Au sauna
Récit érotique écrit par de la taille [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Au sauna
Au sauna
Ce récit remonte il y a quelques années. Je suis étudiant dans une ville un peu éloignée de ma famille. J’ai beaucoup de chance, mes parents m’ont trouvé et me paient un studio au centre-ville et non loin de la faculté.
C’est la première fois que je vis seul et donc obligé de m’organiser et me gérer seul. La dernière année, mes parents me laissent sortir, mais dois tout de même rendre plus ou moins des comptes. Là, pas besoin de demander l’autorisation, ni de raconter.
Depuis un petit moment, je pense que je suis homosexuel, je suis de plus en plus attiré par les formes des corps masculins et l’importance des entre-jambes. Bien que j’aie quelques expériences avec de très bonnes copines, mais je ne trouve aucun plaisir, et j’ai même des difficultés à éjaculer. En revanche avec les copains de petites branlettes entre nous.
Pas grand-chose direz-vous. Effectivement ! Je regarde des revues pornographiques masculines, ce qui me fait bien bander et m’entrainent à de bonnes et fortes masturbations aux éjaculations abondantes. Je ne drague pas, et ne suis pas très dégourdi sur ce plan, malgré mes vingt ans. Je n’ai pas d’expérience, je n’ai pas de copain pour faire ces choses.
Maintenant que je suis seul et libre, je veux découvrir certains plaisirs que je vois sur mes revues et certains de leurs récits. J’ai surtout en tête d’aller dans un sauna. Mais comment fait-on ? On est en boxer ou tout nu ? Que se passe-t-il à l’intérieur ? En tête des questions d’après mes lectures. Vais-je oser ? je vais avoir l’air gauche ! Il faut déjà qu’il y ait un sauna dans cette sous-préfecture. Enfin, je verrai ! ! !
Les cours à la fac commencent que dans un petit mois. Moins d’une semaine après mon installation, je décide d’aller me balader pour découvrir chaque jour un quartier différent de ce centre-ville. A détour d’une mes promenades, je passe devant une devanture style Art-Déco au pied d’un splendide immeuble XIXème Haussmannien. Je détaille les arabesques sculptées de la façade, en levant la tête sur le cartouche de l’enseigne est inscrit d’une police ancienne : « Club Sauna G7 » sur le coup cela ne me fait pas ‘’tilt’’. Au-dessus de la poignée de la large porte d’entrée une plaque gravée avec le nom de l’enseigne et en-dessous Etablissement masculin avec quelques tarifs. Et voilà sans vraiment chercher il y a même dans cette ville de sous-préfecture un sauna gay. Bientôt je vais pouvoir découvrir ce que j’attends depuis quelque temps !!! Je continue ma promenade-découverte et rentre dans mon chez-moi. Je n’arrête pas de penser à cet établissement, et même couché des tas de choses se bousculent dans ma tête, jusqu’à fermer les yeux et être obligé de me branler pour évacuer tout un flot de ma suprême semence qui se répand sur mon ventre.
Trois jours après, je décide de me diriger vers cet établissement plein d’énigmes. Je suis de moins en moins vaillant plus je m’approche de ce lieu. Je ne veux pas avoir l’air idiot et bête. Je prends ma respiration et franchi le seuil. Un hall s’offre à mon regard avec des stucs et des peintures s’ins- pirant de l’art déco. Tout ce qui est pictural représente des silhouettes masculines assez dévêtues et même nues dans différentes postions subjectives. Déjà l’impression que ce n’est pas un lieu pouilleux ou délabré. Une ambiance légèrement brumeuse à la forte odeur d’eucalyptus et patchouli. A droite un guichet vitré derrière lequel un jeune homme bronzé, cheveux blond-cendré qui porte un maillot Marcel de belle facture. D’un sourire accueillant il m’annonce le prix de l’entrée, en me disant que le G7 ferme aujourd’hui à 01 heure. En moi-même je pense que je ne resterai sûrement pas si tardivement. Je pousse la porte de séparation qui se trouve à ma gauche qui donne accès réellement à l’antre de l’établissement. Oh oui j’y allais mollement ne sachant pas trop comment franchir les différentes étapes pour me dévêtir et accéder aux activités. Dans cette nouvelle pièce aux arcatures néo-classique, une bonne dizaine d’hommes en slip, CK caleçon et boxer se rhabillent déjà, il est seulement treize heures quarante. Mais peut-être que ces hommes dont plus des deux-tiers ont une alliance viennent se faire plaisir pendant leur pause du déjeuner. Un quadragénaire, lui commence à se dévêtir, je l’observe du coin de l’œil ayant l’air d’être un habitué saluant un participant presque habillé, pour copier sur sa chronologie des étapes.
J’entends la fin de leur échange.
- « ça va ? »
- « Il y a un peu de monde mais au fond c’est chaud !»
J’observe, j’écoute et j’enlève progressivement tous mes vêtements pour faire comme ce monsieur, puis me tourner vers les armoires-vestiaires et me ceindre de ma serviette autour de la taille. Ah ! j’ai oublié de vous dire j’ai vingt ans, un mètre quatre-vingt-neuf, des cheveux châtains à la coupe nette. Une morphologie avec des muscles légèrement marqués due aux longueurs de piscine que j’effectue une fois par semaine. Sous ma serviette, je pense être ‘’normal’’ avec une verge au repos de dix-sept centimètres. Des testicules à la forme d’abricots bien fermes. J’ai des poils au pubis que je taille aux ciseaux assez régulièrement. L’homme passe une porte à battants d’où s’échappe une légère vapeur aux douces senteurs, je ne vois rien tout est noir. Je ferme mon casier et de nouveau je souffle et prend mon courage à deux mains pour pénétrer dans cet antre sombre inconnu. Oh ! Il fait chaud, ce n’est rien, mais d’un seul coup je ne vois strictement plus rien. J’en suis assez stupéfait. Je fais seulement quelques pas ne sachant pas où me diriger. Comme une momie je reste immobile et progressivement je vois des ombres se mouvoir. Toutes ces formes deviennent un peu plus compréhensibles. Presque à tâtons j’essaie de me rendre compte de la disposition des lieux. A part une musique assez scandée, aucune parole, aucun autre bruit. Je constate que les clients marchent lentement, s’arrêtent, se dirigent dans diverses directions. Maintenant que ma vue me permet de discerner, j’avance et visite les lieux. Là se sont les douches qui sont obligatoires, à la suite c’est le sauna avec sur le mur extérieur des patères pour déposer les serviettes. A quelques mètres une plaque mentionne Hammam. Des personnes sont à l’extérieur et ici aussi des porte-manteaux. Un angle et je vois un long couloir avec de chaque côté des embrasures de portes. Je jette un œil, certaines de ces cabines sont ouvertes, et d’autres fermées d’où certains soupirs, murmures ou onomatopées se font entendre par le plaisir qui se prend ou l’orgasme qui se vit. Cela devient assez excitant et bandant. Ma queue commence à gigoter sous ma serviette. Elle se relève, grossit et enfle. Je continue ma visite et au fond c’est encore plus noir avec un regroupement d’hommes qui à mon avis attendent ou regardent quelque chose. Curieux, je m’approche. Il fait encore plus chaud. Mais là pour le moment je ne vois rien, mais des soupirs plus sonores jusqu’aux cris rauques et gutturaux se font entendre à certains moments. D’un seul coup un homme complètement en sueur, ébouriffé, épuisé sort de cette pièce-alcôve essayant de remettre sa serviette autour de ses reins.
Quelques minutes plus tard, je sens une main sur ma serviette et qui essaie de caresser ma cuisse. Je suis surpris et sursaute en me retirant de quelques centimètres. Je me mobilise stupéfait ne sachant pas quoi faire. De là où je suis de nouveau la même main caresse ma cuisse en se rapprochant davantage de mon sexe en pleine érection. Je bande tellement que ‘en ai mal à la racine de ma verge. Ce qui pour ainsi dire ne m’est jamais arrivé. Sans réellement le voir, je sens sa légère respiration s’approcher de mon oreille.
- « J’aimerai bien vous sucer jeune homme ! »
Dans ma tête tout se bouscule. Je ne le connais pas, hummm ! me faire sucer, c’est mon fantasme et mon rêve, il est poli, mais qui est-ce ? je ne vois rien. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Etant la première fois, je suis une vraie gourde. Je reste immobile, je me glace, je ne bouge plus. Sa main fait des allers-retours sur ma tige.
- « Alors venez dans une cabine, je vais te sucer ».
Oh çà progresse voilà son tutoiement. Je ne lui réponds toujours pas. –
- « Suis-moi, si tu veux ».
