Promenons-nous dans les bois....02.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2020 dans la catégorie Plus on est
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Promenons-nous dans les bois....02.
Tout le sexe de Nicolas dépasse de la braguette, elle est bien lisse de même que son réservoir d’une douceur extrême,Il est très fraîchement rasé et c’est très agréable de passer la main sur la peau satinée de son mont chauve.
Sa queue tient déjà bien droite et se redresse vers son maximum, ce qui me permet de descendre sur la partie moelleuse mais très agréable à malaxer et autorise les deux garçons à voir toute la hampe de la belle bite bandée de Nicolas.
Je prends délicatement le biscuit entre deux doigts et agite doucement le tube à essai. Les garçons sont scotchés au moindre de mes faits et gestes, mais le troisième frustré fait une demande à ses deux copains, un des deux à regrets, je le vois bien, lui laisse sa place qu’il récupère avec un grand sourire, nous échangeons tous des regards complices, je remarque que Nicolas aussi est très heureux de montrer à ces jeunes comment je le branle en public, car il est dur comme un caillou et je vois dans ses yeux qu’il résiste pour faire durer le plaisir plus longtemps. Par moment je lui laisse un temps de repos pour prolonger ces instants magiques.
Mais j’ai tellement hâte de la reprendre en main! je sens ma fente qui s’humidifie d’observer ses garçons si captivés par ma dextérité et mon enthousiasme à rendre heureux les hommes et je constate que la lance est toute proche d’inonder ma main brûlante qui s’active si joliment sur elle. Je vérifie que nos blancs-becs ne sont pas distraits, mais non, ils sont toujours admiratifs de mon jeu de main et ne perdent pas une miette du spectacle. Ne trouvant pas juste que le troisième soit privé de la représentation, je l’invite à me rejoindre.
- Viens ici, assieds-toi près de moi, je vois bien que tu en meurs d’envie.
Il ne se le fait pas dire deux fois et comme il y a juste la place de poser une fesse sur notre banquette il se colle à moi ; et je peux allumer le bouquet final, j’accélère le mouvement, le gland gonflé est prêt à libérer la sève qui monte comme celle des arbres au printemps. Je regarde Nicolas, ses yeux hagards prouvent l’état fébrile où il se trouve avant l’imminence de l’explosion.
Voyant le point critique atteint, je me concentre pour bien orienter le fusil et que sa jouissance soit maximum.
- Marion, c’est trop bon, me fait-il en même temps qu’un premier jet vertical d’une dizaine de centimètres retombe en pluie, comme un retour à l’envoyeur.
il est suivi par plusieurs autres aussi intenses qui imitent l’initiateur, j’amplifie le mouvement pour bien extirper tout le foutre contenu dans la réserve, les derniers jets sont beaucoup moins puissants mais coulent lentement à la sortie du méat sur la queue puis sur mes doigts qui continuent un mouvement de va-et-vient mais plus délicat en serrant bien le gland qui libère les derniers gouttes. De ma main gauche inactive depuis le début, je récupère les coulures de sperme qui cheminent sur les couilles de Nicolas. Ma main droite est recouverte de la majeure partie du délice de Calypso que mon Ulysse m’a généreusement octroyé.
Maintenant voyons si nos voisins vont autant saliver que moi en dégustant ce menu de princesse. Je porte un doigt recouvert du nectar et le frotte sur ma langue qui dépasse un peu mes lèvres entrouvertes. Une trace blanchâtre souille le rosé uniforme de celle-ci. Avec un sourire non feint, le regard tourné vers mes nouveaux amis je leur révèle mon addiction en déglutissant avec joie et avalant avec vélocité cette première provision, je continue en plusieurs temps à récupérer toute la sauce contenue sur mes mains et à l’engloutir sous les yeux médusés de mes potes, ayant presque terminé, je propose à celui que j’ai installé aux premières loges de m’aider à finir ma toilette, mais de la tête me fait signe que non d’un air dégoûté.
- Tu as tort, lui lancé- je.
Et sans le laisser réfléchir plus amplement, je colle mes lèvres sur les siennes et je parviens à entrer ma langue qui touche la sienne, mais au lieu de stopper, il répond favorablement et développe même pour que nos langues se mélangent et s’échangent un mixte de nos salives et de sperme de Nicolas et je crois qu’il apprécie puisque c’est lui qui manœuvre pour continuer, j’ai bien fait de forcer un peu le destin.
Enfin il me libère, en fait je ne suis pas très pressée car il embrasse bien, j’ai super chaud aux oreilles il y a un autre endroit, je ne fais pas de dessin vous devinez où !
Bon je lui mets un 7 sur 10 pour sa prestation et comme c’était un baiser spermé, un cum kiss, je lui rajoute un point, Il a donc un 8/10, c’est une bonne note.
- Regarde, lui fais-je.
Je donne la paume de ma main à Nicolas où un large filet de sperme s’accroche désespérément, il sort sa langue, le récupère et l’ingurgite sans coup férir, j’en étais sûre après sa prestation dans le glory-hole, je m’attendais à ce qu’il réponde favorablement à mon vœux.
- Tu vois comme c’est bon, et que tu es bête de ne pas goûter ! fais-je dépitée.
- Oui mais c’est le sien, me répond-il.
- Et c’est pas le mien, rétorqué-je et je ne fais pas la difficile.
- Oui mais tu es une fille.
- et alors, c’est le même goût pour une fille ou un garçon!
Mais je n’ai pas envie de polémiquer et après tout je me fiche qu’il ne veuille pas tenter l’expérience, je me lève en entraînant Nicolas, qui vient de ranger son matériel et je lance :
- Que ceux qui aiment les pipes nous accompagnent.
