Premiers essais - histoire érotique

Je rentre pour le diner. Sur le chemin, je laisse vagabonder mes idées...

Voilà déjà une semaine passée sans que le sujet ait été abordé une seule fois.
Nuent sous la couette, dans les bras l'un de l'autre, nous avons parlé de tout et de rien, et fini par dévier sur fantasmes et jeux sexuels que nous aimerions essayer.
Je ne pensais pas qu'elle avait tout ca en tête. Elle non plus sans doute d'ailleurs.
Elle à beaucoup plus de fantasmes que ce que je ne croyais.
Comme c'est un sujet nouveau pour nous, et qu'elle semble avoir envie d'essayer mais n'est pas sur d'être prête, nous avons mis un code en place. Quand elle se sentira de se prêter à ces jeux, elle n’aura qu'a dire "qu'elle est en manque."
Il n'est pas tard.
Nous préparons le diner ensemble, rien d'exceptionnel, juste des plats micros onde et les d'une charlotte aux fraises pour le dessert.

On parle de chose et d'autre, boulot, famille, télé.

Elle me raconte sa journée, qu'elle bosse beaucoup, qu'elle manque de moyen, de temps.
Elle à manqué une livraison à cause de la neige.
Je réalise quelle place le mot "manque" dés quelle le peut.
Mais je ne sais pas si c'est un message, si elle ma taquine, ou si c'est juste un hasard et que c'est moi qui me fais des idées.

On passe finalement au dessert, je lui sers une première part quelle dévore littéralement.
Elle me dit alors quelle en veux une deuxième car elle est en manque.

Ca devient trop évident, je décide de répondre comme convenu.
- Tu en auras une que si tu es sage.
- Bien Mon Amour.
Là, ca fait tilt. On voulait autre chose que simplement "maitre', ca ne nous ressemble pas.
Vu que c'est elle qui doit le dire, on avait convenu quelle choisissait ce quelle voulait, sans me le dire, et que j'avais à relever le détail..
Elle ne ma jamais appelé Mon Amour avant. Et la façon dont elle le dit ne laisse aucun doute sur ses intentions et le reste de la soirée.

Je continu à faire comme si de rien n'étais.

Les idées s'emballent dans ma tête. En parler était facile, mais maintenant que je suis dans la situation, je me sens bloqué.
Je lui sers sa deuxième part. Elle répond docilement - Merci Mon Amour.
Je vois un léger sourire sur le coin de ses lèvres. Je suis sur d'avoir le même.
Elle à eu le courage de lancer le jeu, je me dois donc de la suivre.
Le repas terminé, la table débarrassée, nous allons dans le salon.
Ni une ni deux, je lui donne mon premier ordre.

- Déshabille-moi.

- Oui Mon Amour.

Je rajoute rapidement
- Sensuellement !

Elle s'approche de moi, un regard coquin, et commence alors à me dévêtir.
De nature très timide, elle joue le jeu avec beaucoup d'effort. Elle joue de ses hanches pour baisser mon pantalon, le fait passer par mes jambes en frottant sa poitrine contre moi.
En boxer, je la laisse tranquillement continuer son office. Elle défait les boutons de ma chemise, lentement. Juste ce qu'il faut pour que je puisse la contempler sans pour autant trouver le temps long.
Je suis en sous vêtement au centre de la pièce, un amas d'affaires éparpillées un peu partout.
Ma femme est à mes pieds, soumise pour la première fois à mes ordres, désirs et envie.
Je la déshabille à min tour, et la laisse juste en sous-vêtements.
Assis dans mon fauteuil, je la fait assoir prêt de moi, de sorte à avoir ses fesses à porter de main. Je lui caresse doucement et longuement sa croupe, son bassin, ses hanches.
Elle est installée dans son propre fauteuil de la façon la plus à l'aise quelle aime.
Je l'entends gémir doucement sous mes caresses.
Mais au lieu de tendresse, je vois dans ses yeux que ca l'excite plus qu'autre chose. Elle doit voir la même chose dans les miens, car elle devient entreprenante et coquine.
Elle joue de ses mèches, de son sourire, de son regard.. de ses atouts féminins qu'elle dénigre pourtant si souvent.
L'occasion est trop belle pour la rater. Je peux lui demander de faire, de me faire, tout ce que je veux.
C'étais en effet les contraintes qu'on s'était donné : pas de limite à partir du moment où au moins l'un des deux y prend du plaisir.

Ce n'est plus de tendresse que nous voulons. Je me lève d'un bon, et lui ordonne d'aller chercher ma ceinture. Elle se lève docilement et va la chercher. Je hausse alors le ton de la voix - vas-y à 4 pattes, je veux voir ton petit cul bouger au fil de tes pas.
Elle me regarde, le rouge aux joues, mais s'exécute. Elle se met à 4 pattes sur le sol, et se dirige vers la chambre. Je la regarde tout le long du trajet : son cul à l'aller, puis sa poitrine balloter d'une cote et de l'autre au retour.

