Récit 9 : mon stage aux urgences - histoire érotique

Après cet été mouvementé, la rencontre incroyable avec Pierre, mes premières désillusions et la découverte de mon voisin et des expériences intenses à ses côtés, je commence ma deuxième année d'internat. J'avais fait les deux premiers semestres en dermato et en psychiatrie, j'avais commencé par ceux là parce qu'ils m'intéressaient moins et j'avais réussi à les placer en premier, je poursuivais par les urgences. Ce sera sûrement le plus dur de mes stages mais aussi le plus intéressant. Il n'y a rien de mieux pour apprendre même si le rythme est intense. J'ai prévenu Charles qu'il serait plus difficile pour moi de le voir car peu de temps de libre et que je ne pourrais pas concilier mon travail, ma relation avec Pierre et lui. Il se montre très compréhensif d'autant qu'il s'en doutait et se contente avec beaucoup de classe de me demander de garder en tête que sa porte est toujours ouverte pour moi et que je pourrais venir quand je le souhaite.

Mon premier jour aux urgences est tel que je l'imaginais. Tout va très vite, il y a peu de moyens et le travail ne manque pas. Je me sens vite débordée mais heureusement l'équipe est top et cherche à m'aider. Seul le chef de service se montre très distant et très froid. Le reste de l'équipe me rassure en me disant que c'est un mec bien mais qu'il attend que je fasse mes preuves avant de m'accorder sa confiance et de briser la glace. Cela me convient et je suis bien décidée à montrer rapidement de quoi je suis capable. La première semaine se passe du mieux que je peux mais je sors exténuée de mes premières gardes. Je m'intègre alors relativement vite à l'équipe. Même le chef de service en vient à me faire des compliments sur ma capacité d'intégration rapide.

Au bout d'un mois, nous recevons le renfort d'un infirmier du nom d'Abdel. Il se montre très sympa au début mais un peu dragueur. Une autre infirmière se renseigne alors sur lui et s'aperçoit qu'il a quitté son ancien service parce qu'il a tendance à être un peu dragueur et comme il est plutôt beau gosse, il avait fini par avoir plusieurs aventures au sein du même service ce qui avait déstabilisé l'équipe. Je prends cela en rigolant d'autant que pour le moment, il reste relativement sage et jette son dévolue sur ma copine Sophie, une jolie blonde aux formes généreuses. Elle est en couple et semble sérieuse donc je me dis que de toute façon il n'a aucune chance. Jusqu'à cette fin de garde de nuit, j'étais plutôt confiante sur sa capacité à résister mais un matin, très tôt, j'entends du bruit dans la pharmacie du service. C'est plutôt surprenant car presque personne n'est réveillé vu l'heure, il est 04h00 du matin. J'allais moi-même me recoucher mais je décide d'aller voir, intriguée par ce qui se passe, pensant peut-être à un voleur. Je rentre doucement et surprend alors Sophie debout les mains contre le mur du fond. Abdel est derrière elle en train de la prendre en levrette debout. Elle pousse des petits gémissements de plaisir tandis qu'abdel lui met des petites claques sur les fesses. Ils ne peuvent pas me voir et j'en profite du coup pour regarder. C'est assez sauvage, mais ça l'air de plaire à Sophie. Il la prend comme ça depuis pendant presque un quart d'heure. Il la fait mettre ensuite à genoux et il jouit sur son visage. Je suis surprise que Sophie aime tout cela. J'en profite pour m'éclipser discrètement. Je n'en reviens pas de ce que j'ai vu. Je me recouche alors avec cette image dans la tête. Abdel a réussi en à peine 3 semaines à faire craquer Sophie, peut-être moins. Ça m'étonnerait qu'ils en soient à leur première fois. Je décide néanmoins de garder cela pour moi.

Après ce premier mois sur six, j'ai enfin trouvé mon rythme et ma place dans l'équipe. Je m'entends de mieux en mieux en particulier avec mon chef de service, pourtant très froid au départ. Il y a également un collègue dont je me rapproche, Antoine. C'est un mec d'une promo du dessus également en stage avec moi. Il est très mignon mais j'essaie de revenir dans le droit chemin après mes nombreux excès avec le voisin l'été dernier. Et puis je n'ai toujours pas eu la preuve que mon homme, Pierre, est infidèle. La vie que je mène me plaît et je ne souhaite pas tout perdre.

