Quand il te faut des vacances...
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Quand il te faut des vacances...
J'avais chaud, très chaud! la sueur me coulait dans les yeux, je ne voyais plus rien…
J'entendais le feu crépiter autour de moi, je ne pouvais plus bouger, mes membres étaient lourds.
Quand à travers mes cils je vis que j'étais nu, tout nu, couvert de sueur qui faisait briller mon corps sous la lumière de ce feu qui augmentait la chaleur.
J'étais tout nu attaché à un grand poteau, mes bras entravés derrière moi, mon corps entouré de cordes et ma queue qui bandait comme jamais elle n'avait bandé.
A travers mes cils je la vois pointer bien raide devant, les couilles entourées d'une ficelle et cette sueur qui coulait sans discontinuer sur tout mon corps.
La chaleur augmentait en même temps que l'arrivée de la musique… une musique que je peine à reconnaitre, pourtant j'ai entendu cette musique il n'y a pas longtemps, c'était à la maison dans mon canapé… mais que c'est-il passé ?
D'un seul coup je reconnais la chanteuse Toto Bissainthe la chanteuse Haïtienne. La sueur commence à sécher sur mon visage, je distingue mieux ce qui m'entoure.
Le feu qui crépite juste devant moi, un grand feu de joie, comme on dit, qui brûle haut avec de grandes flammes. Je regarde autour… personne. On dirait que je suis seul, mais qu'est-ce que je fais ici, attaché à un poteau. J'essaie de me dégager, mais impossible. Je bouge dans tous les sens mais ça ne change rien, rien ne bouge et ma queue qui bande toujours, bien raide, suintante, en direction du feu. Je sens mes couilles enserrées dans une ficelle qui me font mal.
Le feu semble s'apaiser. Les flammes diminuent et je commence à distinguer les alentours, que des contours flous tout d'abord, mais le feu s'apaisant je vois comme des rectangles de terre entourés de petits cailloux blancs. J'essaie de voir le mieux possible mais ma vision est encore troublée par la sueur qui recommence à couler.
Et cette belle musique haïtienne que j'avais appréciée dans mon salon se fait de plus en plus forte, devient assourdissante pour s'arrêter d'un seul coup.
Un silence ce fait, juste perturber par les petits crépitements du feu qui se meurt lentement.
J'aperçois des ombres autour du feu, on dirait des personnages. Je scrute du mieux que je peux mais ce ne sont que des silhouettes embrumées que je ne peux qu'entrevoir, par contre ce que je distingue plus maintenant ce sont ces rectangles de terre entourés de petits cailloux blancs avec comme une stèle en pierre blanche au bout… mais… on dirait des tombes!!
Mais je suis où! je me démène encore pour me détacher, mais rien y fait.
Le silence devient absolu.
Ca ne dure pas longtemps, une voix grave s'élève, venue de je ne sais où. Tout d'abord je ne comprends rien de ce qu'elle dit… une litanie de mots étrangers où le terme "papa Legba" revient sans arrêt.
Et je me souviens qu'en Haïti ils parlent aussi le français.
Alors je crie, je pose mille questions de savoir où je suis, ce que je fais ici et pourquoi je suis attaché.
Personne ne me répond, mais la voix grave qui avait commencé ses litanies se met à parler en français.
-"tu es là maudit français car tu as trahi ton ami haïtien et il a appelé Papa Legba qui va venir le venger, sois courageux le français"
J'en reste sans voix, ça tourne à cent à l'heure dans ma petite tête. Mais alors je suis à Haïti, mais quand suis-je arrivé là ? et que c'est-il passé ? et où est mon mec Cédric ?
Je ne vois toujours pas l'auteur de la voix grave. Mes yeux secs maintenant me permettent de bien voir les alentours. Effectivement je suis comme dans un cimetière, entouré de tombes. Une attire mon attention, juste en face moi, juste après le feu qui n'a plus que quelques flammes et j'ai l'impression de voir la terre bouger. Je fixe l'endroit de mes yeux, je ne crois pas ce que je vois… la terre bouge, se soulève, une main apparait, monte dans les airs, suivie de son bras.
J'écarquille les yeux et le bras sort quand je vois un chapeau arriver, couvert de terre, sortir, un chapeau de paille suivie d'une tête.
D'un seul coup je ne vois plus rien, je ferme les yeux, je pense que j'ai du m'évanouir.
