PRELIMINAIRES AU CHATEAU – Une infirmière en Beauce 05
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PRELIMINAIRES AU CHATEAU – Une infirmière en Beauce 05
PRELIMINAIRES AU CHATEAU – Une infirmière en Beauce 05
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Ce vendredi, Valérie prépare son bagage pour se rendre à l’invitation du Baron d’Avesgaud. Elle se sent fébrile et très angoissée. Ne va-t-elle pas faire honte à son mari en présence de gens de la haute société, de la Province beauceronne certes, mais tout de même, il y aura le Préfet, le député et beaucoup de têtes connues de leur bonne ville de Chartres. Elle, qui ne se sent pas à l’aise dans ce milieu est curieuse et anxieuse à la fois à l’idée de faire la connaissance des épouses de ces édiles et de ce qu’elles vont penser de son couple. Au moins, ce soir et la journée de demain il n’y aura, d’après ce qu’elle a compris, que le Président et Paul, le colonel à la retraite, ami de son mari qu’elle apprécie particulièrement depuis qu’il l’a emmené à Paris pour acheter une garde-robe convenable. En songeant qu’il lui a conseillé de porter des bas et des porte-jarretelles, ce qu’elle a toujours refusé à son mari, elle a tout à coup très chaud et des fourmillements grouillent dans son ventre, surtout que sous la jupe droite de son tailleur, elle sent la ceinture du porte-jarretelles et les bas nylons à couture dont elle n’a pas l’habitude.
Son mari a été tellement excité de la voir ainsi, qu’il a pris, alors qu’elle venait de s’habiller, une vingtaine de photos d’elle en pied dans son tailleur peau de pêche, puis, il l’a retroussée jusqu’à la taille, et a même ôté sa jupe. Elle n’a pas osé lui refuser, mais elle a l’impression d’avoir des dessous de fille de mauvaise vie…
Hervé, au volant du Grand Scénic familial, son épouse sur le siège passager, prend la route sur la D939 au départ de Chartres qui va les mener directement à Châteauneuf-en-Thymerais à un peu plus de vingt-cinq kilomètres dans la campagne beauceronne. Il longe d’abord légèrement Bailleau l'Évêque, puis, il traverse le village de Dangers et longe celui de Vérigny. Cette route, traversant la plaine à blé est complètement déserte et il atteint Thimbert aux abords de la petite ville de Châteauneuf-en-Thymerais aux trois mille habitants. Il la traverse, avant de s’engager sur un chemin dénommé route du Dauphin, dans la forêt domaniale de Châteauneuf-en-Thymerais.
Cinq à six kilomètres de ce chemin empierré, bordé de chênes rouvres monumentaux datant de plusieurs siècles, les amène à une double grille ouvragée dont les deux portes sont ouvertes. Hervé s’engage sur un chemin de gravier rose qui leur fait découvrir le magnifique château de Castelneuf, de pur style Renaissance, dont la façade est faite d’un appareillage de pierres et de briques. Construit dans une vaste clairière, ce bâtiment devait être dévolu en premier lieu à la chasse. Constitué d’un corps principal sur deux étages au très haut toit d’ardoises, il est flanqué de deux grosses tours carrés de même hauteur auxquelles s’ajoutent deux petits pavillons rectangulaires comportant un seul étage. Malgré sa dimension modeste, comparée aux châteaux de la Loire, il doit tout de même comporter vingt-cinq à trente pièces. Hervé et Valérie sont impressionnés par ce décor de rêve. Et ils n’ont pas encore vu l’intérieur !
