Pour son plaisir (6)
Récit érotique écrit par MAURLEO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour son plaisir (6)
6 – la clinique
Voilà maintenant quelques mois que Jacques et moi vivons ensemble. Il me laisse aller étudier et, à la suite de la signature d’un contrat, je suis à son service particulier. Il m’a initié, moi, puceau, à des pratiques sexuelles que je n’imaginais même pas. Je reçois maintenant sa queue en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul. Chaque jour, ou presque j’ai droit à une correction, quel que soit le prétexte. Mais Jacques est mon maître, mon amant, mon guide. Je lui suis entièrement dévoué. Certes il a des amis plutôt brutaux dont un certain Jean-Marc qui m’a un jour fessé. J’ai conservé pendant plusieurs jours les marques de la soirée.
Il reste un point du contrat que Jacques n’a pas oublié : me faire circoncire. Dès le début de notre rencontre, il avait insisté sur ce point. Il estimait que c’est un cadeau et un acte de soumission totale que je pourrai lui offrir. Il avait déjà pris rendez-vous dans une clinique dont il connaissait le chirurgien. Dès notre retour de stage en Espagne, il m’a rappelé ce point du contrat.
Le premier samedi des vacances d’avril, Jacques me donna des vêtements plutôt corrects, alors qu’habituellement le samedi je reste en jock strap. Comble du luxe, Jacques me retira la cage qui m’emprisonnait la queue durant la journée ainsi que l’anneau qui sert à la retenir. Nous prenons sa BMW pour nous rendre à la clinique. Elle se trouve à une quarantaine de kilomètres de Bordeaux. Durant le trajet, il me parle un peu de lui. J’ai enfin appris son véritable âge. Moi qui lui donnais une trentaine d’années, il en avait en fait plus de 40. Il était l’héritier unique d’une riche famille et dirigeait plusieurs entreprises en métropole, mais aussi des filiales à l’étranger : Benelux et pays méditerranéens.
Nous arrivons à la clinique. L’hôtesse d’accueil nous dirige vers le bureau du chirurgien. Nous avons attendu quelques instants, puis nous sommes entrés dans le bureau. Quelques formalités d’usage : identité, allergies… Rien à signaler, j’étais en bonne forme. Michel, c’était le prénom du chirurgien, me demande ensuite de me déshabiller pour m’examiner. Je gardais mon slip, mais très vite il me dit que je cachais l’essentiel de son travail. Je compris que je devais l’ôter. Il m’installe sur la table d’auscultation et m’explique brièvement comment va se passer l’opération. Il retrousse mon prépuce, ce qui eut pour effet de me faire bander. Il me flatta sur la taille de ma bite en me prévenant que la circoncision n’affecterait pas mes sensations mais que dans les premiers temps après l’opération, je pourrais avoir mal. Il regarda Jacques et lui dit :
- Tu continues à le faire épiler, ça nous évitera de le raser ! et puis c’est tellement plus beau !
- Bien sûr, je le veux totalement nu ! tu me connais !
Puis le chirurgien s’adresse à moi et m’explique ce qu’il va faire :
- C’est très simple, je t’enlève le prépuce autour de ton sexe. Tu arrives le matin, tu repars le soir. Quelques petits soins, maximum un mois pour te remettre. As-tu des questions ?
- Oui. Ça fait mal ? je pourrai bander après ? est-ce qu’il y a des risques ?
- Mal ? non ! ce sera un peu sensible… tu garderas toutes tes fonctions actuelles, tu pourras bander même si au début ce sera un peu douloureux. Enfin pour ta dernière question, il y a toujours des risques dans une opération, mais on essaie de les limiter. Rassuré ?
Rassuré ? je l’étais plus ou moins Le chirurgien passa un coup de fil. Il s’agissait de l’anesthésiste qui devait également me voir. Pendant ce temps, je restais nu, à moitié bandant, sur la table. Le chirurgien revint vers moi et commença à m’examiner plus en détail, commentant ces observations :
- Bien, les dents saines ! pas de boutons, plutôt belle peau… Des muscles bien dessinés… Tu as plutôt bon goût mon Jacques !