Il faut que je me décide, mais il faut tout de même que je vois un peu sa tronche. Comme un automate, je le suis. Il entre dans une des cabines. J’hésite avant d’y franchir son seuil. Lui est debout adossé au chambranle de la petite porte. Avec le peu que je puisse voir, il doit avoir une petite cinquantaine d’années, les cheveux courts grisonnants, d’un physique et d’une morphologie très classiques, le thorax un peu poilu grisonnants également. Il donne l’impression d’un homme tranquille, réservé et dirons-nous distingué. Il s’adresse de nouveau à moi :
« Venez, viens !!ne soyez pas timide !! »
Il a saisi mon hésitation et mon air idiot. Je respire et lui rétorque :
« c’est la première fois que je viens dans un tel établissement, vous l’avez donc constaté ? »
- « Oui, je t’observe depuis tout à l’heure, tu es tellement timide et tu es paralysé - Surtout ne craint rien avec moi. En plus il faut que je sois très discret. Rentrez, rentre…»
Un peu vexé par mon attitude, mais soulagé de sa compréhension, je pénètre dans cette petite pièce-clapier, où un matelas est posé sur une couche qui occupe les quatre-cinquième de cet espace. Il pose sa main sur mon épaule pour me faire avancer et ferme la porte avec le petit verrou. Il laisse sa main sur mon épaule et de l’autre il caresse ma joue.
- « Tu es bien jeune »
je lui réponds :
- « Je viens d’avoir vingt ans il y a deux mois, et je viens d’arriver dans cette ville pour mes études à la faculté »
- « Tu es seul ? »
- « Oui, mes parents m’ont installé dans un studio place Montpensier, je suis content, et de ce fait je suis seul, je ne connais encore personne. »
- « Tu verras avec la fac tu te feras des connaissances. Maintenant il faut que tu te détendes en étant ici. Si tu veux, je vais te sucer ! »
Je le regarde sans oser lui répondre, Intérieurement je ne suis pas encore en confiance. Mais être sucer ne peut que me faire du bien, surtout que ce n’était pas détestable une des seules fois où j’avais ma bite dans la bouche d’un de mes copains de collège. Après quelques secondes, je lui souris.
- « Alors allonge-toi là, je vais te détendre »
Donc, je me couche sur le dos, et lui qui s’appelle Matthieu s’assoit sur le rebord de la couche. D’une de ses mains il me caresse la joue, puis fait glisser sa main sur mon thorax. Ses doigts sont longs et doux. C’est très agréable. Arrivé à la serviette, il tire légèrement les deux pans avec ses deux mains et dépose la serviette contre la paroi de la cloison. L’anxiété m’ayant encore envahie, ma verge est moins droite et raide. J’espère que je ne vais pas débander. Matthieu est doux. Il penche sa tête avec la bouche légèrement entrouverte, il saisit ma queue avec sa main et sa bouche se pose délicatement sa bouche sur le bout de mon gland. Avec ses lèvres ourlées, il descend très doucement le long de mon membre qui s’est mis à bien se redresser Je sens la chaleur de sa bouche. Ses lèvres se resserrent d’une façon agréable et excitante. La langue tourne autour de la couronne de mon gland en atteignant par moment le frein. Ce sont des sensations que je n’ai jamais eues ou ni ressenties. L’intérieur de sa bouche est rempli de salive qui s’échappe par moments par leurs commissures de ses lèvres. Il me regarde ses yeux sont remplis de gentillesse et de joie. Avec sa seconde main il masse de façon subtile mes testicules qui n’ont jamais été aussi bien manipulés et dorlotés. Pendant ce temps, sa bouche travaille toujours d’une façon inconnue (pour moi) pour en arriver à ce que Matthieu m’effectue ce que l’on appelle une gorge profonde. Sous cet effet, j’émets un cri-gémissement. Je n’ai pas pu me retenir tellement je fus surpris de cette sensation donnant la chair de poule. Je suis presque aux anges avec cette fellation effectuée avec autant de délicatesse et de douceur. Matthieu est un homme plein d’attention subtile. Après quelques instants il desserre ses lèvres et ma queue brillante de salive sort de sa bouche. Matthieu s’essuie les lèvres avant de me regarder pour me dire d’une voix profonde et calme :
- « Alors, Rodolphe, tu arrives enfin à te détendre ? Cela te convient mon cher ami ? »
Il ne disait pas cela par orgueil, mais seulement avec sa gentillesse et courtoisie. Avec ses yeux verts, il me regarde fixement et ajoute :
- « Tu me donnes l’autorisation de continuer ? »
- « Oh ! Oui, c’est tellement bon Matthieu. Pour une réelle première fois, je ne sais pas si je serais un autre jour aussi bien sucer que tu le fais ? »
- « En amour ce que je préfère c’est donner du plaisir avec mes fellations »
- « Oui ! ! Continue, j’ai envie c’est trop bon ! ! »
Après ce court pseudo-dialogue, Matthieu se repenche pour engloutir ma verge qui n’attend que cet acte de succion. La langue de Matthieu tourne de nouveau autour de la couronne qui est devenue encore plus sensible, qui me fait légèrement onduler sur le matelas. La salive chaude s’échappe des lèvres de mon professionnel de la suce pour mouiller mon ventre. Progressivement je ferme les yeux tellement la succion devenue plus sonore me donne des sensations nouvelles et inconnues, mais combien agréables et denses. Je ne peux m’empêcher de gémir, il y a comme des choses bizarres qui parcourent toute la partie inférieure de mon corps ; Matthieu, toujours bien concentré sur mon sexe fait monter et descendre sa tête avec des bruits caractéristiques de sucions. Une main me caresse et il commence à augmenter son rythme de va et vient en fonction des gloussements et gémissements que je n’arrive plus à retenir. Tout mon corps ondule et se soulève du matelas. J’avance ma main de mon sexe croyant pouvoir ‘me finir’
par une masturbation personnelle. Délicatement Matthieu repousse ma main. Il accélère et de sa main droite avance son index vers mon petit trou. Alors je pousse un
« Oh Ouiiiii Oh Ouiiiiii, attention je vais jouir attentiioonn !!! »
Par ces termes, je l’avertis que je vais éjaculer, afin qu’il s’enlève pour ne pas tout recevoir dans sa bouche experte. Bien au contraire, il descend plus bas, ce qui fait encore plus grossir ma queue, car elle ne se remplit pas que de plaisir, mais de ma substance séminale. Il ne se retire toujours pas mais a resserré ses lèvres. Je pars pour un autre monde ; je vois des étoiles, j’ai chaud, je vocifère des
- « Oh oui ! OOhh OOuuii !! C’est bboonn !! puis Oouuii »
Tout mon corps se soulève comme aspiré et d’un coup mes jambes se mettent à trembler et tout mon corps a des soubresauts comme des convulsions puis j’hurle sans retenue
- « JE JJOOUUIISSS ».
Je ferme les yeux, je suis complètement parti, je suis essoufflé car ce que je viens de ressentir au plus profond de moi-même est absolument indescriptible. A ce jour je n’ai jamais lâché autant de si gros jets de sperme au nombre de sept. Je m’affale sur la couche, épuisé, en sueur et vidé.
Pendant quelques minutes rien ne se passe. Matthieu ne bouge pas, ne fait aucun geste. Toujours aussi courtois, il attend. Puis doucement il avance sa main avec ses longs doigts fins pour effleurer ma joue. De sa voix profonde :
- « Rodolphe, mon enfant, tu es détendu maintenant ? »
Je lui réponds que oui à deux reprises en lui faisant signe de la tête.
« Mon enfant, à tes cris, je crois que tu as eu du plaisir ? Tout le monde a dû t’entendre. Ce n’est pas grave, l’essentiel est que tu sois heureux, mon enfant ! - et pour moi ce fut bon de te donner cette satisfaction et de la joie ».
Je n’ai jamais connu autant de plaisir, avec ce que Matthieu m’a offert pendant plus de quarante minutes. Cette belle fellation m’a beaucoup secoué et fait connaitre dans cet établissement un des plaisirs décrit dans mes revues.
- « Merci, merci, ce que tu m’as fait est incroyable ; tu m’as offert un plaisir que je ne connais pas. Merci Matthieu pour cette pipe si bonne. Je ne t’ai pas dit mon prénom ? tu n’as pas retenu ? je m’appelle Rodolphe. »
- « Je suis content de ton ressenti. Car tu es tellement jeune et beau, et presque innocent tu es comme un ‘enfant’ qui commence à découvrir et connaitre les joies de la vie ; je sais que tu es Rodolphe »
- « Matthieu ! dans votre petite ville, tout le monde doit se connaitre, je ne veux pas avoir de problème avec ou à cause toi avec ce que tu m’as offert et donné ici ».
- « Mon enfant, n’ai aucune crainte avec moi. Je sais que la discrétion est importante en toute circonstance dans cette ville. Lorsque je t’ai vu tout à l’heure, il me semble que je peux affirmer que tu es un étudiant sérieux et sincère. Que tu te cherches et n’oses pas trop. Et tu peux être fiers de tes parents qui t’ont donné une éducation solide, exemplaire et pleine de beaux principes pour te laisser voler seul. Cela se sent, tu es un bon garçon Rodolphe »
Avec les phrases prononcées par Matthieu je suis tout rouge de confusion, mais content de cette reconnaissance. Un peu de timidité s’est estompée pour lui dire :
- « Je te remercie Matthieu. Oui, c’est fabuleux ce que tu m’as fait vivre. »
- « Tant mieux. Il faut il y aller progressivement et par étapes, et il n’y a pas que l’aspect physique mon enfant ! »
Vais-je pouvoir lui demander quelque chose, ou est-ce trop tôt ? Oh ! je me lance. Il est tellement sympa, il ne m’a pas brusqué et en plus je ne l’ai pas soulagé.
