voyage 1
Récit érotique écrit par Kado [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2006 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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voyage 1
<p>Partie en voyage organisé dans les montagnes du Nord Pakistan, je me suis retrouvé avec deux couples, je suis le plus jeune (18 ans) et le seul célibataire du groupe.
Seul le soir, quand mes compagnons de voyage allaient se coucher, je restais à discuter avec Iles le guide qui m'explique les coutumes du pays, et aussi la difficulté de posséder une femme.
Après plusieurs jours de route magnifique nous avons fais halte dans un village de montagne qui cultive des abricotiers.
Said notre guide nous propose d'aller visiter des sources d'eau chaude le couples préfère rester se reposer.
A 6 heures je suis devant le 4*4 prés à partir. Après trois heures de route cahoteuse nous arrivons devant un petit canyon désertique. Rachid m’entraîne dans un sentier qui longe la paroi de la montagne jusqu'à l'entrée étroite d'une grotte.
Nous parcourons a la lumière d’une torche un labyrinthe de galeries pour arriver dans une grande salle ou une fissure au plafond laisse entrer un rai lumière légèrement bleutée qui se reflète dans de grandes vasques de calcaire remplies d'eau fumante, c'est magnifique.
Je me mets en tenue pour me baigner, et saute d'une vasque a l'autre, et m'allonge dans la plus chaude.
J'entrevois Rachid qui tourne en rond, je luis demande de me rejoindre, un large sourire éclaire son visage. En quelque seconde il est nu, un long sexe pend entre ces cuisses, j'ai du mal à détacher mon regard de ce sexe. Il le prend dans sa main, qui glisse sur sa hampe le secoue, je me sens rougir et détourne les yeux.
Il vient s'allonger contre moi, prend ma main et la pose sur son sexe, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe, surpris je la retire prestement. Il la saisit et la repose sur sa queue d'un geste ferme. Je me redresse, j'enjambe la margelle de calcaire, je ne sais quelle galerie prendre pour fuir, j’en prends une au hasard, après quelques mètres il fait tellement sombre que je suis obligé de m’arrêter je me sens pris au piège.
Je me retourne, il est là, devant moi furieux, le sexe tendu, il s'approche de moi. D'un geste vif, il déchire mon slip et jette au loin.
Tu me fais monter dans ta chambre ! Tu me demandes de te rejoindre ! Tu fixes ma queue, et après tu te sauves.
Il me gifle violemment, et me pousse violemment en travers d'un monticule de calcaire, le contacte de la pierre lisse et froide sur mon ventre me fait frissonner. Ces mains appuient sur mes fesses, les écartent.
Ca tige dure et brûlante monte et descend dans ma raie.
Affolé, je rue. Je lui demande d’arrêter. De me lâcher.
Un fer rouge envahis mes reins, j’ai le souffle coupé, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.
J'essaie d'échapper à cette tige d’acier qui déchire, ma rondelle.
J’hurle. Arrête ! Arrête ! Arrête ! Je n’ai jamais fait ça
Ces mains agrippent mes hanches, par petites bourrades, il enfonce non étroitesse.
En affirmant ! Détend toi ! Et ça ira tout seul !
D'une brusque poussée, il enfonce son tison au fond de mes reins.
J’hurle comme une bête, Pas ça ! J’ai l’impression de m'ouvrir en deux.
De grosses larmes roulent sur mes joues
Je lui cris Arrête ! Tu va trop profond !
Je ne pense qu’a cette tige chauffée au rouge, plongée dans mes reins.
Sans s’occuper de mes plaintes.
Doucement il commence à aller et venir, à chaque aller retour, je ne peu m’empêcher de pousser des HHHHOOOOOOO ! HHHHAAAAAAAA !
Pour son plus grand plaisir.
Il proclamait, c’est bon ! Tu la sens bien !
Ses mains appuient sur le bas de mon dos m'obligeant à me cabrer, il quitte mon rectum, et d’un coup s’enfonce jusqu aux couilles.
Brisé, dominé, je le laisse me sodomise de toute sa longueur, me fesant pousser de longues plaintes. Apres de longues minutes de se traitement, mon rectum n’offre plus de résistance, son pieu coulisse de toute sa longueur, je n’ai plus la force de me lamenter.
Une douce chaleur envahie mes reins, descend dans mes couilles, le plaisir me secoué de spasmes je joui, avec violence mon anus se rétracte sur son pieu.
Je suis Effaré, complètement anéantit. Je l’entends clamer ça te plais ! Je me doutais que tu aimerais te faire enculer ! Tu as un si beau cul.