L’anesthésiste entra dans le bureau et nous rejoint. Il me salue. Je suis un peu gêné de me trouver dans cette tenue et je ne réponds pas immédiatement. Puis il me pose des questions sur ma santé, mes opérations, mes antécédents… Je réponds du mieux que je peux
- Je n’ai jamais été opéré et je n’ai aucune allergie connue à ce jour. J’ai été quelquefois malade mais comme tout le monde.
Une infirmière entre à son tour. Elle me fait une prise de sang. Là encore, je suis très gêné. J’essaie de cacher mon sexe sans poil, mais elle me prend le bras pour faire la prise de sang.
- Serrez le poing, regardez ailleurs…
Elle me pique la seringue… ce qui me fait débander d’un coup ! je regarde quand même le sang couler dans les petites fioles. Elle me fait ensuite plier le bras. Elle a posé quelques instruments sur mon ventre et lorsqu’elle les reprend, elle frôle ma queue. L’effet ne se fait pas attendre ce qui a l’air d’étonner Jacques.
L’infirmière et l’anesthésiste sortis, le chirurgien me dit que je peux me rhabiller. Il dit à Jacques que les résultats seront connus d’ici deux jours et fixe le rendez-vous pour l’intervention en juin.
- Si tard ? tu ne peux pas lui faire dans 3 jours ?
- Tu es si pressé ?
- Oui, j’ai d’autres projets pour lui, en juin !
J’écoute d’une oreille pendant que je me rhabille. Le chirurgien consulte son agenda et fixe le rendez-vous pour le jeudi suivant. Jacques le remercie. Nous nous saluons et nous quittons la clinique.
Nous reprenons la voiture. Je pensais que nous retournions à Bordeaux, mais Jacques prend un autre chemin et nous arrivons dans le parc d’une superbe villa. Il me dit que c’est sa résidence pour les vacances, qu’il y vient rarement, mais que nous allons nous installer là le temps qu’il faudra pour l’opération et ses suites. Il me fait visiter les lieux : une grande villa avec piscine, 4 chambres, un grand espace à vivre, une cuisine avec un coin repas. La villa est bien meublée. Il me désigne une chambre plutôt spacieuse par rapport à celle de l’appartement. Il a tout prévu : des vêtements, des réserves de nourriture… Il me prévient qu’ici ce sera le même traitement qu’à l’appartement ! et il me montre quelques instruments qu’il pourrait utiliser : une cravache, un martinet, des menottes…
Nous sommes dans la deuxième quinzaine d’avril. Le temps est plutôt beau le jour, mais le soir, le froid domine encore. La villa est chauffée et j’ai donc pour ordre de vivre à poil dans la villa. Dès la visite terminée, je dois donc me déshabiller. Jacques me prend alors et m’embrasse.
- Je suis content ! tu vas être à moi, vraiment, dès que ton petit bout de viande sera parti. Tu me donnes une vraie preuve d’amour. Je t’aime beaucoup Cédric.
