Professionel suite et fin

Récit érotique écrit par newgenesis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Professionel suite et fin
Après toutes ces émotions fortes, je passai à la salle de bain du couple au fond de la chambre afin de me rafraîchir. N’ayant eu droit à rien, je bandais toujours comme un âne. J’avais une tête de lendemain de veille, un mélange de liquide séminal et de salive jusque dans les cheveux et le goût du sperme de Jean qui m’emplissait encore toute la bouche. Je faisais peine à voir et je n’étais pas au bout de cette soirée de folie. Je me passai de l’eau sur le visage, me nettoyai du mieux que je pus et revins dans la chambre trempé de sueur et excité comme jamais. J’enlevai mon t-shirt ainsi que mon caleçon et les posai sur la chaise dans le coin de la pièce. Lorsque je me retournai pour aller me poser sur le lit en attendant mes hôtes, ceux-ci m’attendaient déjà dans l’encadrement de la porte, goguenards.
Daniel était complètement nu, les bras croisés, tout sourire. Sa longue queue pendait contre sa cuisse, il ne bandait pas mais son pénis était déjà bien gonflé, le gland était sorti complètement et on pouvait deviner que le tout était encore humide. Elle devait l’avoir sucé en m’attendant, les cris de Jean avaient dû attiser leurs envies. En même temps, comment ne pas l’avoir entendu ? J’étais légèrement honteux.
Samantha, quant à elle, était pieds nus, elle avait ôté ses baskets d’été et recroquevillait ses orteils parfaitement entretenus sur le sol. Ses ongles étaient couleur pastel, entre le blanc et le turquoise, parfaitement assortis à sa robe ainsi qu’à sa personne, pensais-je.
Elle me regardait d’un air félin, comme un chat qui regarde sa proie, et son sourire amusé trahissait des intentions plus vicieuses. « Ho, quelle jolie petite queue ! » s’exclama-t-elle en rigolant. « Alors, Éric, tu nous fais un défilé ? » se moqua-t-elle gentiment. « Petite, petite », me dis-je intérieurement, mon ego légèrement blessé. 18 cm, ce n’est pas extravagant, mais pas de quoi rougir non plus ! Je débandai sur le coup de l’émotion. Elle sautilla jusqu’à moi, m’attrapa la bite comme on attrape une laisse et vint se coller contre moi. Je sentis ses tétons durcir à mon contact et elle me susurra à l’oreille : « Elle est parfaite », en me donnant un coup de langue sur le lobe. Il n’en fallut pas plus pour me faire repartir. Elle tira d’un coup sec sur mon sexe pour faire apparaître mon gland, m’arrachant une petite douleur volontaire au passage, et sauta à genoux sur le lit. Elle nous regarda d’un air coquin et dit : « Bon, on joue ? » Je lançai un regard interrogateur à Daniel. Il ne bougea pas d’un pouce et me dit, sérieux et d’un air autoritaire : « Vas-y, prépare-la-moi », dit-il en allant s’asseoir sur le fauteuil. « Et fais ça proprement ! » Il cracha ensuite dans sa main et se mit à se masturber lentement en regardant sa femme d’un air prédateur.
Samantha me dit en souriant : « Ne t’en fais pas, il aime dominer au lit et c’est un gros juteur, mais le reste du temps, il est adorable ! » Elle s’adossa ensuite contre la tête de lit sur deux gros oreillers, releva sa robe et écarta ses cuisses presque en grand écart en tirant sur ses genoux. « Allez, viens lécher ma chatte de salope ! J’ai besoin d’être baisée, je suis en chaleur ! » Un peu surpris du ton et de l’ambiance qui avait quelque peu changé dans la pièce, comme si une vague de bestialité avait pris le dessus sur les deux amants. Il faisait une chaleur de tous les diables dans la chambre. Daniel se masturbait toujours sur son siège et je pouvais sentir son excitation qui fusionnait avec l’odeur de sa bite pleine de salive. Cette fois, il bandait fort et faisait glisser sa main fermement sur le membre. Des gouttes de sueur commençaient à perler sur son front.
