne le brutalise pas. Ils forment un couple un peu bizarre, mais il a conservé une certaine liberté. Il a un travail mais donne tout son salaire à son maître qui le nourrit, l’habille et le sort régulièrement.
La lumière revient, Thomas et Rachid aussi. Rachid recommence une série de 30 coups de cravache. J’ai très mal, je bave, je pleure… Je sens mes fesses me brûler mais je résiste. Quand il arrive à Marco, ce dernier le supplie, mais Rachid, sans pitié, le frappe à nouveau. Seul Jean-Luc et Rémi y échappent. Je vois les fesses zébrées de Thierry, les miennes doivent être dans le même état. A nouveau le noir et le silence, rompu par Rémi qui nous demande comment on va.
- Pas bien, lui répond Marco, j’en ai vraiment marre !
On attend un bon moment, puis la lumière revient. Rachid détache d’abord Marco et lui demande d’aller se rassoir sur le fauteuil godé. C’est le tour d’Yves puis le mien. Nous sommes suivis de Thierry et Jean-Luc. Rémi est descendu de sa cage et détaché. Comme il n’a pas reçu du coup de canne, il est installé sur le cheval d’arçon, les fesses face à nous, bien en évidence. Les pieds et les mains attachées de chaque côté. Et Rachid lui donne des coups de cravache, 10 par 10 avec des caresses entre chaque série. Rémi crie, pleure, mais résiste finalement. Quand la série de 30 est terminée, il vient nous rejoindre sur un fauteuil.
- Bien messieurs, vous avez été courageux, même si certains se sont laissés aller, n’est-ce-pas Cédric ? Marco tu as été un peu capricieux mais tu as résisté. Jean-Luc, le médecin t’attend à l’infirmerie. Les autres vous pouvez rejoindre vos quartiers ou le parc, jusqu’à 19 h. A la sonnerie, vous serez tous au réfectoire.
Nous remontons dans la chambre. Nous enlevons nos colliers et bracelets et mettons jock et short pour aller dans le parc. Il fait très beau. Il doit être 18 h environ, nous avons donc une heure devant nous. Nous discutons mais nous avons surtout mal aux fesses. Thomas nous rejoint. Il n’a pas la même intonation que lorsqu’il donne des ordres. Il nous parle calmement, nous fait découvrir le parc, dit que nous pouvons nager dans la piscine. C’est d’ailleurs ce que je fais. Je me mets donc à poil, puisque ce sont les consignes et je me jette à l’eau. Ça me fait beaucoup de bien. La chaleur de mes fesses et le froid relatif de l’eau me font un bien fou ! J’incite les autres à me rejoindre mais je reste seul dans l’eau. A 19 heures, Thomas nous rappelle, il a repris sa voix de militaire !
Je remets le jock et le short, je ne peux pas me sécher… Nous montons au réfectoire où on nous sert un repas un peu plus copieux qu’à midi. Puis nous avons droit à une séance de cinéma. C’est un film qui nous explique comment nous nettoyer le pénis. Après le film, nous allons dans la salle où se trouve les paillasses et nous devons montrer que nous avons bien compris. Nous nous déshabillons et nous nous nettoyons la bite comme vu dans le film. Thomas nous inspecte les uns après les autres. Il prend Marco et fait une démonstration de nettoyage « en direct ». Marco bande. Thomas finit par le branler. Evidemment Marco éjacule. Thomas lui demande de tout nettoyer, avec sa bouche. L’air dégouté Marco s’exécute. Il a des hauts le cœur, mais il ne veut pas d’une autre correction. Il est à peu près 21 heures quand nous remontons à notre chambre : douche, puis panier à déposer à la lingerie. Nous sommes étonnés en arrivant, Françoise est présente. Nous sommes un peu gênés, d’être nus devant cette femme, mais elle ne semble pas faire attention à nous. Toutefois quand Jean-Luc lui remet son panier, elle regarde fixement sa bite. Nous tentons de cacher notre sexe, mais Thomas nous demande de mettre les mains sur la tête pour retourner dans la chambre. Nous pouvons alors nous coucher. Pour cette deuxième nuit, personne n’a cherché l’autre… Nous nous sommes rapidement endormis.