Un majordome les accueille sur le perron principal et les conduit à leur appartement dans la tour gauche du premier étage. C’est une véritable suite d’hôtel étoilé : un salon avec sofas et fauteuils confortables, un grand écran plat de télévision, un bar réfrigéré et un meuble contenant une cafetière, un nécessaire pour le thé et de nombreux verres. La chambre est sublime avec un lit à baldaquin et une salle de bains où le confort s’associe à la décoration du meilleur goût. Le majordome prénommé Etienne les informe que le dîner sera servi à 20 heures 15 au rez-de-chaussée, mais que Monsieur le Baron les attend à 19 heures 30 au salon attenant à la salle à manger…
Le salon dans lequel pénètre le couple est immense, il occupe la totalité du bâtiment, une trentaine de mètres sur huit, soit environ 240 m2. Les ors et les moulures se disputent les murs alors que des tableaux de maître sont accrochés tout autour de l’immense pièce. Un piano à queue est disposé dans un angle, alors que de nombreux fauteuils et canapés occupent des espaces délimités. Le colonel Rosequeen présente Valérie au Baron d’Avesgaud. Valérie est impressionnée par le personnage qu’elle dévore des yeux. Le Baron a un petit sourire en coin, songeant qu’il n’aura aucun mal à trousser cette mère de famille qui lui paraît bien ingénue. Le repas pris dans la tour carré de droite se passe en conversation de bon aloi, sans aborder la politique ou des choses trop légères. Cédric demande expressément à Valérie de l’appeler par son prénom, lui-même se permettant de l’appeler Valérie. Après le café pris au salon Cédric prend Valérie par le bras pour lui faire visiter le château sans se préoccuper d’Hervé ni de son ami Paul. Valérie, intimidée, se sent pourtant flattée que leur si bel hôte, prenne la peine de lui faire personnellement visiter sa demeure. Elle est complètement sous le charme. Hervé, accompagné de Paul suit le couple à quelques dizaines de mètres et se dit qu’à sa grande surprise, son épouse si prude et si réservée est bien prête à tomber dans les bras de son patron.
Mais la soirée s’arrête là. Le Président dit être fatigué et il se retire dans ses appartements. Ils se séparent et le couple Legendre regagne la suite mise à leur disposition. Lorsque Valérie se déshabille, alors qu’elle n’a pas encore retiré les bas et le porte-jarretelles, Hervé remarque que les pointes des seins sont érigées, presque turgescentes. Il s’approche et l’enlace, glissant sa main entre les cuisses et constate immédiatement que la chatte est plus que moite, carrément humide. Il glisse dans l’oreille de sa conjointe.
« C’est le Baron qui te fait mouiller ainsi ma chérie ? »
Valérie devient couleur pivoine, n’osant pas bouger ni relever la tête.
« Que vas-tu imaginer mon Amour ? La bonne chère, le bon vin, l’ambiance, j’avoue que cela me trouble, mais c’est à toi que je pense mon chéri. D’ailleurs, je vois qu’il y a un petit bonhomme qui ne demande qu’à sortir »
En effet, Hervé bande outrageusement dans sa culotte de pyjama et Valérie, ne perdant pas de temps, sort le vit de son mari et l’absorbe aussitôt entre ses lèvres, lui faisant une fellation dont elle a le secret. Car de ce côté, elle a toujours été performante songe Hervé qui s’allonge sur l’épais tapis de la chambre, obligeant sa femme à se disposer sur lui en 69. Valérie proteste pour la forme, mais voulant effacer toute trace de suspicion de son époux, et se sentant tout de même un peu en faute d’avoir eu des pensées coupables pour le très bel homme qu’est Cédric, ouvre le compas de son entrecuisses et offre sa vulve aux doigts et à la bouche de son mari. Celui-ci est sur un petit nuage, il a une vue en panoramique sur la totalité de l’intimité de son épouse qui n’émet, pour une fois, aucune protestation à se montrer à lui dans une position qu’elle déteste habituellement.
Hervé se régale. Après des mois de bataille pour que Valérie accepte de se faire épiler intégralement, elle a consenti pour lui faire plaisir à aller dans un institut. Son homme est redevenu comme au début de leur mariage, même mieux qu’à cette époque, s’il est de nouveau plein de petites attentions, lui offrant des fleurs ou des petits cadeaux sans raison, il se montre aussi très amoureux, sans pour autant vouloir sans cesse lui faire l’amour. Il la laisse juge du moment où elle aura envie et elle apprécie au plus haut point cette réserve complètement inhabituelle jusqu’ici chez son mari. Elle n’avait vraiment plus très envie depuis que Serge, son premier amoureux était sorti de sa vie. Pourtant, comme elle l’a aimé celui-là ! Comme elle a pris du plaisir à se donner à lui et à tolérer dix fois plus de choses qu’elle n’a accordé à Hervé en vingt-cinq ans de mariage ! À présent, elle se sent des envies qu’elle n’a jamais eues auparavant. Elle se sent mouillée pour un rien et ses seins gonflent et deviennent durs lorsque des pensées inavouables la traversent. Est-ce que la cinquantaine lui joue des tours ? Elle est infirmière et elle a suffisamment lu, pour savoir que c’est très possible. Elle s’applique pourtant le mieux possible pour que la queue qu’elle a prise en bouche puisse durcir et qu’elle sente le sperme affluer depuis les bourses jusqu’à l’urètre de son mari.
