Une soirée pour un pardon
Récit érotique écrit par Odeus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une soirée pour un pardon
18h15, heure de pointe.
Comme tout le monde, je traverse rapidement les couloirs du métro pour prendre ma correspondance ; une vraie ruche en ébullition.
Au détour d'un accès en général peu fréquenté, je bouscule par mégarde une jeune femme et lui fait renverser son sac qui tombe au sol.
Décidément, cette journée...
Lunettes, porte-monnaie, maquillage, sacoche en tout genre se rependent sur le sol.
Je commence à me baisser pour l'aider à les ramasser quand je vois au milieu de ses affaires une paire de menottes sexy, un gode, un bandeau.
Je ne suis pas choqué par ces accessoires, mais plutôt surpris et gêné d'en voir en plein métro et en pleine semaine.
- Hey, vous pourriez faire attention ! me crie-t-elle.
- Ben vous aussi, je lui réponds de mauvaise foi et du tac-au-tac.
A ce que je sache, il faut être 2 pour se rentrer dedans.
Réalisant l'énormité de ce que je viens de lui dire, je me relève précipitamment, jette les quelques affaires que j'avais commencé à ramasser dans son sac, bredouille quelques excuses et va rapidement prendre mon train.
Je ne lui laisse bien sûr pas le temps de répondre.
Je ne me retourne pas une seule fois sur elle.
La bousculade ma fait rater mon train. Le prochain est dans 15 minutes.
Je peste un peu contre elle alors que c'est de ma faute (c'est quand même moi qui l'ai bousculé) et passe à autre chose.
Je prends mon livre en prévoyance de l'heure qui arrive : 15 minutes d'attente puis ensuite 45 minutes de trajet.
Le train arrive, je trouve facilement une place ; il se vide peu à peu au fil des stations.
Arrivé à ma gare, il ne reste plus que 3 personnes qui descendent : mon voisin, une femme que je n'ai jamais vus et moi-même.
Cette nana n'est sans doute pas d'ici d'ailleurs : elle suit les panneaux "sortis" alors qu'ils ne mènent nulle part. Quiconque est déjà venu au moins une fois le sais.
Je m’amuse un peu d'elle en toute innocence et part de mon côté sans la prévenir de son erreur de chemin.
Je prends mes raccourcis habituels qui me permettent d'être chez moi en 5 minutes.
Arrivé à la maison, je retrouve ma copine. Elle est arrivée par le train d'avant et me dit qu'elle veut préparer le diner toute seule mais qu'elle n’est pas encore prête.
Je cède volontiers et va à mon atelier. J’y fais rangement, nettoyage en tout genre. J’ai l’impression d’entendre du bruit à l’étage, mais n’y prête pas plus attention.
Un peu plus tard, je l’entends me chercher.
Elle a préparé un impressionnant diner. Pas spécialement romantique, mais plutôt festif. L'effluve d'un parfum sucré qui m'est inconnu et les odeurs du buffet chaud se mélangent agréablement.
Je lui demande ce qui se passe, en essayant tant que faire se peut de rester cordial. En effet, je ne lui ai toujours pas pardonnée d'avoir dit à sa meilleure amie quelle s'ennuyait sexuellement au lieu de me le dire directement ; et ça fait plusieurs jours que je m’adresse mal à elle.
- En quel honneur ce dîné ?
- Et bien... je sais que j’ai merdée avec Manuella. Je n’aurai jamais dû lui parler de ça. Ce diner, c’est pour me faire pardonner. Enfin, cette soirée quoi.
- Ce n'est pas bien ce que tu as fait.
- Oui je sais. Et je m'en excuse encore une fois. Tu m'en veux tant que ça ? Je ne peux pas revenir en arrière.
- Ce n'est pas tant que je t'en veuille, ce n'est pas grave ça. C'est juste que sur ce sujet, je pensais que l'on se disait tout, voilà.
- Mais oui on se dit tout,... Pardon.
- Ben non, la preuve. Je t'ai bien parlé de mes fantasmes moi.
Bref, ce n'est pas très grave, ça va passer.
Ca à l'air bon tout ce que tu as préparée ; on dirait qu'il y en a largement trop pour nous deux. Tu as fait ça toute seule en si peu de temps ??
- Tu crois qu'il y en a trop ? Tant pis, dit-elle de son air espiègle qui m’a fait craquer pour elle des années plus tôt.
On commence à diner autour d'un cocktail corsé. Elle nous sert verre sur verre d'un excellent vin blanc.
Je commence à avoir la tête qui tourne. Nous avons tous les deux le même résultat avec l'alcool : ont se débrident complètement et avons tendance à prendre les choses à la légère.
C'est d'ailleurs dans des circonstances similaires que nous avons échangés nos fantasmes les plus intimes.
Je nous sers un énième verre quand je la fait répéter :
- Excuse-moi, je n'ai pas tout compris, c'est qui cette Léa ?