Il me caresse, ce qui était plutôt inhabituel chez lui puis m’emmène dans sa chambre. Nous faisons l’amour normalement, sans brutalité. Il me pénètre doucement sans forcer tout en me branlant. Comme à son habitude il me fait nettoyer mon sperme sur ses mains. Et puis, la domination prend le dessus, cette nuit je dormirai aux pieds de son lit. Il m’accorde une couverture mais c’est tout ! Durant la nuit, je l’entends se retourner plusieurs fois. J’ai beaucoup de mal à dormir. Le lendemain, je suis plutôt fatigué, mais je dois m’activer aux tâches ménagères. Je casse un bol et une assiette, ce qui me vaut une correction. J’ai reçu 15 coups de cravache sur les fesses. Il m’a administré les coups progressivement, par série de cinq. Je devais compter les coups. Les cinq premiers furent légers, les cinq suivants furent plus soutenus. Les cinq derniers furent violents. Je gardais les fesses nues le reste de la journée, et j’avais beaucoup de mal à m’assoir. Ce jour-là, j’ai également découvert une nouvelle façon de manger. Jacques me demanda de ne plus manger en face de lui, à table, mais à ses pieds. Je devais me mettre à genoux, près de lui et il m’envoyait la nourriture. Si je ne l’attrapais pas, je devais la ramasser sans y mettre les mains. Moi qui étais dégoûté de manger après quelqu’un quand j’étais chez mes parents, je ne me reconnaissais plus… Le lundi et le mardi furent des journées identiques au dimanche. Chaque repas, je les prenais par terre, comme un chien. Le mardi soir je fus autorisé à dormir dans ma chambre. Le mercredi se passa bien. Jacques me reconsidéra comme un « humain » et j’eus le droit de me reposer une grande partie de la journée. Dans l’après-midi, il m’amena dans un salon d’épilation. Ce n’était pas le salon habituel, mais l’esthéticienne qui nous accueillit ne sembla pas étonnée. Les épilations ne me faisaient plus réagir. Certes ce n’était pas agréable, mais les souffrances de la première séance n’étaient plus présentes. Le soir, il me laissa tranquille. Nous avons passé la soirée à discuter des projets qu’il avait pour moi. Il voulait que je devienne directeur de l’une de ses filiales étrangères mais avant je serai son secrétaire particulier pour parfaire mes connaissances de l’entreprise et son chauffeur.
- Chauffeur ? mais je n’ai même pas le permis !
- Tu l’auras pour septembre !
Il me parla également d’une école dans laquelle il souhaitait m’inscrire à partir de juin.
- Tu verras, tu auras des cours qui te seront utiles pour ta vie professionnelle et pour ta vie tout court ! mais surtout pour ta vie avec moi…
- C’est quoi comme école ?
- La surprise sera plus grande si je ne te dis rien ! Mais sache que je ne t’y mettrais pas si je n’étais pas certain que rien ne pourra t’arriver !
Le jeudi matin, je devais rester à jeun. Jacques me donne un short assez large et un tee-shirt ainsi qu’une veste de survêtement.
- Tiens, mets juste ça ! tu verras, en sortant, tu seras plus à l’aise.
En sortant de la villa, j’ai un peu froid aux jambes, mais sans plus. Je monte dans la voiture, direction la clinique.
A la clinique nous sommes accueillis par une infirmière qui me prend en charge. Jacques nous suit dans la chambre. Elle m’explique que je dois me doucher avec de la bétadine et ensuite rester nu sous une chemise prête sur le lit. Jacques s’occupe de me laver, ce qu’il n’avait jamais fait puis j’enfile la chemise qui m’arrive au milieu des cuisses et qui laisse le dos apparent. Je m’allonge sur le lit et attend. Un garçon de salle vient pour me donner un cachet et me dit qu’il va me raser. Jacques rit doucement. Quand il soulève la chemise, il s’aperçoit que je suis épilé.
- Je vois que tout est net ! parfait !
Un petit clin d’œil et il disparaît. Moins d’une heure après je suis pris en charge. Je suis à moitié dans les vaps. On m’emmène au bloc. Je reconnais Michel qui est accompagné de l’anesthésiste. Je respire dans un casque en comptant à rebours. Je m’endors !
Quand je me réveille, je suis encore dans les vaps. Je reconnais Jacques près de moi et Michel qui me parle. A peine une heure s’est écoulée pour l’opération. Ça y est, je suis circoncis.
Je passe la matinée dans la chambre. Un infirmier vient me voir régulièrement pour prendre la tension et regarder le pansement. Il touche de deux doigts mon membre. A chaque fois Jacques le surveille. Puis en fin de matinée, il m’annonce qu’il change le pansement et qu’ensuite je pourrai sortir. Il me change effectivement le pansement. Je ne sens pas grand-chose, sans doute des anti douleurs dans la perf. Michel entre à son tour, regarde l’état de ma bite et confirme que je pourrai sortir très vite. Il me conseille de rester nu la nuit et de porter des pantalons amples pendant quelques jours. Jacques lui confirme que je ferai ce qu’il dit.