Pendant ce temps, Hervé contemple avec ravissement la vulve dénudée et glabre de sa moitié. Un léger filet de mouille filtre et vient s’écouler jusqu’à l’œillet du trou du cul de son épouse. Les grandes lèvres sont encore fermées, mais il se promet de les ouvrir en grand, l’œillet du conduit rectal palpite et il ne peut s’empêcher d’y poser sa langue et d’humecter la rosace plissée. Surprise, Valérie a interrompu sa savante fellation. Comme Hervé donne de larges coups de langue de la raie culière jusqu’en haut du pubis, elle est rassurée sur les intentions de son mari, et elle reprend la verge en bouche. Hervé a bien compris qu’il ne faut pas trop insister sur cet endroit, pour l’instant complètement tabou. Pourtant, il a bien l’intention dans un avenir qu’il espère proche, de bouffer le cul de son épouse, de lui entrer ses doigts pour élargir les sphincters du trou de balle et de la sodomiser avec sa pine au plus profond de ses entrailles. À ce moment, ses pensées lubriques, contrairement à son habitude sont d’une vulgarité étonnante pour ne pas dire triviales frisant même l’obscénité.
Il écarte délicatement les grandes lèvres gonflées de sang et palpe à pleins doigts la chair onctueuse du vagin, admirant la profondeur orangée et de plus en plus sombre du mystère féminin. Il chatouille d’un doigt le méat d’où perle une goutte de liquide indéfini, sentant la vibration de l’excitation produite par sa caresse certainement perçue comme inconvenante par sa prude épouse. Puis, il retrousse de deux doigts le capuchon clitoridien, frôlant le bouton du bonheur, cette fluette protubérance ressemblant à une petite bite que la langue d’Hervé vient titiller, faisant sursauter les cuisses et le ventre de Valérie qui pousse un gémissement rauque. La mouille envahit les chairs vaginales, tandis que la bouche d’Hervé s’empare de l’extrême ogive qui a durci en l’aspirant jusqu’au fond du palais, et provoque chez son épouse un soubresaut soudain. Son clito, pris entre les lèvres de son mari et tété à mort, elle s’arc-boute sous la stimulation voluptueuse, tordant son corps en tout sens, voulant échapper à l’incroyable et douloureux plaisir charnel qu’elle ressent. Lorsque l’orgasme dépasse la jouissance divine ressentie, elle pousse un mugissement et retombe sur le torse de son époux, anéantie par la volupté de cette caresse buccale ultime.
Hervé se dégage d’entre les cuisses de son épouse, il vient la prendre dans ses bras, la berçant tout en lui caressant le visage. Celle-ci, confuse et tout de même un peu honteuse de s’être laissé aller, n’ose pas le regarder. Pourtant, elle lui dit tout bas.
« Merci mon Amour, tu m’as fait jouir comme jamais. Mais, toi, je t’ai abandonné, pardonne-moi, avec ce que tu m’as fait subir, je ne pouvais plus me concentrer sur ton plaisir ».
Ce faisant, Valérie reprend le vit de son mari en bouche et le pompe avec une grande application, faisant des circonvolutions de sa langue autour du vit qu’elle maintient fermement. À genoux devant son mari qui s’est mit debout, habillée seulement de ses bas et de son porte-jarretelles, Valérie est d’un érotisme inouï ! Lorsqu’elle sent la sève courir dans l’urètre, elle la bloque en serrant très fort la verge turgescente, puis, relevant la tête, elle ose regarder son mari dans les yeux, relâchant la pression sur le membre tout en le branlant sans s’interrompre. Hervé a les yeux exorbités de voir ainsi son épouse, se conduire de façon aussi perverse. Il ne peut plus se retenir et éjecte son foutre dans la jolie bouche de la mère de ses enfants. Valérie ne se retire pas comme à son habitude, elle regarde toujours fixement son mari, puis, lorsqu’il s’est bien vidé, elle retire la queue d’entre ses lèvres et ouvre la bouche en grand pour que son époux puisse voir le jus blanchâtre accumulé au fond de son palais. Sans quitter le regard d’Hervé, elle déglutit lentement, et avale sans sourciller le sperme marital.
Hervé se penche et redresse son épouse, l’embrassant dans un long baiser reconnaissant. Il songe que cette soirée dans ce château magnifique, le dîner fastueux, les bons vins, la prestance de son patron et les attentions qu’il a eues pour Valérie, tout cela a déclenché chez elle une libido surprenante. Il espère que cela ne va pas s’arrêter là…
À suivre….
