Professionnel

- Par l'auteur HDS newgenesis -
Récit érotique écrit par newgenesis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Professionnel Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2025 dans la catégorie Plus on est
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Professionnel
C’est ainsi que j’ai commencé mes annonces, qui ont permis de réaliser certains de mes fantasmes les plus obscurs.
Mon idée était la suivante : pouvoir ‘’aider’’ un couple à faire leurs petites affaires en étant là uniquement comme accessoire sexuel. Je proposais des services, si on peut appeler ça comme ça, de ‘’cuck professionnel’’, consistant par exemple à sucer monsieur pour l’aider à bander ou masser et lécher madame pour qu’elle soit à l’aise. Je proposais un package coquin tout-en-un qui allait des préliminaires jusqu’au nettoyage final, le tout dans la plus grande discrétion.
C’est ainsi qu’après quelque temps, je reçus la demande de Samanta et Daniel, issus de la petite bourgeoisie. Il était comptable et elle, psychologue.
Après avoir longuement discuté de nos désirs respectifs, nous avons donc convenu de nous retrouver chez eux, mercredi après-midi, pour une séance découverte.
Comme prévu, je me rendis donc à l’adresse à 14 heures, comme décidé au préalable. Je sonnai à la porte de l’appartement. J’étais un peu nerveux : non seulement c’était la première fois que je franchissais le pas, mais c’était aussi la première fois avec un homme dans l’histoire.
J’ai toujours été hétéro, mais les queues et le sperme m’ont toujours fouetté l’esprit, et j’ai souvent eu des fantasmes plus ou moins ouverts sur la chose.
Ce fut Samanta qui vint m’ouvrir : la quarantaine, environ 1m75, mince mais avec des formes. Je fus tout de suite séduit. Elle portait une paire de tennis blanches ainsi qu’une robe d’été fleurie, assez courte et évasée sur les genoux.
Pour le reste, quelle ne fut pas ma surprise en rentrant dans le salon et en découvrant non pas un, mais deux hommes sur le canapé. L’appartement était normal, décoré avec goût et cosy.
— Bonjour, lançai-je un peu mal à l’aise, est-ce que je tombe mal ?
— Ha salut Éric, me dit Daniel. Non non, tu tombes à pic, ne t’inquiète pas. Voici Jean, c’est un ami à moi qui passait en vitesse.
Les deux devaient mesurer environ 1m80 et étaient de corpulence légèrement athlétique et naturelle.
— Ha d’accord, dis-je en souriant, j’ai eu peur de m’être trompé de jour.
— Tu veux boire quelque chose ? me cria Samanta depuis la cuisine. Mets-toi à l’aise, assieds-toi et fais comme chez toi.
— Juste de l’eau, lui répondis-je, merci.
Je m’assis en face des deux hommes, ne sachant pas trop quoi dire. Ce n’était pas prévu dans le contrat, et bien que tout ça n’était pas tarifé et uniquement pour le plaisir mutuel, je n’aimais pas l’idée qu’on s’écarte du chemin.
C’est Daniel qui subitement brisa la glace en parlant très rapidement, un peu nerveux :
— Écoute Éric, je vais être cash : je sais que ce n’est pas ce qui était prévu, mais nous avons un petit service supplémentaire à te demander, vraiment trois fois rien, et ensuite nous reprendrons comme nous avons discuté.
Perplexe, je lui dis :
— Ok, dis-moi, je t’écoute ?
— En fait, j’ai parlé vite fait à Jean de tes services et de notre rencontre, et il m’a supplié de pouvoir te rencontrer juste avant pour te demander quelque chose.
De plus en plus désemparé, je leur dis :
— Bon ben, puisque nous sommes là, vas-y. Je ne suis pas pressé.
Entre-temps, Samanta revint s’asseoir sur le fauteuil d’à côté et me tendit mon verre.
Quand elle s’assit, elle croisa les jambes et je pus remarquer furtivement qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle était parfaitement épilée, en dehors d’une mince bande rasée de près sur le haut.
Mon sang ne fit qu’un tour et c’est le souffle court que je m’efforçai d’oublier cette vision.
C’est Jean qui prit la parole :
— Écoute, Daniel m’a parlé de toi, et pour faire simple, j’ai besoin de me vider les couilles ! Je sais que c’est un peu brutal, mais j’en ai vraiment marre de me branler, et ça fait une semaine que je m’abstiens. En fait, depuis que Daniel m’a parlé de toi, je me suis dit : "tentons le tout pour le tout", et du coup j’ai les boules pleines. Ce serait vraiment super si tu voulais bien m’aider avant ta séance avec eux ? Rien de bien foufou hein, juste me soulager en cinq minutes, ensuite je file, j’ai un rendez-vous pro.
— C’est que… balbutiai-je, un peu sous le choc de cette demande abrupte. J’avais la gorge sèche, et je pris donc une gorgée avant de parler.
— Heu… bah écoute, je ne sais pas trop, je n’ai vraiment pas l’habitude, et ce n’est pas tellement ce qui était prévu, tu comprends ?
— Oui oui je sais, je suis désolé, mais je suis tellement excité… je me suis dit que tu pourrais faire une petite entorse au règlement, me dit-il, tout sourire.
— Ho et puis tu sais… dit Samanta en décroisant les jambes, m’offrant à nouveau la vue sur son entrejambe, t’imaginer dans la chambre en train d’aider Jean d’une main experte, ça nous mettrait dans le bain, moi et Daniel. Ça nous laisserait juste le temps de nous préparer… Tu veux bien, dis ? Allez, dis oui s’il te plaît, ça ne prendra que trois minutes, dit-elle hilare avec un clin d’œil pour Jean.