Pour le retour à la villa, le short ample m’a très bien convenu. Les frottements étaient parfois douloureux mais sans plus.
Les trois semaines suivantes, je les ai vécues totalement à poil. Le temps se radoucissait même s’il y avait des jours moins chauds. La première fois que je me suis regardé dans la glace, j’étais à la fois surpris et plutôt content. J’avais l’impression d’avoir une autre bite avec un gland plus gros…
Je continuais les quelques tâches ménagères, même si Jacques ne me corrigeait plus. Chaque jour, il s’occupait de vérifier l’état de ma bite. Je m’habituais progressivement à ma nouvelle queue, sans prépuce. Le plus difficile, au début, c’était la nuit, quand je bandais, je me réveillais. Puis la douleur s’est atténuée. J’ai pissé normalement. Durant ces semaines, j’aimais sucer Jacques et lui lécher le cul, mais j’évitais de me coller à lui. Il a compris que c’était un peu douloureux. Quand je fus remis, Jacques me suça longuement. Il semblait apprécier la nouvelle forme de ma bite et quand j’éjaculais abondamment dans sa bouche, il en avala une partie avant de me rendre le surplus. Puis il décida que je devais porter un anneau à son nom. Il me fit donc percer l’oreille pour y poser l’anneau.
Je n’ai pas repris les cours. De toute façon, Jacques m’a annoncé que je passerai mes examens d’une autre manière. Il tenait à ce que j’apprenne une langue supplémentaire. L’école à laquelle il m’avait inscrit m’enseignerait ce qui me manquait.
Au cours du mois de mai, j’ai dû compléter mon enseignement en arabe. Les coups de fouet, de martinet et de cravache ont repris. Je dormais le plus souvent dans son lit, mais quelquefois, en pleine nuit, il me balançait à terre et je devais finir la nuit, tout nu sur le sol. Un soir il a décidé que je ne devais plus me servir de mes mains. Il ma menotté les mains dans le dos et j’ai passé la soirée sans pouvoir utiliser mes mains. Durant cette période à la villa, il n’a reçu aucun de ses amis. Il a beaucoup travaillé par téléphone et par informatique.
Fin mai, le 31 exactement, jour de mes 20 ans, il m’annonça mon départ pour l’école. Mais ce jour là, nous sommes allés au restaurant et j’ai passé une journée de rêve, sans correction et avec plein d’amour.
1er juin, 6 heures :
- Debout mon gaillard.
Jacques attend que je me lève, m’embrasse et me remet la cage.
- Pourquoi ? je pourrai pas tenir si longtemps !
- Voilà ton costume de collégien. Départ dans une heure ! Ne sois pas en retard.
Une petite bise pour ponctuer tout cela et je me prépare. Je passe à la salle de bain. Cette cage m’obsède. En plus elle me semble différente de la première, j’ai l’impression que ma bite est plus recourbée qu’avant. Si je dois me mettre nu devant d’autres gars je ne vais pas avoir l’air très malin ! Je suis obligé de pisser assis ou accroupi. Pour le nettoyage, je passe le pommeau de douche. En plus maintenant mon gland frotte directement sur cet engin et ça me démange un peu. Je mets les vêtements préparés par Jacques : le slip kangourou, un bermuda bleu marine jusqu’aux genoux, une chemise à courtes manches, blanche avec une cravate bleu marine, des chaussettes qui montent jusqu’aux genoux, souliers, blazer avec un écusson représentant une bite en érection. Jacques à l’air satisfait. Une petite claque sur les fesses en atteste !
- En route. On ne va pas se voir pendant 3 mois, mais tu verras, quand tu reviendras tu seras un véritable homme sur lequel je pourrai compter.
Jacques est très beau dans son costume avec cravate, très soigné. Pas de petit déjeuner ce matin. Je monte dans la voiture et nous partons. Nous mettons un peu plus de deux heures avant d’arriver à « l’école ».