J'ouvre la main sans mot dire, elle dépose la ceinture par terre, et pose sa tête cotre ma main.
Sans prévenir, je lui mets une gifle, pas spécialement forte, mais bien sentie. La surprise la fait crier.

- Chut ! Je ne veux rien entendre !

Toujours sans un mot, je tape sur ma cuisse comme je le ferais à un chien. Elle ne semble pas comprendre, et se frotte contre ma jambe.
Je me baisse à son niveau et lui met une seconde gifle. Elle pousse un aie, ses yeux s'humidifient par reflexe, mais ils transpirent de désir, de fantasme.
En me redressant, encore plus sévèrement, je tape à nouveau sur ma cuisse. Elle semble cette fois avoir compris ma demande et reprend la ceinture qu'elle à déposée au sol et la dépose dans ma main.

- Tu va apprendre à obéir quand je te donne un ordre !

Debout !

Elle se lève rapidement.
Je glisse ma main entre ses cuisses. Sa culotte est littéralement imbibée de mouille. Je lui enlève et la roule en boule. J'enfonce la zone souillée dans sa bouche, en guise de bâillon.
Je vois de l'excitation dans son regard, mais aussi un peu de frayeur de ne pas savoir ou je vais en venir.
Je lui interdis de bouger.
Face à elle, sa culotte pleine de mouille dans la bouche, je lui assène quelque gifle supplémentaire, tout en lui frottant le sexe. Aucune ne la fait souffrir.
Je passe mes mains sous son soutien gorge pour masser ses seins, les étreindre.
Je les faits tous deux sortir de leur emplacement, et commence à les gifler à leur tour.
Du plat de la main pour commencer. J'assène la première gifle avec vivacité et efficacité pour qu'elle claque bien. Les autres sont plus rapides.
Je la mets à genou sur le canapé, les bras en arrière. Sa poitrine ainsi mise en avant, est offert à mes gifles. Une main pour chaque sein.
Je lui claque le gauche de ma main gauche, puis le droit de l'autre main.
Je la claque, encore et encore. Je vise alternativement ses tétons, le dessous des seins, le dessus. Ils commencent rapidement à rougir.

Je la force à se remettre à 4 pattes, j'appui fortement sur ses épaules pour que son opulente poitrine touche le sol, en gardant le bassin en l'air.
Avec cette position, j'ai un accès direct à ses trous.
Je plonge ma langue le long de ses lèvres. Elle est trempée.
Je sens sa mouille visqueuse du bout de ma langue. Je lubrifie mes doigts avec son jus et commence à les insérer dans ses trous.
Je mets directement 2 doigts dans son sexe. Un dans son anus. Ils rentrent facilement et profondément.
Je mets un genou à terre pour avoir plus d'appui et la pénètre comme ca, de mes doigts. Je l'entends gémir sous mes assauts.

Je me retire complètement, mais lui interdit de bouger. Je la laisse un temps comme ca, comme offerte au premier venu. Qui conque rentrerais maintenant dans la maison la verrai en position totalement soumise.

Je reviens vers elle, et la relève en la prenant par les cheveux. Je lui attache un long foulard que je pose sur ses yeux. Je fais plusieurs tours du tissu doux et soyeux.

Je lui fais faire quelque pas dans cette position, à 4 pattes, la tête relevé.
Et l'emmène en plein milieu du couloir.
La, je lui lâche la tête, lui enlève sa culotte de bâillon, son soutien gorge.
J'utilise ce dernier pour lui attacher les mains dans le dos.
Au lieu de rependre la marche vers la chambre, je me retourne vers son visage et lui présente mon sexe. Je sais qu'elle adore me sucer.

Je la laisse sen saisir : ses mains attachées dans le dos, les yeux bandés, elle n'a que sa langue pour la guider.
Elle trouve ma queue rapidement.

- Suce-moi maintenant.


Elle commence par embrasser mon gland, d'abord du bout des lèvres, puis a pleine bouche.
Elle se retrouve rapidement avec la bouche pleine de ma queue.
Mais je ne la laisse pas me faire jouir. Je l'interromps brutalement en lui tirant les cheveux vers l'arrière. Je vois sa langue bouger dans l'air alors qu'elle cherche encore mon sexe.
Après une petite pause, je prends fermement sa tête entre mains pour l'empêcher de bouger et recommence à me masturber avec sa bouche.