Je ne me fis pas prier et m’approchai de l’entrejambe de Samantha, celle-ci m’offrant le plus beau des spectacles sur terre, aussi joli qu’un lever de soleil. Son vagin était gonflé de désir et dégoulinait littéralement de jus. Elle avait de grosses lèvres et agitait son bassin avec de petits tremblements. Je pouvais sentir le désir avide de la femelle en manque qui veut se faire prendre.
Elle mouillait abondamment, une flaque s’était déjà formée sous ses fesses et des filets de bave coulaient littéralement de son trou. Le spectacle m’électrisa les sens, la bite dure et l’eau à la bouche. Je m’approchai d’elle, tremblant d’excitation devant ce spectacle divin. Sans plus de cérémonie, je vins coller ma bouche sur son sexe béant et me mis à lécher et avaler son nectar. Elle devait être en train d’ovuler, elle dégageait de telles décharges de phéromones que je me sentais comme un animal. Sa mouille était claire comme de l’eau, douce et sucrée, mais aussi épaisse et gluante. Je m’en délectais comme si c’était un dessert offert par les dieux, en gémissant de bonheur. Elle répondit à mes coups de langue par des grognements bestiaux et des gémissements d’animaux, prenant ma tête entre ses pieds pour appuyer plus fort tout en soulevant le bassin de manière incontrôlée. La tête renversée dans les oreillers, elle avait sorti ses seins et tirait sur ses tétons de toutes ses forces.
M’attelant à la tâche, j’admirais cette femelle totalement livrée à son plaisir. C’était magique. J’ai toujours pensé qu’il n’y avait rien de plus beau sur terre que la chatte d’une femme. Je la léchai longuement, son petit cul, son vagin, tout y passait. Je bavais dessus, je crachais, nettoyais sa mouille avant d’y remettre de la salive. J’étais aux anges.
Tout à coup, une voix rauque et autoritaire me sortit de mon rêve et du sien par la même occasion : « Allez, ça suffit, c’est à mon tour maintenant. Tu as été assez gentil avec elle. » Sans dire un mot, je vins prendre sa place sur la chaise, attendant avec impatience la suite des événements. Samantha était en nage, trempée de sueur, de mouille et de salive. Son odeur emplissait la chambre et me durcissait la queue à m’en faire mal.
Daniel monta sur le lit. Il prit sa femme par une cuisse, la tira vers lui et la retourna comme si c’était une poupée de chiffon. Du plat de la main, il la cambra de force. Elle était à plat sur le lit, sur les genoux, le cul relevé comme une chienne, sa chatte grand ouverte. C’était magnifique à voir. Je sentais l’odeur de leurs sexes et ils m’offraient un tableau incroyable. Je devais faire de gros efforts pour ne pas jouir sans même me toucher.
Le temps était comme suspendu, on n’entendait que le son de nos respirations.
Daniel vint se placer derrière elle, il se baissa, lui renifla le trou comme un chien, déposa un baiser sur sa fesse droite et inséra deux doigts dans son vagin pour voir si elle était prête. Elle rigola et se tortilla d’un air mutin. « Parfait », murmura-t-il pour lui-même. Il lui claqua les fesses quelques fois pour le plaisir de les voir rougir, la cambra à nouveau de force, prit sa queue d’une main, la fit glisser le long de sa vulve et, d’un coup, il s’enfonça en elle dans un bruit humide, de tout son long. Il s’arrêta quand ses couilles claquèrent mollement contre ses cuisses.
Samantha, n’en pouvant plus se mit immédiatement à jouir, elle ouvrit la bouche silencieusement, elle fut prise de spasmes et poussa un long râle se terminant par un gémissement à fissurer les murs. Elle s’agrippa aux draps se tordait dans tout les sens et un liquide doré se mit à couler le long de ses cuisses, inondant le lit.
