Retrouvailles avec Jackie (1)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retrouvailles avec Jackie (1)
En ce samedi matin je me réveille fraiche te dispo. Fraiche ? Humm, mon reconditionnement est en bonne voie. Tant mieux, il ne me reste que deux jours avant mon rendez-vous avec Jackie. Certes, il s’agit d’un rendez-vous professionnel mais, comme nous ne serons que toutes les deux pour un diner d’affaire, je ne désespère pas qu’il prenne un virage plus personnel.
Jackie a été ma maitresse puis mon amante il y a 2 ans déjà. À l’époque, hétéro inconditionnel, j’avais fait sa rencontre lors d’un salon, elle m’avait beaucoup plu et j’avais un peu flirté avec elle. Cela c’était prolongé et nous avions fini la journée au restaurant de l’hôtel que nous avions en commun et où je l’avais invitée. Marié et fidèle, je n’avais aucune idée dernière la tête si ce n’est de passer un bon moment avec une belle femme. Mais ça a dérapé.
Au moment de se dire bonne nuit et que je me penchais pour lui faire la bise elle a tourné la tête et, au lieu de trouver la peau douce de sa joue, nos lèvres se sont rencontrées. Je me suis aussitôt reculé en m’excusant, elle m’a alors souri et m’a dit que c’était elle qui s’excusait mais que je lui plaisais beaucoup et qu’elle avait très envie de m’embrasser.
Elle me regardait avec des yeux tellement suppliants que j’ai succombé et, me rapprochant j’ai posé mes lèvres sur les siennes. Elles étaient douces et chaudes, pris par l’ivresse du moment j’ai avancé ma langue vers sa bouche entrouverte. J’ai passé ses lèvres, ses dents et trouvé sa langue me procurant une petite décharge électrique. Nos langues se sont découvertes et, tandis que mes mains se posaient sur mon dos, ont commencé à jouer ensemble. Sans m’en rendre compte je la serrais plus fort contre moi et je sentais sa poitrine contre mon torse. Notre baiser s’est fait plus passionné, je sortais la langue parfois pour caresser et de lui faire des bisous sur les lèvres avant de reprendre nos jeux de langues. J’étais excité et nos bassins étant l’un contre l’autre elle ne devait rien en ignorer. Elle a finalement quitté ma bouche et en me regardant avec un sourire timide et des yeux pétillants elle m’a demandé si je voulais venir prendre un dernier verre dans sa chambre. J’ai accepté et l’ai suivie dans l’ascenseur. Elle portait un tailleur-pantalon blanc et un caraco noir. Le pantalon était ample mais, étonnamment, mettait en valeur ses fesses ainsi que sa silhouette que l’on devinait fine. Dans l’ascenseur nous n’avons pas échangé un mot, nous contentant de nous regarder comme pour deviner les intentions de l’autre.
Arrivés dans la chambre, nos intentions se sont dévoilées, je l’ai prise dans mes bras et je l’ai embrassée. Notre baiser était fougueux et mes mains dans son dos se dirigèrent vers ses fesses confirmant ainsi qu’elles étaient arrondies et fermes à souhait. Je les caressais quand elle a quitté ma bouche pour me dire qu’elle n’était pas une femme comme les autres et qu’elle avait une petite particularité. Trop excité par l’instant pour m’en quitté, je lui ai répondu que je n’en avais rien à faire, que je la trouvais magnifique comme elle était. Elle a alors repris mes lèvres et tandis que je poursuivais la découverte de ses fesses, elle fit tomber ma veste et défit ma cravate. Elle commença à déboutonner ma chemise et ses lèvres quittèrent les miennes pour descendre le long de mon cou et faire des bisous et donner des coups de langue sur ma peau qui se découvrait. Elle s’attarda sur mon torse, titilla et embrassa mes tétons Elle poursuivit sa descente sur mon ventre et lorsque le dernier bouton de ma chemise fut enlevé elle rejoignit ma veste au sol. J’étais sur une autre planète, plus rien ne comptait que sa bouche sur ma peau et le plaisir qu’elle me procurait.