L'ambiance dans le service est excellente hormis avec Sophie dont l'attitude a changé depuis son histoire avec Abdel. En effet, il a commencé à draguer une des infirmières du service et ne semble plus s'intéresser à elle. Je décide d'aller lui en parler afin de lui dire que je sais tout et qu'elle peut m'en parler si cela peut l'aider.
- Sophie ça n'a pas l'air d'aller depuis quelques jours. Je pense que c'est à cause d'Abdel non ?
- Comment tu le sais ?
- Je vous ai aperçu il y a 10 jours dans la pharmacie. Et depuis, tu fais la gueule.
- En effet oui. Depuis qu'on a couché ensemble, il ne me parle plus. Il m'a fait croire que j'étais importante pour lui et que je lui plaisais beaucoup. J'ai fini par être séduite et on flirté puis un peu plus.
- Tu as couché avec lui souvent ?
- Oui plusieurs fois. On a fait beaucoup de choses.
- Tant que ça ?
- Oui j'ai fait des choses que je ne fais même pas avec mon mec. Je l'ai sucé jusqu'au bout. J'ai avalé son sperme et il a même joui sur mon visage. Et du jour au lendemain, plus rien.
- Tu dois vite l'oublier. C'est un pauvre type.
- Tu as raison. Ça me fait du bien de t'en parler.
Je décide d'aller voir Abdel pour lui en parler. Ce n'est pas normal ce qu'il fait. Je profiterais de la prochaine garde de nuit pour le voir. La soirée est intense et je n'ai pas une minute à moi. Je finis par dîner à minuit. Je suis crevée et je n'ai qu'une envie, c'est de me coucher. Mais je me motive et je me rends à la salle des infirmiers pour essayer de trouver Abdel pour lui parler. J'entre sans frapper et je constate qu'Abdel est encore en train de frapper. Il est debout face à la porte et une infirmière est à genoux en train de le sucer. L'infirmière tente de se retourner mais Abdel lui maintient la tête et me fait un geste pour que je sorte. Quel culot ! Je n'en reviens pas. Je suis furieuse contre lui. Je décide d'aller voir Antoine qui est de garde avec moi. Je lui dis tout et vide mon sac. Il hallucine aussi de ce que je raconte. Il me dit que c'est compliqué par contre d'en parler au chef de service. Sophie a un mec et n'a pas envie que ça se sache et l'infirmière avec qui il est également. Nous sommes un peu déçus de ne rien pouvoir faire contre lui.