Je la force à se mettre à genou, les mains toujours attachées dans le dos.
Je lui fais ouvrir la mâchoire avec mes mains pour glisser entre ses lèvres ma queue en érection.
Je dépasse ses lèvres. Je sens sa langue qui titille le bout de mon gland.
Elle commence à faire des mouvements de succion, mais je me retire d'un coup. Je sens que ca la frustre. Mais elle ne dit rien.
Je recommence mon insertion, cette fois en allant plus loin. Elle ferme un peu sa bouche, sans doute pour mieux sentir mon sexe, mais lui refuse à nouveau ce plaisir et me retire à nouveau d'un coup. Je l'entends grogner cette fois.
Je la laisse patienter plus longtemps cette fois, la bouche grande ouverte avant de replonger mon sexe dedans.

On reprend la direction de la chambre. J'enlève son entrave de soutien gorge.
Je la laisse aller seul, toujours les yeux bandé et à 4 patte. Avec pour seul consigne d'y aller sans erreur.
Le chemin est un peu compliqué dans le noir.
Elle se trompe d'abord de direction, puis de porte.
Je ponctue chaque erreur de direction par un coup de la ceinture qu'elle m'a apporté. Fesse gauche pour tourner à gauche, fesse droite pour tourner à droite.
Jai pris un malin plaisir à lui faire faire demi tour.
Ces coups de ceinture claquent comme des fouets, mais ne sont pas fait pour faire mal.

On arrive enfin à la chambre. Je la saisie fermement par les bras, bien décidé à la punir pour ses erreurs.
Je m'équipe d'une corde et m'en vais l'attacher.
Je sais déjà ce que je vais faire d'elle, je sais donc comment m'y prendre..
J'enlève drap, couverture et même le matelas. Ne reste que le cadran du lit, et les supports baldaquin.
On utilise ces supports pour suspendre une moustiquaire l'été, ils sont solides.
Je fais passer une première corde par l'anneau central alors qu'elle reste docilement à mes côté.
J'enroule une extrémité de la corde à ses poignets, fait plusieurs tours. Je vois à son visage que je sers fort.
Je tire sur l'autre extrémité pour hisser haut ses bras.
Pas trop non plus, juste que ses pieds repose sur le sol et quelle ai la poitrine et les aisselles tendues.

J'accroche la corde au pied du lit.

Je la fait passer autour de sa cheville gauche, laisse volontairement un peu de mou et entours sa cheville droite.
J'accroche l'autre bout de la corde à l'autre pied du lit.
Je la laisse un instant comme ca, nue, attachée en plein milieu du sommier et aux pieds du lit. Je me rends tranquillement à la cuisine.
En revenant, je prends plaisir à voir dans ses yeux de la stupéfaction en voyant que je suis allé chercher le manche à balais.
Je me demande bien ce quelle imagine...
J'enjambe le cadre de lit. Je la sens trembler quand je prends le bâton d'une main et sa cheville de l'autre.
J'ai bien calculé mon coup, le trop de corde entre ses jambe est pile ce qu'il faut.
J'accroche le manche à sa cheville gauche et la force à écarter les jambes. Encore plus.
Voila, j’accroche le manche à sa seconde cheville. Elle a les jambes écartées d'un bon mètre, sans possibilité de les refermer.
Je lève la tête pour voir son sexe ouvert.
Jouissif : je distingue sa mouille dégouliner de ses grandes lèvres.

Elle est complètement à ma merci, prête à subir le moindre de mes fantasmes, mes assauts.
Sa poitrine rebondi au moindre de ses soubresaut, que ce soit suite aux claques sur les fesses ou sur le ventre, elle ne peut que se contorsionner pour essayer de m'échapper.

Je récupère le coffret qu'elle m'a offert un noël.
Les pincettes sont encore neuves. Je fais le plus de bruit possible en les déballant, pour qu'elle s’imagine ce que je suis en train de faire.
Je me rapproche d'elle, et caresse doucement ses aréoles pour faire sortit ses tétons. Elle ne met guère de temps à répondre à mes caresses. Je vois ses tétons se dresser littéralement.
Je prends alors la pincette, l'ouvre et la positionne pour que les mâchoires entoure le téton.
Je relâche alors doucement les manches. Les mâchoires mordent doucement la chair de ses seins.
Elle réagit immédiatement : d'abord un geste de recul vis-à-vis du froid du métal, et ensuite un signe de douleur.
La pincette laisse dépasser un bout du téton, je prends un malin plaisir à lui titiller. L'accumulation de sang accentue les sensations. Elle se cambre littéralement à ce simple contact.
Je positionne la seconde pince avec la même attention.
Elle doit certainement sentir le poids des 2 pinces au bout de ses seins. Mais je ne m'arrête pas la.
Je relis les 2 pincettes entre elle par une chaînette. Elle apporte son propre poids, je l’entends gémir à cette charge supplémentaire.
Je m'assure du maintien du montage en faisant vibrer la chaine. Nouvelles sensations électrisantes pour elle, nouveaux gémissements.