- je te disais que c'était une amie, elle m'a aidé à préparer ce buffet. Elle va nous rejoindre dans pas longtemps.
Et en effet, à peine ai-je réalisé ce que ma copine disait, qu'une magnifique brune arrive du salon. Malgré le vin, je lui associe immédiatement le parfum sucré que j'ai senti en arrivant.
Je me retourne, interloqué, vers ma copine et la regarde droit dans les yeux en disant bonsoir à cette inconnue.
A ma question muette, mon amie de répondre
- Chéri, pour me faire vraiment pardonner, je veux réaliser un de tes fantasmes.
Tu peux nous faire tout ce que tu veux ce soir.
Mais je t’interdis de l'embrasser sur la bouche et de jouir en elle.
Je te présente Léa. Pour infos, elle est bi.
Ce parfum, l'alcool, cette femme, ces femmes ... tout se mélange en une éclatante excitation.
Comme pour m'inviter à aller plus loin, ma copine se rapproche de la Léa et commence à la déshabiller. Celle-ci ne reste pas inactive et m'agrippe par ma chemise, en faisant sauter bouton après bouton.
Le salon est rapidement jonché de vêtements et sous vêtement. Une petite culotte pend à une chaise, alors qu'un string que je connais bien repose au milieu de la table, à moitié plongé dans un verre de vin.
Je ne sais d'ailleurs pas ou est mon propre boxer.
Léa est particulièrement bien fichue, et elle le sait.
Sur le divan du salon, je suis entouré de la femme que j'aime et de cette belle inconnue.
Léa n'est pas la petite fille sage qu'elle parait être. Elle sort de son sac un bandeau, un gode et une paire de menottes qui me semble familier. Malgré l'alcool, mes souvenirs s'emboitent :
Je connais ces objets, et j'ai déjà vu cette fille. C'est elle que j'ai bousculé dans le métro, en sortant du boulot. Je revois maintenant sa silhouette en sortant de la gare.
Voyant que je me souviens d'elle, elle me tend le bandeau et me regarde droit dans les yeux pour me dire :
- pendant que 2 se rentre dedans, peut-être que la troisième peut s'amuser ?
Je reste sans réponse et vois ma copine lui mettre les menottes derrière le dos, me prendre le bandeau des mains pour lui poser sur les yeux.
Elle s'approche de moi, me masturbe doucement le pénis et me pousse sur cette fille, attachée, debout, au milieu de notre salon.
Léa à les seins ferme et pointu ; je les prends tous deux dans mes mains.
Ils sont plus petits que ceux de ma copine, je peux les enfermer complètement entre mes doigts.
Ma copine passe sur le divan et commence à caresser Léa par derrière. C'est troublant de voir le visage de ma copine à travers les cheveux brun d’une autre.
On s’embrasse tendrement par-dessus l'épaule de Léa, alors que j’ai ses seins dans mes mains et ma copine ses mains sur son sexe.
Léa est très sensible à nos caresses, gémit, se contorsionne pour nous éviter ou au contraire nous stimuler encore plus. On profite quelle ai les yeux bandés pour jouer un peu avec elle.
On lui mordille tour à tour les seins, puis les 2 en même temps... elle ne doit sans doute pas savoir qui fait quoi.
Le salon et assez grand pour nous permettre de tourner autour d'elle et la soumettre à nos jeux.
On la fouette à tour de rôle, ma copine avec son propre soutien-gorge ; moi je préfère utiliser sa ceinture en tissu.
Je vise plutôt ses seins, ses tétons. Ma copine s'acharne plus sur son dos et ses fesses rebondies.
Je me lasse de la ceinture, et prend la première chose qui me passe sous la main : les tongues que nous avons acheté la veille.
La semelle de caoutchouc est lisse, et claque d'un coup sec sur ses côtes. Je claque son sexe avec la même force.
A chaque impacte, je vois Léa trembler de tout son corps.
Les menottes sont plus fragiles qu'il n'y parait, à force de bouger, Léa a pu s’en défaire.
Elle retire son bandeau et nous regarde tout à tour, l'air de vouloir s’amuser à son tour. Elle se jette littéralement sur ma copine, l'emmène dans la chambre et la coince sur le bord du lit en lui léchant ses partie les plus intimes.
Je suis un peu jaloux de voir ainsi quelqu'un d'autre lécher ma copine, mais venant d'une femme c'est plus existant qu'autre chose. Je rejoins Léa, lui prend ses fesses à pleine mains, et lui caresse les épaules, le dos....
Cette coquine s'est bien préparée : je sens son parfum sur le bout de ma langue en longeant la courbure de ses fesses.
J’entends ma copine pousser des halètements. Je regarde Léa, voir ce qu’elle fait et je vois 3 de ses doigts profondément enfoncé dans le sexe de ma copine.
Léa me regarde, prend ma main, et l'enfonce délicatement dans sa bouche. Elle suce chacun de mes doigts, les uns après les autres.