Voilà maintenant quelques mois que Jacques et moi vivons ensemble. Il me laisse aller étudier et, à la suite de la signature d’un contrat, je suis à son service particulier. Il m’a initié, moi, puceau, à des pratiques sexuelles que je n’imaginais même pas. Je reçois maintenant sa queue en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul. Chaque jour, ou presque j’ai droit à une correction, quel que soit le prétexte. Mais Jacques est mon maître, mon amant, mon guide. Je lui suis entièrement dévoué. Certes il a des amis plutôt brutaux dont un certain Jean-Marc qui m’a un jour fessé. J’ai conservé pendant plusieurs jours les marques de la soirée.
Il reste un point du contrat que Jacques n’a pas oublié : me faire circoncire. Dès le début de notre rencontre, il avait insisté sur ce point. Il estimait que c’est un cadeau et un acte de soumission totale que je pourrai lui offrir. Il avait déjà pris rendez-vous dans une clinique dont il connaissait le chirurgien. Dès notre retour de stage en Espagne, il m’a rappelé ce point du contrat.
Le premier samedi des vacances d’avril, Jacques me donna des vêtements plutôt corrects, alors qu’habituellement le samedi je reste en jock strap. Comble du luxe, Jacques me retira la cage qui m’emprisonnait la queue durant la journée ainsi que l’anneau qui sert à la retenir. Nous prenons sa BMW pour nous rendre à la clinique. Elle se trouve à une quarantaine de kilomètres de Bordeaux. Durant le trajet, il me parle un peu de lui. J’ai enfin appris son véritable âge. Moi qui lui donnais une trentaine d’années, il en avait en fait plus de 40. Il était l’héritier unique d’une riche famille et dirigeait plusieurs entreprises en métropole, mais aussi des filiales à l’étranger : Benelux et pays méditerranéens.
Nous arrivons à la clinique. L’hôtesse d’accueil nous dirige vers le bureau du chirurgien. Nous avons attendu quelques instants, puis nous sommes entrés dans le bureau. Quelques formalités d’usage : identité, allergies… Rien à signaler, j’étais en bonne forme. Michel, c’était le prénom du chirurgien, me demande ensuite de me déshabiller pour m’examiner. Je gardais mon slip, mais très vite il me dit que je cachais l’essentiel de son travail. Je compris que je devais l’ôter. Il m’installe sur la table d’auscultation et m’explique brièvement comment va se passer l’opération. Il retrousse mon prépuce, ce qui eut pour effet de me faire bander. Il me flatta sur la taille de ma bite en me prévenant que la circoncision n’affecterait pas mes sensations mais que dans les premiers temps après l’opération, je pourrais avoir mal. Il regarda Jacques et lui dit :
- Tu continues à le faire épiler, ça nous évitera de le raser ! et puis c’est tellement plus beau !
- Bien sûr, je le veux totalement nu ! tu me connais !
Puis le chirurgien s’adresse à moi et m’explique ce qu’il va faire :
- C’est très simple, je t’enlève le prépuce autour de ton sexe. Tu arrives le matin, tu repars le soir. Quelques petits soins, maximum un mois pour te remettre. As-tu des questions ?
- Oui. Ça fait mal ? je pourrai bander après ? est-ce qu’il y a des risques ?
- Mal ? non ! ce sera un peu sensible… tu garderas toutes tes fonctions actuelles, tu pourras bander même si au début ce sera un peu douloureux. Enfin pour ta dernière question, il y a toujours des risques dans une opération, mais on essaie de les limiter. Rassuré ?
Rassuré ? je l’étais plus ou moins Le chirurgien passa un coup de fil. Il s’agissait de l’anesthésiste qui devait également me voir. Pendant ce temps, je restais nu, à moitié bandant, sur la table. Le chirurgien revint vers moi et commença à m’examiner plus en détail, commentant ces observations :
- Bien, les dents saines ! pas de boutons, plutôt belle peau… Des muscles bien dessinés… Tu as plutôt bon goût mon Jacques !