Arrivée là elle a dégrafé ma ceinture, déboutonné mon pantalon, ouvert ma braguette. Je frémissais d’impatience dans l’attente des caresses à venir, mon sexe, ayant été parcouru de tout son long lors de la descente de la braguette, était tendu à faire mal. Il fut libéré lorsque mon pantalon ainsi que mon caleçon se retrouvèrent au sol. Je n’osais pas bouger, je restais figé par le plaisir du moment. Je sentis bientôt des doigts se poser sur mon sexe tendu et le parcourir. Ils faisaient un travail de reconnaissance efficace qui me faisait tressaillir de plaisir. Lorsque sa bouche se posa sur mon gland et l’avala, je poussais un petit soupir d’aise tandis qu’elle jouait avec sa langue. Soudain mon membre sembla comme aspiré dans sa bouche et s’y trouva tout entier. C’était chaud et humide. C’était bon. J’ai failli jouir à cet instant mais j’ai réussi à me reprendre et bien m’en a pris car elle a commencé une divine fellation.
Elle est remontée vers mes lèvres puis s’est retournée, plaquant ses fesses contre mon sexe et les faisant ondulées. Elle a tourné la tête pour chercher ma bouche, j’ai senti son pantalon tomber et la douceur de ses fesses contre mon sexe. J’ai senti qu’elle écartait son string et elle a ronronné « Prends moi ». Sans demander mon reste j’ai placé mon sexe entre ses cuisses mais elle a avancé un peu en disant « non pas là ». Un peu surpris par cette demande pour un premier rendez-vous mais, à ce stade, mon sexe devant impérativement pénétrer quelque chose, je me suis exécuté. Je me suis donc présenté sur son œillet et j’ai poussé un peu pour en forcer l’entrée. Lubrifié par sa fellation, il n’a pas fallu forcer trop fort et mon gland est entré d’un coup.
Elle a poussé un soupir et j’ai commencé à faire des aller-retour, augmentant la pénétration à chaque mouvement. Elle avait posé ses mains sur mes fesses et accompagnait leurs mouvements tandis que son bassin commençait à onduler. Lorsque mes hanches touchèrent ses fesses, je poussais plus avant tandis qu’elle tirait avec ses mains et que son bassin se cambrait. Je grognais tandis qu’elle soupirait d’aise. Je posais alors mes mains sur ses seins que je caressais tandis que je reprenais mes mouvements de bassins, lentement et amplement. Elle gémissait, je sentais ses tétons tendus sous la soie de son caraco. J’accélérais un peu la cadence, descendais mes mains sur son ventre puis vers sa chatte que j’avais envie de découvrir mais elle les arrêta et les replaça sur ses seins. Un peu frustré j’accélérais la cadence de mes coups de reins et ne tardais pas à sentir venir le plaisir. Mon souffle devient court et rauque, elle gémissait et se déhanchait au rythme de mes assauts.
Je ne tins pas plus longtemps et explosais en elle dans une dernière pénétration profonde, comme voulant me perdre en elle. Je poussais un râle tandis qu’elle poussait un « Ohhh ! » de plaisir et que son corps était parcouru de soubresauts. Elle récupéra alors une de mes mains qui était resté sur un sein qu’il tenait fermement et la descendit vers son sexe. Je m’attendais à trouver une chatte douce et humide. Mais je ne compris pas tout de suite ce que je découvris, une bite ! Mon dieu, je venais de baiser un travelo ! Je me reculais aussitôt mon sexe sortant du fourreau qui venait de lui donner tant de plaisir. Elle se retourna alors et me dit « Tu vois, je ne suis pas une femme comme les autres, j’ai un petit quelque chose en plus. ». Je restais sans voix, fixant ce corps de femme aux courbes magnifiques mais qui avait un quelque chose dans son string.
Elle quitta son pantalon qui était à ses pieds et en caraco, string et talon alla nous servir un verre. Je n’avais toujours rien dit, je restais figé. Lorsqu’elle me tendit mon verre et me dit de m’assoir et de fermer la bouche, j’obéis. Elle me dit alors « Écoute Stéphane, je suis désolée si je ne t’ai pas suffisamment averti et si je t’ai choqué, ce n’est pas facile pour moi tu sais ? Je t’aime bien et j’aimerais que notre aventure se poursuive, je vais prendre une douche, j’espère que tu seras toujours là à mon retour. ». Là-dessus elle partit vers la salle de bain et la dernière chose que je vis avant que la porte ne se referme est son corps magnifique avec une paire de fesses à damner un saint.
« Bon, là mon Stéphane il faut prendre une décision » me dis-je. Petit 1, est-ce que je veux d’une aventure, tromper ma femme ? La réponse est non, ce soir est déjà une erreur de trop. Petit 2, est-ce qu’elle est si jolie pour que je trompe ma femme ? La réponse est non, même si j’ai longuement hésité avant de me répondre. Petit 3, en plus c’est une, un, quoi au fait, une trans ? Est-ce que j’aime ça ? La réponse est non.