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Ce vendredi, Valérie prépare son bagage pour se rendre à l’invitation du Baron d’Avesgaud. Elle se sent fébrile et très angoissée. Ne va-t-elle pas faire honte à son mari en présence de gens de la haute société, de la Province beauceronne certes, mais tout de même, il y aura le Préfet, le député et beaucoup de têtes connues de leur bonne ville de Chartres. Elle, qui ne se sent pas à l’aise dans ce milieu est curieuse et anxieuse à la fois à l’idée de faire la connaissance des épouses de ces édiles et de ce qu’elles vont penser de son couple. Au moins, ce soir et la journée de demain il n’y aura, d’après ce qu’elle a compris, que le Président et Paul, le colonel à la retraite, ami de son mari qu’elle apprécie particulièrement depuis qu’il l’a emmené à Paris pour acheter une garde-robe convenable. En songeant qu’il lui a conseillé de porter des bas et des porte-jarretelles, ce qu’elle a toujours refusé à son mari, elle a tout à coup très chaud et des fourmillements grouillent dans son ventre, surtout que sous la jupe droite de son tailleur, elle sent la ceinture du porte-jarretelles et les bas nylons à couture dont elle n’a pas l’habitude.
Son mari a été tellement excité de la voir ainsi, qu’il a pris, alors qu’elle venait de s’habiller, une vingtaine de photos d’elle en pied dans son tailleur peau de pêche, puis, il l’a retroussée jusqu’à la taille, et a même ôté sa jupe. Elle n’a pas osé lui refuser, mais elle a l’impression d’avoir des dessous de fille de mauvaise vie…
Hervé, au volant du Grand Scénic familial, son épouse sur le siège passager, prend la route sur la D939 au départ de Chartres qui va les mener directement à Châteauneuf-en-Thymerais à un peu plus de vingt-cinq kilomètres dans la campagne beauceronne. Il longe d’abord légèrement Bailleau l'Évêque, puis, il traverse le village de Dangers et longe celui de Vérigny. Cette route, traversant la plaine à blé est complètement déserte et il atteint Thimbert aux abords de la petite ville de Châteauneuf-en-Thymerais aux trois mille habitants. Il la traverse, avant de s’engager sur un chemin dénommé route du Dauphin, dans la forêt domaniale de Châteauneuf-en-Thymerais.
Cinq à six kilomètres de ce chemin empierré, bordé de chênes rouvres monumentaux datant de plusieurs siècles, les amène à une double grille ouvragée dont les deux portes sont ouvertes. Hervé s’engage sur un chemin de gravier rose qui leur fait découvrir le magnifique château de Castelneuf, de pur style Renaissance, dont la façade est faite d’un appareillage de pierres et de briques. Construit dans une vaste clairière, ce bâtiment devait être dévolu en premier lieu à la chasse. Constitué d’un corps principal sur deux étages au très haut toit d’ardoises, il est flanqué de deux grosses tours carrés de même hauteur auxquelles s’ajoutent deux petits pavillons rectangulaires comportant un seul étage. Malgré sa dimension modeste, comparée aux châteaux de la Loire, il doit tout de même comporter vingt-cinq à trente pièces. Hervé et Valérie sont impressionnés par ce décor de rêve. Et ils n’ont pas encore vu l’intérieur !
Un majordome les accueille sur le perron principal et les conduit à leur appartement dans la tour gauche du premier étage. C’est une véritable suite d’hôtel étoilé : un salon avec sofas et fauteuils confortables, un grand écran plat de télévision, un bar réfrigéré et un meuble contenant une cafetière, un nécessaire pour le thé et de nombreux verres. La chambre est sublime avec un lit à baldaquin et une salle de bains où le confort s’associe à la décoration du meilleur goût. Le majordome prénommé Etienne les informe que le dîner sera servi à 20 heures 15 au rez-de-chaussée, mais que Monsieur le Baron les attend à 19 heures 30 au salon attenant à la salle à manger…
Le salon dans lequel pénètre le couple est immense, il occupe la totalité du bâtiment, une trentaine de mètres sur huit, soit environ 240 m2. Les ors et les moulures se disputent les murs alors que des tableaux de maître sont accrochés tout autour de l’immense pièce. Un piano à queue est disposé dans un angle, alors que de nombreux fauteuils et canapés occupent des espaces délimités. Le colonel Rosequeen présente Valérie au Baron d’Avesgaud. Valérie est impressionnée par le personnage qu’elle dévore des yeux. Le Baron a un petit sourire en coin, songeant qu’il n’aura aucun mal à trousser cette mère de famille qui lui paraît bien ingénue. Le repas pris dans la tour carré de droite se passe en conversation de bon aloi, sans aborder la politique ou des choses trop légères. Cédric demande expressément à Valérie de l’appeler par son prénom, lui-même se permettant de l’appeler Valérie. Après le café pris au salon Cédric prend Valérie par le bras pour lui faire visiter le château sans se préoccuper d’Hervé ni de son ami Paul. Valérie, intimidée, se sent pourtant flattée que leur si bel hôte, prenne la peine de lui faire personnellement visiter sa demeure. Elle est complètement sous le charme. Hervé, accompagné de Paul suit le couple à quelques dizaines de mètres et se dit qu’à sa grande surprise, son épouse si prude et si réservée est bien prête à tomber dans les bras de son patron.