Elle se pissait dessus de plaisir. J’en étais bouche bée. Cette chienne se faisait prendre et se pissait dessus en même temps. Tout son corps tremblait et, tout en gémissant, elle vagissait dans le matelas, presque comme si c’était douloureux. Daniel, pris de frénésie devant cette scène, se déchaîna dans toute sa bestialité. Il s’accroupit comme un animal derrière elle, lui attrapa les bras pour les lui mettre dans le dos et en la tordant dans un angle bizzare, il lui mit un pied sur le coté de la figure pour la soumettre et se mit à faire de grands va-et-vient en elle, la pilonnant avec force, parfois rapidement, tantôt plus lentement et profondément.
Samantha n’était plus avec nous, elle avait les yeux révulsés, presque blancs, et un filet de bave lui coulait de la commissure des lèvres. Elle gémissait doucement au rythme de la queue qui la pénétrait. Mmmh mmmh mmmh mmmh. Au bout d’un moment hors du temps, Daniel sortit sa queue et lui murmura à l’oreille : « Tu veux que je t’encule, salope ? T’aime ça, hein, être prise comme une vilaine, vilaine chienne? »
Elle hocha la tête et glissa plusieurs « oui » d’affilée. Il enleva son pied, lacha ses bras et cette fois il lui attrapa les cheveux. L’autre main sur sa gorge, lui tira la tête en arrière et lui glissa des doigts dans la bouche.
Toujours dans cette position accroupie grotesque, il s’enfonça cette fois dans son cul sans même regarder, ça n’était apparement pas la première fois et elle connaissait clairement son sujet.
Sa femme était en transe. Moi j’étais sidéré par la scène, c’était tout simplement obscène, lubrique, cochon et magnifique à la fois. La facilité avec laquelle il était entré dans ses orifices, la brutalité avec laquelle il la maltraitait et l’amour avec lequel il la prenait, on pouvait voir la connexion profonde qu’il y avait entre eux dans chacun de leurs gestes. Le corps désarticulé de Samantha qui s’abandonnait au plaisir et la force bestiale de Daniel qui donnait toute son énergie pour baiser sa femme comme elle le voulait, c’était de la poésie charnelle, l’indécence à l’état brut.
Une fois dans son cul, il se mit à donner de grands coups de reins, ses couilles claquaient sur sa chatte à chaque coup de boutoir, éclaboussant les alentours et lubrifiant son cul par la même avec un mélange de pisse et de liquide vaginal. Shlac, shlac, shlac, shlac,
il avait la précision d’un métronome dans ce ballet de débauche.
Au bout d’un moment, Samantha le supplia : « J’en peux plus, mon amour, je veux ton sperme maintenant! Vide-toi les couilles, par pitié, remplis-moi, je veux sentir ta semence en moi, sur moi, donne-moi tout! »
Elle avait l’air exténuée, la nuque toujours tirée en arrière par les cheveux de la sueur lui coulait sur le front et gouttait sur le matelas.
Avec une infinie tendresse, il déposa un baiser sur son front en lui disant : « À tes ordres, ma douce. »
Il décula ensuite sobrement, laissant ses deux trous complètement déformés et grands ouverts, qui tentaient tant bien que mal de se refermer comme la bouche de deux poissons hors de l’eau.
Avec une brutalité sans pareille, il l’attrapa par les cheveux et la traîna du lit jusqu’au sol. « Viens ici, petite salope », lui dit-il, « c’est l’heure du goûter. »
Comme possédée, le regard hystérique et empli de gratitude, Samantha s’agenouilla sur le sol en tirant la langue. Daniel vint s’accroupir cette fois au-dessus de sa bouche et, tout en se masturbant, il lui fit lécher ses couilles. Elle attrapa ensuite sa queue à deux mains et tira sur le frein si fort qu’on aurait pu croire qu’il allait se rompre.
Daniel lâcha un gémissement, fronça les sourcils serra les fesses le bassin en avant et cracha deux gros jets de sperme directement sur la langue de Samantha il prit ensuite sa queue et la serra. Samanta se releva immédiatement et se remit sur le lit, tout en gardant le sperme en bouche.
Elle écarta grand les jambes en le regardant amoureusement, tout en écartant sa chatte le plus possible en poussant, il n’y avait aucun doute sur ce qu’elle désirait.
