Retour en avion
Récit érotique écrit par de la taille [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 8 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de de la taille ont reçu un total de 27 001 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 489 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Retour en avion
Retour en avion
Mon histoire s’est déroulée il y a déjà cinq ans. Je rentrais d’un court déplacement professionnel à l’étranger. Oh ! Ce n’était pas très loin, d’Helsinki à Paris. Pour une des rares fois, ma secrétaire n’avait pas trouvé de place en Business, mais pour cinq heures de vol pour une fois cela n’était pas très important.
Avec la configuration de l’appareil Airbus, j’étais près du hublot, mais sur une rangé de trois, ce qui n’est pas très confortable et vers le fond de la cabine. Je constatais que l’équipage était constitué presque entièrement de stewards et seulement d’une hôtesse de l’air.
J’ai déposé mon petit sac et ma veste dans le rack à bagages situé au-dessus. Je commence à m’installer quand un des stewards montrent les deux places qui sont à côté de moi. Et je m’aperçois de quoi ??? Un grand jeune homme châtain clair (j’ai su après qu’il venait d’avoir dix-neuf ans) avec un très bel homme quinquagénaire à peine.
J’ai dû ravaler ma salive en voyant ces deux personnages, qui venaient s’installer à mes côtés. Le jeune était d’une beauté helléniste impressionnante, quant à l’homme qui l’accompagne est également très beau avec un grand charme avec ses cheveux poivre et sel. Très correctement et gentiment ceux-ci me saluent chaleureusement avant de terminer de s’installer sur leur siège respectif. Le jeune homme s’installe sur le siège du milieu.
Pour respecter les consignes de sécurité, le personnel nous fait mettre et attacher les ceintures de sécurité et de rabattre nos tablettes situées devant nous. Le roulage et le décollage s’effectuent, je regarde par le hublot le paysage qui s’éloigne. Un peu las de mon difficile séjour professionnel je cale ma tête sur le haut dossier, tout en commençant de me détendre, je ferme partiellement les yeux, car la beauté de ce jeune m’intrigue beaucoup et ne me rend pas insensible. Il doit mesurer 1.95m avec des muscles légèrement effilés et dessinés, il a seulement quelques petits poils très clairs sur les bras, car il porte un magnifique tee-shirt manches courtes de grande marque. Et pour ne rien gâcher un sublime regard accompagne son doux sourire presque juvénile. Il a dû se raser de près car aucunes traces de barbe sur ses jolies joues à cette heure de la journée. Déjà dans la cabine le personnel s’agite en proposant un rafraîchissement. C’est le même steward qui était venu les placer lors de l’embarquement qui fait le service dans notre couloir. Lui aussi est très beau mais un peu plus âgée une petite trentaine. Il regarde avec admiration et contemplation le jeune homme qui est à mes côtés, mais aussi son voisin. Le steward nous propose différentes boissons et accompagnements Pour des raisons de facilité ergonomique, il commence par moi qui suis au bout de la rangée près du hublot. Il me sert mon whisky et me le tend avec le mini plateau d’amuse-bouche. Il se penche afin que j’atteigne l’ensemble, mais pendant ce peu de temps il regarde avec des yeux enjôleurs le monsieur de la cinquantaine ce qui fait sourire le jeune. Puis c’est au tour du jeune d’être servi. En posant son verre et le plateau sur sa tablette le jeune est un peu déstabilisé et mon genou et le sien se heurte. Très poliment et en rougissant il s’excuse. Nous nous ne sommes toujours pas adressés la parole. Peut-être qu’avec ce premier verre et les heures qui vont suivent, nous serons un peu moins tendus. Je déguste tranquillement ce rafraîchissement tout en lisant un article économique fort intéressant dans mon hebdomadaire. Le jeune et le monsieur se sont chaussés des casques-écouteurs et regardent déjà un film.
Tout cela fait passer le temps et voilà notre steward ramassant le matériel de la prestation. Je me tords un peu pour lui tendre plateau et verre, c’est à ce moment que mon genou appuie celui du jeune ; mais cette fois-ci je le laisse en contact. Rien se passe, je ne m’excuse pas, le jeune ne se tourne pas vers moi et ne retire pas son genou. A travers le tissu de mon pantalon, je sens la chaleur du genou de mon voisin. Il le laisse en contact. Aurait-il compris mon souhait ou désir ? Je continue ma lecture et lui, son intérêt pour le film. Je n’ose plus bouger et peut-être lui non plus. Une bonne demi-heure après en tournant les pages de mon magazine involontairement mon genou s’éloigne légèrement. Et, que se passe-t-il ? C’est lui qui vient me rejoindre. Le voyage se continue, et apparemment quand ce n’est pas lui, c’est moi qui fais basculer mon genou pour retrouver le sien. Un message serait-il en train de passer ? le mon-sieur qui l’accompagne ne se rend compte de rien et écoute de la musique les yeux fermés. Probablement en prévision du repas qui devait être servi dans peu de temps il abaisse sa tablette, ce qui permet de lui cacher une partie de la jambe. L’a-t ’il fait exprès pour que son voisin ne s’aperçoive pas de nos mouvements de genoux. Je lui adresse enfin la parole, vous avez raison, avec la tablette je peux déposer mon magazine et prendre appui.
Sa tête pivote vers moi avec un très joli sourire en me répondant - oui, c’est plus confortable et nettement plus commode. Effectivement. Nous avons toujours nos genoux collés et parfois il fait quelques petites pressions. Ah le message passe me dis-je en continuant ma lecture. Au bout d’un long moment il fait signe à un membre du personnel navigant : « pourrions-nous avoir une autre boisson s’il-vous plait » Lorsque j’ai entendu le nous, je pensais que c’était pour lui et le monsieur à ses côtés – Eh bien non, « vous prendrez comme tout à l’heure ?» Je ne pouvais donc pas refuser. Une hôtesse nous ramène nos boissons avec quelques accompagnements que nous déposons sur notre tablette. Le jeune prend son verre, le lève et me dit : « à notre voyage » je lève le mien et le remercie pour cette heureuse initiative. Tout en buvant, c’est lui qui rompt une fois de plus la glace en m’informant qu’il rentre de voyage d’agrément avec son père car il a réussi sa thèse et avec son père avaient fait un petit périple en Russie et ensuite les fjords de Norvège. J’avais enfin l’explication de la présence de l’homme à ses côtés. Le jeune s’appelle Edouard, qu’il a eu dix-neuf ans et a plus de deux ans d’avance dans son cycle d’études supérieures. Après ces quelques échanges sympathiques et chaleureux nous reprenons notre activité lui son écran pour son film et moi un autre article de mon hebdomadaire. Comme vous le devinez, avec ces quelques phrases d’échange nos genoux sont toujours collés ou à sa recherche. Une bonne heure de vol s’était encore écoulée durant laquelle je m’étais un peu assoupi, et rêvant de ce jeune su rayonnant.