- « Matthieu ! ! ! (silence) Toi tu n’es pas soulagé ? Je suis égoïste – Pardon ! »
- « Ne t’en fait pas. Je suis surtout heureux de t’avoir donné ce plaisir que tu recherches ! C’est gentil »
- « Lorsque j’aurai fait ma rentrée à la fac, pourrons nous nous revoir ici ? Si je te conviens ? »
- « Je préfère que ce soit toi qui me le demandes çà, mon enfant. Bien sûr j’aimerai te revoir ne serait-ce que pour échanger et bavarder et plus si tu en as envie. Mais pas forcément ici. »
- « Ah ! pas ici ?? Mon studio est trop petit ! »
- « Tu viendras chez nous ? Mais là aussi tu restes discret !»
- « Tu n’es pas seul ? C’est un guet-apens ce que tu me dis »
- « Non, non, je suis le curé de la paroisse saint Gilles, et de me voir entrer dans un tel établissement n’est pas discret. Si tu viens au presbytère cela n’étonnera personne. C’est pour cela que je t’aie dit nous car j’ai deux vicaires qui logent à chaque étage et chacun est chez lui. »
- « D’accord. (je suis d’un seul coup gêné et Alors c’est Père Matthieu ??? »
- « Non pas ici. C’est pour cela qu’inconsciemment et tellement l’habitude que je t’ai appelé mon enfant tout à l’heure. Tu viens me voir quand ? »
- « Oh ! ! ! C’était tellement bon, après demain si vous voulez et êtes libre ? »
- « Oui, vendredi à 17h, puis nous pourrons dîner ensemble »
- « Oui - Ok !– Tu ais vraiment gentil, je serai moins seul. Merci »
Nous nous levons et sortons de cette micro-pièce en sueur. Il me fait une bise sur la joue et nous nous dirigeons vers les cabines de douche, puis dans la splendide pièce-vestiaires.
Nous nous saluons à l’intérieur de l’établissement pour éviter toute vieilles ou tout vieux derrière leurs rideaux. Nous sortons. Il lève la main :
- « Mon enfant, à vendredi »
Nous partons chacun de notre côté, sans se retourner. Arrivé au studio, je m’affale sur le lit tellement je suis crevé de cet après-midi. Pendant les deux jours, j’ai l’esprit complètement pris par cette aventure et la future rencontre avec Matthieu. Alors là, je ne m’attendais pas tomber sur un prêtre, un homme aussi gentil et attentif mais surtout il suce tellement bien, j’ai hâte de le retrouver.
La matinée du vendredi me parue longue pour partir retrouver cet homme si doux, gentil si délicat. Enfin, il est l’heure. Je me dirige vers l’adresse qu’il m’avait donné mon téléphone en mode GPS ? Après à peine vingt minutes de marche, je suis devant belle maison du grand classicisme français qui portait bien le numéro de la rue qu’il m’avait inscrit. A gauche sur le chambranle de pierre de la double porte d’entrée trois boutons de sonnette. Sur celui du milieu est mentionné +Matthieu de Xxxx. Le doigt tremblant j’appuie sur le bouton. Et j’entends :
- « Bonjour ! Vous êtes ? »
- « Oui bonjour, je suis Rodolphe »
- « je t’ouvre – tu montes au premier. »
Je pousse un des battants de la lourde porte qui débouche sur un très vaste hall. En face un splendide escalier en pierre et magnifique rampe aux courbes élégantes. Sur le palier le Père Matthieu sur le pas de sa porte en clergyman ; (pantalon noir, chemise noire avec un col romain). Avec la lumière du soleil en contre-jour il rayonne. Un homme splendide aux cheveux bien taillés, et d’un grisonnant très équilibré. Il a son sourire plein de tendresse avec une dentition blanche très régulière. Son pantalon slim, lui marque bien à l’entre-jambe la courbe prononcée de son paquet.
- « Je suis heureux que tu sois venu passer un moment. Entre mon enfant. »
Avec sa grandeur, il se baisse légèrement pour me déposer un baiser sur la joue.
- « Viens Rodolphe, nous allons nous installer au salon. Tu vas faire connaissance de mon vicaire le Père Jean-Edouard »
Je suis très étonné de la présence d’une autre personne. Je croyais qu’il allait être tout à moi. Que cela cache t-i l ?
- « Je ne veux pas vous déranger, et ce n’est pas ce qui avait été convenu »
- « Je vois que tu as encore peur mon petit, tu n’as pas confiance en moi ? Surtout ne crains rien – Comme tu peux le constater mon jeune vicaire a des soucis et est obligé d’être en fauteuil roulant ? Il vis au rez-de-chaussée, ce qui est plus pratique et m’aide comme il le peut dans mon ministère »
Ce vicaire doit avoir à peine trente ans d’une beauté exceptionnelle et rare. Il ferait baver plus d’un directeur de casting de mannequinat. Il est assis dans son fauteuil, mais à ma surprise avec une soutane noire, ce qui me surprend à cette époque
- « Matthieu, je suis assez surpris que ton vicaire soit en soutane »
- « Oui, je sais, mais ce n’est que temporaire, c’est plus facile pour lui pour certains gestes du quotidien.
Matthieu nous propose une boisson simple ou un cocktail. J’opte pour le cocktail et tous prenons la même chose. Matthieu vient s’assoir à côté de moi et je sens sa jambe contre la mienne, ce qui commence à faire réagir mon paquet. Au bout d’un moment entre deux gorgées, il me dit toujours avec sa voix profonde et douce :
- « N’ai pas peur, ce n’est absolument pas un piège, sois tranquille et rassure-toi. Mercredi tu as bien aimé que je te suce (de ma tête je fais que oui) tu as tellement crié ta jouissance. Jean-Edouard ne peut pas aller au G7 dans son état, comme tu peux le comprendre ; si tu veux bien, il est prêt à te faire la même chose avec sa jeune bouche.
Tu fais comme tu le veux »
Je suis quand même sous le choc, mais c’est aussi une expérience d’avoir des sensations différentes. Jean-Edouard, ne dit rien, mais son visage s’éclaircit avec son sourire angélique.
Au bout d’un long silence de tous, Matthieu me regarde et ajoute :
- « Mais tu le souhaites, tu peux aussi le sucer, il te dira gentiment si c’est bon et si tu le fais bien. Lui aussi est très gentil »
Pendant cette phrase de Matthieu, le vicaire commence à déboutonner la longue ligne de boutons de sa soutane. Matthieu nous ressert un petit-peu du cocktail et me propose de me lever pour me rapprocher du fauteuil de Jean-Edouard.
- « Enlève ton jean et ton boxer, ce sera plus pratique, je vais me libérer aussi de mon pantalon et de mon sous-vêtement. »
Nous commençons à nous dévêtir, pour moi, je vais lentement n’ayant pas l’habitude de me trouver nu comme cela devant d’autres personnes.
D’un seul coup je me remémore que mercredi, je ne me suis pas préoccupé de son sexe tellement il s’est si bien occupé de moi. Matthieu lève sa jambe pour faire glisser son slip et là je constate un sexe pas encore bandé d’une vingtaine de centimètres fin très régulier mais surtout oh ! surprise son pubis complètement dépourvu de poils. C’est surprenant, mais très sympathique. Cela met en valeur tout son appareil. Mercredi je ne me suis pas aperçu de ce qu’il a entre les jambes. Si ses paroissiennes le savaient, elles lui tourneraient autour. Quand vous pensez que ce n’est pas moins de vingt centimètres qui pendent de façon souple au-dessus de deux belles balles de pétanque comme testicules bien accrochés, quand il est excité, son sexe doit prendre des proportions magistrales.
Moi par-contre mon sexe commence sans mon autorisation et sans mon consentement à se dresser et à devenir bien droit et raide. Un vrai bazouka.
Pendant tout ce temps, Jean-Edouard continue et termine de déboutonner sa soutane à la longue rangée de boutons. Pendant ce temps, je me dis en moi-même, il faut que je fasse ce que Matthieu m’a suggéré pour ne pas paraître trop timide et irrespectueux vis-à-vis de lui qui a su me donner ce plaisir. Mais vais-je savoir-faire donner du plaisir ? Comme j’ai compris le vicaire rectifiera éventuellement ma technique peu expérimentée.
