Premier contact
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Premier contact
Premier contact
Depuis plusieurs semaines, je corresponds avec lui sur le réseau. Aujourd'hui, je suis très anxieux de le rencontrer. Je m'appelle Luc, j'ai vingt-cinq ans et je recherche une vraie domination. Après une rapide douche fraîche et apaisante, j'enfile des vêtements propres et joyeux pour lui plaire. Un nœud dans l'estomac, je me dirige d'un pas rapide vers l'adresse indiquée. Je suis en avance et je fais les cent pas, de plus en plus nerveux. A l'heure précise, je sonne à la porte. Une voix sèche, mais virile, mais m'indique l'étage et me donne les instructions à suivre.
Je monte les étages à pieds comme ordonné, je sonne et j'entre. Je retire mes chaussures, puis je pousse la porte en face de moi et me retrouve dans une pièce obscure. Je ferme la porte j'attends, j'attends longuement durant quelques minutes sans doute, mais une éternité pour moi. J'entends, je sens une présence derrière moi tandis qu'une voix caverneuse résonne de je ne sais où. Elle me dit d'avancer de deux pas et de me mettre au garde-à-vous. Je m'y soumets, tremblant légèrement et je sens l'excitation envahir mon être entier. J'essaie de deviner la pièce, l'ameublement, mais je ne peux rien distinguer. Soudain, la présence derrière moi est confirmée comme je sens un bandeau placé devant mes yeux et serré derrière ma tête. Je n'ai pas le temps de réfléchir comme la voix retentit de nouveau et m'ordonne de me déshabiller calmement et de ranger tous mes vêtements à mes pieds. Tandis que je me dénude progressivement, tandis que je replie mes vêtements et les empile devant moi, je me sens épié et examiné et cela ne fait qu'augmenter ma nervosité. Frissonnant, mais conscient de ma tige dressée, je me remets en position. J'essaie de ne pas trop réfléchir pour ne pas perdre la confiance que j'ai décidé de placer dans ce maître. De nouveau cette voix, légèrement métallique, qui retentit de tout autour de moi et qui m'ordonne de prendre une autre position.
J'écarte largement mes jambes, les pliant légèrement. Je place mes mains derrière mon cou, penche mon torse vers l'avant et puis redresse ma tête. J'attends, à l'affut du moindre bruit, mais je n'entends rien et, bien sûr, je ne vois rien. Une main frôle ma peau, caresse chaque centimètre de mon corps, puis une autre la rejoint pour effectuer un massage de chaque muscle. Ce doux contact me détend (pas partout) et je savoure. Les doigts explorent chaque espace, chaque recoin comme si mon corps était en braille. Puis, ils s'éloignent et c'est le vide, l'absence. Je me balance légèrement à la recherche d'un contact possible, mais rien.
Un bruit de frottement, un cliquetis, des bracelets de cuir sont serrés autour de mes poignets, d'autres suivent sur mes chevilles. Tandis que le contact disparaît de nouveau, je sens mon cœur s'emballer. Il y a tant de sang accumulé entre mes jambes que mon sexe me fait mal. Il me semble distinguer un grognement devant moi.
Un doux glissement me fait prendre conscience de la présence derrière moi. À ma grande joie, les mains reviennent contre moi, mais elles sont maintenant plus fermes. La première explore ma bouche, profondément pendant que la seconde travaille mes seins, l'un après l'autre, les titillant de plus en plus fermement, les pinçant et les tordant et je ne peux m'empêcher de gémir. La première quitte ma bouche pour explorer, masser et pénétrer mon trou alors que la seconde descend entre mes jambes et étire mon sac bien serré. Puis, de nouveau, l'absence.
