R-Evolution Sensuelle 3
Récit érotique écrit par Boquita [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 6 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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R-Evolution Sensuelle 3
Il a quitté la pièce.
Je suis complètement désorientée.
Son ton était un peu plus dur qu’à l’habitude, son regard plus noir.
Le souvenir de ses doigts qui me fouillent et de son petit sourire en coin tandis qu’il me regardait attentivement succomber au plaisir, sous son regard, font monter des contractions du fond de mon vagin.
Je suis là les jambes grandes ouvertes, la culotte vrillée dans ma fente, les pointes de seins tendues.
Je l’entends aller et venir dans les autres pièces, ouvrir et fermer des portes, des tiroirsJ’ai envie de me caresser.
Mes doigts remontent sur mon clitoris qui ne tarde pas à revenir dur.
« Je suis sûr que tu te branles salope ! »Il est à la porte.
« Tu m’as bien allumé. Viens te faire sauter maintenant »Je me lève, toujours les seins et la culotte à l’air et commence à avancer, quand je passe devant lui il m’empêche de rabattre ma jupe.
« Restes comme ça. Enlèves aussi ta culotte »Docilement j’obéis et je la lui donne, il la glisse dans sa poche.
Je marche devant lui jusqu’à la porte de la chambre, les fesses nues.
Alors que j’allais entrer il se rapproche soudain de moi et se colle derrière moi.
Je sens sa queue dure contre mes fesses, son bras passe autour de mon cou et l’autre me branle durement le sexe.
Il chuchote à mon oreille« A partir de maintenant tu es ma chienne et je fais ce que je veux de toi, je vais jouer avec ton corps comme il me plaira, et tu obéiras sans discuter. N’aies pas peur tout ce que je te ferai te donnera du plaisir, peut-être même trop, je sais que tu vas aimer ça il y a longtemps que tu as besoin de ça »Je vacille un peu, j’ai le souffle coupé.
Son bras relâche son étreinte et il me pose un bandeau sur les yeux.
Il ouvre la porte« Entre ! »Je fais quelques pas.
Il referme la porte. Tout est noir et silencieux.
Il me déshabille, j’entends le corsage, la jupe, le soutien-gorge tomber à terre, je n’ai plus que mes bas et mes chaussures.
Quand il me frôle je peux sentir qu’il est torse nu lui aussi. Le contact de sa peau me fait frissonnerIl me pousse doucement en avant, je bute contre le lit« Allonge toi. Sur le dos »Je m’allonge. Je ne sais pas quoi faire de mes bras, de mes jambes.
Je ne vois rien mais lui me voit.
J’entends claquer la boucle de sa ceinture, puis j’entends le frottement du cuir dans les passants.
Mes poignets sont saisis et enroulés dans la ceinture, puis ensuite rattachés au-dessus de ma tête aux montants du lit je suppose.
Avec quoi ?
Il s’assoit à côté de moi et commence à caresser mon corps, mon ventre mes seins, l’intérieur de mes jambes qui s’écartent.
« C’est ça ma belle, écarte bien que je voies ta chatte dégoulinante, tu n’étais pas loin de jouir tout à l’heure, ça te fait mouiller de te faire doigter comme la première pute venue, j’y suis allé franco, tu en aurais voulu encore plus »Il agace mon clitoris, et me branle quelques instants, il roule mes seins sous sa paume.
« Quelle belle femelle tout de même, je me réjouis de te baiser, mais ne gigote donc pas comme ça »En effet j’ondule sous son doigtage, en gémissant doucement.
Il se relève alors et attache chacune de mes jambes à un pied du lit.
Il fixe quelque chose sur chacun de mes tétons, ce n’est pas froid mais cela pince fort, je sens un spasme au fond de ma chatte.
Pendant un court instant plus rien puis le bruit de l’appareil photo.
« Tu es si appétissante comme ça »Il commence alors à me lécher, sa langue râpe fort, mon clito, mes lèvres, elle pénètre à l’intérieur de mon vagin.