Lorsque Jackie sortie de la salle de bain, elle fut surprise de me trouver dans son lit.
Jackie a été ma maitresse puis mon amante il y a 2 ans déjà. À l’époque, hétéro inconditionnel, j’avais fait sa rencontre lors d’un salon, elle m’avait beaucoup plu et j’avais un peu flirté avec elle. Cela c’était prolongé et nous avions fini la journée au restaurant de l’hôtel que nous avions en commun et où je l’avais invitée. Marié et fidèle, je n’avais aucune idée dernière la tête si ce n’est de passer un bon moment avec une belle femme. Mais ça a dérapé.
Au moment de se dire bonne nuit et que je me penchais pour lui faire la bise elle a tourné la tête et, au lieu de trouver la peau douce de sa joue, nos lèvres se sont rencontrées. Je me suis aussitôt reculé en m’excusant, elle m’a alors souri et m’a dit que c’était elle qui s’excusait mais que je lui plaisais beaucoup et qu’elle avait très envie de m’embrasser.
Elle me regardait avec des yeux tellement suppliants que j’ai succombé et, me rapprochant j’ai posé mes lèvres sur les siennes. Elles étaient douces et chaudes, pris par l’ivresse du moment j’ai avancé ma langue vers sa bouche entrouverte. J’ai passé ses lèvres, ses dents et trouvé sa langue me procurant une petite décharge électrique. Nos langues se sont découvertes et, tandis que mes mains se posaient sur mon dos, ont commencé à jouer ensemble. Sans m’en rendre compte je la serrais plus fort contre moi et je sentais sa poitrine contre mon torse. Notre baiser s’est fait plus passionné, je sortais la langue parfois pour caresser et de lui faire des bisous sur les lèvres avant de reprendre nos jeux de langues. J’étais excité et nos bassins étant l’un contre l’autre elle ne devait rien en ignorer. Elle a finalement quitté ma bouche et en me regardant avec un sourire timide et des yeux pétillants elle m’a demandé si je voulais venir prendre un dernier verre dans sa chambre. J’ai accepté et l’ai suivie dans l’ascenseur. Elle portait un tailleur-pantalon blanc et un caraco noir. Le pantalon était ample mais, étonnamment, mettait en valeur ses fesses ainsi que sa silhouette que l’on devinait fine. Dans l’ascenseur nous n’avons pas échangé un mot, nous contentant de nous regarder comme pour deviner les intentions de l’autre.
Arrivés dans la chambre, nos intentions se sont dévoilées, je l’ai prise dans mes bras et je l’ai embrassée. Notre baiser était fougueux et mes mains dans son dos se dirigèrent vers ses fesses confirmant ainsi qu’elles étaient arrondies et fermes à souhait. Je les caressais quand elle a quitté ma bouche pour me dire qu’elle n’était pas une femme comme les autres et qu’elle avait une petite particularité. Trop excité par l’instant pour m’en quitté, je lui ai répondu que je n’en avais rien à faire, que je la trouvais magnifique comme elle était. Elle a alors repris mes lèvres et tandis que je poursuivais la découverte de ses fesses, elle fit tomber ma veste et défit ma cravate. Elle commença à déboutonner ma chemise et ses lèvres quittèrent les miennes pour descendre le long de mon cou et faire des bisous et donner des coups de langue sur ma peau qui se découvrait. Elle s’attarda sur mon torse, titilla et embrassa mes tétons Elle poursuivit sa descente sur mon ventre et lorsque le dernier bouton de ma chemise fut enlevé elle rejoignit ma veste au sol. J’étais sur une autre planète, plus rien ne comptait que sa bouche sur ma peau et le plaisir qu’elle me procurait.
Arrivée là elle a dégrafé ma ceinture, déboutonné mon pantalon, ouvert ma braguette. Je frémissais d’impatience dans l’attente des caresses à venir, mon sexe, ayant été parcouru de tout son long lors de la descente de la braguette, était tendu à faire mal. Il fut libéré lorsque mon pantalon ainsi que mon caleçon se retrouvèrent au sol. Je n’osais pas bouger, je restais figé par le plaisir du moment. Je sentis bientôt des doigts se poser sur mon sexe tendu et le parcourir. Ils faisaient un travail de reconnaissance efficace qui me faisait tressaillir de plaisir. Lorsque sa bouche se posa sur mon gland et l’avala, je poussais un petit soupir d’aise tandis qu’elle jouait avec sa langue. Soudain mon membre sembla comme aspiré dans sa bouche et s’y trouva tout entier. C’était chaud et humide. C’était bon. J’ai failli jouir à cet instant mais j’ai réussi à me reprendre et bien m’en a pris car elle a commencé une divine fellation.