Sa salive est étonnamment chaude et visqueuse.
Elle prend mon index, et le dirige droit dans le sexe de ma copine.
Elle m'a lubrifié les doigts avec la mouille de ma copine quelle avait lécher pour mieux lui enfoncer nos doigts, tous nos doigts.
En plein gémissement de ma copine, je réalise que Léa a enfoncée 4 de ses doigts de la main gauche. De mon côté, je fais passer mes 4 doigts de la main droite parfaitement lubrifiés. De nos pouces, on titille le clito de ma copine.
Avec 8 doigts en mouvement dans son sexe, elle pousse des cris de plus en plus forts.
Elle supplie qu'on arrête.
Je prends alors Léa par la taille et la jette amicalement hors du lit.
Mais elle revient à la charge et me renverse. Je suis allongé sur le dos, prêt de ma copine, quand Léa s'installe à 4 pattes entre mes jambes. Elle se penche vers mon sexe, la bouche entre-ouverte. Je sens le bout de ses cheveux frotter contre mon ventre.
Elle ramène ses cheveux fins derrière l'oreille d'un geste délicat et plus que sexy. Ses cheveux devait la gêner pour faire ce qu’elle à l’intention de faire ; pour ma part, il m’empêchait de la voir avaler mon sexe.
Elle commence alors à sucer mon gland, puis descend sa tête de plus en plus bas, pour s'enfoncer ma queue toujours plus dans sa bouche. Plus elle va loin, plus je vois sa joue se déformer.
Je la vois se masturber de son autre main.
Ma copine, sans doute un peu bousculée par cette massive pénétration, est toujours allongée sur le lit.
Léa saute à nouveau sur son sexe. Elle la caresse érotiquement tout en lui léchant le clitoris, et sans doute plus.
Elle nous lèchent tour à tour. Suce le clito de ma copine en me masturbant d'une main, enfoui mon sexe dans sa bouche pendant qu’elle enfonce un doigt dans ma copine.
Cette séance me met hors de moi, je me lève d’un bond.
Debout, derrière Léa, je la vois à 4 pattes, son cul en l’air, sa tête entre les cuisses de ma copine.
Ma copine me voit, et me dit - Allez, Prend la !
Je ne me fais pas prier.
Son sexe est inondé de la séance de fessée de tout à l'heure, ce qu’elle est en train de faire doit d'ailleurs continuer à l'exciter.
Je racle sa mouille de mes doigts pour lui lubrifier l'anus.
Celui-ci s’ouvre facilement et rapidement. Elle doit avoir l'habitude de se faire prendre aussi par la.
Je la sodomise complètement en une fois, rentre l'intégralité de mon sexe dans son trou. J’entends ma copine pousser un petit cri, Léa à du accélérer ses coups de langue ou la mordiller suite mon coup de buttoir.
Réaliser que ma copine est au bout de la langue de cette femme que je prends par derrière m'excite encore plus.
Je la prends par les hanches et commence alors à lui enfoncer mon membre encore plus fort, plus vite.
Je ne prends aucun ménagement, ni avec son cul, ni avec ses hanches. Je sers fortement mes mains, lui pinçant la peau de ses hanches. Elle n'a même plus besoin de bouger la tête pour sucer ma copine : mes coups d’avant en arrière suffissent à faire passer sa langue de l'anus de ma copine à son clito.
J’enfonce ma queue aussi loin que je peux dans son cul. Je me redresse un peu pour mieux voir mon sexe disparaitre dans son fondement.
Je n’arrête pas. Même quand je l’entends pousser des « aie » entre ses dents.
Ma copine à fini par prendre la tête de Léa entre ses mains et l'appui fortement sur son propre sexe.
Léa est complètement prise entre nous : moi dans son cul, ma copine dans sa bouche.
Ces va et viens sont épuisants et jouissif. J'arrête donc mes à-coups pour respecter la seul consigne de ma copine et également reposer mes muscles des cuisses. Léa s'écroule elle aussi sur le côté, se tenant hanches et bassins.
Ma copine, par contre, est en pleine forme et visiblement surexcitée par ce quelle viens de voir : je ne suis d’habitude pas aussi virulent quand je la prends par derrière.
De mon côté, mon érection est sans faille.
Je prends la tête de ma copine entre mes mains et l'embrasse à pleine bouche. Nos langues se croisent ainsi pendant quelque minute pendant que je malaxe ses seins, et elle mes bourses.
On se retourne ensemble sur Léa qui nous regarde, elle est à nouveau en train de se masturber.
Je pousse alors ma copine sur elle. Leur corps s’emmêlesein contre sein…ventre contre ventre…vagin contre vagin....
Elles se caressent mutuellement quand je passe entre leurs jambes, et les forces toutes deux à les écarter.
Ainsi empilée, je vois à partir du bas l'anus de Léa, bien dilater, son vagin, puis le vagin de ma copine et son anus. Leur poiles pubien se mêlant.