Comme involontairement, je laisse glisser ma main (celle qui est du côté du siège du milieu) le cœur battant et j’essaie d’approcher mes doigts de la cuisse d’Edouard. Eh op !! mon majeur touche le tissu du pantalon et donc sa cuisse, j’attends quelques secondes rien ne se passe, je dépose donc les autres doigts et ma paume de main. Je fais de très légères pressions, sous l’effet de celles-ci son genou se décolle du-mien et du coup il repositionne ses jambes différemment, ma main toujours posée. Il ne bronche pas. Je sens la chaleur, en continuant mes pressions, frôlements et caresses sur cet endroit. A un moment où il pianote sur l’écran pour choisir un autre programme, Edouard tourne légèrement la tête et me fait un sourire me regardant d’un regard plein de douceur. Un fois son film trouvé, il se cale sur son siège, et j’en profite pour que ma main remonte plus à l’intérieur de sa cuisse et le bout de mon doigt touche son paquet. Dès qu’il a senti mon doigt pour être encore plus à l’aise, il se meut pour se glisser plus en arrière.
Là, je pose ma main sur sa braguette et ce qu’il y a dedans bouge et grossi.
Je ne vois rien, mais j’imagine la forme de son entre-jambe. Je soulève à peine ma main pour que son sexe ait de la place en se développant. Hum ! le bout de mon doigt devine le dessin de son gland, et avec mon index, j’effectue des petits cercles au niveau de ce qui pourrait être la couronne. Son barreau a comme quelques soubresauts, je décide de caresser sur la longueur et de m’arrêter par moment comme pour encercler cette bite à l’intérieur de ma main. Il faut que je me calme, je ne voudrais tout de même qu’il éjacule comme cela dans son pantalon. J’arrête ce semblant de massage qu’il semble apprécier pour caresser sa cuisse doucement. Se serait-il endormi, ou le fait-il exprès sa tête tombe sur mon épaule. J’apprécie beaucoup cette présente. Eh ! Non ! il ne dort pas car il me susurre à l’oreille, c’est bon ce que vous me faites, mais attention, arrêtez un peu. Je lui obéis, et enlève ma main je la remettrai plus tard. Quant à lui, il laisse sa tête sur mon épaule. Je m’assoupis légèrement, cela calmera mon excitation, et à l’extérieur la nuit commence à tomber et le ronronnement des réacteurs facilitent mon pseudo sommeil.
A un moment j’émerge un peu et regardant ma montre, il s’est écoulé presque deux heures. Il fait complètement noir à l’extérieur et l’intensité lumineuse de la cabine a été baissée, et une certaine fraicheur y règne. Discrètement je refais glisser ma main sur la cuisse d’Edouard, qui lève légèrement sa tête pour me sourire. Donc, il est consentant et comme tout à l’heure je fais avancer ma main vers son paquet que je sens chaud et aussi raide. Mes doigts caressent progressivement et doucement cette impressionnante tige. Pour moi, c’est un régal de sentir ce jeune vibrer, mais en avançant un de mes doigts celui-ci se heurte à deux doigts qui sont posés sur cette trique. Tiens, Edouard trop excité était en manque de mes caresses et à continuer de se toucher, ce que je comprends. Confiant, je caresse ces doigts. L’épiderme de mon doigt trouvent ces doigts comme plissés et avec quelques poils au niveau des phalanges. Mais, Mais, cela ne peut être ceux d’Edouard, lui imberbe et avec une jolie peau très fine. J’ai comme un choc, ce sont les doigts de son père qui pris mon relais pour le maintenir en forme. Honteux et rougissant, je retire presque d’un coup sec ma main, de peur de me faire ‘’engueuler’’ par ce monsieur style mannequin gentleman aux tempes poivre et sel. Il vient probablement de s’apercevoir que je touchais ou draguais son fils. Je mets ma main sur la tablette et la tête du père se penche, l’air assez fermé pour s’adresser à moi, j’ai les jambes qui tremblent et le cœur oppressé, quand il ouvre sa bouche, pour me dire : ‘’excusez-moi monsieur de vous avoir dérangé, mon fils a dû aimer, allez-y, vous pouvez continuer’’. J’étais soulagé, mais je croyais rêver.
Son père qui sans aucun doute touche son grand fils et en plus ferme les yeux de ses aventures avec autrui. Comme un idiot, j’appuie sur le signal pour faire demander une boisson au personnel navigant. Un steward arrive une quinzaine de minutes après et lui commande un Gin-tonic en lui disant que peut-être ces messieurs souhaitent également boire quelque chose. Ils acceptent et prennent la même chose que moi, quelques instants nous trinquons tous les trois à cet agréable voyage et chaleureuse rencontre. Pendant ce rafraîchissement je remis ma main pour retâter l’appareil génital d’Edouard et de retrouver les doigts de son papa. Nous malaxons ce morceau qui se remit à grandir et durcir. Cela m’excitait beaucoup. Dommage cela sera terminé que moins de trois heures et nous serons obligés de nous séparer. Mais pour le moment pensons à ces moments imprévus et particuliers.
Après toutes ces heures assis et avec quelques boissons, il faut que je les dérange pour me diriger vers l’arrière de l’appareil aux toilettes. Tous les trois nous rabattons nos tablettes, se détachent et se lèvent pour me laisser cordialement passer. Pour une fois pas beaucoup d’attente. Je me détends après quelques instants les jambes pour retourner vers mon siège. Pendant mon absence le personnel avait distribué des couvertures à tous les passagers. Le siège côté couloir était vide avec une couverture sur l’assise et le papa d’Edouard s’était assis à ma place au hublot. Je me suis permis de changer de place, vous serez mieux là, il faut être compréhensif et partager l’inconfort. Je le remercie courtoisement. La fraîcheur s’étant bien installée, c’est avec plaisir que je m’enveloppe dans cette couverture. Une bonne demi-heure après j’ai de nouveau envie de sentir mon Edouard et faire revivre son braquemard dans son pantalon. La cabine est dans la pénombre, il était plus facile pour moi d’effectuer ce geste. Je glisse ma main sur la cuisse, et là le tissu est moins tendu que les fois précédentes, je continue à glisser progressivement vers la braguette pour y retrouver ce beau morceau. J’avance, j’avance en massant un peu et, le bout de mes doigts effleurent quelque chose d’inattendu, les cheveux du père. Je caresse donc le dessus du crâne du quinquagénaire. Je glisse ma main et sens la joue creusée du bel homme., avec de faibles mouvements de la tête Il est en train de faire une fellation à son fils. La tête d’Edouard, retombe sur mon épaule, il me glisse à l’oreille : ‘’j’étais trop excité, je sentais que çà allait venir, et je ne voulais pas tâcher mon pantalon. J’ai demandé à mon père d’en finir’’. Ce morceau de phrase à peine terminé, que me parvint des bruits d’aspiration et de succion que je sens le souffle d’Edouard s’accélérer, avec de très faibles gémissements et instinctivement ses jambes se raidirent en soulevant légèrement son bassin. Edouard éjacule donc dans la bouche de ce beau monsieur. ‘’Je me suis bien vidé, vous m’aviez tellement excité avec vos attouchements imprévus’’. Quelques secondes après la tête du père (Jean-Eric apparait les lèvres luisantes et s’adressent à moi : ‘’vous aviez dû bien le préparer, car il y a longtemps qu’il ne m’avait pas donné une telle dose de sa liqueur’’ . Avec ces quelques mots, je comprends que ce n’est pas la première fois que Jean-Eric et Edouard font des choses ensemble et presque sans se cacher. Je suis très abasourdi de cette situation et de cette vision. Edouard me confit que je l’avais bien caressé et qu’il avait aimé mes approches délicates et subtiles.