Je n’ai pas besoin de vous dire que nos trois petits cochons se lèvent en chœur et nous suivent comme des petits toutous.
A suivre.
Sa queue tient déjà bien droite et se redresse vers son maximum, ce qui me permet de descendre sur la partie moelleuse mais très agréable à malaxer et autorise les deux garçons à voir toute la hampe de la belle bite bandée de Nicolas.
Je prends délicatement le biscuit entre deux doigts et agite doucement le tube à essai. Les garçons sont scotchés au moindre de mes faits et gestes, mais le troisième frustré fait une demande à ses deux copains, un des deux à regrets, je le vois bien, lui laisse sa place qu’il récupère avec un grand sourire, nous échangeons tous des regards complices, je remarque que Nicolas aussi est très heureux de montrer à ces jeunes comment je le branle en public, car il est dur comme un caillou et je vois dans ses yeux qu’il résiste pour faire durer le plaisir plus longtemps. Par moment je lui laisse un temps de repos pour prolonger ces instants magiques.
Mais j’ai tellement hâte de la reprendre en main! je sens ma fente qui s’humidifie d’observer ses garçons si captivés par ma dextérité et mon enthousiasme à rendre heureux les hommes et je constate que la lance est toute proche d’inonder ma main brûlante qui s’active si joliment sur elle. Je vérifie que nos blancs-becs ne sont pas distraits, mais non, ils sont toujours admiratifs de mon jeu de main et ne perdent pas une miette du spectacle. Ne trouvant pas juste que le troisième soit privé de la représentation, je l’invite à me rejoindre.
- Viens ici, assieds-toi près de moi, je vois bien que tu en meurs d’envie.
Il ne se le fait pas dire deux fois et comme il y a juste la place de poser une fesse sur notre banquette il se colle à moi ; et je peux allumer le bouquet final, j’accélère le mouvement, le gland gonflé est prêt à libérer la sève qui monte comme celle des arbres au printemps. Je regarde Nicolas, ses yeux hagards prouvent l’état fébrile où il se trouve avant l’imminence de l’explosion.
Voyant le point critique atteint, je me concentre pour bien orienter le fusil et que sa jouissance soit maximum.
- Marion, c’est trop bon, me fait-il en même temps qu’un premier jet vertical d’une dizaine de centimètres retombe en pluie, comme un retour à l’envoyeur.
il est suivi par plusieurs autres aussi intenses qui imitent l’initiateur, j’amplifie le mouvement pour bien extirper tout le foutre contenu dans la réserve, les derniers jets sont beaucoup moins puissants mais coulent lentement à la sortie du méat sur la queue puis sur mes doigts qui continuent un mouvement de va-et-vient mais plus délicat en serrant bien le gland qui libère les derniers gouttes. De ma main gauche inactive depuis le début, je récupère les coulures de sperme qui cheminent sur les couilles de Nicolas. Ma main droite est recouverte de la majeure partie du délice de Calypso que mon Ulysse m’a généreusement octroyé.
Maintenant voyons si nos voisins vont autant saliver que moi en dégustant ce menu de princesse. Je porte un doigt recouvert du nectar et le frotte sur ma langue qui dépasse un peu mes lèvres entrouvertes. Une trace blanchâtre souille le rosé uniforme de celle-ci. Avec un sourire non feint, le regard tourné vers mes nouveaux amis je leur révèle mon addiction en déglutissant avec joie et avalant avec vélocité cette première provision, je continue en plusieurs temps à récupérer toute la sauce contenue sur mes mains et à l’engloutir sous les yeux médusés de mes potes, ayant presque terminé, je propose à celui que j’ai installé aux premières loges de m’aider à finir ma toilette, mais de la tête me fait signe que non d’un air dégoûté.
- Tu as tort, lui lancé- je.
Et sans le laisser réfléchir plus amplement, je colle mes lèvres sur les siennes et je parviens à entrer ma langue qui touche la sienne, mais au lieu de stopper, il répond favorablement et développe même pour que nos langues se mélangent et s’échangent un mixte de nos salives et de sperme de Nicolas et je crois qu’il apprécie puisque c’est lui qui manœuvre pour continuer, j’ai bien fait de forcer un peu le destin.
Enfin il me libère, en fait je ne suis pas très pressée car il embrasse bien, j’ai super chaud aux oreilles il y a un autre endroit, je ne fais pas de dessin vous devinez où !
Bon je lui mets un 7 sur 10 pour sa prestation et comme c’était un baiser spermé, un cum kiss, je lui rajoute un point, Il a donc un 8/10, c’est une bonne note.
- Regarde, lui fais-je.
Je donne la paume de ma main à Nicolas où un large filet de sperme s’accroche désespérément, il sort sa langue, le récupère et l’ingurgite sans coup férir, j’en étais sûre après sa prestation dans le glory-hole, je m’attendais à ce qu’il réponde favorablement à mon vœux.
- Tu vois comme c’est bon, et que tu es bête de ne pas goûter ! fais-je dépitée.
- Oui mais c’est le sien, me répond-il.
- Et c’est pas le mien, rétorqué-je et je ne fais pas la difficile.
- Oui mais tu es une fille.
- et alors, c’est le même goût pour une fille ou un garçon!
Mais je n’ai pas envie de polémiquer et après tout je me fiche qu’il ne veuille pas tenter l’expérience, je me lève en entraînant Nicolas, qui vient de ranger son matériel et je lance :
- Que ceux qui aiment les pipes nous accompagnent.
Je n’ai pas besoin de vous dire que nos trois petits cochons se lèvent en chœur et nous suivent comme des petits toutous.
A suivre.
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