Promenons-nous dans les bois...01

- Par l'auteur HDS Coquine3618 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Promenons-nous dans les bois...01 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2020 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Promenons-nous dans les bois...01
Vous vous souvenez de Nicolas ? Je l’ai rencontré à Paris la fois où j’ai testé mon premier Glory Hole, cet homme mûr est très gentil, il m’a guidée et initiée dans ce temple de la luxure.

Depuis il me téléphone de temps en temps et nous échangeons des dialogues tendres, nous parlons souvent de mes récits sur HDS, Il est très fan et connaît ceux-ci dans le moindre détail. Il passe son temps libre à les déguster de multiples fois en se caressant et il me dit que chaque fois il ne peut résister et il inonde son ventre jusqu’à sa bouche tellement il est exalté et que son plaisir est éléphantesque et ses jets puissants.

Toutes les fois qu’il m’appelle, il me demande de se masturber ensemble et si nous disposons de suffisamment de temps et de discrétion, nous nous mettons nus tous les deux, et rien qu’à la voix, nous nous excitons mutuellement et c’est si fort et intense que j’ai un orgasme en me touchant et lui aussi dès que mes râles lui prouve que j’éprouve le plus grand bonheur sur terre, il peut lâcher à son tour une éruption salvatrice et souvent il m’envoie un MMS des dégâts causés par ma voix sensuelle, après l’avoir imprimé dans ma tête, je l’efface de peur que mon père ne trouve cette photo compromettante,Il est tellement puritain, il me croit encore vierge et Il ne se doute absolument pas que j’ai déjà pipé des garçons, ne parlons pas du nombre astronomique de fois où j’ai pratiqué ma distraction favorite, il me ferait une crise cardiaque.
Moi-même, je ne compte plus, ayant passé allègrement un nombre où il faut trois chiffres pour l’écrire.

Nicolas m’expédie à mon adresse de chambre d’étudiante des colis remplis de Toys, une chance que mes parents ne viennent jamais car ils sont en évidence sur mes étagères comme décorations, cela fait toujours sensation quand je reçois des visites de personnes qui viennent pour la première fois.

Nicolas m’a souvent proposé de se retrouver en vrai pour inventer des choses coquines à faire, il est fan d’exhibes et de pipes et il aimerait tenter une expérience un jour avec moi, évidemment cette perspective est alléchante et avec Nicolas je me sens en sécurité, c’est un bel homme, il a 45 ans, fait 1 m 82, 78 kg, les cheveux bruns, une coupe mi-longue à la Mireille Mathieu qui fait années 70 ans, il m’a souvent dit qu’il regrette énormément de ne pas avoir vécu mai 68, les yeux noisettes,Il s’habille souvent en costume pour son travail mais aussi très relax quand il peut, avec même des extravagances comme saroual asiatique ou veste en daim à la Davy Crockett par exemple, voyez le genre.

Cet été nous avons convenu d’un rendez-vous pour stimuler nos sens, se laisser porter par l’inattendu et vivre ensemble de nouvelles aventures au gré des possibilités qui s’offriront à nous.

Il est venu en voiture de Paris me récupérer près de chez mes parents et nous partons vers l’inconnu, un lieu assez éloigné pour être incognito et passer inaperçu, après 1h30 de route, nous stoppons dans une petite ville pour avoir suffisamment de choix de potentiels complices et de lieux plus discrets dans la nature pour accomplir des gauloiseries improvisées suivant notre humeur et les sollicitations qui pourraient nous être présentées.

Nous accomplissons un petit tour de l’endroit et nous repérons des lieux qui pourraient servir de cadre à nos crimes à venir.
Le mieux pour rechercher des volontaires est d’entrer dans un café, le soleil nous chauffe les esprits et la température extérieur et intérieur grimpe à l’approche de possibles impudicités. L’endroit est idéal pour trouver des jeunes garçons ouverts à d’éventuelles polissonneries.

Nicolas me fait passer la première pour choisir une table si possible à côté de spécimens compatibles avec nos projets, justement j’en aperçois trois dans le fond du bar, avec une table libre tout près respectant les gestes barrières.
Nous prenons place et quittons nos masques. Nous sommes dos au mur sur une banquette, moi la plus proche des garçons, dont deux sont comme nous sur une banquette et le troisième en face sur une chaise. Le serveur prend notre commande : une bière et un jus de fruit et il revient avec son plateau et dépose nos verres sur notre table, pendant ce temps, j’écoute ce que racontent nos Adonis du jour, des histoires de garçons: motos, voitures et autres niaiseries, ils sont tellement absorbés par leur conversation qu’il ne me remarque même pas, je fais pourtant une parfaite Parthenos.

Il faut que j’invente un truc pour attirer leur attention. Soudain un éclair de génie traverse mon âme perverse.
Je repousse un peu la table pour faciliter mes gestes et permettre aux deux situés sur la même rangée que nous de bien apercevoir mon jeu de main qui va suivre, justement le bruit que fait la table leur fait tourner la tête vers nous, j’en profite pour poser ma main sur l’entre jambes de Nicolas et le masse à l’endroit défendu à une jeune fille d’égarer sa menotte.

Nicolas est en short blanc et T-shirt noir, moi à mon habitude une robe légère fleurie, et j’ai une culotte, une fois n’est pas coutume, pour avoir le plaisir qu’un être humain me la baisse, pour cela ce matin j’ai fait la toilette à mon callibistri, le mettant à nu pour attirer les regards lubriques et faire monter en tension les priapes des paides, des épheboi, des neoi et même des gérontes.

Ça y est, ils sont hameçonnés, le regard tourné vers moi, bouche bée ils ont laissé le dernier garçon dans l’incompréhension complète car lui ne voit rien, la table obstruant malheureusement le spectacle, il questionne ses deux acolytes sur leur soudaine curiosité pour leurs voisins.

J’entends l’un deux pourtant lui murmurer :
- la fille caresse la bite du mec.

Je ne peux pas m’empêcher de sourire, en pinçant les lèvres pour ne pas faire remarquer que j’ai entendu l’inentendable.
Et je les fixe quand même pour les informer que je fais exprès de continuer mon entreprise en sachant qu’ils me regardent et l’aggravant encore plus en dézippant la fermeture de la braguette de Nicolas et là, bonne surprise il a eu l’excellente idée de ne pas porter de slip, et je peux facilement exhiber sa panoplie. ma petite attention sur le tissu à déjà porté ses fruits, la taille est acceptable pour que ma main ne cache pas entièrement la trompette que je manie avec soin.

- Elle a sorti sa queue et la branle, commente le premier de cordée à son copain.

Je lui fais mon plus beau sourire et un oui franc et massif de la tête en battant des sourcils pour les exciter encore plus.

À suivre.

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