Il m’aurait bien donné sa suprême substance mais me demander une fellation à ces moments-là n’étaient guère pratiques et conventionnels.
Jusqu’à la fin du voyage, il me tient tendrement la main que l’on pose sur sa cuisse avec nos doigts enlacés.
Nous approchons bientôt de la fin de ce vol aux circonstances imprévues et avec cette rencontre très surprenante, mais pleine de chaleur et de délicatesse. Au bout d’un moment notre avion vient au contact du tarmac. La chef de cabine énonce les différentes consignes de sécurité et de sortie.
Nous sommes presque un des derniers rangs de la cabine, ce qui nous laisse le temps de prendre de nos affaires dans les racks à bagages et échanger avec Jean-Eric le temps que la passerelle se mette en place et que les passagers de l’avant débarquent. Le steward de l’embarquement est derrière et suis le débarquement des passagers du fond. Je souhaite à Jean-Eric et Edouard une bonne et belle soirée. Moi, j’aurai pour une petite heure afin de rejoindre enfin la maison, avec la joie après cette semaine de pénible déplacement retrouver mon épouse et mes deux jeunes enfants. C’est moi qui suis près du couloir qui commence à me dégager de l’allée suivi de mon bel éphèbe Edouard et derrière Jean-Eric. Je demande à Edouard s’ils seront bientôt chez eux. ‘’Oh, non, nous devons dormir à l’hôtel car les heures de correspondances ne coïncident pas.’’ Et d’un coup il me dit à ma grande stupeur, ‘’tu viens prendre un pot avec nous et même dîner avec nous’’. J’ose à peine lui répondre, il faut voir avec ton père, mais il faut que je rejoigne ma famille. Edouard se retourne vers Jean-Eric et je constate qu’il échange des paroles avec son père. J’ai su que mes voisins de voyage descendent à l’hôtel Sheraton. Enfin nous débarquons et nous dirigeons vers le tapis à bagages. Pendant l’attente assez courte pour une fois, Jean-Eric
se tourne vers moi et me propose que nous terminions la soirée en dînant ensemble. Je veux rentrer retrouver ma famille, mais il insiste soutenu par Edouard qui fait allusion aux heures agréables de ce voyage. Souvent en déplacement, je pourrai évoquer un retard de la Compagnie aérienne. Nos bagages récupérés nous prenons la navette qui nous dépose devant ce splendide établissement quatre étoiles rutilant de lumières. Les bagages de mes voisins de voyage sont pris en charge par un personnel de l’hôtel pendant que Jean-Eric se dirige vers un comptoir, moi je suis avec Edouard. Doucement, je lui lance que j’avais été gêné tout à l’heure dans l’avion lorsqu’il m’a surpris en train de te toucher.
« Oh, ne t’en fait pas Julien, il y a six mois, j’ai découvert après le divorce de mes parents que mon père est bisexuel et qu’il l’assume très mal, c’est là que je lui aie fait mon coming-out. Il a été surpris mais l’a bien accepté. Le même jour il m’a confié que depuis un moment les corps masculins ne le laissaient pas insensible. Nous sommes partis aux Antilles à Noël et presque innocemment nous sommes allés sur une plage naturiste (du côté gay) Quant il est remonté de la mer je me faisait faire une fellation, cela l’a excité et le mec ne sachant pas que c’était mon père, lui a dit « tiens fini le, il a une bonne bite » En rougissant il m’a sucé, mais mal, il s’y prenait comme pour une chatte, alors je lui ai donné quelques conseils et s’en est resté là. « Je ne crois pas qu’il fréquente ce milieu ». « S’il te plaît, restes dîner avec nous, papa apprécie ta classe je suis sûr que cela lui fera plaisir et tu as été tellement gentil avec moi. »
Jean-Eric revient vers nous.
« La réservation est bonne, nos bagages seront montés. Julien restez avec nous, je vous invite, cela me fait plaisir, et nous pourrons discuter plus longuement. »
Nous nous dirigeons vers la brasserie, à cette heure le gastronomique est fermé. Jean-Eric commande pour nous un petit plat et une bonne bouteille. Lors de cet instant de partage, il m’explique qu’il s’est séparé de son épouse qu’il aime mais n’arrivait plus à la satisfaire tellement elle était demandeuse de sexe et ne voulait pas lui faire de gâteries, alors que lui l’amenait à l’orgasme avec des cunnilingus quotidiens, et inconsciemment j’étais attiré par les corps masculins. Après un moment d’hésitation rajoute que c’est grâce à Edouard avec son coming-out qui m’a osé parler de certains plaisirs. En trois quart d’heure nous avions beaucoup échangés et terminés notre petit plat, il était temps que je rentre. Nous nous levons et nous dirigeons vers cet immense hall. Je demande mon grand sac au bagagiste. Jean-Eric, me tient par le bras, vous n’allez pas rentrer à cette heure, restez.
« Je ne vais pas dormir ici, et ma femme ? »
« Vous lui évoquez un problème aérien, venez donc dans notre chambre, j’ai commandé une bouteille, Edouard a été très heureux de son voyage à côté de vous »
A cette phrase Edouard me sourit, en ajoutant : « tu as tellement été doux, je souhaite bien continuer encore avec toi et que tu fasses découvrir des choses à papa ».
Je suis devenu tout rouge, mais accepte cette proposition assez excitante.
Nous prenons tous les trois l’ascenseur et entrons dans cette immense chambre, où deux lits (ce qui prouve qu’ils ne sont pas dans le même lit) se situent à gauche de la pièce. Sur la droite un confortable mini-salon. Sur la table-guéridon, sont déposés un sceau avec une bouteille, des verres et des mignardises. Nous prenons place, Edouard à côté de moi, nous trinquons et je pose ma main sur sa cuisse en remontant rapidement vers son paquet qui est déjà dur. J’essaie d’ouvrir sa braguette pour enfin découvrir ce que j’avais senti pendant le vol. Quelques manipulations et je sens cette chair chaude, lui défait son bouton de ceinture et avec mes deux doigts j’extirpe son sexe dur et bandé. Oh ! quel engin !! C’est un très beau sexe bien droit de dix-huit /dix-neuf centimètres et un bon cinq diamètres, je ne peux m’empêcher de me pencher immédiatement pour me le mettre en bouche. Son gland est déjà décalotté en faisant apparaître un méat suintant du liquide pré-séminal. Je referme mes lèvres en les ourlant pour faire une petite pression. Je descends progressivement pendant que mon autre caresse ses bourses lisses dénudées de tout poil. Edouard se rase le pubis étant bien net. Ma fellation le fait bien gémir, il me caresse gentiment la joue. J’accélère un petit peu et son barreau se gonfle encore. Pendant mes mouvements de va et vient je jette un coup d’œil vers le fauteuil où est assis son père. Il a les jambes écartées et à travers son pantalon se caresse une énorme bosse. Il a ses yeux fixés sur notre partie de plaisir. Je ne veux pas qu’Edouard décharge de suite, malgré son envie inavouée. Je remonte très doucement la bouche dégageant progressivement son sexe de la cavité chaude de ma bouche. Il me regarde droit dans les yeux et me dit « Oh, je n’ai jamais été sucé comme cela, je veux jouir, je veux juter, c’est meilleur qu’avec papa »
De son côté Jean-Eric bougonne se sentant peut-être un peu vexé par la réflexion de son fils. Je ne fais aucun commentaire, mais je suggère à Edouard d’aller prendre une bonne douche pour débander et apaiser son excitation et de revenir, pendant ce temps-là je vais parler un peu avec Jean-Eric.
