Récit 10 : la suite du stage aux urgences - histoire érotique

Après 3 mois passés à mon stage aux urgences, je suis prise au piège de cette relation avec Abdel. J'ai toujours mon homme Pierre que je vois peu en raison du temps passé dans le service. Mais malgré moi, j'ai encore envie de revoir Abdel malgré le fait qu'il se détache de moi progressivement. Je sais que cette relation est toxique et qu'il se fiche de moi au fond mais j'ai encore envie de coucher avec lui. Mes rapports avec le reste de l'équipe sont excellents et les résultats que j'obtiens me permette d'être bien considérée. Heureusement, Antoine, un de mes collègues, s'est aperçu de ce qu'il m'arrivait et cherche à m'aider. Nous discutons beaucoup et il tente de me convaincre de passer à autre chose. Je sais qu'il a raison et je tente de l'écouter. En plus, je croise Abdel régulièrement et je vois qu'il se rapproche de plus en plus d'une infirmière ce qui me désespère. Je décide de tenter le tout pour le tout avec lui. Je suis de garde demain soir et lui également. Je ramène des sous vêtements sexy, porte jarretelle avec string et soutien gorge en dentelles que je mettrais sous la blouse quand je le croiserais.

Après une soirée assez chargée, nous finissons par avoir un moment de calme. J'en profite pour aller voir dans la salle de repos des infirmiers pour voir s'il est là. Il est seul et se prend un café. J'en profite pour aller le voir. Il est assis dans le canapé. Je me place debout face à lui.
- Qu'est ce que tu veux Julie ?
- Devines Abdel. Je dis ça en ouvrant légèrement ma blouse pour qu'il voit ma tenue dessous.
- Wow super sexy. J'adore
- Ah oui ? Je te plais toujours Abdel ?
- Oui toujours. Il ouvre son pantalon et sors son sexe. Viens me sucer la queue Julie.
- Pas ici Abdel. On pourrait nous voir.
- Je m'en fous Julie. Allez mets toi à genoux et suce moi comme tu sais si bien le faire. Et enlève ta blouse aussi.
Je n'en reviens pas de ce que je suis en train de faire. C'est comme si j'étais hors de moi. Je fais glisser ma blouse au sol et me retourne pour qu'il voit le dos. Je le regarde avec l'air coquine avant de me mettre à genoux et de commencer à lui lécher le sexe. Je commence à lui sucer le gland tout en le masturbant. Je le regarde tout en le suceant.
- Tu aimes ça Julie.
- J'adore ta queue dis je en relevant la tête.
- continues Julie c'est trop bon dit il en me prenant ma tête et en la baissant pour que je suce à nouveau. Tu es une super suceuse.
Je continue ainsi encore de longues minutes quand tout à coup Antoine surgit dans la pièce.
- Qu'est ce que vous faites ? Julie arrêtes ça, tu ne devrais pas.
- Laisse nous tranquille. Tu vois pas qu'elle est occupée dis Abdel en tenant ma tête pour que je continue.
- Laisse la parler au moins qu'elle puisse me dire si tout va bien.
- Abdel me relève la tête. Vas y dis lui.
- T'inquiètes pas Antoine, ça va.
Je suis rouge de honte et je ne sais pas ce qui me pousse à accepter cela.
Il reprend ma tête pour que je le suce à nouveau. Je continue de le sucer pendant qu'Abdel en rajoute et demande à Antoine de partir. Il finit par accepter.
