Quand le cocu se fait déborder par ses partenaires - histoire érotique

Quand le cocu se fait déborder par ses partenaires (suite du récit « Le jeu du cocu content »)

Je suis très satisfait de ma règle « on livre Kat en 1 heure maxi »
Mardi soir j’ai emmené Kat au cinéma. Nous étions assis à regarder un film plutôt sympathique. Comme à notre habitude je massais doucement le sexe de Kat pendant qu’elle pressait fermement le mien.
Je sentais ses ondulations de plaisir et le désir montait en moi. Je me voyais déjà faire un détour par les toilettes pour me soulager après le film. Mais soudain j’ai senti les vibrations de son portable. Elle l’a saisi pour lire le SMS reçu que j’ai pu apercevoir : « Je te veux dans 1 heure Alain ».
Kat m’a souri tristement comme si elle était obligée de s’exécuter à regret. Pas le temps pour elle de visionner la fin du film. En fait je savais bien qu’elle était déjà dans sa tête dans son rôle à tenir. Elle m’a offert un baiser vigoureux avant de se lever et de quitter la salle pour prendre un taxi. Je suis resté voir la fin du film, ma foi, très intéressant en m’occupant moi même de ma tige. Il faut dire que la situation l’avait nettement durcie.
Après le film, je suis allé au restaurant que j’avais réservé pour nous deux en amoureux. Un bon restaurant qu’il aurait été bête de manquer. Et puis je devais laisser à Alain et à son copain tout le loisir de profiter de Kat. Car il avait gagné au tarot samedi dernier.
Tout en dinant, j’imaginais la débauche de sexe qui submergeait Kat au même moment. Je voyais Alain l’offrir à son « ami ». Lui expliquer le mode d’emploi de la bête. Comment il pouvait la prendre sans réserve, car c’est ce qu’elle préfère. Lundi, un copain d’Alain a traité Kat de tous les noms pendant qu’il la bourrait. « Salope. Sale pute. Sac à foutre. Vide couilles… » Quand Kat m‘a rapporté ce vocabulaire cru, j’ai senti qu’elle en était encore très excitée. Et vous imaginez facilement comment ma propre excitation m’a submergé. Je l’ai alors enfilée rapidement en la traitant des mêmes compliments. J’ai rarement rempli sa chatte aussi vite.
Maintenant le dessert était terminé, mais je décidais de prolonger l’attente en allant boire un verre en boite. Ecoutant à peine la musique, je regardais les femmes, parfois jeunes et belles, qui se déhanchaient. Elles n’arrivaient pas à la cheville de Kat pour la sensualité. Vers 1 heure du matin je me suis décidé à rentrer pour aller honorer ma belle à moi.
J’entrais doucement dans la chambre qui ressemblait à un champ de bataille. Draps en boule dans un coin, oreillers dispersés, chevets renversés, vêtements déchirés, et au milieu du lit Kat affalée sur le ventre et profondément endormie. Première anomalie, Kat était ligotée. Ses poignets et ses chevilles étaient attachés aux montants de notre lit. Et puis une tache blanchâtre ornait sa rondelle et lui coulait entre les cuisses. Je rappelle que seule la chatte de Kat doit être utilisée en semaine. Et d’autres tâches suspectes couvraient son dos et ses cheveux. Qu’importe, je décidais de passer ma main sur sa chatte en profitant de ce que les cuisses étaient maintenues écartées par les liens. J’entendis Kat s’exclamer « oh non, pitié ». Un moment d’étonnement. « Je n’en peux plus, s’il te plait, laisse moi ». Sans comprendre j’obtempérais et je m’asseyais au fond de la chambre. La vue de Kat ligotée m’excitait à un point tel que j’ai ouvert mon pantalon et éjaculé après quelques minutes de va-et-vient. Puis j’allais me coucher très dubitatif sur le canapé.
Kat m’a expliqué les événements de lendemain matin. Comme d’habitude, Alain est venu avec un « ami » et Kat leur a ouvert puis servi l’apéritif dans sa jolie tenue de soubrette. Puis on a sonné, et Alain retenant Kat a laissé son ami aller ouvrir pour laisser entrer cinq hommes. Pour répondre à un léger mouvement de panique Alain a dit : « Ne t’inquiète pas Kat. Cette soirée va être exceptionnelle pour toi ». « Je sens que pour nous aussi cela va être exceptionnel » s’est exclamé en écho un des « invités » en matant Kat dans sa tenue de soubrette. « On va commencer par une petite mise en bouche » a proposé Alain. Ainsi, Kat a dû pomper chacun de ses messieurs et engloutir une bonne rasade de foutre. Imaginez la production de 7 queues vigoureuses.
« Et maintenant, le hors d’ouvre » a enchainé Alain après cette première épreuve. Il a demandé à Kat de se mettre à quatre pattes, cul bien relevé et offert. Et chacun ayant eu le temps de rebander est venu se soulager dans sa petite chatte. Kat m’a expliqué comment elle avait perdu pieds en se faisant baiser par les 7 hommes à la queue leu leu, et comment son sexe devenait sensible voire douloureux. Quand le dernier se vidait, les premiers reprenaient vigueur encouragés par la scène de gang bang à laquelle ils participaient et par les grossièretés qui recouvraient Kat autant que le sperme la remplissait.
« En avant pour le plat de résistance » a finalement décrété Alain. Voyant ce qu’il avait derrière la tête, Kat a protesté et rappelé les règles du jeu. « Il n’y a plus de règles » lui a répondu Alain. Et tous ensemble ils ont emmené Kat dans la chambre, ils ont explosé sa petite tenue de soubrette, et ils l’ont ligotée nue sur le ventre. Alain a plongé son majeur dans sa chatte pour enduire largement de foutre la rondelle de Kat. Puis appuyant fortement son sexe bandé il s’est enfoncé brutalement en arrachant un petit cri de douleur à Kat. Les bravos, les viva, et les « ah la salope » accompagnaient Alain qui s’est soulagé dans le fondement de Kat puis s’est retiré pour laisser la place aux autres. C’est ainsi que Kat s’est faite sodomisée 7 fois dans la même soirée. Un record pour elle.
Au titre du dessert, quelques uns se sont branlés pour recouvrir Kat de leur semence sur son dos et dans ses cheveux. Puis les visiteurs se sont rhabillés et ils sont partis avec quelques « Super plan cul cette meuf Alain ». « Jamais vu une chaudasse pareille »…
Ce récit m’avait chauffé à blanc et je devais me soulager sur le champ. Ainsi je mis ma main au panier de Kat. « Non chéri, c’est encore trop endolori devant et derrière ». Devant mon regard attristé, elle décida de me faire une fellation qui abouti rapidement tant j’étais excité. Heureusement que Kat a 3 orifices dont elle sait très bien se servir. Et maintenant, qu'elle va être la suite ?
Comment calmer le jeu que j’ai moi-même initié et dont les règles ont été transgressées ? La situation n’est pas tenable pour moi car même si Kat fait d’admirables fellations j’ai envie de pouvoir pleinement jouir de tous ses orifices comme il me plait. Alors que de son côté, se faire baiser violemment par un groupe d’inconnus n’a pas l’air de lui déplaire. Je vais devoir la jouer très serré...