Nous nous retrouvons un soir pour un pot de départ. L'ambiance est détendue et tout le monde boit un peu. Je ne suis pas de garde donc j'en profite pour me lâcher. J'enchaîne les verres tout comme tous les gens du service qui ne sont pas de garde. On danse ensemble et on passe un bon moment. C'est alors qu'Abdel vient me parler et souhaite que l'on discute dans un endroit plus calme.
- Qu'est ce que tu veux Abdel ?
- Je ne sais pas pourquoi tu m'en veux autant Julie.
- C'est pour ce que tu as fait aux autres filles. Ce n'est pas honnête de ta part.
- Tu n'as que leur version. Je ne suis pas le mec qu'elle te décrive tu sais. J'essaie juste de trouver une femme pour me poser mais je n'y arrive pas.
La conversation se poursuit longuement mais j'ai tout de même du mal à le croire.
Nous retournons rejoindre les autres et Abdel me propose de prendre un verre avec lui. Il me demande de lui accorder cela afin de lui donner une chance de me convaincre. La conversation se poursuit et on finit par échanger sur plein de choses. En dehors de l'opinion que j'avais de lui, je m'aperçois qu'il est plutôt sympa et assez drôle. Il me propose alors de danser avec lui juste sur cette chanson qu'il adore. Après il s'engage à me laisser tranquille si je le souhaite. En plus d'être drôle, il danse très bien. Après cette danse endiablée, je me laisse tenter par reprendre un shot avec lui. Je commence à être un peu pompette et je me rends compte que malgré moi, j'ai commencé à flirter avec Abdel. Il en profite et souhaite m'emmener dans un coin de l'hôpital que je ne connais pas. Il veut me faire une surprise. Nous montons au dernier étage par l'ascenseur et ensuite il me montre une échelle qui permet d'accéder au toit de l'hôpital. La vue est superbe et la température est plutôt douce. Abdel a ramené avec lui 2 gobelets et une petite flasque contenant du punch.
- Quoi de mieux pour profiter de la vue qu'un petit verre de punch.
- J'avoue tu me surprends. Le cadre est magnifique. Et puis un petit verre ça ne se refuse pas.
On s'assoit sur le rebord et là il se tourne vers moi et on s'embrasse. Il glisse sa main dans ma chemise. Il commence à deboutonner les boutons de ma chemise et à me caresser les seins. Je lui repousse doucement la main. Il en profite pour la descendre entre les jambes et à glisser sa main vers mon string. Je le repousse alors à nouveau.
- Abdel, je n'ose pas trop. Je ne sais pas si je peux te faire confiance.
- Je sais Julie mais j'ai très envie de toi. Regardes dans quel état tu me mets.
Il ouvre son pantalon et sors son sexe qui est bien épais et en train de grossir. Il prend ma main et la pose sur son sexe.
- Tu ne veux pas m'aider stp. J'en ai trop envie ma belle.
Il se remet à m'embrasser et accompagne ma main pour que je le branle un peu. Je commence à la caresser de plus en plus vite. J'espère alors que ça suffira à le faire jouir. Mais j'ai beau accéléré il ne vient pas. Il me susurre à l'oreille qu'il a très envie de ma bouche. Je me laisse aller à me mettre à genoux entre ses jambes et à commencer à lui faire une fellation. Son sexe est assez épais et je galère un peu au début. Je ne mets que son gland en bouche et je le branle avec ma main. L'autre main lui caresse les boules. Il passe sa main dans mes cheveux fait des commentaires élogieux sur ma prestation. Je sens alors son sexe se raidir. Il jouit dans ma bouche et j'avale tout son sperme.
- Wow. Merci Julie j'ai adoré.
- Ça reste entre nous tout ça.
- Bien sûr Julie. Je vais te prouver que tu peux avoir confiance en moi.
- Retournons vite voir les autres maintenant.
Nous retournons à la soirée qui bat son plein en espérant que personne n'ait remarqué notre absence à tous les deux.

Je revois Abdel deux jours plus tard lors d'une garde. Il me propose un café pour discuter un peu et il me reparle de notre aventure sur le toit.
- J'ai tellement aimé ce moment tous les deux.
- Moi aussi Abdel mais on ne doit pas recommencer.
- Pourquoi Julie ? C'était tellement bien. Et j'aimerais te donner du plaisir aussi.
- Abdel non ce n'est pas prudent.
- Mais j'en ai encore très envie. Tu me fais un.effet de dingue. Regardes dans quel état je suis quand je suis avec toi.
Il sort sa grosse queue qui est déjà bien gonflé. Il bande déjà. Je reconnais que ça me fait de l'effet de voir Abdel le beau gosse avec une jolie queue bander pour moi dès qu'il me voit.
- Abdel arrêtes. On pourrait nous voir.
- Il faut que tu m'aides. Je ne vais pas rester comme ça tout de même.
- Suis moi mais je te préviens c'est la dernière fois.
Nous allons vers les toilettes de l'étage qui est heureusement vide à cette heure. Nous rentrons dans une cabine et je m'assois sur l'une des cuvettes. Lui se place face à moi et descend son pantalon à mi cuisse. Je me lance alors dans une fellation énergique, ne souhaitant pas perdre trop de temps et surtout ayant peur que l'on se fasse surprendre. Je lui demande d'aller vite et rapidement il commence à se masturber pendant que je le suce. Il se branle littéralement dans ma bouche. Il est tellement vif que je ne suce plus que son gland presque. Je sens son sexe qui se raidit et il effectue un mouvement vers l'arrière qui fait que son sexe sort de ma bouche et que son sperme va directement sur mon visage. Je suis tellement surprise que je ne bouge pas. J'en ai partout sur moi.
- désolé Julie, c'est sorti d'un coup.
- J'en ai partout. Sors en premier, je vais essayer de m'essuyer un peu avant de sortir.
Abdel sort et croise alors le chef de service qui entre dans les toilettes des hommes. Il lui demande ce qu'il faisait dans les toilettes des femmes. Il bredouille qu'il s'est trompé. Je suis super gênée car je ne veux pas que mon chef de service me voit comme ça. J'attends un peu et sort de la cabine. J'essaie de me rincer le visage et le col de ma blouse alors imprégné du sperme d'Abdel. Je ressors alors et je vois que le chef de service devant les toilettes attend.
- Salut Julie. Tu étais dans les toilettes avec Abdel ?
- Non monsieur. Je suis désolée mais c'est un malentendu. Il ne s'est rien passé.
- Mais pourquoi tu as le visage et ton col trempé ?
Il comprend alors ce qui s'est passé et devient tout rouge. Il me demande de continuer mon service, déstabilisé par ce qu'il vient de voir et repart aussitôt. Je retrouve Abdel et lui explique la situation. Il me rassure et me dit de ne pas m'inquiéter, il n'a sûrement rien compris réellement.

