PREMIERE DANS UN CINE
Récit érotique écrit par Kado [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PREMIERE DANS UN CINE
<p>Dans le quartier des halles alors que j’ai 18 ans passés :
Un peu frêle on croit que j’ai 14 ans, je suis obligé de montrer ma carte d’identité pour entrer dans ce ciné porno. Il y a plusieurs
salles qui passent des films différant. La première salle est très sombre, il y a peu de monde, à l’écran un homme se fait
sodomiser pendant qu’il suce un black monté comme un cheval. Je m’installe au milieu d’une rangée vide. Un des hommes qui
tourne de salle en salle prend place à coté de moi sort sa bite et se branle, en me regardant. Je me déplace, le type me suit je
m’assois coincé par le mur, il prend place à côté de moi, m’oblige à écarter mes cuisses en passant une jambe pare dessus la
mienne, déboutonne ma braguette, sort mon sexe et me branle doucement. Je ne sais plus où me mettre Tu viens souvent ? « Non
» Il se penche et prend mon sexe dans sa bouche chaude et me suce, sa langue tourne autour de mon gland, quand je vais
exploser, il se retire. Je me sens frustré. Il me propose de le suivre dans une autre salle. On descend des marches, il y a un couloir
avec des cabines à l’intérieur assis sur une chaise, un homme se branle, devant un homme qui le regarde en se branlant aussi.
Dans une autre cabine un type en suce un autre. Je ne peux m’empêcher de regarder ces bites qui se dressent fièrement.
Quelques-unes sont fermées. Le couloir fait un crochet se rétrécit et devient totalement obscur, je marche à tâtons. Un homme qui
se tient dans un recoin, me met la main aux fesses et s’esclaffe « beau cul » je me sens rougir. Mon compère me pousse dans
une sorte d’alcôve. Je le laisse déboutonner mon pantalon qui glisse sur mes cuisses. A ma grande satisfaction une bouche
engloutie ma queue, je bande. Une main prend fermement ma nuque m’oblige à me plier une bite effleure mes lèvres, le gland
appuie sur mes dents. « Une voix sèche me dit suce ! » Malgré mon dégoût je le prends dans ma bouche. La voie se fait autoritaire
« - c’est bien ! - ouii comme ça ! - suce la bien ! - continu ! » Une langue me lèche l’anus, je trouve cela agréable. Puis un doigt
s’enfonce dans mon anus, j’essaie de me redresser, fermement maintenu aux épaules part le type que je suce, je n’y parviens
pas. La surprise passée je me détends. La langue revient sur mon l’anus, c’est la première fois que je me fais lécher l’anus, et je
trouve ça délicieux. Entre deux coups de langue, le doigt s’enfonce une sorte de béatitude m’envahis. Une douce volupté s’empare
de moi. Je me concentre sur la bite que j’ai dans la bouche et la suce du mieux que je peux. La langue me titille de nouveau l’anus.
Je m’abandonne totalement. D’un coup je me fige ne bande plus, et pousse un cri étouffé par la bite que j’ai dans la bouche.
J’essaye de dégager la bite qui s’est figé pour la première fois dans mon cul. En me tortillant en ruant et grognant, je reste chevillé.
Maintenu solidement aux hanches, par petite poussées elle progresse dans mon étroit canal de toute sa longueur. Le pieu quitte
mon étroitesse, d’une brusque poussé m’embroche de plusieurs fois de suite. Je ne me débats plus. « Pense à la bite que tu as
dans la bouche » « Suce la bien ! » Malgré mon cul qui me fait mal. Je suce. La rondelle éclatée la douleur que me procure cette
bite qui me laboure le cul me fait bander. Une liqueur épaisse remplie ma bouche, que j’avale jusqu’à la dernière goutte. J’ai honte,
quand une autre bite frôle mes lèvres j’ouvre la bouche et la suce sachant que malgré mon dégoût je vais avaler sa liqueur.
Maintenant enculé à grands coups de butoirs une boule de feu irradie mes reins et se propage dans mon ventre je deviens
l’esclave de cette bite qui me brise douloureusement le cul. Cette souffrance déclenche en moi du plaisir pris de spasmes je jouis,
en même temps qu’un jet de sperme chaud et poisseux éclabousse mes fesses et ma raie. Je mets un certain temps à refaire
surface. Il n’y a plus personne autour de moi, mon cul ne me fait plus mal. J’essuie mes fesses avec un mouchoir, je ne peux
m’empêcher de toucher ma rondelle martyrisée. Elle est boursouflée, j’introduis un doigt rien pas de douleur Rassuré, et
déconcerté par cette mésaventure. Je remonte mon pantalon et quitte le ciné avec un légé goût de sperme dans la bouche et plein
d’interrogation dans la tête.