La voix retentit et je réalise, cette fois-ci, qu'elle ne vient pas de derrière moi mais tout autour de moi. Elle me dit de me relever et d'avancer lentement. Un peu effrayé malgré tout, j'avance à pas de souris jusqu'à ce que… mon corps heurte quelque chose et je me recule directement. Un simple coup de cravache sur mon postérieur corrige mon erreur et j'avance de nouveau, plus prudemment. Je sens à nouveau l'obstacle et réalise qu'il est doux, souple et chaud, c'est un corps. Ma tête est forcée vers l'avant et mes lèvres rencontrent une bouche ouverte, imposant un long baiser langoureux.
La voix interrompt mon plaisir. Tandis qu'elle m'ordonne de lécher le corps en descendant lentement, mes mains sont rassemblées au-dessus de ma tête et attachées à une chaîne. Mais jambes sont forcées écartées et enchaînées aussi. J'ai perdu mon équilibre et dépend totalement du treuil auquel je prends. Je commence mon exploration de ce corps aux seuls endroits que ma langue peut atteindre tandis que je me sens monter et descendre, tirer à gauche ou à droite. Un fouet vient attiser mon enthousiasme et mon ardeur n'en est que plus grande, je deviens presque fou. Ma tête suit le mouvement de mes bras et mon corps est progressivement tiré vers arrière et en haut par mes jambes.
Comme mon exploration s'étend, ma langue décèle des parcelles de cuir. Le corps en face de moi semble être ligoté par des sangles. Je suis utilisé pour satisfaire l'esclave du Maître.
Mon déplacement est interrompu au niveau du nombril que je cajole du mieux que je peux, mais une terrible douleur me fait hurler lorsque je sens des pinces dans mes couilles, puis sur mes seins. Toutes celles-ci sont rapidement lestées et je redouble mes efforts pour creuser ce nombril. Mon travail est vite récompensé comme l'avant de mon corps est lentement descendu vers un pieu viril bien tendu et débordant de succulent suc.
Bientôt, mais fesses deviennent un pôle d'intérêt. Tandis que je suce de toute mon âme, une palette vient réchauffer mon postérieur et les coups se succèdent, m'imposant un rythme de succion, plus vite ou plus lentement, plus légèrement ou plus rudement, plus délicatement ou plus profondément. Mais fesses me font si mal et je suis si excité que j'en oublie la fatigue et la douleur dans ma nuque. Finalement, un doigt vient me sonder, élargir mon anneau, puis il pénètre sans problème mon cul maintenant bien détendu. Un deuxième le rejoint, puis un troisième, le Maître est un expert.
Je suis surpris et déçu lorsque le travail me soulève loin de cette délicieuse verge et que les doigts se retirent. J'étais sur le chemin de l'extase, mais le Maître est réellement un expert car, tandis que la voix me propose de me calmer, tandis qu'une douce musique retentit, les mains viennent masser mes épaules, ma nuque, mon cou. Un tube est enfoncé dans ma bouche et, confiant, j'aspire. C'est de l'eau fraîche. Je suis vraiment entre de bonnes mains.
Je sens le grand final arriver comme mes bras sont descendus et que ma bouche retrouve son ancrage sur cette queue palpitante. Il ne manque plus que les doigts, mais c'est une tige bien plus grosse, bien plus longue qui m'envahit, une délicieuse tige humaine, un sublime pieux de Maître. Sans hésitation, sans avertissement la poussée impose le rythme et je lèche, j'aspire, je suce. La chevauchée ne dure pas longtemps, tellement l'excitation est grande. Je peux sentir mon trou se dilater au maximum pour faire place à une série impressionnante de puissants jets. Un ordre retentit soudain dans la salle, "MAINTENANT!" Et ma bouche est instantanément inondée et tout cela provoque ma propre jouissance.
J'ai du perdre conscience quelques instants puisque, lorsque je me suis réveillé, j'étais couché sur le dos, les poignets et les chevilles libres et sans bandeau. Un fin cône de lumière éclairait ma pile de vêtements sur laquelle se trouvait une petite carte avec un nom, un numéro de téléphone et quelques mots dessous : "Merci et à bientôt".
