Retrouvailles - histoire érotique

Antoine Guilbert et Marie Chardin se connaissaient depuis l'enfance, car leurs familles, deux familles bourgeoises de la bonne société parisienne, étaient proches. Les deux jeunes gens avaient quasiment grandis ensemble et passé de nombreux étés a vadrouiller dans le domaine de la famille de Marie, situé dans le sud de la France, non loin d'Aix en Provence.

Puis l'adolescence était arrivée, et Antoine étais parti dans un pensionnat en Angleterre pour parfaire son éducation ainsi que sa maitrise de l'anglais alors que Marie était resté en France. Les deux s'étaient perdus de vue jusqu'à l'été juste après le bac. Antoine avait eut la surprise de recevoir une invitation au Domaine de Saintignon, la grande maison de vacances où il avais passé tant d'été. Il pourrait y rester et profiter d'un repos bien mérité pendant un mois.

Arrivé à Aix en Provence c'est Claude, le vieil employé de maison, qui vint le chercher en voiture. Le trajet dura une bonne heure sous une chaleur écrasante, avant d'arriver enfin au Domaine. Celui ci était composé d'une vaste demeure ainsi que d'un jardin avec un bois s'étendant sur plusieurs hectares, d'une serre et d'une piscine extérieure.

Il fut accueilli par Monsieur et Madame Chardin, ainsi que Marie et sa grande cousine Angéline, de 5 an son ainée et de passage pour le mois d'aout avant de partir s'installer à New York avec son fiancé. Marie portait une robe estivale légère aux bras nus ainsi qu'un élégant chapeau sur la tête et une jolie paire de souliers. Elle avait bien changée : son dernier souvenir de Marie était une enfant de 10 ans, et il avait maintenant en face de lui une belle jeune femme de 18 printemps à la chevelure brune arrivant jusqu'aux épaules, aux yeux bleus et au sourire ravageur. Un peu confus, il salua tout le monde et alla s'installer dans une chambre d'ami juste à côté de celle de Marie.

Les premiers jours furent étranges, car tout ici respirais la nostalgie de leurs jeux d'enfants, mais tout n'étais plus comme avant. Il avait changé et Marie également. La présence de cette dernière le troublais particulièrement et son doux parfum lorsqu'elle était proche de lui provoquait chez le jeune homme des sensations étranges mais agréables. Il ne pouvais détacher ses yeux d'elle et du mouvement hypnotique des robes legères qu'elle portait laissant parfois entrevoir un bout de jambe, ou deviner la courbure d'un sein.

Un jour ou ses parents étaient partis pour la journée, et Angélique occupée a parfaire son bronzage près de la piscine, Marie le prit par la main et l'entraîna dans les bois.

"Tu te rappelles notre cabane ? et bien elle est toujours là et j'ai une surprise pour toi" Dis elle avec un sourire. Surpris, Antoine la suivis jusqu'à la cabane, située en plein cœur des bois. Elle était construire sur un vieux et solide chêne centenaire et il fallait pour y accéder monter a une échelle de corde et passer par une trappe. Prenant les devants, Marie grimpa agilement sur l'échelle de corde, laissant entrevoir a Antoine une culotte sage et deux belles jambes blanches sous sa robe. Rougissant, il la suivit et grimpa dans la cabane, refermant la trappe derrière lui.

L'intérieur était petit mais assez joliment décoré avec un tapis et des coussins pour pouvoir se mettre à son aise et une table basse. Il y avait une fenêtre avec un joli rideau et quelques posters égayaient les murs.

"Tu as chaud ?" Dit Marie en le voyant rouge, avant de chercher dans un coffre quelque chose. Antoine s'assit sur les coussins et fut surpris de voir Marie sortir deux verres et les poser sur la table basse, puis servir deux verres.

"A nos retrouvailles ! " dit elle en levant son verre. Antoine fit de même et grimaça en se rendant compte que le liquide était de l'alcool, plus précieusement du rhum. "Mon oncle en a ramené de son voyage en Martinique et il m'a offert cette bouteille pour mes 18 ans" dit Marie en souriant avant de boire une gorgée en grimaçant.

Sans la présence gênante des parents, les deux purent parler de leur vie respective plus ouvertement. Antoine apprit que Marie avait été dans un collège/lycée pour filles, catholique bien sûr et à la discipline stricte ne rentrant que parfois pour le week-end. Marie apprit qu'Antoine avait fréquenté un très bon établissement pour garçons en Angleterre et qu'il avait consacré son temps aux études et à la pratique du sport, notamment de l'aviron et du rugby.

L'alcool et la chaleur estivale aidant, la discussion tourna rapidement sur un jeu a priori enfantin,mais pas si innocent au final.

"Cap ou pas cap de te servir un verre et de le boire cul sec" dit Marie à son ami avec un sourire amusé. Antoine se remplit le verre et releva le défi avec une grimace sous les applaudissements de la jeune femme.

"A toi, cap ou pas cap de...." Antoine s'arrêta un instant, puis pris son courage et rajouta : "cap ou pas cap d'enlever ta robe".

Marie rougit et hésita un instant puis commença à retirer les boutons, avant de laisser glisser sa robe au sol. Couvrant ses deux adorables seins en poire de ses bras croisés sur sa poitrine elle regardait Antoine gênée, uniquement vêtue d'une culotte blanche sage dévoilant sa silhouette fine. Lui bien sûr n'en perdais pas une miette commençant rapidement à sentir le trouble agitant son corps et particulièrement son bas ventre.

"Ce n'est pas juste que je sois dans cette tenue et pas toi, cap ou pas cap de te mettre en caleçon "dit elle d'une voix peu assurée. Antoine s'exécuta, retirant son t-shirt et son jean, se retrouvant en caleçon tendu par son érection. Le jeune homme était bien bâti de par sa pratique du sport, sans être un athlète non plus. Il vit Marie rougir, ne pouvant quitter des yeux la bosse sur son caleçon visiblement fascinée.

"A...toi." dit Antoine en rougissant à son tour. S'approchant lentement, il prit les mains de Marie avec douceur et lui fit décroiser les bras couvrant sa poitrine nue, admirant ses deux magnifiques jeunes seins en poire aux tétons rosés. Elle ne l'empêcha pas de faire lorsqu'une ses mains douces et maladroites commencèrent à caresser sa poitrine provoquant de petits soupirs de plaisir, posant ses mains sur son torse pour le caresser à son tour.

Les deux se rapprochèrent et leurs lèvres finirent par se rencontrer dans un baiser fougueux mais malhabile tout en se caressant le corps mutuellement. Sans s'en rendre vraiment compte ils s'étaient allongés sur les coussins et les mains se faisaient plus baladeuses. Bientôt les derniers tissus restant sur eux furent retirés et les deux se blottirent l'un contre l'autre se caressant le corps avec passion et laissant échapper de petits bruits de plaisir sans oser aller plus loin que des caresses et quelques baisers.

"Marie ? Antoine ? vous êtes là haut ?" dit soudain une voix en bas de l'arbre. Sursautant, les deux jeunes gens se stoppèrent dans leur élan. "Il faut rentrer, les parents de Marie ne vont pas tarder à arriver et nous allons ensuite passer à table, je vous attends à la maison " dit la voix d'Angéline avant que les pas s'éloignent dans les bois.

Les deux jeunes gens se rhabillèrent rapidement avant de redescendre pour rejoindre la maison rapidement sans un mot, confus mais heureux de cette première expérience.

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Merci de m'avoir lu, n'hésitez pas à commenter et si cette histoire vous a plu, j'écrirai peut être une suite !!