Très fébrilement je regarde Matthieu ne sachant pas comment approcher le jeune prêtre. Matthieu met délicatement sa main sur mon épaule, et de l’autre ouvre la soutane déboutonnée pour extirper un sexe qui doit être chaste et ne pas servir….. En voyant ce qui vient de sortir, je suis éberlué. Car il n’est pas possible que ce sexe ne soit pas utilisé. Le sexe de l’abbé Jean—Edouard est tout droit et d’apparence dur mais surtout de vingt-quatre centimètres et un diamètre d’au moins cinq centimètres. Au lieu d’être religieux, il doit faire du cinéma-porno, il aurait plus de plaisir et plus d’argent. Ce n’est pas possible d’avoir un morceau comme cela entre les jambes. Comment peut-il faire lorsqu’il est en jeans ?? Il ne peut pas la couper en rondelles pour en cacher une partie. Jean-Edouard avec un doux sourire me fait signe. Matthieu très subtilement me fait avancer toujours sa main délicatement posée sur mon épaule, et me glisse à l’oreille
- « Va s’y, avance, prends-là la dans ta bouche. Exerce-toi à ta première fellation. Il est très compréhensif, il sait ton expérimentation. Nous avons tous été comme toi »
Je me penche vers l’entre-jambe de Jean-Edouard et ouvre grand ma bouche pour y introduire cette bite rigide avec son gland discret. J’essaie de faire me semble-t-il comme m’avait fait Matthieu mercredi. Après quelques minutes, deux doigts de Jean-Edouard me tapote le dessus de la tête :
- « S’il te plaît, mets plus de salive, cela sera plus facile »
Je rectifie ma technique en salivant sur la longueur de cette dure barre de chair pendant que Matthieu regarde la scène. J’entends un petit soupir de jean-Edouard preuve que je dois mieux sucer. Mais je sens encore ses deux doit sur ma tête. Je lève mes yeux vers le vicaire ;
- « C’est bien, c’est bien, et fait attention à tes dents tu fais mal . Je sais que tu ne le fais pas exprès. Continue, continue !!
Matthieu me caresse la tête et la joue et me glisse à l’oreille
- Tu vois, tu vois, tu arrives à donner du plaisir à quelqu’un.
Je sens ce morceau dans ma bouche, cela me donne de nouvelles sensations. Involontairement j’émets des bruits de succions, et de ma salive tombe sur le parquet du bureau. J’essaie de faire tourner ma langue autour de la couronne de son gland, je suis sûr que ce n’est pas aussi bien que Matthieu. Et d’un coup je pense que certains jours au presbytère il doit se passer des choses, qu’étant curé Matthieu doit disposer et obliger son vicaire à ses envies. Jean-Edouard étant le subalterne a l’air d’obéir ou d’être soumis à son Curé. Pendant ma fellation, Jean-Edouard me caresse la joue et le cou et pousse des gémissements
Tient, Matthieu s’est mis à genoux presque derrière moi. Il enlève sa min de mon épaule et effleure sur mon muscle fessier c’est agréable et très subtil. Puis en un clin d’œil chacune de ses mains sur le haut de chacune de mes cuisses, et oh ! oh ! grande surprise je sens sa langue s’introduire dans ma raie. Avec sa tête il essaie d’aller plus loin et je sens sa langue agile sur ma petite rosette, il la titille avec la pointe. Je sens de la salive sur mon petit trou, et il donne de rapides petits coups ce qui me donne un plaisir inconnu et très intense. Je n’arrive plus à sucer correctement jean-Edouard qui a retiré ses mains pour enchâsser ma tête et lui imprimer son rythme de succion. Je n’arrive pas à me concentrer sur cette longue queue, tellement Matthieu me donne du plaisir avec son anulingus. Instinctivement je pousse :
- « Oh oui Oh oui, Ma-Ma-Matthieu c’est trop bon !Oui !Oui !
Avec mes onomatopées Matthieu fait bien travailler sa langue, ce qui me transporte littéralement. Mais de mon côté, il faut que je m’applique davantage de tout l’appareil de Jean-Edouard. Dans ma bouche, sa matraque a encore grossie et raidie, et lorsque je passe ma langue vers le gland, je sens des gouttes de liquide pré-séminal à la sortie de son méat.
Jean-Edouard, a fermé ses yeux et basculé sa tête en arrière et gémissant un peu plus fort, et se mort sa lèvre inférieure. Matthieu essaie de se lever, une fois debout, il me caresse le dos et tient sa lance d’une main. Je l’entends cracher de la salive sur sa main. Je ne vois pas plus, et sans y penser, je sens une certaine chaleur sur ma rosette qu’il a su faire déplisser. Matthieu positionne son gland sur mon trou tout mouillé de sa salive. Je tourne la tête et je réalise qu’il s’est positionné pour me posséder.
- « Non, non, Matthieu pas çà. Non. Toi qui es si gentil, je crois que tu n’as pas compris. J’ai confiance en toi et tu fous tout par terre. Je veux tes caresses et tes fellations. Pourquoi ? Pourquoi tu trahi ta parole ? Non non çà suffit. »
- « Non, je ne trahis pas ! tétais d’accord mon enfant pour connaitre d’autres choses ? Pas vrai ?
- « Si si, mais tu vas me fendre en deux avec ton engin, tu n’as pas vu ce que tu as entre les jambes, c’est pire que Jean-Edouard. Non, je ne veux pas. »
- « N’ai crainte, n’ai pas peur, je sais que tu cherches le plaisir, c’est ce que je vais te donner. Je te promets tu n’auras pas mal, presque pas mal. Oui une seconde de douleur, je te l’assure ».
Je suis tout rouge et une larme à l’œil. Je crains cette première sodomie, et ce n’est pas possible de ne pas avoir mal. Matthieu doucement remet de la salive et je pense du gel
- « Aïe, Aîe ! Non non »
Immédiatement Matthieu me dépose un baiser sur la joue et près de l’oreille et me dit :
- « Respire, respire, et…. ? ? ? Oui !!! mon gland est rentré maintenant !!! Tu vas voir cela va aller.»
Effectivement, il s’est pris de telle façon que la douleur est vraiment éphémère et maintenant je sens sa verge entrer progressivement dans mes entrailles, en me donnant des sensations inconnues et indescriptibles. Par courtoisie et compréhension il règle ses allers-retours sur mes va-et-vient sur la tige de Jean-Edouard qui glousse et gémit de plus en plus fort. Matthieu a mis ses mains de chaque côté de mes hanches et donne des coups de plus en plus amples.Je ne suis plus où je suis, je vois des étoiles.
Mes succions sont de plus en plus rapides sur la tige qui prend encore du volume de Jean-Edouard. IL me pose se mains sur la tête afin que j’en mette le maximum en bouche. Ma salive se répand sur le parquet. Je sens le bassin du vicaire onduler et se lever même parfois du fauteuil. Il lance des :
- « Oh Oui O=Oh Oui, continue continue, plus vite plus vite serre bine tes lèvres sale petit cochon vicieux »
Il balance sa tête en arrière, ses mains relâchent leur pression sur ma tête,
Son bassin se repose brusquement sur le fauteuil, et de bouche grande ouverte, il éructe des
- « Ooiiuu Ooiiuu Oooouuuii !!! Je je je Je Joouis Je JJOOUUIISS !!! Oui Oui !!!
Et au même moment un jet puissant et chaud est projeté dans ma gorge, tellement je suis surpris et mes lèvres se dressèrent laissant sortir son bazouka qui n’arrête pas de mitrailler des flots épais successifs de sa semence. Il me macule le front, j’en reçois dans les yeux. J’ai compté pas moins de huit jets importants épais blanchâtre sortant de son méat bien élargi. N’ayant pas retenu sa verge turgescente certains jets se sont écrasés sur sa soutane noire ouverte. Pendant cette explosion séminale, j’ai pris appui avec mes mains sur ses cuisses, tellement Matthieu rentre plus profondément pour atteindre ma prostate. C’est de plus en plus bon, je suis comme sur un nuage. Je veux être discret mais ce n’est pas possible tellement je suis enivré d’un plaisir nouveau.
- « Oui, continue Matthieu, continue continue c’est trop bon. » »
- « Tiens, tiens mon enfant, tu vas va jouir comme jamais, tu vas bien la sentir, ta prostate va être heureuse. »
Il avait à peine terminé sa phrase que je sens monter le long de mes jambes comme de l’électricité, mais jambes sont prêtes à fléchir tellement elles sont prises d’un tremblement subi. Et en un éclair c’est tout mon corps qui vibre et pris de convulsions lorsque ma verge déverse une vraie fontaine de sperme.
- Ouiiii Ouiiii ouiii , c’est c’est bonnnn !!!!! »
Le sperme éjecté tombe sur le parquet et sur la soutane de Jean-Edouard, qui s’est mis à me caresser les couilles. Je n’ai jamais eu un tel orgasme. Je suis en nage et le long de mes cuisses coule le sperme de Matthieu lorsqu’il retire sa queue légèrement ramollie de mes profondeurs. Je tremble moins, mais de ma queue coule toujours mon sperme qui est devenu transparent. Derrière moi, Matthieu essuie sa queue touche maculée de semence. Il me caresse une joue et pose un tendre baiser sur l’autre.
- « Tu vois mon enfant, je ne t’ai pas fait mal, je pense que tu as apprécié ce plaisir prostatique que peu d’hommes malheureusement connaissent. Et puis tu as fait plaisir à mon vicaire, je le sois à son sourire »
- « Oui c’était imprévu je ne savais pas que l’on puisse avoir autant de plaisir, se branler seul ce n’est rien à côté de tout çà. C’était trop bon
Matthieu, merci, merci. En trois jours tu m’as fait découvrir des choses incroyables Merci à vous deux »
Après toutes ces heures de plaisir, chacun a pris sa douche, Matthieu m’a invité à dîner et nous avons tous les trois terminés la soirée avec des conversations très intéressantes. Pendant les trois années à la fac, je me suis remis à pratiquer et continue mes visites au presbytère, invité pour déjeuner ou dîner, mais aussi pour des moments de plaisir partagés avec l’un ou l’autre ou ensemble. Maintenant je suis un couple avec un avocat.