C'est la musique forte qui me fait ouvrir les yeux avec appréhension pour voir se dresser devant moi un vieillard couvert d'un chapeau de paille, fumant la pipe et tenant une canne. Il me regarde haineusement.
Je suis comme hypnotisé devant cette créature. On dirait un mort vivant. Il me fixe de ses yeux blancs, son visage est grimaçant.
La musique s'arrête, la voix grave revient.
"On a fait appel à Papa Legba pour te punir, mais il faut attendre minuit passé car c'est uniquement à partir de cette heure qu'il peut exercer sa punition, tu n'as que quelques minutes à attendre".
Le vieillard devant moi n'avait pas bougé d'un pouce, il me fixait toujours. La sueur s'était remise à couler et là, ce n'était pas la chaleur.
La musique revient, personne ne bouge… mais ils attendent quoi ?
Quand j'entends comme des coups de gong, que je suis bête, les 12 coups de minuit sont égrenés et à chaque coup le visage de Papa Legba change, s'enlaidit, grimaçant de partout, regard encore plus haineux, les yeux fixés sur moi il avance d'un pas à chaque gong et au douzième il est à cinquante centimètres de moi. Il lève sa canne devant lui, juste au dessus de ma tête. Je ferme les yeux m'attendant à recevoir un coup mais rien ne vient. J'ose ouvrir un œil pour le voir sortir un long couteau effilé de sa canne et me regarder avec une gourmandise haineuse.
La sueur revient de partout, mon corps est inondé et la voix grave se fait de nouveau entendre
"Papa Legba va procéder à la vengeance".
Mon corps se raidit et je vois que je bande toujours. Mais putain mais j'ai jamais bandé comme ça! et dans cette situation. Quand la main du vieillard s'empare de ma hampe, la tient fermement et la tire vers lui entrainant mon corps, le poil pubien est bien dégagé, je vois son autre main, armée du poignard se lever au dessus de sa tête et s'approcher de mon pubis.
Mais… mais il va me couper la bite ais je le temps de penser.
Je vois le poignard se rapprocher, la pointe en avant et se poser sur mon pubis.
Là, la trouille, la peur me prennent et je hurle de toute mes forces… qu'est ce que je hurle ? j'en sais rien mais je gueule de toutes mes forces.
Pour me réveiller dans les bras de Cédric, qui me secoue comme un prunier et me serre dans ses bras.
-réveille toi chéri! réveille toi! tout va bien.
Je me cramponne à lui de toute mes forces et l'embrasse dans le cou.
-j'ai jamais été si heureux d'être avec toi dis-je les larmes aux yeux.
-mais t'as juste fait un cauchemar bébé, raconte moi.
-je sais plus exactement mais attend que tout me revienne.
Je m'allonge dans le lit, sa main me caresse la poitrine.
-mais ton petit cœur bat à cent à l'heure. Allez reprends tes esprits dit Cédric.
-ah non! ne me parle pas d'esprit dis-je sérieusement.
Il me fait un bisou.
-allez raconte car avec le cri que tu as poussé tu devais pas prendre ton pied!
-ben non y'avait un vieillard haïtien qui voulait me couper la bite.
Je vois Cédric éclater de rire, je sens sa main descendre sur mon ventre, s'emparer de ma queue qui bande à moitié.
-ça va tout est là et ça semble en bonne forme dit-il en riant.
Je le prends dans mes bras et le serre contre moi.
-excuse moi de t'avoir réveillé avec mes cris.
-c'est rien demain c'est samedi on a le temps pour se lever plus tard. Mais raconte moi pourquoi le vieux voulait te couper les couilles! t'avais fait quoi ?
-j'en sais rien du tout…
Je racontais mon rêve, enfin mon cauchemar, j'étais attaché dans un cimetière et le fameux Papa Legba venait venger un haïtien à qui j'aurais manqué de respect.
Toute mon histoire fait rire Cédric qui ne se gêne pas pour se moquer de moi.