J'enfile ma main droite comme un gant : l'auriculaire, l'annulaire pour Léa. L'écartement entre les 2 femmes est un peu difficile à suivre, je redresse ma copine pour qu'elle puisse accueillir mes deux autre doigt : le majeur, puis l'index.
Je fais des mouvements lent et profond de ma main. Mon petit doigt à tendance à sortir de l'anus de Léa, mais cela provoque donc pour elle une nouvelle pénétration à chaque aller.
Je rapproche mon sexe de cet ensemble de trou et passe mes mains sous Léa, de sorte à lui prendre les épaules par derrière.
Avec ce point d'appui, je peux profondément m'enfoncer dans l'une, puis dans l'autre, puis revenir à la première. Un coup dans l'anus de Léa, un coup dans le vagin de ma copine ...
Les coups dans les vagins sont les plus rapides car les plus lubrifiés. Je m'insert aussi facilement dans l'anus de Léa que dans son vagin. Tout son corps se contracte à chaque nouvelle pénétration anale.
Alors que j'accélère l'alternance entre les orifices, je vois Léa se contracter de plus en plus. Elle est au bord de l'orgasme.
Ma copine s'en est rendu compte aussi.
Elle se dégage et récupère le gode que Léa avait sorti de son sac plus tôt dans la soirée.
Ma copine profite que je me sois décalé légèrement pour lui enfoncer dans le sexe. Comme ça, sans préambule. Elle l'enfonce complètement, jusqu’à la poignée.
Cette pénétration profonde semble être ce qu’elle voulait. Elle crie de plaisir.
Sans m'en préoccuper, je reprends ma pénétration anale comme si de rien n’étais.
Je sens la présence du gode à travers sa paroi anale, mais ne ralenti pas mes mouvement pour autant. Au contraire, je tends mes muscles pour augmenter encore la force de pénétration : avec le gode enfoncé, il reste moins de place pour mon pénis.
J'ai dû forcer une fois, deux fois l'entrée de son cul pour pouvoir rentrer à nouveau.
Une fois rentré, je n’en ressort plus, et la bourre comme un fou. Je résiste tant que je peux à l'éjaculation.
Léa hurle littéralement, pousse un long cri de jouissance en éjectant le gode se ses spasmes vaginales.
Ma copine laisse Léa reprendre son souffle et roule à ses côtes.
Je me jette sur elle pour lui enfoncer mon sexe dans la bouche, n'essayant pas de me retenir au cas où j'éjaculerai comme je le faisais à l'instant dans Léa.
Mais elle ne semble pas du même avis : elle prend mon sexe dans ses mains, et le dirige sur la poitrine de Léa.
Elle pose sa tête sur ces seins et me masturbe en direction de sa propre bouche grande ouverte.
Elle glisse mon pénis entre ces seins. De son côté, Léa, presse ses seins l'un contre l'autre pour y enfouir mon pénis.
Le contact avec la peau douce de la brunette est très agréable.
Je ne peux plus me retenir.
Je joui bruyamment entre les seins de cette inconnue. Un premier jet va directement dans la bouche de ma copine.
Surprise, elle se relève.
Les jets suivants de répandent du creux des seins de Lea à son visage.
Ma copine fini de me faire jouir en me suçant.
Elle se retourne vers Léa, et commence à lui lécher la poitrine, lapant mon sperme comme un chat le ferait avec du lait. Elle récupère minutieusement tous le sperme que j'ai répandus sur le corps de cette autre femme, et va même chercher les gouttelettes sur le visage de cette dernière. La bouche plein de mon sperme, elle revient vers moi et termine de me lécher la verge.
Elle relève alors la tête vers moi, et avale tous le contenu de sa bouche, en faisant le tour de ses lèvres avec sa langue.
Je la saisie par la taille, et la pose sur le lit. Léa commence à la caresser doucement, puis de plus en plus frénétiquement, en insistant surtout sur ses seins quelle manipule avec connaissance : elle les sert, les masses, les pressent.
De mon côté, je lèche goulument ma copine, à coup de langue et de frottement.
Elle ne tient plus : à son tour, elle pousse des soupirs de soulagement en jouissant sous nos caresses cumulées.
Après toute cette agitation, le calme retombe brusquement. J’entends les gémissements des 2 femmes, essayant de reprendre leur respiration. Pour ma part, je suis en nage et ne sent plus mes muscles.
Nous nous endormons tous les 3 rapidement.
Au petit matin, nous déjeunons tous ensemble dans le salon. Ma copine, je suppose, à tout ranger au réveil. Il n'y a plus aucune trace de cette folle soirée.
Nous proposons ensemble à Léa de revenir nous aider à préparer un buffet quand elle voudra.
Elle accepte notre invitation avec plaisir.
En refermant la porte, ma copine me dit :- Et ben, on ne s'ennuie pas avec toi.
