Rencontre à la plage
Récit érotique écrit par Jimauv [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontre à la plage
Nous sommes vers la mi-juin, comme tous les ans, dès le retour des beaux jours, je profite desweek-end pour aller à la plage. De Nantes, les destinations possibles sont multiples. Mon choix se fait toujours sur une plage vendéenne, j'adore ces paysages de longues plages de sable bordées de dunes. Et pour être plus précis, je choisis systématiquement une plage ou le bronzage intégral est autorisé. Les plaisirs du nudisme sont multiples : plaisir des sens, quand les éléments tels le soleil, l'air, l'eau caressent une peau entièrement nue. Plaisir esthétique qui est de voir sa peau dorer jour après jour sans trace blanche. Plaisir exhibitionniste, bien sûr et plaisir du voyeur qui en est le parallèle.
Ce-jour-là donc, après être resté exposé au soleil, je vais me rafraichir dans la mer. Je laisse mes affaires sur ma serviette et fais les quelques dizaines de mètre pour gagner l'eau. A mon retour, je vois qu'un mec s'est installé pas loin de moi. Plutôt jeune, mince, blond, les cheveux ras. Il est assis sur sa serviette, ses lunettes de soleil cachent son regard. Je regagne mes affaires, me sèche et je me rallonge. Fin de l'après-midi, je replie le tout et retourne chez moi sans faire plus attention à mon voisin.
Le lendemain, le soleil étant de nouveau au rendez-vous, je retourne sur la même plage. Je vais me baigner, et au retour je m'aperçois que mon voisin de la veille est revenu et s'est installé au même endroit. Cette fois, je le vois de dos, ses fesses musclées sont particulièrement appétissantes. Je me rallonge à ma place et reprends mon bronzage. Il fait très chaud, mais en garçon prévoyant, j'ai toujours une bouteille d'eau dans mon sac. Il faut dire que les plages naturistes sont assez dépourvues des services habituels, vendeurs de boissons fraiches et autres. Après m'être désaltéré, je me rallonge sur le ventre. Quelques instants plus tard, j'entends qu'on me parle :
Excuse-moi, j'ai vu que tu as à boire. Est-ce que tu peux me passer une gorgée ?
Je me retourne pour moi le beau blond debout au-dessus de moi. Je peux maintenant le détailler entièrement – en d'autres endroits, j'aurais pu dire le déshabiller du regard, mais là ce n'est pas nécessaire. Il est mince, le torse imberbe. Il a quitté ses lunettes pour me parler, je peux donc apercevoir ses magnifiques yeux bleus. Mais c'est surtout son sexe épais, légèrement décalotté même au repos, qui le classe dans la catégorie des mecs canons.
Bien sûr, tiens. Par contre, ce n'est que de l'eau.
Çà me va, Merci.
En me rendant la bouteille, il engage la conversation.
Je t'ai déjà aperçu hier. Tu viens souvent ?
Oui. J'habite sur Nantes et en été, j'aime bien venir ici.
Tu es nantais ? Cool, moi aussi. On pourrait se retrouver, faire des choses ensemble.
Quoi, par exemple ?
J'espérais qu'il pensait à la même chose que moi.
Je ne sais pas, aller au cinoche, sortir en boîte. Enfin, des trucs sympas.
Prénoms – j'apprends qu'il s'appelle Stéphane – et numéros de téléphone échangés, nous rapprochons nos deux serviettes afin de continuer à discuter de choses et d'autres, puis, l'après midi touchant à sa fin, nous repartons chacun de notre côté.
Le surlendemain, comme convenu, il m'appelle et nous prenons RDV pour le vendredi soir. Il me donne l'adresse d'un resto qu'il trouve « sympa » et nous convenons de nous y retrouver vers 21 h.
La discussion durant le repas s'oriente surtout vers des banalités. Vers 11h, au moment de partir, Stéphane se tourne vers moi :
Il est un peu tôt pour que la soirée se termine. On pourrait aller en boîte. J'en connais une très bien, elle est à deux pas d'ici.
