Retrouvailles partie 2 : Chaude nuit d'orage - histoire érotique

Retrouvailles : partie 2 : Chaude nuit d'orage

[Résumé de l'épisode 1 : Antoine et Marie se sont retrouvés après des années sans s'être vus, et Antoine a été invité à passer l'été dans la maison de vacances de cette dernière, dans le sud ou il venais souvent enfant. Dans leur cabane d'enfance, les deux jeunes gens se sont découverts mutuellement se caressant le corps avant d'être interrompus par l'arrivée de la cousine de Marie, Angéline.]

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Le dîner se passa dans une ambiance étrange et tendue et Antoine et Marie se demandaient si la cousine Angéline les avais entendus. Elle n'y fit pas mention en tout cas pendant tout le repas et à la fin de celui ci les trois allèrent regarder dans le grand canapé du salon un film d'aventure. Angéline se mis de façon à ce que les deux jeunes gens se retrouvent chacun d'un côté d'elle. Dehors, le temps était chaud et orageux et tout le monde décida finalement d'aller se coucher une fois le film terminé.

Après avoir fait ses ablutions Antoine se coucha dans son lit en caleçon pour ne pas trop souffrir de la chaleur estivale. Il repensais au corps de Marie, a sa douce poitrine qu'il avais longuement caressé et au goût de ses lèvres quand il l'avais embrassé. Tout cela provoqua un nouvel émoi ainsi qu'une belle érection qu'il entrepris rapidement de soulager en se masturbant tout en s'imaginant glisser ses mains entre les cuisses de Marie, seul endroit qu'elle l'avais empêché d'explorer lors de leur découverte mutuelle. Puis il s’endormit en rêvant de sa belle, un sourire aux lèvres.

De son côté, Marie n'en menais pas large non plus. Elle n'avais pas put être aux côtés d'Antoine durant le film, et soupçonnais qu'Angéline avais compris leur manège et qu'elle c’était mise entre les deux volontairement. Elle pris une longue douche pour se calmer glissant entre ses cuisses le pommeau de douche en imaginant le corps nu d'Antoine serré contre le sien, et son sexe glissant en elle pour la prendre sauvagement. Marie ne tarde pas a jouir s’accrochant a la cabine de douche puis
enfilant une culotte et sa robe de nuit elle finit de se préparer pour dormir allant se coucher.

La nuit était orageuse, et rapidement une pluie diluvienne se mit à tomber accompagnée d'éclairs et de bruits de tonnerre. Marie n'arrivais pas à dormir et décida d'aller voir si Antoine lui avais réussit a trouver le sommeil. Se levant sans bruit, elle se glissa dans le couloir puis arriva à la porte voisine. Elle frappe trois petits coups puis n'ayant pas de réponse décida de l'ouvrir doucement.

« Antoine , tu dors ? » demanda t'elle dans un murmure en rentrant sans recevoir de réponse. Elle attendit quelques instants que ses yeux s'habituent a la pénombre et put voir Antoine allongé sur le lit en caleçon. Elle hésita un instant puis s'allongea a ses côtés pour tenter de dormir. Mais la vision du corps presque nu d'Antoine l'émoustillais et elle ne pu s'empêcher malgré elle de tendre une main pour caresser son torse du bout des doigts tout d'abord puis de façon plus appuyée.

Antoine ne dormais qu'a moitié. Il avais cru a un rêve érotique quand il avais entendu la voix de Marie, avant de se rendre compte que c’était bien réel lorsque ses fines mains avaient commencées a parcourir son torse. Il ouvrit doucement les yeux avec un sourire venant poser doucement la tête de celle ci contre son torse en murmurant : « tu a toujours peur de l'orage ? ». Marie ne répondit pas, mais le laissa faire se blottissant contre lui. Elle posa sa tête contre son torse tout en continuant à le caresser et fut aux premières loges pour voir l'érection qui rapidement gagna le jeune homme transformant en chapiteau son caleçon. Les deux rougirent et Marie glissa une main depuis son torse sur son ventre puis son bas ventre, sans oser continuer plus loin.

Antoine la regarda puis bougeant un peu retira son caleçon dévoilant a la jeune femme son sexe tendu, droit et fier. Elle rougit gênée mais ne pouvant pas détacher les yeux de ce membre viril. Après quelques instants, elle osa glisser la main pour effleurer le sexe tendu du bout des doigts le faisant bien sur réagir. Elle effleura celui ci de tout son long, provoquant des petits soubresauts d'Antoine dont elle sentais le cœur s'emballer dans sa poitrine. Encouragée par Antoine qui pris sa main dans la sienne, elle referma les doigts sur le membre tendu commençant des petits mouvements de haut en bas d'abord accompagnée puis seule. Antoine soupirais d'aise la laissant faire et en profita pour glisser une main sous la robe de chambre pour caresser les fesses de Marie par dessus sa culotte qui fut rapidement retirée ainsi que la robe de chambre pour lui laisser tout loisir de continuer.

Puis pendant qu'elle s’occupait de lui, il glissa une main des fesses sur une cuisse nue qu'il caressa avant que Marie n'ouvre doucement ses cuisses, lui offrant l'accès a son jardin secret qu'il entrepris d'explorer à son tour de ses doigts guidé par elle.Marie gémissais contre ses lèvres cuisses grandes ouvertes pendant que les doigts d'Antoine exploraient son intimité chaude et humide, osant même glisser un doigt légèrement en elle. Puis ses lèvres quittèrent celles de son amante pour embrasser son cou, puis ses seins sur lesquels il s'attarda un moment avant de continuer de descendre pour embrasser le ventre de sa belle et l'intérieur de ses cuisses ouvertes sur son mont de Venus orné d'une jolie toison. Marie mis son avant bras sur ses yeux gênée mais garda les cuisses ouvertes et il commença a joindre a ses doigts ses lèvres pour embrasser son intimité et découvrir celle ci fasciné. La jeune femme étouffa ses gémissements en prenant un coussin lorsqu'il se mit a lécher doucement son sexe humide provoquant des vagues de plaisir de plus en plus forte, jusqu'à perdre la tête et arriver à une petite mort libératrice en tenant la tête d'Antoine contre elle, tremblante.Il goûta à l'abondant nectar de Marie avec surprise mais délectation avant de venir se blottir pendant qu'elle reprenais son souffle peux a peux. Les deux s'endormirent nus et enlacés sans se douter qu'une troisième personne avais épiée leurs ébats avec excitation et n'en avais pas manqué une miette.....

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