Je la prend par la taille et retourne dans la maison.
Comme tout le monde, je traverse rapidement les couloirs du métro pour prendre ma correspondance ; une vraie ruche en ébullition.
Au détour d'un accès en général peu fréquenté, je bouscule par mégarde une jeune femme et lui fait renverser son sac qui tombe au sol.
Décidément, cette journée...
Lunettes, porte-monnaie, maquillage, sacoche en tout genre se rependent sur le sol.
Je commence à me baisser pour l'aider à les ramasser quand je vois au milieu de ses affaires une paire de menottes sexy, un gode, un bandeau.
Je ne suis pas choqué par ces accessoires, mais plutôt surpris et gêné d'en voir en plein métro et en pleine semaine.
- Hey, vous pourriez faire attention ! me crie-t-elle.
- Ben vous aussi, je lui réponds de mauvaise foi et du tac-au-tac.
A ce que je sache, il faut être 2 pour se rentrer dedans.
Réalisant l'énormité de ce que je viens de lui dire, je me relève précipitamment, jette les quelques affaires que j'avais commencé à ramasser dans son sac, bredouille quelques excuses et va rapidement prendre mon train.
Je ne lui laisse bien sûr pas le temps de répondre.
Je ne me retourne pas une seule fois sur elle.
La bousculade ma fait rater mon train. Le prochain est dans 15 minutes.
Je peste un peu contre elle alors que c'est de ma faute (c'est quand même moi qui l'ai bousculé) et passe à autre chose.
Je prends mon livre en prévoyance de l'heure qui arrive : 15 minutes d'attente puis ensuite 45 minutes de trajet.
Le train arrive, je trouve facilement une place ; il se vide peu à peu au fil des stations.
Arrivé à ma gare, il ne reste plus que 3 personnes qui descendent : mon voisin, une femme que je n'ai jamais vus et moi-même.
Cette nana n'est sans doute pas d'ici d'ailleurs : elle suit les panneaux "sortis" alors qu'ils ne mènent nulle part. Quiconque est déjà venu au moins une fois le sais.
Je m’amuse un peu d'elle en toute innocence et part de mon côté sans la prévenir de son erreur de chemin.
Je prends mes raccourcis habituels qui me permettent d'être chez moi en 5 minutes.
Arrivé à la maison, je retrouve ma copine. Elle est arrivée par le train d'avant et me dit qu'elle veut préparer le diner toute seule mais qu'elle n’est pas encore prête.
Je cède volontiers et va à mon atelier. J’y fais rangement, nettoyage en tout genre. J’ai l’impression d’entendre du bruit à l’étage, mais n’y prête pas plus attention.
Un peu plus tard, je l’entends me chercher.
Elle a préparé un impressionnant diner. Pas spécialement romantique, mais plutôt festif. L'effluve d'un parfum sucré qui m'est inconnu et les odeurs du buffet chaud se mélangent agréablement.
Je lui demande ce qui se passe, en essayant tant que faire se peut de rester cordial. En effet, je ne lui ai toujours pas pardonnée d'avoir dit à sa meilleure amie quelle s'ennuyait sexuellement au lieu de me le dire directement ; et ça fait plusieurs jours que je m’adresse mal à elle.
- En quel honneur ce dîné ?
- Et bien... je sais que j’ai merdée avec Manuella. Je n’aurai jamais dû lui parler de ça. Ce diner, c’est pour me faire pardonner. Enfin, cette soirée quoi.
- Ce n'est pas bien ce que tu as fait.
- Oui je sais. Et je m'en excuse encore une fois. Tu m'en veux tant que ça ? Je ne peux pas revenir en arrière.
- Ce n'est pas tant que je t'en veuille, ce n'est pas grave ça. C'est juste que sur ce sujet, je pensais que l'on se disait tout, voilà.
- Mais oui on se dit tout,... Pardon.
- Ben non, la preuve. Je t'ai bien parlé de mes fantasmes moi.
Bref, ce n'est pas très grave, ça va passer.
Ca à l'air bon tout ce que tu as préparée ; on dirait qu'il y en a largement trop pour nous deux. Tu as fait ça toute seule en si peu de temps ??
- Tu crois qu'il y en a trop ? Tant pis, dit-elle de son air espiègle qui m’a fait craquer pour elle des années plus tôt.
On commence à diner autour d'un cocktail corsé. Elle nous sert verre sur verre d'un excellent vin blanc.
Je commence à avoir la tête qui tourne. Nous avons tous les deux le même résultat avec l'alcool : ont se débrident complètement et avons tendance à prendre les choses à la légère.
C'est d'ailleurs dans des circonstances similaires que nous avons échangés nos fantasmes les plus intimes.
Je nous sers un énième verre quand je la fait répéter :
- Excuse-moi, je n'ai pas tout compris, c'est qui cette Léa ?