OK, je te suis.
Par contre, il faut que je te prévienne, si tu y vas pour brancher une nana, n'y compte pas trop. Dans cette boîte, il n'y a que des mecs.
Attends, tu veux dire que c'est une boîte homo ?
Oui, j'espère que cela ne te gène pas ?
Non, je serai avec toi, ce sera plutôt cool.
J'ai l'impression que mon futur mec ne se rend pas compte que son plan de drague est gagné d'avance. Je me demande même s'il a compris que mon orientation sexuelle était la même que la sienne
La boîte n'était pas loin. Stéphane n'attend pas très longtemps avant de se lancer dans la suite de l'opération. A peine déposé nos affaires au vestiaire, il me prend par la taille, d'abord juste une main au niveau des reins, puis voyant que je ne me dégage pas il me prend complètement par la taille. Je me tourne alors vers lui et lui souris pour lui faire comprendre que j'apprécie le moment et que j'ai envie que cela continue. C'est en arrivant dans la grande salle qu'il se tourne vers moi :
Ote-moi d'un doute, tu es gay.
Oui, et je ne sais pas comment tu ne l'as pas vu avant.
Et je me penche vers lui (je suis à ce moment 2 marches plus haut) et pose mes lèvres sur les siennes. Il me rend mon baiser avec fougue et en profite pour me peloter les fesses.
La soirée en boîte passe comme dans un rêve, et vers 2h du mat, nous sortons en nous tenant pas la main. Il m'invite à venir chez lui, ce que j'accepte, bien évidemment.
Comme par hasard, il n'habite pas loin de là, ce qui fait que nous y sommes en 10 minutes. Je suis à peine entré qu'il m'enlace, me caresse, défait mes vêtements. Je ne suis d'ailleurs pas en reste puisque de mon côté, je passe mes mains sous son T-shirt pour caresser ses tétons. Très vite, je me retrouve entièrement nu, dans l'entrée, mes vêtements éparpillés autour de nous. Lui est en slip, je devine que sa queue ne supportera pas longtemps de rester comprimée ainsi. Aussi je m'agenouille devant lui, je passe ma main dans son dos, descends dans la raie de ses fesses, ce qui a le mérite de faire descendre son slip. Je dégage sa queue bien raide qui retenait l'avant du slip, finis de la décalotter. J'approche mes lèvres de son gland. De la langue, je parcours toute la longueur de son membre, d'abord sur le coté puis en dessous. J'atteins ses boules que j'aspire l'une après l'autre avant de repartir en arrière pour aller prendre entièrement le gland en bouche. Je commence mon va-et-vient sur sa queue, Stéphane appuie alors sa main sur ma nuque pour m'inciter à l'absorber encore plus complètement. Ses hanches commencent leur mouvement d'avant en arrière, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. Je sens que mon amant ne tardera pas à juter, et si je veux que la soirée dure un peu, il faut que je ralentisse. Je commence alors à sortir sa queue de ma bouche, mais Stéphane ne me laisse pas faire. Il appuie plus fort encore sur ma nuque, et me murmure :
S'il te plait, continue, c'est trop bon. J'ai envie de jouir sur ta jolie petite gueule.
Après tout, nous aurons d'autres occasions de faire l'amour plus complètement, alors je cède à sa requête. Je le prends à pleine bouche, accélérant mon mouvement de succion, jouant de la langue sur son gland, caressant ses boules de la main.
Au moment où je sens qu'il va jouir, je penche la tête en arrière, ferme à-demi les yeux. Son gros gland est maintenant devant ma bouche ouverte. Il laisse échapper un râle; au mêmemoment , je sens son chaud liquide projeté sur ma langue. A long jets, son sperme arrose également tout le haut de mon visage, je le sens couler sur mon nez, dégouliner sur mon menton. Je continue à le branler pour qu'il se vide complètement.