Mais la soirée s’arrête là. Le Président dit être fatigué et il se retire dans ses appartements. Ils se séparent et le couple Legendre regagne la suite mise à leur disposition. Lorsque Valérie se déshabille, alors qu’elle n’a pas encore retiré les bas et le porte-jarretelles, Hervé remarque que les pointes des seins sont érigées, presque turgescentes. Il s’approche et l’enlace, glissant sa main entre les cuisses et constate immédiatement que la chatte est plus que moite, carrément humide. Il glisse dans l’oreille de sa conjointe.
« C’est le Baron qui te fait mouiller ainsi ma chérie ? »
Valérie devient couleur pivoine, n’osant pas bouger ni relever la tête.
« Que vas-tu imaginer mon Amour ? La bonne chère, le bon vin, l’ambiance, j’avoue que cela me trouble, mais c’est à toi que je pense mon chéri. D’ailleurs, je vois qu’il y a un petit bonhomme qui ne demande qu’à sortir »
En effet, Hervé bande outrageusement dans sa culotte de pyjama et Valérie, ne perdant pas de temps, sort le vit de son mari et l’absorbe aussitôt entre ses lèvres, lui faisant une fellation dont elle a le secret. Car de ce côté, elle a toujours été performante songe Hervé qui s’allonge sur l’épais tapis de la chambre, obligeant sa femme à se disposer sur lui en 69. Valérie proteste pour la forme, mais voulant effacer toute trace de suspicion de son époux, et se sentant tout de même un peu en faute d’avoir eu des pensées coupables pour le très bel homme qu’est Cédric, ouvre le compas de son entrecuisses et offre sa vulve aux doigts et à la bouche de son mari. Celui-ci est sur un petit nuage, il a une vue en panoramique sur la totalité de l’intimité de son épouse qui n’émet, pour une fois, aucune protestation à se montrer à lui dans une position qu’elle déteste habituellement.
Hervé se régale. Après des mois de bataille pour que Valérie accepte de se faire épiler intégralement, elle a consenti pour lui faire plaisir à aller dans un institut. Son homme est redevenu comme au début de leur mariage, même mieux qu’à cette époque, s’il est de nouveau plein de petites attentions, lui offrant des fleurs ou des petits cadeaux sans raison, il se montre aussi très amoureux, sans pour autant vouloir sans cesse lui faire l’amour. Il la laisse juge du moment où elle aura envie et elle apprécie au plus haut point cette réserve complètement inhabituelle jusqu’ici chez son mari. Elle n’avait vraiment plus très envie depuis que Serge, son premier amoureux était sorti de sa vie. Pourtant, comme elle l’a aimé celui-là ! Comme elle a pris du plaisir à se donner à lui et à tolérer dix fois plus de choses qu’elle n’a accordé à Hervé en vingt-cinq ans de mariage ! À présent, elle se sent des envies qu’elle n’a jamais eues auparavant. Elle se sent mouillée pour un rien et ses seins gonflent et deviennent durs lorsque des pensées inavouables la traversent. Est-ce que la cinquantaine lui joue des tours ? Elle est infirmière et elle a suffisamment lu, pour savoir que c’est très possible. Elle s’applique pourtant le mieux possible pour que la queue qu’elle a prise en bouche puisse durcir et qu’elle sente le sperme affluer depuis les bourses jusqu’à l’urètre de son mari.