- je te disais que c'était une amie, elle m'a aidé à préparer ce buffet. Elle va nous rejoindre dans pas longtemps.
Et en effet, à peine ai-je réalisé ce que ma copine disait, qu'une magnifique brune arrive du salon. Malgré le vin, je lui associe immédiatement le parfum sucré que j'ai senti en arrivant.
Je me retourne, interloqué, vers ma copine et la regarde droit dans les yeux en disant bonsoir à cette inconnue.
A ma question muette, mon amie de répondre
- Chéri, pour me faire vraiment pardonner, je veux réaliser un de tes fantasmes.
Tu peux nous faire tout ce que tu veux ce soir.
Mais je t’interdis de l'embrasser sur la bouche et de jouir en elle.
Je te présente Léa. Pour infos, elle est bi.
Ce parfum, l'alcool, cette femme, ces femmes ... tout se mélange en une éclatante excitation.
Comme pour m'inviter à aller plus loin, ma copine se rapproche de la Léa et commence à la déshabiller. Celle-ci ne reste pas inactive et m'agrippe par ma chemise, en faisant sauter bouton après bouton.
Le salon est rapidement jonché de vêtements et sous vêtement. Une petite culotte pend à une chaise, alors qu'un string que je connais bien repose au milieu de la table, à moitié plongé dans un verre de vin.
Je ne sais d'ailleurs pas ou est mon propre boxer.
Léa est particulièrement bien fichue, et elle le sait.
Sur le divan du salon, je suis entouré de la femme que j'aime et de cette belle inconnue.
Léa n'est pas la petite fille sage qu'elle parait être. Elle sort de son sac un bandeau, un gode et une paire de menottes qui me semble familier. Malgré l'alcool, mes souvenirs s'emboitent :
Je connais ces objets, et j'ai déjà vu cette fille. C'est elle que j'ai bousculé dans le métro, en sortant du boulot. Je revois maintenant sa silhouette en sortant de la gare.
Voyant que je me souviens d'elle, elle me tend le bandeau et me regarde droit dans les yeux pour me dire :
- pendant que 2 se rentre dedans, peut-être que la troisième peut s'amuser ?
Je reste sans réponse et vois ma copine lui mettre les menottes derrière le dos, me prendre le bandeau des mains pour lui poser sur les yeux.
Elle s'approche de moi, me masturbe doucement le pénis et me pousse sur cette fille, attachée, debout, au milieu de notre salon.
Léa à les seins ferme et pointu ; je les prends tous deux dans mes mains.
Ils sont plus petits que ceux de ma copine, je peux les enfermer complètement entre mes doigts.
Ma copine passe sur le divan et commence à caresser Léa par derrière. C'est troublant de voir le visage de ma copine à travers les cheveux brun d’une autre.
On s’embrasse tendrement par-dessus l'épaule de Léa, alors que j’ai ses seins dans mes mains et ma copine ses mains sur son sexe.
Léa est très sensible à nos caresses, gémit, se contorsionne pour nous éviter ou au contraire nous stimuler encore plus. On profite quelle ai les yeux bandés pour jouer un peu avec elle.
On lui mordille tour à tour les seins, puis les 2 en même temps... elle ne doit sans doute pas savoir qui fait quoi.
Le salon et assez grand pour nous permettre de tourner autour d'elle et la soumettre à nos jeux.
On la fouette à tour de rôle, ma copine avec son propre soutien-gorge ; moi je préfère utiliser sa ceinture en tissu.
Je vise plutôt ses seins, ses tétons. Ma copine s'acharne plus sur son dos et ses fesses rebondies.
Je me lasse de la ceinture, et prend la première chose qui me passe sous la main : les tongues que nous avons acheté la veille.
La semelle de caoutchouc est lisse, et claque d'un coup sec sur ses côtes. Je claque son sexe avec la même force.
A chaque impacte, je vois Léa trembler de tout son corps.
Les menottes sont plus fragiles qu'il n'y parait, à force de bouger, Léa a pu s’en défaire.
Elle retire son bandeau et nous regarde tout à tour, l'air de vouloir s’amuser à son tour. Elle se jette littéralement sur ma copine, l'emmène dans la chambre et la coince sur le bord du lit en lui léchant ses partie les plus intimes.
Je suis un peu jaloux de voir ainsi quelqu'un d'autre lécher ma copine, mais venant d'une femme c'est plus existant qu'autre chose. Je rejoins Léa, lui prend ses fesses à pleine mains, et lui caresse les épaules, le dos....
Cette coquine s'est bien préparée : je sens son parfum sur le bout de ma langue en longeant la courbure de ses fesses.
J’entends ma copine pousser des halètements. Je regarde Léa, voir ce qu’elle fait et je vois 3 de ses doigts profondément enfoncé dans le sexe de ma copine.
Léa me regarde, prend ma main, et l'enfonce délicatement dans sa bouche. Elle suce chacun de mes doigts, les uns après les autres.