On est allongé l'un contre l'autre et sa main, pendant que je raconte, redescend sur ma bite et la caresse gentiment pour la faire bander. Il écoute en me faisant des bisous sur le torse. Ses lèvres viennent s'emparer de mes tétons et les suce comme il aime si bien le faire. Je caresse son dos doux et chaud, sa bouche descend sur mon ventre, léchant mon nombril, lui faisant des bisous pour arriver à ma queue bien raide maintenant dans sa main. Il l'a relève et ses lèvres s'emparent du gland, l'enveloppant de chaleur et de salive, je sens sa langue l'entourer, le lécher, l'aspirer et ses lèvres descendre sur la hampe pour toute l'avaler dans sa grande bouche. Ma bite est noyée dans sa salive, bien au chaud et ne craint plus le coup de poignard du vieil haïtien, mes couilles sont caressées, tripotées.
Je vois son corps tourner et sa belle queue bien raide venir se poser sur mon visage. J'aime son odeur de mec en rut, ça sent la bite, le sperme et j'aime ça. J'aime Cédric de tout mon cœur mais je crois que je l'aime encore plus quand je vois sa bite gicler son foutre en grande quantité comme à chaque fois.
Là, sa bite est toute dégoulinante de mouille. Alors pendant qu'il s'applique à me sucer bien à fond je m'occupe de cette merveille devant mes yeux. Je finis de la décalotter pour voir ce gland bien dessiné, plus gros que la hampe, la mouille coule du méat. Je donne des petits coups de langues qui le font sursauter et gémir, alors j'avale ce morceau de roi, l'enfonce au plus profond de ma bouche et on se suce en cadence, rythmant bien et le plaisir arrive, ensemble on gémit, callant bien nos lèvres sur nos hampes au fond des gorges et les giclées arrivent comme à chaque fois très fournies. Elles sont avalées comme il se doit, les instruments bien léchés.
Cédric revient dans mes bras, on s'embrasse, on se caresse avec nos langues échangeant les odeurs de sperme.
-si tu veux baiser en pleine nuit, ben évite de crier comme ça dit Cédric en riant.
-t'es un amour mon bébé!
-mais au fait pourquoi t'étais à Haïti ?
-ben ça j'en sais rien… tu sais un rêve.
-oui mais je te rappelle que dans une semaine on part en vacances mais à Cuba! j'espère que tu t'es pas trompé dans les billets d'avion dit-il sérieusement.
Pris d'un doute, je me lève rapidement, fonce vers notre bureau et retrouve les billets d'avion… ouf La Havana Cuba!
-ouf c'est bon dis-je en revenant me coucher et me pelotonner contre lui.
-tu vois chéri je crois qu'il te faut vraiment des vacances…
J'entendais le feu crépiter autour de moi, je ne pouvais plus bouger, mes membres étaient lourds.
Quand à travers mes cils je vis que j'étais nu, tout nu, couvert de sueur qui faisait briller mon corps sous la lumière de ce feu qui augmentait la chaleur.
J'étais tout nu attaché à un grand poteau, mes bras entravés derrière moi, mon corps entouré de cordes et ma queue qui bandait comme jamais elle n'avait bandé.
A travers mes cils je la vois pointer bien raide devant, les couilles entourées d'une ficelle et cette sueur qui coulait sans discontinuer sur tout mon corps.
La chaleur augmentait en même temps que l'arrivée de la musique… une musique que je peine à reconnaitre, pourtant j'ai entendu cette musique il n'y a pas longtemps, c'était à la maison dans mon canapé… mais que c'est-il passé ?
D'un seul coup je reconnais la chanteuse Toto Bissainthe la chanteuse Haïtienne. La sueur commence à sécher sur mon visage, je distingue mieux ce qui m'entoure.
Le feu qui crépite juste devant moi, un grand feu de joie, comme on dit, qui brûle haut avec de grandes flammes. Je regarde autour… personne. On dirait que je suis seul, mais qu'est-ce que je fais ici, attaché à un poteau. J'essaie de me dégager, mais impossible. Je bouge dans tous les sens mais ça ne change rien, rien ne bouge et ma queue qui bande toujours, bien raide, suintante, en direction du feu. Je sens mes couilles enserrées dans une ficelle qui me font mal.
Le feu semble s'apaiser. Les flammes diminuent et je commence à distinguer les alentours, que des contours flous tout d'abord, mais le feu s'apaisant je vois comme des rectangles de terre entourés de petits cailloux blancs. J'essaie de voir le mieux possible mais ma vision est encore troublée par la sueur qui recommence à couler.
Et cette belle musique haïtienne que j'avais appréciée dans mon salon se fait de plus en plus forte, devient assourdissante pour s'arrêter d'un seul coup.