C'est vraiment trop bon, me dit-il. Tu m’as sucé comme jamais personne ne l'avait fait.
Je réalise que mes talents dans ce domaine m'ont acquis Stéphane pour un long moment. C'est un mec que j'ai eu dans la peau dès que je l'ai vu, et j'imagine que j'aurai beaucoup d'autres soirées intéressantes avec lui. Peut-être prétextes à d'autres histoires.
Ce-jour-là donc, après être resté exposé au soleil, je vais me rafraichir dans la mer. Je laisse mes affaires sur ma serviette et fais les quelques dizaines de mètre pour gagner l'eau. A mon retour, je vois qu'un mec s'est installé pas loin de moi. Plutôt jeune, mince, blond, les cheveux ras. Il est assis sur sa serviette, ses lunettes de soleil cachent son regard. Je regagne mes affaires, me sèche et je me rallonge. Fin de l'après-midi, je replie le tout et retourne chez moi sans faire plus attention à mon voisin.
Le lendemain, le soleil étant de nouveau au rendez-vous, je retourne sur la même plage. Je vais me baigner, et au retour je m'aperçois que mon voisin de la veille est revenu et s'est installé au même endroit. Cette fois, je le vois de dos, ses fesses musclées sont particulièrement appétissantes. Je me rallonge à ma place et reprends mon bronzage. Il fait très chaud, mais en garçon prévoyant, j'ai toujours une bouteille d'eau dans mon sac. Il faut dire que les plages naturistes sont assez dépourvues des services habituels, vendeurs de boissons fraiches et autres. Après m'être désaltéré, je me rallonge sur le ventre. Quelques instants plus tard, j'entends qu'on me parle :
Excuse-moi, j'ai vu que tu as à boire. Est-ce que tu peux me passer une gorgée ?
Je me retourne pour moi le beau blond debout au-dessus de moi. Je peux maintenant le détailler entièrement – en d'autres endroits, j'aurais pu dire le déshabiller du regard, mais là ce n'est pas nécessaire. Il est mince, le torse imberbe. Il a quitté ses lunettes pour me parler, je peux donc apercevoir ses magnifiques yeux bleus. Mais c'est surtout son sexe épais, légèrement décalotté même au repos, qui le classe dans la catégorie des mecs canons.
Bien sûr, tiens. Par contre, ce n'est que de l'eau.
Çà me va, Merci.
En me rendant la bouteille, il engage la conversation.
Je t'ai déjà aperçu hier. Tu viens souvent ?
Oui. J'habite sur Nantes et en été, j'aime bien venir ici.
Tu es nantais ? Cool, moi aussi. On pourrait se retrouver, faire des choses ensemble.
Quoi, par exemple ?
J'espérais qu'il pensait à la même chose que moi.
Je ne sais pas, aller au cinoche, sortir en boîte. Enfin, des trucs sympas.
Prénoms – j'apprends qu'il s'appelle Stéphane – et numéros de téléphone échangés, nous rapprochons nos deux serviettes afin de continuer à discuter de choses et d'autres, puis, l'après midi touchant à sa fin, nous repartons chacun de notre côté.
Le surlendemain, comme convenu, il m'appelle et nous prenons RDV pour le vendredi soir. Il me donne l'adresse d'un resto qu'il trouve « sympa » et nous convenons de nous y retrouver vers 21 h.
La discussion durant le repas s'oriente surtout vers des banalités. Vers 11h, au moment de partir, Stéphane se tourne vers moi :
Il est un peu tôt pour que la soirée se termine. On pourrait aller en boîte. J'en connais une très bien, elle est à deux pas d'ici.
OK, je te suis.
Par contre, il faut que je te prévienne, si tu y vas pour brancher une nana, n'y compte pas trop. Dans cette boîte, il n'y a que des mecs.
Attends, tu veux dire que c'est une boîte homo ?
Oui, j'espère que cela ne te gène pas ?