Ce récit remonte il y a quelques années. Je suis étudiant dans une ville un peu éloignée de ma famille. J’ai beaucoup de chance, mes parents m’ont trouvé et me paient un studio au centre-ville et non loin de la faculté.
C’est la première fois que je vis seul et donc obligé de m’organiser et me gérer seul. La dernière année, mes parents me laissent sortir, mais dois tout de même rendre plus ou moins des comptes. Là, pas besoin de demander l’autorisation, ni de raconter.
Depuis un petit moment, je pense que je suis homosexuel, je suis de plus en plus attiré par les formes des corps masculins et l’importance des entre-jambes. Bien que j’aie quelques expériences avec de très bonnes copines, mais je ne trouve aucun plaisir, et j’ai même des difficultés à éjaculer. En revanche avec les copains de petites branlettes entre nous.
Pas grand-chose direz-vous. Effectivement ! Je regarde des revues pornographiques masculines, ce qui me fait bien bander et m’entrainent à de bonnes et fortes masturbations aux éjaculations abondantes. Je ne drague pas, et ne suis pas très dégourdi sur ce plan, malgré mes vingt ans. Je n’ai pas d’expérience, je n’ai pas de copain pour faire ces choses.
Maintenant que je suis seul et libre, je veux découvrir certains plaisirs que je vois sur mes revues et certains de leurs récits. J’ai surtout en tête d’aller dans un sauna. Mais comment fait-on ? On est en boxer ou tout nu ? Que se passe-t-il à l’intérieur ? En tête des questions d’après mes lectures. Vais-je oser ? je vais avoir l’air gauche ! Il faut déjà qu’il y ait un sauna dans cette sous-préfecture. Enfin, je verrai ! ! !
Les cours à la fac commencent que dans un petit mois. Moins d’une semaine après mon installation, je décide d’aller me balader pour découvrir chaque jour un quartier différent de ce centre-ville. A détour d’une mes promenades, je passe devant une devanture style Art-Déco au pied d’un splendide immeuble XIXème Haussmannien. Je détaille les arabesques sculptées de la façade, en levant la tête sur le cartouche de l’enseigne est inscrit d’une police ancienne : « Club Sauna G7 » sur le coup cela ne me fait pas ‘’tilt’’. Au-dessus de la poignée de la large porte d’entrée une plaque gravée avec le nom de l’enseigne et en-dessous Etablissement masculin avec quelques tarifs. Et voilà sans vraiment chercher il y a même dans cette ville de sous-préfecture un sauna gay. Bientôt je vais pouvoir découvrir ce que j’attends depuis quelque temps !!! Je continue ma promenade-découverte et rentre dans mon chez-moi. Je n’arrête pas de penser à cet établissement, et même couché des tas de choses se bousculent dans ma tête, jusqu’à fermer les yeux et être obligé de me branler pour évacuer tout un flot de ma suprême semence qui se répand sur mon ventre.
Trois jours après, je décide de me diriger vers cet établissement plein d’énigmes. Je suis de moins en moins vaillant plus je m’approche de ce lieu. Je ne veux pas avoir l’air idiot et bête. Je prends ma respiration et franchi le seuil. Un hall s’offre à mon regard avec des stucs et des peintures s’ins- pirant de l’art déco. Tout ce qui est pictural représente des silhouettes masculines assez dévêtues et même nues dans différentes postions subjectives. Déjà l’impression que ce n’est pas un lieu pouilleux ou délabré. Une ambiance légèrement brumeuse à la forte odeur d’eucalyptus et patchouli. A droite un guichet vitré derrière lequel un jeune homme bronzé, cheveux blond-cendré qui porte un maillot Marcel de belle facture. D’un sourire accueillant il m’annonce le prix de l’entrée, en me disant que le G7 ferme aujourd’hui à 01 heure. En moi-même je pense que je ne resterai sûrement pas si tardivement. Je pousse la porte de séparation qui se trouve à ma gauche qui donne accès réellement à l’antre de l’établissement. Oh oui j’y allais mollement ne sachant pas trop comment franchir les différentes étapes pour me dévêtir et accéder aux activités. Dans cette nouvelle pièce aux arcatures néo-classique, une bonne dizaine d’hommes en slip, CK caleçon et boxer se rhabillent déjà, il est seulement treize heures quarante. Mais peut-être que ces hommes dont plus des deux-tiers ont une alliance viennent se faire plaisir pendant leur pause du déjeuner. Un quadragénaire, lui commence à se dévêtir, je l’observe du coin de l’œil ayant l’air d’être un habitué saluant un participant presque habillé, pour copier sur sa chronologie des étapes.
J’entends la fin de leur échange.
- « ça va ? »
- « Il y a un peu de monde mais au fond c’est chaud !»
J’observe, j’écoute et j’enlève progressivement tous mes vêtements pour faire comme ce monsieur, puis me tourner vers les armoires-vestiaires et me ceindre de ma serviette autour de la taille. Ah ! j’ai oublié de vous dire j’ai vingt ans, un mètre quatre-vingt-neuf, des cheveux châtains à la coupe nette. Une morphologie avec des muscles légèrement marqués due aux longueurs de piscine que j’effectue une fois par semaine. Sous ma serviette, je pense être ‘’normal’’ avec une verge au repos de dix-sept centimètres. Des testicules à la forme d’abricots bien fermes. J’ai des poils au pubis que je taille aux ciseaux assez régulièrement. L’homme passe une porte à battants d’où s’échappe une légère vapeur aux douces senteurs, je ne vois rien tout est noir. Je ferme mon casier et de nouveau je souffle et prend mon courage à deux mains pour pénétrer dans cet antre sombre inconnu. Oh ! Il fait chaud, ce n’est rien, mais d’un seul coup je ne vois strictement plus rien. J’en suis assez stupéfait. Je fais seulement quelques pas ne sachant pas où me diriger. Comme une momie je reste immobile et progressivement je vois des ombres se mouvoir. Toutes ces formes deviennent un peu plus compréhensibles. Presque à tâtons j’essaie de me rendre compte de la disposition des lieux. A part une musique assez scandée, aucune parole, aucun autre bruit. Je constate que les clients marchent lentement, s’arrêtent, se dirigent dans diverses directions. Maintenant que ma vue me permet de discerner, j’avance et visite les lieux. Là se sont les douches qui sont obligatoires, à la suite c’est le sauna avec sur le mur extérieur des patères pour déposer les serviettes. A quelques mètres une plaque mentionne Hammam. Des personnes sont à l’extérieur et ici aussi des porte-manteaux. Un angle et je vois un long couloir avec de chaque côté des embrasures de portes. Je jette un œil, certaines de ces cabines sont ouvertes, et d’autres fermées d’où certains soupirs, murmures ou onomatopées se font entendre par le plaisir qui se prend ou l’orgasme qui se vit. Cela devient assez excitant et bandant. Ma queue commence à gigoter sous ma serviette. Elle se relève, grossit et enfle. Je continue ma visite et au fond c’est encore plus noir avec un regroupement d’hommes qui à mon avis attendent ou regardent quelque chose. Curieux, je m’approche. Il fait encore plus chaud. Mais là pour le moment je ne vois rien, mais des soupirs plus sonores jusqu’aux cris rauques et gutturaux se font entendre à certains moments. D’un seul coup un homme complètement en sueur, ébouriffé, épuisé sort de cette pièce-alcôve essayant de remettre sa serviette autour de ses reins.
Quelques minutes plus tard, je sens une main sur ma serviette et qui essaie de caresser ma cuisse. Je suis surpris et sursaute en me retirant de quelques centimètres. Je me mobilise stupéfait ne sachant pas quoi faire. De là où je suis de nouveau la même main caresse ma cuisse en se rapprochant davantage de mon sexe en pleine érection. Je bande tellement que ‘en ai mal à la racine de ma verge. Ce qui pour ainsi dire ne m’est jamais arrivé. Sans réellement le voir, je sens sa légère respiration s’approcher de mon oreille.
- « J’aimerai bien vous sucer jeune homme ! »
Dans ma tête tout se bouscule. Je ne le connais pas, hummm ! me faire sucer, c’est mon fantasme et mon rêve, il est poli, mais qui est-ce ? je ne vois rien. Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Etant la première fois, je suis une vraie gourde. Je reste immobile, je me glace, je ne bouge plus. Sa main fait des allers-retours sur ma tige.
- « Alors venez dans une cabine, je vais te sucer ».
Oh çà progresse voilà son tutoiement. Je ne lui réponds toujours pas. –
- « Suis-moi, si tu veux ».
Il faut que je me décide, mais il faut tout de même que je vois un peu sa tronche. Comme un automate, je le suis. Il entre dans une des cabines. J’hésite avant d’y franchir son seuil. Lui est debout adossé au chambranle de la petite porte. Avec le peu que je puisse voir, il doit avoir une petite cinquantaine d’années, les cheveux courts grisonnants, d’un physique et d’une morphologie très classiques, le thorax un peu poilu grisonnants également. Il donne l’impression d’un homme tranquille, réservé et dirons-nous distingué. Il s’adresse de nouveau à moi :
« Venez, viens !!ne soyez pas timide !! »
Il a saisi mon hésitation et mon air idiot. Je respire et lui rétorque :
« c’est la première fois que je viens dans un tel établissement, vous l’avez donc constaté ? »
- « Oui, je t’observe depuis tout à l’heure, tu es tellement timide et tu es paralysé - Surtout ne craint rien avec moi. En plus il faut que je sois très discret. Rentrez, rentre…»
Un peu vexé par mon attitude, mais soulagé de sa compréhension, je pénètre dans cette petite pièce-clapier, où un matelas est posé sur une couche qui occupe les quatre-cinquième de cet espace. Il pose sa main sur mon épaule pour me faire avancer et ferme la porte avec le petit verrou. Il laisse sa main sur mon épaule et de l’autre il caresse ma joue.