Un silence ce fait, juste perturber par les petits crépitements du feu qui se meurt lentement.
J'aperçois des ombres autour du feu, on dirait des personnages. Je scrute du mieux que je peux mais ce ne sont que des silhouettes embrumées que je ne peux qu'entrevoir, par contre ce que je distingue plus maintenant ce sont ces rectangles de terre entourés de petits cailloux blancs avec comme une stèle en pierre blanche au bout… mais… on dirait des tombes!!
Mais je suis où! je me démène encore pour me détacher, mais rien y fait.
Le silence devient absolu.
Ca ne dure pas longtemps, une voix grave s'élève, venue de je ne sais où. Tout d'abord je ne comprends rien de ce qu'elle dit… une litanie de mots étrangers où le terme "papa Legba" revient sans arrêt.
Et je me souviens qu'en Haïti ils parlent aussi le français.
Alors je crie, je pose mille questions de savoir où je suis, ce que je fais ici et pourquoi je suis attaché.
Personne ne me répond, mais la voix grave qui avait commencé ses litanies se met à parler en français.
-"tu es là maudit français car tu as trahi ton ami haïtien et il a appelé Papa Legba qui va venir le venger, sois courageux le français"
J'en reste sans voix, ça tourne à cent à l'heure dans ma petite tête. Mais alors je suis à Haïti, mais quand suis-je arrivé là ? et que c'est-il passé ? et où est mon mec Cédric ?
Je ne vois toujours pas l'auteur de la voix grave. Mes yeux secs maintenant me permettent de bien voir les alentours. Effectivement je suis comme dans un cimetière, entouré de tombes. Une attire mon attention, juste en face moi, juste après le feu qui n'a plus que quelques flammes et j'ai l'impression de voir la terre bouger. Je fixe l'endroit de mes yeux, je ne crois pas ce que je vois… la terre bouge, se soulève, une main apparait, monte dans les airs, suivie de son bras.
J'écarquille les yeux et le bras sort quand je vois un chapeau arriver, couvert de terre, sortir, un chapeau de paille suivie d'une tête.
D'un seul coup je ne vois plus rien, je ferme les yeux, je pense que j'ai du m'évanouir.
C'est la musique forte qui me fait ouvrir les yeux avec appréhension pour voir se dresser devant moi un vieillard couvert d'un chapeau de paille, fumant la pipe et tenant une canne. Il me regarde haineusement.
Je suis comme hypnotisé devant cette créature. On dirait un mort vivant. Il me fixe de ses yeux blancs, son visage est grimaçant.
La musique s'arrête, la voix grave revient.
"On a fait appel à Papa Legba pour te punir, mais il faut attendre minuit passé car c'est uniquement à partir de cette heure qu'il peut exercer sa punition, tu n'as que quelques minutes à attendre".
Le vieillard devant moi n'avait pas bougé d'un pouce, il me fixait toujours. La sueur s'était remise à couler et là, ce n'était pas la chaleur.
La musique revient, personne ne bouge… mais ils attendent quoi ?
Quand j'entends comme des coups de gong, que je suis bête, les 12 coups de minuit sont égrenés et à chaque coup le visage de Papa Legba change, s'enlaidit, grimaçant de partout, regard encore plus haineux, les yeux fixés sur moi il avance d'un pas à chaque gong et au douzième il est à cinquante centimètres de moi. Il lève sa canne devant lui, juste au dessus de ma tête. Je ferme les yeux m'attendant à recevoir un coup mais rien ne vient. J'ose ouvrir un œil pour le voir sortir un long couteau effilé de sa canne et me regarder avec une gourmandise haineuse.
La sueur revient de partout, mon corps est inondé et la voix grave se fait de nouveau entendre
"Papa Legba va procéder à la vengeance".
Mon corps se raidit et je vois que je bande toujours. Mais putain mais j'ai jamais bandé comme ça! et dans cette situation. Quand la main du vieillard s'empare de ma hampe, la tient fermement et la tire vers lui entrainant mon corps, le poil pubien est bien dégagé, je vois son autre main, armée du poignard se lever au dessus de sa tête et s'approcher de mon pubis.
Mais… mais il va me couper la bite ais je le temps de penser.
Je vois le poignard se rapprocher, la pointe en avant et se poser sur mon pubis.
Là, la trouille, la peur me prennent et je hurle de toute mes forces… qu'est ce que je hurle ? j'en sais rien mais je gueule de toutes mes forces.