Chacune des journées au domaine furent rythmées par des cours le matin qui donnaient lieu à des brimades. Heureusement mon niveau en code s’est amélioré et assez rapidement je faisais le plus souvent 40, ce qui m’évitait les coups de canne. Quant aux autres cours, ils étaient systématiquement suivis d’une interrogation. Les points manquants étaient sanctionnés par des coups de canne ou de martinet qui augmentaient chaque jour de un. Cinq après-midi sur sept nous avions endurance. Chaque fois des poses différentes, les plus pénibles possibles. Une fois, j’ai même été suspendu par un pied, mon autre jambe étant repliée et retenue par un cordage. Lorsque le martinet cinglait mes fesses, ça me faisait tourner et j’ai reçu cette fois-là pas mal de coups sur les bourses. J’étais au bord de l’évanouissement… A chaque séance je m’efforçai de penser à autre chose pour ne pas me concentrer sur le mal que je pouvais ressentir. La séance la pire que j’ai pu subir fut lorsque je fus mis en extension par les bras très écartés. Mes pieds ne touchaient le sol que par la pointe posée sur des mini-supports. Rachid m’avait fixé aux seins des pinces reliées entre elles et également reliées par une ficelle qu’il avait attachée à chaque gros orteil. Dès que je bougeais un pied, je sentais une tension sur mes tétons. Pour couronner le tout, il avait fixé à mes couilles des poids qu’il venait alourdir à chaque demi-heure. Il m’avait également mis un plug pas trop gros mais assez long, ce qui me provoquait des tensions dans le ventre. Au bout de 1h30 je me suis mis à trembler. Je ne sentais plus mes bras ni mes jambes. Quand Rachid entra, il vint me délivrer avant de s’occuper des autres. Je suis tombé par terre mettant un certain temps à me rétablir. Une autre expérience douloureuse fut lorsque je fus mis, attaché, dans une boîte où il faisait très sombre et suspendu. Au bout d’un moment, on ne sait plus où on est. J’avais un bâillon et je ne pouvais donc pas parler pour communiquer avec les autres. Chaque demi-heure, Rachid tournait la boîte qui mettait du temps à s’immobiliser. J’avais envie de vomir, c’est ce qui arriva quand Rachid retira le bâillon. J’ai dû cette fois-là nettoyer entièrement la salle ! Et du coup j’ai raté le repas du soir.
Il y eut également des jours beaucoup plus agréables : deux après-midi par semaine on nous a initiés à l’art du massage. La technique était donnée par un professeur et c’est un moment où nous pouvions nous laisser aller. Lors de la première séance, j’ai été affecté comme masseur. Le massé était Jean-Luc. Jean-Luc était bien sûr à poil sur la table de massage et moi j’étais en mini slip. Comme le professeur nous l’avait indiqué, j’ai pulvérisé de l’huile sur les épaules de Jean-Luc puis je l’ai massé avec la paume de mes mains. Peu à peu je suis descendu le long du dos m’attardant sur les hanches, remontant vers le cou. Puis je me suis attaqué aux jambes : les mollets, les cuisses puis les fesses. Quand Jean-Luc s’est retourné, il bandait très fort. Sa bite dépassait son nombril ! quand j’ai commencé le massage du torse, mes bras frôlaient sa bite à chaque passage. Je bandais moi aussi dans mon mini-slip, ma bite montra sa pointe en dehors du slip. Aucune réflexion du professeur qui semblait amusé de la situation. Visiblement le massage avait le même effet sur les autres. Le professeur nous demanda de retirer le mini slip. Tout le monde bandait très fort. On continua le massage, torse, jambes. Puis nous eûmes l’autorisation de nous occuper de la bite de notre acolyte. J’ai d’abord caressé les couilles de Jean-Luc, depuis le temps que j’attendais ça ! puis j’ai caressé sa queue jusqu’au gland, lentement, m’attardant sur toutes les veines qui ressortaient. Ma paume de main massait sa verge, je la sentais réagir sous mes caresses. Quand je sentais des vibrations, j’attendais un moment… Marco avait déjà éjaculé, alors que Jean-Luc savourait mon massage. Une main massait sa queue, l’autre son entre-jambes ce qui le rendait fou ! Je l’entendais respirer, souffler, se retenir. Je sentais qu’il se contractait… Ce fut le dernier à jouir, mais visiblement la situation lui avait plu ! Il a joui abondamment sur son ventre, jusqu’au menton, au moment où ma main lui caressait le bout du gland… j’ai goûté son sperme alors que les autres nous regardaient. 3 d’entre nous avaient joui mais le cours était terminé. Nous devions remettre nos mini slip pour quitter la salle, nous avons beaucoup de mal à faire rentrer nos queues bandées dans ces petits morceaux de tissu. La semaine suivante, j’étais massé dans les mains de Thierry. Ce fut très agréable ! il était certainement expert en massage. J’ai moi aussi joui abondamment alors que Thierry me massait les bourses tout en titillant mon gland. Il a englouti mon membre pendant que je jouissais et il a tout avalé en me regardant. C’était super excitant !