Edouard se dirige vers la salle de bain quant à moi je vais sur l’autre fauteuil près du père. J’ai l’impression que vous avez l’air excité. Oui, pour moi c’est très nouveau, et voir les corps s’agite m’excitent. Je ne réponds rien
Edouard sort de la salle de bain avec l’immense serviette autour de la taille.
Je passe ma main, son sexe est tout frais. Je luis suggère de se mettre sur le dos pour que Jean-Eric découvre un plaisir auquel il n’avait probablement pas pensé. « Venez Jean-Eric » je demande à Edouard d’ôter la serviette et nous découvrons son corps de félin grec complètement lisse allongé sur le dos avec sa bite bien droite. « Regardez Jean-Eric, comme c’est beau un corps d’homme lisse et ses attributs si bien entretenus » Pour l’exciter j’avance ma main et commence une délicate masturbation, je m’arrête et de demande à Edouard de bien lever ses grandes jambes pour que son père découvre sa rosette. Elle magnifique, légèrement plissée et sans aucun poil.
Je me tourne vers Jean-Eric « Au lieu de faire un cunnilingus, maintenant vous allez faire des anulingus ». Il hésite, je le pousse légèrement, il met un genou sur le lit et sort sa langue et lèche tendrement le petit orifice. Edouard, pousse de petits miaulements, Jean-Eric continue avec mes mouvements de langue plus rapides et une langue bien ferme, sous ces coups la rosette se déplisse et l’homme instinctivement rentre le bout à l’intérieur. Edouard pour des cris et de fortes onomatopées. « C’est bon ! oh oh oh ouiiii ! Cela a l’air de plaire au deux, j’avance ma main sur la cuisse et l’entre jambe de Jean-Eric sur un paquet dur comme du béton. Avec le creux de la main je masse l’ensemble. J’ose ouvrir la ceinture, pour avoir accès au bouton et zip du pantalon. Ce n’est pas facile, mais j’arrive à le faire descendre en entraînant le sous vêtement, tellement le tout est serré. Les poils de pubis ont noirs mais taillée qui laisse paraître un sexe que je ne n’avais pas vu depuis longtemps. Une matraque, un gourdin de vingt-et-un centimètres au moins mais surtout d’un diamètre d’âne de huit ou neuf centimètres. Et avec un tel matériel sa femme n’était pas satisfaite ! que lui fallait-il donc !
Je suis surpris et interloque par une telle dotation. A ce moment, je vais mon sac de voyage et fouille dans ma trousse de toilette. Je m’adresse à Edouard, lève bine tes jambes et tiens-les, ta rosette doit-être prête je suppose. Je fais relever la tête de Jean-Eric pour déposer une grosse noix de gel sur la rosette.
Edouard réagit « Non, non, Julien, pas avec lui, c’est un monstre » le père ne comprend pas tout à fait. « il faut que tu fasses plaisir et il doit découvrir tout ce que l’on peut effectuer avec amour entre homo ». Je masse le gland et l’anacondas du père. J’ai du mal tellement le diamètre est important. Je pousse Jean-Edouard
« Maintenant vous aller prendre sa petite rosette que vous avez bien travaillé »
« Je ne peux pas faire cela ? »
« Vous le sucez bien jusqu’à absorber sa semence, je croyais que vouliez découvrir des choses, cela en est une »
Jean-Eric hésite, s’approche, je tiens le gourdin pour bien le mettre dans l’axe du petit trou entre-ouvert. Il pousse un peu sans trop oser forcer. Je caresse la joue d’Edouard, et lui tiens la main qu’il me sert fort. Jean-Eric pousse gentiment centimètre par centimètre. Il ne veut pas lui faire mal sachant l’importance de son matériel, Edouard pousse des Non, non Aïe, Aïe, douuuceeeement !! Sa main me griffe presque quand son père lui a introduit son gland et une petite dizaine de centimètres. Je suis content les choses ont l’air de bien se passer. Jean-Eric n’a pas encore commencé ses vrais mouvements de bassin avec les va et vient mais seulement des poussées. Voyant que tout se déroule le mieux possible, j’enduis de nouveau mes doigts de gel pour en introduire un dans le trou du Jean-Eric. Il sursaute
« Que faites-vous » « chut ! continuez votre travail, allez-y » A ces mots, Jean-Eric commence à donner des coups de reins successifs et bien appuyés
Et j’entends maintenant des hum hum oui papa, ouiii papaaa ! De mon côté je suis arrivé à lui rentrer deux doigts et avec sa position je n’ai aucun mal à atteindre sa prostate que je caresse et masse. Jean-Eric crie carrément c’est bon c’est bon continuez continuez c’est incroyable. Du coup il accélère ses mouvements de bassin qui font plaisir à son fils, il accélère et lui hurle « Je vais jouiiir en toi, je vais jouiir en toi » « vas ’y vas ’y c’est trop bon je te sens bien » lui répond-il.
Edouard a pris sa queue en main et se l’astique violemment « oui oui oui je vais juter » Quant à Jean-Eric lui accélère en grognant c’est bon. Je continue à lui masser la prostate qui a bien gonflé.
J’entends un profond Ah ! et un gros jet de sperme venant de la que d’Edouard macule le visage de Jean-Eric qui est en train de se vider dans les entrailles de son fils. Il se retire laissant le trou ouvert tellement le pilon est énorme, et je continue à masser la prostate et là chose à laquelle jean-Eric ne s’attendait pas hurle crie s’agite un flot de sperme sort de sa puissante une quantité impressionnante de sperme très liquide et transparent en inondant le lit où il s’affale en étant pris d’un fort orgasme avec de nombreux soubresauts Le drap est tout mouillé par la quantité de ce liquide rendant fou de plaisir.
Je vais embrasser Edouard qui est essuie sa queue et lui glisse à l’oreille merci, tu as fait plaisir à ton père. Et il me répond, c’était bon pour moi malgré la douleur du début, tu as vu ce qu’il a entre les jambes, il va avoir du succès. Après plusieurs longues minutes, Jean-Eric revient à lui, il me sourit, « Oh Julien merci de m’avoir forcé à faire cela, mais surtout au plaisir que tu m’as donné, je n’avais jamais eu un tel orgasme. Je jutais, j’éjaculais, mais pas avec le même plaisir. C’est incroyable, indescriptible et tu as vu tout ce que l’on éjecte à ce moment-là ! »
L’heure était très tardive, je suis resté avec eux en rapprochant les lits et j’ai eu droit au cours de la courte nuit d’avaler de nouveau le bon jus d’Edouard, et de découvrir et déguster la semence épaisse de Jean-Eric.
Nous avons gardé contact et malgré l’éloignement nous nous sommes revus, deux fois. Edouard continue ses études avec quelques aventures, et Jean-Eric a trouvé un beau compagnon avec qui il vit maintenant, ce qui n’a pas empêché lors de notre dernière rencontre de partager tous le quatre de forts moments de plaisir remplis de jouissance, d’orgasmes et d’amitié
Mon histoire s’est déroulée il y a déjà cinq ans. Je rentrais d’un court déplacement professionnel à l’étranger. Oh ! Ce n’était pas très loin, d’Helsinki à Paris. Pour une des rares fois, ma secrétaire n’avait pas trouvé de place en Business, mais pour cinq heures de vol pour une fois cela n’était pas très important.