- C'est bon il est parti. Je vais te baiser maintenant ma Julie. Lève toi et empale toi sur ma queue.
Je me relève et viens m'assoir sur lui. Je sens sa queue en moi qui remplit mon sexe. Je commence des mouvements du bassin et j'ondule mon corps. Je prends beaucoup de plaisir à remuer ainsi. Ses mains accélèrent mon mouvement en appuyant sur mes fesses. Je sens sa bouche lécher mes seins en même temps. J'en profite également pour caresser son corps, ses pectoraux et ses abdos. Je sens un puissant orgasme monter et je ne peux réprimer quelques cris. Je m'oublie complètement. Après avoir joui, il me relève et m'installe sur le canapé. Il se place derrière moi et me prend en levrette. J'ai les genoux sur la canapé tandis que mes mains sont sur le rebord. Lui se place derrière moi et me penètre avec vigueur. Il est super excité par la situation ce qui me laisse à penser qu'il aime être vu. Il me baise alors à fond. Ses va et vient sont profonds et intenses. Il me prend de plus en plus vite.
- Qu'est ce que tu es bonne Julie. J'adore baiser les asiats à la chatte serrée.
- Hmmm Abdel continues c'est trop bon.
- Tu aimes ça te faire baiser par un arabe avec une grosse queue.
- Oui j'adore.
- Dis le que tu aimes ça.
- J'adore me faire baiser par des arabes avec une grosse queue.
- Allez bouges toi salope.
Il accompagne ses propos de petites fessées qui claquent bien mes fesses.
- Je vais te prendre ton petit cul de salope maintenant.
- Vas y doucement Abdel, on n'a pas de lubrifiant.
- T'inquiètes pas, tu vas aimer.
Il crache sur ses doigts et sur mon cul pour lubrifier l'entrée. Il sort alors son sexe de ma chatte et présente son gros gland à l'entrée de mon anus. Il écarte mes fesses tant qu'il peut et commence à forcer un peu pour entrer.
- Détends toi Julie !!
- Je fais ce que je peux Abdel.
Il insiste et parvient à faire rentrer son gland. C'est assez douloureux mais j'ai envie de faire cet effort. Il continue de rentrer doucement son sexe dans mon anus. Il n'est pas encore entré en entier mais il commence les mouvements de va et vient en moi et s'enfonce tout  doucement de plus en plus profondément. La douleur cède peu à peu la place au plaisir. Il accélère peu à peu pour me sodomiser sauvagement ensuite.
- J'adore t'enculer Julie.
- Hmmm. Vas y doucement Abdel.
- Tu l'aimes ma grosse queue hein ?
- Oui Abdel je l'adore.
Il continue ainsi en accompagnant ses mouvements de petites claques sur les fesses. Je sens son sexe se gonfler et il sort d'un coup pour jouir par grandes saccades sur mon cul. J'ai les fesses couvertes de sperme.
- Tu garderas un petit souvenir de moi pendant le reste de ta garde me dit-il en souriant.
Il se rhabille et me laisse m'essuyer et me rhabiller ensuite. Je suis un peu déçue de cette fin où je me retrouve avec les fesses collantes de son sperme. Il aurait pu me demander avant de jouir sur mes fesses. Je décide d'aller voir Antoine afin de m'expliquer avec lui, un peu gênée qu'il m'ait vu ainsi. Il est cependant déjà parti se coucher et c'est ce que je fais également.