Il retire ça queue de mes reins, la fait coulisser entre mes fesses, il grogne ça liqueur brûlante se repend sur mon dos me fesant jouir. Sans un mot il m’entraîne dans la salle ou son nos effets, il lave ça queue, désappointé je le regarde faire.
Il se retourne vers moi.
Va te laver le cul ! Et viens me sucer ! Comme je ne bouge pas donner il me donne un claque sur les fesses. Je saute dans une vasque d’eau tiède qui fait le plus grand bien a ma rondelle, qui a déjà tout oubliée de se mauvais traitement
Il attend que j’ai finis, me voyant hésiter a sortir, il sourit, s’approche de la vasque d’une main il prend ma nuque fermement et de l’autre ça queue qu’il porte a mes lèvres. J’ai des hauts de cœurs son gland appuie sur mes lèvres, écrasé mes dents. Ouvre ! et suce !
Malgré ma répugnance, j’ouvre la bouche son gland envahie ma gorge.
Passe ta langue sur le gland et branle moi avec ta main. Tu suces comme un con ! Applique toi ! Il prend ma tête entre ces mains, il se serre de ma bouche comme il s’est servit de mon cul. Il ne tard pas a jouir et me force à tout avaler.
Tu as mal au cul ? un peu- Viens je vais te passer un baume à base d’opium, met toi à quatre pattes et écartent tes fesses avec tes mains que je vois bien ton petit trou.
Il enduit ma rondelle de baume me la masse doucement, la caresse est tres agréable, il introduit son index joue avec l’élasticité de ma rondelle avec son pouce ça me fais bander.
Ca te plait de faire titiller la rondelle ? Tu gueule plus, au secoure !
Au secoure ! Au secoure !
Mortifié ne pouvant cacher ma bite toute raide je bredouille.
Met toi a quatre pattes pour que je t’encule. Docile je prend la pose, Je sens son gland dur pousse sur ma rondelle qui s’ouvre,il me sodomise longuement avec méthode me faisant jouir plusieurs fois et se répand sur mes reins.
Quand nous remontons à la surface le chauffeur est en colère, il trouve que nous somme resté trop longtemps dans deux heure il va faire nuit et que s’et dangereux de conduire.Rachid lui parle en arabe, plaque ça main sur mes fesses et introduis son index dans ma raie. Rachid note à l’arrière.
Le chauffeur me sourit ouvre ma porte et au passage enfonce son index juste sur ma rondelle me fesant pousser un petit cris de surprise.
Nous n’avons pas fait dix kilomètres que le chauffeur me prend la main et la pose sur son burnous je sens son sexe dur et chaud. Il le dégage, il est nettement moins long, mais plus épais que celui de Rachid, il me fait signe de le sucer je ne bouge pas bien décider a ne pas me laissé faire.Il m’attrape pas les cheveux d’une main et pose mes lèvres sur sa bite, je serre les dents, il tire sur mes cheveux fermement jusqu’a ce que j’engloutisse ça bite, a chaque bosse sa bite s’enfonçait au font de ma gorge. Une bosse plus grosse que les autre nous fit faire un écart il lâcha mes cheveux je profitais pour me redresser. Rachid me dit c’est un ami, je lui répond que je n’aime pas sucer ça m’écœure. Lui aussi na pas de femme.
Le sexe toujours raide le chauffeur se gare sur le bas coté de la piste descend et ouvre ma portière noue son burnous ne laissant aucun doute sur ces intentions, il me pousse le dos sur la longueur de la banquette j’essais de résister il agrippe mon pantalon, un peu aidé par Rachid il parvient le déboutonner et a le tirer a mi cuisse mon slip étant resté j’ai les fesses et le sexe a l’air.
Le dos bien callé contre le siège je me sens en sécurité, je suis surpris quand le chauffeur tire mes jambes les relèvent les poses sur ces épaules et que son gland écrase ma rondelle sa me fais bander, il me sodomise et me branle en même temps je ne tarde pas a jouir, pendant qu’il m’asperge le visage de ça liqueur.
Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que Rachid me retourne et me sodomise allant au plus profond de moi son gland bouscule le fond de mes reins.
Le chauffeur profite de la situation pour enfoncer et faire aller et venir ça bite dans ma bouche je sens sur ma langue une liqueur acre envahie ma bouche le gland se gonfle et s’enfonce au fon de gorge me forçant a tout avaler.
La bouche pleine de se goût acre, les lèvres écartelées, les profondeurs de mon rectum martelé par cette long queue je joui une nouvel fois.
Je suis au bord de l’évanouissement quand Rachid me fais pivoté et enfonce ça queue on fond de ma bouche passe ma huette et que son gland décharge sa semence et me force a déglutir jusqu'à la dernière goûte.
