Quand le cocu se transforme en violeur (suite du cocu qui se fait déborder) - histoire érotique

Quand le cocu se transforme en violeur

Un peu déboussolé après la partouze de Kat avec Alain et 6 hommes j’ai décidé de l’emmener en vacances au soleil dans le sud. Plus de partie de tarot. Plus de SMS « en 1 heure on livre ». Juste Kat et moi.
Nous avons profité de la mer, du soleil et du sexe. J’ai pu profiter de tous les orifices de Kat à ma guise. Mais avec une certaine déception car Kat n’était pas à fond dans la chose. Elle se laissait faire. Murmurait un peu. Jouissait parfois. Mais sans enthousiasme. En fait elle n’était pas satisfaite, et cela se sentait.
Et puis nous sommes rentrés chez nous. Plus de soirée tarot ni de visite. Et toujours avec un certain détachement du sexe de la part de Kat. Certains soirs, au retour du travail, je la retrouvais douchée en pyjama et déjà couchée. Et elle refusait tout rapport sous prétexte d’une grande fatigue. Ce n’est pourtant pas ce qu’elle fait dans la journée qui la fatigue beaucoup, à part le shopping. Bizarre.
Un soir, alors que je regardais la TV, on sonne. Je sursaute un peu inquiet, et je vais ouvrir. C’est Alain, seul, que je laisse entrer. Je lui explique que tout est arrêté, ce qui le fait sourire et nous nous asseyons pour continuer la discussion. On sonne de nouveau. Je m’apprête à aller voir à l’œilleton, mais Alain me retient fermement et dit à Kat : « Va ouvrir à nos amis ma petite pute adorée ». Et je vois Kat qui s’exécute avec empressement et ouvre en grand à 6 hommes qui entrent avec des petites plaisanteries du type « salut ma salope », « en forme la bouffeuse de glands ? », des frappes sur les fesses, et quelques baisers à pleine bouche. Je suis scotché.
« Et oui mon gars, tu ne peux plus la satisfaire avec ta seule queue maintenant » m’assène Alain. « C’est pour cela que l’on se dévoue et que l’on s’occupe d’elle de temps en temps dans la journée». Je comprends maintenant pourquoi je retrouvais parfois Kat, douchée, en pyjama et très fatiguée. Petite garce. Me sentant trahi, un « bande de salopards » m’échappe.
« Il va se calmer le Monsieur. On va lui mettre les menottes de Kat ». Impuissant, je me retrouve attaché au radiateur avec les menottes dans une position très inconfortable.
« Aller va t’habiller ma belle » lance Alain vers Kat. Celle-ci part dans la chambre, et pendant ce temps nos 7 « invités » se mettent en tenue d’Adam, sans aucune pudeur devant moi.
Puis Kat revient toute vêtue de noir. Bas, porte-jarretelle et soutien gorge à balcon. Les tétons sont à l’air et la chatte rasée offerte. Les garçons sont assis sur le canapé et les fauteuils. Sans aucune parole, Kat se précipite avec gourmandise sur la queue la plus proche en offrant impudique ses fesses à l’assemblée. « Tu vois comme elle est devenue gourmande ta meuf » lance un des mecs, « et ce n’est pas tout ». Et joignant le geste à la parole, il s’approche avec son engin bandé, s’agenouille derrière Kat, et sans autre forme de procès, il lui pénètre le con d’un coup sec. Kat marque un petit temps d’arrêt, puis reprend le pompage de la première queue. Ce changement de rythme fait rapidement jouir le pompé, dont Kat aspire le sperme jusqu’à la dernière goute et lui lèche la queue pour la rendre parfaitement propre. Puis elle passe à la queue du voisin, tout en étant pistonnée par son autre amant, qui rapidement se vide dans sa chatte avec un « ah la salope, qu’elle est bonne ».
Il se retire pour laisser la place à un grand black costaud pourvu d’un engin de bonne dimension. Même intromission brusque. Ce coup ci, Kat marque un bon temps d’arrêt et exprime un murmure de satisfaction. « Eh me laisse pas en plan » râle celui qu’elle est en train de pomper. Le pauvre, car bientôt Kat se met à jouir sous les coups de boutoir du grand noir et elle lâche sa queue pour clamer sa jouissance. Il doit attendre un peu que Kat reprenne ses esprits et le pompe à nouveau. L’interruption a eu son effet car la reprise entraine sa jouissance rapide. Le grand noir sorti de la chatte de Kat y est immédiatement remplacé alors que Kat, très contentieusement passe à la suivante…
C’est Blanche Neige et les sept queues qui remplissent la chatte de Kat et son orifice buccal. Cette orgie est suivi d’un petit moment de répit pendant lequel Kat offre à boire à nos invités qui la remercient avec quelques claques sur les fesses et compliments salasses. Pour moi il était temps, ma queue bandée enserrée dans mon pantalon commençait à me faire souffrir sérieusement. Ce spectacle apocalyptique m’avait fait bander comme un âne. Mais le repos est de courte durée.
« Passons aux choses sérieuse ma Belle » ordonne Alain. Et docilement Kat se dirige vers la chambre suivie par ses 7 baiseurs. Vu le récit que Kat m’a fait, je devine ce qui va se passer : sa rondelle va être honorée par les queues revigorées. Pendant un long moment les râles violents de Kat vont envahir mes oreilles. Elle en redemande encore et encore. C’est une pratique qui lui est visiblement devenue très plaisante. Ses suppliques sont accompagnées de propos du genre « je vais t’exploser la rondelle ma salope », « ton cul est encore meilleur que ta chatte »…
Au bout d’un temps qui me parait infini avec ma queue qui me fait de nouveau souffrir, je vois les hommes qui sortent de la chambre visiblement très satisfaits par la prestation de Kat. Sans réelle conviction je leur lance « bande d’enculés ». « A non ! » répond Alain avec un sourire en coin : « L’enculée c’est ta femme et visiblement elle aime ça ». Ils se rhabillent rapidement, me lance la clé des menottes et quitte l’appartement.
Je me libère enfin des menottes, et je me dirige vars la chambre, car j’ai bien envie de me libérer la queue aussi. Je contemple Kat étendue sur le lit. La rondelle ruisselante de sperme. Les cheveux maculés. J’ai follement envie d’elle. Je me couche sur elle en manifestant cette envie. « Non laisse moi, je suis crevée » me dit Kat. « Tu te fous de ma gueule. Tu te laisse défoncer par 7 mecs, et moi tintin ». Je lui saisis le poigné droit et l’attache au lit avec une menotte. Puis le gauche. « Salopard » hurle-t-elle. « Salope » lui répond-je, « Tu vas voir ton cul ». Et sans ménagement, je lui fourre ma queue dans la rondelle malgré ses protestations. Lubrifiée comme elle est, je n’ai aucun mal à la pénétrer. Déjà très excité par les événements, je le suis encore plus de forcer Kat pour la première fois de notre vie de couple. Rapidement je me libère et mélange mon sperme à celui de ses 7 amants avec grand plaisir et je m’écroule sur elle comme une masse.