— Bon écoutez, si ça vous tient tant à cœur, je veux bien essayer, dis-je. Mais sans garantie hein, et je ferai ça dans la chambre, seul avec lui !
— Hoho, pas besoin de le dire deux fois ! dit Jean en se levant en direction de la chambre. Merci beaucoup Éric, je sais que c’est un peu bizarre, mais tu me rends un grand service !
Dans la chambre, il faisait sombre, et il régnait une atmosphère lourde, presque exotique tant l’air était pesant, presque humide.
En vrai, je jouais les vierges effarouchées, mais j’avais rarement été aussi excité. Ma verge était dure comme du bois, et l’idée d’avoir une expérience de plus me rendait fébrile.
J’enlevai rapidement mes vêtements, ne gardant que mon caleçon et mon t-shirt pour être à l’aise.
Jean fit de même, mais ne garda que son t-shirt. Il retira son caleçon sans plus de formalité et vint se placer devant moi, me révélant une queue longue et épaisse, déjà à moitié tendue, avec de grosses couilles lisses et qui paraissaient effectivement bien pleines.
Il avait transpiré, et dès qu’il eut enlevé son caleçon, l’odeur de ses couilles et de son gland se répandit dans la pièce.
Une odeur forte mais propre, juste l’odeur de la bite. Mon sang tapait et je sentais mon cœur battre la chamade.
Ni une, ni deux, je ne me fis pas prier. Je saisis ses énormes boules dans une main et son sexe dans l’autre. J’étais dans un autre monde. J’avais les oreilles qui sifflaient et j’étais abasourdi de me voir là, face à un mec à moitié à poil, avec pour mission de lui vider les couilles.
Tandis que je massais ses boules, je me mis à le branler doucement. Il se mit à respirer plus fort, un souffle rauque et profond comme celui d’un taureau.
À force de frotter le manche, je vis une goutte perler sur le bout du gland. Sans réfléchir, je pressai sur la queue et me mis à téter goulûment, avant de m’enfoncer cette énorme bite le plus loin possible dans la bouche. Il souffla plus fort et lâcha un :
— Whaou, tu fais pas les choses à moitié !
Pris de frénésie, je me mis à cracher sur sa queue, malaxant ses bourses et faisant glisser ma main sur cette lance de chair devenue dure comme l’acier, tout en léchant et suçant du mieux que je pouvais.
Régulièrement, du liquide visqueux s’échappait et coulait le long de sa verge, divin nectar que je m’empressais de lécher comme un possédé.
N’en pouvant plus, après de longues minutes à faire monter la pression, je m’arrêtai. Je me levai, mon caleçon était trempé. Je me mis sur le lit, sur le dos, la tête légèrement pendante et je lui dis dans un souffle :
— Je veux que tu me baises la gorge ! Prends-moi la bouche comme tu prendrais la chatte d’une pute !
Ni une, ni deux, il vint se placer au-dessus de moi. Je voyais ses grosses couilles et le dessous de son sexe. Sans plus de formalité, il s’exécuta à ma demande. Il saisit ma gorge d’une main et se mit à enfiler son énorme bite dans ma bouche, jusque dans ma gorge, avec des râles d’animal.
J’étais en extase. Je bavais de désir, manquant de m’étouffer à chaque coup de boutoir, me concentrant pour ne pas jouir et surtout pour garder la bouche ouverte comme une bonne salope.
— J’en peux plus, me dit-il peu de temps après, je vais jouir, je tiens plus !
— Lâche-toi, lui dis-je en rigolant, donne-moi tout ce que tu as, vide-toi dans ma bouche ou où tu voudras !
Il se mit à frotter sa queue pleine de salive sur mon visage, du gland jusqu’au trou du cul. Il se branlait littéralement sur ma face, le salaud !
L’odeur de son cul, de ses couilles et de sa queue me donnait le tournis. Cette overdose de phéromones masculines me faisait perdre pied.
Tout à coup, il me saisit par la gorge d’une main et se mit à la serrer. Il arrêta son gros gland mouillé juste au-dessus de mes lèvres et, dans un brame de cerf en rut, rauque, puissant et bestial, il se mit à dégorger…
Ha ça ! Pour se vider, il se les vidait l’enfoiré ! Le sperme se mit à couler à flot. Non, pas quelques gouttelettes qui giclent, non… un sperme épais, gluant et odorant, qui s’échappait de son gland sans grande force mais en quantité impressionnante.
J’ouvrais grand la bouche et tirais la langue comme une actrice porno. Il serrait tellement ma gorge que j’étouffais à moitié, et son foutre se mit à inonder ma bouche.
Je me mis à avaler, incapable de faire autrement. Ses couilles s’écrasaient sur mes yeux et je pouvais les sentir éjaculer tout le sperme accumulé il se purgeait dans ma bouche sans aucune gêne.
Ça avait un goût légèrement âpre mais surtout doux, sucré salé et crémeux jusqu’à l’écœurement. Après plusieurs soubresauts, la source commença à se tarir.
J’avalais encore une dernière gorgée. Il glissa une dernière fois son pénis, qui commençait déjà à devenir mou, dans ma bouche pour que je lui nettoie le gland, puis il se rhabilla.
— C’était… incroyable, me dit-il. Les deux vont bien s’amuser avec toi si tu t’offres autant qu’avec moi. Je suis désolé, je dois partir comme un voleur, je n’ai pas vu le temps passer !
On se rappelle ! Merci, et bon aprem !
Suite : épisode 2

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