Et puis nous avons alterné les cours d’hygiène où les explications portaient sur le nettoyage des parties génitales, mais aussi du reste du corps. C’est lors de ces cours que nous avons dû pratiquer des lavements. Toutes les trois semaines environ, l’après-midi était consacrée à l’épilation. Nous devions nous rendre en string au « salon d’épilation » ou Jean-René nous accueillait avec un sourire sadique. Il mettait tout son cœur à nous voir souffrir surtout lorsqu’il enlevait les quelques traces de poils entre les couilles et le cul. Ça chauffait pour nous ces jours-là ! Nous devions passer chacun notre tour sur la table d’épilation, entièrement nu pendant que les autres regardaient le travail de Jean-René qui commentait ce qu’il faisait. Puis l’un d’entre nous était chargé de mettre une crème apaisante sur le corps tout nu de son camarade. A chaque fois je suis tombé sur Yves qui bandait comme un âne. Je m’appliquais à lui enduire le sexe de crème pour le caresser un maximum. En général je passais le dernier parce que c’est moi pour qui les poils repoussaient le moins vite. C’est Jean-Luc qui m’enduisait de crème. J’aimais regarder sa bite qui me frôlait à chaque fois.
Ces trois mois au domaine furent également rythmés par des « soirées » qui quelquefois pouvaient durer toute l’après-midi et toute la nuit ! Ces soirées étaient des moments où nous étions plus ou moins livrés à des clients du domaine qui venaient pour s’amuser ! Il n’y en a eu que 5 durant mon séjour, mais elles furent très pénibles !
Vers 9 heures, nous passons vers la lingerie. Une dame, Françoise, nous appelle par notre prénom et nous remet notre panier avec le linge propre et des nouvelles serviettes. Lorsque nous sommes tous servis, nous remontons dans la chambre. Monsieur Thomas nous dit que nous avons 30 minutes pour la douche, rasage de près, y compris la tête qui devra être nette chaque jour ! Nous devons également revêtir notre costume pour les cours et faire le lit. Pendant la douche, il inspecte la chambre et remarque que le lit de Marco a des traces de sperme. Quand nous rentrons dans la chambre, nous devons rester nus devant notre lit. Il demande à Marco des explications. Marco reste silencieux. Monsieur Thomas lui demande alors de mettre les mains sur le montant du lit et de se tenir droit, les jambes écartées. Il sort de sa ceinture un martinet et frappe violemment Marco de plusieurs coups. Marco crie et veut mettre ses mains sur ses fesses, mais Thomas lui ordonne de maintenir les mains sur le lit. J’ai mal pour lui ! Ses fesses sont striées de rouge. Thomas n’hésite pas à frapper à différents endroits. Marco continue de crier à chaque coup. Puis Thomas s’arrête. Il nous demande de ranger la chambre, de mettre le linge sale dans le panier et de s’habiller pour les cours.
Marco en a gros sur le cœur. Il se frotte les fesses qui doivent être brûlantes. Lorsque nous sommes tous habillés avec notre costume de cours, nous allons déjeuner. Nous avons 15 minutes. Le petit déjeuner est assez copieux : pain, fruits, yaourt, boissons chaudes et froides, fruits secs, céréales… un vrai buffet ! Nous apprécions, dommage que nous n’ayons que 15 minutes. Nous devons ensuite ranger la pièce. C’est Jean-Luc qui est chargé de balayer. Ce sera mon tour le lendemain. Monsieur Thomas nous affecte ensuite à différents cours. Il nous indique la salle dans laquelle nous devons nous rendre. Nous y resterons jusqu’à 13 heures environ.