Les deux jours suivants se déroulent normalement et l'incident dans les toilettes semble être passé inaperçu. Abdel continue d'essayer de me voir dès  qu'il peut. J'essaie tant bien que mal de l'éviter car malgré tout je m'aperçois qu'il me plaît et je n'ai pas envie de m'attacher à mon tour pour me faire larguer ensuite. Il finit par me trouver un soir de garde à la salle de repos. Il est très tard et les urgences sont enfin calmes. J'allais prendre une bouteille d'eau avant d'essayer de dormir quelques heures.
- Coucou Julie, tu m'évites ?
- Non Abdel mais j'avais beaucoup de travail comme toi et je dois aller me coucher.
- Désolé Julie mais je n'arrête pas de penser à toi tout le temps.
- Arrêtes Abdel je suis sûre que tu dis ça à toutes les femmes que tu fréquentes.
- Non Julie. Je t'assure, j'ai besoin de te voir, de te parler. J'ai très envie de t'embrasser là maintenant.
- Non Abdel, on pourrait nous surprendre. Et puis j'ai un mec, je n'aurais pas dû faire ce que j'ai fait déjà.
- Julie j'ai tellement envie de toi. Laisses moi une chance stp. Tu ne peux pas me laisser dans cet état là.
Il ouvre son pantalon pour me montrer son sexe déjà presque en érection.
- Abdel, on pourrait nous voir. Remets ton pantalon.
- D'accord mais tu viens avec moi. La chambre des infirmiers de garde est discrète t'inquiètes. Je veux juste te prendre dans mes bras et t'embrasser.
- Juste 5 minutes alors, promis ?
- Promis Julie.
Je le rejoins dans la chambre de garde des infirmiers. On commence à s'embrasser et il me prend dans ses bras. Comme j'aurais pu m'en douter, il baisse son pantalon et prend ma main pour que je puisse constater à quel point il a envie de moi. Je le caresse un peu mais il me dit qu'il a envie de plus. Je me mets alors à genoux face à lui qui est debout et je commence à le sucer. Je vais rapidement de plus en plus vite. je l'enfonce également au plus profond de ma bouche pensant le faire jouir vite. Mais j'ai beau tout donner, au bout de 10 minutes, il ne vient toujours pas. Je commence à avoir mal à la bouche et aux genoux. Abdel finit par me dire qu'il veut plus ce soir. Il me relève et me déshabille lentement. Je suis encore hésitante mais son assurance me déroute complètement. Il reste habillé et me met à quatre pattes au bord du lit. Il se met derrière moi et me prend en levrette. Je sens son gros gland qui se présente le long de ma fente. Je me demande si ça va rentrer facilement dans la mesure où il a un gros sexe. Mais à ma grande surprise, je suis déjà très humide et je me rends compte que j'en avais très envie. Je sens son gros gland entrer doucement en moi. Sa queue envahit mon sexe et me donne beaucoup de plaisir. Il accélère doucement et me donne ensuite des grands coups de bassin. Il me prend sauvagement et commence à me mettre une petite fessée. C'est assez sauvage mais j'y prends vite goût. Après quelques minutes comme cela, il finit par craquer et jouit bien fort en moi. Il sort de moi et se rhabille à la hâte.
- Tu as bien aimé Abdel.
- Oui Julie c'était top. On doit vite y retourner désolé.
Je me rhabille vite fait, mon sexe plein du sperme d'Abdel. Je sors un peu frustrée malgré tout surtout par sa sortie précipitée.