Daniel la prit par une cheville et la souleva presque. De son autre main, tenant son sexe et dans un râle rauque profond et libérateur, il finit d’éjaculer abondamment sur son vagin. De longs jets de semence épaisse vinrent lui remplir la chatte. J’avais rarement vu une éjaculation aussi abondante. Il visait son trou du mieux possible mais le surplus débordait, nappait ses lèvres en coulant dans son trou du cul. J’étais subjugé par la performance et le panorama que m’offrait ce couple,
une démonstration de perversion sale et d’amour profond.
Samantha rayonnait de bonheur et de satisfaction.
Sans un mot, Daniel relâcha sa femme et dit : « Je vais me doucher, finissez sans moi. » L’œil plein de malice, elle me fit signe d’approcher. Elle avala enfin le foutre de son mari qui tapissait sa bouche et me dit : « Allez, nettoie-moi », en se mordillant l’index, une lueur perverse dans le regard.
Je déglutis et m’exécutai.
Je vins me placer sur son entrejambe et commençai à lécher le sperme de son mari, encore tiède.
Contrairement à celui de Jean, celui de Daniel n’était que douceur, onctuosité, à l’écœurement, un nectar douçâtre et consistant.
Je pris ma tâche au sérieux, nettoyant sa chatte et son cul sans en laisser une goutte. Avant que je n’avale, elle m’attrapa par la nuque et me tira vers elle pour m’embrasser langoureusement. Elle venait jalousement chercher le sperme profondément dans ma bouche.
Quand elle eut fini, elle s’agenouilla devant moi, plaqua ses deux mains sur mes fesses en les écartant et m’attira à elle.
Sans me quitter des yeux, elle prit ma bite prête à exploser tout au fond de sa gorge d’une seule traite, attrapa mes couilles, tira dessus en les malaxant et me mit un doigt dans le cul.
Avant d’avoir pu souffler, et par quelque magie noir, je déchargeai abondamment dans sa gorge en jouissant pendant qu’elle me fixait intensément. Elle resta de longues minutes à me téter la queue et à avaler tout ce qui en sortait.
Quand elle eu fini elle se passa les doigts sur les lèvres avant de les lécher avec application tout en me fixant.
Complètement groggy, déphasé et hagard, je me rhabillai. Je ne savais pas si je devais les remercier, les saluer ou juste partir. J’étais ailleurs. Il me faudrait du temps pour digérer cette soirée. Nous décidâmes de nous revoir quelques jours plus tard afin de faire mieux connaissance et, qui sait, peut-être remettre le couvert.
n’hésitez pas à faire vos retour .
Daniel était complètement nu, les bras croisés, tout sourire. Sa longue queue pendait contre sa cuisse, il ne bandait pas mais son pénis était déjà bien gonflé, le gland était sorti complètement et on pouvait deviner que le tout était encore humide. Elle devait l’avoir sucé en m’attendant, les cris de Jean avaient dû attiser leurs envies. En même temps, comment ne pas l’avoir entendu ? J’étais légèrement honteux.
Samantha, quant à elle, était pieds nus, elle avait ôté ses baskets d’été et recroquevillait ses orteils parfaitement entretenus sur le sol. Ses ongles étaient couleur pastel, entre le blanc et le turquoise, parfaitement assortis à sa robe ainsi qu’à sa personne, pensais-je.
Elle me regardait d’un air félin, comme un chat qui regarde sa proie, et son sourire amusé trahissait des intentions plus vicieuses. « Ho, quelle jolie petite queue ! » s’exclama-t-elle en rigolant. « Alors, Éric, tu nous fais un défilé ? » se moqua-t-elle gentiment. « Petite, petite », me dis-je intérieurement, mon ego légèrement blessé. 18 cm, ce n’est pas extravagant, mais pas de quoi rougir non plus ! Je débandai sur le coup de l’émotion. Elle sautilla jusqu’à moi, m’attrapa la bite comme on attrape une laisse et vint se coller contre moi. Je sentis ses tétons durcir à mon contact et elle me susurra à l’oreille : « Elle est parfaite », en me donnant un coup de langue sur le lobe. Il n’en fallut pas plus pour me faire repartir. Elle tira d’un coup sec sur mon sexe pour faire apparaître mon gland, m’arrachant une petite douleur volontaire au passage, et sauta à genoux sur le lit. Elle nous regarda d’un air coquin et dit : « Bon, on joue ? » Je lançai un regard interrogateur à Daniel. Il ne bougea pas d’un pouce et me dit, sérieux et d’un air autoritaire : « Vas-y, prépare-la-moi », dit-il en allant s’asseoir sur le fauteuil. « Et fais ça proprement ! » Il cracha ensuite dans sa main et se mit à se masturber lentement en regardant sa femme d’un air prédateur.