J’ai droit à des cours d’économie internationale et de droit ! Le premier cours m’est donné en anglais. Je parle bien sûr anglais, mais mon niveau n’est pas de celui du professeur. C’est très difficile pour moi de suivre pendant longtemps la conversation. A la fin du cours, une interrogation est faite. J’ai droit à 10 questions. Je fais deux fautes. Le professeur m’invite à le rejoindre. Il me demande de baisser mon bermuda et mon slip. Je dois mettre mes mains sur le dos d’une chaise. Il relève les pans de ma chemise et me donne 2 coups de canne. C’est plutôt par surprise que par mal que je pousse un cri. Il m’annonce que demain ce sera le double ! J’ai ensuite droit à un cours d’allemand qui se passe bien. Enfin pour terminer la matinée, je dois me rendre dans une autre salle. J’y suis rejoint par Rémi. Tous deux nous allons avoir des cours de code de la route afin de préparer le permis. La séance consiste à un diaporama expliqué, suivi d’un examen de 40 questions. Pour avoir le code, nous devons faire 35 minimum mais ici, nous devons faire 40. Chaque point manquant sera payé par un coup de canne ! Même si nous nous appliquons, cette première fois est désastreuse. Rémi fait 17 et moi 21 ! Il va devoir supporter 23 coups de canne et moi 19. J’en ai déjà eu deux ce matin…Le professeur nous demande donc de baisser bermuda et slip. Je remarque de Rémi semble excité par la situation. Sa bite est droite, même si elle est un peu cachée par la chemise, ça se remarque. Le professeur me demande d’attendre, les mains sur la tête. Ma chemise remonte et du coup, ma bite est bien visible, avec l’anneau que je n’ai toujours pas retiré. Il commence donc par Rémi. C’est plus une cravache qu’une canne. Il la fait siffler autour des fesses de Rémi. Je le vois contracter son cul. Puis il relève la chemise de Rémi et lui demande d’écarter les jambes, de ne pas bouger et de compter à rebours. S’il bouge, il recommencera au début. Lorsque le premier coup tombe, Rémi pousse un cri. Je vois la trace de la cravache sur les deux fesses, en plein milieu. Rémi a compté 23. Le professeur fait à nouveau siffler la cravache puis donne le deuxième coup un peu plus bas. Il caresse légèrement les fesses de Rémi et lui donne ensuite plusieurs coups à la suite. Rémi compte consciencieusement mais la voix n’est plus la même… Quand le professeur a terminé avec Rémi, il lui demande de mettre les mains sur la tête et d’attendre. Je vois son sexe qui s’est ratatiné, et ses fesses rouges, striées. Je prends la pose qu’avait Rémi. J’écarte bien les jambes, Rémi ne doit rien rater du spectacle de mes couilles sous mes fesses ! Le professeur me remonte la chemise et remarque que j’ai déjà dû subir une punition. Je lui confirme en expliquant mes deux fautes. Il fait siffler sa cravache et me frappe une première fois. Effectivement, le coup est sérieux. Je pousse également un cri avant de commencer le décompte. Au cinquième coup, j’ai les jambes qui tremblent. Il me caresse les fesses, ce qui accroît l’effet de chaleur. Je me concentre sur le décompte pour ne pas penser aux coups, mais c’est impossible ! Au dernier coup j’ai du mal à me relever. Je dois moi aussi mettre les mains sur la tête. Nous sommes donc face au professeur, la bite à l’air, le cul très chaud ! Le professeur nous explique que la prochaine fois, ce sera 2 coups par faute, puis ensuite 3 et 4 et ainsi de suite… nous prenons acte et remontons notre pantalon. Nous devons nous rendre au réfectoire.
Nous regagnons donc notre espace et nous arrivons bon derniers. Le cuisinier est là. Il nous sert un repas, plus léger que le matin : quelques crudités, du pain, une compote et de l’eau. J’ai du mal à m’asseoir sur le tabouret pour prendre le repas. En plaisantant, le cuisinier me demande si je veux un coussin. Je ne réponds pas et m’efforce de m’asseoir. Le repas terminé, nous rangeons la pièce et retournons dans la chambre ou Karim nous attend. Il nous demande de nous mettre à poil pour la sieste. Cette fois c’est sans broncher que nous nous allongeons sur le lit. Yves a reçu lui aussi des coups de cravache, il est marqué sur les fesses, plus que moi. Des six, seul Thierry n’a pas eu droit à une correction. Quant à Marco, la correction de ce matin ne l’empêche pas de se tripoter la queue. Cette fois, il le fait seul. Nous somnolons quelques moments. Le soleil donne et la pièce est très chaude. Il doit être 16 heures, lorsque Karim entre dans la pièce. Il nous annonce que la sieste est terminée et que nous allons entamer le cours d’endurance. Nous devons mettre collier et bracelets. Karim vérifie le harnachement de chacun. Pour la plupart d’entre nous, il serre davantage le collier. Nous devons ensuite nous mettre en file indienne. Il passe une chaine à travers les colliers ce qui fait que nous sommes tous les six attachés les uns aux autres. Comme hier, nous sommes par taille, je me retrouve donc devant Yves. Le collier nous oblige à tenir la tête droite. C’est donc en file indienne que nous devons nous déplacer. Il faut que l’on marche du même pas pour ne pas faire tomber l’un de nous. Je sens la bite d’Yves dans mon cul qui grossit. La mienne grossit également dans le cul de Rémi qui semble cambrer son dos. Je suis le plus jeune des six avec mes 20 ans. Nous suivons Karim. Le plus difficile est de s’harmoniser dans l’escalier. Heureusement les marches sont larges et nous arrivons au sous-sol sans trop d’encombre. Thomas nous attend. C’est lui qui nous détache à notre arrivée devant la salle du donjon. Il nous dit d’attendre en silence. Nous nous regardons, un peu inquiets. Il nous explique brièvement ce qui nous attend :
- Vous êtes ici pour en baver, messieurs ! l’après-midi sera consacré à l’endurance. Vous allez être mis dans des postures que vous devrez garder un certain temps. Nous commencerons légèrement, mais d’ici 3 semaines, vous devrez tenir beaucoup plus longtemps !