Avec la configuration de l’appareil Airbus, j’étais près du hublot, mais sur une rangé de trois, ce qui n’est pas très confortable et vers le fond de la cabine. Je constatais que l’équipage était constitué presque entièrement de stewards et seulement d’une hôtesse de l’air.
J’ai déposé mon petit sac et ma veste dans le rack à bagages situé au-dessus. Je commence à m’installer quand un des stewards montrent les deux places qui sont à côté de moi. Et je m’aperçois de quoi ??? Un grand jeune homme châtain clair (j’ai su après qu’il venait d’avoir dix-neuf ans) avec un très bel homme quinquagénaire à peine.
J’ai dû ravaler ma salive en voyant ces deux personnages, qui venaient s’installer à mes côtés. Le jeune était d’une beauté helléniste impressionnante, quant à l’homme qui l’accompagne est également très beau avec un grand charme avec ses cheveux poivre et sel. Très correctement et gentiment ceux-ci me saluent chaleureusement avant de terminer de s’installer sur leur siège respectif. Le jeune homme s’installe sur le siège du milieu.
Pour respecter les consignes de sécurité, le personnel nous fait mettre et attacher les ceintures de sécurité et de rabattre nos tablettes situées devant nous. Le roulage et le décollage s’effectuent, je regarde par le hublot le paysage qui s’éloigne. Un peu las de mon difficile séjour professionnel je cale ma tête sur le haut dossier, tout en commençant de me détendre, je ferme partiellement les yeux, car la beauté de ce jeune m’intrigue beaucoup et ne me rend pas insensible. Il doit mesurer 1.95m avec des muscles légèrement effilés et dessinés, il a seulement quelques petits poils très clairs sur les bras, car il porte un magnifique tee-shirt manches courtes de grande marque. Et pour ne rien gâcher un sublime regard accompagne son doux sourire presque juvénile. Il a dû se raser de près car aucunes traces de barbe sur ses jolies joues à cette heure de la journée. Déjà dans la cabine le personnel s’agite en proposant un rafraîchissement. C’est le même steward qui était venu les placer lors de l’embarquement qui fait le service dans notre couloir. Lui aussi est très beau mais un peu plus âgée une petite trentaine. Il regarde avec admiration et contemplation le jeune homme qui est à mes côtés, mais aussi son voisin. Le steward nous propose différentes boissons et accompagnements Pour des raisons de facilité ergonomique, il commence par moi qui suis au bout de la rangée près du hublot. Il me sert mon whisky et me le tend avec le mini plateau d’amuse-bouche. Il se penche afin que j’atteigne l’ensemble, mais pendant ce peu de temps il regarde avec des yeux enjôleurs le monsieur de la cinquantaine ce qui fait sourire le jeune. Puis c’est au tour du jeune d’être servi. En posant son verre et le plateau sur sa tablette le jeune est un peu déstabilisé et mon genou et le sien se heurte. Très poliment et en rougissant il s’excuse. Nous nous ne sommes toujours pas adressés la parole. Peut-être qu’avec ce premier verre et les heures qui vont suivent, nous serons un peu moins tendus. Je déguste tranquillement ce rafraîchissement tout en lisant un article économique fort intéressant dans mon hebdomadaire. Le jeune et le monsieur se sont chaussés des casques-écouteurs et regardent déjà un film.
Tout cela fait passer le temps et voilà notre steward ramassant le matériel de la prestation. Je me tords un peu pour lui tendre plateau et verre, c’est à ce moment que mon genou appuie celui du jeune ; mais cette fois-ci je le laisse en contact. Rien se passe, je ne m’excuse pas, le jeune ne se tourne pas vers moi et ne retire pas son genou. A travers le tissu de mon pantalon, je sens la chaleur du genou de mon voisin. Il le laisse en contact. Aurait-il compris mon souhait ou désir ? Je continue ma lecture et lui, son intérêt pour le film. Je n’ose plus bouger et peut-être lui non plus. Une bonne demi-heure après en tournant les pages de mon magazine involontairement mon genou s’éloigne légèrement. Et, que se passe-t-il ? C’est lui qui vient me rejoindre. Le voyage se continue, et apparemment quand ce n’est pas lui, c’est moi qui fais basculer mon genou pour retrouver le sien. Un message serait-il en train de passer ? le mon-sieur qui l’accompagne ne se rend compte de rien et écoute de la musique les yeux fermés. Probablement en prévision du repas qui devait être servi dans peu de temps il abaisse sa tablette, ce qui permet de lui cacher une partie de la jambe. L’a-t ’il fait exprès pour que son voisin ne s’aperçoive pas de nos mouvements de genoux. Je lui adresse enfin la parole, vous avez raison, avec la tablette je peux déposer mon magazine et prendre appui.
Sa tête pivote vers moi avec un très joli sourire en me répondant - oui, c’est plus confortable et nettement plus commode. Effectivement. Nous avons toujours nos genoux collés et parfois il fait quelques petites pressions. Ah le message passe me dis-je en continuant ma lecture. Au bout d’un long moment il fait signe à un membre du personnel navigant : « pourrions-nous avoir une autre boisson s’il-vous plait » Lorsque j’ai entendu le nous, je pensais que c’était pour lui et le monsieur à ses côtés – Eh bien non, « vous prendrez comme tout à l’heure ?» Je ne pouvais donc pas refuser. Une hôtesse nous ramène nos boissons avec quelques accompagnements que nous déposons sur notre tablette. Le jeune prend son verre, le lève et me dit : « à notre voyage » je lève le mien et le remercie pour cette heureuse initiative. Tout en buvant, c’est lui qui rompt une fois de plus la glace en m’informant qu’il rentre de voyage d’agrément avec son père car il a réussi sa thèse et avec son père avaient fait un petit périple en Russie et ensuite les fjords de Norvège. J’avais enfin l’explication de la présence de l’homme à ses côtés. Le jeune s’appelle Edouard, qu’il a eu dix-neuf ans et a plus de deux ans d’avance dans son cycle d’études supérieures. Après ces quelques échanges sympathiques et chaleureux nous reprenons notre activité lui son écran pour son film et moi un autre article de mon hebdomadaire. Comme vous le devinez, avec ces quelques phrases d’échange nos genoux sont toujours collés ou à sa recherche. Une bonne heure de vol s’était encore écoulée durant laquelle je m’étais un peu assoupi, et rêvant de ce jeune su rayonnant.
Comme involontairement, je laisse glisser ma main (celle qui est du côté du siège du milieu) le cœur battant et j’essaie d’approcher mes doigts de la cuisse d’Edouard. Eh op !! mon majeur touche le tissu du pantalon et donc sa cuisse, j’attends quelques secondes rien ne se passe, je dépose donc les autres doigts et ma paume de main. Je fais de très légères pressions, sous l’effet de celles-ci son genou se décolle du-mien et du coup il repositionne ses jambes différemment, ma main toujours posée. Il ne bronche pas. Je sens la chaleur, en continuant mes pressions, frôlements et caresses sur cet endroit. A un moment où il pianote sur l’écran pour choisir un autre programme, Edouard tourne légèrement la tête et me fait un sourire me regardant d’un regard plein de douceur. Un fois son film trouvé, il se cale sur son siège, et j’en profite pour que ma main remonte plus à l’intérieur de sa cuisse et le bout de mon doigt touche son paquet. Dès qu’il a senti mon doigt pour être encore plus à l’aise, il se meut pour se glisser plus en arrière.