Samantha me dit en souriant : « Ne t’en fais pas, il aime dominer au lit et c’est un gros juteur, mais le reste du temps, il est adorable ! » Elle s’adossa ensuite contre la tête de lit sur deux gros oreillers, releva sa robe et écarta ses cuisses presque en grand écart en tirant sur ses genoux. « Allez, viens lécher ma chatte de salope ! J’ai besoin d’être baisée, je suis en chaleur ! » Un peu surpris du ton et de l’ambiance qui avait quelque peu changé dans la pièce, comme si une vague de bestialité avait pris le dessus sur les deux amants. Il faisait une chaleur de tous les diables dans la chambre. Daniel se masturbait toujours sur son siège et je pouvais sentir son excitation qui fusionnait avec l’odeur de sa bite pleine de salive. Cette fois, il bandait fort et faisait glisser sa main fermement sur le membre. Des gouttes de sueur commençaient à perler sur son front.
Je ne me fis pas prier et m’approchai de l’entrejambe de Samantha, celle-ci m’offrant le plus beau des spectacles sur terre, aussi joli qu’un lever de soleil. Son vagin était gonflé de désir et dégoulinait littéralement de jus. Elle avait de grosses lèvres et agitait son bassin avec de petits tremblements. Je pouvais sentir le désir avide de la femelle en manque qui veut se faire prendre.
Elle mouillait abondamment, une flaque s’était déjà formée sous ses fesses et des filets de bave coulaient littéralement de son trou. Le spectacle m’électrisa les sens, la bite dure et l’eau à la bouche. Je m’approchai d’elle, tremblant d’excitation devant ce spectacle divin. Sans plus de cérémonie, je vins coller ma bouche sur son sexe béant et me mis à lécher et avaler son nectar. Elle devait être en train d’ovuler, elle dégageait de telles décharges de phéromones que je me sentais comme un animal. Sa mouille était claire comme de l’eau, douce et sucrée, mais aussi épaisse et gluante. Je m’en délectais comme si c’était un dessert offert par les dieux, en gémissant de bonheur. Elle répondit à mes coups de langue par des grognements bestiaux et des gémissements d’animaux, prenant ma tête entre ses pieds pour appuyer plus fort tout en soulevant le bassin de manière incontrôlée. La tête renversée dans les oreillers, elle avait sorti ses seins et tirait sur ses tétons de toutes ses forces.
M’attelant à la tâche, j’admirais cette femelle totalement livrée à son plaisir. C’était magique. J’ai toujours pensé qu’il n’y avait rien de plus beau sur terre que la chatte d’une femme. Je la léchai longuement, son petit cul, son vagin, tout y passait. Je bavais dessus, je crachais, nettoyais sa mouille avant d’y remettre de la salive. J’étais aux anges.
Tout à coup, une voix rauque et autoritaire me sortit de mon rêve et du sien par la même occasion : « Allez, ça suffit, c’est à mon tour maintenant. Tu as été assez gentil avec elle. » Sans dire un mot, je vins prendre sa place sur la chaise, attendant avec impatience la suite des événements. Samantha était en nage, trempée de sueur, de mouille et de salive. Son odeur emplissait la chambre et me durcissait la queue à m’en faire mal.
Daniel monta sur le lit. Il prit sa femme par une cuisse, la tira vers lui et la retourna comme si c’était une poupée de chiffon. Du plat de la main, il la cambra de force. Elle était à plat sur le lit, sur les genoux, le cul relevé comme une chienne, sa chatte grand ouverte. C’était magnifique à voir. Je sentais l’odeur de leurs sexes et ils m’offraient un tableau incroyable. Je devais faire de gros efforts pour ne pas jouir sans même me toucher.