Nous somme rentrés tres tard dans la nuit.
Le voyage ne viens que de commencer cela est une autre histoire.
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Seul le soir, quand mes compagnons de voyage allaient se coucher, je restais à discuter avec Iles le guide qui m'explique les coutumes du pays, et aussi la difficulté de posséder une femme.
Après plusieurs jours de route magnifique nous avons fais halte dans un village de montagne qui cultive des abricotiers.
Said notre guide nous propose d'aller visiter des sources d'eau chaude le couples préfère rester se reposer.
A 6 heures je suis devant le 4*4 prés à partir. Après trois heures de route cahoteuse nous arrivons devant un petit canyon désertique. Rachid m’entraîne dans un sentier qui longe la paroi de la montagne jusqu'à l'entrée étroite d'une grotte.
Nous parcourons a la lumière d’une torche un labyrinthe de galeries pour arriver dans une grande salle ou une fissure au plafond laisse entrer un rai lumière légèrement bleutée qui se reflète dans de grandes vasques de calcaire remplies d'eau fumante, c'est magnifique.
Je me mets en tenue pour me baigner, et saute d'une vasque a l'autre, et m'allonge dans la plus chaude.
J'entrevois Rachid qui tourne en rond, je luis demande de me rejoindre, un large sourire éclaire son visage. En quelque seconde il est nu, un long sexe pend entre ces cuisses, j'ai du mal à détacher mon regard de ce sexe. Il le prend dans sa main, qui glisse sur sa hampe le secoue, je me sens rougir et détourne les yeux.
Il vient s'allonger contre moi, prend ma main et la pose sur son sexe, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe, surpris je la retire prestement. Il la saisit et la repose sur sa queue d'un geste ferme. Je me redresse, j'enjambe la margelle de calcaire, je ne sais quelle galerie prendre pour fuir, j’en prends une au hasard, après quelques mètres il fait tellement sombre que je suis obligé de m’arrêter je me sens pris au piège.
Je me retourne, il est là, devant moi furieux, le sexe tendu, il s'approche de moi. D'un geste vif, il déchire mon slip et jette au loin.
Tu me fais monter dans ta chambre ! Tu me demandes de te rejoindre ! Tu fixes ma queue, et après tu te sauves.
Il me gifle violemment, et me pousse violemment en travers d'un monticule de calcaire, le contacte de la pierre lisse et froide sur mon ventre me fait frissonner. Ces mains appuient sur mes fesses, les écartent.
Ca tige dure et brûlante monte et descend dans ma raie.
Affolé, je rue. Je lui demande d’arrêter. De me lâcher.
Un fer rouge envahis mes reins, j’ai le souffle coupé, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.
J'essaie d'échapper à cette tige d’acier qui déchire, ma rondelle.
J’hurle. Arrête ! Arrête ! Arrête ! Je n’ai jamais fait ça
Ces mains agrippent mes hanches, par petites bourrades, il enfonce non étroitesse.
En affirmant ! Détend toi ! Et ça ira tout seul !
D'une brusque poussée, il enfonce son tison au fond de mes reins.
J’hurle comme une bête, Pas ça ! J’ai l’impression de m'ouvrir en deux.
De grosses larmes roulent sur mes joues
Je lui cris Arrête ! Tu va trop profond !
Je ne pense qu’a cette tige chauffée au rouge, plongée dans mes reins.
Sans s’occuper de mes plaintes.
Doucement il commence à aller et venir, à chaque aller retour, je ne peu m’empêcher de pousser des HHHHOOOOOOO ! HHHHAAAAAAAA !
Pour son plus grand plaisir.
Il proclamait, c’est bon ! Tu la sens bien !
Ses mains appuient sur le bas de mon dos m'obligeant à me cabrer, il quitte mon rectum, et d’un coup s’enfonce jusqu aux couilles.
Brisé, dominé, je le laisse me sodomise de toute sa longueur, me fesant pousser de longues plaintes. Apres de longues minutes de se traitement, mon rectum n’offre plus de résistance, son pieu coulisse de toute sa longueur, je n’ai plus la force de me lamenter.
Une douce chaleur envahie mes reins, descend dans mes couilles, le plaisir me secoué de spasmes je joui, avec violence mon anus se rétracte sur son pieu.
Je suis Effaré, complètement anéantit. Je l’entends clamer ça te plais ! Je me doutais que tu aimerais te faire enculer ! Tu as un si beau cul.
Il retire ça queue de mes reins, la fait coulisser entre mes fesses, il grogne ça liqueur brûlante se repend sur mon dos me fesant jouir. Sans un mot il m’entraîne dans la salle ou son nos effets, il lave ça queue, désappointé je le regarde faire.