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Un peu frêle on croit que j’ai 14 ans, je suis obligé de montrer ma carte d’identité pour entrer dans ce ciné porno. Il y a plusieurs
salles qui passent des films différant. La première salle est très sombre, il y a peu de monde, à l’écran un homme se fait
sodomiser pendant qu’il suce un black monté comme un cheval. Je m’installe au milieu d’une rangée vide. Un des hommes qui
tourne de salle en salle prend place à coté de moi sort sa bite et se branle, en me regardant. Je me déplace, le type me suit je
m’assois coincé par le mur, il prend place à côté de moi, m’oblige à écarter mes cuisses en passant une jambe pare dessus la
mienne, déboutonne ma braguette, sort mon sexe et me branle doucement. Je ne sais plus où me mettre Tu viens souvent ? « Non
» Il se penche et prend mon sexe dans sa bouche chaude et me suce, sa langue tourne autour de mon gland, quand je vais
exploser, il se retire. Je me sens frustré. Il me propose de le suivre dans une autre salle. On descend des marches, il y a un couloir
avec des cabines à l’intérieur assis sur une chaise, un homme se branle, devant un homme qui le regarde en se branlant aussi.
Dans une autre cabine un type en suce un autre. Je ne peux m’empêcher de regarder ces bites qui se dressent fièrement.
Quelques-unes sont fermées. Le couloir fait un crochet se rétrécit et devient totalement obscur, je marche à tâtons. Un homme qui
se tient dans un recoin, me met la main aux fesses et s’esclaffe « beau cul » je me sens rougir. Mon compère me pousse dans
une sorte d’alcôve. Je le laisse déboutonner mon pantalon qui glisse sur mes cuisses. A ma grande satisfaction une bouche
engloutie ma queue, je bande. Une main prend fermement ma nuque m’oblige à me plier une bite effleure mes lèvres, le gland
appuie sur mes dents. « Une voix sèche me dit suce ! » Malgré mon dégoût je le prends dans ma bouche. La voie se fait autoritaire
« - c’est bien ! - ouii comme ça ! - suce la bien ! - continu ! » Une langue me lèche l’anus, je trouve cela agréable. Puis un doigt
s’enfonce dans mon anus, j’essaie de me redresser, fermement maintenu aux épaules part le type que je suce, je n’y parviens
pas. La surprise passée je me détends. La langue revient sur mon l’anus, c’est la première fois que je me fais lécher l’anus, et je
trouve ça délicieux. Entre deux coups de langue, le doigt s’enfonce une sorte de béatitude m’envahis. Une douce volupté s’empare
de moi. Je me concentre sur la bite que j’ai dans la bouche et la suce du mieux que je peux. La langue me titille de nouveau l’anus.
Je m’abandonne totalement. D’un coup je me fige ne bande plus, et pousse un cri étouffé par la bite que j’ai dans la bouche.
J’essaye de dégager la bite qui s’est figé pour la première fois dans mon cul. En me tortillant en ruant et grognant, je reste chevillé.
Maintenu solidement aux hanches, par petite poussées elle progresse dans mon étroit canal de toute sa longueur. Le pieu quitte
mon étroitesse, d’une brusque poussé m’embroche de plusieurs fois de suite. Je ne me débats plus. « Pense à la bite que tu as
dans la bouche » « Suce la bien ! » Malgré mon cul qui me fait mal. Je suce. La rondelle éclatée la douleur que me procure cette
bite qui me laboure le cul me fait bander. Une liqueur épaisse remplie ma bouche, que j’avale jusqu’à la dernière goutte. J’ai honte,
quand une autre bite frôle mes lèvres j’ouvre la bouche et la suce sachant que malgré mon dégoût je vais avaler sa liqueur.
Maintenant enculé à grands coups de butoirs une boule de feu irradie mes reins et se propage dans mon ventre je deviens
l’esclave de cette bite qui me brise douloureusement le cul. Cette souffrance déclenche en moi du plaisir pris de spasmes je jouis,
en même temps qu’un jet de sperme chaud et poisseux éclabousse mes fesses et ma raie. Je mets un certain temps à refaire
surface. Il n’y a plus personne autour de moi, mon cul ne me fait plus mal. J’essuie mes fesses avec un mouchoir, je ne peux
m’empêcher de toucher ma rondelle martyrisée. Elle est boursouflée, j’introduis un doigt rien pas de douleur Rassuré, et
déconcerté par cette mésaventure. Je remonte mon pantalon et quitte le ciné avec un légé goût de sperme dans la bouche et plein
d’interrogation dans la tête.
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