Le temps était comme suspendu, on n’entendait que le son de nos respirations.
Daniel vint se placer derrière elle, il se baissa, lui renifla le trou comme un chien, déposa un baiser sur sa fesse droite et inséra deux doigts dans son vagin pour voir si elle était prête. Elle rigola et se tortilla d’un air mutin. « Parfait », murmura-t-il pour lui-même. Il lui claqua les fesses quelques fois pour le plaisir de les voir rougir, la cambra à nouveau de force, prit sa queue d’une main, la fit glisser le long de sa vulve et, d’un coup, il s’enfonça en elle dans un bruit humide, de tout son long. Il s’arrêta quand ses couilles claquèrent mollement contre ses cuisses.
Samantha, n’en pouvant plus se mit immédiatement à jouir, elle ouvrit la bouche silencieusement, elle fut prise de spasmes et poussa un long râle se terminant par un gémissement à fissurer les murs. Elle s’agrippa aux draps se tordait dans tout les sens et un liquide doré se mit à couler le long de ses cuisses, inondant le lit.
Elle se pissait dessus de plaisir. J’en étais bouche bée. Cette chienne se faisait prendre et se pissait dessus en même temps. Tout son corps tremblait et, tout en gémissant, elle vagissait dans le matelas, presque comme si c’était douloureux. Daniel, pris de frénésie devant cette scène, se déchaîna dans toute sa bestialité. Il s’accroupit comme un animal derrière elle, lui attrapa les bras pour les lui mettre dans le dos et en la tordant dans un angle bizzare, il lui mit un pied sur le coté de la figure pour la soumettre et se mit à faire de grands va-et-vient en elle, la pilonnant avec force, parfois rapidement, tantôt plus lentement et profondément.
Samantha n’était plus avec nous, elle avait les yeux révulsés, presque blancs, et un filet de bave lui coulait de la commissure des lèvres. Elle gémissait doucement au rythme de la queue qui la pénétrait. Mmmh mmmh mmmh mmmh. Au bout d’un moment hors du temps, Daniel sortit sa queue et lui murmura à l’oreille : « Tu veux que je t’encule, salope ? T’aime ça, hein, être prise comme une vilaine, vilaine chienne? »
Elle hocha la tête et glissa plusieurs « oui » d’affilée. Il enleva son pied, lacha ses bras et cette fois il lui attrapa les cheveux. L’autre main sur sa gorge, lui tira la tête en arrière et lui glissa des doigts dans la bouche.
Toujours dans cette position accroupie grotesque, il s’enfonça cette fois dans son cul sans même regarder, ça n’était apparement pas la première fois et elle connaissait clairement son sujet.
Sa femme était en transe. Moi j’étais sidéré par la scène, c’était tout simplement obscène, lubrique, cochon et magnifique à la fois. La facilité avec laquelle il était entré dans ses orifices, la brutalité avec laquelle il la maltraitait et l’amour avec lequel il la prenait, on pouvait voir la connexion profonde qu’il y avait entre eux dans chacun de leurs gestes. Le corps désarticulé de Samantha qui s’abandonnait au plaisir et la force bestiale de Daniel qui donnait toute son énergie pour baiser sa femme comme elle le voulait, c’était de la poésie charnelle, l’indécence à l’état brut.
Une fois dans son cul, il se mit à donner de grands coups de reins, ses couilles claquaient sur sa chatte à chaque coup de boutoir, éclaboussant les alentours et lubrifiant son cul par la même avec un mélange de pisse et de liquide vaginal. Shlac, shlac, shlac, shlac,
il avait la précision d’un métronome dans ce ballet de débauche.
Au bout d’un moment, Samantha le supplia : « J’en peux plus, mon amour, je veux ton sperme maintenant! Vide-toi les couilles, par pitié, remplis-moi, je veux sentir ta semence en moi, sur moi, donne-moi tout! »
Elle avait l’air exténuée, la nuque toujours tirée en arrière par les cheveux de la sueur lui coulait sur le front et gouttait sur le matelas.