Il nous fait ensuite entrer dans la pièce et nous demande de nous assoir sur les fauteuils. Chaque fauteuil est en bois avec en son centre un gode, pas très large, et de moins d’une dizaine de centimètres. Chaque gode a été graissé et nous devons donc nous enfiler sur cette fausse bite. Heureusement que Jacques m’a habitué à ouvrir mon cul, Je m’efforce de m’assoir, même si mes fesses sont encore douloureuses. Jean-Luc semble avoir plus de difficultés. Visiblement, son cul n’a jamais servi ! Thomas s’en aperçoit et se met devant lui et le pousse sur les épaules. Jean-Luc crie, mais Thomas continue de le baisser sur le siège. Quand chacun est assis, Thomas nous pose des questions diverses en indiquant qui doit répondre. Il y a des questions de culture générale, d’actualités ou d’hygiène. Il note sur un petit carnet quelque chose à chaque réponse. Je sens le gode m’envahir le ventre. Sans être douloureux, cette position n’est pas très agréable. Je vois Jean-Luc qui semble le plus mal à l’aise. Il transpire malgré le froid de la pièce. Thomas le remarque et le retire du fauteuil.
Thomas nous présente ensuite Rachid, un grand mec costaud qui porte un mini slip en cuir noir, des rangers, des mitaines en cuir et un bonnet, toujours en cuir, qui lui arrive jusqu’au nez. Ses fesses sont très musclées et très rebondies. Thomas nous annonce que ce sera notre « bourreau ». C’est lui qui sera chargé de nous corriger, et de nous installer. Il appelle ensuite Rémi qui doit le suivre. Rémi se relève difficilement. Il a les larmes aux yeux mais ne dit rien. Thomas lui demande de se pencher vers l’avant. Il attache ses poignets à ses chevilles et demande à Rachid de le mettre dans la cage. Il s’agit d’une petite cage où Rémi doit se tenir accroupi, la tête dans les genoux. En plus, Rachid lui pose une cagoule qui l’aveugle. La grille est suffisamment serrée pour ne pas laisser dépasser de membres. Lorsque la cage est refermée, Rachid la monte tout en la balançant. Rémi gémit, se plaint, dit qu’il a envie de vomir, mais la seule réponse qu’il a c’est un bol d’eau à la figure. Il fait assez froid dans cette pièce. La clim doit être en activité. C’est Yves qui est appelé. Thomas lui mais une boule dans la bouche qu’il attache solidement derrière le cou. Il lui demande ensuite d’écarter les jambes et accroche ses pieds à des supports qui se trouvent à terre. Yves a ensuite les mains attachées dans le dos et soulevées. Nous l’entendons gémir. Lorsque les bras sont tendus au maximum, il crie mais son cri est étouffé. C’est ensuite mon tour. Je suis à côté d’Yves, dans la même position, mais à la place de la boule, on me met un appareil qui me tient la bouche ouverte en permanence. Le froid s’atténue au profit d’une suée. On demande à Jean-Luc de venir mettre sa bite dans ma bouche et de se branler. Jean-Luc s’exécute, sans doute excité par la situation. Il se branle pendant près d’un quart d’heure mais n’éjacule pas, Thomas le pousse avant et remplace la bite de Jean-Luc par un gode qui me prend toute la bouche. Jean-Luc est attaché par les couilles solidement et mis sur un carcan. Ses couilles et sa bite sont mises dans un trou tout comme sa tête et ses bras. Ses pieds sont fixés au sol. Il ne peut plus bouger non plus. Marco lui, est attaché sur le dos, sur un sommier de lit. Les jambes sont attachées solidement par une ceinture et les bras sont attachés au-dessus de sa tête, aux barreaux du lit. Il reste Thierry qui est attaché sur une croix de St André, laissant visible son cul et on aperçoit ses couilles. C’est sans doute lui qui a la position la moins difficile. Lorsque chacun est installé, on me retire le gode de la bouche et on m’échange l’écarteur avec une boule. Puis Rachid, muni d’une canne vient nous fesser Yves et moi. Les coups pleuvent les uns derrière les autres. Une dizaine chacun. Ensuite, il nous caresse les fesses puis reprend une série de 10. J’ai les larmes aux yeux, je pisse même sur moi sans pouvoir me retenir. Nous recevons chacun 30 coups. Il se dirige ensuite vers Thierry. Ce dernier a droit au même traitement. Lui aussi pleure et crie, mais rien