Je croise Abdel le lendemain et il semble indifférent à ma présence. Il se permet même de draguer une autre interne ouvertement. Je suis partagée entre la déception et la colère. Je profite d'une soirée où nous sommes tous les deux de garde deux jours plus tard pour mettre les choses au clair avec lui.
- Abdel, il faut qu'on se parle.
- Qu'est ce qu'il y a Julie.
- J'ai l'impression que tu m'ignores depuis qu'on a couché ensemble ?
- Ce n'est pas ça mais je ne sais jamais à quoi m'en tenir avec toi. Tu ne veux pas coucher avec moi car tu as ton mec et des fois tu craques donc je ne sais pas ce que tu veux.
- Ma situation est compliquée c'est vrai. Mais je souhaite que l'on continue de se voir (il arrive à me faire culpabiliser). Je pense très souvent à toi.

Après cet échange intense, on se retrouve dans la pharmacie tous les deux. On s'embrasse passionnément. Rapidement, il appuie sur mes épaules pour me faire comprendre se descendre pour que je le suce. Je m'exécute avec plaisir et je me surprends moi-même d'être aussi soumise. Je le suce aussi bien que je peux. Il a droit au grand jeu. Je lui leche le gland tout en le regardant. Je passe du temps sur les boules tout en le branlant. Je remets son gland en bouche que je pompe bien fort. Il me relève alors et baisse mon pantalon et mon string sans ménagements  et il me retourne afin que je sois face au mur en appui. Il me penche et me penètre d'un coup. Je sens son gros sexe me remplir ma chatte assez serrée. Il me pénètre sauvagement et ça m'excite de lui plaire. Il me met un doigt dans les fesses. Il commence à travailler mon anus. Je comprends à ce moment là qu'il en veut encore plus. Il crache sur ses doigts et recommence à me doigter l'anus. Après quelques minutes ainsi, il sort son sexe et présente don gland devant mon petit trou.
- Abdel il faut du lubrifiant pour mes fesses. Ton sexe est trop gros pour ici.
- T'inquiètes ça va rentrer j'ai déjà bien lubrifié.
- Abdel non vraiment.
Il râle alors mais trouve rapidement de la vaseline dans la pharmacie et s'en enduit le sexe. Il revient vers moi et présente son gland contre mon anus. Malgré le lubrifiant, il force un peu pour entrer ce qui est un peu douloureux pour moi. Il commence les va et vient dans mes fesses et heureusement le lubrifiant fait son effet et je me décontracte progressivement. Je commence alors à prendre du plaisir et à aimer le fait qu'Abdel me sodomise. Il continue ainsi quelques minutes tout en tirant mes cheveux vers l'arrière et en me mettant des petites fessées. Il fait des commentaires salaces mais cela finit par me plaire également.
- Julie tu es trop bonne.
- Hmmm Abdel continue oui.
- J'aime trop ton cul bien serré de petite salope. J'avais trop envie de t'enculer.
Il me sodomise sauvagement encore et finit par jouir dans mes fesses.
- Abdel c'était trop bon.
- J'ai bien aimé Julie. Je dois y retourner par contre.
- Tu n'as pas 5 minutes pour prendre un café avec moi ?
- Désolé Julie je dois y aller.

Il finit de se rhabiller et s'éclipse assez vite.
Je suis encore frustrée de ce départ aussi rapide. Je suis également surprise d'être aussi soumise à lui. Je me sens comme sous son emprise et malgré son comportement, j'ai encore envie de le voir. Plus il me fuit, plus j'ai envie de le voir, plus j'ai envie de tout donner pour lui faire du bien et qu'il m'apprécie. Je commence même à céder à toutes ses exigences. Je me rends compte que je suis même jalouse lorsqu'il parle à une autre femme. Je ne sais plus quoi faire et je suis plutôt désorientée. La raison voudrait que j'arrête tout mais je ne peux pas m'empêcher de chercher à le revoir.

N'hésitez pas à faire des commentaires. Je les apprécie beaucoup et ça me donne très envie de continuer. À bientôt j'espère