R-Evolution Sensuelle 5
Récit érotique écrit par Boquita [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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R-Evolution Sensuelle 5
Il n’a pas fermé la porte.
Je l’entends aller à la cuisine, se servir un verre sans doute.
Puis de la musique dans le salon.
PJ Harvey.
Et ça fait un bien fou, la maison était muette sinon nos râles, nos gémissements, nos respirations, nos mots crus et puis maintenant la musique.
Je me concentre dessus.
J’essaie retrouver mon calme, d’apaiser mes sens, je respire doucement.
Mes bras me tirent, mes tétons me semblent comme gelés, mes jambes sont écartelées par les cordes.
Et cet énorme gode entre mes cuisses.
Le plug.
J’ondule doucement des fesses, je contracte les sphincters et mes muscles vaginaux.
Mmmmm c’est bon.
Je repense à toute cette folle soirée.
J’ai envie de me caresser.
De faire bouger ce gode, de m’astiquer dessusJe me rejoue le film depuis son retour.
Non depuis ce texto où il m’a traitée de chienne.
J’ai vraiment envie de me caresser.
Je sens qu’il est là. Je l’entends respirer.
Le gode est enlevé, puis remis, puis enlevé à nouveau.
Ma chatte inspectée comme pour vérifier le niveau de mouille.
Est-il encore là ?
Oui je l’entends, je sens qu’il se branle devant le spectacle de ma chatte laissée béante par le gode, et de mon trou investi par le plug. J’entends le bruit de ses mains sur sa peau, et de sa respiration, je sens même son odeur.
J’ai envie de sa queue dans ma chatte« Te voilà prête à être saillie ma chienne »A ces mots je recommence à mouiller, ses mains me prennent à nouveau, fort puis doucement.
Il m’enlève le baillon« Vas-y gémis, feule ma belle chienne »Il joue avec les pinces sur mes tétons, puis les enlève d’un coup.
A nouveau je me cabre, et à nouveau les cordes et la ceinture me mordent la chair.
C’est délicieux.
Je gémis tandis qu’il me branle, je gémis lorsqu’il pousse sur le plug et je gémis quand il s’arrête.
« Tu en veux encore salope ? -Oui branle-moi plus fort. Branle ta salope. Fais gémir ta chienne ! »Je ne sais plus ce que je dis, je n’ai même pas l’impression de prononcer les mots que pense mon esprit.
Il me retire mon bandeau.
Je l’entends aller à la cuisine, se servir un verre sans doute.
Puis de la musique dans le salon.
PJ Harvey.
Et ça fait un bien fou, la maison était muette sinon nos râles, nos gémissements, nos respirations, nos mots crus et puis maintenant la musique.
Je me concentre dessus.
J’essaie retrouver mon calme, d’apaiser mes sens, je respire doucement.
Mes bras me tirent, mes tétons me semblent comme gelés, mes jambes sont écartelées par les cordes.
Et cet énorme gode entre mes cuisses.
Le plug.
J’ondule doucement des fesses, je contracte les sphincters et mes muscles vaginaux.
Mmmmm c’est bon.
Je repense à toute cette folle soirée.
J’ai envie de me caresser.
De faire bouger ce gode, de m’astiquer dessusJe me rejoue le film depuis son retour.
Non depuis ce texto où il m’a traitée de chienne.
J’ai vraiment envie de me caresser.
Je sens qu’il est là. Je l’entends respirer.
Le gode est enlevé, puis remis, puis enlevé à nouveau.
Ma chatte inspectée comme pour vérifier le niveau de mouille.
Est-il encore là ?
Oui je l’entends, je sens qu’il se branle devant le spectacle de ma chatte laissée béante par le gode, et de mon trou investi par le plug. J’entends le bruit de ses mains sur sa peau, et de sa respiration, je sens même son odeur.
J’ai envie de sa queue dans ma chatte« Te voilà prête à être saillie ma chienne »A ces mots je recommence à mouiller, ses mains me prennent à nouveau, fort puis doucement.
Il m’enlève le baillon« Vas-y gémis, feule ma belle chienne »Il joue avec les pinces sur mes tétons, puis les enlève d’un coup.
A nouveau je me cabre, et à nouveau les cordes et la ceinture me mordent la chair.
C’est délicieux.
Je gémis tandis qu’il me branle, je gémis lorsqu’il pousse sur le plug et je gémis quand il s’arrête.
« Tu en veux encore salope ? -Oui branle-moi plus fort. Branle ta salope. Fais gémir ta chienne ! »Je ne sais plus ce que je dis, je n’ai même pas l’impression de prononcer les mots que pense mon esprit.
Il me retire mon bandeau.
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