n’y fait. La série de trente terminée, Rachid se dirige vers Marco, qui crie « Non, pas ça, s’il vous plait » mais Rachid ne semble pas l’entendre. Marco reçoit des coups sur le ventre, le torse, et même les couilles ce qui le fait hurler. Viens le tour de Jean-Luc. Il tremble avant même de recevoir le premier coup. La série de trente a l’air très pénible pour lui. Il semble s’évanouir. Thomas lui envoie de l’eau sur la figure, mais Jean-Luc ne réagit pas. Il est alors détaché et s’étale à terre. Quelques secondes passent avant qu’il ne se relève. Il est alors remis dans son carcan. Il pleure à chaudes larmes. Le seul épargné sera Rémi qui balance dans la cage. Rachid et Thomas sortent de la pièce et nous laissent dans le noir. Rémi se plaint de courbatures tandis que Marco dit ne sentir que des brulures. Jean-Luc a très mal aux couilles compressées et pense qu’il ne pourra plus jamais éjaculer. Seul Thierry reste muet. Yves et moi nous nous regardons mais nous ne pouvons pas parler. On reste ainsi un bon moment. Rémi nous explique sa situation. Il a été mis à la porte de chez lui quand il a eu 18 ans, parce que son père n’admettait pas un homosexuel chez lui. Il est monté à Paris et a erré plusieurs mois de squat en squat. Il a eu des petits boulots mais a fini par se prostituer pour avoir du fric. C’est là qu’il a rencontré celui qui allait devenir son maître. Nourri logé, il est très vite devenu l’esclave de son maître qui l’a emmené sur Bordeaux où il devait être entièrement à son service et à celui de ses invités. Il était devenu un jouet plus qu’un être humain. L’école doit lui apporter ce qu’il n’a pas encore connu : obéissance totale et jeux sexuels. Mais Rémi dit qu’il regrette de s’être laissé embarquer dans cette galère et compte bien se sauver à la première occasion. Jean-Luc nous dit qu’il a à peu près la même histoire. Son maître l’a recueilli dans la rue lui aussi. Son maître a été attiré surtout par la taille de sa bite. Il aime l’exhiber, mais il n’a eu des relations qu’avec son maître. Il est ici pour apprendre l’obéissance. Son maître lui a promis de s’occuper de lui et qu’il n’avait pas à penser au lendemain. Marco le contredit en lui disant que quand son maître serait fatigué de lui, il le jetterait. Il savait de quoi il parlait, il en était à son troisième maître. Il a été vendu deux fois après avoir lassé ses maîtres. Pourtant il se dit doué en service, cuisine et même baise, mais il refuse toujours les corrections. Son dernier maître est très brutal et il compte bien lui aussi se sauver. Thierry est un peu dans la même situation que moi. Il a rencontré son maître un peu par hasard, en faisant du jogging. Une amitié puis une amourette et maintenant un rapport plus sadomaso. Son maître ne le brutalise pas. Ils forment un couple un peu bizarre, mais il a conservé une certaine liberté. Il a un travail mais donne tout son salaire à son maître qui le nourrit, l’habille et le sort régulièrement.
La lumière revient, Thomas et Rachid aussi. Rachid recommence une série de 30 coups de cravache. J’ai très mal, je bave, je pleure… Je sens mes fesses me brûler mais je résiste. Quand il arrive à Marco, ce dernier le supplie, mais Rachid, sans pitié, le frappe à nouveau. Seul Jean-Luc et Rémi y échappent. Je vois les fesses zébrées de Thierry, les miennes doivent être dans le même état. A nouveau le noir et le silence, rompu par Rémi qui nous demande comment on va.
- Pas bien, lui répond Marco, j’en ai vraiment marre !
On attend un bon moment, puis la lumière revient. Rachid détache d’abord Marco et lui demande d’aller se rassoir sur le fauteuil godé. C’est le tour d’Yves puis le mien. Nous sommes suivis de Thierry et Jean-Luc. Rémi est descendu de sa cage et détaché. Comme il n’a pas reçu du coup de canne, il est installé sur le cheval d’arçon, les fesses face à nous, bien en évidence. Les pieds et les mains attachées de chaque côté. Et Rachid lui donne des coups de cravache, 10 par 10 avec des caresses entre chaque série. Rémi crie, pleure, mais résiste finalement. Quand la série de 30 est terminée, il vient nous rejoindre sur un fauteuil.