L’anesthésiste entra dans le bureau et nous rejoint. Il me salue. Je suis un peu gêné de me trouver dans cette tenue et je ne réponds pas immédiatement. Puis il me pose des questions sur ma santé, mes opérations, mes antécédents… Je réponds du mieux que je peux
- Je n’ai jamais été opéré et je n’ai aucune allergie connue à ce jour. J’ai été quelquefois malade mais comme tout le monde.
Une infirmière entre à son tour. Elle me fait une prise de sang. Là encore, je suis très gêné. J’essaie de cacher mon sexe sans poil, mais elle me prend le bras pour faire la prise de sang.
- Serrez le poing, regardez ailleurs…
Elle me pique la seringue… ce qui me fait débander d’un coup ! je regarde quand même le sang couler dans les petites fioles. Elle me fait ensuite plier le bras. Elle a posé quelques instruments sur mon ventre et lorsqu’elle les reprend, elle frôle ma queue. L’effet ne se fait pas attendre ce qui a l’air d’étonner Jacques.
L’infirmière et l’anesthésiste sortis, le chirurgien me dit que je peux me rhabiller. Il dit à Jacques que les résultats seront connus d’ici deux jours et fixe le rendez-vous pour l’intervention en juin.
- Si tard ? tu ne peux pas lui faire dans 3 jours ?
- Tu es si pressé ?
- Oui, j’ai d’autres projets pour lui, en juin !
J’écoute d’une oreille pendant que je me rhabille. Le chirurgien consulte son agenda et fixe le rendez-vous pour le jeudi suivant. Jacques le remercie. Nous nous saluons et nous quittons la clinique.
Nous reprenons la voiture. Je pensais que nous retournions à Bordeaux, mais Jacques prend un autre chemin et nous arrivons dans le parc d’une superbe villa. Il me dit que c’est sa résidence pour les vacances, qu’il y vient rarement, mais que nous allons nous installer là le temps qu’il faudra pour l’opération et ses suites. Il me fait visiter les lieux : une grande villa avec piscine, 4 chambres, un grand espace à vivre, une cuisine avec un coin repas. La villa est bien meublée. Il me désigne une chambre plutôt spacieuse par rapport à celle de l’appartement. Il a tout prévu : des vêtements, des réserves de nourriture… Il me prévient qu’ici ce sera le même traitement qu’à l’appartement ! et il me montre quelques instruments qu’il pourrait utiliser : une cravache, un martinet, des menottes…
Nous sommes dans la deuxième quinzaine d’avril. Le temps est plutôt beau le jour, mais le soir, le froid domine encore. La villa est chauffée et j’ai donc pour ordre de vivre à poil dans la villa. Dès la visite terminée, je dois donc me déshabiller. Jacques me prend alors et m’embrasse.
- Je suis content ! tu vas être à moi, vraiment, dès que ton petit bout de viande sera parti. Tu me donnes une vraie preuve d’amour. Je t’aime beaucoup Cédric.