Sa salive est étonnamment chaude et visqueuse.
Elle prend mon index, et le dirige droit dans le sexe de ma copine.
Elle m'a lubrifié les doigts avec la mouille de ma copine quelle avait lécher pour mieux lui enfoncer nos doigts, tous nos doigts.
En plein gémissement de ma copine, je réalise que Léa a enfoncée 4 de ses doigts de la main gauche. De mon côté, je fais passer mes 4 doigts de la main droite parfaitement lubrifiés. De nos pouces, on titille le clito de ma copine.
Avec 8 doigts en mouvement dans son sexe, elle pousse des cris de plus en plus forts.
Elle supplie qu'on arrête.
Je prends alors Léa par la taille et la jette amicalement hors du lit.
Mais elle revient à la charge et me renverse. Je suis allongé sur le dos, prêt de ma copine, quand Léa s'installe à 4 pattes entre mes jambes. Elle se penche vers mon sexe, la bouche entre-ouverte. Je sens le bout de ses cheveux frotter contre mon ventre.
Elle ramène ses cheveux fins derrière l'oreille d'un geste délicat et plus que sexy. Ses cheveux devait la gêner pour faire ce qu’elle à l’intention de faire ; pour ma part, il m’empêchait de la voir avaler mon sexe.
Elle commence alors à sucer mon gland, puis descend sa tête de plus en plus bas, pour s'enfoncer ma queue toujours plus dans sa bouche. Plus elle va loin, plus je vois sa joue se déformer.
Je la vois se masturber de son autre main.
Ma copine, sans doute un peu bousculée par cette massive pénétration, est toujours allongée sur le lit.
Léa saute à nouveau sur son sexe. Elle la caresse érotiquement tout en lui léchant le clitoris, et sans doute plus.
Elle nous lèchent tour à tour. Suce le clito de ma copine en me masturbant d'une main, enfoui mon sexe dans sa bouche pendant qu’elle enfonce un doigt dans ma copine.
Cette séance me met hors de moi, je me lève d’un bond.
Debout, derrière Léa, je la vois à 4 pattes, son cul en l’air, sa tête entre les cuisses de ma copine.
Ma copine me voit, et me dit - Allez, Prend la !
Je ne me fais pas prier.
Son sexe est inondé de la séance de fessée de tout à l'heure, ce qu’elle est en train de faire doit d'ailleurs continuer à l'exciter.
Je racle sa mouille de mes doigts pour lui lubrifier l'anus.
Celui-ci s’ouvre facilement et rapidement. Elle doit avoir l'habitude de se faire prendre aussi par la.
Je la sodomise complètement en une fois, rentre l'intégralité de mon sexe dans son trou. J’entends ma copine pousser un petit cri, Léa à du accélérer ses coups de langue ou la mordiller suite mon coup de buttoir.
Réaliser que ma copine est au bout de la langue de cette femme que je prends par derrière m'excite encore plus.
Je la prends par les hanches et commence alors à lui enfoncer mon membre encore plus fort, plus vite.
Je ne prends aucun ménagement, ni avec son cul, ni avec ses hanches. Je sers fortement mes mains, lui pinçant la peau de ses hanches. Elle n'a même plus besoin de bouger la tête pour sucer ma copine : mes coups d’avant en arrière suffissent à faire passer sa langue de l'anus de ma copine à son clito.
J’enfonce ma queue aussi loin que je peux dans son cul. Je me redresse un peu pour mieux voir mon sexe disparaitre dans son fondement.
Je n’arrête pas. Même quand je l’entends pousser des « aie » entre ses dents.
Ma copine à fini par prendre la tête de Léa entre ses mains et l'appui fortement sur son propre sexe.
Léa est complètement prise entre nous : moi dans son cul, ma copine dans sa bouche.
Ces va et viens sont épuisants et jouissif. J'arrête donc mes à-coups pour respecter la seul consigne de ma copine et également reposer mes muscles des cuisses. Léa s'écroule elle aussi sur le côté, se tenant hanches et bassins.
Ma copine, par contre, est en pleine forme et visiblement surexcitée par ce quelle viens de voir : je ne suis d’habitude pas aussi virulent quand je la prends par derrière.
De mon côté, mon érection est sans faille.
Je prends la tête de ma copine entre mes mains et l'embrasse à pleine bouche. Nos langues se croisent ainsi pendant quelque minute pendant que je malaxe ses seins, et elle mes bourses.
On se retourne ensemble sur Léa qui nous regarde, elle est à nouveau en train de se masturber.
Je pousse alors ma copine sur elle. Leur corps s’emmêlesein contre sein…ventre contre ventre…vagin contre vagin....
Elles se caressent mutuellement quand je passe entre leurs jambes, et les forces toutes deux à les écarter.
Ainsi empilée, je vois à partir du bas l'anus de Léa, bien dilater, son vagin, puis le vagin de ma copine et son anus. Leur poiles pubien se mêlant.