FIN.
Depuis plusieurs semaines, je corresponds avec lui sur le réseau. Aujourd'hui, je suis très anxieux de le rencontrer. Je m'appelle Luc, j'ai vingt-cinq ans et je recherche une vraie domination. Après une rapide douche fraîche et apaisante, j'enfile des vêtements propres et joyeux pour lui plaire. Un nœud dans l'estomac, je me dirige d'un pas rapide vers l'adresse indiquée. Je suis en avance et je fais les cent pas, de plus en plus nerveux. A l'heure précise, je sonne à la porte. Une voix sèche, mais virile, mais m'indique l'étage et me donne les instructions à suivre.
Je monte les étages à pieds comme ordonné, je sonne et j'entre. Je retire mes chaussures, puis je pousse la porte en face de moi et me retrouve dans une pièce obscure. Je ferme la porte j'attends, j'attends longuement durant quelques minutes sans doute, mais une éternité pour moi. J'entends, je sens une présence derrière moi tandis qu'une voix caverneuse résonne de je ne sais où. Elle me dit d'avancer de deux pas et de me mettre au garde-à-vous. Je m'y soumets, tremblant légèrement et je sens l'excitation envahir mon être entier. J'essaie de deviner la pièce, l'ameublement, mais je ne peux rien distinguer. Soudain, la présence derrière moi est confirmée comme je sens un bandeau placé devant mes yeux et serré derrière ma tête. Je n'ai pas le temps de réfléchir comme la voix retentit de nouveau et m'ordonne de me déshabiller calmement et de ranger tous mes vêtements à mes pieds. Tandis que je me dénude progressivement, tandis que je replie mes vêtements et les empile devant moi, je me sens épié et examiné et cela ne fait qu'augmenter ma nervosité. Frissonnant, mais conscient de ma tige dressée, je me remets en position. J'essaie de ne pas trop réfléchir pour ne pas perdre la confiance que j'ai décidé de placer dans ce maître. De nouveau cette voix, légèrement métallique, qui retentit de tout autour de moi et qui m'ordonne de prendre une autre position.
J'écarte largement mes jambes, les pliant légèrement. Je place mes mains derrière mon cou, penche mon torse vers l'avant et puis redresse ma tête. J'attends, à l'affut du moindre bruit, mais je n'entends rien et, bien sûr, je ne vois rien. Une main frôle ma peau, caresse chaque centimètre de mon corps, puis une autre la rejoint pour effectuer un massage de chaque muscle. Ce doux contact me détend (pas partout) et je savoure. Les doigts explorent chaque espace, chaque recoin comme si mon corps était en braille. Puis, ils s'éloignent et c'est le vide, l'absence. Je me balance légèrement à la recherche d'un contact possible, mais rien.
Un bruit de frottement, un cliquetis, des bracelets de cuir sont serrés autour de mes poignets, d'autres suivent sur mes chevilles. Tandis que le contact disparaît de nouveau, je sens mon cœur s'emballer. Il y a tant de sang accumulé entre mes jambes que mon sexe me fait mal. Il me semble distinguer un grognement devant moi.
Un doux glissement me fait prendre conscience de la présence derrière moi. À ma grande joie, les mains reviennent contre moi, mais elles sont maintenant plus fermes. La première explore ma bouche, profondément pendant que la seconde travaille mes seins, l'un après l'autre, les titillant de plus en plus fermement, les pinçant et les tordant et je ne peux m'empêcher de gémir. La première quitte ma bouche pour explorer, masser et pénétrer mon trou alors que la seconde descend entre mes jambes et étire mon sac bien serré. Puis, de nouveau, l'absence.