Pendant ce temps, Hervé contemple avec ravissement la vulve dénudée et glabre de sa moitié. Un léger filet de mouille filtre et vient s’écouler jusqu’à l’œillet du trou du cul de son épouse. Les grandes lèvres sont encore fermées, mais il se promet de les ouvrir en grand, l’œillet du conduit rectal palpite et il ne peut s’empêcher d’y poser sa langue et d’humecter la rosace plissée. Surprise, Valérie a interrompu sa savante fellation. Comme Hervé donne de larges coups de langue de la raie culière jusqu’en haut du pubis, elle est rassurée sur les intentions de son mari, et elle reprend la verge en bouche. Hervé a bien compris qu’il ne faut pas trop insister sur cet endroit, pour l’instant complètement tabou. Pourtant, il a bien l’intention dans un avenir qu’il espère proche, de bouffer le cul de son épouse, de lui entrer ses doigts pour élargir les sphincters du trou de balle et de la sodomiser avec sa pine au plus profond de ses entrailles. À ce moment, ses pensées lubriques, contrairement à son habitude sont d’une vulgarité étonnante pour ne pas dire triviales frisant même l’obscénité.
Il écarte délicatement les grandes lèvres gonflées de sang et palpe à pleins doigts la chair onctueuse du vagin, admirant la profondeur orangée et de plus en plus sombre du mystère féminin. Il chatouille d’un doigt le méat d’où perle une goutte de liquide indéfini, sentant la vibration de l’excitation produite par sa caresse certainement perçue comme inconvenante par sa prude épouse. Puis, il retrousse de deux doigts le capuchon clitoridien, frôlant le bouton du bonheur, cette fluette protubérance ressemblant à une petite bite que la langue d’Hervé vient titiller, faisant sursauter les cuisses et le ventre de Valérie qui pousse un gémissement rauque. La mouille envahit les chairs vaginales, tandis que la bouche d’Hervé s’empare de l’extrême ogive qui a durci en l’aspirant jusqu’au fond du palais, et provoque chez son épouse un soubresaut soudain. Son clito, pris entre les lèvres de son mari et tété à mort, elle s’arc-boute sous la stimulation voluptueuse, tordant son corps en tout sens, voulant échapper à l’incroyable et douloureux plaisir charnel qu’elle ressent. Lorsque l’orgasme dépasse la jouissance divine ressentie, elle pousse un mugissement et retombe sur le torse de son époux, anéantie par la volupté de cette caresse buccale ultime.
Hervé se dégage d’entre les cuisses de son épouse, il vient la prendre dans ses bras, la berçant tout en lui caressant le visage. Celle-ci, confuse et tout de même un peu honteuse de s’être laissé aller, n’ose pas le regarder. Pourtant, elle lui dit tout bas.
« Merci mon Amour, tu m’as fait jouir comme jamais. Mais, toi, je t’ai abandonné, pardonne-moi, avec ce que tu m’as fait subir, je ne pouvais plus me concentrer sur ton plaisir ».
Ce faisant, Valérie reprend le vit de son mari en bouche et le pompe avec une grande application, faisant des circonvolutions de sa langue autour du vit qu’elle maintient fermement. À genoux devant son mari qui s’est mit debout, habillée seulement de ses bas et de son porte-jarretelles, Valérie est d’un érotisme inouï ! Lorsqu’elle sent la sève courir dans l’urètre, elle la bloque en serrant très fort la verge turgescente, puis, relevant la tête, elle ose regarder son mari dans les yeux, relâchant la pression sur le membre tout en le branlant sans s’interrompre. Hervé a les yeux exorbités de voir ainsi son épouse, se conduire de façon aussi perverse. Il ne peut plus se retenir et éjecte son foutre dans la jolie bouche de la mère de ses enfants. Valérie ne se retire pas comme à son habitude, elle regarde toujours fixement son mari, puis, lorsqu’il s’est bien vidé, elle retire la queue d’entre ses lèvres et ouvre la bouche en grand pour que son époux puisse voir le jus blanchâtre accumulé au fond de son palais. Sans quitter le regard d’Hervé, elle déglutit lentement, et avale sans sourciller le sperme marital.
Hervé se penche et redresse son épouse, l’embrassant dans un long baiser reconnaissant. Il songe que cette soirée dans ce château magnifique, le dîner fastueux, les bons vins, la prestance de son patron et les attentions qu’il a eues pour Valérie, tout cela a déclenché chez elle une libido surprenante. Il espère que cela ne va pas s’arrêter là…
À suivre….
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