Avec une infinie tendresse, il déposa un baiser sur son front en lui disant : « À tes ordres, ma douce. »
Il décula ensuite sobrement, laissant ses deux trous complètement déformés et grands ouverts, qui tentaient tant bien que mal de se refermer comme la bouche de deux poissons hors de l’eau.
Avec une brutalité sans pareille, il l’attrapa par les cheveux et la traîna du lit jusqu’au sol. « Viens ici, petite salope », lui dit-il, « c’est l’heure du goûter. »
Comme possédée, le regard hystérique et empli de gratitude, Samantha s’agenouilla sur le sol en tirant la langue. Daniel vint s’accroupir cette fois au-dessus de sa bouche et, tout en se masturbant, il lui fit lécher ses couilles. Elle attrapa ensuite sa queue à deux mains et tira sur le frein si fort qu’on aurait pu croire qu’il allait se rompre.
Daniel lâcha un gémissement, fronça les sourcils serra les fesses le bassin en avant et cracha deux gros jets de sperme directement sur la langue de Samantha il prit ensuite sa queue et la serra. Samanta se releva immédiatement et se remit sur le lit, tout en gardant le sperme en bouche.
Elle écarta grand les jambes en le regardant amoureusement, tout en écartant sa chatte le plus possible en poussant, il n’y avait aucun doute sur ce qu’elle désirait.
Daniel la prit par une cheville et la souleva presque. De son autre main, tenant son sexe et dans un râle rauque profond et libérateur, il finit d’éjaculer abondamment sur son vagin. De longs jets de semence épaisse vinrent lui remplir la chatte. J’avais rarement vu une éjaculation aussi abondante. Il visait son trou du mieux possible mais le surplus débordait, nappait ses lèvres en coulant dans son trou du cul. J’étais subjugé par la performance et le panorama que m’offrait ce couple,
une démonstration de perversion sale et d’amour profond.
Samantha rayonnait de bonheur et de satisfaction.
Sans un mot, Daniel relâcha sa femme et dit : « Je vais me doucher, finissez sans moi. » L’œil plein de malice, elle me fit signe d’approcher. Elle avala enfin le foutre de son mari qui tapissait sa bouche et me dit : « Allez, nettoie-moi », en se mordillant l’index, une lueur perverse dans le regard.
Je déglutis et m’exécutai.
Je vins me placer sur son entrejambe et commençai à lécher le sperme de son mari, encore tiède.
Contrairement à celui de Jean, celui de Daniel n’était que douceur, onctuosité, à l’écœurement, un nectar douçâtre et consistant.
Je pris ma tâche au sérieux, nettoyant sa chatte et son cul sans en laisser une goutte. Avant que je n’avale, elle m’attrapa par la nuque et me tira vers elle pour m’embrasser langoureusement. Elle venait jalousement chercher le sperme profondément dans ma bouche.
Quand elle eut fini, elle s’agenouilla devant moi, plaqua ses deux mains sur mes fesses en les écartant et m’attira à elle.
Sans me quitter des yeux, elle prit ma bite prête à exploser tout au fond de sa gorge d’une seule traite, attrapa mes couilles, tira dessus en les malaxant et me mit un doigt dans le cul.
Avant d’avoir pu souffler, et par quelque magie noir, je déchargeai abondamment dans sa gorge en jouissant pendant qu’elle me fixait intensément. Elle resta de longues minutes à me téter la queue et à avaler tout ce qui en sortait.
Quand elle eu fini elle se passa les doigts sur les lèvres avant de les lécher avec application tout en me fixant.
Complètement groggy, déphasé et hagard, je me rhabillai. Je ne savais pas si je devais les remercier, les saluer ou juste partir. J’étais ailleurs. Il me faudrait du temps pour digérer cette soirée. Nous décidâmes de nous revoir quelques jours plus tard afin de faire mieux connaissance et, qui sait, peut-être remettre le couvert.
n’hésitez pas à faire vos retour .
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