La voix retentit et je réalise, cette fois-ci, qu'elle ne vient pas de derrière moi mais tout autour de moi. Elle me dit de me relever et d'avancer lentement. Un peu effrayé malgré tout, j'avance à pas de souris jusqu'à ce que… mon corps heurte quelque chose et je me recule directement. Un simple coup de cravache sur mon postérieur corrige mon erreur et j'avance de nouveau, plus prudemment. Je sens à nouveau l'obstacle et réalise qu'il est doux, souple et chaud, c'est un corps. Ma tête est forcée vers l'avant et mes lèvres rencontrent une bouche ouverte, imposant un long baiser langoureux.
La voix interrompt mon plaisir. Tandis qu'elle m'ordonne de lécher le corps en descendant lentement, mes mains sont rassemblées au-dessus de ma tête et attachées à une chaîne. Mais jambes sont forcées écartées et enchaînées aussi. J'ai perdu mon équilibre et dépend totalement du treuil auquel je prends. Je commence mon exploration de ce corps aux seuls endroits que ma langue peut atteindre tandis que je me sens monter et descendre, tirer à gauche ou à droite. Un fouet vient attiser mon enthousiasme et mon ardeur n'en est que plus grande, je deviens presque fou. Ma tête suit le mouvement de mes bras et mon corps est progressivement tiré vers arrière et en haut par mes jambes.
Comme mon exploration s'étend, ma langue décèle des parcelles de cuir. Le corps en face de moi semble être ligoté par des sangles. Je suis utilisé pour satisfaire l'esclave du Maître.
Mon déplacement est interrompu au niveau du nombril que je cajole du mieux que je peux, mais une terrible douleur me fait hurler lorsque je sens des pinces dans mes couilles, puis sur mes seins. Toutes celles-ci sont rapidement lestées et je redouble mes efforts pour creuser ce nombril. Mon travail est vite récompensé comme l'avant de mon corps est lentement descendu vers un pieu viril bien tendu et débordant de succulent suc.
Bientôt, mais fesses deviennent un pôle d'intérêt. Tandis que je suce de toute mon âme, une palette vient réchauffer mon postérieur et les coups se succèdent, m'imposant un rythme de succion, plus vite ou plus lentement, plus légèrement ou plus rudement, plus délicatement ou plus profondément. Mais fesses me font si mal et je suis si excité que j'en oublie la fatigue et la douleur dans ma nuque. Finalement, un doigt vient me sonder, élargir mon anneau, puis il pénètre sans problème mon cul maintenant bien détendu. Un deuxième le rejoint, puis un troisième, le Maître est un expert.
Je suis surpris et déçu lorsque le travail me soulève loin de cette délicieuse verge et que les doigts se retirent. J'étais sur le chemin de l'extase, mais le Maître est réellement un expert car, tandis que la voix me propose de me calmer, tandis qu'une douce musique retentit, les mains viennent masser mes épaules, ma nuque, mon cou. Un tube est enfoncé dans ma bouche et, confiant, j'aspire. C'est de l'eau fraîche. Je suis vraiment entre de bonnes mains.
Je sens le grand final arriver comme mes bras sont descendus et que ma bouche retrouve son ancrage sur cette queue palpitante. Il ne manque plus que les doigts, mais c'est une tige bien plus grosse, bien plus longue qui m'envahit, une délicieuse tige humaine, un sublime pieux de Maître. Sans hésitation, sans avertissement la poussée impose le rythme et je lèche, j'aspire, je suce. La chevauchée ne dure pas longtemps, tellement l'excitation est grande. Je peux sentir mon trou se dilater au maximum pour faire place à une série impressionnante de puissants jets. Un ordre retentit soudain dans la salle, "MAINTENANT!" Et ma bouche est instantanément inondée et tout cela provoque ma propre jouissance.
J'ai du perdre conscience quelques instants puisque, lorsque je me suis réveillé, j'étais couché sur le dos, les poignets et les chevilles libres et sans bandeau. Un fin cône de lumière éclairait ma pile de vêtements sur laquelle se trouvait une petite carte avec un nom, un numéro de téléphone et quelques mots dessous : "Merci et à bientôt".
FIN.
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