Il me caresse, ce qui était plutôt inhabituel chez lui puis m’emmène dans sa chambre. Nous faisons l’amour normalement, sans brutalité. Il me pénètre doucement sans forcer tout en me branlant. Comme à son habitude il me fait nettoyer mon sperme sur ses mains. Et puis, la domination prend le dessus, cette nuit je dormirai aux pieds de son lit. Il m’accorde une couverture mais c’est tout ! Durant la nuit, je l’entends se retourner plusieurs fois. J’ai beaucoup de mal à dormir. Le lendemain, je suis plutôt fatigué, mais je dois m’activer aux tâches ménagères. Je casse un bol et une assiette, ce qui me vaut une correction. J’ai reçu 15 coups de cravache sur les fesses. Il m’a administré les coups progressivement, par série de cinq. Je devais compter les coups. Les cinq premiers furent légers, les cinq suivants furent plus soutenus. Les cinq derniers furent violents. Je gardais les fesses nues le reste de la journée, et j’avais beaucoup de mal à m’assoir. Ce jour-là, j’ai également découvert une nouvelle façon de manger. Jacques me demanda de ne plus manger en face de lui, à table, mais à ses pieds. Je devais me mettre à genoux, près de lui et il m’envoyait la nourriture. Si je ne l’attrapais pas, je devais la ramasser sans y mettre les mains. Moi qui étais dégoûté de manger après quelqu’un quand j’étais chez mes parents, je ne me reconnaissais plus… Le lundi et le mardi furent des journées identiques au dimanche. Chaque repas, je les prenais par terre, comme un chien. Le mardi soir je fus autorisé à dormir dans ma chambre. Le mercredi se passa bien. Jacques me reconsidéra comme un « humain » et j’eus le droit de me reposer une grande partie de la journée. Dans l’après-midi, il m’amena dans un salon d’épilation. Ce n’était pas le salon habituel, mais l’esthéticienne qui nous accueillit ne sembla pas étonnée. Les épilations ne me faisaient plus réagir. Certes ce n’était pas agréable, mais les souffrances de la première séance n’étaient plus présentes. Le soir, il me laissa tranquille. Nous avons passé la soirée à discuter des projets qu’il avait pour moi. Il voulait que je devienne directeur de l’une de ses filiales étrangères mais avant je serai son secrétaire particulier pour parfaire mes connaissances de l’entreprise et son chauffeur.
- Chauffeur ? mais je n’ai même pas le permis !
- Tu l’auras pour septembre !
Il me parla également d’une école dans laquelle il souhaitait m’inscrire à partir de juin.
- Tu verras, tu auras des cours qui te seront utiles pour ta vie professionnelle et pour ta vie tout court ! mais surtout pour ta vie avec moi…
- C’est quoi comme école ?
- La surprise sera plus grande si je ne te dis rien ! Mais sache que je ne t’y mettrais pas si je n’étais pas certain que rien ne pourra t’arriver !
Le jeudi matin, je devais rester à jeun. Jacques me donne un short assez large et un tee-shirt ainsi qu’une veste de survêtement.
- Tiens, mets juste ça ! tu verras, en sortant, tu seras plus à l’aise.
En sortant de la villa, j’ai un peu froid aux jambes, mais sans plus. Je monte dans la voiture, direction la clinique.
A la clinique nous sommes accueillis par une infirmière qui me prend en charge. Jacques nous suit dans la chambre. Elle m’explique que je dois me doucher avec de la bétadine et ensuite rester nu sous une chemise prête sur le lit. Jacques s’occupe de me laver, ce qu’il n’avait jamais fait puis j’enfile la chemise qui m’arrive au milieu des cuisses et qui laisse le dos apparent. Je m’allonge sur le lit et attend. Un garçon de salle vient pour me donner un cachet et me dit qu’il va me raser. Jacques rit doucement. Quand il soulève la chemise, il s’aperçoit que je suis épilé.
- Je vois que tout est net ! parfait !
Un petit clin d’œil et il disparaît. Moins d’une heure après je suis pris en charge. Je suis à moitié dans les vaps. On m’emmène au bloc. Je reconnais Michel qui est accompagné de l’anesthésiste. Je respire dans un casque en comptant à rebours. Je m’endors !
Quand je me réveille, je suis encore dans les vaps. Je reconnais Jacques près de moi et Michel qui me parle. A peine une heure s’est écoulée pour l’opération. Ça y est, je suis circoncis.
Je passe la matinée dans la chambre. Un infirmier vient me voir régulièrement pour prendre la tension et regarder le pansement. Il touche de deux doigts mon membre. A chaque fois Jacques le surveille. Puis en fin de matinée, il m’annonce qu’il change le pansement et qu’ensuite je pourrai sortir. Il me change effectivement le pansement. Je ne sens pas grand-chose, sans doute des anti douleurs dans la perf. Michel entre à son tour, regarde l’état de ma bite et confirme que je pourrai sortir très vite. Il me conseille de rester nu la nuit et de porter des pantalons amples pendant quelques jours. Jacques lui confirme que je ferai ce qu’il dit.