Pour me réveiller dans les bras de Cédric, qui me secoue comme un prunier et me serre dans ses bras.
-réveille toi chéri! réveille toi! tout va bien.
Je me cramponne à lui de toute mes forces et l'embrasse dans le cou.
-j'ai jamais été si heureux d'être avec toi dis-je les larmes aux yeux.
-mais t'as juste fait un cauchemar bébé, raconte moi.
-je sais plus exactement mais attend que tout me revienne.
Je m'allonge dans le lit, sa main me caresse la poitrine.
-mais ton petit cœur bat à cent à l'heure. Allez reprends tes esprits dit Cédric.
-ah non! ne me parle pas d'esprit dis-je sérieusement.
Il me fait un bisou.
-allez raconte car avec le cri que tu as poussé tu devais pas prendre ton pied!
-ben non y'avait un vieillard haïtien qui voulait me couper la bite.
Je vois Cédric éclater de rire, je sens sa main descendre sur mon ventre, s'emparer de ma queue qui bande à moitié.
-ça va tout est là et ça semble en bonne forme dit-il en riant.
Je le prends dans mes bras et le serre contre moi.
-excuse moi de t'avoir réveillé avec mes cris.
-c'est rien demain c'est samedi on a le temps pour se lever plus tard. Mais raconte moi pourquoi le vieux voulait te couper les couilles! t'avais fait quoi ?
-j'en sais rien du tout…
Je racontais mon rêve, enfin mon cauchemar, j'étais attaché dans un cimetière et le fameux Papa Legba venait venger un haïtien à qui j'aurais manqué de respect.
Toute mon histoire fait rire Cédric qui ne se gêne pas pour se moquer de moi.
On est allongé l'un contre l'autre et sa main, pendant que je raconte, redescend sur ma bite et la caresse gentiment pour la faire bander. Il écoute en me faisant des bisous sur le torse. Ses lèvres viennent s'emparer de mes tétons et les suce comme il aime si bien le faire. Je caresse son dos doux et chaud, sa bouche descend sur mon ventre, léchant mon nombril, lui faisant des bisous pour arriver à ma queue bien raide maintenant dans sa main. Il l'a relève et ses lèvres s'emparent du gland, l'enveloppant de chaleur et de salive, je sens sa langue l'entourer, le lécher, l'aspirer et ses lèvres descendre sur la hampe pour toute l'avaler dans sa grande bouche. Ma bite est noyée dans sa salive, bien au chaud et ne craint plus le coup de poignard du vieil haïtien, mes couilles sont caressées, tripotées.
Je vois son corps tourner et sa belle queue bien raide venir se poser sur mon visage. J'aime son odeur de mec en rut, ça sent la bite, le sperme et j'aime ça. J'aime Cédric de tout mon cœur mais je crois que je l'aime encore plus quand je vois sa bite gicler son foutre en grande quantité comme à chaque fois.
Là, sa bite est toute dégoulinante de mouille. Alors pendant qu'il s'applique à me sucer bien à fond je m'occupe de cette merveille devant mes yeux. Je finis de la décalotter pour voir ce gland bien dessiné, plus gros que la hampe, la mouille coule du méat. Je donne des petits coups de langues qui le font sursauter et gémir, alors j'avale ce morceau de roi, l'enfonce au plus profond de ma bouche et on se suce en cadence, rythmant bien et le plaisir arrive, ensemble on gémit, callant bien nos lèvres sur nos hampes au fond des gorges et les giclées arrivent comme à chaque fois très fournies. Elles sont avalées comme il se doit, les instruments bien léchés.
Cédric revient dans mes bras, on s'embrasse, on se caresse avec nos langues échangeant les odeurs de sperme.
-si tu veux baiser en pleine nuit, ben évite de crier comme ça dit Cédric en riant.
-t'es un amour mon bébé!
-mais au fait pourquoi t'étais à Haïti ?
-ben ça j'en sais rien… tu sais un rêve.
-oui mais je te rappelle que dans une semaine on part en vacances mais à Cuba! j'espère que tu t'es pas trompé dans les billets d'avion dit-il sérieusement.
Pris d'un doute, je me lève rapidement, fonce vers notre bureau et retrouve les billets d'avion… ouf La Havana Cuba!
-ouf c'est bon dis-je en revenant me coucher et me pelotonner contre lui.
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