Là, je pose ma main sur sa braguette et ce qu’il y a dedans bouge et grossi.
Je ne vois rien, mais j’imagine la forme de son entre-jambe. Je soulève à peine ma main pour que son sexe ait de la place en se développant. Hum ! le bout de mon doigt devine le dessin de son gland, et avec mon index, j’effectue des petits cercles au niveau de ce qui pourrait être la couronne. Son barreau a comme quelques soubresauts, je décide de caresser sur la longueur et de m’arrêter par moment comme pour encercler cette bite à l’intérieur de ma main. Il faut que je me calme, je ne voudrais tout de même qu’il éjacule comme cela dans son pantalon. J’arrête ce semblant de massage qu’il semble apprécier pour caresser sa cuisse doucement. Se serait-il endormi, ou le fait-il exprès sa tête tombe sur mon épaule. J’apprécie beaucoup cette présente. Eh ! Non ! il ne dort pas car il me susurre à l’oreille, c’est bon ce que vous me faites, mais attention, arrêtez un peu. Je lui obéis, et enlève ma main je la remettrai plus tard. Quant à lui, il laisse sa tête sur mon épaule. Je m’assoupis légèrement, cela calmera mon excitation, et à l’extérieur la nuit commence à tomber et le ronronnement des réacteurs facilitent mon pseudo sommeil.
A un moment j’émerge un peu et regardant ma montre, il s’est écoulé presque deux heures. Il fait complètement noir à l’extérieur et l’intensité lumineuse de la cabine a été baissée, et une certaine fraicheur y règne. Discrètement je refais glisser ma main sur la cuisse d’Edouard, qui lève légèrement sa tête pour me sourire. Donc, il est consentant et comme tout à l’heure je fais avancer ma main vers son paquet que je sens chaud et aussi raide. Mes doigts caressent progressivement et doucement cette impressionnante tige. Pour moi, c’est un régal de sentir ce jeune vibrer, mais en avançant un de mes doigts celui-ci se heurte à deux doigts qui sont posés sur cette trique. Tiens, Edouard trop excité était en manque de mes caresses et à continuer de se toucher, ce que je comprends. Confiant, je caresse ces doigts. L’épiderme de mon doigt trouvent ces doigts comme plissés et avec quelques poils au niveau des phalanges. Mais, Mais, cela ne peut être ceux d’Edouard, lui imberbe et avec une jolie peau très fine. J’ai comme un choc, ce sont les doigts de son père qui pris mon relais pour le maintenir en forme. Honteux et rougissant, je retire presque d’un coup sec ma main, de peur de me faire ‘’engueuler’’ par ce monsieur style mannequin gentleman aux tempes poivre et sel. Il vient probablement de s’apercevoir que je touchais ou draguais son fils. Je mets ma main sur la tablette et la tête du père se penche, l’air assez fermé pour s’adresser à moi, j’ai les jambes qui tremblent et le cœur oppressé, quand il ouvre sa bouche, pour me dire : ‘’excusez-moi monsieur de vous avoir dérangé, mon fils a dû aimer, allez-y, vous pouvez continuer’’. J’étais soulagé, mais je croyais rêver.
Son père qui sans aucun doute touche son grand fils et en plus ferme les yeux de ses aventures avec autrui. Comme un idiot, j’appuie sur le signal pour faire demander une boisson au personnel navigant. Un steward arrive une quinzaine de minutes après et lui commande un Gin-tonic en lui disant que peut-être ces messieurs souhaitent également boire quelque chose. Ils acceptent et prennent la même chose que moi, quelques instants nous trinquons tous les trois à cet agréable voyage et chaleureuse rencontre. Pendant ce rafraîchissement je remis ma main pour retâter l’appareil génital d’Edouard et de retrouver les doigts de son papa. Nous malaxons ce morceau qui se remit à grandir et durcir. Cela m’excitait beaucoup. Dommage cela sera terminé que moins de trois heures et nous serons obligés de nous séparer. Mais pour le moment pensons à ces moments imprévus et particuliers.
Après toutes ces heures assis et avec quelques boissons, il faut que je les dérange pour me diriger vers l’arrière de l’appareil aux toilettes. Tous les trois nous rabattons nos tablettes, se détachent et se lèvent pour me laisser cordialement passer. Pour une fois pas beaucoup d’attente. Je me détends après quelques instants les jambes pour retourner vers mon siège. Pendant mon absence le personnel avait distribué des couvertures à tous les passagers. Le siège côté couloir était vide avec une couverture sur l’assise et le papa d’Edouard s’était assis à ma place au hublot. Je me suis permis de changer de place, vous serez mieux là, il faut être compréhensif et partager l’inconfort. Je le remercie courtoisement. La fraîcheur s’étant bien installée, c’est avec plaisir que je m’enveloppe dans cette couverture. Une bonne demi-heure après j’ai de nouveau envie de sentir mon Edouard et faire revivre son braquemard dans son pantalon. La cabine est dans la pénombre, il était plus facile pour moi d’effectuer ce geste. Je glisse ma main sur la cuisse, et là le tissu est moins tendu que les fois précédentes, je continue à glisser progressivement vers la braguette pour y retrouver ce beau morceau. J’avance, j’avance en massant un peu et, le bout de mes doigts effleurent quelque chose d’inattendu, les cheveux du père. Je caresse donc le dessus du crâne du quinquagénaire. Je glisse ma main et sens la joue creusée du bel homme., avec de faibles mouvements de la tête Il est en train de faire une fellation à son fils. La tête d’Edouard, retombe sur mon épaule, il me glisse à l’oreille : ‘’j’étais trop excité, je sentais que çà allait venir, et je ne voulais pas tâcher mon pantalon. J’ai demandé à mon père d’en finir’’. Ce morceau de phrase à peine terminé, que me parvint des bruits d’aspiration et de succion que je sens le souffle d’Edouard s’accélérer, avec de très faibles gémissements et instinctivement ses jambes se raidirent en soulevant légèrement son bassin. Edouard éjacule donc dans la bouche de ce beau monsieur. ‘’Je me suis bien vidé, vous m’aviez tellement excité avec vos attouchements imprévus’’. Quelques secondes après la tête du père (Jean-Eric apparait les lèvres luisantes et s’adressent à moi : ‘’vous aviez dû bien le préparer, car il y a longtemps qu’il ne m’avait pas donné une telle dose de sa liqueur’’ . Avec ces quelques mots, je comprends que ce n’est pas la première fois que Jean-Eric et Edouard font des choses ensemble et presque sans se cacher. Je suis très abasourdi de cette situation et de cette vision. Edouard me confit que je l’avais bien caressé et qu’il avait aimé mes approches délicates et subtiles.
Il m’aurait bien donné sa suprême substance mais me demander une fellation à ces moments-là n’étaient guère pratiques et conventionnels.
Jusqu’à la fin du voyage, il me tient tendrement la main que l’on pose sur sa cuisse avec nos doigts enlacés.