- « Tu es bien jeune »
je lui réponds :
- « Je viens d’avoir vingt ans il y a deux mois, et je viens d’arriver dans cette ville pour mes études à la faculté »
- « Tu es seul ? »
- « Oui, mes parents m’ont installé dans un studio place Montpensier, je suis content, et de ce fait je suis seul, je ne connais encore personne. »
- « Tu verras avec la fac tu te feras des connaissances. Maintenant il faut que tu te détendes en étant ici. Si tu veux, je vais te sucer ! »
Je le regarde sans oser lui répondre, Intérieurement je ne suis pas encore en confiance. Mais être sucer ne peut que me faire du bien, surtout que ce n’était pas détestable une des seules fois où j’avais ma bite dans la bouche d’un de mes copains de collège. Après quelques secondes, je lui souris.
- « Alors allonge-toi là, je vais te détendre »
Donc, je me couche sur le dos, et lui qui s’appelle Matthieu s’assoit sur le rebord de la couche. D’une de ses mains il me caresse la joue, puis fait glisser sa main sur mon thorax. Ses doigts sont longs et doux. C’est très agréable. Arrivé à la serviette, il tire légèrement les deux pans avec ses deux mains et dépose la serviette contre la paroi de la cloison. L’anxiété m’ayant encore envahie, ma verge est moins droite et raide. J’espère que je ne vais pas débander. Matthieu est doux. Il penche sa tête avec la bouche légèrement entrouverte, il saisit ma queue avec sa main et sa bouche se pose délicatement sa bouche sur le bout de mon gland. Avec ses lèvres ourlées, il descend très doucement le long de mon membre qui s’est mis à bien se redresser Je sens la chaleur de sa bouche. Ses lèvres se resserrent d’une façon agréable et excitante. La langue tourne autour de la couronne de mon gland en atteignant par moment le frein. Ce sont des sensations que je n’ai jamais eues ou ni ressenties. L’intérieur de sa bouche est rempli de salive qui s’échappe par moments par leurs commissures de ses lèvres. Il me regarde ses yeux sont remplis de gentillesse et de joie. Avec sa seconde main il masse de façon subtile mes testicules qui n’ont jamais été aussi bien manipulés et dorlotés. Pendant ce temps, sa bouche travaille toujours d’une façon inconnue (pour moi) pour en arriver à ce que Matthieu m’effectue ce que l’on appelle une gorge profonde. Sous cet effet, j’émets un cri-gémissement. Je n’ai pas pu me retenir tellement je fus surpris de cette sensation donnant la chair de poule. Je suis presque aux anges avec cette fellation effectuée avec autant de délicatesse et de douceur. Matthieu est un homme plein d’attention subtile. Après quelques instants il desserre ses lèvres et ma queue brillante de salive sort de sa bouche. Matthieu s’essuie les lèvres avant de me regarder pour me dire d’une voix profonde et calme :
- « Alors, Rodolphe, tu arrives enfin à te détendre ? Cela te convient mon cher ami ? »
Il ne disait pas cela par orgueil, mais seulement avec sa gentillesse et courtoisie. Avec ses yeux verts, il me regarde fixement et ajoute :
- « Tu me donnes l’autorisation de continuer ? »
- « Oh ! Oui, c’est tellement bon Matthieu. Pour une réelle première fois, je ne sais pas si je serais un autre jour aussi bien sucer que tu le fais ? »
- « En amour ce que je préfère c’est donner du plaisir avec mes fellations »
- « Oui ! ! Continue, j’ai envie c’est trop bon ! ! »
Après ce court pseudo-dialogue, Matthieu se repenche pour engloutir ma verge qui n’attend que cet acte de succion. La langue de Matthieu tourne de nouveau autour de la couronne qui est devenue encore plus sensible, qui me fait légèrement onduler sur le matelas. La salive chaude s’échappe des lèvres de mon professionnel de la suce pour mouiller mon ventre. Progressivement je ferme les yeux tellement la succion devenue plus sonore me donne des sensations nouvelles et inconnues, mais combien agréables et denses. Je ne peux m’empêcher de gémir, il y a comme des choses bizarres qui parcourent toute la partie inférieure de mon corps ; Matthieu, toujours bien concentré sur mon sexe fait monter et descendre sa tête avec des bruits caractéristiques de sucions. Une main me caresse et il commence à augmenter son rythme de va et vient en fonction des gloussements et gémissements que je n’arrive plus à retenir. Tout mon corps ondule et se soulève du matelas. J’avance ma main de mon sexe croyant pouvoir ‘me finir’
par une masturbation personnelle. Délicatement Matthieu repousse ma main. Il accélère et de sa main droite avance son index vers mon petit trou. Alors je pousse un
« Oh Ouiiiii Oh Ouiiiiii, attention je vais jouir attentiioonn !!! »
Par ces termes, je l’avertis que je vais éjaculer, afin qu’il s’enlève pour ne pas tout recevoir dans sa bouche experte. Bien au contraire, il descend plus bas, ce qui fait encore plus grossir ma queue, car elle ne se remplit pas que de plaisir, mais de ma substance séminale. Il ne se retire toujours pas mais a resserré ses lèvres. Je pars pour un autre monde ; je vois des étoiles, j’ai chaud, je vocifère des
- « Oh oui ! OOhh OOuuii !! C’est bboonn !! puis Oouuii »
Tout mon corps se soulève comme aspiré et d’un coup mes jambes se mettent à trembler et tout mon corps a des soubresauts comme des convulsions puis j’hurle sans retenue
- « JE JJOOUUIISSS ».
Je ferme les yeux, je suis complètement parti, je suis essoufflé car ce que je viens de ressentir au plus profond de moi-même est absolument indescriptible. A ce jour je n’ai jamais lâché autant de si gros jets de sperme au nombre de sept. Je m’affale sur la couche, épuisé, en sueur et vidé.
Pendant quelques minutes rien ne se passe. Matthieu ne bouge pas, ne fait aucun geste. Toujours aussi courtois, il attend. Puis doucement il avance sa main avec ses longs doigts fins pour effleurer ma joue. De sa voix profonde :
- « Rodolphe, mon enfant, tu es détendu maintenant ? »
Je lui réponds que oui à deux reprises en lui faisant signe de la tête.
« Mon enfant, à tes cris, je crois que tu as eu du plaisir ? Tout le monde a dû t’entendre. Ce n’est pas grave, l’essentiel est que tu sois heureux, mon enfant ! - et pour moi ce fut bon de te donner cette satisfaction et de la joie ».
Je n’ai jamais connu autant de plaisir, avec ce que Matthieu m’a offert pendant plus de quarante minutes. Cette belle fellation m’a beaucoup secoué et fait connaitre dans cet établissement un des plaisirs décrit dans mes revues.
- « Merci, merci, ce que tu m’as fait est incroyable ; tu m’as offert un plaisir que je ne connais pas. Merci Matthieu pour cette pipe si bonne. Je ne t’ai pas dit mon prénom ? tu n’as pas retenu ? je m’appelle Rodolphe. »
- « Je suis content de ton ressenti. Car tu es tellement jeune et beau, et presque innocent tu es comme un ‘enfant’ qui commence à découvrir et connaitre les joies de la vie ; je sais que tu es Rodolphe »
- « Matthieu ! dans votre petite ville, tout le monde doit se connaitre, je ne veux pas avoir de problème avec ou à cause toi avec ce que tu m’as offert et donné ici ».
- « Mon enfant, n’ai aucune crainte avec moi. Je sais que la discrétion est importante en toute circonstance dans cette ville. Lorsque je t’ai vu tout à l’heure, il me semble que je peux affirmer que tu es un étudiant sérieux et sincère. Que tu te cherches et n’oses pas trop. Et tu peux être fiers de tes parents qui t’ont donné une éducation solide, exemplaire et pleine de beaux principes pour te laisser voler seul. Cela se sent, tu es un bon garçon Rodolphe »
Avec les phrases prononcées par Matthieu je suis tout rouge de confusion, mais content de cette reconnaissance. Un peu de timidité s’est estompée pour lui dire :
- « Je te remercie Matthieu. Oui, c’est fabuleux ce que tu m’as fait vivre. »
- « Tant mieux. Il faut il y aller progressivement et par étapes, et il n’y a pas que l’aspect physique mon enfant ! »
Vais-je pouvoir lui demander quelque chose, ou est-ce trop tôt ? Oh ! je me lance. Il est tellement sympa, il ne m’a pas brusqué et en plus je ne l’ai pas soulagé.