Les jours suivants, je n'ai plus de nouvelles d'Abdel ce qui me déçoit beaucoup. Pire, je le croise en train de draguer à nouveau une infirmière ce qui me rend jalouse. J'essaie de la prévenir mais elle prétend de pas être intéressée et qu'il n'y a rien entre Abdel et elle. C'est alors que le chef de service demande à me recevoir dans son bureau.
- Bonjour Julie, je vais être assez direct avec vous. Avez vous eu des rapports sexuels avec Abdel ?
- Monsieur, comment avez vous su ?
- Répondez à la question. Je vous ai surpris sortant des toilettes des femmes juste après lui un soir déjà. Et ensuite les rumeurs vont vite ici.
- Oui je dois l'avouer c'est déjà arrivé.
- Je vous demande de tout m'écrire dans un rapport. Et soyez précise. Je ne sais pas encore quelle suite donner à tout cela mais sachez que je suis déçue. Vous êtes bientôt médecin et vous devez montrer l'exemple. Et coucher avec le premier infirmier venu n'est pas acceptable dans mon service. Vous pouvez disposer.
- Oui monsieur. Je suis désolée vraiment. Je ne voulais pas vous décevoir. Je demande votre indulgence.
- Écrivez votre rapport. Je verrais si je dois faire preuve de mansuétude à votre égard.
Je quitte le bureau complètement abattue. Si je me fais virer du stage je vais perdre un an sur ma scolarité et je ne sais pas comment je pourrais l'expliquer à Pierre. Je croise Antoine à qui j'explique tout cela. Il se montre bienveillant avec moi. Je commence à écrire mon rapport et je m'efforce d'être aussi précise que possible. C'est assez gênant de raconter tout cela mais je suis tellement inquiète que je le rends au plus vite. Je suis reçu deux jours plus tard par le chef de service.
- Bonjour Julie. Voilà comment on va procéder. Abdel a couché avec 4 femmes du service en l'espace de quelques mois. Je vais donc le muter de service. Quant à vous, la plupart vous avez décrit des relations consenties mais je vais appuyer sur le fait que vous avez été séduites par lui et qu'il en a profité. Vous pourrez donc finir votre stage mais à condition de vous montrer exemplaire jusqu'à la fin de votre stage.
- Merci monsieur. Je vous promets que vous n'aurez pas à le regretter.
- J'espère bien. Je garde votre rapport dans mon bureau et sachez qu'une autre erreur et je transfère au directeur de l'hôpital directement. Vous pouvez disposer Julie.
Je n'en mène pas large mais je suis soulagée néanmoins que je puisse finir mon cycle. Je suis bien décidée à faire attention désormais.

Je rentre chez moi, bien décidée à me reposer. Pierre m'attend et est apparemment furieux. Il vient d'apprendre tout ce qui s'est passé avec Abdel. Avant de partir et pour se venger, il a réussi à trouver son numéro et à l'appeler. Il lui a raconté avec force détails tout ce qui s'était passé entre nous, la façon dont je l'avais sucé et le nombre de fois où il m'a sodomisée. Je suis tellement surprise que je ne sais pas quoi dire. Il me demande de quitter sa maison. Il ne veut plus me voir pour le moment. C'est décidément ine semaine particulièrement difficile pour moi. Je ne sais plus où j'en suis et ce que je dois faire. Je décide d'appeler Antoine afin de voir s'il peut m'héberger pour quelques jours. Le voisin, Charles, est en voyage et je ne peux pas en profiter du coup. Antoine m'accueille chez lui avec plaisir. Je lui annonce que c'est provisoire et juste pour quelques jours, le temps de mettre les choses au point avec Pierre. La première nuit chez Antoine se passe bien. Son appart est petit mais il est très prévenant avec moi et me laisse même dormir dans son lit alors que lui dort sur le canapé. Cela me permet de me remettre de mes émotions.