Nous approchons bientôt de la fin de ce vol aux circonstances imprévues et avec cette rencontre très surprenante, mais pleine de chaleur et de délicatesse. Au bout d’un moment notre avion vient au contact du tarmac. La chef de cabine énonce les différentes consignes de sécurité et de sortie.
Nous sommes presque un des derniers rangs de la cabine, ce qui nous laisse le temps de prendre de nos affaires dans les racks à bagages et échanger avec Jean-Eric le temps que la passerelle se mette en place et que les passagers de l’avant débarquent. Le steward de l’embarquement est derrière et suis le débarquement des passagers du fond. Je souhaite à Jean-Eric et Edouard une bonne et belle soirée. Moi, j’aurai pour une petite heure afin de rejoindre enfin la maison, avec la joie après cette semaine de pénible déplacement retrouver mon épouse et mes deux jeunes enfants. C’est moi qui suis près du couloir qui commence à me dégager de l’allée suivi de mon bel éphèbe Edouard et derrière Jean-Eric. Je demande à Edouard s’ils seront bientôt chez eux. ‘’Oh, non, nous devons dormir à l’hôtel car les heures de correspondances ne coïncident pas.’’ Et d’un coup il me dit à ma grande stupeur, ‘’tu viens prendre un pot avec nous et même dîner avec nous’’. J’ose à peine lui répondre, il faut voir avec ton père, mais il faut que je rejoigne ma famille. Edouard se retourne vers Jean-Eric et je constate qu’il échange des paroles avec son père. J’ai su que mes voisins de voyage descendent à l’hôtel Sheraton. Enfin nous débarquons et nous dirigeons vers le tapis à bagages. Pendant l’attente assez courte pour une fois, Jean-Eric
se tourne vers moi et me propose que nous terminions la soirée en dînant ensemble. Je veux rentrer retrouver ma famille, mais il insiste soutenu par Edouard qui fait allusion aux heures agréables de ce voyage. Souvent en déplacement, je pourrai évoquer un retard de la Compagnie aérienne. Nos bagages récupérés nous prenons la navette qui nous dépose devant ce splendide établissement quatre étoiles rutilant de lumières. Les bagages de mes voisins de voyage sont pris en charge par un personnel de l’hôtel pendant que Jean-Eric se dirige vers un comptoir, moi je suis avec Edouard. Doucement, je lui lance que j’avais été gêné tout à l’heure dans l’avion lorsqu’il m’a surpris en train de te toucher.
« Oh, ne t’en fait pas Julien, il y a six mois, j’ai découvert après le divorce de mes parents que mon père est bisexuel et qu’il l’assume très mal, c’est là que je lui aie fait mon coming-out. Il a été surpris mais l’a bien accepté. Le même jour il m’a confié que depuis un moment les corps masculins ne le laissaient pas insensible. Nous sommes partis aux Antilles à Noël et presque innocemment nous sommes allés sur une plage naturiste (du côté gay) Quant il est remonté de la mer je me faisait faire une fellation, cela l’a excité et le mec ne sachant pas que c’était mon père, lui a dit « tiens fini le, il a une bonne bite » En rougissant il m’a sucé, mais mal, il s’y prenait comme pour une chatte, alors je lui ai donné quelques conseils et s’en est resté là. « Je ne crois pas qu’il fréquente ce milieu ». « S’il te plaît, restes dîner avec nous, papa apprécie ta classe je suis sûr que cela lui fera plaisir et tu as été tellement gentil avec moi. »
Jean-Eric revient vers nous.
« La réservation est bonne, nos bagages seront montés. Julien restez avec nous, je vous invite, cela me fait plaisir, et nous pourrons discuter plus longuement. »
Nous nous dirigeons vers la brasserie, à cette heure le gastronomique est fermé. Jean-Eric commande pour nous un petit plat et une bonne bouteille. Lors de cet instant de partage, il m’explique qu’il s’est séparé de son épouse qu’il aime mais n’arrivait plus à la satisfaire tellement elle était demandeuse de sexe et ne voulait pas lui faire de gâteries, alors que lui l’amenait à l’orgasme avec des cunnilingus quotidiens, et inconsciemment j’étais attiré par les corps masculins. Après un moment d’hésitation rajoute que c’est grâce à Edouard avec son coming-out qui m’a osé parler de certains plaisirs. En trois quart d’heure nous avions beaucoup échangés et terminés notre petit plat, il était temps que je rentre. Nous nous levons et nous dirigeons vers cet immense hall. Je demande mon grand sac au bagagiste. Jean-Eric, me tient par le bras, vous n’allez pas rentrer à cette heure, restez.
« Je ne vais pas dormir ici, et ma femme ? »
« Vous lui évoquez un problème aérien, venez donc dans notre chambre, j’ai commandé une bouteille, Edouard a été très heureux de son voyage à côté de vous »
A cette phrase Edouard me sourit, en ajoutant : « tu as tellement été doux, je souhaite bien continuer encore avec toi et que tu fasses découvrir des choses à papa ».
Je suis devenu tout rouge, mais accepte cette proposition assez excitante.
Nous prenons tous les trois l’ascenseur et entrons dans cette immense chambre, où deux lits (ce qui prouve qu’ils ne sont pas dans le même lit) se situent à gauche de la pièce. Sur la droite un confortable mini-salon. Sur la table-guéridon, sont déposés un sceau avec une bouteille, des verres et des mignardises. Nous prenons place, Edouard à côté de moi, nous trinquons et je pose ma main sur sa cuisse en remontant rapidement vers son paquet qui est déjà dur. J’essaie d’ouvrir sa braguette pour enfin découvrir ce que j’avais senti pendant le vol. Quelques manipulations et je sens cette chair chaude, lui défait son bouton de ceinture et avec mes deux doigts j’extirpe son sexe dur et bandé. Oh ! quel engin !! C’est un très beau sexe bien droit de dix-huit /dix-neuf centimètres et un bon cinq diamètres, je ne peux m’empêcher de me pencher immédiatement pour me le mettre en bouche. Son gland est déjà décalotté en faisant apparaître un méat suintant du liquide pré-séminal. Je referme mes lèvres en les ourlant pour faire une petite pression. Je descends progressivement pendant que mon autre caresse ses bourses lisses dénudées de tout poil. Edouard se rase le pubis étant bien net. Ma fellation le fait bien gémir, il me caresse gentiment la joue. J’accélère un petit peu et son barreau se gonfle encore. Pendant mes mouvements de va et vient je jette un coup d’œil vers le fauteuil où est assis son père. Il a les jambes écartées et à travers son pantalon se caresse une énorme bosse. Il a ses yeux fixés sur notre partie de plaisir. Je ne veux pas qu’Edouard décharge de suite, malgré son envie inavouée. Je remonte très doucement la bouche dégageant progressivement son sexe de la cavité chaude de ma bouche. Il me regarde droit dans les yeux et me dit « Oh, je n’ai jamais été sucé comme cela, je veux jouir, je veux juter, c’est meilleur qu’avec papa »
De son côté Jean-Eric bougonne se sentant peut-être un peu vexé par la réflexion de son fils. Je ne fais aucun commentaire, mais je suggère à Edouard d’aller prendre une bonne douche pour débander et apaiser son excitation et de revenir, pendant ce temps-là je vais parler un peu avec Jean-Eric.