- « Matthieu ! ! ! (silence) Toi tu n’es pas soulagé ? Je suis égoïste – Pardon ! »
- « Ne t’en fait pas. Je suis surtout heureux de t’avoir donné ce plaisir que tu recherches ! C’est gentil »
- « Lorsque j’aurai fait ma rentrée à la fac, pourrons nous nous revoir ici ? Si je te conviens ? »
- « Je préfère que ce soit toi qui me le demandes çà, mon enfant. Bien sûr j’aimerai te revoir ne serait-ce que pour échanger et bavarder et plus si tu en as envie. Mais pas forcément ici. »
- « Ah ! pas ici ?? Mon studio est trop petit ! »
- « Tu viendras chez nous ? Mais là aussi tu restes discret !»
- « Tu n’es pas seul ? C’est un guet-apens ce que tu me dis »
- « Non, non, je suis le curé de la paroisse saint Gilles, et de me voir entrer dans un tel établissement n’est pas discret. Si tu viens au presbytère cela n’étonnera personne. C’est pour cela que je t’aie dit nous car j’ai deux vicaires qui logent à chaque étage et chacun est chez lui. »
- « D’accord. (je suis d’un seul coup gêné et Alors c’est Père Matthieu ??? »
- « Non pas ici. C’est pour cela qu’inconsciemment et tellement l’habitude que je t’ai appelé mon enfant tout à l’heure. Tu viens me voir quand ? »
- « Oh ! ! ! C’était tellement bon, après demain si vous voulez et êtes libre ? »
- « Oui, vendredi à 17h, puis nous pourrons dîner ensemble »
- « Oui - Ok !– Tu ais vraiment gentil, je serai moins seul. Merci »
Nous nous levons et sortons de cette micro-pièce en sueur. Il me fait une bise sur la joue et nous nous dirigeons vers les cabines de douche, puis dans la splendide pièce-vestiaires.
Nous nous saluons à l’intérieur de l’établissement pour éviter toute vieilles ou tout vieux derrière leurs rideaux. Nous sortons. Il lève la main :
- « Mon enfant, à vendredi »
Nous partons chacun de notre côté, sans se retourner. Arrivé au studio, je m’affale sur le lit tellement je suis crevé de cet après-midi. Pendant les deux jours, j’ai l’esprit complètement pris par cette aventure et la future rencontre avec Matthieu. Alors là, je ne m’attendais pas tomber sur un prêtre, un homme aussi gentil et attentif mais surtout il suce tellement bien, j’ai hâte de le retrouver.
La matinée du vendredi me parue longue pour partir retrouver cet homme si doux, gentil si délicat. Enfin, il est l’heure. Je me dirige vers l’adresse qu’il m’avait donné mon téléphone en mode GPS ? Après à peine vingt minutes de marche, je suis devant belle maison du grand classicisme français qui portait bien le numéro de la rue qu’il m’avait inscrit. A gauche sur le chambranle de pierre de la double porte d’entrée trois boutons de sonnette. Sur celui du milieu est mentionné +Matthieu de Xxxx. Le doigt tremblant j’appuie sur le bouton. Et j’entends :
- « Bonjour ! Vous êtes ? »
- « Oui bonjour, je suis Rodolphe »
- « je t’ouvre – tu montes au premier. »
Je pousse un des battants de la lourde porte qui débouche sur un très vaste hall. En face un splendide escalier en pierre et magnifique rampe aux courbes élégantes. Sur le palier le Père Matthieu sur le pas de sa porte en clergyman ; (pantalon noir, chemise noire avec un col romain). Avec la lumière du soleil en contre-jour il rayonne. Un homme splendide aux cheveux bien taillés, et d’un grisonnant très équilibré. Il a son sourire plein de tendresse avec une dentition blanche très régulière. Son pantalon slim, lui marque bien à l’entre-jambe la courbe prononcée de son paquet.
- « Je suis heureux que tu sois venu passer un moment. Entre mon enfant. »
Avec sa grandeur, il se baisse légèrement pour me déposer un baiser sur la joue.
- « Viens Rodolphe, nous allons nous installer au salon. Tu vas faire connaissance de mon vicaire le Père Jean-Edouard »
Je suis très étonné de la présence d’une autre personne. Je croyais qu’il allait être tout à moi. Que cela cache t-i l ?
- « Je ne veux pas vous déranger, et ce n’est pas ce qui avait été convenu »
- « Je vois que tu as encore peur mon petit, tu n’as pas confiance en moi ? Surtout ne crains rien – Comme tu peux le constater mon jeune vicaire a des soucis et est obligé d’être en fauteuil roulant ? Il vis au rez-de-chaussée, ce qui est plus pratique et m’aide comme il le peut dans mon ministère »
Ce vicaire doit avoir à peine trente ans d’une beauté exceptionnelle et rare. Il ferait baver plus d’un directeur de casting de mannequinat. Il est assis dans son fauteuil, mais à ma surprise avec une soutane noire, ce qui me surprend à cette époque
- « Matthieu, je suis assez surpris que ton vicaire soit en soutane »
- « Oui, je sais, mais ce n’est que temporaire, c’est plus facile pour lui pour certains gestes du quotidien.
Matthieu nous propose une boisson simple ou un cocktail. J’opte pour le cocktail et tous prenons la même chose. Matthieu vient s’assoir à côté de moi et je sens sa jambe contre la mienne, ce qui commence à faire réagir mon paquet. Au bout d’un moment entre deux gorgées, il me dit toujours avec sa voix profonde et douce :
- « N’ai pas peur, ce n’est absolument pas un piège, sois tranquille et rassure-toi. Mercredi tu as bien aimé que je te suce (de ma tête je fais que oui) tu as tellement crié ta jouissance. Jean-Edouard ne peut pas aller au G7 dans son état, comme tu peux le comprendre ; si tu veux bien, il est prêt à te faire la même chose avec sa jeune bouche.
Tu fais comme tu le veux »
Je suis quand même sous le choc, mais c’est aussi une expérience d’avoir des sensations différentes. Jean-Edouard, ne dit rien, mais son visage s’éclaircit avec son sourire angélique.
Au bout d’un long silence de tous, Matthieu me regarde et ajoute :
- « Mais tu le souhaites, tu peux aussi le sucer, il te dira gentiment si c’est bon et si tu le fais bien. Lui aussi est très gentil »
Pendant cette phrase de Matthieu, le vicaire commence à déboutonner la longue ligne de boutons de sa soutane. Matthieu nous ressert un petit-peu du cocktail et me propose de me lever pour me rapprocher du fauteuil de Jean-Edouard.
- « Enlève ton jean et ton boxer, ce sera plus pratique, je vais me libérer aussi de mon pantalon et de mon sous-vêtement. »
Nous commençons à nous dévêtir, pour moi, je vais lentement n’ayant pas l’habitude de me trouver nu comme cela devant d’autres personnes.
D’un seul coup je me remémore que mercredi, je ne me suis pas préoccupé de son sexe tellement il s’est si bien occupé de moi. Matthieu lève sa jambe pour faire glisser son slip et là je constate un sexe pas encore bandé d’une vingtaine de centimètres fin très régulier mais surtout oh ! surprise son pubis complètement dépourvu de poils. C’est surprenant, mais très sympathique. Cela met en valeur tout son appareil. Mercredi je ne me suis pas aperçu de ce qu’il a entre les jambes. Si ses paroissiennes le savaient, elles lui tourneraient autour. Quand vous pensez que ce n’est pas moins de vingt centimètres qui pendent de façon souple au-dessus de deux belles balles de pétanque comme testicules bien accrochés, quand il est excité, son sexe doit prendre des proportions magistrales.
Moi par-contre mon sexe commence sans mon autorisation et sans mon consentement à se dresser et à devenir bien droit et raide. Un vrai bazouka.
Pendant tout ce temps, Jean-Edouard continue et termine de déboutonner sa soutane à la longue rangée de boutons. Pendant ce temps, je me dis en moi-même, il faut que je fasse ce que Matthieu m’a suggéré pour ne pas paraître trop timide et irrespectueux vis-à-vis de lui qui a su me donner ce plaisir. Mais vais-je savoir-faire donner du plaisir ? Comme j’ai compris le vicaire rectifiera éventuellement ma technique peu expérimentée.
Très fébrilement je regarde Matthieu ne sachant pas comment approcher le jeune prêtre. Matthieu met délicatement sa main sur mon épaule, et de l’autre ouvre la soutane déboutonnée pour extirper un sexe qui doit être chaste et ne pas servir….. En voyant ce qui vient de sortir, je suis éberlué. Car il n’est pas possible que ce sexe ne soit pas utilisé. Le sexe de l’abbé Jean—Edouard est tout droit et d’apparence dur mais surtout de vingt-quatre centimètres et un diamètre d’au moins cinq centimètres. Au lieu d’être religieux, il doit faire du cinéma-porno, il aurait plus de plaisir et plus d’argent. Ce n’est pas possible d’avoir un morceau comme cela entre les jambes. Comment peut-il faire lorsqu’il est en jeans ?? Il ne peut pas la couper en rondelles pour en cacher une partie. Jean-Edouard avec un doux sourire me fait signe. Matthieu très subtilement me fait avancer toujours sa main délicatement posée sur mon épaule, et me glisse à l’oreille
- « Va s’y, avance, prends-là la dans ta bouche. Exerce-toi à ta première fellation. Il est très compréhensif, il sait ton expérimentation. Nous avons tous été comme toi »
Je me penche vers l’entre-jambe de Jean-Edouard et ouvre grand ma bouche pour y introduire cette bite rigide avec son gland discret. J’essaie de faire me semble-t-il comme m’avait fait Matthieu mercredi. Après quelques minutes, deux doigts de Jean-Edouard me tapote le dessus de la tête :
- « S’il te plaît, mets plus de salive, cela sera plus facile »
Je rectifie ma technique en salivant sur la longueur de cette dure barre de chair pendant que Matthieu regarde la scène. J’entends un petit soupir de jean-Edouard preuve que je dois mieux sucer. Mais je sens encore ses deux doit sur ma tête. Je lève mes yeux vers le vicaire ;
- « C’est bien, c’est bien, et fait attention à tes dents tu fais mal . Je sais que tu ne le fais pas exprès. Continue, continue !!