Il se retourne vers moi.
Va te laver le cul ! Et viens me sucer ! Comme je ne bouge pas donner il me donne un claque sur les fesses. Je saute dans une vasque d’eau tiède qui fait le plus grand bien a ma rondelle, qui a déjà tout oubliée de se mauvais traitement
Il attend que j’ai finis, me voyant hésiter a sortir, il sourit, s’approche de la vasque d’une main il prend ma nuque fermement et de l’autre ça queue qu’il porte a mes lèvres. J’ai des hauts de cœurs son gland appuie sur mes lèvres, écrasé mes dents. Ouvre ! et suce !
Malgré ma répugnance, j’ouvre la bouche son gland envahie ma gorge.
Passe ta langue sur le gland et branle moi avec ta main. Tu suces comme un con ! Applique toi ! Il prend ma tête entre ces mains, il se serre de ma bouche comme il s’est servit de mon cul. Il ne tard pas a jouir et me force à tout avaler.
Tu as mal au cul ? un peu- Viens je vais te passer un baume à base d’opium, met toi à quatre pattes et écartent tes fesses avec tes mains que je vois bien ton petit trou.
Il enduit ma rondelle de baume me la masse doucement, la caresse est tres agréable, il introduit son index joue avec l’élasticité de ma rondelle avec son pouce ça me fais bander.
Ca te plait de faire titiller la rondelle ? Tu gueule plus, au secoure !
Au secoure ! Au secoure !
Mortifié ne pouvant cacher ma bite toute raide je bredouille.
Met toi a quatre pattes pour que je t’encule. Docile je prend la pose, Je sens son gland dur pousse sur ma rondelle qui s’ouvre,il me sodomise longuement avec méthode me faisant jouir plusieurs fois et se répand sur mes reins.
Quand nous remontons à la surface le chauffeur est en colère, il trouve que nous somme resté trop longtemps dans deux heure il va faire nuit et que s’et dangereux de conduire.Rachid lui parle en arabe, plaque ça main sur mes fesses et introduis son index dans ma raie. Rachid note à l’arrière.
Le chauffeur me sourit ouvre ma porte et au passage enfonce son index juste sur ma rondelle me fesant pousser un petit cris de surprise.
Nous n’avons pas fait dix kilomètres que le chauffeur me prend la main et la pose sur son burnous je sens son sexe dur et chaud. Il le dégage, il est nettement moins long, mais plus épais que celui de Rachid, il me fait signe de le sucer je ne bouge pas bien décider a ne pas me laissé faire.Il m’attrape pas les cheveux d’une main et pose mes lèvres sur sa bite, je serre les dents, il tire sur mes cheveux fermement jusqu’a ce que j’engloutisse ça bite, a chaque bosse sa bite s’enfonçait au font de ma gorge. Une bosse plus grosse que les autre nous fit faire un écart il lâcha mes cheveux je profitais pour me redresser. Rachid me dit c’est un ami, je lui répond que je n’aime pas sucer ça m’écœure. Lui aussi na pas de femme.
Le sexe toujours raide le chauffeur se gare sur le bas coté de la piste descend et ouvre ma portière noue son burnous ne laissant aucun doute sur ces intentions, il me pousse le dos sur la longueur de la banquette j’essais de résister il agrippe mon pantalon, un peu aidé par Rachid il parvient le déboutonner et a le tirer a mi cuisse mon slip étant resté j’ai les fesses et le sexe a l’air.
Le dos bien callé contre le siège je me sens en sécurité, je suis surpris quand le chauffeur tire mes jambes les relèvent les poses sur ces épaules et que son gland écrase ma rondelle sa me fais bander, il me sodomise et me branle en même temps je ne tarde pas a jouir, pendant qu’il m’asperge le visage de ça liqueur.
Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que Rachid me retourne et me sodomise allant au plus profond de moi son gland bouscule le fond de mes reins.
Le chauffeur profite de la situation pour enfoncer et faire aller et venir ça bite dans ma bouche je sens sur ma langue une liqueur acre envahie ma bouche le gland se gonfle et s’enfonce au fon de gorge me forçant a tout avaler.
La bouche pleine de se goût acre, les lèvres écartelées, les profondeurs de mon rectum martelé par cette long queue je joui une nouvel fois.
Je suis au bord de l’évanouissement quand Rachid me fais pivoté et enfonce ça queue on fond de ma bouche passe ma huette et que son gland décharge sa semence et me force a déglutir jusqu'à la dernière goûte.
Nous somme rentrés tres tard dans la nuit.
Le voyage ne viens que de commencer cela est une autre histoire.
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