J'enfile ma main droite comme un gant : l'auriculaire, l'annulaire pour Léa. L'écartement entre les 2 femmes est un peu difficile à suivre, je redresse ma copine pour qu'elle puisse accueillir mes deux autre doigt : le majeur, puis l'index.
Je fais des mouvements lent et profond de ma main. Mon petit doigt à tendance à sortir de l'anus de Léa, mais cela provoque donc pour elle une nouvelle pénétration à chaque aller.
Je rapproche mon sexe de cet ensemble de trou et passe mes mains sous Léa, de sorte à lui prendre les épaules par derrière.
Avec ce point d'appui, je peux profondément m'enfoncer dans l'une, puis dans l'autre, puis revenir à la première. Un coup dans l'anus de Léa, un coup dans le vagin de ma copine ...
Les coups dans les vagins sont les plus rapides car les plus lubrifiés. Je m'insert aussi facilement dans l'anus de Léa que dans son vagin. Tout son corps se contracte à chaque nouvelle pénétration anale.
Alors que j'accélère l'alternance entre les orifices, je vois Léa se contracter de plus en plus. Elle est au bord de l'orgasme.
Ma copine s'en est rendu compte aussi.
Elle se dégage et récupère le gode que Léa avait sorti de son sac plus tôt dans la soirée.
Ma copine profite que je me sois décalé légèrement pour lui enfoncer dans le sexe. Comme ça, sans préambule. Elle l'enfonce complètement, jusqu’à la poignée.
Cette pénétration profonde semble être ce qu’elle voulait. Elle crie de plaisir.
Sans m'en préoccuper, je reprends ma pénétration anale comme si de rien n’étais.
Je sens la présence du gode à travers sa paroi anale, mais ne ralenti pas mes mouvement pour autant. Au contraire, je tends mes muscles pour augmenter encore la force de pénétration : avec le gode enfoncé, il reste moins de place pour mon pénis.
J'ai dû forcer une fois, deux fois l'entrée de son cul pour pouvoir rentrer à nouveau.
Une fois rentré, je n’en ressort plus, et la bourre comme un fou. Je résiste tant que je peux à l'éjaculation.
Léa hurle littéralement, pousse un long cri de jouissance en éjectant le gode se ses spasmes vaginales.
Ma copine laisse Léa reprendre son souffle et roule à ses côtes.
Je me jette sur elle pour lui enfoncer mon sexe dans la bouche, n'essayant pas de me retenir au cas où j'éjaculerai comme je le faisais à l'instant dans Léa.
Mais elle ne semble pas du même avis : elle prend mon sexe dans ses mains, et le dirige sur la poitrine de Léa.
Elle pose sa tête sur ces seins et me masturbe en direction de sa propre bouche grande ouverte.
Elle glisse mon pénis entre ces seins. De son côté, Léa, presse ses seins l'un contre l'autre pour y enfouir mon pénis.
Le contact avec la peau douce de la brunette est très agréable.
Je ne peux plus me retenir.
Je joui bruyamment entre les seins de cette inconnue. Un premier jet va directement dans la bouche de ma copine.
Surprise, elle se relève.
Les jets suivants de répandent du creux des seins de Lea à son visage.
Ma copine fini de me faire jouir en me suçant.
Elle se retourne vers Léa, et commence à lui lécher la poitrine, lapant mon sperme comme un chat le ferait avec du lait. Elle récupère minutieusement tous le sperme que j'ai répandus sur le corps de cette autre femme, et va même chercher les gouttelettes sur le visage de cette dernière. La bouche plein de mon sperme, elle revient vers moi et termine de me lécher la verge.
Elle relève alors la tête vers moi, et avale tous le contenu de sa bouche, en faisant le tour de ses lèvres avec sa langue.
Je la saisie par la taille, et la pose sur le lit. Léa commence à la caresser doucement, puis de plus en plus frénétiquement, en insistant surtout sur ses seins quelle manipule avec connaissance : elle les sert, les masses, les pressent.
De mon côté, je lèche goulument ma copine, à coup de langue et de frottement.
Elle ne tient plus : à son tour, elle pousse des soupirs de soulagement en jouissant sous nos caresses cumulées.
Après toute cette agitation, le calme retombe brusquement. J’entends les gémissements des 2 femmes, essayant de reprendre leur respiration. Pour ma part, je suis en nage et ne sent plus mes muscles.
Nous nous endormons tous les 3 rapidement.
Au petit matin, nous déjeunons tous ensemble dans le salon. Ma copine, je suppose, à tout ranger au réveil. Il n'y a plus aucune trace de cette folle soirée.
Nous proposons ensemble à Léa de revenir nous aider à préparer un buffet quand elle voudra.
Elle accepte notre invitation avec plaisir.
En refermant la porte, ma copine me dit :- Et ben, on ne s'ennuie pas avec toi.
Je la prend par la taille et retourne dans la maison.
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