Edouard se dirige vers la salle de bain quant à moi je vais sur l’autre fauteuil près du père. J’ai l’impression que vous avez l’air excité. Oui, pour moi c’est très nouveau, et voir les corps s’agite m’excitent. Je ne réponds rien
Edouard sort de la salle de bain avec l’immense serviette autour de la taille.
Je passe ma main, son sexe est tout frais. Je luis suggère de se mettre sur le dos pour que Jean-Eric découvre un plaisir auquel il n’avait probablement pas pensé. « Venez Jean-Eric » je demande à Edouard d’ôter la serviette et nous découvrons son corps de félin grec complètement lisse allongé sur le dos avec sa bite bien droite. « Regardez Jean-Eric, comme c’est beau un corps d’homme lisse et ses attributs si bien entretenus » Pour l’exciter j’avance ma main et commence une délicate masturbation, je m’arrête et de demande à Edouard de bien lever ses grandes jambes pour que son père découvre sa rosette. Elle magnifique, légèrement plissée et sans aucun poil.
Je me tourne vers Jean-Eric « Au lieu de faire un cunnilingus, maintenant vous allez faire des anulingus ». Il hésite, je le pousse légèrement, il met un genou sur le lit et sort sa langue et lèche tendrement le petit orifice. Edouard, pousse de petits miaulements, Jean-Eric continue avec mes mouvements de langue plus rapides et une langue bien ferme, sous ces coups la rosette se déplisse et l’homme instinctivement rentre le bout à l’intérieur. Edouard pour des cris et de fortes onomatopées. « C’est bon ! oh oh oh ouiiii ! Cela a l’air de plaire au deux, j’avance ma main sur la cuisse et l’entre jambe de Jean-Eric sur un paquet dur comme du béton. Avec le creux de la main je masse l’ensemble. J’ose ouvrir la ceinture, pour avoir accès au bouton et zip du pantalon. Ce n’est pas facile, mais j’arrive à le faire descendre en entraînant le sous vêtement, tellement le tout est serré. Les poils de pubis ont noirs mais taillée qui laisse paraître un sexe que je ne n’avais pas vu depuis longtemps. Une matraque, un gourdin de vingt-et-un centimètres au moins mais surtout d’un diamètre d’âne de huit ou neuf centimètres. Et avec un tel matériel sa femme n’était pas satisfaite ! que lui fallait-il donc !
Je suis surpris et interloque par une telle dotation. A ce moment, je vais mon sac de voyage et fouille dans ma trousse de toilette. Je m’adresse à Edouard, lève bine tes jambes et tiens-les, ta rosette doit-être prête je suppose. Je fais relever la tête de Jean-Eric pour déposer une grosse noix de gel sur la rosette.
Edouard réagit « Non, non, Julien, pas avec lui, c’est un monstre » le père ne comprend pas tout à fait. « il faut que tu fasses plaisir et il doit découvrir tout ce que l’on peut effectuer avec amour entre homo ». Je masse le gland et l’anacondas du père. J’ai du mal tellement le diamètre est important. Je pousse Jean-Edouard
« Maintenant vous aller prendre sa petite rosette que vous avez bien travaillé »
« Je ne peux pas faire cela ? »
« Vous le sucez bien jusqu’à absorber sa semence, je croyais que vouliez découvrir des choses, cela en est une »
Jean-Eric hésite, s’approche, je tiens le gourdin pour bien le mettre dans l’axe du petit trou entre-ouvert. Il pousse un peu sans trop oser forcer. Je caresse la joue d’Edouard, et lui tiens la main qu’il me sert fort. Jean-Eric pousse gentiment centimètre par centimètre. Il ne veut pas lui faire mal sachant l’importance de son matériel, Edouard pousse des Non, non Aïe, Aïe, douuuceeeement !! Sa main me griffe presque quand son père lui a introduit son gland et une petite dizaine de centimètres. Je suis content les choses ont l’air de bien se passer. Jean-Eric n’a pas encore commencé ses vrais mouvements de bassin avec les va et vient mais seulement des poussées. Voyant que tout se déroule le mieux possible, j’enduis de nouveau mes doigts de gel pour en introduire un dans le trou du Jean-Eric. Il sursaute
« Que faites-vous » « chut ! continuez votre travail, allez-y » A ces mots, Jean-Eric commence à donner des coups de reins successifs et bien appuyés
Et j’entends maintenant des hum hum oui papa, ouiii papaaa ! De mon côté je suis arrivé à lui rentrer deux doigts et avec sa position je n’ai aucun mal à atteindre sa prostate que je caresse et masse. Jean-Eric crie carrément c’est bon c’est bon continuez continuez c’est incroyable. Du coup il accélère ses mouvements de bassin qui font plaisir à son fils, il accélère et lui hurle « Je vais jouiiir en toi, je vais jouiir en toi » « vas ’y vas ’y c’est trop bon je te sens bien » lui répond-il.
Edouard a pris sa queue en main et se l’astique violemment « oui oui oui je vais juter » Quant à Jean-Eric lui accélère en grognant c’est bon. Je continue à lui masser la prostate qui a bien gonflé.
J’entends un profond Ah ! et un gros jet de sperme venant de la que d’Edouard macule le visage de Jean-Eric qui est en train de se vider dans les entrailles de son fils. Il se retire laissant le trou ouvert tellement le pilon est énorme, et je continue à masser la prostate et là chose à laquelle jean-Eric ne s’attendait pas hurle crie s’agite un flot de sperme sort de sa puissante une quantité impressionnante de sperme très liquide et transparent en inondant le lit où il s’affale en étant pris d’un fort orgasme avec de nombreux soubresauts Le drap est tout mouillé par la quantité de ce liquide rendant fou de plaisir.
Je vais embrasser Edouard qui est essuie sa queue et lui glisse à l’oreille merci, tu as fait plaisir à ton père. Et il me répond, c’était bon pour moi malgré la douleur du début, tu as vu ce qu’il a entre les jambes, il va avoir du succès. Après plusieurs longues minutes, Jean-Eric revient à lui, il me sourit, « Oh Julien merci de m’avoir forcé à faire cela, mais surtout au plaisir que tu m’as donné, je n’avais jamais eu un tel orgasme. Je jutais, j’éjaculais, mais pas avec le même plaisir. C’est incroyable, indescriptible et tu as vu tout ce que l’on éjecte à ce moment-là ! »
L’heure était très tardive, je suis resté avec eux en rapprochant les lits et j’ai eu droit au cours de la courte nuit d’avaler de nouveau le bon jus d’Edouard, et de découvrir et déguster la semence épaisse de Jean-Eric.
Nous avons gardé contact et malgré l’éloignement nous nous sommes revus, deux fois. Edouard continue ses études avec quelques aventures, et Jean-Eric a trouvé un beau compagnon avec qui il vit maintenant, ce qui n’a pas empêché lors de notre dernière rencontre de partager tous le quatre de forts moments de plaisir remplis de jouissance, d’orgasmes et d’amitié
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par de la taille
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Top !!
Super histoire, j’adore
Je n’ai pas débandé
Super histoire, j’adore
Je n’ai pas débandé
Désolé ! Mais à la 4e ligne j’ai décroché
La raison ? Une rangé
Une histoire ne sera jamais bandante si elle regorge de fautes.
Relisez-vous !
Mathieu du 74
La raison ? Une rangé
Une histoire ne sera jamais bandante si elle regorge de fautes.
Relisez-vous !
Mathieu du 74