- Bien messieurs, vous avez été courageux, même si certains se sont laissés aller, n’est-ce-pas Cédric ? Marco tu as été un peu capricieux mais tu as résisté. Jean-Luc, le médecin t’attend à l’infirmerie. Les autres vous pouvez rejoindre vos quartiers ou le parc, jusqu’à 19 h. A la sonnerie, vous serez tous au réfectoire.
Nous remontons dans la chambre. Nous enlevons nos colliers et bracelets et mettons jock et short pour aller dans le parc. Il fait très beau. Il doit être 18 h environ, nous avons donc une heure devant nous. Nous discutons mais nous avons surtout mal aux fesses. Thomas nous rejoint. Il n’a pas la même intonation que lorsqu’il donne des ordres. Il nous parle calmement, nous fait découvrir le parc, dit que nous pouvons nager dans la piscine. C’est d’ailleurs ce que je fais. Je me mets donc à poil, puisque ce sont les consignes et je me jette à l’eau. Ça me fait beaucoup de bien. La chaleur de mes fesses et le froid relatif de l’eau me font un bien fou ! J’incite les autres à me rejoindre mais je reste seul dans l’eau. A 19 heures, Thomas nous rappelle, il a repris sa voix de militaire !
Je remets le jock et le short, je ne peux pas me sécher… Nous montons au réfectoire où on nous sert un repas un peu plus copieux qu’à midi. Puis nous avons droit à une séance de cinéma. C’est un film qui nous explique comment nous nettoyer le pénis. Après le film, nous allons dans la salle où se trouve les paillasses et nous devons montrer que nous avons bien compris. Nous nous déshabillons et nous nous nettoyons la bite comme vu dans le film. Thomas nous inspecte les uns après les autres. Il prend Marco et fait une démonstration de nettoyage « en direct ». Marco bande. Thomas finit par le branler. Evidemment Marco éjacule. Thomas lui demande de tout nettoyer, avec sa bouche. L’air dégouté Marco s’exécute. Il a des hauts le cœur, mais il ne veut pas d’une autre correction. Il est à peu près 21 heures quand nous remontons à notre chambre : douche, puis panier à déposer à la lingerie. Nous sommes étonnés en arrivant, Françoise est présente. Nous sommes un peu gênés, d’être nus devant cette femme, mais elle ne semble pas faire attention à nous. Toutefois quand Jean-Luc lui remet son panier, elle regarde fixement sa bite. Nous tentons de cacher notre sexe, mais Thomas nous demande de mettre les mains sur la tête pour retourner dans la chambre. Nous pouvons alors nous coucher. Pour cette deuxième nuit, personne n’a cherché l’autre… Nous nous sommes rapidement endormis.
Chacune des journées au domaine furent rythmées par des cours le matin qui donnaient lieu à des brimades. Heureusement mon niveau en code s’est amélioré et assez rapidement je faisais le plus souvent 40, ce qui m’évitait les coups de canne. Quant aux autres cours, ils étaient systématiquement suivis d’une interrogation. Les points manquants étaient sanctionnés par des coups de canne ou de martinet qui augmentaient chaque jour de un. Cinq après-midi sur sept nous avions endurance. Chaque fois des poses différentes, les plus pénibles possibles. Une fois, j’ai même été suspendu par un pied, mon autre jambe étant repliée et retenue par un cordage. Lorsque le martinet cinglait mes fesses, ça me faisait tourner et j’ai reçu cette fois-là pas mal de coups sur les bourses. J’étais au bord de l’évanouissement… A chaque séance je m’efforçai de penser à autre chose pour ne pas me concentrer sur le mal que je pouvais ressentir. La séance la pire que j’ai pu subir fut lorsque je fus mis en extension par les bras très écartés. Mes pieds ne touchaient le sol que par la pointe posée sur des mini-supports. Rachid m’avait fixé aux seins des pinces reliées entre elles et également reliées par une ficelle qu’il avait attachée à chaque gros orteil. Dès que je bougeais un pied, je sentais une tension sur mes tétons. Pour couronner le tout, il avait fixé à mes couilles des poids qu’il venait alourdir à chaque demi-heure. Il m’avait également mis un plug pas trop gros mais assez long, ce qui me provoquait des tensions dans le ventre. Au bout de 1h30 je me suis mis à trembler. Je ne sentais plus mes bras ni mes jambes. Quand Rachid entra, il vint me délivrer avant de s’occuper des autres. Je suis tombé par terre mettant un certain temps à me rétablir. Une autre expérience douloureuse fut lorsque je fus mis, attaché, dans une boîte où il faisait très sombre et suspendu. Au bout d’un moment, on ne sait plus où on est. J’avais un bâillon et je ne pouvais donc pas parler pour communiquer avec les autres. Chaque demi-heure, Rachid tournait la boîte qui mettait du temps à s’immobiliser. J’avais envie de vomir, c’est ce qui arriva quand Rachid retira le bâillon. J’ai dû cette fois-là nettoyer entièrement la salle ! Et du coup j’ai raté le repas du soir.