Entravée, exhibée, photographiée, pourtant je gémis sans retenue, c’est si bon.
Je suis complètement désorientée.
Son ton était un peu plus dur qu’à l’habitude, son regard plus noir.
Le souvenir de ses doigts qui me fouillent et de son petit sourire en coin tandis qu’il me regardait attentivement succomber au plaisir, sous son regard, font monter des contractions du fond de mon vagin.
Je suis là les jambes grandes ouvertes, la culotte vrillée dans ma fente, les pointes de seins tendues.
Je l’entends aller et venir dans les autres pièces, ouvrir et fermer des portes, des tiroirsJ’ai envie de me caresser.
Mes doigts remontent sur mon clitoris qui ne tarde pas à revenir dur.
« Je suis sûr que tu te branles salope ! »Il est à la porte.
« Tu m’as bien allumé. Viens te faire sauter maintenant »Je me lève, toujours les seins et la culotte à l’air et commence à avancer, quand je passe devant lui il m’empêche de rabattre ma jupe.
« Restes comme ça. Enlèves aussi ta culotte »Docilement j’obéis et je la lui donne, il la glisse dans sa poche.
Je marche devant lui jusqu’à la porte de la chambre, les fesses nues.
Alors que j’allais entrer il se rapproche soudain de moi et se colle derrière moi.
Je sens sa queue dure contre mes fesses, son bras passe autour de mon cou et l’autre me branle durement le sexe.
Il chuchote à mon oreille« A partir de maintenant tu es ma chienne et je fais ce que je veux de toi, je vais jouer avec ton corps comme il me plaira, et tu obéiras sans discuter. N’aies pas peur tout ce que je te ferai te donnera du plaisir, peut-être même trop, je sais que tu vas aimer ça il y a longtemps que tu as besoin de ça »Je vacille un peu, j’ai le souffle coupé.
Son bras relâche son étreinte et il me pose un bandeau sur les yeux.
Il ouvre la porte« Entre ! »Je fais quelques pas.
Il referme la porte. Tout est noir et silencieux.
Il me déshabille, j’entends le corsage, la jupe, le soutien-gorge tomber à terre, je n’ai plus que mes bas et mes chaussures.
Quand il me frôle je peux sentir qu’il est torse nu lui aussi. Le contact de sa peau me fait frissonnerIl me pousse doucement en avant, je bute contre le lit« Allonge toi. Sur le dos »Je m’allonge. Je ne sais pas quoi faire de mes bras, de mes jambes.
Je ne vois rien mais lui me voit.
J’entends claquer la boucle de sa ceinture, puis j’entends le frottement du cuir dans les passants.
Mes poignets sont saisis et enroulés dans la ceinture, puis ensuite rattachés au-dessus de ma tête aux montants du lit je suppose.
Avec quoi ?
Il s’assoit à côté de moi et commence à caresser mon corps, mon ventre mes seins, l’intérieur de mes jambes qui s’écartent.
« C’est ça ma belle, écarte bien que je voies ta chatte dégoulinante, tu n’étais pas loin de jouir tout à l’heure, ça te fait mouiller de te faire doigter comme la première pute venue, j’y suis allé franco, tu en aurais voulu encore plus »Il agace mon clitoris, et me branle quelques instants, il roule mes seins sous sa paume.
« Quelle belle femelle tout de même, je me réjouis de te baiser, mais ne gigote donc pas comme ça »En effet j’ondule sous son doigtage, en gémissant doucement.
Il se relève alors et attache chacune de mes jambes à un pied du lit.
Il fixe quelque chose sur chacun de mes tétons, ce n’est pas froid mais cela pince fort, je sens un spasme au fond de ma chatte.
Pendant un court instant plus rien puis le bruit de l’appareil photo.
« Tu es si appétissante comme ça »Il commence alors à me lécher, sa langue râpe fort, mon clito, mes lèvres, elle pénètre à l’intérieur de mon vagin.
Entravée, exhibée, photographiée, pourtant je gémis sans retenue, c’est si bon.
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