Elle est remontée vers mes lèvres puis s’est retournée, plaquant ses fesses contre mon sexe et les faisant ondulées. Elle a tourné la tête pour chercher ma bouche, j’ai senti son pantalon tomber et la douceur de ses fesses contre mon sexe. J’ai senti qu’elle écartait son string et elle a ronronné « Prends moi ». Sans demander mon reste j’ai placé mon sexe entre ses cuisses mais elle a avancé un peu en disant « non pas là ». Un peu surpris par cette demande pour un premier rendez-vous mais, à ce stade, mon sexe devant impérativement pénétrer quelque chose, je me suis exécuté. Je me suis donc présenté sur son œillet et j’ai poussé un peu pour en forcer l’entrée. Lubrifié par sa fellation, il n’a pas fallu forcer trop fort et mon gland est entré d’un coup.
Elle a poussé un soupir et j’ai commencé à faire des aller-retour, augmentant la pénétration à chaque mouvement. Elle avait posé ses mains sur mes fesses et accompagnait leurs mouvements tandis que son bassin commençait à onduler. Lorsque mes hanches touchèrent ses fesses, je poussais plus avant tandis qu’elle tirait avec ses mains et que son bassin se cambrait. Je grognais tandis qu’elle soupirait d’aise. Je posais alors mes mains sur ses seins que je caressais tandis que je reprenais mes mouvements de bassins, lentement et amplement. Elle gémissait, je sentais ses tétons tendus sous la soie de son caraco. J’accélérais un peu la cadence, descendais mes mains sur son ventre puis vers sa chatte que j’avais envie de découvrir mais elle les arrêta et les replaça sur ses seins. Un peu frustré j’accélérais la cadence de mes coups de reins et ne tardais pas à sentir venir le plaisir. Mon souffle devient court et rauque, elle gémissait et se déhanchait au rythme de mes assauts.
Je ne tins pas plus longtemps et explosais en elle dans une dernière pénétration profonde, comme voulant me perdre en elle. Je poussais un râle tandis qu’elle poussait un « Ohhh ! » de plaisir et que son corps était parcouru de soubresauts. Elle récupéra alors une de mes mains qui était resté sur un sein qu’il tenait fermement et la descendit vers son sexe. Je m’attendais à trouver une chatte douce et humide. Mais je ne compris pas tout de suite ce que je découvris, une bite ! Mon dieu, je venais de baiser un travelo ! Je me reculais aussitôt mon sexe sortant du fourreau qui venait de lui donner tant de plaisir. Elle se retourna alors et me dit « Tu vois, je ne suis pas une femme comme les autres, j’ai un petit quelque chose en plus. ». Je restais sans voix, fixant ce corps de femme aux courbes magnifiques mais qui avait un quelque chose dans son string.
Elle quitta son pantalon qui était à ses pieds et en caraco, string et talon alla nous servir un verre. Je n’avais toujours rien dit, je restais figé. Lorsqu’elle me tendit mon verre et me dit de m’assoir et de fermer la bouche, j’obéis. Elle me dit alors « Écoute Stéphane, je suis désolée si je ne t’ai pas suffisamment averti et si je t’ai choqué, ce n’est pas facile pour moi tu sais ? Je t’aime bien et j’aimerais que notre aventure se poursuive, je vais prendre une douche, j’espère que tu seras toujours là à mon retour. ». Là-dessus elle partit vers la salle de bain et la dernière chose que je vis avant que la porte ne se referme est son corps magnifique avec une paire de fesses à damner un saint.
« Bon, là mon Stéphane il faut prendre une décision » me dis-je. Petit 1, est-ce que je veux d’une aventure, tromper ma femme ? La réponse est non, ce soir est déjà une erreur de trop. Petit 2, est-ce qu’elle est si jolie pour que je trompe ma femme ? La réponse est non, même si j’ai longuement hésité avant de me répondre. Petit 3, en plus c’est une, un, quoi au fait, une trans ? Est-ce que j’aime ça ? La réponse est non.
Lorsque Jackie sortie de la salle de bain, elle fut surprise de me trouver dans son lit.
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