Après cette bonne nuit de sommeil, je me sens à nouveau prête à cette nouvelle journée de travail. Elle se passe d'ailleurs sans rien de notable. J'essaie de reprendre contact avec Pierre et lui envoie plusieurs messages auxquels il ne répond pas. Le soir, je rentre avec Antoine à son appart. Nous prenons un petit dîner qu'il essaie de rendre le plus agréable possible. Il cherche à me remonter le moral. Il ouvre alors une bouteille de vin en me disant que c'est le meilleur anti-dépresseur qu'il connaisse. Au moment de se coucher, je lui propose de prendre la canapé, ce sera plus agréable pour lui. Il me propose que nous prenions le lit tous les deux. Il a une autre couette ce qui permettra que nous dormions côte à côte sans qu'il y ait de contacts entre nous. J'accepte cette solution et nous nous retrouvons donc tous les deux ainsi. L'effet du vin me détend et me rend euphorique. Antoine s'approche alors de moi et pose ses mains sur moi. Il se rapproche pour m'embrasser mais je le repousse doucement.
- Je suis désolé Julie.
- T'inquiètes Antoine, pas de soucis. C'est juste que je ne sais plus trop où j'en suis et je ne préfère pas sortir avec toi maintenant. Je te ferais plus de mal qu'autre chose.
- On ne sortira pas ensemble alors dit-il en rigolant mais je peux au moins te faire un massage ?
- J'avoue que ça me ferait plaisir oui.
- Allez enlèves ton T-shirt alors dit-il en souriant.
- Heu, je ne sais pas trop.
- T'inquiètes je t'ai déjà vu presque nue la dernière fois où je t'ai surpris avec Abdel.
J'accepte alors et enlèves mon T-shirt et mon shorty pour me retrouver en string devant Antoine. Je suis un peu gênée d'autant qu'il n'en perd pas une miette. Mais la gêne est vite remplacée par du plaisir car Antoine masse à la perfection. Il masse mes épaules, mon dos, le bas du dos. Puis d'un coup, il fait glisser mon string doucement. C'est juste pour me masser correctement le bas du dos dit-il en me rassurant. Je sens ses mains qui glissent sur mes fesses mais c'est plutôt agréable. Puis ses mains glissent sur mes cuisses puis ils remontent vers mon entre jambe. Un de ses doigts s'égare jusqu'à l'entrée de mon sexe et il s'aperçoit à ce moment là que je mouille fort. Tout en continuant de me masser, son autre main caresse mon entre jambe et un de ses doigts s'aventure vers ma petite fente. Il introduit son doigt en moi et commence à me doigter. Je me laisse faire et prend beaucoup de plaisir à cela. Il me retourne et me met sur le dos. Je sens son visage descendre vers mon sexe et il commence à me lécher la chatte tout en introduisant plusieurs doigts en moi. Sa langue parcourt mon sexe et fait le tour de mon clito. C'est d'autant plus agréable qu'il prend son temps. Il y va tout en douceur. Je gémis tellement c'est agréable et j'ai rapidement un puissant orgasme. Je remarque que son sexe est en érection mais il ne me fait pas du tout envie. Je n'ose pas lui dire et je simule d'être épuisée par mon orgasme.
- Antoine c'était merveilleux mais je suis naze là.
- T'inquiètes Julie, j'ai adoré ce moment avec toi. Bonne nuit.
Je m'endors assez vite.

Le soir suivant, le scénario se répète. Antoine propose de me masser à nouveau. Je refuse d'abord mais finit par craquer, me promettant de ne pas aller plus loin. Mais il ne peut s'en empêcher et il me refait un cuni merveilleux. Je n'ai malheureusement toujours pas envie de lui. Il prend alors ma main et la pose sur son sexe qui est plutôt petit d'ailleurs, même en érection. Je finis par céder et à le caresser un peu. Je le branle franchement et il vient dans ma main assez rapidement. Il me remercie pour cela et nous nous endormons assez vite.
Le lendemain soir, Antoine recommence. Je commence à être gênée car je ne veux pas aller plus loin avec lui. Il ne me plaît pas vraiment. Malgré tout j'accepte son massage et son cuni, espérant que l'on s'arrête là. Après le cuni, il souhaite me pénétrer mais je n'en ai pas envie. Je finis par accepter mais sans passion. Il me prend en missionnaire mais heureusement il jouit en moi assez vite.

Je décide le lendemain de trouver une autre solution d'hébergement en attendant que les choses s'arrangent avec Pierre. Je découvre qu'il y a des petits studios qui peuvent être mis à disposition des soignants à des tarifs avantageux. Je parviens à en négocier en en parlant avec mon chef de service. Je le remercie chaleureusement pour avoir accepté ma demande aussi vite. J'en parle à Antoine qui ne cache pas sa déception. Je lui dis que j'ai besoin de temps. J'organise le transfert de mes affaires le soir même.

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