Je prends le god spécial, et l'insert dans son sexe.
J'accroche la chainette du god à la chainette des seins.
Elle se cambre pour donner du mou à la chaine.
A chaque claque sur les fesses, elle se redresse, ce qui à pour effet de lui électriser les seins.

- Garde-le en toi.

Les jambes écartées, humide comme jamais, le god sort tout seul. Elle doit user de ses muscles du vagin pour le garder.
Je lui claque les fesses, les seins.
Elle ne tient pas, elle se relâche, ce qui fait éjecter le god. Le poids de celui-ci sur la chaine lui fait arracher un cri.
- Tu n’as pas pu le garder par ce trou, on va essayer autre chose.

Je reprends le god, le fait passer entre ses cuisses. Je longe ses lèvres du god pour bien le lubrifier. Ce sera utile.
Je remonte avec la pointe de cet objet jusqu'a son clitoris, .redescend jusqu'au vestibule de son vagin sans y pénétrer et poursuis jusqu'a son anus.
Elle na pas arrête de gémir durant ces longues caresses. Est ce de plaisir ou bien d'excitation à l'idée de ce qui va suivre.

Je sais que c'est une chose nouvelle pour elle, personne n'a encore jamais visité son trou. Mais on en avait évoqué l'idée. J'y vais donc doucement.
Je me place derrière elle, à genou pour avoir son cul juste en face de moi.
Je commence par lui enfoncer mes doigts, un par un mais à ma grande surprise, son anus accepte cette insertion facilement.


Je passe au god pour l'insérer dans son anus.

Il rentre plus difficilement, mais à force de lubrifiant et de tentatives, l'objet commence à rentrer dans son cul.
Ses jambes bien écartées par le balais et son dos cambré m'excite à poursuivre.

Je l’entends pousser un brusque gémissement quand le god force son sphincter, mais pas de rejet.

Je lui insert donc le god dans le cul.
Je l’entends gémir comme jamais alors que je l'enfonce de plus en plus et de plus en plus vite.
Je ne la laisse pas respirer, pas même quand je commence à la sentir proche d'un orgasme anal.
Alors qu'elle commence à trembler de son bas ventre, j’interromps brusquement mes gestes et lui plonge ma queue dans le cul.
Elle jouie intensément.
Je la libère de ses entraves et l'embrasse à pleine bouche en prenant soin de ne toucher aucune de ses parties intime, ce qui pourrait la faire souffrir.
Elle s’agenouille devant moi, et me prend le sexe en main.
Elle ne veut pas arrêter la.
Elle ne bouge pas, accepte mon sexe dans sa bouche sans bouger. Je me masturbe alors littéralement dans sa bouche. Utilise son palais, ses joues, sa langue comme point d'appui.
Plus ca dure, plus j'enfonce mon sexe loin. Je sens le bout de sont nez cogner contre mon ventre.
Avant de jouir, je sors une dernière fois de sa cavité buccale, et lui annonce que je vais jouir dans sa bouche ; que dés qu'elle sentira mon sperme, elle devra refermer ses lèvres et continuer à me masturber. Ensuite, je la regarderai avaler tout ce je j'y aurai mis.

Sans lui laisser le temps de répondre, je me redresse et enfourne mon sexe.
Elle reste fixe. Après quelques coups supplémentaires, je sens que je vais jouir. Je prends sa tête plus fors entre mes mains et accélère encore mes entrées sorties.
Le résultat est immédiat.
Je joui à mon tour avec plaisir, force et bestialité dans sa bouche.
Je sens ses lèvres se refermer sur mon pénis, assez fortement. Ca doit-être sa langue qui fouille ainsi mon gland si sensible à ce moment la.
Elle me suce, vigoureusement, efficacement.
Quand je sens ma queue perdre de sa vigueur, je sors une dernière fois de sa bouche et me met face à elle...
Je ne dis rien. Elle ouvre grand la bouche, je vois mon sperme mélanger à sa salive, étaler sur sa langue.
Elle comme à se préparer à avaler, je sais que ça aussi c'est une première pour elle.
Pour la stimuler, je glisse ma main entre ses jambes, mais elle me la retient violemment. Je reconnais ce geste, son clito et tout son sexe sur sensible, car elle vient de jouir, sans doute pendant la fellation. Je force ma main à atteindre son sexe et lui frotte la vulve. Je vois à ses tremblement que ca lui électrise tous le corps.
Je la vois fermer les yeux et avaler tout le contenu de sa bouche A plusieurs reprises, elle reprend sa respiration pour avaler une nouvelle fois sa salive et le reste.