Pour le retour à la villa, le short ample m’a très bien convenu. Les frottements étaient parfois douloureux mais sans plus.
Les trois semaines suivantes, je les ai vécues totalement à poil. Le temps se radoucissait même s’il y avait des jours moins chauds. La première fois que je me suis regardé dans la glace, j’étais à la fois surpris et plutôt content. J’avais l’impression d’avoir une autre bite avec un gland plus gros…
Je continuais les quelques tâches ménagères, même si Jacques ne me corrigeait plus. Chaque jour, il s’occupait de vérifier l’état de ma bite. Je m’habituais progressivement à ma nouvelle queue, sans prépuce. Le plus difficile, au début, c’était la nuit, quand je bandais, je me réveillais. Puis la douleur s’est atténuée. J’ai pissé normalement. Durant ces semaines, j’aimais sucer Jacques et lui lécher le cul, mais j’évitais de me coller à lui. Il a compris que c’était un peu douloureux. Quand je fus remis, Jacques me suça longuement. Il semblait apprécier la nouvelle forme de ma bite et quand j’éjaculais abondamment dans sa bouche, il en avala une partie avant de me rendre le surplus. Puis il décida que je devais porter un anneau à son nom. Il me fit donc percer l’oreille pour y poser l’anneau.
Je n’ai pas repris les cours. De toute façon, Jacques m’a annoncé que je passerai mes examens d’une autre manière. Il tenait à ce que j’apprenne une langue supplémentaire. L’école à laquelle il m’avait inscrit m’enseignerait ce qui me manquait.
Au cours du mois de mai, j’ai dû compléter mon enseignement en arabe. Les coups de fouet, de martinet et de cravache ont repris. Je dormais le plus souvent dans son lit, mais quelquefois, en pleine nuit, il me balançait à terre et je devais finir la nuit, tout nu sur le sol. Un soir il a décidé que je ne devais plus me servir de mes mains. Il ma menotté les mains dans le dos et j’ai passé la soirée sans pouvoir utiliser mes mains. Durant cette période à la villa, il n’a reçu aucun de ses amis. Il a beaucoup travaillé par téléphone et par informatique.
Fin mai, le 31 exactement, jour de mes 20 ans, il m’annonça mon départ pour l’école. Mais ce jour là, nous sommes allés au restaurant et j’ai passé une journée de rêve, sans correction et avec plein d’amour.
1er juin, 6 heures :
- Debout mon gaillard.
Jacques attend que je me lève, m’embrasse et me remet la cage.
- Pourquoi ? je pourrai pas tenir si longtemps !
- Voilà ton costume de collégien. Départ dans une heure ! Ne sois pas en retard.
Une petite bise pour ponctuer tout cela et je me prépare. Je passe à la salle de bain. Cette cage m’obsède. En plus elle me semble différente de la première, j’ai l’impression que ma bite est plus recourbée qu’avant. Si je dois me mettre nu devant d’autres gars je ne vais pas avoir l’air très malin ! Je suis obligé de pisser assis ou accroupi. Pour le nettoyage, je passe le pommeau de douche. En plus maintenant mon gland frotte directement sur cet engin et ça me démange un peu. Je mets les vêtements préparés par Jacques : le slip kangourou, un bermuda bleu marine jusqu’aux genoux, une chemise à courtes manches, blanche avec une cravate bleu marine, des chaussettes qui montent jusqu’aux genoux, souliers, blazer avec un écusson représentant une bite en érection. Jacques à l’air satisfait. Une petite claque sur les fesses en atteste !
- En route. On ne va pas se voir pendant 3 mois, mais tu verras, quand tu reviendras tu seras un véritable homme sur lequel je pourrai compter.
Jacques est très beau dans son costume avec cravate, très soigné. Pas de petit déjeuner ce matin. Je monte dans la voiture et nous partons. Nous mettons un peu plus de deux heures avant d’arriver à « l’école ».
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Trop bien vivement la suite je me régal