Non, je serai avec toi, ce sera plutôt cool.
J'ai l'impression que mon futur mec ne se rend pas compte que son plan de drague est gagné d'avance. Je me demande même s'il a compris que mon orientation sexuelle était la même que la sienne
La boîte n'était pas loin. Stéphane n'attend pas très longtemps avant de se lancer dans la suite de l'opération. A peine déposé nos affaires au vestiaire, il me prend par la taille, d'abord juste une main au niveau des reins, puis voyant que je ne me dégage pas il me prend complètement par la taille. Je me tourne alors vers lui et lui souris pour lui faire comprendre que j'apprécie le moment et que j'ai envie que cela continue. C'est en arrivant dans la grande salle qu'il se tourne vers moi :
Ote-moi d'un doute, tu es gay.
Oui, et je ne sais pas comment tu ne l'as pas vu avant.
Et je me penche vers lui (je suis à ce moment 2 marches plus haut) et pose mes lèvres sur les siennes. Il me rend mon baiser avec fougue et en profite pour me peloter les fesses.
La soirée en boîte passe comme dans un rêve, et vers 2h du mat, nous sortons en nous tenant pas la main. Il m'invite à venir chez lui, ce que j'accepte, bien évidemment.
Comme par hasard, il n'habite pas loin de là, ce qui fait que nous y sommes en 10 minutes. Je suis à peine entré qu'il m'enlace, me caresse, défait mes vêtements. Je ne suis d'ailleurs pas en reste puisque de mon côté, je passe mes mains sous son T-shirt pour caresser ses tétons. Très vite, je me retrouve entièrement nu, dans l'entrée, mes vêtements éparpillés autour de nous. Lui est en slip, je devine que sa queue ne supportera pas longtemps de rester comprimée ainsi. Aussi je m'agenouille devant lui, je passe ma main dans son dos, descends dans la raie de ses fesses, ce qui a le mérite de faire descendre son slip. Je dégage sa queue bien raide qui retenait l'avant du slip, finis de la décalotter. J'approche mes lèvres de son gland. De la langue, je parcours toute la longueur de son membre, d'abord sur le coté puis en dessous. J'atteins ses boules que j'aspire l'une après l'autre avant de repartir en arrière pour aller prendre entièrement le gland en bouche. Je commence mon va-et-vient sur sa queue, Stéphane appuie alors sa main sur ma nuque pour m'inciter à l'absorber encore plus complètement. Ses hanches commencent leur mouvement d'avant en arrière, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. Je sens que mon amant ne tardera pas à juter, et si je veux que la soirée dure un peu, il faut que je ralentisse. Je commence alors à sortir sa queue de ma bouche, mais Stéphane ne me laisse pas faire. Il appuie plus fort encore sur ma nuque, et me murmure :
S'il te plait, continue, c'est trop bon. J'ai envie de jouir sur ta jolie petite gueule.
Après tout, nous aurons d'autres occasions de faire l'amour plus complètement, alors je cède à sa requête. Je le prends à pleine bouche, accélérant mon mouvement de succion, jouant de la langue sur son gland, caressant ses boules de la main.
Au moment où je sens qu'il va jouir, je penche la tête en arrière, ferme à-demi les yeux. Son gros gland est maintenant devant ma bouche ouverte. Il laisse échapper un râle; au mêmemoment , je sens son chaud liquide projeté sur ma langue. A long jets, son sperme arrose également tout le haut de mon visage, je le sens couler sur mon nez, dégouliner sur mon menton. Je continue à le branler pour qu'il se vide complètement.
C'est vraiment trop bon, me dit-il. Tu m’as sucé comme jamais personne ne l'avait fait.
Je réalise que mes talents dans ce domaine m'ont acquis Stéphane pour un long moment. C'est un mec que j'ai eu dans la peau dès que je l'ai vu, et j'imagine que j'aurai beaucoup d'autres soirées intéressantes avec lui. Peut-être prétextes à d'autres histoires.
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