Matthieu me caresse la tête et la joue et me glisse à l’oreille
- Tu vois, tu vois, tu arrives à donner du plaisir à quelqu’un.
Je sens ce morceau dans ma bouche, cela me donne de nouvelles sensations. Involontairement j’émets des bruits de succions, et de ma salive tombe sur le parquet du bureau. J’essaie de faire tourner ma langue autour de la couronne de son gland, je suis sûr que ce n’est pas aussi bien que Matthieu. Et d’un coup je pense que certains jours au presbytère il doit se passer des choses, qu’étant curé Matthieu doit disposer et obliger son vicaire à ses envies. Jean-Edouard étant le subalterne a l’air d’obéir ou d’être soumis à son Curé. Pendant ma fellation, Jean-Edouard me caresse la joue et le cou et pousse des gémissements
Tient, Matthieu s’est mis à genoux presque derrière moi. Il enlève sa min de mon épaule et effleure sur mon muscle fessier c’est agréable et très subtil. Puis en un clin d’œil chacune de ses mains sur le haut de chacune de mes cuisses, et oh ! oh ! grande surprise je sens sa langue s’introduire dans ma raie. Avec sa tête il essaie d’aller plus loin et je sens sa langue agile sur ma petite rosette, il la titille avec la pointe. Je sens de la salive sur mon petit trou, et il donne de rapides petits coups ce qui me donne un plaisir inconnu et très intense. Je n’arrive plus à sucer correctement jean-Edouard qui a retiré ses mains pour enchâsser ma tête et lui imprimer son rythme de succion. Je n’arrive pas à me concentrer sur cette longue queue, tellement Matthieu me donne du plaisir avec son anulingus. Instinctivement je pousse :
- « Oh oui Oh oui, Ma-Ma-Matthieu c’est trop bon !Oui !Oui !
Avec mes onomatopées Matthieu fait bien travailler sa langue, ce qui me transporte littéralement. Mais de mon côté, il faut que je m’applique davantage de tout l’appareil de Jean-Edouard. Dans ma bouche, sa matraque a encore grossie et raidie, et lorsque je passe ma langue vers le gland, je sens des gouttes de liquide pré-séminal à la sortie de son méat.
Jean-Edouard, a fermé ses yeux et basculé sa tête en arrière et gémissant un peu plus fort, et se mort sa lèvre inférieure. Matthieu essaie de se lever, une fois debout, il me caresse le dos et tient sa lance d’une main. Je l’entends cracher de la salive sur sa main. Je ne vois pas plus, et sans y penser, je sens une certaine chaleur sur ma rosette qu’il a su faire déplisser. Matthieu positionne son gland sur mon trou tout mouillé de sa salive. Je tourne la tête et je réalise qu’il s’est positionné pour me posséder.
- « Non, non, Matthieu pas çà. Non. Toi qui es si gentil, je crois que tu n’as pas compris. J’ai confiance en toi et tu fous tout par terre. Je veux tes caresses et tes fellations. Pourquoi ? Pourquoi tu trahi ta parole ? Non non çà suffit. »
- « Non, je ne trahis pas ! tétais d’accord mon enfant pour connaitre d’autres choses ? Pas vrai ?
- « Si si, mais tu vas me fendre en deux avec ton engin, tu n’as pas vu ce que tu as entre les jambes, c’est pire que Jean-Edouard. Non, je ne veux pas. »
- « N’ai crainte, n’ai pas peur, je sais que tu cherches le plaisir, c’est ce que je vais te donner. Je te promets tu n’auras pas mal, presque pas mal. Oui une seconde de douleur, je te l’assure ».
Je suis tout rouge et une larme à l’œil. Je crains cette première sodomie, et ce n’est pas possible de ne pas avoir mal. Matthieu doucement remet de la salive et je pense du gel
- « Aïe, Aîe ! Non non »
Immédiatement Matthieu me dépose un baiser sur la joue et près de l’oreille et me dit :
- « Respire, respire, et…. ? ? ? Oui !!! mon gland est rentré maintenant !!! Tu vas voir cela va aller.»
Effectivement, il s’est pris de telle façon que la douleur est vraiment éphémère et maintenant je sens sa verge entrer progressivement dans mes entrailles, en me donnant des sensations inconnues et indescriptibles. Par courtoisie et compréhension il règle ses allers-retours sur mes va-et-vient sur la tige de Jean-Edouard qui glousse et gémit de plus en plus fort. Matthieu a mis ses mains de chaque côté de mes hanches et donne des coups de plus en plus amples.Je ne suis plus où je suis, je vois des étoiles.
Mes succions sont de plus en plus rapides sur la tige qui prend encore du volume de Jean-Edouard. IL me pose se mains sur la tête afin que j’en mette le maximum en bouche. Ma salive se répand sur le parquet. Je sens le bassin du vicaire onduler et se lever même parfois du fauteuil. Il lance des :
- « Oh Oui O=Oh Oui, continue continue, plus vite plus vite serre bine tes lèvres sale petit cochon vicieux »
Il balance sa tête en arrière, ses mains relâchent leur pression sur ma tête,
Son bassin se repose brusquement sur le fauteuil, et de bouche grande ouverte, il éructe des
- « Ooiiuu Ooiiuu Oooouuuii !!! Je je je Je Joouis Je JJOOUUIISS !!! Oui Oui !!!
Et au même moment un jet puissant et chaud est projeté dans ma gorge, tellement je suis surpris et mes lèvres se dressèrent laissant sortir son bazouka qui n’arrête pas de mitrailler des flots épais successifs de sa semence. Il me macule le front, j’en reçois dans les yeux. J’ai compté pas moins de huit jets importants épais blanchâtre sortant de son méat bien élargi. N’ayant pas retenu sa verge turgescente certains jets se sont écrasés sur sa soutane noire ouverte. Pendant cette explosion séminale, j’ai pris appui avec mes mains sur ses cuisses, tellement Matthieu rentre plus profondément pour atteindre ma prostate. C’est de plus en plus bon, je suis comme sur un nuage. Je veux être discret mais ce n’est pas possible tellement je suis enivré d’un plaisir nouveau.
- « Oui, continue Matthieu, continue continue c’est trop bon. » »
- « Tiens, tiens mon enfant, tu vas va jouir comme jamais, tu vas bien la sentir, ta prostate va être heureuse. »
Il avait à peine terminé sa phrase que je sens monter le long de mes jambes comme de l’électricité, mais jambes sont prêtes à fléchir tellement elles sont prises d’un tremblement subi. Et en un éclair c’est tout mon corps qui vibre et pris de convulsions lorsque ma verge déverse une vraie fontaine de sperme.
- Ouiiii Ouiiii ouiii , c’est c’est bonnnn !!!!! »
Le sperme éjecté tombe sur le parquet et sur la soutane de Jean-Edouard, qui s’est mis à me caresser les couilles. Je n’ai jamais eu un tel orgasme. Je suis en nage et le long de mes cuisses coule le sperme de Matthieu lorsqu’il retire sa queue légèrement ramollie de mes profondeurs. Je tremble moins, mais de ma queue coule toujours mon sperme qui est devenu transparent. Derrière moi, Matthieu essuie sa queue touche maculée de semence. Il me caresse une joue et pose un tendre baiser sur l’autre.
- « Tu vois mon enfant, je ne t’ai pas fait mal, je pense que tu as apprécié ce plaisir prostatique que peu d’hommes malheureusement connaissent. Et puis tu as fait plaisir à mon vicaire, je le sois à son sourire »
- « Oui c’était imprévu je ne savais pas que l’on puisse avoir autant de plaisir, se branler seul ce n’est rien à côté de tout çà. C’était trop bon
Matthieu, merci, merci. En trois jours tu m’as fait découvrir des choses incroyables Merci à vous deux »
Après toutes ces heures de plaisir, chacun a pris sa douche, Matthieu m’a invité à dîner et nous avons tous les trois terminés la soirée avec des conversations très intéressantes. Pendant les trois années à la fac, je me suis remis à pratiquer et continue mes visites au presbytère, invité pour déjeuner ou dîner, mais aussi pour des moments de plaisir partagés avec l’un ou l’autre ou ensemble. Maintenant je suis un couple avec un avocat.
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Beau recit plein de retenue Un vrai plaisie