Régine serait-elle jalouse ? - histoire érotique

J'avais prêté un de mes livres à un ami venu me rendre visite, puis , nous nous sommes perdus de vue. J'avais complètement oublié la chose, quand nous nous sommes revus. Il m'a invité à une soirée de jeux, au cours de laquelle je récupérerais mon bien.
Le week end suivant, je me suis rendu à l'adresse indiquée, muni de mon invitation. La maison était jolie, un peu isolée, dans l'arrière pays. Un portail électrique en fermait l'accès. J'ai sonné, et, un gros type hyper musclé est venu m'ouvrir. J'ai garé ma voiture et me suis rendu sur le perron de la villa. L'ami en question est venu m'accueillir, un verre à la main.
- On attendait plus que toi ! Me dit-il.
- Pourquoi ?
- Tu m'avais bien promis que tu viendrais ?
Il me fit entrer et referma la porte. J'ai remarqué qu'il l'avait verrouillée.
- T'as fermé à clé, t'as peur qu'on s'enfuit ?
- Non, on a peur que TU t'enfuies !
- Moi ? Pourquoi ?
- Tu te rappelles le livre que tu m'as prêté ?
- Ca fait tellement longtemps....
- Ben le voilà, dit-il en le récupérant sur le guéridon de l'entrée.
Je regardai l'ouvrage, les Contes Immoraux, de Régine Desforges.
- Et alors ?
- Tu te rappelles de l'histoire ?
- Vaguement...
Il me prit par le bras en m'entraina vers la porte vitrée. Il l'ouvrit et me poussa à l'intérieur. Tout autour de la pièce, il y avait des tables de jeux. Au milieu, une table avec trois hommes assis. On aurait dit qu'ils se préparaient à jouer aux cartes.
- Tu vois la table de poker ? Ben le quatrième c'est toi.
- Mais je sais pas jouer !
- C'est pas grave ! Rappelles-toi, tu dois perdre !
- Pourquoi ?
- C'est un strip poker ! Ce que tu va jouer ce soir, c'est ton cul ! Et ta bouche peut-être. Allez ! Installes-toi !
Au ton péremptoire de sa voix, je compris que je n'avais pas le choix. Je me suis assis à la place vacante et la partie a commencé. J'ai d'abord perdu mon pantalon. Ce sont les gagnants qui m'enlevaient mes vêtements. Le pantalon a disparu rapidement, mais le gagnant me fit tourner, debout devant l'assistance, afin qu'ils puissent apprécier mes formes. Le pullover et la chemise suivirent. Quand je me suis retrouvé en slip, on m'a conduit sur l'estrade, où deux hommes m'attendaient. Je m'aperçus, qu'il y avait aussi des femmes. Elles étaient aussi excitées que leurs congénaires masculins. Un des hommes plongea sa main dans un récipient et en sortit un petit morceau de papier plié. Il l'ouvrit et annonça un numéro. C'est une femme qui s'approcha. Elle monta sur la scène et s'approcha de moi. Elle se saisit des mes bras et les souleva au-dessus de ma tête. Elle joignit mes mains derrière ma nuque. Elle s'agenouilla, et me prenant par les hanches, elle me fit tourner sur moi-même.
- Allez, me dit-elle, tourne !
J'obéis. Elle agrippa mon slip et le fit glisser lentement, découvrant un morceau de mes fesses, le remontant pour maintenir la tension que je sentais parmi les convives. Enfin, elle m'arrêta dans mes rotations, le dos tourné vers les autres et baissa mon slip jusqu'à mes pieds. J'ai entendu des murmures. Elle m'a fait soulever les pieds, un par un et a fait disparaître le sous-vêtement. Puis, elle m'a fait faire un demi-tour. Tout le monde pouvait voir ma bite qui pendait entre mes jambes. Alors, elle revint devant moi, et prit ma queue dans sa bouche. En quelques secondes, je bandais comme un cerf. Elle se releva et me raccompagna à ma place.
Le jeu recommença. A la première partie, j'ai dû sucer la queue du gagnant. A la suivante, le gagnant me courba sur la table et m'encula.
Pour ma défaite d'après, on avait installé une table un peu plus basse. Un homme, la bite fièrement dressée, m'attendait. Je me suis empalé dessus. Un autre m'a attrapé par les cheveux, a relevé ma tête, et m'a fourré sa grosse bite dans la bouche. Elle était si volumineuse que j'ai failli m'étrangler. Ils se sont activés ensemble, et, toujours ensembles, ils ont lâché leurs spermes dans ma bouche et dans mon cul. Du coup, j'ai joui sur mon enculeur et j'ai dû le nettoyer avec ma langue.
Le jeu a continué et j'ai été pris dans toutes les positions. A chaque fois, il y avait un participant supplémentaire. A trois, j'en avais un dans la bouche et un dans le cul, comme précédemment. Le troisième s'est glissé derrière moi, m'a penché en avant et s'est introduit dans mon cul pour ce qu'on appelle une double pénétration. A quatre, j'avais deux bites, plutôt longues dans la bouche. Les mecs avaient coordonné leurs mouvements pour que leurs glands s'enfoncent dans ma gorge à tour de rôle. A cinq et six, j'en suçais deux pendant que j'en branlais deux autres et que les deux autres se partageaient mon cul. Pour la dernière partie, tous les hommes ont participé. On m'a couché au milieu de la table basse et tous se sont branlés sur mon corps. J'ai reçu la plus énorme douche de sperme que j'ai jamais vue.
Pour finir, on m'a rhabillé et m'a fourré dans une voiture qui m'a ramené chez moi. Je suis retourné à l'adresse et je n'ai retrouvé, sur les lieux de mes exploits, qu'un restaurant gastronomique. Aujourd'hui, je reçois encore des cartes d'invitations, qui n'indiquent ni le nom de l'expéditeur, ni le lieu de la rencontre.
Aurais-je rêvé tout cela ?