Il y eut également des jours beaucoup plus agréables : deux après-midi par semaine on nous a initiés à l’art du massage. La technique était donnée par un professeur et c’est un moment où nous pouvions nous laisser aller. Lors de la première séance, j’ai été affecté comme masseur. Le massé était Jean-Luc. Jean-Luc était bien sûr à poil sur la table de massage et moi j’étais en mini slip. Comme le professeur nous l’avait indiqué, j’ai pulvérisé de l’huile sur les épaules de Jean-Luc puis je l’ai massé avec la paume de mes mains. Peu à peu je suis descendu le long du dos m’attardant sur les hanches, remontant vers le cou. Puis je me suis attaqué aux jambes : les mollets, les cuisses puis les fesses. Quand Jean-Luc s’est retourné, il bandait très fort. Sa bite dépassait son nombril ! quand j’ai commencé le massage du torse, mes bras frôlaient sa bite à chaque passage. Je bandais moi aussi dans mon mini-slip, ma bite montra sa pointe en dehors du slip. Aucune réflexion du professeur qui semblait amusé de la situation. Visiblement le massage avait le même effet sur les autres. Le professeur nous demanda de retirer le mini slip. Tout le monde bandait très fort. On continua le massage, torse, jambes. Puis nous eûmes l’autorisation de nous occuper de la bite de notre acolyte. J’ai d’abord caressé les couilles de Jean-Luc, depuis le temps que j’attendais ça ! puis j’ai caressé sa queue jusqu’au gland, lentement, m’attardant sur toutes les veines qui ressortaient. Ma paume de main massait sa verge, je la sentais réagir sous mes caresses. Quand je sentais des vibrations, j’attendais un moment… Marco avait déjà éjaculé, alors que Jean-Luc savourait mon massage. Une main massait sa queue, l’autre son entre-jambes ce qui le rendait fou ! Je l’entendais respirer, souffler, se retenir. Je sentais qu’il se contractait… Ce fut le dernier à jouir, mais visiblement la situation lui avait plu ! Il a joui abondamment sur son ventre, jusqu’au menton, au moment où ma main lui caressait le bout du gland… j’ai goûté son sperme alors que les autres nous regardaient. 3 d’entre nous avaient joui mais le cours était terminé. Nous devions remettre nos mini slip pour quitter la salle, nous avons beaucoup de mal à faire rentrer nos queues bandées dans ces petits morceaux de tissu. La semaine suivante, j’étais massé dans les mains de Thierry. Ce fut très agréable ! il était certainement expert en massage. J’ai moi aussi joui abondamment alors que Thierry me massait les bourses tout en titillant mon gland. Il a englouti mon membre pendant que je jouissais et il a tout avalé en me regardant. C’était super excitant !
Et puis nous avons alterné les cours d’hygiène où les explications portaient sur le nettoyage des parties génitales, mais aussi du reste du corps. C’est lors de ces cours que nous avons dû pratiquer des lavements. Toutes les trois semaines environ, l’après-midi était consacrée à l’épilation. Nous devions nous rendre en string au « salon d’épilation » ou Jean-René nous accueillait avec un sourire sadique. Il mettait tout son cœur à nous voir souffrir surtout lorsqu’il enlevait les quelques traces de poils entre les couilles et le cul. Ça chauffait pour nous ces jours-là ! Nous devions passer chacun notre tour sur la table d’épilation, entièrement nu pendant que les autres regardaient le travail de Jean-René qui commentait ce qu’il faisait. Puis l’un d’entre nous était chargé de mettre une crème apaisante sur le corps tout nu de son camarade. A chaque fois je suis tombé sur Yves qui bandait comme un âne. Je m’appliquais à lui enduire le sexe de crème pour le caresser un maximum. En général je passais le dernier parce que c’est moi pour qui les poils repoussaient le moins vite. C’est Jean-Luc qui m’enduisait de crème. J’aimais regarder sa bite qui me frôlait à chaque fois.
Ces trois mois au domaine furent également rythmés par des « soirées » qui quelquefois pouvaient durer toute l’après-midi et toute la nuit ! Ces soirées étaient des moments où nous étions plus ou moins livrés à des clients du domaine qui venaient pour s’amuser ! Il n’y en a eu que 5 durant mon séjour, mais elles furent très pénibles !
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